L'éducation de Monique
Elodie avait eu le temps de réfléchir pendant que sa mère était en retenue chez madame Costa. Il lui fallait reprendre l'éducation de sa mère et les méthodes de madame Rose et de madame Costa semblaient appropriée à la situation en plus son caractère dominateur et intransigeant collait bien avec une éducation stricte. Elle regarda sa mère exposant ses fesses rougies, cette situation qui aurait pu paraître bizarre à un inconnu pénétrant dans la pièce lui semblait naturelle, Monique avait accepté sans beaucoup de résistance de recevoir une fessée déculottée et elle se surprenait à aimer donner la fessée, que la punie fut sa mère, une dame de 45 ans ne changeait rien à l'affaire, cela donnait même du piquant à la correction. Le repas était prêt, elle appela Monique
- c'est bien ma chérie, tu peux te reculotter et venir à table, et je te rappelle que je ne veux pas que tu fasses la tête.
Monique se le tint pour dit et tenta de faire bonne figure, Elodie lui expliqua comment allait se dérouler son existence.
- nous allons mettre les choses au point, maman, à partir de maintenant c'est moi qui ai autorité sur toi, tu as pu constater que je suis très exigeante mais c'est pour ton bien, je vais être ta nouvelle maman, tu m'appellera momy, c'est le terme américain pour dire maman, comme ça il n'y aura pas de confusion, tu seras ma grande fille et quand tu l'auras mérité, momy te déculottera et tu recevras la fessée, c'est bien compris?
- oui,
- oui qui ?
- euh, pardon, oui momy.
- c'est mieux, je ne tolérerai aucune insolence ni désobéissance, à chaque fois tu sais ce qui t'arrivera ?
- oui momy
- et bien, j'aimerais être sûr que tu as bien compris, qu'est-ce qui va t'arriver si tu désobéis ?
- euh, une, une fessée….
- c'est ça, et une fessée comment ?
Monique était de plus en plus rouge, Elodie se régalait de voir la gêne sur le visage de sa mère.
- euh, une fessée…. déculottée..
- c'est tout à fait ça, je vois que tu as bien compris, une bonne fessée cul nu pour une grande fille désobéissante. Pour ce qui concerne ta tenue, comme je te l'ai dit ce matin, nous irons dès demain t'acheter des culottes de jeune fille et j'en profiterai pour te prendre quelques jupes, je trouve que celle que tu portes te vas très bien, mais tu ne vas pas la mettre tout le temps.
Devant la mine étonnée de Monique, elle se mit à rire.
- rassure toi, tu n'iras pas travailler en jupette, mais dès que tu seras à la maison ou que l'on sortira ensemble tu seras habillée comme je l'entends, elles seront un peu plus longue je te rassure, avec celle là, je trouve qu'on voit un peu trop ta culotte, mais je veux qu'elles soient largement au dessus du genou, c'est plus simple à retrousser pour la fessée.
Le repas se déroula sans accroc, en fait Elodie parlait et Monique acquiesçait, quand elle débarrassa la table, elle était redevenue une jeune fille obéissante, respectueuse de sa nouvelle momy. Elodie servit le café puis toujours souriante elle se tourna vers Monique
- bien ma chérie, j'espère que tu n'as pas oublié ce que je t'ai promis chez madame Costa, je te dois encore deux fessées, va dans ma chambre, la brosse à cheveux est sur la commode, c'est elle qui va s'occuper de tes petites fesses, tu me la ramène.
Monique connaissait la cuisson de cet instrument, elle pensa que sa nouvelle momy connaissait ses classiques, la brosse à cheveux est l'allié favori des mamans américaines pour corriger leurs grandes filles. Elle se dirigea le ventre noué vers la chambre. Quand elle revint, Elodie avait disposé une chaise au milieu du salon, pour la première fessée prévue à l'avance et annoncée, elle voulait qu'elle revête une certaine solennité.
