jeudi 24 février 2022

Mlle Caroline fessothérapeute 3

 Même les dames peuvent bénéficier des bienfaits de la fessothérapie


- avant de commencer, j'aimerais que vous me confirmiez les raisons pour lesquelles vous m'avez confié Sylvie. 

- ...

- parfait, je pense comme vous que la procrastination doit être traitée énergiquement, oui, oui une bonne fessée déculottée, je m'apprête à lui baisser la culotte. 

- ...

- non elle n'est pas trop âgée pour se faire déculotter, quand on se comporte comme une gamine on doit être traitée comme telle. 

- ...

- oh, c'est bien simple, je vais d'abord lui échauffer le derrière avec une bonne fessée manuelle puis je finirai avec la brosse de bain. 

- ...

- oui c'est sûr que ça brûle beaucoup, mais elle a une bonne paire de fesses, elle va bien la supporter. Cependant, je pense qu'elle aura du mal à s'asseoir ce soir. 

- ...

- oui c'est ce que j'allais vous proposer, vous lui administrer une bonne fessée déculottée avant de la coucher et une autre demain matin. Pour ma part je la reverrai pour faire le point dans une semaine, si c'est nécessaire j'aurai une nouvelle discussion avec son petit derrière. 

- ...

- vous savez j'ai l'habitude de ce genre de dame, elles sont prêtes à tout promettre quand elles ont les fesses brûlantes mais elles oublient vite, ça m'étonnerait qu'une seule séance soit suffisante. Mais de votre côté, il faut que vous fassiez preuve de fermeté. Une bonne fessée déculottée de temps en temps, il n'y a que cela qu'elles comprennent. 

- ...

- bien je vous laisse, j'ai l'impression que Sylvie commence à s'impatienter et puis je suis impatiente de découvrir ses jolies fesses. 

mardi 22 février 2022

L'institut chapitre 11

 L'éducation de Monique



Elodie avait eu le temps de réfléchir pendant que sa mère était en retenue chez madame Costa. Il lui fallait reprendre l'éducation de sa mère et les méthodes de madame Rose et de madame Costa semblaient appropriée à la situation en plus son caractère dominateur et intransigeant collait bien avec une éducation stricte. Elle regarda sa mère exposant ses fesses rougies, cette situation qui aurait pu paraître bizarre à un inconnu pénétrant dans la pièce lui semblait naturelle, Monique avait accepté sans beaucoup de résistance de recevoir une fessée déculottée et elle se surprenait à aimer donner la fessée, que la punie fut sa mère, une dame de 45 ans ne changeait rien à l'affaire, cela donnait même du piquant à la correction. Le repas était prêt, elle appela Monique

- c'est bien ma chérie, tu peux te reculotter et venir à table, et je te rappelle que je ne veux pas que tu fasses la tête.

Monique se le tint pour dit et tenta de faire bonne figure, Elodie lui expliqua comment allait se dérouler son existence.

- nous allons mettre les choses au point, maman, à partir de maintenant c'est moi qui ai autorité sur toi, tu as pu constater que je suis très exigeante mais c'est pour ton bien, je vais être ta nouvelle maman, tu m'appellera momy, c'est le terme américain pour dire maman, comme ça il n'y aura pas de confusion, tu seras ma grande fille et quand tu l'auras mérité, momy te déculottera et tu recevras la fessée, c'est bien compris?

- oui,

- oui qui ?

- euh, pardon, oui momy.

- c'est mieux, je ne tolérerai aucune insolence ni désobéissance, à chaque fois tu sais ce qui t'arrivera ?

- oui momy

- et bien, j'aimerais être sûr que tu as bien compris, qu'est-ce qui va t'arriver si tu désobéis ?

- euh, une, une fessée….

- c'est ça, et une fessée comment ?

Monique était de plus en plus rouge, Elodie se régalait de voir la gêne sur le visage de sa mère.

- euh, une fessée…. déculottée..

- c'est tout à fait ça, je vois que tu as bien compris, une bonne fessée cul nu pour une grande fille désobéissante. Pour ce qui concerne ta tenue, comme je te l'ai dit ce matin, nous irons dès demain t'acheter des culottes de jeune fille et j'en profiterai pour te prendre quelques jupes, je trouve que celle que tu portes te vas très bien, mais tu ne vas pas la mettre tout le temps.

Devant la mine étonnée de Monique, elle se mit à rire.

- rassure toi, tu n'iras pas travailler en jupette, mais dès que tu seras à la maison ou que l'on sortira ensemble tu seras habillée comme je l'entends, elles seront un peu plus longue je te rassure, avec celle là, je trouve qu'on voit un peu trop ta culotte, mais je veux qu'elles soient largement au dessus du genou, c'est plus simple à retrousser pour la fessée.

Le repas se déroula sans accroc, en fait Elodie parlait et Monique acquiesçait, quand elle débarrassa la table, elle était redevenue une jeune fille obéissante, respectueuse de sa nouvelle momy. Elodie servit le café puis toujours souriante elle se tourna vers Monique

- bien ma chérie, j'espère que tu n'as pas oublié ce que je t'ai promis chez madame Costa, je te dois encore deux fessées, va dans ma chambre, la brosse à cheveux est sur la commode, c'est elle qui va s'occuper de tes petites fesses, tu me la ramène.

Monique connaissait la cuisson de cet instrument, elle pensa que sa nouvelle momy connaissait ses classiques, la brosse à cheveux est l'allié favori des mamans américaines pour corriger leurs grandes filles. Elle se dirigea le ventre noué vers la chambre. Quand elle revint, Elodie avait disposé une chaise au milieu du salon, pour la première fessée prévue à l'avance et annoncée, elle voulait qu'elle revête une certaine solennité.

- je suppose que tu connais la position, alors en piste pour la bonne fessée de momy Elodie

Monique ne fit aucune difficulté pour se coucher sur les genoux de sa fille devenue sa nouvelle maman, elle savait ce qu'il en coûte de résister, une fessée encore plus cuisante et une deuxième fessée assurée. La jupette était remontée naturellement, découvrant la base des fesses, elle fut retroussée haut sur les reins, la fine culotte en dentelle rentrait légèrement dans la raie fessière, laissant voir le galbe des fesses encore rouge,

- décidément, cette culotte est indécente, je vois déjà parfaitement ton petit derrière, mais je te l'ai déjà dit, la fessée de momy, c'est cul nu.

Elle baissa la culotte jusqu'à mi cuisse puis levant la brosse elle commença à claquer les deux hémisphères jumeaux. Monique commençait à être habituée à la brûlure de la fessée mais celle-ci était particulièrement douloureuse aussi il ne lui fallu pas longtemps pour se mettre à crier et à supplier Elodie de cesser la punition, bien sûr celle-ci était imperméable aux jérémiades et la fessée alla à son terme. C'est à dire une paire de fesses écarlates et une punie en pleurs, sanglotant en travers de ses cuisses.



