Camille avait enfin fini ses études et elle avait trouvé le poste qu’elle espérait, elle se régalait dans son travail. La seule petite ombre au tableau c’était qu’elle n’avait pas encore acquis son indépendance, elle habitait toujours chez sa maman et si cela avait quelques avantages ce n’était pas non plus sans inconvénient, notamment celui de devoir lui rendre des comptes et de ne pas se conduire comme une jeune femme impolie ou dévergondée. Camille adorait sa maman et elle se pliait sans trop de soucis à ces petites contraintes, elle n’avait pas vraiment le choix d’ailleurs car Julie la mère de Camille était adepte de méthodes éducatives pour le moins radicales et qui semblait un peu datée. Pour dire plus simplement les choses depuis sa plus tendre enfance, Camille en cas de désobéissance ou de comportement inadapté aux yeux de sa mère recevait invariablement le même châtiment, à savoir une fessée déculottée. Et cet état de fait n’avait pas changé malgré son âge, en passant de l’enfance à l’adolescence, Camille n’avait pas vu son statut se modifier. A la moindre incartade, la sanction était la même, elle finissait en pleurs en travers des genoux de sa mère la culotte baissée et les fesses écarlates. On aurait pu penser qu’en passant de l’adolescence au statut de jeune femme, Camille allait échapper à ce traitement humiliant et bien ce n’avait pas été l’avis de Julie et même après son bac et pendant ses études supérieures, notre jeune héroïne avait du continuer à présenter son derrière dénudé à la main de sa sévère maman. Bien sûr les fessées déculottées étaient moins fréquentes que quand elle était une gamine effrontée ou une adolescente rebelle mais les raisons de lui baisser la culotte de temps en temps ne manquaient pas et Julie ne laissait rien passer.
Dès l’obtention de son diplôme elle avait été embauchée, mais le soir même alors qu’elle répondait un peu sèchement à sa mère, celle ci avait tenu à mettre les points sur les i.
- écoute moi bien ma chérie, ce n’est pas parce que tu travailles et que tu gagnes ta vie que tu peux te permettre de mal me parler, je suis toujours ta mère et tant que tu habiteras chez moi tu ne me manqueras pas de respect. Si jamais tu ne t’en rappelle pas je te signale que malgré tes 21 ans je peux encore te flanquer une bonne fessée déculottée si tu la mérites!
Camille avait rougi à l’allusion à ce châtiment enfantin mais connaissant sa mère et se souvenant encore nettement de la cuisson de son derrière lors de sa dernière fessée, elle s’était bien gardée de répondre.
Ormis une bonne fessée déculottée reçue pour un problème de compte en banque mal surveillé en septembre, les fesses de Camille étaient restées à l’abri de la main maternelle. Plus de 6 mois sans se faire baisser la culotte, ce n’était jamais arrivé à notre jeune femme. Les choses allaient ainsi mais on connaît la nature humaine dès qu'il n'y a plus de limite, la tendance est au relâchement et depuis quelques temps, Julie sentait que Camille prenait de plus en plus de liberté avec les règles qu'elle lui avait fixée, elle s’était permis plusieurs fois de lui répondre un peu sèchement ou même de ne pas lui parler quand elle était de mauvaise humeur. Elle lui avait fait quelques remarques qui était restée lettre morte. La main de Julie commençait à lui démanger, elle avait compté rapidement le nombre de mois depuis la dernière fessée de Camille. A oui, c'était donc ça, cette petite demoiselle avait oublié que maman baissait la culotte.
Cette fin d'après-midi devait marquer la fin de la trêve hivernale pour la fessée. Camille consultait ses messages sur son téléphone quand Julie rentra du travail, comme à son habitude, elle demanda à sa fille si sa journée c'était bien passée. Devant l'absence de réponse de Camille, légèrement excédée elle l'interpella un peu plus sèchement.
- tu pourrais lâcher ton téléphone et me répondre !
Camille en pleine discussion sur Twitter ne se rendit pas compte qu'elle s'adressait à sa mère.
