dimanche 29 juin 2025

L'institut suite 1

A la demande de nombreuses lectrices et lecteurs qui désiraient retrouver les perverses fesseuse de l'institut de madame Rose, je me mets à l'écriture d'une suite.

Si vous voulez retrouver les personnages, je vous invite à lire "L'institut de madame Rose" sur Atramenta.net

https://www.atramenta.net/lire/linstitut-de-madame-rose/95127

Fessée à domicile




Madame Rose avait convoquée Sophie, elle avait eu une idée d’un nouveau service à offrir à sa clientèle, la fessée à domicile.

Elle expliqua son concept à sa jeune assistante :

— En fait l’idée m’est venue après un coup de téléphone de la mère de la baronne, madame De Nouvel, elle venait me remercier de la qualité de notre service. Elle m’a expliqué que pendant qu’elle me téléphonait Élisabeth exposait ses fesses bien rouges au coin. Je lui ai dit que c’était toi qui s’était occupée de lui rougir le derrière, elle m’a chargée de te féliciter.

Sophie rougit de plaisir :

— Il faut dire que je l’ai particulièrement soigné, elle a eu droit à trois fessées déculottées, c’est toujours un plaisir de la corriger, elle a vraiment une paire de fesses bien large et dodue faite pour la fessée.

Madame Rose se mit à rire :

— J’avais bien remarqué que son derrière te plaisait bien, tu la fais souvent revenir en stage de fesses rouges.

Ces stages c’étaient une idée à Sophie, les clientes qui avaient accumulé de nombreuses punitions sur leur carnet avaient droit à un séjour de trois ou cinq jours suivant l’intensité de la faute, durant ce séjour, elles avaient les fesses rouges en permanence, tout le monde pouvait le constater puisqu’elles étaient privées de culotte et que leur jupe restait épinglée dans le dos du matin au soir. Quand elles n’étaient pas au coin à exposer leur croupe écarlate, elle devait faire du ménage, du rangement ou des lignes de copie, les deux assistantes se chargeaient d’entretenir la rougeur de leur fessier. Au minimum deux fois par heure elles avaient droit à la fessée, celle des deux assistantes qui étaient disponibles, attrapaient la dame par l’oreille, la courbait sous son bras pour examiner ses fesses, puis suivant son humeur, c’était soit une fessée rapide soit une vraie punition, la délinquante couchée sur ses genoux.



Madame Rose continuait ses explications :

— La maman d’Élisabeth m’a dit qu’elle aurait vraiment voulu assister à la correction de sa fille, mais elle ne peut pas se déplacer. C’est comme ça que je lui ai proposé que tu viennes chez elle administrer une bonne fessée cul nu à Élisabeth.

Sophie ne put retenir sa joie :

— C’est vraiment une idée magnifique madame, mais si j’ai bien compris, on proposera ce service à tout le monde, ce n’est pas réservé à la baronne ?

— Tu as bien compris, il va te falloir préparer une mallette pour ces consultations à domicile, tu y mettras tout le matériel nécessaire pour rougir correctement un derrière, je te fais confiance.

Sophie s’était procurée une jolie petite valise, elle y avait mis tous les instruments utilisés à l’institut, deux martinets, un à manche court permettant de fesser la patiente en position traditionnelle et un autre de taille normal pour les sévères fessées, il y avait plusieurs spatules à fesser, en bois, en cuir dont la célèbre « mademoiselle Claquefesse », des paddle en bois percé ou non et plus ou moins lourd. Elle avait rajouté ses instruments fétiches, une large règle en bois et une cuillère de cuisine également en bois, ainsi qu’une boite de plugs de tailles variées et un thermomètre médical. Comme elle était méticuleuse, elle y avait placé également des épingles pour fixer les jupes quand les punies iraient au coin.

Elle consulta son carnet de rendez-vous, comme tous les lundi elle devait aller chez la baronne De Nouvel.

Depuis que ce nouveau service avait été mis en place Marie De Nouvel, la mère d’Élisabeth en avait profité, elle avait quatre-vingt-quatre ans et ne pouvait guère se déplacer en raison de problème d’arthrose, par contre elle avait l’esprit vif et le caractère toujours aussi autoritaire. Sa fille de soixante-deux ans pouvait en témoigner, malgré son âge, elle se faisait gronder comme une gamine, la baronne ne pouvait plus fesser sa fille bien qu’elle en ait souvent envie, depuis qu’elle avait découvert l’institut, elle y envoyait sa fille se faire corriger.

Mais le jour où madame Rose lui avait annoncé la mise en place du service de fessées à domicile, elle avait pris un rendez-vous et depuis cette date tous les lundi matin, Sophie sonnait à dix heures précises à la porte de la grande demeure.