- je suppose que tu connais la position, alors en piste pour la bonne fessée de momy Elodie
Monique ne fit aucune difficulté pour se coucher sur les genoux de sa fille devenue sa nouvelle maman, elle savait ce qu'il en coûte de résister, une fessée encore plus cuisante et une deuxième fessée assurée. La jupette était remontée naturellement, découvrant la base des fesses, elle fut retroussée haut sur les reins, la fine culotte en dentelle rentrait légèrement dans la raie fessière, laissant voir le galbe des fesses encore rouge,
- décidément, cette culotte est indécente, je vois déjà parfaitement ton petit derrière, mais je te l'ai déjà dit, la fessée de momy, c'est cul nu.
Elle baissa la culotte jusqu'à mi cuisse puis levant la brosse elle commença à claquer les deux hémisphères jumeaux. Monique commençait à être habituée à la brûlure de la fessée mais celle-ci était particulièrement douloureuse aussi il ne lui fallu pas longtemps pour se mettre à crier et à supplier Elodie de cesser la punition, bien sûr celle-ci était imperméable aux jérémiades et la fessée alla à son terme. C'est à dire une paire de fesses écarlates et une punie en pleurs, sanglotant en travers de ses cuisses.
- voilà, ce qui t'arrivera chaque fois que tu désobéira, une bonne fessée déculottée, maintenant tu vas aller te mettre au coin et je ne veux plus t'entendre.
Monique retrouva sa place habituelle nez contre le mur, elle y resta 1h. A la fin de sa pénitence, Elodie la laissa libre de vaquer à ses occupations mais elle l'avait prévenue
- tu recevras ta troisième fessée avant de te coucher, tu verras on dort très bien avec les fesses chaudes et puis comme ça tu auras toute la nuit pour réfléchir aux conséquences de tes bêtises.
Le programme se déroula comme prévu, effectivement Monique s'endormi sur le ventre avec une croupe écarlate et cuisante.
Le lendemain matin au déjeuner, comme la veille, Elodie la fit se retourner et lui baissa la culotte sans aucune gêne pour lui examiner les fesses.
- et bien voilà des petites fesses en parfait état, à peine rosée, tu as bien dormi ?
Une petite claque sur les fesses et la culotte fut remontée. Monique savait d'expérience qu'il valait mieux répondre.
- oui…
- oui qui ?
Une claque avait retenti sur le derrière culotté.
- aie, pardon, oui.. momy.
- c'est mieux, je déteste l'impolitesse, la prochaine fois, c'est sur mes genoux culotte baissée, tu as bien compris !
Monique baissa la tête en rougissant
- oui, momy
Le déjeuner terminé, Monique put aller se préparer, elle travaillait ce matin la, Elodie lui annonça qu'elle l'accompagnerait au travail et qu'elle viendrait la rechercher pour aller faire des courses. Monique savait qu'il était inutile de protester.
A midi, Elodie l'attendait, elle l'emmena aux nouvelles galeries, elle savait qu'elle y trouverait ce qu'elle voulait sans être gênée, au rayon lingeries, elle choisit des culottes blanches en coton bien couvrante, elle acheta également des socquettes blanches, et au rayon adolescente elle trouva son bonheur sous la forme de kilt
- voilà ce qu'il te faut, tu feras jeune fille de bonne famille, on va l'essayer
Les cabines d'essayage étaient grandes, elles purent y rentrer à deux, le kilt était pratique car avec son pan que l'on pouvait plus ou moins croiser, le fessier de Monique qui était un peu plus conséquent que celui d'une adolescente y trouvait sa place.
La jupette arrivait à 10 cm au dessus du genou ce qui lui donnait un air juvénile mais qui cachait mieux ses fesses que celle du week-end. En se voyant dans la glace, Monique ne put s'empêcher de faire la grimace, ce qui fit rire Elodie
- ça ne te plaît pas ? Pourtant tu es très mignonne, tu es vraiment ma grande fille maintenant.
