lundi 21 février 2022

L'institut chapitre 10

 Un après-midi chez madame Costa



Les deux punies avaient été installées chacune d'un côté de la table, elle n'avait pas eu le droit de remonter leur culotte si bien que leur derrière cuisant était directement posé sur le cannage des chaises rendant la position assise très inconfortable, Vanessa ne cessait de se tortiller ce qui eu pour effet d'agacer Florence

- Vanessa vient ici immédiatement, je vais te donner l'occasion de tortiller tes fesses.

La jeune fille se leva et fit le tour de la table, dès qu'elle fut à sa portée, Florence Costa lui saisi le bras pour l'attirer vers elle. Posant sa jambe sur un tabouret elle souleva Vanessa et la coucha sur sa cuisse horizontale, les pieds de la jeune fille quittèrent le sol, si elle était bien pourvue au niveau de son postérieur, elle n'était pas très lourde et madame Costa n'eut aucun mal à la tenir en équilibre sur sa cuisse, ses belles fesses rebondies étaient encore rouges et présentaient la trace du cannage. La main se leva et commença à claquer ces rotondités si bien exposées, Vanessa se mit effectivement à vraiment tortiller ses fesses, elle s'ouvrait et se refermait au rythme de la fessée, découvrant largement son intimité, mais Vanessa n'en avait cure tout à la cuisson qui lui embrasait le bas du dos. Madame Costa cessa la fessée mais pour parfaire que la leçon soit profitable, elle la garda dans cette position humiliante le temps d'un petit discours

- j'espère que tu as bien compris, tout le monde a pu voir que tu tortillais très bien tes fesses, mais quand tu écris, je ne veux pas te voir bouger, si il le faut tu reviendra faire un petit séjour sur mon genoux, c'est bien compris ?

Elle avait accompagné cette interrogation de quatre claques sur les fesses épanouies devant elle, Vanessa se mit à pleurer

- oh, oui, aie, aie, pardon madame je ne ferai plus, aie, pardon.

Satisfaite, Florence la reposa par terre et lui saisissant l'oreille, elle la ramena à sa place. Elle ne voulait pas être injuste, aussi cette fessée était le pendant de celle reçue par Monique. Celle-ci était satisfaite et c'était avec un plaisir évident qu'elle avait assisté à la fessée de Vanessa, pour une fois que ce n'était pas elle qui exposait sa croupe. Elle avait un peu oublié la cuisson de ses propres fesses.

L'après midi avançait, Florence décida qu'il était temps de la récréation, elle les fit se lever, et elles durent l'une après l'autre venir se pencher devant elle pour qu'elle examine leur fessier.

- parfait, ces fesses sont en parfait état pour la prochaine fessée, vous restez fesses à l'air mais vous pouvez vous dégourdir les jambes, je vais vous chercher un jus de fruit.

Florence Costa était ainsi, elle se montrait implacable et un peu perverse dans l'administration des punitions mais elle pouvait aussi se montrer maternelle. Monique commençait à s'habituer à son autorité et elle se surprenait à admettre le bien fondé des fessées qu'elle lui administrait. C'était un spectacle un peu surprenant de voir cette dame d'âge mûr et cette jeune fille, la jupe épinglée dans le dos, la culotte descendue sous les fesses exposant un derrière écarlate en train de boire un jus de fruit sous l'œil d'une institutrice sévère. Elle tapa dans les mains.

- bon, allez au travail, je n'ai pas l'impression que ça à beaucoup avancé ces lignes à copier, vous êtes prévenues, si ce n'est pas fini, vous reviendrez demain me présenter vos fesses.

Évidemment, le nombre de lignes à copier était bien trop grand pour pouvoir être terminé à temps et Florence le savait très bien. A 18h, elle ramassa les copies, les deux punies durent se lever et venir devant madame Costa qui s'était assise sur une chaise.

- vous étiez prévenue, Monique, en position vite !

