jeudi 25 janvier 2024

Deux étudiantes

 La maman de Clara



Elles étaient toutes les deux étudiantes en médecine, Clémence avait 25 ans et Clara 24 et elle partageait un appartement en colocation.

Quand Clara raccrocha son téléphone son visage était devenu pâle, Clémence un peu inquiète lui demanda :

- ça ne va pas, que se passe t il ?

- ma mère est à la gare, elle sera là dans 1/4 h.

Puis sans en dire plus, elle se précipita dans sa chambre. Clémence la suivit intriguée par le comportement de son amie. Celle ci avait enlevé son jean et était en train de changer de culotte, celle qu'elle portait était très sexy, en dentelle et ne dissimulait rien de l'intimité de la jeune femme. Elle la jeta sur le lit et fouillant dans sa commode, elle sorti une mignonne petite culotte en coton avec des petites fleurs. Elle l'enfila prestement. Puis se tournant vers sa copine :

- maman déteste que je porte des culottes sexy, oh mon dieu, ce bazar, quand elle va voir ça elle va être furieuse.

Fébrilement, elle tira la couette pour refaire son lit et ramassa les vêtements qui jonchaient le sol pour les mettre en vrac dans un placard. Mais remettre en état sa chambre était impossible en 1/4 h.

Clémence regardait Clara amusée, cette agitation lui paraissait vaine. Pourquoi avoir changé de culotte, sa mère n'allait pas la voir sous son jean et puis pourquoi ranger sa chambre, après tout elles étaient chez elles quand même.

La sonnette retenti, Clara se précipita pour ouvrir à sa mère. Laurence était une grande et belle femme de 50 ans, brune, les cheveux courts et l'air très stricte malgré son sourire. Elle embrassa tendrement sa fille, Clémence la connaissait un peu, elle lui fit une bise. Laurence avait jeté un regard circulaire sur le salon en désordre, son regard s'était assombri :

- eh bien, ce n'est pas comme ça que je t'ai éduquée, j'espère que ta chambre n'est pas dans cet état ! 

Elle se dirigea vers la chambre de Clara, celle-ci, très pâle la suivit. Quelques instants plus tard, des cris retentirent dans l'appartement et Laurence revint dans le salon tenant Clara par l'oreille, Clémence abasourdie regardait la scène. Sa copine  avait perdu toute sa superbe, elle suppliait sa mère :

- non, non pardon maman, je t'en supplie pas ici, pas maintenant, je vais ranger ma chambre, promis...

Laurence s'était assise sur une chaise, elle avait lâché l'oreille de sa fille, mais celle ci était devant elle, coincée entre ses genoux :

- oh oui, tu vas la ranger ta chambre, c'est sûr, après la bonne fessée que tu vas recevoir !! 

- s'il te plaît, maman pas ici... 

- et pourquoi donc ? Parce qu'il y a Clémence ? Tu sais bien que te donner une fessée déculottée en public ne m'a jamais dérangée. Je pense même que c'est beaucoup plus efficace, surtout à ton âge. 

Elle avait entrepris de déboutonner le jean et elle le fit descendre jusqu'aux genoux. 

Clémence regardait fascinée le spectacle, sa copine, d'habitude si sûr d'elle, qui draguait les garçons avec arrogance, ses fesses dont elle était si fière, moulées dans sa culotte en coton de petite fille et qui maintenait pleurnichait comme une gamine :

- pas la fessée... S'il te plaît... 

Ainsi à 24 ans, on pouvait encore recevoir ce châtiment enfantin. Laurence maintenant tenait la main de sa fille, elle la tira pour la faire basculer sur ses cuisses. Clara devait être habituée à la position car elle se laissa faire et posa ses mains par terre pour se stabiliser. Ses fesses étaient maintenant bien tendues sous la culotte, celle ci rentrait légèrement dans la raie fessiere, laissant entrevoir la base du derrière. La main de la sévère maman se leva et Clara poussa un cri, puis un autre car Laurence claquait très rapidement le fessier rebondi de sa fille. Une centaine de claques furent distribuées sur la culotte puis sans dire un mot Laurence glissa un doigt dans l'élastique et entrepris de baisser la culotte de sa fille. 

