mercredi 9 juillet 2025

L'institut suite 3

La soubrette fesseuse



 Les deux punies étaient toujours les fesses à l’air, le nez collé contre le mur. La baronne se leva et appela Priscilla :

— Ma petite, je les laisse sous votre surveillance, elles en ont encore pour une demi-heure à nous montrer leurs fesses.

Jenny et Élisabeth contractèrent légèrement leur derrière en entendant ces mots, elles étaient là depuis déjà un bon moment et elles allaient encore contempler la tapisserie pendant trente minutes. Et en plus sous la surveillance de cette gamine, de toute façon elle n’avait pas le choix.

Priscilla en profita pour faire la poussière dans le salon, ça lui permettait de se régaler du spectacle de ces deux fessiers écarlates. Quand le temps fut enfin passé, elle s’approcha et en souriant claqua légèrement chaque paire de fesses :

— Votre pénitence est terminée, vous pouvez vous reculotter.

Les deux punies ne demandèrent pas leur reste et quelques instants plus tard, elles avaient retrouvé une tenue plus conforme à leur statut, personne ne pouvait deviner que cette aristocrate et cette jeune femme un peu snob cachaient une paire de fesses bien rouges sous leurs élégantes tenues. Le reste de la journée se passa sans incident notable, après le repas la baronne s’adressa à sa fille :

— Tu files au lit dès maintenant, tu connais le tarif puisque tu as été punie.

Élisabeth rougit, car Priscilla était en train de débarrasser la table, c’était assez humiliant de se faire rappeler à l’ordre ainsi devant la domestique. Marie De Nouvel n’en avait cure, elle avait instauré ce complément de punition depuis quelque temps, chaque fois que sa fille avait été punie, elle était obligée d’aller au lit comme une gamine à vingt et une heures. Et comme en ce moment elle allait quasiment quotidiennement à l’institut se faire rougir les fesses, c’était tous les soirs qu’elle était privée de soirée.

Elle était passée à la salle de bain pour faire ses ablutions et elle venait de revêtir sa chemise de nuit, celle-ci était simple, à bretelle descendant juste au-dessus du genou, blanche en coton avec un liseré de dentelle aux épaules et au niveau de l’ourlet.

Elle s’apprêtait à se mettre au lit quand après avoir frappé à la porte, Priscilla entra. Un peu surprise, Élisabeth interrogea du regard la jeune bonne, celle-ci tenait une boite rose dans sa main :

— Je viens vous mettre le suppositoire comme me l’a demandé mademoiselle Sophie.

La sexagénaire eut l’impression que le sol se dérobait sous ses pieds, elle était encore au coin quand la jeune assistante de madame Rose avait fait sa prescription et tout à la brûlure du premier suppositoire, elle n’avait pas fait attention à la prescription de Sophie. Elle avait les joues rouges, elle regardait incrédule la très jeune femme qui allait lui faire subir ce traitement humiliant :

— Euh, oui… mais enfin Priscilla… Vous êtes sûr.

La jeune soubrette la regarda en souriant :

— Je préférerais que vous m’appeliez mademoiselle Priscilla… Je dois également vous rougir les fesses avant de vous mettre le suppo…

Élisabeth se mit à bégayer :

— Mais, mais, mademoiselle Priscilla vous voulez…

La phrase resta en suspens, la jeune femme continuait de sourire :

— Vous administrez une fessée ? Oui certainement, sinon comment voulez-vous que je vous rougisse le derrière.

Priscilla posa la boite rose sur le lit et s’installa au bout de celui-ci, puis elle tapota ses cuisses :

— Ne perdons pas de temps madame, je sais que ce n’est pas un moment très agréable pour vous, alors autant s’en débarrasser rapidement.

Désespérée, l’aristocrate de soixante-deux ans s’approcha des genoux de la soubrette. Quand elle était adolescente, sa mère la faisait de temps en temps fesser par une domestique pour lui faire honte, mais aujourd’hui la situation était très différente, la dame qui s’apprêtait à la corriger de cette manière si honteuse avait l’âge d’être sa petite fille.

