mercredi 7 février 2024

Deux étudiantes 2

Odile



Laurence en quittant l’appartement avait une idée derrière la tête. Elle ne pouvait pas laisser sa fille sans surveillance c’était sûr maintenant. Elle traversa le palier et sonna à l’appartement d’en face. Odile lui ouvrit, c’était une dame d’un peu plus de quarante ans, Laurence avait fait sa connaissance lors de l’emménagement de Clara et les conversations qu’elles avaient eu lui avait donné une idée.

Odile avait deux filles de 16 et 19 ans et Laurence avait compris à plusieurs allusions qu’elles partageaient la même méthode d’éducation, à savoir la bonne vieille fessée déculottée.

Odile fut un peu surprise de sa visite mais quand Laurence lui eut expliqué la situation elle eut un petit sourire.

— je comprends votre démarche, moi-même je pense que je ne serais pas tranquille de laisser mon aînée vivre seule… J’ai bien remarqué que votre fille et son amie manquait de maturité mais je vous pensais laxiste.

Laurence fut un peu vexée de cette remarque et se promit de prouver à Odile qu’elle avait tort, c’était dommage pour les fesses de Clara qui risquait d’en payer les conséquences. Elle proposa à sa nouvelle amie de venir avec elle dans l’appartement des deux jeunes femmes.

Pendant ce temps clémence se morfondait le nez collé au mur, la cuisson de ses fesses étaient encore présente et lui rappelait sa nouvelle condition. Quand elle entendit la porte se refermer, elle chuchota :

— Clara… Elle va nous laisser la longtemps ?

Sa copine ne bougeait toujours pas et restait silencieuse…

— Clara..!!!

Sans bouger, celle-ci murmura dans un souffle :

— il vaudrait mieux que tu te taises si jamais ma mère t’entends tu es bonne pour une autre fessée et je te garantis que la première te paraîtra douce par rapport à celle-là.

Elle avait dit cela en chuchotant et très vite, on voyait qu’elle connaissait le risque de désobéir à sa mère. Clémence impressionnée se tut et repris son attente humiliante. Quand elle entendit la porte s’ouvrir son sang se glaça et ses fesses se contractèrent en entendant une conversation, Laurence n’était pas seule !



En pénétrant dans la pièce le spectacle offert était un plaisir pour une fesseuse comme l’était Odile, les deux paires de fesses exposées contre le mur était encore rouges, les culottes baissées à mi cuisse soulignaient le caractère humiliant de la pénitence, Odile se retourna vers Laurence :

— je retire ce que j’ai dit, vous n’êtes pas trop laxiste ma chère, joli spectacle !!!

Satisfaite Laurence l’invita à visiter l’appartement sans se soucier des deux punies. Clémence avait reconnu la voix de la voisine et elle avait rentré sa tête dans ses épaules et appuyé encore plus son nez contre le mur, elle aurait voulu disparaître. C’était l’humiliation suprême, après le passage sur les genoux, le déculottage, la fessée, maintenant elle devait présenter ses fesses nues à une inconnue… Clara avait l’habitude, sa mère adorait ajouter ces petites humiliations à la fessée, la punition n’en était que plus profitable. Les deux dames firent le tour de l’appartement pour bien se convaincre de l’utilité d’une sévère reprise en main, en passant dans la salle de bain Laurence récupéra la brosse à cheveux de sa fille. De retour dans le salon elles constatèrent que les deux punies n’avaient pas bougé, Laurence s’adressa à sa nouvelle amie :

— vous conviendrez qu’un tel désordre mérite plus qu’une seule fessée manuelle. Ces deux péronnelles vont devoir comprendre que ça ne peut plus durer, comme vous allez devoir vous charger de les surveiller je vous propose de faire connaissance immédiatement avec leurs derrières. Je vous confie Clara et je vais m’occuper de Clémence.

Elle avait sorti de son sac une brosse à cheveux, identique à celle de Clara, elle la tendit à Odile et lui dit en souriant :

— je pense que vous savez vous servir de cet instrument ?

Odile acquiesça en lui rendant son sourire :

— Amélie et Chloé y goûte régulièrement, pour les grosses bêtises je pense que c’est très efficace.