- noon, noon, maman pardon, pas la culotte, s'il te plaît... 



Laurence se mit à sourire et tout en continuant l'humiliant déculottage elle regarda Clémence :

- et pourquoi donc pas la culotte ? N'est-ce pas Clémence qu'une bonne fessée c'est toujours cul nu. Oui je sais qu'à 24 ans ce n'est pas très agréable de se retrouver fesses à l'air devant sa copine mais la prochaine fois tu réfléchiras et tu rangeras ta chambre. 

Maintenant la culotte était descendue à mi-cuisse et les magnifiques fesses de Clara apparurent, bien mise en valeur par la position. Elles étaient déjà un peu rouges, Clémence avait toujours envié son amie d'avoir une si belle paire de fesses, elle trouvait les siennes bien moins jolies. Elle était secrètement ravie de ce qui arrivait à Clara, que de fois en la voyant se promener en petite tenue n'avait elle pas rêvé de la déculotter. Maintenant Clara était en position disciplinaire, cul nu, elle gémissait doucement, implorant le pardon à sa mère. Celle-ci assura la position de la punie, plaça sa main gauche sur les reins et levant la droite, elle commença la vraie fessée. Clémence n'avait jamais assisté à une fessée, elle même ne l'avait jamais reçue dans son enfance, à peine quelques claques par dessus la jupe. Laurence était une redoutable fesseuse, sa main claquait à une allure folle les fesses de sa fille, elle alternait les claques ne frappant jamais deux fois la même fesses, sa main s'adaptait aux formes généreuses de sa fille, elle semblait rebondir sur la croupe tendue, elle n'oubliait aucun endroit, de la base des fesses au creux des reins le magnifique fessier commençait à prendre une belle couleur. Au début de la punition, Clara s'était contentée de gémir sous les claques mais maintenant la cuisson était telle qu'elle se mit à pleurer comme une gamine, suppliant sa mère d'arrêter :

- oh non, maman... Aïe, aïe, aïe,  aie, pardon, ça fait mal, arrête... Noon 

Mais Laurence n'en avait cure, ça faisait un moment qu'elle n'avait pas eu les fesses de sa fille à sa disposition, elle en profitait et puis elle était vraiment furieuse du comportement de celle-ci, elle se doutait bien que seule et livrée à elle même ça risquait d'arriver et elle tenait à remettre les choses au point. 

Elle adorait administrer la fessée et quelques unes de ses amies s'étaient retrouvées allongées fesses à l'air sur ses genoux, mais c'était quand même sa fille qu'elle préférait fesser, c'est vrai qu'elle avait des fesses à fessée. Maintenant la douleur qui lui embrasait le fessier était intolérable, elle battait l'air frénétiquement avec ses jambes, son jean avait quitté ses pieds, ses fesses s'ouvraient et se refermaient au rythme de la correction, elles étaient écarlates, on aurait dit que Clara avait remis une culotte rouge. 

Satisfaite Laurence cessa la correction et caressa les fesses brûlantes de sa fille :

- voilà une bonne fessée, pour commencer. J'espère que tu as bien compris la leçon, oh oui je sais ça brûle, mais c'est fait pour ça la fessée ma chérie, tu connais la suite, tu vas aller les faire refroidir au coin. 

Clémence avait assisté à la punition de son amie sans dire un mot, fascinée par la sévérité de Laurence et par la danse des fesses que Clara avait effectué. Maintenant celle ci s'était relevée et comme elle en avait l'habitude elle se dirigea vers le coin de la pièce, sa culotte était descendue jusqu'à ses genoux, son tee-shirt ne cachait pas ses fesses. Arrivée contre le mur, sans que sa mère ne dise un mot, elle posa son nez contre le mur et mis ses mains sur sa tête. Clémence était de plus en plus surprise par l'attitude de son amie, elle avait semblé accepter sa punition sans se rebeller et maintenant elle se mettait au coin main sur la tête comme une gamine dans les années 50. Elle n'eut pas le loisir d'aller plus loin dans ses réflexions car Laurence s'adressait à elle :

- je suis très déçue par ton attitude Clémence, je pensais que tu ferais preuve de responsabilité, c'est pour cette raison que j'ai accepté que Clara prenne une colocation avec toi. Mais vu l'état de désordre de cette pièce je pense que je me suis trompée. Et ta chambre, j'espère qu'elle est mieux rangée que celle de Clara. 