Elles se dirigèrent vers la caisse, Monique faisait vraiment la tête, ce qui lui valu une petite claque sur la jupe et un avertissement d'Elodie, quand elle eu réglé, regardant sa mère elle lui dit d'un ton glacial
- je t'avais prévenu
Puis s'adressant à la caissière
- pouvons nous disposer des cabines, madame voudrait mettre sa nouvelle tenue.
En souriant la caissière acquiesça, Monique avait blêmi. Elodie la prit par la main et elles retournèrent aux cabines
- tu l'as cherché, maintenant tu te déshabille entièrement et tu me mets ta nouvelle tenue et vite si tu ne veux pas en plus une fessée.
Le ton était sans réplique, Monique les joues écarlates s'exécuta, au moment d'enlever sa culotte, elle hésita
- si tu y tiens, je vais moi même te l'enlever
Elodie avait courbée sa mère sous son bras et lui avait baissé la culotte une dizaine de claques avaient retenti, heureusement pour Monique, les cabines étaient au fond du magasin et la musique d'ambiance couvrait le bruit de la petite fessée.
Elodie la relâcha et finit de lui retirer la fine lingerie.
- j'espère que tu as compris, dépêche toi maintenant !
Monique avait parfaitement compris le message et sans un mot elle mit sa tenue de jeune fille de bonne famille. La caissière les regarda passer, Elodie tenant par la main cette dame redevenue en quelques instants une adolescente.
Elodie démarra la voiture sans un mot, elle s'arrêta sur le parking d'un parc très calme et elle invita sa mère à la suivre, il n'y avait personne à cette heure là. Elodie trouva un banc dans un endroit isolé, dès qu'elle fut assise, elle tira Monique par la main et la fit se coucher sur ses genoux, celle-ci essaya bien de protester
- non, s'il te plaît, pardon, pas ici, momy, non, non..
Pendant ces protestations, Elodie avait retroussé la jupe et baissé la culotte sous les fesses. La fessée retentissait dans le silence, Monique avait vraiment l'impression que sa fessée était entendue par la ville entière, malgré la cuisson, elle se mordit les lèvres pour ne pas crier.
Quand les fesses furent bien rouges, Elodie la relâcha et sans lui remonter la culotte la fit s'asseoir à côté d'elle.
- voilà ce qui arrive quand on est désobéissante, la prochaine fois que tu continues à faire la tête malgré mes avertissements, je te déculotte et te donne la fessée devant tout le monde.
Cette menace mit Monique au comble de la confusion, ses fesses nues et cuisantes reposant directement sur le banc lui rappelait douloureusement sa condition.
Le lendemain, Elodie prit rendez-vous à l'institut, elle expliqua à Monique qu'elle avait besoin d'un martinet, il y en avait dans toutes les maisons où on éduquait une jeune fille, il serait suspendu à la cuisine pour être toujours à disposition.
Sophie était à l'accueil, quand elle vit Monique habillée comme une grande jeune fille, elle se mit à rire
- oh, mais c'est Monique, qu'elle jolie demoiselle, voyons ça,
Elle la fit pivoter, tapota le derrière sur la jupette et sans aucune gène la retroussa, découvrant la sage culotte.
- que nous vaut le plaisir de cette visite, il vous faut encore une petite fessée.
Elodie se présenta, Sophie souriait en regardant cette jeune femme énergique, la situation était certes incongrue, une fille qui éduquait sa mère en utilisant les bonnes vieilles méthodes mais ici à l'institut on avait l'habitude de fesser les adultes de n'importe quel âge. A la demande d'Elodie elle sortit les 3 types de martinet, le numéro 3 fut rapidement écarté, il était destiné aux punitions très sévères avec ses longues lanières, le numéro 2 était vraiment le martinet classique utilisé dans toutes les familles, des lanières de 30 cm, un bon manche en bois, Elodie caressait les lanières
- je suppose qu'on peut l'essayer
Monique rougit, Sophie acquiesça
- aucun problème, Monique connaît la position, allez en place
Madame Dumon allait à nouveau connaître l'humiliation du déculottage et de la fessée en public. Elle se coucha sur la petite plate-forme rembourrée, Sophie retroussa la jupe et baissa la culotte blanche à mi cuisse.