En un instant celle-ci avait retrouvé une position qu'elle connaissait trop bien depuis quelques temps, couchée en travers des cuisses d'une dame, les mains posées par terre, les jambes pendantes de l'autre côté et au sommet de la courbe formée par son corps une paire de fesses bien exposées et comme d'habitude la brûlure de la première claque suivie par toutes les autres et l'impossibilité de se retenir de supplier et enfin de pleurer. La suite aussi était classique, le nez au mur, les mains sur la tête pendant que retentissait dans son dos la fessée de Vanessa qui elle aussi pleurait à chaudes larmes. Quand les deux corrections furent terminées, Florence leur annonça la suite, elle avait préparé deux carnets à leur nom.

- c'est votre carnet de liaison où est indiqué vos punitions, pour aujourd'hui c'est 4 fessées que vous avez reçue, toi Vanessa tu le feras signer par ta maman, je pense que tu peux t'attendre à une bonne déculottée. Elle remit son carnet à Monique, en lui disant

- pour toi pas de maman pour le signer et te corriger, c'est bien dommage.

Madame Dumon était un peu inquiète de cette remarque, mais elle fut rassurée en pensant à sa situation, elle était divorcée son ex habitait loin, elle se demanda si par hasard, il l'aurait déculottée pour lui administrer une fessée, elle balaya cette pensée désagréable, la seule personne qui habitait chez elle de temps en temps c'était sa fille Elodie âgée de 23 ans qui finissait des études de prof de sport.

Elles purent enfin se reculotter, elles se rendirent compte qu'elles avaient passé tout l'après midi les fesses à l'air.

- je vous attends demain matin à 10h, vous finirez vos copies.

Dans l'ascenseur, Vanessa s'adressa à Monique

- tu as de la chance de ne pas habiter chez ta mère, moi je vais avoir droit à ma fessée en arrivant.

Monique sourit, elle compatissait un peu au malheur de sa compagne d'infortune. En arrivant chez elle, Elodie regardait la télé, Monique lui lança un petit bonjour et se dirigea vers sa chambre, elle voulait quitter au plus vite sa tenue de collégienne. Elodie l'interpella.

- maman, on pourrait se parler ?

- attend un peu ma chérie, je me change et j'arrive.

- je ne crois pas que ça soit la peine, madame Costa vient de m'appeler…

Monique, s'arrêta net, un frisson l'a parcouru. Elle regarda sa fille, Elodie était une grande jeune femme blonde, très sportive aussi stricte et mûre que sa mère était désorganisée et un peu fofolle, elle souriait.

- tu peux enlever ton manteau s'il te plaît.

Monique ne savait plus quoi faire, elle tenta une dernière chose,

- mais enfin, Elodie laisse moi un peu tranquille

- tu préfères que j'appelle madame Costa ou peut-être un séjour chez madame Rose ?

Monique se rendit compte que la partie était perdue, lentement elle quitta son manteau et elle apparu dans son costume de collégienne.

- quelle ravissante jeune fille, tu n'as pas été très sage cet après-midi, dis moi. Madame Costa m'a dit qu'elle avait été obligée de te donner la fessée, c'est vrai ?

Monique était sidérée, aucun mot ne sortait de sa bouche

- tu ne veux pas répondre, et bien nous allons vérifier, viens ici et tourne toi.

Comme un automate, elle s'exécuta présentant ses fesses recouvertes encore par la courte jupette.

- retrousse ta jupe !

Les ordres étaient donnés d'une voix autoritaire qui ne laissait rien présager de bon, habituée depuis maintenant 15 jours à obéir sans discuter madame Dumon présentait maintenant sa culotte blanche de petite fille à Elodie. Celle-ci saisi l'élastique de la culotte et elle la descendit sous les fesses. Elles étaient encore bien colorées par les fessées successives.

- c'est bien ce que m'a dit madame Costa, tu as été très vilaine, elle a bien fait.

Monique n'en croyait pas ses oreilles, sa fille lui parlait comme à une gamine pas sage qui rentrait de l'école, le retour à l'enfance se poursuivait mais cette inversion des rôles avait quelque chose d'à la fois irréel mais aussi très pervers.

- tu tiens ta jupe bien relevée que je voies tes fesses et tu vas te mettre au coin.

Décidément Elodie apprenait vite, Monique obéit sans dire un mot et elle appuya son nez contre le mur comme elle l'avait appris à l'institut de madame Rose.