- voilà, ce qui t'arrivera chaque fois que tu désobéira, une bonne fessée déculottée, maintenant tu vas aller te mettre au coin et je ne veux plus t'entendre.

Monique retrouva sa place habituelle nez contre le mur, elle y resta 1h. A la fin de sa pénitence, Elodie la laissa libre de vaquer à ses occupations mais elle l'avait prévenue

- tu recevras ta troisième fessée avant de te coucher, tu verras on dort très bien avec les fesses chaudes et puis comme ça tu auras toute la nuit pour réfléchir aux conséquences de tes bêtises.

Le programme se déroula comme prévu, effectivement Monique s'endormi sur le ventre avec une croupe écarlate et cuisante.

Le lendemain matin au déjeuner, comme la veille, Elodie la fit se retourner et lui baissa la culotte sans aucune gêne pour lui examiner les fesses.

- et bien voilà des petites fesses en parfait état, à peine rosée, tu as bien dormi ?

Une petite claque sur les fesses et la culotte fut remontée. Monique savait d'expérience qu'il valait mieux répondre.

- oui

- oui qui ?

Une claque avait retenti sur le derrière culotté.

- aie, pardon, oui.. momy.

- c'est mieux, je déteste l'impolitesse, la prochaine fois, c'est sur mes genoux culotte baissée, tu as bien compris !

Monique baissa la tête en rougissant

- oui, momy

Le déjeuner terminé, Monique put aller se préparer, elle travaillait ce matin la, Elodie lui annonça qu'elle l'accompagnerait au travail et qu'elle viendrait la rechercher pour aller faire des courses. Monique savait qu'il était inutile de protester.

A midi, Elodie l'attendait, elle l'emmena aux nouvelles galeries, elle savait qu'elle y trouverait ce qu'elle voulait sans être gênée, au rayon lingeries, elle choisit des culottes blanches en coton bien couvrante, elle acheta également des socquettes blanches, et au rayon adolescente elle trouva son bonheur sous la forme de kilt

- voilà ce qu'il te faut, tu feras jeune fille de bonne famille, on va l'essayer

Les cabines d'essayage étaient grandes, elles purent y rentrer à deux, le kilt était pratique car avec son pan que l'on pouvait plus ou moins croiser, le fessier de Monique qui était un peu plus conséquent que celui d'une adolescente y trouvait sa place.

La jupette arrivait à 10 cm au dessus du genou ce qui lui donnait un air juvénile mais qui cachait mieux ses fesses que celle du week-end. En se voyant dans la glace, Monique ne put s'empêcher de faire la grimace, ce qui fit rire Elodie

- ça ne te plaît pas ? Pourtant tu es très mignonne, tu es vraiment ma grande fille maintenant.

Elles se dirigèrent vers la caisse, Monique faisait vraiment la tête, ce qui lui valu une petite claque sur la jupe et un avertissement d'Elodie, quand elle eu réglé, regardant sa mère elle lui dit d'un ton glacial

- je t'avais prévenu

Puis s'adressant à la caissière

- pouvons nous disposer des cabines, madame voudrait mettre sa nouvelle tenue.

En souriant la caissière acquiesça, Monique avait blêmi. Elodie la prit par la main et elles retournèrent aux cabines

- tu l'as cherché, maintenant tu te déshabille entièrement et tu me mets ta nouvelle tenue et vite si tu ne veux pas en plus une fessée.

Le ton était sans réplique, Monique les joues écarlates s'exécuta, au moment d'enlever sa culotte, elle hésita

- si tu y tiens, je vais moi même te l'enlever

Elodie avait courbée sa mère sous son bras et lui avait baissé la culotte une dizaine de claques avaient retenti, heureusement pour Monique, les cabines étaient au fond du magasin et la musique d'ambiance couvrait le bruit de la petite fessée.

Elodie la relâcha et finit de lui retirer la fine lingerie.

- j'espère que tu as compris, dépêche toi maintenant !

Monique avait parfaitement compris le message et sans un mot elle mit sa tenue de jeune fille de bonne famille. La caissière les regarda passer, Elodie tenant par la main cette dame redevenue en quelques instants une adolescente.

Elodie démarra la voiture sans un mot, elle s'arrêta sur le parking d'un parc très calme et elle invita sa mère à la suivre, il n'y avait personne à cette heure là. Elodie trouva un banc dans un endroit isolé, dès qu'elle fut assise, elle tira Monique par la main et la fit se coucher sur ses genoux, celle-ci essaya bien de protester

- non, s'il te plaît, pardon, pas ici, momy, non, non..

Pendant ces protestations, Elodie avait retroussé la jupe et baissé la culotte sous les fesses. La fessée retentissait dans le silence, Monique avait vraiment l'impression que sa fessée était entendue par la ville entière, malgré la cuisson, elle se mordit les lèvres pour ne pas crier. 



Quand les fesses furent bien rouges, Elodie la relâcha et sans lui remonter la culotte la fit s'asseoir à côté d'elle.

- voilà ce qui arrive quand on est désobéissante, la prochaine fois que tu continues à faire la tête malgré mes avertissements, je te déculotte et te donne la fessée devant tout le monde.

Cette menace mit Monique au comble de la confusion, ses fesses nues et cuisantes reposant directement sur le banc lui rappelait douloureusement sa condition.

Le lendemain, Elodie prit rendez-vous à l'institut, elle expliqua à Monique qu'elle avait besoin d'un martinet, il y en avait dans toutes les maisons où on éduquait une jeune fille, il serait suspendu à la cuisine pour être toujours à disposition.

Sophie était à l'accueil, quand elle vit Monique habillée comme une grande jeune fille, elle se mit à rire

- oh, mais c'est Monique, qu'elle jolie demoiselle, voyons ça,

Elle la fit pivoter, tapota le derrière sur la jupette et sans aucune gène la retroussa, découvrant la sage culotte.

- que nous vaut le plaisir de cette visite, il vous faut encore une petite fessée.

Elodie se présenta, Sophie souriait en regardant cette jeune femme énergique, la situation était certes incongrue, une fille qui éduquait sa mère en utilisant les bonnes vieilles méthodes mais ici à l'institut on avait l'habitude de fesser les adultes de n'importe quel âge. A la demande d'Elodie elle sortit les 3 types de martinet, le numéro 3 fut rapidement écarté, il était destiné aux punitions très sévères avec ses longues lanières, le numéro 2 était vraiment le martinet classique utilisé dans toutes les familles, des lanières de 30 cm, un bon manche en bois, Elodie caressait les lanières

- je suppose qu'on peut l'essayer

Monique rougit, Sophie acquiesça

- aucun problème, Monique connaît la position, allez en place

Madame Dumon allait à nouveau connaître l'humiliation du déculottage et de la fessée en public. Elle se coucha sur la petite plate-forme rembourrée, Sophie retroussa la jupe et baissa la culotte blanche à mi cuisse.

