samedi 29 juillet 2023

Le manoir des dames, la fin 2

 Sylvie découvre le travail



Dès qu'elle furent dehors, Sylvie reçu un choc supplémentaire. La première chose qu'elle vit fut trois derrières nus, deux petits, bien fermes et un potelé. Tout les trois étaient couverts de zébrures rouges foncées. Les filles étaient agenouillées dans le potager et arrachaient les mauvaises herbes. Le short vert que Sylvie avait remarqué sur les autres dames qui s'occupaient du jardin était baissé à mi cuisses. Elle compris vite ce qui avait causé les zébrures sur leurs fesses, une jeune femme vêtue d'une salopette beige était assise sur un banc, elle tenait une canne longue et fine à la main. C'était Miss Mildred ! Sylvie en était sûre. Cette même Miss Mildred sur les genoux de laquelle elle allait passer un moment cuisant ce soir.

Cette pensée fit rougir Sylvie quand Adélaïde la conduisit vers elle. Elle ne parvint pas à regarder en face la contremaîtresse du jardin qui la contemplait avec un regard curieux et amical. Adélaïde, s'en apercevant, siffla.

- ici, on regarde toujours toujours  ceux à qui on parle, Sylvie. Où sont tes manières ?

Mildred éclata de rire.

- ne sois pas si stricte avec ta cousine, Adélaïde ! C'est tout nouveau pour elle, elle a le droit d'être un peu timide.

Puis elle se tourna vers Sylvie.

- bienvenue Sylvie. Ravie que tu nous aies trouvées, tu nous aideras donc dans le jardin. J'ai des instructions de Miss Mélanie.

Sylvie n'osait plus éviter son regard, surtout que la cordialité du discours l'avait un peu rassurée.

 - merci et bonjour, Miss Mildred. Oui, je suis contente d'avoir trouvé un logement. Et j'adore jardiner, quand j'avais encore ma maison, je passais beaucoup de temps dans le jardin. Je n'ai jamais eu un jardinier ou qui que ce soit, j'ai toujours tout fait moi-même !

- elle souriait maintenant et il y avait même une certaine fierté dans ses paroles !

Mildred était ravie.

- ah, c'est bien. Alors peut-être qu'à l'avenir je n'aurai plus toujours à diriger et à superviser ici, mais je pourrai aussi m'occuper d'autres choses. A l'occasion, tu pourrais me remplacer. Penses tu que tu pourras également te servir de cela?

 Mildred avait ri en faisant siffler la canne dans l'air, puis elle consulta sa montre,

- il nous reste une heure avant le repas, allez vous mettre en tenue, j'ai besoin de voir comment Sylvie travaille avant de lui confier la supervision du jardin.

Adélaïde entraîna Sylvie vers le cabanon où se trouvait le vestiaire. C'était là que tout les matins elles se changeaient, quittant leurs jupes d'uniformes et leurs chemisiers pour enfiler ce petit short vert très court et un tee-shirt.

Sylvie fut à nouveau surprise par cette tenue qui moulait si bien les fesses d'Adélaïde. Elle remarqua les traces rouges en haut des cuisses.

- mais Adélaïde, c'est quoi ces traces ?

La baronne rougit légèrement, elle avait été cannée hier matin par Mildred et effectivement elle en ressentait encore les effets.

- et bien ma chérie, tu as vu la canne que tenait miss Mildred ? Je t'assure qu'elle sait très bien s'en servir. Dépêche toi de mettre ton short si tu ne veux pas qu'on y goûte ce matin.

Sylvie commençait à s'habituer aux menaces de punition elle enfila rapidement son short et constata que ses larges fesses le remplissait également très bien, elle essaya de le tirer vers le bas pour dissimuler le pli séparant ses fesses de ses cuisses, mais c'était impossible. Adélaïde se mit à rire.

- tu as vraiment une bonne paire de fesses ma chérie, je pense que nos gouvernantes vont se régaler.

Elle poussa Sylvie devant elle et elles arrivèrent au jardin. Adélaïde avait vu juste, Mildred fronça les sourcils.