- oh, ça va arrête un peu de me gonfler.
- pardon !!
Devant le cri de sa mère, Camille leva les yeux et compris qu'elle avait été trop loin.
- c'est comme ça que tu me parles? Attends je vais t'apprendre.
- non, non, pardon maman, ce n'est pas ce que je voulais dire.
- ah ce n'est pas ce que tu voulais dire. À oui. Je vais t'apprendre. Depuis un moment tu es insolente et agressive mais là tu as dépassé les bornes.
Julie avait pris la main de sa fille pour la faire se lever. Camille savait déjà ce qui l'attendait, à peine debout sa mère la coinça sous son bras et lui retroussa la jupe puis se mit à claquer le derrière tendu de sa fille, il était encore bien protégé par un collant et une culotte. Camille trépignait sur place, pas encore de douleur mais de rage et de honte d'être traitée comme une gamine. Cette petite fessée préparatoire n'était bien sûr pas suffisante aux yeux de Julie. Au bout de quelques instants elle fit redresser sa fille et la tenant par la main tout en s'asseyant sur le canapé, elle la fit basculer en travers de ses genoux, position traditionnelle bien connue et redoutée de Camille. Avec horreur en quelques minutes elle était retombée en enfance. Oubliée la jeune femme impertinente et sûre d'elle qui discutait avec sa responsable quelques heures auparavant, elle n'était plus maintenant qu'une sale gamine mal élevée couchée sur les genoux de sa mère s'apprêtant à recevoir une bonne fessée déculottée, car elle savait par expérience que sa maman ne se contenterait pas d'une simple fessée sur la culotte, elle était bonne pour la fessée cul nu. Elle sentit que sa jupe était à nouveau retroussée puis les doigts de sa mère dans la ceinture de sa culotte et d'un seul coup, tout à sa colère Julie descendit d'un coup sec le collant et la culotte jusqu'à mi cuisses. Le derrière rebondi de sa fille était déjà rosé et crispé dans l'attente de la première claque. Elle passa la main sur la peau et annonça.
- ma petite chérie, je t'avais pourtant prévenue, mais apparemment ça n'a pas suffit, j'en ai plus qu'assez de ton impolitesse et de ton caractère.
Elle leva la main et commença à administrer une série de claques magistrales sur le fessier si bien présenté de sa fille. Que celle-ci ait 21 ans n'avait aucune importance à ses yeux, comme une maman sévère elle devait faire régner l'ordre et quoi de mieux que la bonne vieille fessée déculottée, c'était un traitement qui avait fait ses preuves. Camille maintenant ne gémissait plus, elle s'était juré de ne pas pleurer mais la cuisson était trop forte, la main de Julie claquait alternativement les deux fesses, elle semblait rebondir pour mieux reprendre son élan, Camille battait des jambes, ouvrait largement ses fesses sans souci de pudeur, puis les serraient pour essayer d'atténuer la cuisson. La fessée semblait ne pas vouloir s'arrêter, maintenant les deux fesses ressemblaient à deux tomates bien mûres. Julie voulait que Camille s'en souviennent aussi elle décida de finir la correction par une série de claques sur le haut des cuisses, ce qui fit hurler la pauvre Camille. Jugeant la punition suffisante elle la relâcha et se leva. Camille était à genoux au pied du canapé, elle pleurnichait comme une gamine punie, elle frottait ses fesses brûlantes, sa jupe était retombée cachant la rougeur de son derrière. Sa mère debout la regardait d'un air sévère, elle était satisfaite du résultat.
- bien j'espère que tu as compris, je te garantis que si tu recommence je suis disposée à te remettre sur mes genoux et à m'occuper de tes fesses. Je vais faire des courses tâche de bien réfléchir à ton attitude.
Elle sorti en laissant Camille les yeux rougis frottant encore ses fesses.
Une fois seule, celle-ci se leva et se dirigea vers sa chambre, elle n'avait pas pris la peine de remonter sa culotte, elle retroussa sa jupe et regarda son fessier dans la glace.