- voilà madame est prête pour la fessée au martinet, je vous montre et ensuite je vous ferai essayer. Il faut se mettre de côté et à bonne distance pour que les lanières s'appliquent sur toute la surface du fessier.
Elle se plaça comme elle l'avait indiqué et les lanières cinglèrent les deux fesses bien tendues, Monique poussa un cri sous la brûlure, les lanières avaient laissés des longues marques rouges en travers de la croupe, immédiatement Sophie avait relevé le martinet et appliqué le deuxième coup, Monique trépignait sur place mais habituée aux punitions elle ne cherchait pas à bouger connaissant les conséquences. Sophie appliqua une dizaine de coup de martinet et tendit l'instrument punitif à Elodie
- tenez, à vous, je pense que cette jeune fille à besoin d'une bonne fessée et j'ai juste commencé l'échauffement de son derrière.
Elodie en souriant prit le martinet, elle se plaça comme Sophie lui avait indiqué, elle apprenait vite et Monique s'en rendit compte rapidement la fessée promise fut exemplaire quand elle reposa le martinet les fesses de la pauvre Monique étaient écarlates, avec des traces des lanières qui descendaient sur le haut des cuisses, elle pleurait et serrait les fesses pour essayer d'atténuer la cuisson. Sophie la fit se relever et comme à son habitude elle lui saisi l'oreille et la conduisit au coin.
- il serait dommage de ne pas exposer une aussi belle paire de fesses.
Elodie appréciait le spectacle, elle regarda derrière le bureau et vit une petite culotte blanche accrochée sous le nom de Sophie, elle sourit en regardant la jeune assistante
- les fesses refroidissent mieux quand elles sont à l'air…
Sophie rougit et légèrement gênée changea de conversation, elle prit le martinet numéro 1
- celui-ci est très pratique, c'est le martinet de voyage, avec son manche court et ses lanières de 20cm, on peut le caler dans son sac à main, et puis on peut mettre le puni sur ses genoux c'est quand même la meilleure position pour la fessée, on les tient bien en place et ils redeviennent des gamins ou des gamines bien sages.
Elodie prit le martinet et elle en caressa les lanières en regardant fixement Sophie
- on peut aussi l'essayer ?
De plus en plus rougissante la jeune femme tentait de se sortir du piège où voulait l'entraîner Elodie. Celle-ci se rendait compte que son attitude et son regard avaient une influence sur certaines personnes, fesser sa mère bientôt ne lui suffirait plus, elle avait claqué les fesses de Vanessa chez madame Costa mais corriger cette jeune femme qu'elle avait en face d'elle lui semblait plus pervers. Sophie trouva la parade à cette menace quasiment explicite
- Monique a les fesses encore un peu chaudes mais Hugues qui est au coin à les fesses qui commencent à pâlir, vous avez déjà fessé un monsieur ?
Un peu déçue de manquer l'occasion de découvrir l'anatomie postérieure de Sophie, Elodie se tourna vers le monsieur désigné par la jeune femme. Il attendait au coin, mains sur la tête, la culotte descendue à mi cuisse, ses fesses étaient encore bien rouges, non elle n'avait pas encore goûté au plaisir de soumettre un monsieur, ça allait être une expérience agréable. Sophie attrapa Hugues par l'oreille et l'amena vers Elodie
- jeune homme, madame Rose m'a bien recommandé de vous garder les fesses bien rouges tout l'après-midi, elles commencent à perdre leurs belles couleurs, la demoiselle qui est la, va se faire un plaisir de les faire à nouveau reluire.
Hugues était rouge de honte, certes depuis que son épouse l'envoyait régulièrement à l'institut, il avait pris l'habitude des sévères fessées administrées par madame Rose ou ses deux jeunes assistantes, il était également régulièrement fessé par sa jeune épouse mais ce faire fesser en public par une inconnue était nouveau, cependant il ne protesta pas, Elodie s'était installée sur une chaise, elle le prit par la main pour l'attirer sur ses genoux, sans résistance il se retrouva dans la position classique d'une fessée maternelle, sa nouvelle maman avait 22 ans. Elle le positionna mieux, de façon que ses fesses soient bien placées, tendues à souhait, la tête en bas, les pieds décollés du sol, il était à sa merci. Sophie en souriant lui tendit le martinet.