- vous en avez mis du temps ! Tenez mettez vous à genoux, les fesses bien en l'air, Adélaïde tu connais la position montre la à ta cousine.


Adélaïde fit une petite grimace mais elle obéit.

- mets toi comme moi ma chérie et dépêche toi.

Elle s'agenouilla et mit sa tête sur ses bras posé contre le sol. De cette façon ses fesses pointaient vers le ciel, le short bien tendu laissait voir la base des fesses. Sylvie l'avait regardé prendre cette honteuse position, elle jeta un oeil vers Mildred, son regard sévère l'incita à obéir, elle prit la même position que Adélaïde. Elle sentit le tissu du short et sa culotte rentrer dans sa raie fessière, elle avait l'impression que ses fesses étaient entièrement visible. Ce n'était bien sûr pas le cas mais Mildred se régalait du spectacle offert par les deux septuagénaires. Elles avaient toutes les deux des fesses bien rebondies et larges qui semblaient vouloir sortir du short. Elle souriait.

- quatre coups, pour toi Adélaïde, c'est pour ton retard, deux coups pour Sylvie, elle n'était pas au courant mais il faut qu'elle goûte à la canne pour savoir ce qui l'attend si elle est paresseuse. Je suis gentille je vous laisse le short.

Ce n'était pas vraiment un cadeau car de toute façon, elle allait viser la partie mise à nu par la position. Elle se plaça à côté d'Adélaïde et leva la canne, la baronne cria, le premier coup avait claqué sur son short sur la partie la plus charnue de ses fesses, c'était un échauffement, le deuxième atteignit les cuisses, les deux derniers cinglèrent la base des fesses dénudées. Adélaïde hurla sous la brûlure, la punition avait été très rapide, Mildred avait appliqué les quatre coups sans s'arrêter. Sylvie était affolée, ses fesses étaient serrées sous sa culotte. Mildred avait changé de côté, elle tapota les fesses tendues avec la canne.

- tu es prête ma petite Sylvie ? Adélaïde a été très courageuse, j'espère que tu vas l'être également.

Elle leva la canne et visa le haut des cuisses. Sylvie hurla et se releva en portant ses mains à se cuisses.

- Aie, non, non, ça fait trop mal !

Mildred fronça les sourcils.

- reprend la position immédiatement !

La voix sévère de la jeune femme surpris Sylvie qui reposa ses mains et mis sa tête dessus.

- gare à toi si tu recommences !

Elle visa la base des fesses, Sylvie ne put se retenir, elle se releva à nouveau. Mildred gronda.

- tu étais prévenue, tu vas être vraiment punie.

Elle se tourna vers le jardin, trois des jeunes filles avaient été fessées et exposaient leurs fesses nues bien rougies par la canne, seule restait Marion avec son short sur ses fesses, elle l’appela.

- Marion, viens ici. Tu vas tenir Sylvie, c’est la première fois qu’elle reçoit la canne, elle a du mal à ne pas bouger. Sylvie remets toi en position, vite !!

Sylvie pleurait mais elle obéit. La jeune Marion s’approcha et s’agenouilla devant elle pour lui maintenir les bras. Sylvie se mit à gémir.

- non, non, pardon Miss Mildred, plus la fessée, s’il vous plaît.

Mildred gronda,

- tais toi, Sylvie ! tu étais prévenue, tu as mérité ta punition, arrête de pleurnicher !

Sylvie continua à gémir, ce qui énerva fortement Mildred.

- si tu continues, tu seras fessée à midi avant le repas devant tout le monde et tu passeras le repas au coin fesses à l’air !

Cette menace eu le don de faire taire la pauvre Sylvie qui se mit à pleurer doucement, elle n’était pas au bout de son humiliation car Mildred s’approcha d’elle et introduisit ses doigts dans la ceinture du short puis brusquement elle le descendit avec la culotte jusqu’à mi-cuisse. Sylvie sentant l’air sur ses fesses se rendit compte qu’elle exposait en public et en plein air ses larges fesses qu’elle ne montrait jusqu’ici à personne, elle poussa un petit cri de désespoir.