- voilà madame est prête pour la fessée au martinet, je vous montre et ensuite je vous ferai essayer. Il faut se mettre de côté et à bonne distance pour que les lanières s'appliquent sur toute la surface du fessier.

Elle se plaça comme elle l'avait indiqué et les lanières cinglèrent les deux fesses bien tendues, Monique poussa un cri sous la brûlure, les lanières avaient laissés des longues marques rouges en travers de la croupe, immédiatement Sophie avait relevé le martinet et appliqué le deuxième coup, Monique trépignait sur place mais habituée aux punitions elle ne cherchait pas à bouger connaissant les conséquences. Sophie appliqua une dizaine de coup de martinet et tendit l'instrument punitif à Elodie

- tenez, à vous, je pense que cette jeune fille à besoin d'une bonne fessée et j'ai juste commencé l'échauffement de son derrière.

Elodie en souriant prit le martinet, elle se plaça comme Sophie lui avait indiqué, elle apprenait vite et Monique s'en rendit compte rapidement la fessée promise fut exemplaire quand elle reposa le martinet les fesses de la pauvre Monique étaient écarlates, avec des traces des lanières qui descendaient sur le haut des cuisses, elle pleurait et serrait les fesses pour essayer d'atténuer la cuisson. Sophie la fit se relever et comme à son habitude elle lui saisi l'oreille et la conduisit au coin.

- il serait dommage de ne pas exposer une aussi belle paire de fesses.

Elodie appréciait le spectacle, elle regarda derrière le bureau et vit une petite culotte blanche accrochée sous le nom de Sophie, elle sourit en regardant la jeune assistante

- les fesses refroidissent mieux quand elles sont à l'air

Sophie rougit et légèrement gênée changea de conversation, elle prit le martinet numéro 1

- celui-ci est très pratique, c'est le martinet de voyage, avec son manche court et ses lanières de 20cm, on peut le caler dans son sac à main, et puis on peut mettre le puni sur ses genoux c'est quand même la meilleure position pour la fessée, on les tient bien en place et ils redeviennent des gamins ou des gamines bien sages.

Elodie prit le martinet et elle en caressa les lanières en regardant fixement Sophie

- on peut aussi l'essayer ?

De plus en plus rougissante la jeune femme tentait de se sortir du piège où voulait l'entraîner Elodie. Celle-ci se rendait compte que son attitude et son regard avaient une influence sur certaines personnes, fesser sa mère bientôt ne lui suffirait plus, elle avait claqué les fesses de Vanessa chez madame Costa mais corriger cette jeune femme qu'elle avait en face d'elle lui semblait plus pervers. Sophie trouva la parade à cette menace quasiment explicite

- Monique a les fesses encore un peu chaudes mais Hugues qui est au coin à les fesses qui commencent à pâlir, vous avez déjà fessé un monsieur ?

Un peu déçue de manquer l'occasion de découvrir l'anatomie postérieure de Sophie, Elodie se tourna vers le monsieur désigné par la jeune femme. Il attendait au coin, mains sur la tête, la culotte descendue à mi cuisse, ses fesses étaient encore bien rouges, non elle n'avait pas encore goûté au plaisir de soumettre un monsieur, ça allait être une expérience agréable. Sophie attrapa Hugues par l'oreille et l'amena vers Elodie

- jeune homme, madame Rose m'a bien recommandé de vous garder les fesses bien rouges tout l'après-midi, elles commencent à perdre leurs belles couleurs, la demoiselle qui est la, va se faire un plaisir de les faire à nouveau reluire.

Hugues était rouge de honte, certes depuis que son épouse l'envoyait régulièrement à l'institut, il avait pris l'habitude des sévères fessées administrées par madame Rose ou ses deux jeunes assistantes, il était également régulièrement fessé par sa jeune épouse mais ce faire fesser en public par une inconnue était nouveau, cependant il ne protesta pas, Elodie s'était installée sur une chaise, elle le prit par la main pour l'attirer sur ses genoux, sans résistance il se retrouva dans la position classique d'une fessée maternelle, sa nouvelle maman avait 22 ans. Elle le positionna mieux, de façon que ses fesses soient bien placées, tendues à souhait, la tête en bas, les pieds décollés du sol, il était à sa merci. Sophie en souriant lui tendit le martinet.

- vous pouvez y aller sans crainte, il a une bonne paire de fesses et il a l'habitude des punitions, en plus sa femme nous a recommandé de le soigner car il a été particulièrement désobéissant cette semaine.

- ah, c'est donc ça, et bien mon petit ami vous allez voir comment je traite les désobéissants.

Le martinet de voyage convenait parfaitement pour ce genre de fessée, le puni se retrouvait dans une position enfantine et l'utilisation du martinet rappelait aux punis, les corrections maternelles. Et pour une bonne fessée, ce fut une bonne fessée, Hugues se tortillait sur les genoux d'Elodie, sa culotte était descendue jusqu'à ses chevilles, les lanières cinglaient impitoyablement le fessier qui s'ouvrait et se serrait sans aucun souci de pudeur. La fessée ne dura pas très longtemps, Hugues en avait déjà reçu 2 dans l'après midi et ses fesses avaient repris rapidement une belle couleur, les supplications étaient la preuve de l'efficacité du châtiment. Elodie le remit sur pied et elle prit plaisir à le ramener au coin tenu par l'oreille. Elle remonta la culotte au dessus des genoux et comme une maman satisfaite de son œuvre, elle tapota les fesses brûlantes

- alors, on va être bien obéissant maintenant j'espère.

Comme Hugues pleurnichait, le nez au mur sans répondre, elle claqua les fesses

- je vous ai posé, une question, mon petit ami, est-ce que vous désobéirez encore ?

- non, non, pardon mademoiselle, aie, aie

Les quelques claques distribuées sur les fesses écarlates étaient très douloureuses. Satisfaite, Elodie revint vers le comptoir

- c'est parfait, je vais prendre les deux, il y en aura un accroché au mur dans la cuisine et l'autre sera toujours dans mon sac à main, prêt à servir.

Sophie approuva ce choix, elle vit que les yeux de la jeune femme regardaient à nouveau sa culotte.

- la fessée de madame Rose, c'était à la main ou au martinet ?

 Sophie les joues rosissant eu un petit sourire

- mademoiselle, vous êtes un peu indiscrète, en général ici c'est moi qui pose les questions, mais puisque vous êtes curieuse, sachez que madame Rose se contente rarement d'une seule fessée, donc j'ai eu droit à la main et au martinet. Et vous pour vous punir de votre curiosité, que méritez vous à votre avis ?