- vous pouvez y aller sans crainte, il a une bonne paire de fesses et il a l'habitude des punitions, en plus sa femme nous a recommandé de le soigner car il a été particulièrement désobéissant cette semaine.
- ah, c'est donc ça, et bien mon petit ami vous allez voir comment je traite les désobéissants.
Le martinet de voyage convenait parfaitement pour ce genre de fessée, le puni se retrouvait dans une position enfantine et l'utilisation du martinet rappelait aux punis, les corrections maternelles. Et pour une bonne fessée, ce fut une bonne fessée, Hugues se tortillait sur les genoux d'Elodie, sa culotte était descendue jusqu'à ses chevilles, les lanières cinglaient impitoyablement le fessier qui s'ouvrait et se serrait sans aucun souci de pudeur. La fessée ne dura pas très longtemps, Hugues en avait déjà reçu 2 dans l'après midi et ses fesses avaient repris rapidement une belle couleur, les supplications étaient la preuve de l'efficacité du châtiment. Elodie le remit sur pied et elle prit plaisir à le ramener au coin tenu par l'oreille. Elle remonta la culotte au dessus des genoux et comme une maman satisfaite de son œuvre, elle tapota les fesses brûlantes
- alors, on va être bien obéissant maintenant j'espère.
Comme Hugues pleurnichait, le nez au mur sans répondre, elle claqua les fesses
- je vous ai posé, une question, mon petit ami, est-ce que vous désobéirez encore ?
- non, non, pardon mademoiselle, aie, aie
Les quelques claques distribuées sur les fesses écarlates étaient très douloureuses. Satisfaite, Elodie revint vers le comptoir
- c'est parfait, je vais prendre les deux, il y en aura un accroché au mur dans la cuisine et l'autre sera toujours dans mon sac à main, prêt à servir.
Sophie approuva ce choix, elle vit que les yeux de la jeune femme regardaient à nouveau sa culotte.
- la fessée de madame Rose, c'était à la main ou au martinet ?
Sophie les joues rosissant eu un petit sourire
- mademoiselle, vous êtes un peu indiscrète, en général ici c'est moi qui pose les questions, mais puisque vous êtes curieuse, sachez que madame Rose se contente rarement d'une seule fessée, donc j'ai eu droit à la main et au martinet. Et vous pour vous punir de votre curiosité, que méritez vous à votre avis ?
Ce fut au tour d'Elodie de rougir. Sophie lui indiqua la porte du box
- si vous voulez bien me suivre.
Elle referma la porte et fit face à Elodie.
- je pense que vous auriez bien aimé me rougir les fesses, mais ce sera pour une autre fois, aujourd'hui c'est moi qui vais vous baisser la culotte mademoiselle, je suis gentille, je vous évite la fessée publique, afin que vous gardiez votre autorité sur Monique, mais si vous refusez de vous laissez déculotter bien gentiment, ce sera la fessée cul nu dans le hall d'accueil !
Elodie se rendit compte un peu tard qu'on ne faisait jamais la maligne à l'institut sans conséquences pour ses fesses. Sophie s'était assise sur une chaise, elle savourait sa petite revanche, elle voulait soumettre complètement cette petite jeune femme insolente.
- bien mademoiselle, je vais compter jusqu'à 3, si à 3 vous n'êtes pas venue bien docilement vous coucher sur mes genoux, nous retournerons vous mettre les fesses à l'air au secrétariat, je commence 1.. 2
Elodie rouge de honte de devoir elle même se mettre en position, signe de sa soumission, se dépêcha d'obéir. Sophie se mit à rire
- et bien voilà une demoiselle bien pressée de recevoir sa fessée, je ne vais pas vous décevoir.
