La suite du forfait grosse bêtise d'Elodie.
Elodie avait passé une matinée assez désagréable, ses fesses douloureuses, le plug qui lui rappelait sa présence à chaque mouvement et surtout la perspective du retour à l'institut lors de la pause de midi avec une nouvelle fessée déculottée et certainement quelques humiliations dont Aurèlie avait le secret. Quand arriva l'heure elle s'éclipsa discrètement, elle n'avait pas envie qu'une collègue lui propose de partager sa pause, que lui aurait elle répondu. Elle arriva à l'institut avec une boule au ventre, il n'y avait qu'une seule cliente à attendre, elle fut un peu rassurée, sa fessée ne serait vue que par une personne. Mais Aurèlie entra dans la pièce en tenant un monsieur par l'oreille, des larmes coulaient sur ses joues, signe d'une bonne fessée, la couleur de ses fesses qu'elle aperçu au passage confirma sa première impression. Aurèlie lui fit mettre les mains sur la tête mais ne le conduisit pas au coin comme c'était l'habitude.
- vous irez au coin tout à l'heure, pour le moment, vous allez assister à la punition de ces deux péronnelles, une fessée déculottée en public, rien de mieux pour éduquer les dames.
Les deux dames en question se regardèrent affolée, recevoir une fessée déculottée à l'âge adulte c'était déjà dur, en public c'était encore plus humiliant mais que ce public soit masculin ça devenait insurmontable. Pourtant c'est ce qui allait arriver et pour son malheur c'est Elodie qui fut désignée pour recevoir en premier la fessée. Aurèlie s'était installée confortablement sur une chaise en plein milieu de la pièce et avec son sourire malicieux et un tantinet pervers elle appela Elodie.
- à nous deux mademoiselle, c'est l'heure de payer votre grosse bêtise.
Pétrifiée sur place, Elodie ne bougea pas, ce qui eut le don d'agacer Aurèlie.
- mademoiselle n'a pas l'air de se rendre compte qu'elle va recevoir deux fessées au lieu d'une si je me répète !
Elodie fit un pas mais s'arrêta aussitôt.
- bien, vous recevrez donc une deuxième fessée avant de repartir au travail. Je pense que vous ne voulez pas que je prolonge également d'un jour votre forfait, 4 jours avec le plug ça risque d'être long.
Elodie vaincue s'approcha enfin des genoux d'Aurèlie. Celle-ci la bascula immédiatement en position disciplinaire.
- ce n'était pas bien difficile, c'est dommage, vous auriez pu vous éviter une fessée supplémentaire.
Elle retroussa largement la jupe sur les reins, la culotte à fessée apparu moulant parfaitement le derrière bien rebondi de la jeune femme, d'un geste sec elle dégrafa les pressions de la ceinture puis sa main s'insinua entre les cuisses pour atteindre la dernière, Elodie les serra dans un réflexe, Aurèlie passablement agacée par les manières de sa punie, lui claqua immédiatement une dizaine de fois la croupe.
- mademoiselle, je commence à en avoir assez de vos désobéissance successives je pense que vous allez le regretter ! Écartez moi vos cuisses et vite !
Elodie avait crié sous la brûlure des claques, elle desserra ses cuisses, Aurèlie y passa la main et ayant dégrafé la dernière pression retira le fond de la culotte rose. Elle prit une brosse à cheveux et calmement se mit à administrer une volée de coups sur les fesses exposées. La violence de la punition fit hurler la pauvre Elodie, effectivement elle regrettait amèrement ses petits gestes de rébellion, maintenant elle n'était plus qu'une pauvre petite fille recevant une fessée mémorable, en quelques instants les fesses étaient redevenues écarlates, Aurèlie ne cessait de faire aller et venir sa brosse alternant la fesse gauche puis la droite et ainsi de suite, Elodie ruait sur les genoux mais Aurèlie avait une grande habitude des fessées administrées à des adultes et elle la tenait fermement par la taille. La correction dura un temps qui parut une éternité à Elodie, elle pleurait maintenant à chaudes larmes, Aurèlie voulait marquer le coup, elle administrait rarement des fessées aussi sévère, les deux fesses serrées sous la cuisson ne formait plus qu'une boule rouge, jugeant enfin que la leçon serait profitable elle cessa la fessée.