Ce fut au tour d'Elodie de rougir. Sophie lui indiqua la porte du box

- si vous voulez bien me suivre.

Elle referma la porte et fit face à Elodie.

- je pense que vous auriez bien aimé me rougir les fesses, mais ce sera pour une autre fois, aujourd'hui c'est moi qui vais vous baisser la culotte mademoiselle, je suis gentille, je vous évite la fessée publique, afin que vous gardiez votre autorité sur Monique, mais si vous refusez de vous laissez déculotter bien gentiment, ce sera la fessée cul nu dans le hall d'accueil !

Elodie se rendit compte un peu tard qu'on ne faisait jamais la maligne à l'institut sans conséquences pour ses fesses. Sophie s'était assise sur une chaise, elle savourait sa petite revanche, elle voulait soumettre complètement cette petite jeune femme insolente.

- bien mademoiselle, je vais compter jusqu'à 3, si à 3 vous n'êtes pas venue bien docilement vous coucher sur mes genoux, nous retournerons vous mettre les fesses à l'air au secrétariat, je commence 1.. 2

Elodie rouge de honte de devoir elle même se mettre en position, signe de sa soumission, se dépêcha d'obéir. Sophie se mit à rire

- et bien voilà une demoiselle bien pressée de recevoir sa fessée, je ne vais pas vous décevoir.

Elle retroussa la jupe sur les reins, si elle imposait des culottes sages à sa mère, ce n'était pas son cas, elle portait ce jour là une très jolie petite culotte rose en dentelle transparente. Sophie appréciait toujours le spectacle de la première fois où elle découvrait le derrière d'une nouvelle punie, elle prenait toujours son temps avant de déculotter sa patiente

- très joli dessous mademoiselle, ça ne cache pas grand chose, vous avez de très jolies fesses, mais vous le savez une fessée c'est toujours cul nu.

Elodie avait déjà reçu des fessées coquines mais jamais elle n'avait été punie de cette façon, elle serra les fesses en sentant l'ultime rempart de sa pudeur descendre doucement.

- vraiment très jolies mais un peu trop pâle, on va leurs donner une meilleure mine, allez, on se détend, on me desserre ces petites fesses.

Elodie était un peu inquiète de la première claque mais Sophie savait faire durer le plaisir, elle caressait la croupe musclée de la jeune femme qui sous la main experte de la jeune femme s'ouvrit, c'est à ce moment qu'elle commença la fessée, les claques tombaient en avalanche sur le derrière qui d'un seul coup se mit en mouvement au rythme de la correction, Elodie s'était jurée de ne rien dire, mais Sophie était une redoutable fesseuse et au bout de quelques instants, elle se mit à gémir puis à supplier et enfin quelques larmes coulèrent sur ses joues. Ses fesses étaient écarlates, une bonne fessée manuelle était très efficace pour colorer un derrière. Sophie la remit sur ses pieds et elle la regarda avec un sourire triomphant.

- donnez-moi votre culotte.

Elodie la regarda surprise.

- c'est bien vous qui m'avez dit que les fesses refroidissent mieux quand elles restent à l'air.

Elodie se mordit les lèvres, ça lui apprendrait à faire la maligne. Elle enleva la fine lingerie et la tendit à Sophie. Celle-ci la prit et la mit dans sa poche

- on verra comment vous pourrez la récupérer, en attendant un après-midi sans culotte vous fera le plus grand bien.

La jupe d'Elodie était retombée, cachant ses rondeurs rubicondes. Elles revinrent dans le hall, Monique et Hugues n'avaient pas bougé exposant toujours leurs fesses bien rouges. Madame Dumon eut l'autorisation de se reculotter mais pas le monsieur, Sophie lui annonça qu'elle n'en avait pas encore fini avec ses fesses. Le martinet de voyage trouva immédiatement sa place dans le sac à main d'Elodie, l'autre eut droit à un emballage cadeau et c'est Monique qui fut chargée de le porter. Avant de partir, Elodie demanda si l'institut pratiquait l'épilation intime

- je désire faire épiler entièrement Monique, ce sera plus conforme à sa condition de grande fille.

- nous ne faisons pas ce genre de prestation mais je vais vous donner une adresse, c'est une amie, elle fait ça très bien, vous pourrez venir de ma part.

Monique avait entendu, elle aurait voulu protester mais ses fesses encore cuisantes l'en empêchèrent. Elodie lui administra une vigoureuse claque sur les fesses pour lui signifier qu'il était temps de partir, elle salua Sophie avec un petit sourire

- à bientôt mademoiselle.

- je suis à votre disposition.

Sophie lui avait rendu son sourire, elle caressa la culotte dans sa poche.

 

lundi 21 février 2022

L'institut chapitre 10

 Un après-midi chez madame Costa



Les deux punies avaient été installées chacune d'un côté de la table, elle n'avait pas eu le droit de remonter leur culotte si bien que leur derrière cuisant était directement posé sur le cannage des chaises rendant la position assise très inconfortable, Vanessa ne cessait de se tortiller ce qui eu pour effet d'agacer Florence

- Vanessa vient ici immédiatement, je vais te donner l'occasion de tortiller tes fesses.

La jeune fille se leva et fit le tour de la table, dès qu'elle fut à sa portée, Florence Costa lui saisi le bras pour l'attirer vers elle. Posant sa jambe sur un tabouret elle souleva Vanessa et la coucha sur sa cuisse horizontale, les pieds de la jeune fille quittèrent le sol, si elle était bien pourvue au niveau de son postérieur, elle n'était pas très lourde et madame Costa n'eut aucun mal à la tenir en équilibre sur sa cuisse, ses belles fesses rebondies étaient encore rouges et présentaient la trace du cannage. La main se leva et commença à claquer ces rotondités si bien exposées, Vanessa se mit effectivement à vraiment tortiller ses fesses, elle s'ouvrait et se refermait au rythme de la fessée, découvrant largement son intimité, mais Vanessa n'en avait cure tout à la cuisson qui lui embrasait le bas du dos. Madame Costa cessa la fessée mais pour parfaire que la leçon soit profitable, elle la garda dans cette position humiliante le temps d'un petit discours

- j'espère que tu as bien compris, tout le monde a pu voir que tu tortillais très bien tes fesses, mais quand tu écris, je ne veux pas te voir bouger, si il le faut tu reviendra faire un petit séjour sur mon genoux, c'est bien compris ?

Elle avait accompagné cette interrogation de quatre claques sur les fesses épanouies devant elle, Vanessa se mit à pleurer

- oh, oui, aie, aie, pardon madame je ne ferai plus, aie, pardon.