Clémence était toute rouge, elle bredouilla quelques mots, ce qui eut pour effet de faire sourire Laurence :

- d'ailleurs, j'aimerais bien que tu me la montres. 

Elle s'était levée, signifiant à la jeune femme que ce n'était pas un souhait mais un ordre. Tête basse, Clémence la suivi, sa chambre était dans le même état que celle de Clara si ce n'est pire puisqu'elle n'avait même pas pris la peine de tirer la couette. Laurence après un coup d'œil circulaire, se tourna vers la jeune femme. Son regard sévère fit baisser les yeux à Clémence, elle n'eut pas le temps de dire un mot, déjà la main de la sévère maman avait saisi son oreille :

- Clémence !! Je ne veux pas être injuste avec Clara, elle a reçu une fessée pour n'avoir pas rangé sa chambre, la tienne est dans un état bien pire encore, je pense que tu mérites la même chose. 

Clémence tirée par l'oreille était arrivée dans le salon, elle était abasourdie et n'osait même pas protester, elle semblait vivre un cauchemar. Laurence s'était assise sur une chaise au milieu de la pièce puis lâchant l'oreille de la jeune femme, elle la prit par la main et la fit basculer en travers de ses genoux. Elle portait une jupe courte, dès qu'elle fut en position disciplinaire, les fesses bien présentées, celle-ci remonta légèrement découvrant la culotte. En un éclair Clémence repensa à la réflexion de son amie sur les culottes sexy, elle portait ce jour la une très jolie culotte en dentelle jaune paille. Elle sentit sa jupe se retrousser :

- qu'est-ce que c'est que cette tenue Clémence ! Cette culotte est indécente, tu n'en aurais pas que je verrais aussi bien tes fesses!

La main se leva et commença à claquer la croupe de la jeune femme, redevenue une gamine indisciplinée. Clémence se mit à gémir et à supplier, la fine dentelle protégeait bien mal des claques que lui administrait Laurence. A travers la dentelle elle voyait la peau qui commençait à rougir. C'est vrai que cette petite a des fesses un peu moins généreuses que Clara mais elles sont tout à fait correcte pour recevoir une bonne fessée déculottée et puis un postérieur juvénile, bien musclé et rebondi, quel plaisir pour une fesseuse. Elle interrompit la correction puis saisissant l'élastique de la culotte elle l'a fit descendre le long du derrière tendu. Ce qui eu pour effet de faire pousser un cri de détresse à Clémence :

- noon... Pas la culotte... S'il vous plaît madame, noon pardon... 

Laurence en souriant continua tranquillement le déculottage, elle descendit la culotte au milieu des cuisses :

- comment, pas la culotte ? Mais ma petite Clémence, une fessée chez moi c'est toujours cul nu... Tu as mérité une punition et je te promets que tu vas t'en souvenir longtemps de ta première fessée déculottée ! 

Clémence possédait une paire de fesses ravissantes et même si elle nourrissait un petit complexe vis à vis de Clara, son derrière était vraiment très agréable à regarder et à claquer. Une légère rougeur le recouvrait, signe que la fessée préparatoire sur la culotte avait été efficace. Mais pour Laurence une bonne fessée, pour être salutaire devait laisser un fessier écarlate, elle replaça correctement sa punie de façon que ses fesses soient bien à sa portée, elle caressa l'épiderme échauffé, comme pour en apprécier l'élasticité puis levant la main elle commença la vraie punition. Clémence n'avait jamais reçu de fessée auparavant, sa mère s'était contentée de quelques claques sur la jupe quand elle était en colère. L'humiliation de se retrouver allongée sur les genoux d'une quasi inconnue exposant ses fesses nues était déjà une épreuve mais c'était sans commune mesure avec la cuisson ressentie maintenant, elle se mit à crier puis à supplier, ses jambes battaient l'air, ses fesses s'ouvraient sans aucun souci de pudeur, Laurence adorait ces moments où la punie abandonne toute fierté et redevient une gamine, le résultat ne se fit pas attendre longtemps, Clémence fondit en larmes, la main de la sévère maman continua néanmoins à claquer la croupe, elle rebondissait sur les deux hémisphères rebondis, elle prenait soin de n'oublier aucune partie du postérieur. 



