La punition d'Aurore
Aurore avait les joues rouges en arrivant au salon, elle devinait le regard de Lucie braqué sur son fessier.
Le souvenir de la fessée reçue par sa professeure de piano lui revenait, Lucie en avait la sévérité et vu la magistrale déculottée qu’elle venait d’administrer à Christine elle avait un peu d’appréhension pour la suite des événements. Elle était malgré tout excitée, mais elle se doutait que sa correction si elle en recevait une n’aurait rien à voir avec les petits panpan cucul coquin de sa jeunesse avec ses petites amies.
Lucie sans aucune gêne lui claqua à nouveau les fesses :
— Allez ma petite dépêche-toi un peu.
La stricte responsable du service commercial se sentit fondre, elle s’entendit répondre :
— Oui, oui madame, mais que voulez-vous faire ?
Lucie se mit à rire :
— Tu ne t’en doutes pas ? Avec une si belle paire de fesses tu ne crois pas que je vais te laisser repartir comme ça.
Aurore était trop excitée pour oser refuser quoi que ce soit, mais elle eut quand même une dernière hésitation :
— Mais madame, quand même, je ne suis pas Christine, vous n’allez pas…
Sa phrase resta en suspens, car la main de sa jeune hôtesse venait de claquer encore plus sèchement son derrière :
— Comment ça je ne vais pas ? Te déculotter pour te flanquer la bonne fessée que tu mérites ? Bien sûr que si !
Lucie s’était installée confortablement sur le canapé, elle attrapa la main d’Aurore :
— Allez viens un peu ici ma jolie.
La jeune femme ne résista qu’à peine, en un clin d’œil elle était couchée en travers des cuisses de la sévère épouse de Christine. Lucie tapota les fesses encore recouvertes par la jupe, Aurore s’habillait assez court, celle-ci s’était déjà légèrement relevée découvrant presque sa culotte :
— Depuis quand n’as-tu pas reçu une fessée ?
La main de Lucie claqua un peu plus énergiquement la croupe. Aurore ne savait plus où elle en était, des pensées diverses s’entrechoquaient dans son cerveau. Recevoir cette punition infantile à son âge ? L’accepter sans réagir ? Mais que lui arrivait-il. Soudain une brûlure sur ses cuisses la fit crier :
— Aïe, Aïe… Non, Non… Aïe…
La main de Lucie venait de claquer l’arrière des cuisses, découvertes par la jupe remontée :
— Je t’ai posé une question, tu sais que tes cuisses vont vite devenir rouges !
La main continuait à claquer.
— Non, non, aïe, aïe, aïe… Arrêtez madame… Aïe…
Aurore était au bord des larmes, ses cuisses la brûlaient énormément, elle n’avait pas le souvenir d’une cuisson aussi intense lors d’une fessée. Lucie s’arrêta de claquer les cuisses :
— Alors, j’attends. Depuis quand n’as-tu pas été fessée ?
La jeune femme vaincue par la sévérité, répondit en pleurnichant :
— Euh, aïe, ça fait mal… Euh depuis longtemps… AÏE.
La main venait de reclaquer :
— Tu commences à m’agacer, tu as vu ce qui est arrivé à Christine et la couleur de ses fesses, je pense que tu vas avoir droit au même traitement. Dépêche-toi ! La main reclaqua une dizaine de fois l’arrière des cuisses qui était maintenant très rouge.
Aurore pleurait maintenant, elle avoua la fessée de sa professeure de piano et après quelques claques supplémentaires les fessées coquines de sa jeunesse.
Lucie souriait, « Toi ma petite tu n’as pas fini d’avoir le petit cul bien rouge, crois-moi puisque tu aimes la fessée je te promets qu’il va te cuire souvent », elle lissa la jupe de la punie :
— Bien, bien nous avons donc pas mal de retard à rattraper, voyons un peu ce joli derrière.
Elle retroussa largement la jupe sur les reins d’Aurore, celle-ci portait une culotte blanche en dentelle particulièrement échancrée. Les mouvements désordonnés de la jeune femme pendant la claquée sur les cuisses, l’avait fait rentrer dans la raie médiane, les fesses blanches étaient quasiment entièrement découvertes.