Elle retroussa la jupe sur les reins, si elle imposait des culottes sages à sa mère, ce n'était pas son cas, elle portait ce jour là une très jolie petite culotte rose en dentelle transparente. Sophie appréciait toujours le spectacle de la première fois où elle découvrait le derrière d'une nouvelle punie, elle prenait toujours son temps avant de déculotter sa patiente
- très joli dessous mademoiselle, ça ne cache pas grand chose, vous avez de très jolies fesses, mais vous le savez une fessée c'est toujours cul nu.
Elodie avait déjà reçu des fessées coquines mais jamais elle n'avait été punie de cette façon, elle serra les fesses en sentant l'ultime rempart de sa pudeur descendre doucement.
- vraiment très jolies mais un peu trop pâle, on va leurs donner une meilleure mine, allez, on se détend, on me desserre ces petites fesses.
Elodie était un peu inquiète de la première claque mais Sophie savait faire durer le plaisir, elle caressait la croupe musclée de la jeune femme qui sous la main experte de la jeune femme s'ouvrit, c'est à ce moment qu'elle commença la fessée, les claques tombaient en avalanche sur le derrière qui d'un seul coup se mit en mouvement au rythme de la correction, Elodie s'était jurée de ne rien dire, mais Sophie était une redoutable fesseuse et au bout de quelques instants, elle se mit à gémir puis à supplier et enfin quelques larmes coulèrent sur ses joues. Ses fesses étaient écarlates, une bonne fessée manuelle était très efficace pour colorer un derrière. Sophie la remit sur ses pieds et elle la regarda avec un sourire triomphant.
- donnez-moi votre culotte.
Elodie la regarda surprise.
- c'est bien vous qui m'avez dit que les fesses refroidissent mieux quand elles restent à l'air.
Elodie se mordit les lèvres, ça lui apprendrait à faire la maligne. Elle enleva la fine lingerie et la tendit à Sophie. Celle-ci la prit et la mit dans sa poche
- on verra comment vous pourrez la récupérer, en attendant un après-midi sans culotte vous fera le plus grand bien.
La jupe d'Elodie était retombée, cachant ses rondeurs rubicondes. Elles revinrent dans le hall, Monique et Hugues n'avaient pas bougé exposant toujours leurs fesses bien rouges. Madame Dumon eut l'autorisation de se reculotter mais pas le monsieur, Sophie lui annonça qu'elle n'en avait pas encore fini avec ses fesses. Le martinet de voyage trouva immédiatement sa place dans le sac à main d'Elodie, l'autre eut droit à un emballage cadeau et c'est Monique qui fut chargée de le porter. Avant de partir, Elodie demanda si l'institut pratiquait l'épilation intime
- je désire faire épiler entièrement Monique, ce sera plus conforme à sa condition de grande fille.
- nous ne faisons pas ce genre de prestation mais je vais vous donner une adresse, c'est une amie, elle fait ça très bien, vous pourrez venir de ma part.
Monique avait entendu, elle aurait voulu protester mais ses fesses encore cuisantes l'en empêchèrent. Elodie lui administra une vigoureuse claque sur les fesses pour lui signifier qu'il était temps de partir, elle salua Sophie avec un petit sourire
- à bientôt mademoiselle.
- je suis à votre disposition.
Sophie lui avait rendu son sourire, elle caressa la culotte dans sa poche.
Bonjour Sylvie,
RépondreSupprimerMerci beaucoup pour ce beau récit que j'ai plaisir à retrouver sur votre blog personnel.
J'espère que l'Institut de madame Rose va rester ouvert encore longtemps !
Cordialement
Merci pour ce commentaire élogieux, l'institut n'est pas prêt de fermer rassurez vous. Il y a encore beaucoup de chapitre déjà écrit qui attendent des illustrations pour être publié. Votre commentaire va certainement m'inciter à continuer à m'intéresser aux fesses de nos héros et donc à écrire des suites, Monique, Elodie, Amélie et toutes leurs amies vont continuer à nous présenter leurs derrières déculottés.
SupprimerSylvie