Laurence se dirigea vers les deux jeunes femmes. Clara se doutait bien que la fessée reçue tout à l’heure n’allait pas suffire à calmer sa mère, la conversation le lui avait confirmée. Pour Clémence c’était autre chose, en plus de l’humiliation du châtiment enfantin reçu et la honteuse exposition de ses fesses nues elle ressentait encore très douloureusement les séquelles de sa première punition, elle ne pensait pas pouvoir supporter une deuxième fessée, la suite allait lui donner tort. Laurence avait saisi les deux amies chacune par une oreille comme si elles étaient des gamines insupportables, elle amena Clara devant Odile qui avait pris place sur une chaise puis toujours en tenant Clémence par l’oreille elle plaça une chaise en face de celle d’Odile. La jeune femme comprenant ce qui allait lui arriver se mit à pleurer et à supplier :

— Oh noon madame, s’il vous plaît, plus la fessée, non je vous en supplie, je vais ranger ma chambre, je serai sage, noon…

Ne tenant aucun compte des supplications de Clémence, la sévère maman l’avait basculée en travers de ses genoux :

— Mais j’espère bien que tu seras sage et que tu vas ranger ta chambre ma petite Clémence, la fessée c’est fait pour ça, mais pour que je sois vraiment sûre que tu aies bien compris, je pense qu’une deuxième fessée est nécessaire.



Odile en avait fait de même avec Clara, celle-ci habituée à l’éducation stricte de sa mère n’avait pas protesté. Maintenant les deux jeunes femmes étaient à nouveau en position disciplinaire, les fesses bien exposées et encore rouges. Odile en connaisseuse appréciait la croupe de Clara, elle passa sa main dessus comme pour en apprécier la qualité, sa main descendit et se glissa entre les cuisses pour les écarter légèrement, en remontant ses doigts s’insinuèrent dans la raie fessière. Elle savait que pour une jeune femme c’était déjà très humiliant de se retrouver dans cette position mais sentir que l’on examinait en détail son anatomie intime ajoutait au trouble. Elle aurait l’occasion de connaître en détail ce derrière mais une première prise en main était importante.

Laurence la regardait amusée, elle était fière des fesses de sa fille, c’était d’ailleurs une des raisons pour laquelle Clara se retrouvait très souvent culotte baissée sur ses genoux. Elle baissa les yeux pour regarder les deux fesses que lui présentait bien malgré elle Clémence, celle-ci pleurnichait doucement et la crainte lui faisait serrer les fesses ce qui n’est pas très agréable pour une fesseuse, elle les tapota doucement :

— Il va falloir me desserrer ces fesses mademoiselle, allez… Voilà encore un peu…

Comme Odile, elle avait glissé sa main entre les cuisses de Clémence pour les écarter et lui indiquer la position à prendre pour recevoir correctement sa punition. Clémence était résignée, une heure avant elle était encore une étudiante en médecine sûre d’elle-même et de son charme, maintenant elle était redevenue une gamine attendant déculottée le châtiment d’une maman sévère.

Laurence saisit la brosse à cheveux et en regardant Odile, donna le signal du début de la correction. Sous la brûlure du premier coup les deux amies poussèrent un cri mais déjà le deuxième arrivait et ce ne fut plus qu’un concert de pleurs et de supplications, les jambes battaient l’air, les fesses s’ouvraient et se refermaient au rythme effréné de la fessée, chacune des deux fesseuses voulait prouver son talent et rivalisait dans la sévérité. 



Aucune partie de la surface fessière n’échappa à leurs claques, les deux paires de fesses étaient maintenant d’un rouge éclatant. Laurence s’arrêta à la grande surprise d’Odile, celle-ci jugeait la punition insuffisante, mais elle fut vite rassurée :

— Maintenant que vous avez fait connaissance avec le fessier de Clara je vous propose de découvrir celui de Clémence, vous verrez qu’il n’a rien à lui envier.