Elodie prit son sac à main et en tira les 2 carnets de punition, celui de l'institut et le nouveau de madame Costa. Elodie avait été souvent agacée par le laisser aller de sa mère sa tendance à la procrastination, elle s'était souvent demandée pourquoi sa grand-mère l'avait élevée comme ça, elle, elle avait plutôt le caractère de son père. Elle prit bien soin de tout lire, elle constata que depuis une quinzaine de jours Monique avait rattrapé le temps perdu par l'éducation laxiste de sa propre mère, le nombre de fessées déculottées reçues était impressionnant. Il fallait peut-être en passer par la songea t elle. En attendant madame Dumon redevenue une collégienne rentrant de l'école avec un mauvais carnet de notes exposait toujours son fessier déculotté.

- remonte ta culotte et vient me voir !

Sa décision était prise, elle allait s'occuper de sa mère et si il fallait en passer par la fessée pour la faire changer d'attitude et bien on en passerait par là.

- a ce que je vois, madame Costa et madame Rose t'on déjà bien repris en main et à voir le nombre de fois où tu as été punie je pense qu'il y a du travail, pour un meilleur résultat je vais m'occuper de toi à la maison. Pour commencer on va régler ce petit problème de discipline, tu étais en retenue chez madame Costa et tu t'es mal comportée, à partir de maintenant chaque fois que tu auras été punie en dehors de la maison tu seras corrigée à ton retour, normalement à chaque fessée chez madame Costa ou chez madame Rose correspondra une fessée à la maison, aujourd'hui tu as reçu 4 fessées, je devrais t'en administrer 4, comme c'est la première fois, tu n'en auras que 2, approche.

Pendant toute cette tirade, Monique était restée debout devant sa fille, la tête basse n'émettant aucune protestation, ce qui finit de convaincre Elodie du bien fondé de sa décision. Maintenant elle était tout contre les genoux de sa fille, celle-ci n'eut qu'à la tirer légèrement pour la mettre en position pour la fessée, c'était une habitude pour Monique mais c'était la première fois pour Elodie, elle était surprise de la facilité avec laquelle sa mère avait accepté la sentence, maintenant elle avait devant les yeux la croupe de sa maman et ce qui aurait pu sembler impensable se produisit, elle retroussa la mini-jupe qui découvrait déjà la racine des fesses, puis sans un mot elle l'a déculotta, la belle paire de fesses encore rouge des fessées de madame Costa s'épanouit, mise en valeur par la position et le trait de la culotte descendue juste en dessous.

- c'est la première fessée de maman Elodie et je pense que ce ne sera pas la dernière

La jeune femme leva la main et commença la punition, elle n'avait jamais donné la fessée du moins dans de telles conditions mais elle apprenait vite, en fait Elodie avait été initiée à la fessée érotique par une amie, elle n'avait pas trop apprécié de la recevoir mais déculotter et claquer les fesses de son amie avait été un régal. Mais aujourd'hui il ne s'agissait pas de cela, elle administrait une punition à une adulte, le fait qu'elle soit sa mère n'avait pas d'importance, il fallait que la fessée soit efficace et quoi de mieux que de se baser sur la couleur des fesses et les supplications de la punie, elle avait également lu quelque part qu'une bonne fessée devait finir par les larmes de la punie, elle fut bientôt satisfaite, Monique se mit à pleurer autant de douleur que de l'humiliation de subir à nouveau ce châtiment enfantin des mains de sa propre fille. Elodie cessa la fessée mais elle garda Monique dans cette position inconfortable, celle-ci pleurait doucement, elle lui tapota les fesses.



- voilà une paire de fesses bien chaudes, j'espère que ça te servira de leçon, je ne veux plus entendre quelqu'un se plaindre de ta conduite, si c'est le cas tu sais ce qui t'attends, un passage sur mes genoux la culotte baissée, bien maintenant tu files au coin, le nez au mur et les mains sur la tête.



Monique s'exécuta sans demander son reste, elle était vraiment redevenue une gamine punie à son retour de l'école. Elodie coinça l'arrière de sa jupe dans la ceinture pour bien dégager le fessier rubicond puis elle revint s'asseoir sur le canapé et pris son téléphone.