- j'espère que vous avez compris, à la prochaine incartade, je rajoute une journée à votre forfait. Maintenant debout et main sur la tête, vous allez assister à la fessée de madame De Nouvel et ensuite au coin.
La prochaine punie avait sursauté en entendant son nom, certes elle était une habituée des lieux et ses fesses étaient connues car très souvent exposées écarlates au coin de la pièce mais à chaque annonce d'une fessée elle redevenait une gamine prise en faute. Elle allait à nouveau recevoir une fessée publique, que les deux personnes qui allaient assister à son châtiment aient les fesses rouges n'était qu'une maigre consolation. Instruite par la magistrale fessée que venait de recevoir Elodie, elle ne fit aucune difficulté pour se coucher en travers des cuisses de la jeune assistante. Elle était retombée en enfance son élégante jupe n'était plus une protection puisqu'elle était retroussée sa culotte en dentelle glissait maintenant sur ses fesses. Quelques traces plus sombres barrait le fessier contracté signe d'une correction à la canne. Aurèlie passa la main sur les fesses qui frissonnèrent.
- la punition de madame Rose vous a laissé quelques traces, qu'en a pensé votre mère, je suppose qu'elle a inspecté vos fesses en arrivant.
Madame De Nouvel était au comble de l'humiliation, se retrouver déculottée sur les genoux d'une jeune femme était déjà difficile mais que tout le monde sache qu'à 60 ans elle devait montrer le résultat de ses punitions à sa mère comme une mauvaise élève rentrant du collège.
Aurèlie imaginait le spectacle de cette bourgeoise hautaine obligée de trousser sa jupe et de baisser sa culotte devant sa mère âgée de 85 ans assise dans un fauteuil et explorant d'un regard sévère la croupe de sa fille très rouge et barrée des traits plus sombre de la canne. Mais pour le moment elle avait devant elle le fessier blanc de sa punie, les quelques marques résiduelles n'étaient pas un obstacle à l'application d'une bonne correction. Au lendemain d'une fessée avec un instrument dur laissant quelques traces, il fallait utiliser quelque chose de plus souple, la main pouvait faire l'affaire mais Aurèlie savait que la baronne avait besoin de fessée sévère, elle opta donc pour la petite raquette en cuir appelée "mademoiselle Tapecul" c'était un redoutable instrument qui brûlait instantanément et durablement les fessiers mis à sa disposition mais ne laissait aucune trace disgracieuses. La fessée fut plus courte que celle d'Elodie mais les fesses de madame De Nouvel avaient très bonne mine quand Aurèlie la remis sur ses pieds. Maintenant c'était trois puni avec des fesses également rougies qui étaient devant elle.
- maintenant au coin, le nez au mur et les mains sur la tête !
L'ordre avait claqué, ils étaient tous des habitués des lieux et ils trouvèrent rapidement leur place, les jupes des deux dames furent épinglées dans le dos, le monsieur n'avait plus de pantalon, les trois fessiers écarlates éclairaient la pièce. Satisfaite Aurèlie regagna son bureau d'où elle pouvait surveiller les trois punis. Le silence régnait dans la pièce, Elodie moins habituée et ayant reçu la plus sévère des fessées, sanglotait doucement, la brûlure qui envahissait ses fesses étaient intolérable mais elle ne pouvait pas l'atténuer en les frottant, elle se contentait donc de les contacter convulsivement, elle en aurait presque oublié le plug qui lui garnissait encore le derrière, après 3/4h d'exposition les fessiers avaient perdu un peu de leur couleur, Aurèlie les fit quitter leur coin et permis à Hugues et à Élisabeth De Nouvel de se reculotter, ce qu'ils firent avec empressement. Elodie était maintenant la seule à avoir les fesses dénudées, elle avait gardé ses mains sur la tête, elle était un peu inquiète de la suite des événements. Elle fut rapidement mise au courant de ce qui l'attendait.