Priscilla consciente de la gêne d’Élisabeth, lui prit la main et la tira pour qu’elle se couche en travers de ses cuisses, la chemise de nuit remonta légèrement, découvrant l’arrière ses cuisses. La jeune femme était excitée par son nouveau pouvoir, elle voulut découvrir son nouveau terrain de jeu. Elle saisit l’ourlet de la chemise de nuit et la retroussa brusquement bien haut sur les reins, elle avait déjà vu les fesses de la jeune baronne quand elle était au coin ou cet après-midi quand Sophie lui avait mis le suppo, mais là elle les avait tout près de ses yeux, elle pouvait les toucher, les palper.

Elle fut surprise par leur volume, madame Élisabeth avait vraiment une bonne paire de fesses, elles étaient encore rebondies malgré son âge, elle les caressa et les pinça un peu. Elles étaient encore rosées des corrections reçues dans la journée, mais effectivement mademoiselle Sophie avait raison, il fallait leur redonner un peu de couleur.

Elle n’avait jamais administré de fessée, mais elle en avait reçu une tout à l’heure, elle en gardait d’ailleurs un souvenir cuisant et elle avait assisté à la fessée de Jenny.

Elle leva la main et commença à claquer le large derrière, Élisabeth fut surprise agréablement, ça la changeait des magistrales déculottées qu’elle recevait habituellement à l’institut. Priscilla était déçue de ne pas voir les fesses danser et la punie rester stoïque sous les claques. Il lui fallait augmenter la force de la fessée, elle leva plus haut la main et l’abattit rapidement sur l’orgueilleux fessier, le résultat ne se fit pas attendre, Élisabeth se mit à gémir et les jambes se mirent en mouvement, satisfaite la jeune bonne accentua encore la force des claques, les fesses se serrèrent et s’ouvrir au rythme de la correction et la punie se mit à crier. La soubrette était aux anges, elle souriait et sa main ne semblait pas vouloir s’arrêter, ce n’était pas une petite fessée pour rougir le derrière, ce fut une véritable correction que reçut ce soir-là la baronne Élisabeth De Nouvel. 



Sa croupe était cramoisie quand Priscilla s’arrêta, elle passa sa main sur la peau brûlante :

— Je crois que mademoiselle Sophie sera satisfaite, je vais faire une photo de votre derrière, elle m’a demandé de lui envoyer.

Elle prit son téléphone pour immortaliser le résultat de la première fessée d’Élisabeth reçue des mains de sa bonne, ce ne serait pas la dernière. Elle ouvrit ensuite la boite rose posée sur le lit et en extrait un suppositoire :

— Je vais vous mettre votre suppo madame, il va falloir vous laisser faire, desserrez-moi ces fesses.

Avec deux doigts, elle écarta les deux bonnes grosses fesses écarlates et mit à jour l’anus de la baronne. Elle était subjuguée par un sentiment de puissance. Elle la petite bonne, tenait sur ses genoux une dame de soixante-deux d’une famille aristocratique et cette baronne qu’elle avait troussée et fessée comme une vulgaire gamine, elle lui tenait les fesses grandes ouvertes et elle allait lui mettre un suppositoire :

— J’espère que vous avez bien honte madame de me montrer ainsi vos fesses, si j’ai bien compris vous n’avez pas été très sage et bien après cette punition je pense que vous y réfléchirez à deux fois avant de recommencer.

Élisabeth était au comble de la honte, elle pleurait doucement autant de la cuisson qui envahissait son fessier que de l’humiliation que lui faisait subir cette jeune femme. Elle sentit le suppositoire pénétrer et dès qu’il eut disparu, les doigts de Priscilla qui resserraient ses fesses :

— Il ne doit pas ressortir, sinon je vous en remets un avec une bonne fessée en prime.

Le suppositoire commença à fondre et la brûlure du fessier s’étendit à l’intérieur, la punie se mit à gémir :

— Oh non… mademoiselle Priscilla ça brûle, aïe, aïe…

La main de la jeune femme avait reclaqué le derrière cramoisi :

— Veux-tu bien te taire vilaine fille. Je sais que ça brûle, serre les fesses.

Elle l’avait tutoyé naturellement, c’était normal après l’avoir traitée comme une gamine. Elle la fit se relever et posa un oreiller au milieu du lit :

— Tu vas t’allonger sur le ventre et tu restes sans bouger jusqu’à ce que je revienne.

Elle retroussa un peu plus la chemise de nuit pour bien dégager le large fessier et le claqua sèchement :

— Tu cesses de pleurnicher immédiatement.