C’était très excitant ce petit derrière à moitié dénudé, Lucie décida de retarder le déculottage, elle avait le temps cette petite allait passer un moment sur ses genoux.
Elle leva la main et commença à claquer cette très jolie croupe, elle s’amusait à alterner les fortes claques avec des plus douces, elle variait aussi l’endroit, tantôt la base des fesses dénudées, puis la partie la plus charnue encore recouverte par la culotte. Rapidement les fesses se mirent à rougir en même temps qu’elles se trémoussaient sous la cuisson, Aurore essayait de rester stoïque, au début elle gémissait doucement, mais Lucie accentua la force des claques et bientôt la jeune femme se mit à supplier :
— Aïe, aïe, aïe ça fait mal, non, non…
Lucie souriait le battement des jambes, les fesses bien rouges, maintenant presque complètement mise à l’air, tout cela était vraiment mignon. Cette Aurore avait vraiment un joli popotin, il lui fallait vraiment l’examiner de plus près.
Elle cessa la fessée :
— Eh oui, ça brûle beaucoup, c’est fait pour ça la fessée ma petite chérie, tu vas voir, ça va te cuire encore mieux quand tu vas être cul nu.
Elle avait glissé ses doigts sous la culotte et elle la baissa jusqu’aux genoux :
— Voilà ma petite dame, déculottée comme une gamine… J’espère que tu as bien honte de me montrer tes fesses…
Elle caressait la croupe déjà bien colorée :
— Avec une si belle paire de fesses, c’est vraiment une bonne fessée déculottée qu’il te faut, tu vas voir comment maman Lucie va bien s’en occuper.
Elle prit la brosse à cheveux sur la table et appliqua le premier coup sur la fesse droite puis immédiatement sur l’autre. Aurore hurla sous la brûlure, Lucie n’avait pas retenu sa force, une plaque plus rouge était apparue sur chacune des fesses.
Aurore s’était cambrée, mais elle était bien maintenue par la taille et seules ses jambes pouvaient bouger, ses fesses s’ouvraient largement à chaque coup de la brosse. Elle commençait à comprendre ce que c’était qu’une correction de maman Lucie, elle se mit à pleurer rapidement. La sévère fesseuse qu’était devenue Lucie appréciait quand ses punis en arrivaient aux larmes, c’était le signe que sa punition avait été efficace, elle continua quand même à claquer le généreux fessier d’Aurore. Il fallait qu’elle se souvienne longtemps de sa première fessée déculottée et qu’elle la craigne pour lui obéir ensuite au doigt et à l’œil.
La croupe était maintenant cramoisie, Lucie souriait, « Tu vas avoir du mal à t’asseoir ce soir ma pauvre petite chérie ». Elle administra encore une dizaine de coups de brosse puis caressa les fesses brûlantes, Aurore sanglotait, ce n’était plus la stricte responsable de Christine mais une gamine éplorée couchée sur les genoux de sa maman après une magistrale correction. Lucie lui tapota les fesses :
— Voilà, tu as reçu la fessée déculottée que tu avais bien méritée, j’espère que tu as compris qu’à partir de maintenant tu vas devoir obéir sans discuter à maman Lucie.
Aurore pleurait à chaudes larmes, une nouvelle claque très forte sur son fessier brûlant lui tira un cri. Lucie la voulait vraiment docile :
— Je t’ai posé une question ? Si tu ne réponds pas, je recommence la fessée. Vas-tu m’obéir bien gentiment ?
Aurore répondit en pleurant :
— Aïe, aïe, aïe, oui, oui madame, promis, mais plus la fessée s’il vous plaît.
Lucie caressa à nouveau le derrière écarlate :
— J’espère bien, si tu n’obéis pas, gare à tes fesses, tu reviendras faire un petit séjour sur mes genoux. Tu vas m’appeler maman Lucie comme Christine, c’est bien compris !