Maintenant une rougeur uniforme recouvrait la croupe, comme pour Clara, on aurait dit que Clémence avait revêtu une jolie culotte rouge écarlate. Laurence cessa la correction mais elle ne fit pas relever la jeune femme, celle ci pleurait à chaudes larmes, ses fesses se contractaient sous l’intense cuisson, elle caressa le derrière brûlant et garda Clémence dans cette position humiliante jusqu’à ce qu’elle se calme.

- voilà ma petite Clémence, une bonne fessée déculottée pour une vilaine fille... tu vas aller me faire refroidir ces jolies petites fesses au coin à côté de Clara.

Elle la fit se relever, pendant la correction la culotte était descendue aux chevilles, elle la remonta au dessus des genoux puis elle lui saisit à nouveau l’oreille pour bien lui signifier sa nouvelle condition et elle la conduisit à côté de son amie :

- tu mets tes mains sur la tête et ton nez contre le mur et je ne veux pas te voir bouger!!

Elle coinça la jupe dans la ceinture puis se recula pour apprécier le spectacle. Les deux jeunes femmes exposaient leurs croupes écarlates, dans l'impossibilité de frotter leurs fesses, elles les contractaient convulsivement pour essayer d'atténuer la brûlure, c'était un spectacle ravissant ces deux derrières juvéniles quelle plaisir de les avoir à sa disposition pensa Laurence. Finalement elle n'était pas mécontente que sa fille n'ait pas rangé sa chambre ça lui avait permis de lui redonner une fessée déculottée et en plus de découvrir le joli fessier de Clémence.

- vous allez rester là un moment, ça va vous permettre de réfléchir, je vous conseille de ne pas bouger si vous ne voulez pas revenir faire un petit séjour sur mes genoux.

Clémence était atterrée, elle croyait vivre un cauchemar mais la douleur qui irradiait tout le bas de son dos et jusqu'à la racine des cuisses était bien réelle, elle ne pensait pas que cela soit possible, recevoir à son âge une fessée déculottée et en plus être obligée de rester au coin comme une gamine pour exposer ses fesses nues. Mais elle avait beau retourner la situation dans sa tête, il n'y avait pas d'issue, elle tourna légèrement la tête pour jeter un œil à son amie, celle ci paraissait habituée, elle était résignée et le nez bien collé contre le mur, elle ne bougeait pas, seul quelques sanglots étouffés attestaient que la punition avait été sévère.

- je m'absente quelques minutes, soyez sage !!

Laurence quitta la pièce, elle savait que les deux péronnelles ne bougeraient pas. 



A suivre......

7 commentaires:

  1. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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  2. Il n'y a pas d'âge ,pour recevoir une bonne déculottée ! Cela remet les idées en place , rends la personne obéissante . C'est pour cela qu'il existe , des fesseuses . Pour contre-carrer , les personnes se laissant aller

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  3. Merci de cette tres belle histoire ...qui appelle de futur fessees deculottes...
    Il me semble avoir deja lu cette histoire... vivement la suite!!!!

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    1. Effectivement ce récit avait été publié sur le site disparu "bullesdefessees". Il y a une suite soyez patient.
      Sylvie

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  4. Bonjour
    Je suis étonné que la maman de Clara tolère que sa fille porte un jean ...est pas une jupe courte....

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  5. Sylvie trop longtemps sans un nouvel episode!!!! Aurait tu besoin dune bonne fesse deculotee pour te stimuler???

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  6. Plus de nouvelles, j'espère que vous allez bien ? 🔥

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