Élisabeth se mit à sangloter en silence, les fesses se contractaient pour essayer d’atténuer la cuisson externe et interne, mais c’était peine perdue. Priscilla se surprit à être excitée par le spectacle de ces bonnes grosses fesses rouges comme des tomates bien mûres, étalées devant ses yeux.

Elle laissa la baronne au fessier écarlate pendant un bon quart d’heure, quand elle était redescendue, la mère d’Élisabeth s’était enquise :

— Tu lui as mis son suppo ?

— Oui madame et les fesses bien rouges également.

— C’est bien et que fait-elle maintenant, tu l’as mis au lit ?

— Non madame, elle expose son derrière bien rouge avec le suppo qui lui brûle le derrière.

Marie De Nouvel esquissa un sourire, décidément cette petite apprenait vite.

Quand Priscilla remonta dans la chambre, Élisabeth serrait toujours convulsivement son derrière, la jeune femme s’approcha et sans ménagement, elle écarta largement les fesses :

— C’est bien tu l’as gardé, bon une petite fessée et au lit.

Elle tira Élisabeth par l’oreille pour la faire se relever, puis elle la coinça sous son bras la forçant à tendre son large fessier, elle bouchonna la chemise de nuit sous sa main gauche pour bien dégager la surface à corriger et elle administra une deuxième fessée à la baronne qui trépigna sur place, effectivement cette petite apprenait vite.

Elle relâcha la punie et lui indiqua le lit :

— Au dodo et que je ne t’entende pas. Demain matin je vérifierai tes fesses.

 

Le lendemain matin, elle vint réveiller la sexagénaire en ouvrant grand les rideaux et en tirant sur la couette, Élisabeth dormait profondément confirmant l’adage qui dit qu’on dort très bien avec une paire de fesses bien rouge et bien chaude. Sa chemise de nuit était légèrement retroussée laissant apparaître la base du large fessier, elle ouvrit les yeux et surprise de voir Priscilla elle tira sur sa chemise de nuit. La jeune femme se mit à rire :

— Vous savez madame vos fesses n’ont plus de secret pour moi, d’ailleurs je vais les examiner, mettez-vous sur le ventre.

Élisabeth obéit immédiatement depuis qu’elle allait à l’institut son caractère s’était assoupli et tous ses réflexes d’aristocrate hautaine et méprisante avait disparu. Elle obéissait au doigt et à l’œil à toutes ses maîtresses quel que soit leur âge et sa jeune bonne vu le traitement qu’elle lui avait fait subir hier soir en faisait partie maintenant.

Priscilla retroussa bien haut la chemise de nuit sur les reins, les fesses étaient encore un peu rosées, elle les claqua gentiment :

— Votre derrière est en parfait état, Sophie m’a félicité pour la couleur de vos fesses hier soir, elle vous attend à l’institut à midi pour une petite séance de pénitence.

Comme elle était sur le ventre exposant ses fesses nues, la soubrette ne vit pas la grimace de la baronne. Elle connaissait trop bien ces séances du midi où Sophie rassemblait quelques punies pour leur administrer une bonne correction suivie d’une exposition des fessiers écarlates pendant une heure avant de finir par une deuxième fessée avant de laisser les punies se reculotter.

Priscilla lui claqua une dizaine de fois les fesses en souriant :

— Quelque chose me dit que vos fesses seront moins blanches quand vous reviendrez de l’institut. Allez vilaine fille vous pouvez aller déjeuner.

En sortant de la chambre de la baronne Élisabeth, la soubrette tomba nez à nez avec miss Sterling la gouvernante, elle lui jeta un regard sombre :

— Vous n’avez pas encore commencé votre service ?

Prise au dépourvu, Priscilla bégaya un peu, elle n’allait pas expliquer à la gouvernante qu’elle venait d’examiner les fesses de la baronne :

— Je… je… euh… j’y allais miss…

— Quelle heure est-il mademoiselle ?

— Euh… huit heures miss…

— Votre service est censé débuter à quelle heure ?

La soubrette baissa les yeux :

— Sept heures trente miss.

Jennifer Sterling tenait sa vengeance, cette petite avait assisté à son humiliation, l’administration d’une fessée déculottée et la mise au coin les fesses à l’air. Elle avait même été chargée de sa surveillance pendante cette honteuse pénitence. Elle fit un petit signe à la jeune fille :

— Suivez-moi Priscilla, nous allons régler ce petit problème d’indiscipline.