Satisfaite, Florence la reposa par terre et lui saisissant l'oreille, elle la ramena à sa place. Elle ne voulait pas être injuste, aussi cette fessée était le pendant de celle reçue par Monique. Celle-ci était satisfaite et c'était avec un plaisir évident qu'elle avait assisté à la fessée de Vanessa, pour une fois que ce n'était pas elle qui exposait sa croupe. Elle avait un peu oublié la cuisson de ses propres fesses.

L'après midi avançait, Florence décida qu'il était temps de la récréation, elle les fit se lever, et elles durent l'une après l'autre venir se pencher devant elle pour qu'elle examine leur fessier.

- parfait, ces fesses sont en parfait état pour la prochaine fessée, vous restez fesses à l'air mais vous pouvez vous dégourdir les jambes, je vais vous chercher un jus de fruit.

Florence Costa était ainsi, elle se montrait implacable et un peu perverse dans l'administration des punitions mais elle pouvait aussi se montrer maternelle. Monique commençait à s'habituer à son autorité et elle se surprenait à admettre le bien fondé des fessées qu'elle lui administrait. C'était un spectacle un peu surprenant de voir cette dame d'âge mûr et cette jeune fille, la jupe épinglée dans le dos, la culotte descendue sous les fesses exposant un derrière écarlate en train de boire un jus de fruit sous l'œil d'une institutrice sévère. Elle tapa dans les mains.

- bon, allez au travail, je n'ai pas l'impression que ça à beaucoup avancé ces lignes à copier, vous êtes prévenues, si ce n'est pas fini, vous reviendrez demain me présenter vos fesses.

Évidemment, le nombre de lignes à copier était bien trop grand pour pouvoir être terminé à temps et Florence le savait très bien. A 18h, elle ramassa les copies, les deux punies durent se lever et venir devant madame Costa qui s'était assise sur une chaise.

- vous étiez prévenue, Monique, en position vite !

En un instant celle-ci avait retrouvé une position qu'elle connaissait trop bien depuis quelques temps, couchée en travers des cuisses d'une dame, les mains posées par terre, les jambes pendantes de l'autre côté et au sommet de la courbe formée par son corps une paire de fesses bien exposées et comme d'habitude la brûlure de la première claque suivie par toutes les autres et l'impossibilité de se retenir de supplier et enfin de pleurer. La suite aussi était classique, le nez au mur, les mains sur la tête pendant que retentissait dans son dos la fessée de Vanessa qui elle aussi pleurait à chaudes larmes. Quand les deux corrections furent terminées, Florence leur annonça la suite, elle avait préparé deux carnets à leur nom.

- c'est votre carnet de liaison où est indiqué vos punitions, pour aujourd'hui c'est 4 fessées que vous avez reçue, toi Vanessa tu le feras signer par ta maman, je pense que tu peux t'attendre à une bonne déculottée. Elle remit son carnet à Monique, en lui disant

- pour toi pas de maman pour le signer et te corriger, c'est bien dommage.

Madame Dumon était un peu inquiète de cette remarque, mais elle fut rassurée en pensant à sa situation, elle était divorcée son ex habitait loin, elle se demanda si par hasard, il l'aurait déculottée pour lui administrer une fessée, elle balaya cette pensée désagréable, la seule personne qui habitait chez elle de temps en temps c'était sa fille Elodie âgée de 23 ans qui finissait des études de prof de sport.

Elles purent enfin se reculotter, elles se rendirent compte qu'elles avaient passé tout l'après midi les fesses à l'air.

- je vous attends demain matin à 10h, vous finirez vos copies.

Dans l'ascenseur, Vanessa s'adressa à Monique

- tu as de la chance de ne pas habiter chez ta mère, moi je vais avoir droit à ma fessée en arrivant.

Monique sourit, elle compatissait un peu au malheur de sa compagne d'infortune. En arrivant chez elle, Elodie regardait la télé, Monique lui lança un petit bonjour et se dirigea vers sa chambre, elle voulait quitter au plus vite sa tenue de collégienne. Elodie l'interpella.

- maman, on pourrait se parler ?

- attend un peu ma chérie, je me change et j'arrive.

- je ne crois pas que ça soit la peine, madame Costa vient de m'appeler…

Monique, s'arrêta net, un frisson l'a parcouru. Elle regarda sa fille, Elodie était une grande jeune femme blonde, très sportive aussi stricte et mûre que sa mère était désorganisée et un peu fofolle, elle souriait.

- tu peux enlever ton manteau s'il te plaît.

Monique ne savait plus quoi faire, elle tenta une dernière chose,

- mais enfin, Elodie laisse moi un peu tranquille

- tu préfères que j'appelle madame Costa ou peut-être un séjour chez madame Rose ?

Monique se rendit compte que la partie était perdue, lentement elle quitta son manteau et elle apparu dans son costume de collégienne.

- quelle ravissante jeune fille, tu n'as pas été très sage cet après-midi, dis moi. Madame Costa m'a dit qu'elle avait été obligée de te donner la fessée, c'est vrai ?

Monique était sidérée, aucun mot ne sortait de sa bouche

- tu ne veux pas répondre, et bien nous allons vérifier, viens ici et tourne toi.

Comme un automate, elle s'exécuta présentant ses fesses recouvertes encore par la courte jupette.

- retrousse ta jupe !

Les ordres étaient donnés d'une voix autoritaire qui ne laissait rien présager de bon, habituée depuis maintenant 15 jours à obéir sans discuter madame Dumon présentait maintenant sa culotte blanche de petite fille à Elodie. Celle-ci saisi l'élastique de la culotte et elle la descendit sous les fesses. Elles étaient encore bien colorées par les fessées successives.

- c'est bien ce que m'a dit madame Costa, tu as été très vilaine, elle a bien fait.

Monique n'en croyait pas ses oreilles, sa fille lui parlait comme à une gamine pas sage qui rentrait de l'école, le retour à l'enfance se poursuivait mais cette inversion des rôles avait quelque chose d'à la fois irréel mais aussi très pervers.

- tu tiens ta jupe bien relevée que je voies tes fesses et tu vas te mettre au coin.

Décidément Elodie apprenait vite, Monique obéit sans dire un mot et elle appuya son nez contre le mur comme elle l'avait appris à l'institut de madame Rose.

Elodie prit son sac à main et en tira les 2 carnets de punition, celui de l'institut et le nouveau de madame Costa. Elodie avait été souvent agacée par le laisser aller de sa mère sa tendance à la procrastination, elle s'était souvent demandée pourquoi sa grand-mère l'avait élevée comme ça, elle, elle avait plutôt le caractère de son père. Elle prit bien soin de tout lire, elle constata que depuis une quinzaine de jours Monique avait rattrapé le temps perdu par l'éducation laxiste de sa propre mère, le nombre de fessées déculottées reçues était impressionnant. Il fallait peut-être en passer par la songea t elle. En attendant madame Dumon redevenue une collégienne rentrant de l'école avec un mauvais carnet de notes exposait toujours son fessier déculotté.