- oh, non, pardon Miss Mildred, s’il vous plaît ....

La jeune femme souriait, ravie de découvrir une nouvelle paire de fesses à punir.

- je t’avais prévenue ma petite Sylvie, tu devais juste recevoir deux coups de canne pour te la faire connaître, mais comme tu as désobéi tu vas être réellement punie. Comme c’est ta première punition à la canne ce sera juste quatre coups sur ton joli derrière.

Elle se plaça de côté, les cuisses de Sylvie était ornée de deux lignes rouges parallèles, l’une juste sous les fesses et l’autre un peu plus bas, elle décida de cingler les bonnes grosses fesses bien rebondie de Sylvie. La canne siffla dans l’air et traça une belle ligne rouge au milieu des fesses, Sylvie hurla et essaya de se relever mais Marion la tenait fermement, elle n’eut pas le temps de se ressaisir que déjà le deuxième coup traçait une autre ligne sous la première. 



Comme pour Adélaïde, Mildred administra les quatre coups rapidement, Sylvie pleurait et ses pieds frappaient le sol mais elle ne put échapper à sa première fessée publique à la canne. Désormais ses fesses encore colorées par la fessée de Mélanie étaient ornée de quatre lignes très rouges sur leur partie la plus rebondie et de deux autres en haut des cuisses. Pendant la punition de sa cousine, Adélaïde était restée sagement agenouillée, les fesses serrées dans son petit short, bien tendues vers le ciel et les cuisses ornées de jolies traces rouges.

Mildred les fit relever toutes les deux, Sylvie pleurait, elle voulu porter ses mains à ses fesses mais Mildred siffla.

- il est interdit de frotter ses fesses quand on vient de recevoir la fessée !



Sylvie mit ses bras le long du corps, sa culotte et son petit short était enroulé autour de ses genoux. Mildred resta fidèle à ses habitudes, après une fessée on travaillait fesses nues. Elle fit enlever son short à Sylvie et remonta la culotte juste sous ses fesses.

- te voilà prête à me montrer ce que tu sais faire ma petite Sylvie, tu vas désherber ce carré de potager. Si c’est bien fait nous verrons demain si je te charge de surveiller tes camarades.

Sylvie malgré sa honte d’être fesses nues en public se mit à travailler, elle voulait démontrer à Mildred qu’elle savait jardiner, de temps en temps la jeune femme passait derrière elle et lui caressait le derrière avec la canne en bambou, Sylvie serrait immédiatement ses fesses par crainte d’une nouvelle correction, ce qui faisait sourire Mildred.

- je vois que l’application de la canne sur tes jolies fesses te stimule ma petite Sylvie, tu peux desserrer tes fesses, quand on travaille bien on est pas punie.  

Mildred était très sévère, elle avait pris goût à se rôle de gouvernante adjointe, chaque jour plusieurs derrière étaient mis à nu pour une fessée à la canne ou même à la main. Elle aimait donner la fessée à ces dames plus âgées qu’elle, les coucher sur ses genoux et les déculotter comme si elle étaient de simples gamines. Elle avait déjà administré la canne à trois derrières juvéniles avant l’arrivée de Sylvie, celle-ci était maintenant également fesses à l’air.

La matinée était finie, Mildred passa dans le potager pour contrôler le travail, elle félicita Sylvie pour la qualité du désherbage, par contre Virginie fut grondée comme une petite fille, Mildred l’avait prise par l’oreille et l’avait entraînée jusqu’au banc, elle s’était assise et avait basculée la dame de 35 ans en travers de ses genoux et d’un geste rapide avait baissé le short et la culotte jusqu’aux genoux.

Puis calmement elle avait levé la main et administré aux très belles fesses bien larges de Virginie une magistrale fessée, elles étaient passée rapidement du blanc laiteux au rouge flamboyant. Virginie avait des fesses faite pour recevoir la fessée traditionnelle et ce n’était sans doute pas un hasard si elle était si souvent déculottée par Mildred mais également par Mélanie qui avait un attrait pour les jolis derrières bien joufflus. 