Elle ouvrit la porte de l’office, la cuisinière était déjà au travail, elle leva les yeux. Miss Sterling avait le regard sévère et Priscilla la suivait tête basse, la jeune gouvernante tira une chaise et s’installa dessus, elle s’adressa à Mathilda qui s’affairait :

— Vous vous souvenez ce que je vous ai dit hier, eh bien je vais vous en faire une démonstration.

En effet hier après la levée de sa pénitence, tout à sa colère d’avoir été punie, elle avait été à l’office et avait prévenue la cuisinière qu’en cas de manquement à ses obligations, la baronne l’avait autorisé à punir le personnel avec les méthodes traditionnelles qui incluaient bien sûr la fessée déculottée.

Elle fit un petit signe à la jeune bonne :

— Viens ici, je vais t’apprendre la ponctualité.

Elle avait changé de ton et tutoyé Priscilla, après tout n’allait-elle pas lui administrer un châtiment habituellement réservé à une gamine.

La soubrette frissonna, elle avait déjà reçu une déculottée hier et miss Sterling semblait avoir l’intention de recommencer. La gouvernante saisit la main de la jeune fille et l’attira contre elle, puis sans hésiter elle la bascula en travers de ses genoux. La courte jupe noire ne cachait pas grand-chose des cuisses gainée par les bas fumés. Jennifer Sterling allait pouvoir mettre en pratique les cours de fessée qu’elle avait reçu à l’école des gouvernantes.

Elle fit basculer Priscilla vers l’avant, ses pieds décollèrent du sol et la petite culotte blanche apparu au ras de l’ourlet de la jupe. Mathilda la cuisinière, une forte femme âgée d’une quarantaine d’années, regardait avec attention le spectacle, elle avait cessé d’éplucher ses légumes et souriait légèrement en voyant sa jeune collègue dans cette honteuse position.

Miss Sterling leva la tête et la fixa :

— Ce n’est pas votre âge qui vous empêchera de vous retrouver dans la même position ma chère Mathilda.

Elle saisit l’ourlet de la jupette et la retroussa bien haut sur les reins, elle constata avec satisfaction que la leçon de Sophie avait porté ses fruits, Priscilla avait enfilé sa culotte par-dessus son porte-jarretelle. Elle était blanche en dentelle et moulait parfaitement le joli derrière de la soubrette, la base des fesses était visible. On devinait le derrière contracté par l’angoisse, c’était seulement la deuxième fois qu’elle se retrouvait dans cette position humiliante et elle n’en avait pas encore l’habitude. Miss Sterling sourit en devinant la panique intérieure de la jeune bonne, « C’est difficile au début, mais tu vas voir tu vas t’y habituer, ton petit cul va rougir souvent », ses pensées vagabondaient pendant qu’elle glissait ses doigts sous la culotte au niveau des cuisses pour mieux dégager la base de la croupe :

— Chaque fois que tu seras en retard, tu recevras une bonne fessée, ton joli derrière bien rouge te le rappellera.

Elle claqua une dizaine de fois le pli fessier, Priscilla se mit à gémir :

— Aïe, non, aïe, mademoiselle… Pardon.

Jennifer se mit à rire :

— Tu pleurniches déjà alors que je n’ai pas commencé la fessée, attend que je te déculotte et tu pourras pleurer.

Sans attendre elle saisit l’élastique de la fine lingerie et la fit glisser sur le postérieur potelé, les deux fesses étaient serrées, la raie médiane n’était plus qu’une fine ligne. La jeune gouvernante tapota le derrière :

— Tu devrais desserrer les fesses ma petite Priscilla, la fessée sera plus douloureuse sinon.

La soubrette relâcha un peu ses muscles fessiers et immédiatement la main sèche de Jennifer s’abattit sur les fesses blanches et les firent passer rapidement au vermillon puis au rouge cramoisi. Les jambes de Priscilla battaient l’air, sa culotte descendit jusqu’aux chevilles et elle se mit à pleurer comme une madeleine.

Miss Sterling n’avait pas eu l’occasion de donner la fessée depuis longtemps, la dernière fois c’était à son premier poste juste après sa sortie de l’école, elle avait corrigé les trois filles adolescentes d’une grande famille londonienne et elle gardait un souvenir ému des trois fessiers juvéniles qu’elle avait rougis.