- remonte ta culotte et vient me voir !

Sa décision était prise, elle allait s'occuper de sa mère et si il fallait en passer par la fessée pour la faire changer d'attitude et bien on en passerait par là.

- a ce que je vois, madame Costa et madame Rose t'on déjà bien repris en main et à voir le nombre de fois où tu as été punie je pense qu'il y a du travail, pour un meilleur résultat je vais m'occuper de toi à la maison. Pour commencer on va régler ce petit problème de discipline, tu étais en retenue chez madame Costa et tu t'es mal comportée, à partir de maintenant chaque fois que tu auras été punie en dehors de la maison tu seras corrigée à ton retour, normalement à chaque fessée chez madame Costa ou chez madame Rose correspondra une fessée à la maison, aujourd'hui tu as reçu 4 fessées, je devrais t'en administrer 4, comme c'est la première fois, tu n'en auras que 2, approche.

Pendant toute cette tirade, Monique était restée debout devant sa fille, la tête basse n'émettant aucune protestation, ce qui finit de convaincre Elodie du bien fondé de sa décision. Maintenant elle était tout contre les genoux de sa fille, celle-ci n'eut qu'à la tirer légèrement pour la mettre en position pour la fessée, c'était une habitude pour Monique mais c'était la première fois pour Elodie, elle était surprise de la facilité avec laquelle sa mère avait accepté la sentence, maintenant elle avait devant les yeux la croupe de sa maman et ce qui aurait pu sembler impensable se produisit, elle retroussa la mini-jupe qui découvrait déjà la racine des fesses, puis sans un mot elle l'a déculotta, la belle paire de fesses encore rouge des fessées de madame Costa s'épanouit, mise en valeur par la position et le trait de la culotte descendue juste en dessous.

- c'est la première fessée de maman Elodie et je pense que ce ne sera pas la dernière

La jeune femme leva la main et commença la punition, elle n'avait jamais donné la fessée du moins dans de telles conditions mais elle apprenait vite, en fait Elodie avait été initiée à la fessée érotique par une amie, elle n'avait pas trop apprécié de la recevoir mais déculotter et claquer les fesses de son amie avait été un régal. Mais aujourd'hui il ne s'agissait pas de cela, elle administrait une punition à une adulte, le fait qu'elle soit sa mère n'avait pas d'importance, il fallait que la fessée soit efficace et quoi de mieux que de se baser sur la couleur des fesses et les supplications de la punie, elle avait également lu quelque part qu'une bonne fessée devait finir par les larmes de la punie, elle fut bientôt satisfaite, Monique se mit à pleurer autant de douleur que de l'humiliation de subir à nouveau ce châtiment enfantin des mains de sa propre fille. Elodie cessa la fessée mais elle garda Monique dans cette position inconfortable, celle-ci pleurait doucement, elle lui tapota les fesses.



- voilà une paire de fesses bien chaudes, j'espère que ça te servira de leçon, je ne veux plus entendre quelqu'un se plaindre de ta conduite, si c'est le cas tu sais ce qui t'attends, un passage sur mes genoux la culotte baissée, bien maintenant tu files au coin, le nez au mur et les mains sur la tête.



Monique s'exécuta sans demander son reste, elle était vraiment redevenue une gamine punie à son retour de l'école. Elodie coinça l'arrière de sa jupe dans la ceinture pour bien dégager le fessier rubicond puis elle revint s'asseoir sur le canapé et pris son téléphone.

- allo, madame Costa, oui, c'est Elodie la fille de Monique, je tenais d'abord à m'excuser de la mauvaise conduite de maman, mais rassurez vous j'ai suivi votre conseil, c'est vrai qu'une bonne fessée déculottée remet du plomb dans la cervelle des effrontées, oui oui elle en a reçu une bonne et maintenant elle pleure au coin avec les fesses bien rouges.

Madame Dumon écoutait cette conversation, oui c'était bien d'elle dont on parlait, elle l'ophtalmologue réputée qui était ramenée au rang de gamine effrontée que l'on corrige en l'a déculottant, ses fesses l'a brûlait mais c'était surtout la honte qui l'envahissait. Elodie la laissa 1/2h au coin, puis jugeant la punition suffisante pour une première fois elle la fit se reculotter mais elle n'eut pas le droit de quitter sa tenue de collégienne, elle essaya de faire bonne figure mais c'était un peu difficile d'affronter le regard de sa fille, celle-ci ne semblait pas du tout gênée, c'était assez curieux mais une nouvelle hiérarchie s'était établie dans la maison, c'était maintenant elle l'adulte, elle prépara le repas et fit mettre la table à Monique celle-ci s'exécuta comme une jeune fille obéissante. Elodie discutait de choses et d'autres, elle semblait avoir oublié qu'une heure auparavant la dame qui lui faisait face était allongée fesses à l'air sur ses genoux. Après avoir débarrassé la table, Monique fut ramenée à la réalité.

- vu ta conduite de cet après-midi, tu es bien sûr privée de télé, tu montes dans ta chambre et tu me copie 100 fois la phrase suivante "j'ai été vilaine et j'ai bien mérité la fessée déculottée de maman Elodie".

Sans dire un mot, Monique s'exécuta, 1h plus tard, Elodie vint vérifier son travail, elle s'était appliquée bien qu'écrire cette phrase où elle reconnaissait le bien fondé de sa punition avait été un peu difficile. Sa fille lui sourit en prenant les feuilles.

- c'est bien, maintenant tu mets ton pyjama, je n'en ai pas tout à fait fini avec tes fesses, ne traîne pas, je reviens.

Quelques instants plus tard, elle était de retour une brosse à cheveux à la main, en la voyant, Monique ne put s'empêcher de rougir, c'était typiquement l'instrument utilisé par les mamans pour corriger leur grande fille. Elodie avait définitivement changé de rôle. Elle souriait toujours en s'asseyant au bout du lit, elle tapota ses cuisses.

- je suppose que tu connais la position

Bien sûr Monique connaissait la position trop bien même, elle se coucha sur les genoux de sa fille, celle-ci ajusta la position de façon à avoir les fesses bien à sa portée puis elle saisit la ceinture de la culotte du pyjama et la tira vers le bas, les fesses serrées apparurent elles avaient perdu un peu de leur couleur, Elodie prenait son temps, c'était un vrai plaisir pour elle de voir sa mère si docile prête à recevoir une cuisante fessée déculottée et ne montrant aucun signe de révolte. Décidément se dit elle, madame Rose a fait du bon travail et c'était exact, Monique résignée attendait sa correction pourtant c'était une jeune femme d'à peine un peu plus de 20 ans qui allait lui administrer ce châtiment enfantin et en plus c'était sa fille. Les fesses se contractaient dans l'attente de la première claque, Elodie attendait toujours en souriant.