Ce matin-là ce fut Priscilla la jeune bonne qui lui ouvrit :

— Bonjour mademoiselle Sophie, comment allez-vous ?

La jeune assistante détailla la soubrette, elle était de taille moyenne, les cheveux bruns attachés en queue de cheval, son uniforme était impeccable, une robe noire, évasée assez courte, un petit tablier blanc, des bas fumés avec des chaussures à talon. Cette petite avait des formes, le regard professionnel de Sophie se porta immédiatement sur le fessier de la donzelle quand celle-ci l’invita à la suivre, il était potelé à souhait, fessable pour tout dire, Sophie se l’imagina immédiatement déculotté.

En arrivant dans le salon où l’attendait Marie De Nouvel la mère d’Élisabeth, elle ne manqua pas de remarquer que les deux coins de la pièce qui faisaient face à la porte étaient occupés ? Deux dames s’y tenaient, la culotte baissée et la jupe épinglée dans le dos. Comme il se doit, elles avaient posé leurs mains sur la tête et leur nez était collé contre le mur.

Sophie reconnut immédiatement dans le coin droit le fessier d’Élisabeth, il lui était familier ce large derrière qu’elle rougissait régulièrement. Dans le coin gauche se tenait une dame élégamment vêtue, la robe épinglée dans le dos était de bonne facture, la culotte rose pâle baissée à mi-cuisse était ornée de dentelle et les bas fumés étaient maintenus par un porte-jarretelle assorti à la culotte. Le derrière assez large était bien rebondi, mais il était tellement contracté par l’angoisse d’être ainsi exposé que Sophie avait un peu de mal à apprécier sa forme et sa consistance. La baronne mère l’accueillit chaleureusement :

— Bonjour Sophie, je suis contente de vous voir, je vous ai réservé du travail.

La jeune assistante désigna les deux fessiers exposés en souriant :

— C’est ce que je vois.

Marie s’adressa à la jeune soubrette qui attendait et regardait les deux paires de fesses nues en rougissant :

— Vous voyez ce qui arrive quand on est pas sage ma petite Priscilla, vous pouvez disposer.

Puis elle claqua dans ses mains :

— Reculottez-vous et venez me voir les chipies.

Élisabeth fut la première à remonter sa culotte et à se retourner, elle n’avait pas trop de gêne à regarder la jeune assistante, par contre l’autre dame tardait, elle avait remis sa jolie culotte sur ses fesses, mais elle ne se retournait pas :

— Jenny !! Je vous ai dit de venir me voir, dépêchez-vous !!

L’élégante dame se retourna, elle avait les joues rouges et les larmes aux yeux :

— Je vous présente miss Jennifer Sterling, ma gouvernante, mais aujourd’hui elle sera Jenny une dame qui reçoit la fessée déculottée n’a pas droit au titre de miss. Dis bonjour à Sophie qui va s’occuper de te corriger.

La jeune femme devait avoir environ trente-cinq ans, elle était très mignonne, l’air assez snob d’une Anglaise bien éduquée, tout à fait le genre de pimbêche que Sophie adorait faire descendre de leur piédestal, elle murmura :

— Bonjour mademoiselle.

— Mademoiselle Sophie !

La sévère baronne venait de la reprendre.

— Euh, oui pardon, bonjour mademoiselle Sophie.

La jeune assistante était ravie, elle se tourna vers la baronne :

— Qu’a donc fait cette demoiselle pour que je doive m’occuper de ses fesses ?

— Jenny était prévenue depuis la semaine dernière, quand vous êtes venue administrer sa fessée hebdomadaire à Élisabeth. Je ne supporte pas les retards, ni la négligence dans le service. Mademoiselle s’est permis de commencer son service avec cinq minutes de retard et elle a été maladroite en m’aidant à m’habiller. Je lui avais dit que chez moi ce genre de comportement justifie la fessée déculottée et comme mes rhumatismes ne me permettent plus de l’administrer, elle savait que j’aurais recours à vos services.

La jeune femme regardait ses chaussures, certes elle était anglaise et avait été formée à ce métier de gouvernante dans une institution très traditionaliste où on ne dédaignait pas d’utiliser encore les bonnes vieilles méthodes allant de l’administration de fessées déculottées en passant par la tawse et bien sûr là canne.

Elle était issue d’une famille de petite noblesse, où l’éducation traditionnelle était encore de mise, les demoiselles de ce genre de milieu étaient très appréciées comme gouvernante, car elle savait se tenir et ne manquait pas d’autorité pour diriger les autres domestiques.