Celui de la soubrette était vraiment mignon, il se serrait convulsivement pour atténuer la cuisson, elle la fit se relever, et se baissa pour remonter la culotte sous les fesses, puis elle agrafa la jupe dans le dos :

— Tu vas rester les fesses à l’air pour que je puisse surveiller la couleur de ton derrière, va te mettre au coin en attendant, je dois parler à Mathilda.

La cuisinière rougit en entendant son nom, elle avait assisté avec un plaisir mêlé d’un peu d’inquiétude à la fessée de Priscilla, la gouvernante s’était approchée d’elle :

— Je voudrais juste vérifier votre tenue Mathilda, tournez-vous et troussez votre jupe.

Interloquée la dame de quarante ans bégaya :

— Mais… mais miss… Pourquoi… Je… enfin… non s’il vous plaît.

La jeune anglaise la regardait sévèrement.

— Ce n’est pas un souhait ma chère Mathilda, c’est un ordre, dépêchez-vous, je n’ai pas que ça à faire.

Les joues écarlates, la cuisinière se tourna et retroussa sa jupe, elle portait des collants et on devinait dessous une culotte rose. Jennifer s’approcha et claqua les fesses rebondies :

— Les collants sont interdits ! Pourquoi n’avez-vous pas des bas ?

Affolée Mathilda tenait toujours sa jupe retroussée :

— Mais… mais je ne savais pas… pardon mademoiselle.

— Comment ça vous ne saviez pas, ne rajoutez pas le mensonge à votre désobéissance. Enlevez-moi ce collant immédiatement.

Pour être plus persuasive, elle avait accompagné sa phrase d’une bonne claque au milieu du fessier. Complètement abasourdie et repensant à la magistrale fessée reçue par sa jeune collègue, Mathilda glissa ses doigts sous son collant et le fit glisser, elle se déchaussa et l’enleva complètement. Jennifer tendit la main :

— Donnez-moi le, vous resterez jambes nues aujourd’hui ça vous apprendra, demain je vérifierai si vous avez mis des bas. En attendant on va régler immédiatement ce problème d’indiscipline, venez ici !

Elle s’était réinstallée sur la chaise, elle saisit le bras de la forte cuisinière qui se retrouva en quelques secondes dans la position qu’elle faisait prendre à sa fille pour la corriger, sauf que sa fille avait dix ans et elle quarante.

La jeune gouvernante retroussa à nouveau la jupe, la culotte rose couvrait bien le plantureux fessier, pour marquer son autorité et faire comprendre à Mathilda que c’était une punition méritée, elle la déculotta immédiatement comme une maman en colère corrigeant sa progéniture. La culotte baissée à mi-cuisse, la fessée pétarada dans l’office accompagné des cris et supplications de la dame de quarante ans redevenue une gamine punie. La correction fut courte mais magistrale, quand elle se releva, la cuisinière avait les joues baignées de larme.

Comme elle l’avait fait pour Priscilla, elle remonta la culotte sous les fesses et agrafa la jupe dans le dos, puis elle claqua sèchement la large croupe cramoisie :

— Au travail, tu restes cul nu comme ta comparse, tes fesses sont à ma disposition si nécessaire.

Elle s’approcha de la soubrette qui était au coin :

— Tu files au travail, maintenant.

Elle regarda avec satisfaction les deux fesses rougies s’éloigner, c’était vraiment charmant.

Priscilla les joues rouges se mit à faire la poussière dans la bibliothèque, elle entendit la porte s’ouvrir, elle se retourna pour éviter de présenter ses fesses nues, mais c’était trop tard la baronne De Nouvel les avaient aperçues :

— Qu’est-ce que c’est que cette tenue ? Tournez-vous et expliquez-moi ça ma petite.

Les joues du haut aussi rouges que celle du bas Priscilla s’exécuta et présenta son derrière dénudé. La vieille dame approcha en souriant et caressa le derrière rougi :

— On a pris une bonne fessée à ce que je vois. C’est miss Sterling ?

— Oui madame.

— Elle avait sûrement ses raisons, elle a bien fait, votre derrière bien rouge est charmant ma petite, continuez votre travail si vous ne voulez pas revenir sur ses genoux.