Tout le monde avait fini de travailler et regardait donc avec attention la maman recevoir sa fessée cul nu. Marion était maintenant habituée à voir sa mère dans cette position humiliante les fesses nues bien rouges et les jambes battant l’air au rythme de la fessée.

Quand la punition fut finie tout le monde se mit en rang pour regagner le vestiaire et remettre son uniforme. C’était assez curieux de voir ces dames plus où moins jeune se tenant par la main, y compris celles qui était fesses nues et bien rouges.

Bien sur comme il se doit les punies allèrent noter leur nom sur le tableau, Mildred indiqua à Sylvie qu'elle n'avait pas à réécrire le sien, car la rémanence était administrée à celle qui avaient été punies dans la journée, peu importait la fréquence. Sylvie compris qu’elle ferait malgré tout un séjour sur les genoux de cette jeune femme ce soir. Par contre la cousine de Sylvie dut y mettre son nom, ce qui signifiait que Sylvie ne serait pas la seule  à être punie au coucher dans le dortoir des plus âgées.

Ensuite elles sont allées à la cuisine pour que Sylvie se présente à la troisième personne de l'équipe des gouvernantes. Sur le chemin en marchant le long d'un couloir, Sylvie s'est frotté les fesses plusieurs fois. Adélaïde l'a prévenue.

- ma chérie, il est strictement interdit de frotter ses fesses. Tu ferais mieux de me donner la main, sinon, je serai obligée de te dénoncer !

- oh pardon!

Sylvie tendit rapidement la main à sa cousine et rougit.

- s'il vous plaît, ne me dénonce pas, je serai encore punie ! 

Adélaïde  se mit à rire,

- et bien, je vais être gentille pour cette fois !

Sylvie rougit encore plus violemment et murmura

- merci, Adélaïde !

Les bruits impressionnants qu'elle entendit lui firent serrer encore plus fort la main d'Adélaïde. Des cris de douleur retentissaient et s'intensifièrent alors qu'elles s'approchaient de la porte de la cuisine.

-  est-ce qu'on doit vraiment y aller, Adélaïde ? Je crois que j'ai trop peur de ça !

Adélaïde riait de nouveau.

- tu entendras des choses comme ça tous les jours ici. Tu ne peux vraiment aller nulle part où tu ne l'entendras pas!

En même temps, elle ouvrit la porte, les cris sont devenus beaucoup plus forts et en plus on pouvait entendre de claquements réguliers et quelqu'un qui était grondée.

- oui, ma petite Lola ! Celle qui pense qu'elle peut poser des questions se retrouve sur mon genou. C'est comme ça avec votre chère Miss Agathe, en position et tu ne demande pas pourquoi. Je n'ai aucune obligation de justifier la fessée, tu comprends ? 

Après être entrés dans la cuisine, elles virent aussi le spectacle. Une jolie petite jeune femme donnait des coups de pied et gigotait couchée sur la cuisse d'une grande femme d’une quarantaine d’année puissamment bâtie. Elle avait posé son pied sur un petit tabouret et elle laissait retomber une grosse cuillère en bois de cuisine avec une cruelle régularité sur le petit derrière bien ferme et désormais rouge écarlate.

Les coups de pied et les tortillements n’y faisaient rien, la grande femme avait son bras gauche enroulé autour de la taille fine de la jeune femme, lui enlevant toute chance de s'échapper.

- oui, oui, oui, Miss Agathe ! Oui. Je ne demanderai plus jamais pourquoi, Miss Agathe. La prochaine fois, je le ferai tout de suite sans rien demander, Miss Agathe !

Hurlait celle qui se tortillait sur son genou.

- c'est une très bonne résolution, ma petite Lola !

La dame à la cuillère en bois, parlait assez fort pour dominer les cris, mais d'un  ton amical et cela ne signifiait pas qu'elle était distraite de sa tâche, elle n'arrêtait pas de claquer avec la cuillère en bois.