- j'espère que tu regrettes ta conduite de cet après midi, et que tu n'es pas près de recommencer, tes fesses vont goûter à ma brosse à cheveux, elle leva enfin l'instrument de punition et Monique se mit à crier et à pleurer. La fessée ne fut pas très longue, les fesses étaient encore sensibles des fessées précédentes et elles reprirent vite une très jolie couleur. Quand la punition fut terminée elle la conduisit devant la glace et la força à regarder ses fesses.

- regarde bien, tes fesses, comme elles sont bien rouges, voilà comment elles seront chaque fois que tu seras vilaine.

Elle la conduisit vers son lit et tira la couette, la culotte du pyjama était toujours descendue

- couche toi sur le ventre et reste les fesses à l'air le temps que je fasse ma toilette, je reviens tout à l'heure.

Elle laissa sa mère ainsi pendant 10 ', pleurnichant, quand elle revint elle n'avait pas bougé et elle exposait toujours son fessier écarlate, elle lui remonta le pyjama et éteignit la lumière comme une maman l'aurait fait avec sa fille.

Le lendemain matin, elle était déjà dans la cuisine quand Monique arriva, elle lui fit une bise et lui demanda si elle avait bien dormi, celle-ci fit un petit signe de la tête.

- vient un peu me montrer tes fesses

Elle fit pivoter sa mère et sans façon lui baissa la culotte jusqu'à mi cuisse et elle l'a fit se pencher, elle passa sa main sur l'épiderme redevenu presque blanc, une légère rougeur persistait cependant.

- et bien voilà de bien jolies petites fesses, prêtes pour une nouvelle fessée si tu l'a mérite.

Elle reculotta sa mère comme une maman l'aurait fait et l'invita à se mettre à table. Évidemment Monique était très gênée par la situation et elle ne disait pas un mot ce qui eut le don d'énerver Elodie

- cesse de faire la tête, sinon tu vas la faire pour une bonne raison !

Monique ne répondit toujours pas, elle se rendit compte trop tard que c'était une erreur, sa fille s'était levée l'avait pris par le bras et posant son pied sur un petit tabouret l'avait basculé en travers de sa cuisse, la culotte du pyjama était arrivée aux genoux en un clin d'œil et la fessée avait retenti dans la cuisine. Elodie était grande et sportive aussi elle n'avait eu aucun mal à placer sa mère dans cette position, elle la tenait fermement en équilibre sur sa cuisse, ses pieds étaient décollés du sol et battaient l'air au rythme des claques, la culotte du pyjama était arrivée autour des chevilles de la pauvre Monique et son derrière présentait à nouveau les stigmates d'une bonne fessée. Elle la reposa par terre.

- bien, j'espère que tu as compris, remonte ta culotte, la prochaine fois, tu déjeunera cul nu.

Monique ravala ses larmes et tenta de faire bonne figure pour éviter une nouvelle mise à l'air de ses fesses. Quand le déjeuner fut fini, Elodie l'envoya se doucher

- ensuite tu m'attends dans ta chambre, je veux vérifier ta tenue.

Quelques minutes plus tard, Monique attendait au pied de son lit, sa serviette enroulée autour d'elle. Elodie qui était déjà prête lui tendit à nouveau sa mini-jupe de collégienne,

- tu remets la même tenue qu'hier puisque tu es à nouveau punie, il n'y a pas de raison de changer, par contre il te faut une culotte propre, voyons un peu ce que tu as.

Elle fouilla sans façon dans la commode de sa mère, mais celle ci était coquette et ne portait que des sous vêtements à la mode, avec de la dentelle ou très transparent.

- décidément, il n'y a rien de correct pour une jeune fille, nous irons demain t'acheter des culottes correctes, en attendant met ça, je ne suis pas sur que ça convienne à madame Costa.

Elle lui avait tendu une culotte en dentelle qui couvrait certes les fesses mais laissait voir la peau au travers du fin tissu.

- tache de ne pas trop te pencher, sinon tout le monde verra que tu as commencé la journée avec une bonne fessée.

Elodie avait dit ça en riant, en effet on voyait parfaitement les traces rouges de la fessée sous la petite culotte.

- tu es prête ? Alors on y va

Monique l'interrogea du regard.

- oui, c'est moi qui t'emmène, je veux faire la connaissance de madame Costa, je te dépose et je reviendrai te chercher à midi, allez en route.

Elle avait accompagné ces derniers mots d'une claque sur la courte jupette.

Madame Dumon était morte de honte dans l'ascenseur, surtout qu'elles avaient retrouvé Vanessa, un peu surprise de voir sa nouvelle copine accompagnée par une jeune femme à l'air sévère. Elodie se présenta à madame Costa, celle-ci fut enchantée

- je suis ravie que vous ayez accepté de prendre en charge Monique, elle a vraiment besoin qu'on s'occupe d'elle, mais ne partez pas si vite, ces demoiselles sont punies, je commence toujours la retenue par une bonne fessée déculottée et une séance de mise au coin, une fessée publique sera bien plus profitable.

Elle s'était installée sur une chaise et faisait signe à Vanessa, celle-ci était rouge de honte de recevoir ce châtiment humiliant devant Elodie qui n'était pas beaucoup plus âgée qu'elle, mais Florence ne lui laissa pas le temps de réfléchir, elle la bascula en travers de ses cuisses la troussa et lui baissa rapidement la culotte, la fessée qui suivi fut rapide mais sévère, quand Vanessa put se relever ses joues étaient aussi rouges que ses fesses et quelques larmes coulaient, tout à la cuisson de son derrière elle avait oublié la présence d'Elodie qui avait apprécié la technique de l'ancienne institutrice. C'était au tour de Monique, sa confusion était visible, bien sûr Elodie l'avait déjà fessée et pas plus tard que ce matin, mais il lui paraissait beaucoup plus gênant de recevoir une fessée déculottée devant elle, Florence Costa ne lui laissa pas le temps de trop réfléchir, elle la bascula à son tour dans la position classique d'une fessée maternelle, la jupette s'était naturellement relevée, découvrant la lingerie en dentelle.

- qu'est ce que c'est que cette culotte, non mais ou te crois tu,

La main avait claqué rapidement les fesses tendues, provoquant des cris de Monique. Elodie attendit que la première salve de claques fut terminée pour intervenir.