Odile acquiesça en souriant, les deux punies furent relevées, leurs joues étaient baignées de larmes. Chacune des deux sévères mamans saisirent la main de leur nouvelle victime et rapidement, Clara et Clémence se retrouvèrent à nouveau dans la position disciplinaire favorite des fesseuses.

En plus de la douleur intolérable qui envahissait ses fesses, Clémence subissait une ultime humiliation, recevoir la fessée par sa voisine de palier, celle-là même qu’elle croisait régulièrement et qu’elle trouvait un peu trop stricte avec ses filles. Maintenant elle devinait pourquoi celle-ci filait droit. Elle n’eut pas le loisir de continuer ses réflexions la fessée avait repris et celle d’Odile était encore plus sévère que celle de Laurence. Clémence exécuta ce jour-là, sa première danse des fesses, ce ne serait pas la dernière pensait Odile en appréciant le spectacle de l’intimité de la jeune femme bien exposée.

Maintenant les croupes étaient rouge brique uniformément, les deux fesseuses se jetèrent un regard et la fessée cessa. Clémence et Clara sanglotaient et serraient convulsivement leurs fesses.

— Eh bien ma chère Odile, je suis rassurée, ces demoiselles sont en de bonnes mains.

— Je vous remercie Laurence, c’était un plaisir de découvrir ces nouvelles paires de fesses.

Elles caressaient chacune la croupe de leur punie pour apprécier la qualité de la punition, Odile se régalait du spectacle que lui offrait Clémence bien malgré elle :

— C’est curieux comme une bonne fessée rend la peau douce… C’est très agréable au toucher vous ne trouvez pas ?

Laurence acquiesça en palpant elle aussi le fessier brûlant de sa fille. Les deux jeunes femmes ne disaient rien subissant l’examen humiliant de leur derrière. Jugeant qu’elles avaient récupéré de leurs fessées, Laurence fit relever Clara, Odile fit de même avec Clémence et sans se concerter elles saisirent chacune l’oreille de leur punie pour la conduire au coin.

Laurence proposa un café à sa nouvelle amie. Odile lui confessa son goût pour l’éducation stricte et lui confia que ses deux filles recevaient régulièrement des fessées déculottées et qu’Amélie malgré ses 19 ans s’était retrouvée, le week-end dernier, allongée sur ses genoux, la culotte baissée et les fesses bien rouges. Elle lui assura qu’elle pouvait être tranquille sa fille et son amie allait filer droit à partir de maintenant.

Clémence entendait tout cela d’une oreille incrédule, ce n’était pas possible, elle avait 25 ans tout de même, elle n’allait pas être traitée comme une gamine par cette femme qu’elle connaissait à peine ! Hélas la cuisson de ses fesses la ramenait à la dure réalité.

Odile prit congé mais en précisant à l’intention des deux punies :

— À ce soir mesdemoiselles, je viendrai vous expliquer l’organisation que je compte mettre en place.

Laurence laissa les deux punies au coin pendant 1/2 heure ce qui parut interminable à Clémence mais tout à fait supportable pour Clara à qui il était arrivé d’y rester une soirée entière. Elle les appela et les fit se retourner pour lui présenter leurs fesses, celle-ci n’avait pas perdu leur belle couleur rouge elle posa sa main pour apprécier la chaleur :

— Voilà ce que j’appelle une bonne fessée, ça va vous chauffer un moment et c’est fait pour ça. Bon maintenant au travail, vous allez me ranger cet appartement et faire le ménage à fond.

Elle remonta la culotte de Clara juste sous ses fesses pour qu’elle puisse marcher, mais que son derrière soit toujours bien visible. Puis elle saisit la culotte sexy de Clémence et lui enleva complètement :

— Je ne veux plus te voir porter ce genre de culotte, si jamais je t’y reprends en plus de la fessée, je te prive de culotte pendant 3 jours et tu resteras cul nu sous ta jupe, c’est bien compris !