Elle s’installa dans un fauteuil pour lire son journal jetant de temps en temps un œil sur la mignonne paire de fesses de sa bonne. Quand Jennifer entra elle sourit satisfaite du spectacle offert par Priscilla, sa patronne avait l’air d’apprécier, la baronne leva les yeux de son journal :

— Mes félicitations Jenny, je ne sais pas pourquoi vous avez administré une fessée déculottée à cette petite, mais le résultat est plaisant.

— Merci madame, j’ai puni Priscilla pour son retard, je pense qu’une bonne fessée déculottée traditionnelle est la méthode la plus efficace.

La baronne la regarda avec un sourire gourmand :

— Vous pensez qu’une seule fessée sera suffisante pour corriger ce genre de comportement ?

Miss Sterling lui rendit son sourire :

— Je pense effectivement qu’une deuxième fessée devant vous, donnerais plus de poids à la punition. Que pensez-vous de la brosse à cheveux ?

Marie De Nouvel était ravie, elle ne donnait plus la fessée mais voir une dame en recevoir une la remplissait d’aise.

— Ce sera parfait, vous en avez une ou faut-il que je vous prête la mienne ?

Jennifer Sterling portait une veste verte, elle tira de sa poche, une solide brosse à manche d’ébène :

— Elle ne me quitte jamais, c’est un cadeau de fin d’étude. Elle a beaucoup servi sur les derrières des trois filles de mon premier emploi, mais depuis elle était au chômage Priscilla vient ici !

La jeune bonne avait suivi la conversation, elle savait donc ce qui l’attendait, elle s’approcha en tremblant :

— Mais miss, vous m’avez déjà punie ce matin.

— Et alors la belle affaire, ton derrière peut très bien supporter deux fessées, il faut que madame la baronne assiste à ta punition, dépêche-toi avant que je ne me fâche.

La gouvernante voulait prouver à sa patronne qu’elle savait y faire pour tenir le personnel et le punir si nécessaire, elle tenait à lui montrer son savoir faire en matière de châtiments corporels.

Dès que la soubrette fut à sa portée, elle lui prit la main pour la faire s’approcher, elle posa son pied sur un tabouret et saisissant la jeune fille par la taille, elle la fit basculer sur sa cuisse horizontale, Priscilla poussa un cri, ses pieds décollèrent du sol, elle était en équilibre, les fesses bien exposées, sa culotte déjà baissée ne gênait pas l’application de la correction, mais Jennifer la baissa à mi-cuisse. Elle ceintura fermement la punie, celle-ci s’agrippait au tabouret en gémissant :

— Non, non, miss, s’il vous plaît…

Les fesses de la jeune bonne étaient dirigées vers la baronne qui appréciait le spectacle, la brosse commença son œuvre punitive, et Priscilla se mit à hurler immédiatement. La brosse était large et lourde elle couvrait pratiquement la surface d’une fesse et pour impressionner sa patronne, la jeune gouvernante claquait vraiment très fort. Bientôt la croupe ne fut plus qu’une boule rouge, les cris se mêlaient aux pleurs de la jeune fille corrigée.





Jugeant le résultat satisfaisant, miss Sterling reposa Priscilla par terre :

— Va montrer ton derrière à madame la baronne !

Les larmes coulaient sur les joues de la soubrette, elle se dirigea vers Marie De Nouvel qui souriait, elle se tourna pour lui présenter sa croupe rouge écarlate. La baronne appuya légèrement sur le dos pour la faire se pencher en avant :

— Quand tu viens me présenter tes fesses, il faut que je les voie de près. Voilà, comme ça c’est bien.

Elle caressa la peau brûlante et regarda Jennifer :

— Mes compliments miss Sterling, voilà une bien jolie paire de fesses.

Elle tapota la croupe :

— Tu vas aller te mettre au coin le nez contre le mur et les mains sur la tête et tu y resteras pendant une heure. Allez file !!

Une petite claque avait accompagné sa phrase, Priscilla en reniflant se dirigea vers le coin de la pièce et pris la position requise.

La baronne se tourna vers la jeune gouvernante :

— Je viens d’avoir Sophie de l’institut au téléphone, elle m’a rappelé votre rendez-vous. Demain matin à huit heures, je vous laisse votre journée.

Jennifer rougit, le souvenir des deux déculottées que lui avait administré la jeune assistante de madame Rose était encore cuisant. Marie De Nouvel la regarda en souriant :

— Elle a prévu un forfait « vilaine fille », je pense que vous n’aurez pas froid aux fesses ma chère.

 

 




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