D’ailleurs pendant leur formation si elles devaient régulièrement présenter leurs derrières dénudés pour recevoir la fessée, on leur inculquait également les bases pour savoir l’administrer au personnel dont elles auraient la responsabilité.

Cet emploi en France chez la baronne De Nouvel lui avait plu, ça la changeait des brumes anglaise. Dès le premier jour, elle avait été mise au courant des habitudes de la maison, en effet Élisabeth revenait d’une séance à l’institut et comme elle en avait l’habitude sa mère avait voulu constater le résultat.

Le fait qu’il y ait miss Sterling dans la pièce ne l’avait aucunement gênée :

— Vous voudrez bien m’excuser mademoiselle, mais je dois avoir une petite discussion avec ma fille.

Élisabeth De Nouvel avait pâli en entendant sa mère, elle avait l’habitude de sa sévérité, mais elle ne pensait pas que la jeune anglaise qui venait juste d’être embauchée comme gouvernante serait immédiatement au fait de la façon dont sa mère la traitait, celle-ci lui avait fait un petit signe du doigt assez explicite :

— Alors ma chérie, ta séance s’est bien passée, qui s’est occupée de tes fesses ?

Le visage de la dame de soixante ans était passé du blanc au rouge écarlate, elle avait baissé les yeux et bafouillé :

— Euh oui, maman… C’est Aurélie qui s’est occupée de moi.

— Très bien, nous allons voir ça, déculotte-toi.

Élisabeth était habituée à devoir montrer ses fesses nues à sa mère à chaque fois qu’elle revenait de l’institut, celle-ci aimait beaucoup examiner la croupe en général rubiconde de sa fille, cet examen se terminait toujours par une mise au coin plus ou moins longue.

La jeune baronne jeta un œil affolé vers la nouvelle gouvernante, elle essaya en vain d’implorer sa mère du regard, mais celle-ci la gronda comme si elle était une gamine :

— Qu’est-ce que j’ai dit Élisabeth ? Tu sais que j’ai horreur de répéter, tu as envie de retourner à l’institut ?

Désespérée la sexagénaire se retourna, saisi l’ourlet de sa jupe, qu’elle tint relevée avec ses coudes, puis elle glissa ses pouces sous l’élastique de sa jolie culotte en dentelle et la baissa sous ses fesses, elles étaient écarlates comme pour toutes les patientes revenant de l’institut :

— Approche un peu.

Élisabeth se recula pour que sa mère puisse examiner de près sa croupe, celle-ci lui appuya sur le dos pour qu’elle se penche, sa main caressa le fessier meurtri :

— C’est parfait Aurélie a fait du bon travail, tu as eu le martinet ?

— Oui maman et mademoiselle Claquefesse.

— Ça te brûle j’espère ?

La jeune baronne avait les larmes aux yeux, en plus de la cuisson terrible de sa croupe, elle sentait le regard de la jeune anglaise braqué sur son large derrière dénudé, une petite claque l’incita à répondre :

— Oui maman…

— Montre tes fesses à mademoiselle Sterling.



Complètement désemparée la sexagénaire se tourna de dos vers la jeune femme, celle-ci avait d’abord été surprise, mais maintenant elle souriait, elle se pencha pour examiner le magnifique et large fessier :

— Beau résultat, la personne qui a administré cette fessée connaît son travail.

Marie De Nouvel interpella sa fille :

— Tu vas aller te mettre au coin pour qu’on profite de la vue de tes jolies fesses pendant que je finis de discuter avec mademoiselle Sterling.

Bien évidemment la conversation dériva rapidement sur les bienfaits d’une éducation stricte, la baronne connaissait les principes en vigueur dans l’école qui avait formé la jeune gouvernante :

— Bien sûr, vous avez toute latitude pour corriger Priscilla, la jeune bonne ainsi que Mathilda la cuisinière, elles sont au courant, ça leur fera le plus grand bien.

La jeune anglaise acquiesça, puis son sourire se figea en entendant la suite :

— Pour ce qui vous concerne, si j’avais quelque chose à vous reprocher, je ferai appel à une assistante de l’institut qui vous corrigera comme il se doit. Mais si j’en juge à vos références une telle éventualité ne risque pas de se produire.

Malheureusement pour miss Jennifer Sterling, cette éventualité évoquée par Marie De Nouvel s’était produite et la jeune gouvernante était aujourd’hui dans la situation peu enviable d’une adulte s’apprêtant à être corrigée de la plus humiliante des manières, elle allait recevoir à trente-cinq ans une fessée déculottée.