- mademoiselle je vous avais promis une deuxième fessée en cas de désobéissance et bien il est l'heure de la recevoir, vous avez de la chance vous aurez deux spectateurs pour assister à la danse de vos fesses. Venez ici et vite, vous savez ce qu'il en coûte d'hésiter.
Elodie était effondrée, l'humiliation la submergeait depuis ce matin mais la on atteignait le summum. Elle allait recevoir à nouveau une fessée déculottée à 25 ans, punie comme une gamine mais en plus devant deux personnes qui n'étaient plus des punis mais seulement des spectateurs. Cependant la crainte d'une punition encore plus sévère eut raison de sa pudeur et elle s'approcha de sa jeune maîtresse. Celle ci voulait vaincre définitivement la fierté d'Elodie aussi décida t elle d'utiliser la position à l’écolière qui faisait retomber les adultes en enfance. Son pied posé sur un tabouret elle bascula la jeune femme sur sa cuisse horizontale et la souleva de terre, cette position très inconfortable où les pieds pendaient dans le vide obligeait la punie à se cramponner au tabouret et laissait ses fesses à la disposition de la fesseuse. Aurèlie avait pris mademoiselle claque fesse et elle commença la correction, Elodie croyait avoir reçu sa plus sévère fessée tout à l'heure mais c'était une erreur celle-ci lui fut supérieure. La pauvre Elodie regrettait amèrement ses ébats avec Sophie, elle suppliait Aurèlie d'arrêter la punition mais c'était peine perdue, la jeune assistante n'était pas mécontente de punir cette petite mijaurée. Les deux spectateurs étaient ravis du spectacle, ils avaient l'habitude tout les deux d'être dans la position d'Elodie et c'était une nouveauté pour eux de voir des fesses rougir et gigoter sous les claques de la raquette percée. La fessée était arrivée à son terme, Elodie pleurait toujours en équilibre sur la cuisse d'Aurèlie. Elle la remit sur pied.
- j'espère que cela va vous servir de leçon, vous allez avoir du mal à vous asseoir cet après-midi mademoiselle, voulez-vous que je vous fasse un mot pour votre responsable.
Elle avait dit ça en souriant, Elodie ne répondit pas. Mais elle devinait la scène, en arrivant à son bureau, les yeux rougis tendant un papier à Laure sa responsable "vous voudrez bien excuser Elodie pour son retard et lui permettre de travailler debout, en effet elle a reçu deux fessées très sévères qui l'empêche de rester assise", elle s'imagina Laure souriante lui demander de trousser sa jupe et de se déculotter pour vérifier l'état de ses fesses. Heureusement ce n'était qu'un mauvais rêve, mais elle eut vraiment du mal à rester assise pendant le début de l'après-midi.
Le soir c'était madame Rose qui l'accueilli, il n'y avait personne au secrétariat, mais le bureau de la responsable était ouvert et on entendait distinctement résonner les claquements d'une main sur la peau nue et les supplications d'une dame entrecoupés de ses cris de douleur. Madame Rose administrait une fessée à Sophie, elle avait vu arriver Elodie, elle arrêta un moment la punition de son assistante pour s'adresser à Elodie.
- j'en ai pour un instant et je suis à vous, baissez votre culotte et mettez vous au coin en tenant votre jupe levée.
Elle avait prononcé cette phrase d'un ton égal, comme si il était naturel pour une dame d'aller exposer son derrière déculotté au coin dès son arrivée. La fessée de Sophie avait repris, madame Rose utilisait maintenant la brosse à cheveux.
- vous pouvez pleurer mademoiselle, mais c'est le tarif prévu pour votre conduite inqualifiable, d'ailleurs votre acolyte est là et rassurez vous elle va être bientôt à votre place. Ainsi Sophie payait elle aussi leurs ébats amoureux et fessophile. Quand madame Rose la relâcha ses yeux étaient embués de larmes et sa croupe écarlate resplendissait dans le bureau. Madame Rose lui coinça la jupe dans la ceinture, sa culotte était descendue jusqu'à ses genoux.
- mains sur la tête, vilaine fille, vous allez maintenant assister à la dernière fessée de la journée de votre complice de débauche.