Sylvie était choquée et fascinée à la fois. Bien sûr, elle était désolée pour la jeune femme, car elle était consciente que tôt ou tard elle serait également couchée sur ce genou. Mais d'un autre côté, elle admirait la magistrale élégance avec laquelle la dame maniait la cuillère en bois. De plus, malgré la danse que la punie a exécutait, elle frappait toujours exactement là où elle avait prévu. Elle n'épargnait pas non plus le haut des cuisses.

- je suis sûr que vous le comprenez aussi, vous deux, n'est-ce pas ?

Au début, Sylvie a eu l'impression choquante que la dame lui parlait à elle et à Adélaïde. Mais, elle a rapidement pris conscience des deux autres personnes présentes dans la cuisine.

Il y en avait une dans la cinquantaine et une dans la trentaine. Et elles ont immédiatement répondu que Miss Agathe avait raison, bien sûr. Et que bien sûr elles se coucheraient toujours sur le genou de la chère Miss Agathe si celle-ci le décidait. Et qu’en aucun cas elles n'auraient le droit de savoir pourquoi Miss Agathe pensait que c'était nécessaire.

Sylvie trouva terriblement humiliant d'entendre ces deux dames en habits de cuisine parler de façon si soumises. Mais dès qu'elle a vu leurs yeux anxieux elle a immédiatement compris pourquoi elles agissaient ainsi. Un mot de travers et elles seraient les prochaines candidates pour un tour sur la cuisse de Miss Agathe, c’était sûr!

Mais évidemment la dame, que Sylvie supposait désormais être la cuisinière, voulait en savoir plus sur ses pouvoirs, en continuant de claquer avec la cuillère de bois, elle tourna la tête vers la baronne et lui demanda d'un air moqueur.

- est-ce que ça s'applique aussi à toi, Adélaïde, ma chérie ?

La bouche d'Adélaïde s'ouvrit, mais aucun mot n'en sortit. Elle regarda la cuisinière fesseuse avec de grands yeux étonnés et elle commença à bégayer,

- euh… euh… vous voulez dire, est-ce que je passerais… moi aussi... sur votre genou... si vous me le demandiez ? et sans savoir pourquoi vous pensez que c'est ... nécessaire? Je... je... je ne sais pas... je veux dire… je veux dire… !

D'une voix forte et bourrue, la cuisinière interrompit la baronne.

- et bien, ce n'est pas la réponse que je voulais entendre, mon Altesse !

Elle fronça les sourcils.

- nous allons voir, baissez votre culotte puis penchez-vous correctement vers l'avant, mains sur vos genoux et tendez bien votre joli derrière dans ma direction !

Certaine qu'Adelaïde obéirait, elle se tourna ensuite vers Sylvie.

- tu dois être la cousine d'Adélaïde !

La septuagénaire tremblait déjà.

- oui, oui, miss Agathe, je suis sa cousine. Vous avez raison en tout point, si bien sûr  vous m'ordonniez de faire une chose pareille, je sais que vous auriez de bonnes raisons pour cela et que vous n'auriez bien sûr pas à me donner d’explication, miss Agathe !

Les yeux de Sylvie étaient humides mais elle n'avait pas rougi. Elle ne réalisait même pas à quel point elle s'humiliait avec ces mots, elle ne voulait juste pas subir le même sort que sa cousine. Et ça a fonctionné.

- oh, quelle fille perspicace !

Agathe était satisfaite,  elle se retourna ensuite vers Adélaïde et vit qu'elle avait obéi sans un mot. Elle sourit de contentement et ordonna à Sylvie de bien vouloir retrousser la courte jupe de la baronne afin que ses fesses soient visibles dans toute leur splendeur.

Dès que la baronne s'était mise à bégayer, elle avait cessé de donner la fessée. Mais pendant tout ce temps, elle frottait nonchalamment les petites fesses rouges de Lola avec la cuillère en bois. Elle ajouta à l’adresse de la baronne.

- Il ne me reste plus qu'à rendre les cuisses de Lola aussi rouges que son derrière, malheureusement il va falloir que tu attendes un peu Adélaïde, quand j'en aurai fini, je pourrai m'occuper de toi !