La fessée avait été magistrale, ses fesses étaient écarlates du bas des reins jusqu'au haut des cuisses. Elle s'allongea sur son lit toujours fesses à l'air et pris son téléphone, il lui fallait partager sa punition avec une amie.
La témoignage de Camille.
Je n'aurais jamais pensé que ma mère oserait. Mais enfin j'ai 21 ans, je travaille, et voilà je viens de recevoir une vraie fessée déculottée comme quand j'avais 10 ans.
Bon c'est vrai que maman m'avait prévenue, ce n'est pas parce que je travaille et que je suis adulte que je dois oublier la politesse et tous ses principes.... Mais on est au 21e siècle quand même, la fessée est interdite... mais c'est pour les enfants m'a dit maman, moi je suis adulte donc aucun problème elle peut me coucher sur ses genoux et me baisser la culotte. J'en avais parlé à Sylvie ma copine de Twitter, elle m'avait dit, qu'il fallait que je fasse attention car vu ce que je lui racontais, elle n'hésiterait pas elle à m'en administrer une, elle trouvait que je la cherchais.
Quand j'ai dit à maman d'aller se faire voir, oui bon c'est vrai que je lui ai dit autre chose de moins poli, je n'ai pas pensé aux conséquences mais dès que j'ai vu son regard j'ai su que j'allais y avoir droit. Ma dernière fessée remontait à longtemps, septembre je crois, j'avais oublié ce que c'était. Quelle honte, quand elle m'a coincée sous son bras et qu'elle a retroussé ma jupe c'était déjà terrible mais une fois allongée sur ses genoux quand j'ai senti l'air sur mes fesses ça à été horrible, j'étais cul nu à mon âge, heureusement que personne ne sait que je reçois encore la fessée déculottée. J'avoue que j'ai vite oublié tout ça quand elle a commencé la fessée. J'ai su qu'elle était vraiment en colère, je ne me souviens pas d'avoir reçu une fessée pareille, ou alors j'avais oublié que ça brûle autant. J'avais l'impression que la fessée ne s'arrêterait jamais, j'avais beau me tortiller et serrer les fesses, elle ne cessait de claquer mon derrière. Le pire c'est quand elle m'a claqué le haut des cuisses, là je me suis mise à pleurer, pourtant je m'étais juré de ne pas lui faire ce plaisir. Mais je crois qu'elle attend ça pour arrêter, elle doit penser que sa punition a été efficace. Quand elle m'a relâché, j'ai frotté mes fesses, ça fait du bien. Elle m'a laissé en plan, en me disant de réfléchir et que si ça ne suffisait pas elle pouvait recommencer à me baisser la culotte.
Quand elle a été partie, j'ai été dans ma chambre et jai regardé mes fesses dans la glace, je pense qu'elle n'ont jamais été aussi rouges. J'ai essayé de joindre ma copine Sylvie sur Twitter, c'est la seule qui sait que je reçois encore la fessée déculottée à mon âge. Elle m'a consolé du mieux qu'elle pouvait mais elle m'a dit que quand même je l'avais bien cherché.
Même si je sais qu'elle a raison ça m'a mis en colère.
Mes fesses sont restées rouges et cuisantes un bon moment, je pense que j'ai compris la leçon et que je vais être une mignonne petite Camille pendant un moment.
J'ai pris une photo de mes fesses quelques heures plus tard et je l'ai envoyé à Sylvie pour lui montrer que ma fessée c'était pas pour de rire.
C'est un beau témoignage, j'espère qu'il y en aura d'autres
RépondreSupprimerMerci Caroline, je m'excuse pour cette réponse tardive cette impolitesse pourrait me valoir à moi aussi une bonne fessée déculottée.
RépondreSupprimerLa fessée déculottée existe toujours dans les familles même si elle est interdite sur les enfants, les mamans l'utilise assez fréquemment sur leurs grandes filles, c'est très efficace. Je pense que d'autres témoignages suivront. Comme tous le monde le sait, il n'y a pas d'âge pour recevoir une bonne fessée.