Elle avait terminé sa phrase en administrant quelques claques bien sonores sur le joli fessier de sa nouvelle soumise.
Quand Aurore put enfin se relever, elle avait perdu toute sa superbe, des larmes coulaient sur ses joues qui étaient aussi rouges que ses fesses, elle n’osait pas regarder sa nouvelle maman. Celle-ci en souriant, lui releva le menton :
— Regarde-moi quand je te parle. Tu l’avais bien cherché cette fessée déculottée n’est-ce pas ?
Aurore avait retenu la leçon, il lui fallait répondre, au milieu de ses sanglots, elle articula :
— Oui… oui maman Lucie.
Elle posa ses mains sur ses fesses pour les frotter. Lucie fronça les sourcils :
— Mets tes mains sur la tête immédiatement, ça t’évitera de faire des bêtises. La prochaine fois que tu essayes de te frotter les fesses après la fessée, tu reviens illico sur mes genoux.
La jeune femme obéit immédiatement, sans se rendre compte de sa soumission et du ridicule de la situation. Lucie lui fit un petit signe :
— Tourne-toi !
Elle souleva la jupe qui était retombée sur la croupe écarlate et coinça l’ourlet dans la ceinture, la culotte était entortillée autour de ses chevilles, elle la remonta à mi-cuisses. Puis elle claqua le derrière bien présenté :
— Tu connais la suite n’est-ce pas ? File au coin et mets ton nez contre le mur. Je ne veux plus t’entendre, tu vas réfléchir à ce qui t’attends dorénavant.
Puis elle se leva laissant Aurore en pénitence le nez collé au mur, elle se dirigea vers la chambre. Le spectacle qu’offrait sa petite Christine était particulièrement excitant, elle n’avait pas bougé, le nez bien collé contre le mur, les mains sur la tête, les fesses bien rouges avec en leur milieu, la rondelle bleu pâle du plug. Elle s’approcha et posa sa main sur les fesses encore bien chaudes :
— Alors ma petite chérie, il te brûle encore ton petit cucul ? Tu sais que tu es très mignonne comme ça, j’ai bien envie de te recoller une déculottée.
La punie se mit à gémir :
— Oh non, maman Lucie, mes fesses me brûlent trop, s’il te plaît…
La jeune maîtresse se mit à rire, satisfaite de son pouvoir :
— Ah tu as peur pour ton petit derrière ? Mais tu n’as eu que ce que tu méritais et si je décide de t’en flanquer une autre c’est qu’elle sera justifiée.
Sa main avait saisi la rondelle du plug et le fit coulisser doucement :
— Ton petit cul est bien garni mais rassure-toi ce soir tu auras droit à autre chose, tu es contente que maman Lucie s’occupe de toi ?
Christine savait qu’il lui fallait répondre sous peine d’une nouvelle fessée sur son derrière endolori, elle avala sa salive avant de répondre doucement :
— Oui maman Lucie, merci… Aïe…
Une claque venait de retentir dans la pièce :
— Mieux que ça remercie-moi, comme je t’ai appris.
Christine le savait pourtant mais c’était toujours un peu difficile, elle recommença sa phrase :
— Merci maman Lucie de t’occuper de mon gros derrière, merci pour cette bonne fessée déculottée que j’avais bien méritée.
La jeune femme souriait ravie, elle tapota les fesses brûlantes :
— C’est bien, ce n’est quand même pas difficile, la prochaine fois je veux que tu me remercies dès que je te touche les fesses, sinon tu auras droit au martinet.
Elle recula pour à nouveau contempler le superbe fessier de sa chérie, c’est vrai que l’administration régulière de fessées lui ont fait vraiment un beau cul pensa-t-elle :
— En attendant puisque tu reconnais que tu as mérité d’être punie, rassure-toi ce soir tu y auras encore droit avant que je te fasse jouir avec mon gode. Tu n’as pas fini ta pénitence tâche de rester tranquille si tu tiens à la peau de tes fesses.