Adélaïde sanglotait

- oui, Miss Agathe. Oui, je comprends, Miss Agathe !

Elle avait vraiment compris, à savoir qu'elle allait bientôt se retrouver couchée sur le genou de la cuisinière.

- plus que six sur tes cuisses, Lola ensuite ce sera fini, tâche de ne pas bouger, ma petite chérie !

Miss Agathe leva à nouveau la cuillère de cuisine. Lola était tellement heureuse que la fin ait été  annoncée, le pire était toujours quand on ne savait pas quand ça s'arrêterait. Néanmoins, six cris stridents résonnèrent dans la cuisine avant que ce ne soit vraiment fini. Et bien sûr, elle n'avait pas réussi à garder ses fesses et ses jambes immobiles, de toute façon Agathe ne s'y attendait pas non plus.

Sylvie avait beaucoup de peine pour sa cousine, main d'un autre côté, elle était très heureuse de ne pas être à sa place. Elle voyait comment les grosses fesses d'Adélaïde se serraient à chaque coup de la cuillère en bois. Même si elle ne savait pas si elle enfreignait une règle, elle se sentit obligée de lui tapoter les fesses pour l'encourager.  ‘ça va aller’’ voulait-elle lui signifier.

Agathe laissa la jeune fille en pleurs descendre de son genoux.  Lola voulu immédiatement aller dans le coin, comme c'était la coutume après une fessée.  Mais Agathe lui expliqua qu'elle voulait avoir un regard permanent sur ses fesses nues pour avoir un exemple de couleur et donc que Lola devait se pencher en avant pour cela, les fesses tournées vers elle.



 Puis Adélaïde a reçu l'ordre de venir sur le genou,  elle était petite et elle a eu du mal à se mettre en position et elle n'y serait toujours pas parvenue sans l'aide d'Agathe.  Puis elle s'est accrochée, couchée sur la cuisse horizontale d'Agathe, ses jambes étaient décollées du sol et de l'autre côté elle se tenait au bas de la jambe d'Agathe et au tabouret.

Elle savait que pleurnicher ou supplier ne serait d’aucun effet  sur Agathe.  La cuisinière ferait ce qu'elle avait l'intention de lui faire et elle savait aussi qu'elle donnerait un spectacle très embarrassant, avec beaucoup de cris et de battements de jambes.  C'était simplement le nouveau monde qui s'était levé après l'apparition de la nouvelle gouvernante, sous l'égide de Miss Simpson, elle était réprimandée et punie uniquement par la gouvernante et c’était  toujours dans ses appartements et jamais devant quelqu’un.

Mais maintenant, elle pouvait se retrouver sur n'importe quel genou dans le château.  N'était-ce pas  sur les genoux de cette même Lola qu’elle s'était allongée et avait gigoté lors du dernier rituel du vendredi ?  Et pour finir, la jeune femme lui avait même fait sentir l'horrible canne, tout cela était très humiliant.  Mais le pire était qu’aujourd’hui  Sylvie verrait tout.

Alors le petit discours de Miss Agathe la distrayait de ses sombres pensées, elle lui a expliqué qu'elle voulait que les larges fesses de la baronne brillent de la même rougeur que celle qui couvrait déjà les fesses de Lola. A cette annonce Christine eut le sourire aux lèvres, en tant que fille d'Adélaïde, elle avait toujours dû se coucher sur les genoux de sa mère lors des précédentes version du rituel du vendredi.  Par conséquent, elle nourrissait toujours des sentiments de vengeance envers elle, bien qu'elle sache qu'Adélaïde l'avait fait sur ordre. Surtout, elle souriait parce qu'elle savait que sa mère devrait recevoir beaucoup plus de claques pour le même rougissement car le petit derrière de Lola faisait au plus un tiers de la surface de celui de son arrière grand-mère.

Les claques ont commencé suivies bientôt de gémissements, ponctués de cris courts et stridents.  Bien sûr, Adélaïde ne pouvait pas rester immobile, et ses battements de pieds et de jambes étaient désordonnés, les larges fesses un peu molles tremblaient à chaque coup de la cuillère. De temps en temps, Miss Agathe s'arrêtait et demandait à Sylvie si les deux paires de fesses étaient de la même couleur maintenant.  À son grand regret, Sylvie devait le nier à chaque fois et  c’est ainsi que la fessée continuait.