Elodie avait écouté la fin de la fessée de son amante et l'annonce de sa propre fessée, elle se doutait bien que celle ci allait être sévère. Elle ne fut pas déçue, madame Rose lui administra d'abord une bonne fessée déculottée classique allongée en travers de ses genoux puis après l'avoir fait agenouillé sur un fauteuil fesses bien tendues elle prit le martinet et lui appliqua une cinquantaine de coups qui la firent hurler de douleur. Son fessier était très sensible de toute les fessées reçues et ces deux fessées avaient parachevé le tableau.
- voilà une bonne journée pour vos fesses mademoiselle, venez ici que je vous enlève ce plug.
Elle coucha à nouveau Elodie sur ses cuisses et lui écarta les fesses, la jeune femme instruite par les multiples punitions reçues se laissa faire, elle sentit les doigts de la sévère maîtresse ouvrir sa raie fessière, frôler son intimité et le plug sortit lentement. C'était un soulagement qui lui faisait un peu oublier la cuisson de ses fesses. Madame Rose maintenant lui caressait les fesses et insinuait ses doigts entre pour les écarter, elle parachevait la soumission de la jeune femme. Mais il s'agissait de punir et pas de donner du plaisir aussi deux vigoureuses claques firent revenir Elodie à la réalité.
- debout mademoiselle, mettez-vous à côté de votre complice et tournez-vous toutes les deux que je voies bien vos fesses. Parfait on va faire une photo de ces deux magnifiques paires de fesses. Vous regardez bien dans la glace en face de vous qu'on reconnaisse bien vos minois sur la photo. Ce serait dommage qu'on ne sache pas à qui appartiennent ces superbes fessiers.
Effectivement la photo était très parlante, les visages des deux jeunes femmes exposant leurs fesses déculottées bien rouges étaient parfaitement visibles sur la photo, les yeux rougis attestaient de la sévérité de la correction.
Madame Rose fit reculotter Sophie, elle alla décrocher la culotte d'Elodie qui était suspendue depuis le matin au secrétariat et elle la lui tendit.
- tenez mademoiselle, vous pouvez enlever votre culotte à fessée et remettre la vôtre. Comme c'est prévu vous allez maintenant chez Isabelle, elle vous attend pour vous prendre en charge pendant les trois soirées de votre forfait grosse bêtise. Je serai sûr comme cela que vous n'irez pas retrouver Sophie pour vous livrer à la débauche et quelque chose me dit qu'après ces trois jours passés chez nous, votre libido sera un peu calmée.
Elodie avait écouté cette tirade sans mot dire, elle fit une petite grimace quand madame Rose lui remit son carnet de punition où était noté le déroulement de la journée. Si Isabelle utilisait les mêmes méthodes que celles qu'elle avait instaurée avec Monique, ses fesses n'avaient pas fini de rougir. La directrice de l'institut sourit à la mimique de la jeune femme.
- oui mademoiselle, vous avez raison de vous inquiétez, une fessée à l'école égale une fessée à la maison…. Ne traînez pas en route, Isabelle est prévenue de votre arrivée et je ne penses pas qu'elle tolérerait du retard.
Quelques instants plus tard, Elodie sonnait à la porte de la maison d'Isabelle avec son sac contenant ses affaires à la main.
Isabelle l'accueilli chaleureusement et lui fit une bise.
- ah voilà donc notre jeune dévergondée, votre journée c'est bien passée. J'espère que vous n'avez pas oublié votre carnet de punition. Elodie rougit et le tendit à Isabelle, l'accueil chaleureux de cette dame contrastait avec ses paroles, en effet elle l'avait traitée de dévergondée et lui avait demandé immédiatement son carnet de punition ce qui n'augurait rien de bon. La suite inquiéta encore un peu plus Elodie, en effet Isabelle tenant le carnet à la main l’entraîna sur la terrasse et au passage demanda à sa bonne de préparer le thé. Deux choses perturbait Elodie, elle se doutait bien que la lecture du carnet allait la conduire immanquablement sur les genoux d'Isabelle mais le fait d'être en plein air et la présence de la bonne rendait la situation très gênante. Hortense, la bonne arrivait avec le plateau juste au moment où Isabelle commençait à froncer les sourcils à la lecture du carnet.