Elle sortit et referma la porte, elle prit le plug rose sur la table et s’approcha d’aurore :
— C’est bien, je vois que tu as été sage, viens un peu ici ma jolie.
La jeune femme se retourna tout en gardant ses mains sur sa tête, elle rosit en voyant le plug, elle se doutait qu’il lui était destiné. Lucie remarqua sa mine inquiète :
— Eh oui ma petite chérie, regarde bien ce qui va garnir ton petit derrière.
Aurore se mit à gémir :
— Oh non maman Lucie, non, pas ça c’est trop gros.
Lucie éclata de rire :
— Tu plaisantes j’espère ? C’est un petit plug de rien du tout, ne me dit pas que tu n’as jamais rien eu dans le derrière ?
Aurore rouge de confusion lui avoua que oui, elle était vierge de ce côté-là.
Lucie était ravie, ce n’en était que plus excitant, elle prit la main de sa nouvelle soumise et la fit basculer en travers de ses cuisses :
— Allez en piste ma petite.
Aurore poussa un cri mais ne résista pas. Immédiatement Lucie lui écarta largement les fesses :
— Allez tu vas voir, je vais m’occuper de toi, écarte un peu mieux les jambes et desserre les fesses si tu ne veux pas goûter à nouveau à ma brosse à cheveux.
Honteuse mais craignant pour son fessier déjà bien endolori, la jeune femme s’exécuta. Lucie tenait les deux hémisphères écartés, la petite rondelle brune semblait bien contractée, elle humidifia son doigt et le posa dessus pour en apprécier l’élasticité. Aurore gémissait doucement, elle se mit à sangloter, elle était vaincue par cette humiliation supplémentaire, Lucie souriait toujours :
— On va commencer doucement ma chérie, maman Lucie va prendre la température à sa petite Aurore.
Celle-ci poussa un petit cri en sentant l’embout froid du thermomètre pénétrer doucement son anus. Elle se souvenait qu’elle détestait quand sa mère lui prenait la température et à 40 ans, elle était obligée de subir ça à nouveau et de se laisser faire. Elle ne put retenir la contraction de ses fesses, calmement Lucie ressorti le thermomètre :
— Décidément ma petite chérie, tu n’as pas encore compris que je n’aime pas les petites effrontées qui n’en font qu’à leur tête, je vais avoir une conversation avec ton joli petit derrière, il va peut-être mieux comprendre que ta cervelle.
La brosse à cheveux repris son action et Aurore ses cris.
Lucie adorait donner la fessée et Aurore avait vraiment une très jolie paire de fesses, elle s’en donna donc à cœur joie sans se préoccuper des cris de détresse de la jeune femme. Celle-ci n’avait jamais reçu une correction pareille, elle avait littéralement le feu aux fesses. La sévère fesseuse cessa la punition, les fesses étaient rouges briques, elle posa la brosse puis elle caressa la croupe brûlante :
— J’espère que tu as compris, ton petit cul est bien chaud ma petite chérie, tu vas bien gentiment laisser le thermomètre rentrer dedans sinon je recommence, quand tes fesses en auront assez j’arrêterai.
Aurore était abasourdie par la sévérité de Lucie, elle était prête à tout pour ne pas recevoir une nouvelle fessée, elle écarta largement ses jambes :
— Non, non maman Lucie, plus la fessée, écartez mes fesses et mettez-moi le thermomètre si vous voulez.
La sévère maman souriait :
— C’est bizarre comme une bonne fessée déculottée rend les dames dociles. Tu aurais pu t’éviter celle-là si tu m’avais laissé faire.
Elle avait écarté largement les deux fesses, le thermomètre pénétra profondément, Lucie sentit une humidité entre ses cuisses, c’était vraiment très excitant. Elle le fit coulisser plusieurs fois :
— Alors ma petite chérie Tu le sens bien dans ton petit cul ?