- je suis bien d'accord avec vous, ce n'est pas une culotte pour une jeune fille, mais sa culotte petit bateau était sale et je n'ai rien trouvé d'autre à lui mettre, ne vous inquiétez pas demain nous allons régler ce problème, je l'emmènerai acheter des culottes plus conforme à son état.

Elodie prenait vraiment son rôle au sérieux, on aurait dit une maman s'adressant à une maîtresse d'école.

- mais je vous en prie, si vous jugez que ça mérite une fessée supplémentaire vous avez mon autorisation.

- pour cette fois-ci, cela ira, Monique va simplement recevoir la fessée prévue, je compte sur vous pour lui acheter des culottes correctes.

Quand les deux punies furent installées au coin, tenant leur jupe pour découvrir leurs fesses, Elodie prit congé.



- je vous laisse, je vois que Monique est en de bonnes mains, je la récupère à midi. Soit sage ma chérie tu sais que si madame Costa avait à se plaindre de toi, je me chargerais de tes fesses à la maison !

Elodie revint à midi comme prévu, Vanessa était debout devant Florence, elle tenait sa jupe retroussée, la culotte était à mi cuisse découvrant une paire de fesses écarlates, l'institutrice était en train de remplir le carnet de liaison

- je note les 3 fessées que j'ai du t'administrer ce matin, je ne pense pas que cela va plaire à ta maman, tu peux préparer tes fesses ma chérie. Et n'oublie pas de me ramener le carnet signé pour ta prochaine leçon. Vanessa acquiesça

- oui madame.

Elodie intervint à ce moment

- ah la maman de cette jeune fille utilise les mêmes méthodes que moi à ce que je vois. Elle te donne souvent la fessée déculottée ta maman ?

Vanessa était rouge jusqu'aux oreilles, elle savait que la jeune femme qui s'adressait à elle n'était guère plus âgée qu'elle mais elle la traitait comme une gamine désobéissante et en plus elle avait une vue parfaite sur son derrière déculotté. Elle ne répondit pas ce qui lui valu une claque sur la fesse qui était à la portée de la main de madame Costa

- quand on te pose une question, on répond quand on est polie.

-aie, aie, pardon madame, oui enfin c'est à dire, euh assez souvent.

- tu n'es donc pas très sage, si maman est obligée de te déculotter.

Elodie prenait son rôle de nouvelle maman très à cœur, elle s'adressait à Vanessa comme à une petite fille que l'on gronde. Celle-ci hésitait à répondre à ces questions indiscrètes mais la crainte d'une fessée était plus forte.

- oh, si madame, je suis sage, ce n'est pas souvent que je suis punie

Elodie remarqua que Vanessa l'avait appelé madame, elle sourit et mis fin à cette petite humiliation. Madame Costa lui permit de se reculotter. Puis se tournant vers Monique qui était le nez au mur tenant sa jupe retroussée sur des fesses bien rouges.

- à nous Monique, vient ici.

Elodie en voyant la couleur du fessier de sa mère se doutait bien qu'elle aurait du travail de troussage et déculottage en arrivant à la maison.

- a ce que je vois, vous avez été obligée de sévir ?

- oh vous savez bien avec ces jeunes filles si on ne remet pas de temps en temps les pendules à l'heure, il y a du laisser aller, Monique a reçu 2 fessées en plus de celle que je lui ai donnée en arrivant

- ce qui nous fait 3 fessées à la maison ! Nous n'allons pas perdre de temps, si vous le permettez, je vais commencer par lui administrer la première ici, en plus elle est prête, la culotte est déjà baissée, Monique vient ici !

Monique sursauta, bien sûr les deux personnes ici présentent savaient qu'elle recevait la fessée à la maison, mais ce n'était pas tout à fait la même chose que de la recevoir en vrai, elle allait recevoir une fessée administrée par sa fille et en public. Elodie ne pensait pas à ça, tout à son nouveau rôle de maman elle voulait montrer son autorité et celle ci passait par l'administration immédiate de la punition méritée. Elle s'était assise sur une chaise et avec le doigt elle désignait ses cuisses, Monique résignée s'approcha, en un clin d'œil elle fut en position, la jupette fut retroussée haut sur les reins, la culotte descendue jusqu'aux genoux. Certes sa mère était déjà en tenue pour la fessée déculottée mais elle tenait à montrer qu'elle savait mettre en condition une punie. Sa main se leva et bientôt malgré son désir de rester stoïque, madame Dumon se comporta comme n'importe quelle grande fille cul nu sur les genoux de sa mère, elle criait, pleurait, implorait la clémence et exécutait une très expressive danse des fesses. Elodie ne cessa la fessée que lorsque les larmes coulèrent sur les joues de Monique, les deux hémisphères étaient maintenant entièrement écarlates, on aurait pu penser qu'elle avait mis une belle culotte rouge. Elodie la fit se relever et elle lui demanda de tenir bien haut sa jupe pour qu'on puisse bien voir ses fesses. Florence Costa en souriant lui tendit son carnet de liaison



- à me ramener signer vendredi, je pense que tu vas dormir sur le ventre ma petite.

Elle se reculotta sous l'œil des 3 personnes présentes en grimaçant un peu quand la dentelle de la fine culotte frotta son épiderme endolori.

Arrivée à la maison, Elodie lui annonça

- je vais préparer le repas, toi tu files te mettre au coin tu baisse ta culotte et tu tiens ta jupe retroussée que je surveille la couleur de tes fesses.

Monique s'exécuta, les longs moments passés au coin à exposer ses fesses rougies étaient aussi des moments de réflexions, elle songea aux changements intervenus dans sa vie depuis une quinzaine de jours, elle était passée du statut de bourgeoise sûre d'elle même à celui d'une grande fille dont personne n'hésite à baisser la culotte et pis encore elle était maintenant sous l'autorité de sa propre fille contrainte d'obéir au doigt et à l'œil sous peine d'un châtiment humiliant, elle compta rapidement, c'était maintenant 6 personnes d'âge divers qui l'avait couchée sur leurs genoux, déculottée et fessée. Il y avait eu d'abord madame Rose, puis Sophie, ensuite madame Costa s'était elle aussi occupée de son fessier, à sa suite Aurèlie avait été embauchée et celle là n'était pas en reste pour les déculottées, le malheur avait voulu qu'elle aille voir madame Laval fesseuse de grandes filles et enfin Elodie sa fille s'était chargée de lui rappeler qu'il n'y a pas d'âge pour donner ou recevoir la fessée . Et vu la façon dont elle l'avait traité depuis hier ça ne semblait pas prêt de s'arrêter.

 

 

 

 

 

Deux étudiantes 22

Sévère Laetitia  Le lendemain Laurence se présenta chez Odile qui lui fit une bise en lui caressant la croupe : — Coucou ma chérie, tu as ...