- et bien c'est du joli, 2 fessées le matin dont une pour difficulté à vous faire le lavement, deux à midi dont une pour désobéissance, ça vous a servi de leçon, ce soir madame Rose ne vous a administré que la fessée prévue… Si je compte bien ça nous fait cinq fessées, nous n'avons pas de temps à perdre.
Hortense servait le thé, elle souriait, habituée aux penchants de sa maîtresse elle savait que la petite jeune femme assise devant elle n'allait pas tarder à se transformer en gamine déculottée pleurant sur les genoux de sa patronne.
- finissez votre thé, mademoiselle, ensuite je vais m'occuper de vos petites fesses.
Elodie rougit à nouveau en croisant le regard de la bonne, maintenant il y avait une personne de plus qui savait qu'elle recevait la fessée comme une gamine désobéissante. Elle bu son thé un peu difficilement, Isabelle l'a détaillait en souriant, en fesseuse avertie elle avait regardé la croupe d'Elodie dès son arrivée et surtout quand elle l'avait fait passer devant elle pour aller sur la terrasse. Les fesses de cette jeune femme lui paraissait être fessable, c'était son expression favorite quand elle parlait d'un derrière féminin. Elodie posa sa tasse et regarda Isabelle, celle-ci recula sa chaise et désigna ses genoux.
- en piste mademoiselle.
Elodie retrouva une position qui commençait à lui devenir familière, la tête près du sol, les pieds décollé de l'autre côté et les fesses à portée de la main d'Isabelle au sommet de cette courbe. La fesseuse avait prévenu, il n'y avait pas de temps à perdre, donc elle retroussa rapidement la jupe et baissa la culotte d'Elodie jusqu'à ses genoux. Les fesses de celle ci portaient encore les stigmates de la fessée précédente, une rougeur assez marquée persistait, Isabelle n'en fit pas cas et elle administra à la jeune femme une magistrale fessée. Elodie avait ressenti immédiatement une intense brûlure et ses pleurs étaient à la hauteur de la douleur. Hortense était restée pour regarder sa patronne opérer, elle recevait si souvent ce châtiment enfantin, qu'Isabelle en compensation lui permettait souvent d'assister aux fessées qu'elle administrait. Elodie fut bien sûr conduite au coin ou du moins à ce qui en faisait office, un pilier de la terrasse, Elodie exposait ainsi ses fesses face à la pelouse et au jardin de Sylvie. Elle se rendit compte que de nombreuses personnes pouvaient l'apercevoir dans cette fâcheuse posture. Isabelle ne la laissa pas trop longtemps au coin et elle la fit se rhabiller. Elle lui expliqua rapidement la suite de sa soirée, il lui restait 4 fessées à recevoir, elle lui en donnerait donc une avant le repas et une après et une autre encore avant de se coucher. Elle lui gardait la cinquième pour le lendemain matin afin de préserver l'état de son fessier. Elodie frissonna en entendant ce programme qui promettait d'être cuisant. Il se déroula à la lettre, Elodie mangea avec la culotte baissée aux genoux, les fesses nues et brûlantes directement posées sur la paille de la chaise. Ces dandinements pour atténuer la cuisson firent sourire Hortense qui servait le repas.
Isabelle s'installa dans le canapé et après avoir à nouveau fessé la jeune femme, lui écarta les fesses.
- c'est bien ce que je pensais, le plug toute la journée ça irrite, Hortense amenez moi la crème et le suppo. Elodie frémit en entendant ces derniers mots. L'horreur quand elle était gamine c'était quand sa mère lui mettait un suppositoire et il était question qu'à 25 ans Isabelle se charge de lui administrer ce médicament. Elle serra les fesses, ce qui lui valu une dizaine de claques sur chaque fesses.
Hortense revenait avec le tube de crème et la boîte de suppo.
- il va falloir vous laisser faire ma petite sinon vos fesses vont en payer le prix.