Aurore gémissait doucement, certes elle était humiliée de se faire prendre la température comme une gamine, mais elle sentait également une excitation dans cette punition qui était nouvelle pour elle. Lucie retira presque complètement le thermomètre puis le fit pénétrer à nouveau rapidement :
— Il faut vraiment détendre ton petit trou ma chérie, on va lui faire faire un peu de gymnastique, on va le sortir et le rentrer comme ça 20 fois et tu vas compter. Allez on commence et gare à tes fesses si tu te trompes !
Le thermomètre commença ses va-et-vient dans le derrière d’Aurore, celle-ci complètement vaincue comptait soigneusement les allers-retours du thermomètre en gémissant. Lucie était ravie du spectacle elle accélérera le rythme jusqu’à ce la punie se trompe. Elle laissa le thermomètre profondément enfoncé et administra une vingtaine de claques sévères sur les fesses écarlates :
— Décidément je crois que tu aimes quand je te claque le derrière et bien rassure-toi je ne suis pas fatiguée. À combien en sommes nous ? Si tu te trompes on recommence !
En pleurant Aurore annonça « 15 ».
— C’est bien, il n’y a rien de mieux que la fessée déculottée pour les vilaines filles. Encore cinq allers-retours et ton petit cul sera prêt pour le plug.
Quand enfin elle retira le thermomètre, Aurore gémissait légèrement, ce qui fit sourire sa jeune maîtresse, elle posa son doigt sur l’anus et le fit légèrement pénétrer :
— Voilà tu es prête pour goûter au plug ma petite chérie. Tu as vu que maman Lucie n’aime pas les effrontées, je te conseille de bien te laisser faire, ma brosse à cheveux n’est pas encore fatiguée.
Elle avait pris le plug rose, elle écarta à nouveau les deux hémisphères écarlates et poussa lentement l’engin punitif contre la petite rondelle qui s’ouvrit doucement. Aurore râlait doucement mais instruite par l’expérience de ses fesses brûlantes, elle ne les contracta pas.
Bientôt la rondelle du plug se cala au fond de la raie fessière, Lucie relâcha les fesses et les tapota gentiment :
— C’est bien tu as été mignonne, c’est quand même malheureux qu’a ton âge il te faille encore recevoir une bonne déculottée pour te faire obéir. Mais rassure-toi, maman Lucie sera toujours disponible pour te déculotter quand ça sera nécessaire.
Aurore avait les joues aussi rouges que ses fesses pendant que sa nouvelle maman lui faisait la morale comme si elle était une gamine. Lucie se délectait du spectacle de la magnifique croupe cramoisie, elle n’était pas pressée de la faire relever, elle continuait à caresser l’épiderme brûlant :
— Pour t’apprendre l’obéissance et l’humilité, chaque fois que tu viendras à la maison tu me demanderas de te prendre la température. Si tu oublies, tu seras punie, je suppose que tu n’aimerais pas te faire baisser la culotte pour recevoir une bonne fessée déculottée devant Christine ? C’est ce qui t’arrivera si tu désobéis et en plus elle assistera à ta prise de température après la fessée.
Aurore était atterrée par la perversion de sa nouvelle maîtresse, mais inconsciemment elle savait qu’elle avait besoin de se sentir soumise.
Lucie la fit se relever et lui claqua les fesses :
— Tu peux te reculotter, tu vas garder ce plug jusqu’à ce que tu te couches. Ne t’avise pas de l’enlever avant. Je vais t’appeler régulièrement en vidéo par WhatsApp et tu devras me montrer ton petit cul pour que je vérifie qu’il est toujours en place.
Aurore se mordit les lèvres, décidément Lucie pensait à tout.
Elle n'avait pas fini de gigoter sur les genoux de sa nouvelle maîtresse avec la culotte baissée et les fesses bien rouges.
lucie a de nouvelles fesses à fesser régulièrement maintenant. il semble que bientôt elle donnera une fessée à son propre patron. Bien
RépondreSupprimerChinmay
Nôtre petite Aurore a de la chance d’avoir une amie comme Lucie !!
RépondreSupprimerLucie va bien prendre soins d’Aurore, surtout de ses petites fesses 🍑
Merci également, la suite arrive bientôt.
RépondreSupprimerSylvie