Elle avait accompagné sa dernière phrase d’une vigoureuse claque sur les fesses écarlates de Clémence. Elle la tira par l’oreille jusqu’à sa chambre et trouva dans le fouillis une culotte blanche en coton que Clémence mettait pour faire du sport, elle lui tendit. La jeune femme l’enfila satisfaite de pouvoir enfin cacher ses fesses, mais sa satisfaction fut de courte durée, Laurence la fit pivoter et d’un geste rapide descendit la culotte sous les fesses comme elle l’avait fait pour Clara :

— Voilà une tenue parfaite pour faire le ménage, si vous rêvasser ou que c’est mal fait, vos fesses sont à ma disposition.

Les deux jeunes femmes stimulées par cette menace se mirent au travail.

Clara était habituée et elle fut très efficace, ce n’était pas le cas de Clémence, si dans son enfance elle rangeait bien sa chambre depuis qu’elle était autonome elle avait perdu ces bonnes habitudes, sa mère était comme disait Odile, un peu laxiste.

Au bout d’une heure, Laurence entra dans la chambre, sans dire un mot, elle saisit à nouveau Clémence par l’oreille et l’entraîna au salon, elle tenait à ce que la fessée fut publique même s’il n’y avait que Clara, c’était plus humiliant. Elle posa son pied sur un tabouret et souleva Clémence pour la coucher sur sa cuisse horizontale, elle poussa un cri en perdant l’équilibre, ses pieds maintenant ne touchaient plus le sol et ses fesses étaient parfaitement présentées, Laurence leva la main et commença à lui administrer une fessée très rapide :

— Je crois que tu n’as pas compris ma petite Clémence, quand je dis de ranger, ce n’est pas juste de jeter en vrac tes vêtements dans le placard ! puisque ton cerveau ne veut pas comprendre je vais parler à tes fesses ! Tu vas voir, on comprend beaucoup mieux avec les fesses bien rouges.



Clémence goûtait à une quatrième fessée depuis le début de la matinée et c’était encore plus douloureux, car la peau de ses fesses était encore sensible, en plus la position adoptée la ramenait vraiment au rang de petite fille et sa croupe bien tendue rendait également la correction plus cuisante. Ramenée au rang de gamine désobéissante, Clémence pleurait et promettait à sa nouvelle maman qu’elle serait sage, qu’elle rangerait sa chambre, enfin toute chose complètement incongrue dans la bouche d’une étudiante en médecine de 25 ans. Jugeant la leçon suffisante, Laurence la reposa par terre :

— Tu recevras autant de fessées que nécessaire mais crois-moi ta chambre sera impeccable quand je partirai. Je pense que tes fesses en auront assez avant ma main !!

Clémence frottait maintenant ses fesses, Laurence se mit à rire :

— Ah c’est sûr, ça chauffe, c’est fait pour ça ma chérie, mais arrête de frotter tes fesses, c’est interdit sauf si tu veux revenir sur mes genoux.

Clémence cessa immédiatement et se dirigea vers sa chambre en exposant son derrière rougeoyant à Laurence.

En fin d’après-midi l’appartement était nickel. Laurence les félicita :

— C’est parfait mes chéries, c’est quand même dommage qu’à votre âge on soit obligée de vous déculotter comme des gamines pour vous faire obéir. Bien tournez-vous que j’examine un peu vos jolies fesses…

Clara était habituée, elle se tourna et se pencha en avant, pour Clémence se fut un peu plus difficile, cette petite humiliation supplémentaire était très gênante mais en voyant le regard sévère de Laurence et en repensant aux fessées reçues, elle imita son amie. Laurence était ravie, ces deux fessiers bien présentés étaient magnifiques, celui de Clara avait retrouvé toute sa blancheur tandis que celui de Clémence était encore légèrement rosé, trace de la dernière fessée.

— C’est bien, vos fesses sont en parfait état, si vous n’êtes pas sage, Odile pourra vous donner une fessée sans aucun problème.

Puis elle reculotta les deux jeunes femmes comme une l’aurait fait une maman avec des gamines.

C’est à ce moment-là qu’Odile arriva.



À suivre…




2 commentaires:

  1. Je suis impatient de connaître la suite, cela risque de ne pas rigoler avec Odile !! 🍑🔥🍑

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  2. eh bien, je suis toujours impatient de recevoir vos mises à jour. maintenant, une certaine traction se développe ici. merci Sylvie.

    Chinmay

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