Vaincue, les fesses brûlantes, Elodie laissa Isabelle tapisser sa raie fessière et son anus d'une crème apaisante, puis tenant bien écartées les deux hémisphères elle posa le suppositoire sur l'anus et le fit pénétrer lentement.
Ce viol fut une humiliation terrible pour Elodie, c'était bien moins gros que le plug mais l'administration d'un suppositoire dans cette position la ramenait vraiment au rang de gamine. Elle pleurait doucement, Isabelle resserra les fesses.
- voilà c'est fini, ce n'était pas si terrible, mais il vous faut bien serrer les fesses, je ne veux pas le voir ressortir.
Au comble de la honte Elodie s'aperçut que la bonne était restée et avait assistée de bout en bout à l'introduction du suppositoire. Isabelle ne l'envoya pas au coin jugeant la punition suffisante. Quand vint l'heure du coucher, Elodie les fesses encore sensibles de toutes les fessées reçues se prépara à recevoir la dernière mais elle n'était pas au bout de ses surprises. Elle s'était mise en pyjama mais elle avait gardé sa culotte, Isabelle assise au bout du lit la mit dans la position classique la déculotta et lui administra une fessée rapide mais vigoureuse. Puis elle lui demanda si elle avait bien fait pipi. Devant la mine surprise de la jeune femme elle ajouta
- il le faut car cette nuit ça sera impossible.
Le regard interrogateur d'Elodie la fit sourire.
- vous êtes une dévergondée mademoiselle, je ne voudrais pas que cette nuit vos doigts s'égarent aussi je vais utiliser une méthode ancienne, je vais vous mettre de l'éosine sur les doigts, si vous touchez votre culotte pour vous caresser, elle sera marquée de rouge et je le saurai, votre punition sera exemplaire. Donc pas de pipi la nuit non plus.
Elodie était abasourdie, elle se leva et se rendit aux toilettes. Quand elle revint, Isabelle fit comme elle l'avait annoncé et ensuite elle baissa à nouveau la culotte de la jeune femme pour y placer une protection intime.
- si par hasard, vous ne pouviez pas vous retenir, je ne voudrais pas que vous mouillez vos draps.
Elodie semblait revenir en enfance.
La nuit se passa bien et le matin très tôt, Isabelle la réveilla. Puis elle l'attendit à la cuisine, Hortense préparait le petit déjeuner. Elle la fit venir devant elle et d'un geste vif elle baissa le pyjama et la culotte, elle passa son doigt sur la protection, elle était humide, elle la fit tourner et passa sa main sur ses fesses et entre ses cuisses, elle ressorti ses doigts légèrement mouillé.
- mademoiselle à fait pipi dans sa culotte ! Et bien vous allez voir ce qui arrive aux petites sales.
Elle saisit l'oreille d'Elodie et lui laissant la culotte descendue elle l'entraina dans la salle de bain, elle lui fit retirer complètement son bas de pyjama et sa culotte et enjamber la baignoire puis prenant la pomme de douche après avoir réglé l'eau sur froid, elle dirigea le jet d'eau sur le pubis de la jeune femme, elle cria de surprise.
- tournez-vous et présentez moi vos fesses, vite.
Elodie s'exécuta tout en sautillant dans la baignoire.
- chez moi, les gamines qui font pipi à la culotte, je leur lave les fesses à l'eau froide, il n'y a que ça de vrai.
Puis elle fit sortir Elodie de la baignoire s'assit sur un tabouret, plaça une serviette sur ses genoux et bascula la jeune femme dessus.
- et une bonne fessée pour les sécher ça complète la leçon.
Elodie hurla sous la brûlure, c'était sa première fessée mouillée, et ça cuisait beaucoup plus.
Quand elle fut remise sur pied la chaleur dégagée par la fessée avait complètement séché la peau. Elle jeta un œil dans la glace elles étaient écarlates. Isabelle la ramena à la cuisine, toujours nue de la taille au pied, elle la fit asseoir ainsi pour déjeuner sous l'œil intéressé d'Hortense.
Il lui restait encore une fessée avant de partir pour l'institut retrouver Aurèlie.
La journée s'annonçait longue et cuisante.
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