- allo, madame Costa, oui, c'est Elodie la fille de Monique, je tenais d'abord à m'excuser de la mauvaise conduite de maman, mais rassurez vous j'ai suivi votre conseil, c'est vrai qu'une bonne fessée déculottée remet du plomb dans la cervelle des effrontées, oui oui elle en a reçu une bonne et maintenant elle pleure au coin avec les fesses bien rouges.

Madame Dumon écoutait cette conversation, oui c'était bien d'elle dont on parlait, elle l'ophtalmologue réputée qui était ramenée au rang de gamine effrontée que l'on corrige en l'a déculottant, ses fesses l'a brûlait mais c'était surtout la honte qui l'envahissait. Elodie la laissa 1/2h au coin, puis jugeant la punition suffisante pour une première fois elle la fit se reculotter mais elle n'eut pas le droit de quitter sa tenue de collégienne, elle essaya de faire bonne figure mais c'était un peu difficile d'affronter le regard de sa fille, celle-ci ne semblait pas du tout gênée, c'était assez curieux mais une nouvelle hiérarchie s'était établie dans la maison, c'était maintenant elle l'adulte, elle prépara le repas et fit mettre la table à Monique celle-ci s'exécuta comme une jeune fille obéissante. Elodie discutait de choses et d'autres, elle semblait avoir oublié qu'une heure auparavant la dame qui lui faisait face était allongée fesses à l'air sur ses genoux. Après avoir débarrassé la table, Monique fut ramenée à la réalité.

- vu ta conduite de cet après-midi, tu es bien sûr privée de télé, tu montes dans ta chambre et tu me copie 100 fois la phrase suivante "j'ai été vilaine et j'ai bien mérité la fessée déculottée de maman Elodie".

Sans dire un mot, Monique s'exécuta, 1h plus tard, Elodie vint vérifier son travail, elle s'était appliquée bien qu'écrire cette phrase où elle reconnaissait le bien fondé de sa punition avait été un peu difficile. Sa fille lui sourit en prenant les feuilles.

- c'est bien, maintenant tu mets ton pyjama, je n'en ai pas tout à fait fini avec tes fesses, ne traîne pas, je reviens.

Quelques instants plus tard, elle était de retour une brosse à cheveux à la main, en la voyant, Monique ne put s'empêcher de rougir, c'était typiquement l'instrument utilisé par les mamans pour corriger leur grande fille. Elodie avait définitivement changé de rôle. Elle souriait toujours en s'asseyant au bout du lit, elle tapota ses cuisses.

- je suppose que tu connais la position

Bien sûr Monique connaissait la position trop bien même, elle se coucha sur les genoux de sa fille, celle-ci ajusta la position de façon à avoir les fesses bien à sa portée puis elle saisit la ceinture de la culotte du pyjama et la tira vers le bas, les fesses serrées apparurent elles avaient perdu un peu de leur couleur, Elodie prenait son temps, c'était un vrai plaisir pour elle de voir sa mère si docile prête à recevoir une cuisante fessée déculottée et ne montrant aucun signe de révolte. Décidément se dit elle, madame Rose a fait du bon travail et c'était exact, Monique résignée attendait sa correction pourtant c'était une jeune femme d'à peine un peu plus de 20 ans qui allait lui administrer ce châtiment enfantin et en plus c'était sa fille. Les fesses se contractaient dans l'attente de la première claque, Elodie attendait toujours en souriant.




- j'espère que tu regrettes ta conduite de cet après midi, et que tu n'es pas près de recommencer, tes fesses vont goûter à ma brosse à cheveux, elle leva enfin l'instrument de punition et Monique se mit à crier et à pleurer. La fessée ne fut pas très longue, les fesses étaient encore sensibles des fessées précédentes et elles reprirent vite une très jolie couleur. Quand la punition fut terminée elle la conduisit devant la glace et la força à regarder ses fesses.

- regarde bien, tes fesses, comme elles sont bien rouges, voilà comment elles seront chaque fois que tu seras vilaine.