Mais quand Sylvie réexpliqua à l'arrêt suivant, histoire de ne pas s’attirer d’ennui que le rougissement ne suffisait toujours pas, Miss Agathe la contredit.

- non, ma chérie, je pense que ses fesses sont assez rouges maintenant et je vais te dire autre chose, je vais m'abstenir de lui rougir les cuisses maintenant. Parce qu'il est temps que nous nous occupions à nouveau du repas.

Elle suggéra également à Sylvie d'emmener Adélaïde dans ses appartements afin qu'elle puisse se calmer et se détendre un peu. Puis elle permis à Lola de se relever, de se reculotter  et d’arranger ses vêtements et a dit à tout le monde de travailler rapidement pour rattraper le temps perdu.

Sylvie passa son bras autour des épaules d'Adélaïde et l'emmena hors de la cuisine au plus vite, elle était trop inquiète de devoir elle aussi se retrouver couchée sur le genou de la cuisinière.

Ce n'est que devant la porte qu'elle remonta la culotte de la baronne, qui sanglotait toujours bruyamment et lissa ensuite sa courte jupe; puis elle la conduisit dans ses appartements, cherchant des  mots de consolation en chemin.

Arrivée dans les chambres, Adélaïde se jeta aussitôt sur le lit et commença à frotter et pétrir ses fesses endolories., elle pleurait.



- je ne sais pas comment je vais supporter la rémanence ce soir, Sylvie.

Sylvie était soudain très calme et concentrée.

- as-tu une pommade analgésique ici, ma chère cousine?

Lui demanda-t-elle, presque en chuchotant

- euh... oui... comment sais-tu ça ?

La question affolait la baronne. Bien sûr, elle avait une telle pommade. Mais cachée bien sûr, car bien qu'il n'y ait pas de règle contre cela, elle savait qu'elle serait sévèrement punie si la gouvernante ou ses assistantes l'apprenaient.

- ne t'inquiète pas, ma chérie ! Je l'ai deviné. Où l'as-tu caché ? J'aimerais la passer sur tes pauvres fesses si ça ne te dérange pas. Et bien sûr ce sera notre secret !

Sylvie était un peu fière de pouvoir agir ainsi et de montrer à sa cousine son savoir faire

Bien sûr, la dame allongée sur le canapé s'en fichait. Elle a même laissé Sylvie baisser sa culotte jusqu'à ses genoux., puis elle a gémi légèrement pendant ce massage intime. Mais Sylvie l'a crémée très soigneusement, puis l'effet rafraîchissant et antidouleur de la pommade a commencé.

- dors un peu maintenant, ma douce. Je vais me reposer un peu aussi ,

Lui a dit Sylvie en refermant le tube de pommade, puis elle est allée aux toilettes pour se laver les mains.

Quand elle revint, la baronne s'était vraiment endormie, mais elle était toujours sur le ventre. Sylvie s'assit dans un fauteuil. Elle admira la rougeur qui illuminait ses fesses. "c’est quand même très mignon" pensa-t-elle en souriant."

Puis elle pensa à la rémanence à venir, au moins, elle ne serait pas seule. Peut-être qu'il y en aurait une autre sur la liste dans son dortoir d'ici la soirée, ou même les deux filles d'Adélaïde. Oui, ce serait mieux si tous les quatre étaient concernées. Elle savait que c'était un désir très égoïste, mais elle ne pouvait pas s’en empêcher.

Puis elle réfléchi au fait de savoir si entrer dans le château avait été une bonne idée. Même si il était également clair pour elle qu'il était maintenant trop tard pour une telle réflexion.  Elle faisait désormais partie de la famille et donc à la merci de la gouvernante et de ses aides comme tout le monde ici.

Ses yeux se fermèrent aussi. La brûlure sur ses fesses se transforma en une chaleur plutôt agréable qui la berça.

 

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