Elle la conduisit vers son lit et tira la couette, la culotte du pyjama était toujours descendue

- couche toi sur le ventre et reste les fesses à l'air le temps que je fasse ma toilette, je reviens tout à l'heure.

Elle laissa sa mère ainsi pendant 10 ', pleurnichant, quand elle revint elle n'avait pas bougé et elle exposait toujours son fessier écarlate, elle lui remonta le pyjama et éteignit la lumière comme une maman l'aurait fait avec sa fille.

Le lendemain matin, elle était déjà dans la cuisine quand Monique arriva, elle lui fit une bise et lui demanda si elle avait bien dormi, celle-ci fit un petit signe de la tête.

- vient un peu me montrer tes fesses

Elle fit pivoter sa mère et sans façon lui baissa la culotte jusqu'à mi cuisse et elle l'a fit se pencher, elle passa sa main sur l'épiderme redevenu presque blanc, une légère rougeur persistait cependant.

- et bien voilà de bien jolies petites fesses, prêtes pour une nouvelle fessée si tu l'a mérite.

Elle reculotta sa mère comme une maman l'aurait fait et l'invita à se mettre à table. Évidemment Monique était très gênée par la situation et elle ne disait pas un mot ce qui eut le don d'énerver Elodie

- cesse de faire la tête, sinon tu vas la faire pour une bonne raison !

Monique ne répondit toujours pas, elle se rendit compte trop tard que c'était une erreur, sa fille s'était levée l'avait pris par le bras et posant son pied sur un petit tabouret l'avait basculé en travers de sa cuisse, la culotte du pyjama était arrivée aux genoux en un clin d'œil et la fessée avait retenti dans la cuisine. Elodie était grande et sportive aussi elle n'avait eu aucun mal à placer sa mère dans cette position, elle la tenait fermement en équilibre sur sa cuisse, ses pieds étaient décollés du sol et battaient l'air au rythme des claques, la culotte du pyjama était arrivée autour des chevilles de la pauvre Monique et son derrière présentait à nouveau les stigmates d'une bonne fessée. Elle la reposa par terre.

- bien, j'espère que tu as compris, remonte ta culotte, la prochaine fois, tu déjeunera cul nu.

Monique ravala ses larmes et tenta de faire bonne figure pour éviter une nouvelle mise à l'air de ses fesses. Quand le déjeuner fut fini, Elodie l'envoya se doucher

- ensuite tu m'attends dans ta chambre, je veux vérifier ta tenue.

Quelques minutes plus tard, Monique attendait au pied de son lit, sa serviette enroulée autour d'elle. Elodie qui était déjà prête lui tendit à nouveau sa mini-jupe de collégienne,

- tu remets la même tenue qu'hier puisque tu es à nouveau punie, il n'y a pas de raison de changer, par contre il te faut une culotte propre, voyons un peu ce que tu as.

Elle fouilla sans façon dans la commode de sa mère, mais celle ci était coquette et ne portait que des sous vêtements à la mode, avec de la dentelle ou très transparent.

- décidément, il n'y a rien de correct pour une jeune fille, nous irons demain t'acheter des culottes correctes, en attendant met ça, je ne suis pas sur que ça convienne à madame Costa.

Elle lui avait tendu une culotte en dentelle qui couvrait certes les fesses mais laissait voir la peau au travers du fin tissu.

- tache de ne pas trop te pencher, sinon tout le monde verra que tu as commencé la journée avec une bonne fessée.

Elodie avait dit ça en riant, en effet on voyait parfaitement les traces rouges de la fessée sous la petite culotte.

- tu es prête ? Alors on y va

Monique l'interrogea du regard.

- oui, c'est moi qui t'emmène, je veux faire la connaissance de madame Costa, je te dépose et je reviendrai te chercher à midi, allez en route.

Elle avait accompagné ces derniers mots d'une claque sur la courte jupette.

Madame Dumon était morte de honte dans l'ascenseur, surtout qu'elles avaient retrouvé Vanessa, un peu surprise de voir sa nouvelle copine accompagnée par une jeune femme à l'air sévère. Elodie se présenta à madame Costa, celle-ci fut enchantée

- je suis ravie que vous ayez accepté de prendre en charge Monique, elle a vraiment besoin qu'on s'occupe d'elle, mais ne partez pas si vite, ces demoiselles sont punies, je commence toujours la retenue par une bonne fessée déculottée et une séance de mise au coin, une fessée publique sera bien plus profitable.

Elle s'était installée sur une chaise et faisait signe à Vanessa, celle-ci était rouge de honte de recevoir ce châtiment humiliant devant Elodie qui n'était pas beaucoup plus âgée qu'elle, mais Florence ne lui laissa pas le temps de réfléchir, elle la bascula en travers de ses cuisses la troussa et lui baissa rapidement la culotte, la fessée qui suivi fut rapide mais sévère, quand Vanessa put se relever ses joues étaient aussi rouges que ses fesses et quelques larmes coulaient, tout à la cuisson de son derrière elle avait oublié la présence d'Elodie qui avait apprécié la technique de l'ancienne institutrice. C'était au tour de Monique, sa confusion était visible, bien sûr Elodie l'avait déjà fessée et pas plus tard que ce matin, mais il lui paraissait beaucoup plus gênant de recevoir une fessée déculottée devant elle, Florence Costa ne lui laissa pas le temps de trop réfléchir, elle la bascula à son tour dans la position classique d'une fessée maternelle, la jupette s'était naturellement relevée, découvrant la lingerie en dentelle.

- qu'est ce que c'est que cette culotte, non mais ou te crois tu,

La main avait claqué rapidement les fesses tendues, provoquant des cris de Monique. Elodie attendit que la première salve de claques fut terminée pour intervenir.

- je suis bien d'accord avec vous, ce n'est pas une culotte pour une jeune fille, mais sa culotte petit bateau était sale et je n'ai rien trouvé d'autre à lui mettre, ne vous inquiétez pas demain nous allons régler ce problème, je l'emmènerai acheter des culottes plus conforme à son état.

Elodie prenait vraiment son rôle au sérieux, on aurait dit une maman s'adressant à une maîtresse d'école.

- mais je vous en prie, si vous jugez que ça mérite une fessée supplémentaire vous avez mon autorisation.

- pour cette fois-ci, cela ira, Monique va simplement recevoir la fessée prévue, je compte sur vous pour lui acheter des culottes correctes.

Quand les deux punies furent installées au coin, tenant leur jupe pour découvrir leurs fesses, Elodie prit congé.



- je vous laisse, je vois que Monique est en de bonnes mains, je la récupère à midi. Soit sage ma chérie tu sais que si madame Costa avait à se plaindre de toi, je me chargerais de tes fesses à la maison !

Elodie revint à midi comme prévu, Vanessa était debout devant Florence, elle tenait sa jupe retroussée, la culotte était à mi cuisse découvrant une paire de fesses écarlates, l'institutrice était en train de remplir le carnet de liaison

- je note les 3 fessées que j'ai du t'administrer ce matin, je ne pense pas que cela va plaire à ta maman, tu peux préparer tes fesses ma chérie. Et n'oublie pas de me ramener le carnet signé pour ta prochaine leçon. Vanessa acquiesça

- oui madame.

Elodie intervint à ce moment

- ah la maman de cette jeune fille utilise les mêmes méthodes que moi à ce que je vois. Elle te donne souvent la fessée déculottée ta maman ?

Vanessa était rouge jusqu'aux oreilles, elle savait que la jeune femme qui s'adressait à elle n'était guère plus âgée qu'elle mais elle la traitait comme une gamine désobéissante et en plus elle avait une vue parfaite sur son derrière déculotté. Elle ne répondit pas ce qui lui valu une claque sur la fesse qui était à la portée de la main de madame Costa

- quand on te pose une question, on répond quand on est polie.

-aie, aie, pardon madame, oui enfin c'est à dire, euh assez souvent.

- tu n'es donc pas très sage, si maman est obligée de te déculotter.

Elodie prenait son rôle de nouvelle maman très à cœur, elle s'adressait à Vanessa comme à une petite fille que l'on gronde. Celle-ci hésitait à répondre à ces questions indiscrètes mais la crainte d'une fessée était plus forte.

- oh, si madame, je suis sage, ce n'est pas souvent que je suis punie

Elodie remarqua que Vanessa l'avait appelé madame, elle sourit et mis fin à cette petite humiliation. Madame Costa lui permit de se reculotter. Puis se tournant vers Monique qui était le nez au mur tenant sa jupe retroussée sur des fesses bien rouges.

- à nous Monique, vient ici.

Elodie en voyant la couleur du fessier de sa mère se doutait bien qu'elle aurait du travail de troussage et déculottage en arrivant à la maison.

- a ce que je vois, vous avez été obligée de sévir ?

- oh vous savez bien avec ces jeunes filles si on ne remet pas de temps en temps les pendules à l'heure, il y a du laisser aller, Monique a reçu 2 fessées en plus de celle que je lui ai donnée en arrivant

- ce qui nous fait 3 fessées à la maison ! Nous n'allons pas perdre de temps, si vous le permettez, je vais commencer par lui administrer la première ici, en plus elle est prête, la culotte est déjà baissée, Monique vient ici !

Monique sursauta, bien sûr les deux personnes ici présentent savaient qu'elle recevait la fessée à la maison, mais ce n'était pas tout à fait la même chose que de la recevoir en vrai, elle allait recevoir une fessée administrée par sa fille et en public. Elodie ne pensait pas à ça, tout à son nouveau rôle de maman elle voulait montrer son autorité et celle ci passait par l'administration immédiate de la punition méritée. Elle s'était assise sur une chaise et avec le doigt elle désignait ses cuisses, Monique résignée s'approcha, en un clin d'œil elle fut en position, la jupette fut retroussée haut sur les reins, la culotte descendue jusqu'aux genoux. Certes sa mère était déjà en tenue pour la fessée déculottée mais elle tenait à montrer qu'elle savait mettre en condition une punie. Sa main se leva et bientôt malgré son désir de rester stoïque, madame Dumon se comporta comme n'importe quelle grande fille cul nu sur les genoux de sa mère, elle criait, pleurait, implorait la clémence et exécutait une très expressive danse des fesses. Elodie ne cessa la fessée que lorsque les larmes coulèrent sur les joues de Monique, les deux hémisphères étaient maintenant entièrement écarlates, on aurait pu penser qu'elle avait mis une belle culotte rouge. Elodie la fit se relever et elle lui demanda de tenir bien haut sa jupe pour qu'on puisse bien voir ses fesses. Florence Costa en souriant lui tendit son carnet de liaison



- à me ramener signer vendredi, je pense que tu vas dormir sur le ventre ma petite.

Elle se reculotta sous l'œil des 3 personnes présentes en grimaçant un peu quand la dentelle de la fine culotte frotta son épiderme endolori.

Arrivée à la maison, Elodie lui annonça

- je vais préparer le repas, toi tu files te mettre au coin tu baisse ta culotte et tu tiens ta jupe retroussée que je surveille la couleur de tes fesses.

Monique s'exécuta, les longs moments passés au coin à exposer ses fesses rougies étaient aussi des moments de réflexions, elle songea aux changements intervenus dans sa vie depuis une quinzaine de jours, elle était passée du statut de bourgeoise sûre d'elle même à celui d'une grande fille dont personne n'hésite à baisser la culotte et pis encore elle était maintenant sous l'autorité de sa propre fille contrainte d'obéir au doigt et à l'œil sous peine d'un châtiment humiliant, elle compta rapidement, c'était maintenant 6 personnes d'âge divers qui l'avait couchée sur leurs genoux, déculottée et fessée. Il y avait eu d'abord madame Rose, puis Sophie, ensuite madame Costa s'était elle aussi occupée de son fessier, à sa suite Aurèlie avait été embauchée et celle là n'était pas en reste pour les déculottées, le malheur avait voulu qu'elle aille voir madame Laval fesseuse de grandes filles et enfin Elodie sa fille s'était chargée de lui rappeler qu'il n'y a pas d'âge pour donner ou recevoir la fessée . Et vu la façon dont elle l'avait traité depuis hier ça ne semblait pas prêt de s'arrêter.

 

 

 

 

 

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