Sophie savourait l’instant, elle allait bien sûr administrer une magistrale fessée à Élisabeth et c’était toujours un plaisir, mais surtout elle allait découvrir une nouvelle croupe à corriger, le peu qu’elle en avait vue lui laissait deviner que ce serait agréable. Elle regarda en souriant sa future victime :

— Jenny vient ici et tourne-toi.

Elle avait adopté immédiatement le tutoiement pour que la jeune femme prenne conscience de son changement de statut et sache qui était sa maîtresse maintenant. Celle-ci approcha les yeux baissés et présenta son derrière culotté, la fine et élégante lingerie moulait parfaitement un postérieur que l’on devinait assez large, mais bien rebondi.



Sophie regarda Élisabeth qui attendait les bras ballants :

— Tu vas te déculotter et te tourner vers moi, tu mets tes mains sur la tête pendant que je m’occupe de Jenny.

Docilement la baronne, baissa à nouveau sa culotte et se retourna en posant ses mains sur sa tête. La jeune gouvernante était devant Sophie, celle-ci tapota le fessier, puis glissa son doigt sous la culotte au niveau des cuisses afin de la faire rentrer légèrement dans la raie fessière et dégager la base des fesses :

— Alors comme ça on est paresseuse et maladroite.

Les fesses étaient contractées sous la culotte rose, Sophie dégagea un peu plus les fesses et claqua sèchement le pli fessier :

— J’attends une réponse mademoiselle !

— Aïe, oui, oui mademoiselle Sophie.

Jenny avait été surprise par la brûlure, elle avait sautillé sur place, c’était charmant. La jeune femme claqua une dizaine de fois la base des fesses et le haut des cuisses.

— Aïe, aïe, aïe… pardon mademoiselle Sophie.

La jeune femme sautillait sur place pendant cette petite fessée, Marie De Nouvel appréciait le spectacle. La main cessa de claquer, la rougeur commençait à percer :

— Tu mérites d’être corrigée ?

— Oui… oui mademoiselle Sophie.

La jeune assistante de l’institut regarda en souriant la baronne, c’était tellement plaisant de rabattre le caquet à une jeune péronnelle :

— Je crois effectivement que cette jeune femme a besoin que je m’occupe de son derrière. Jenny tu vas te mettre en position bien gentiment, c’est l’heure de ta fessée ma grande.

La jeune anglaise avait perdu toute sa superbe, malgré sa tenue élégante elle n’était plus qu’une adolescente s’apprêtant à être punie par sa maîtresse. Elle se retourna et se coucha d’elle-même sur les genoux de Sophie, depuis sa sortie de l’école, elle ne s’était jamais retrouvée dans cette position, ça remontait donc à quasiment quinze ans. Mais quand on a été élevée dans une famille stricte en Angleterre, on n’oublie pas ce genre de chose et on obéit immédiatement.

Sophie apprécia immédiatement la qualité du fessier de Jenny, large et bien rebondi, un beau derrière pour exercer ses talents. La culotte était légèrement remontée dans la raie fessière, découvrant la base de la croupe déjà rougie, elle décida de continuer la fessée d’échauffement, elle avait tout son temps pour dénuder ce derrière. Les claques s’abattirent sur la base du fessier et le haut des cuisses, la jeune anglaise, poussait des petits cris, cette zone est très sensible et Sophie le savait pertinemment. Elle cessa de claquer et décida d’une petite humiliation supplémentaire, elle tira sur la culotte pour la faire quasiment disparaître dans la raie médiane, transformant la lingerie en string, la croupe était presque entièrement découverte, elle recommença à la fesser, elle administrait lentement de grandes claques qui faisait sauter la punie allongée sur ses cuisses, Jenny criait à chaque coup, son fessier était d’un rouge éclatant. En souriant, Sophie tira un peu plus sur la culotte, elle savait que l’excitation produite par le frottement du tissu sur les lèvres, associée à la cuisson de la fessée était une situation très gênante :

— Voilà un derrière bien échauffé, tu sais que tu mérites d’être punie ma chérie ?

— Oui, mademoiselle Sophie…

La jeune gouvernante avait des sanglots dans la voix.

— Comment dois-je te corriger, tu dois bien le savoir ?

— Oui mademoiselle Sophie… Aïe…

La main venait de claquer le pli fessier :

— Alors ?

— Oui, oui mademoiselle Sophie… Euh… une fessée…

— Eh bien c’est laborieux, tes fesses sont déjà rouges ma petite Jenny, mais on dirait que ce n’est pas suffisant. Une fessée certes… Mais une fessée comment ?

La main recommença à claquer les fesses à demi-dénudées :

— Aïe, aïe, aïe… oui mademoiselle, une fessée bare bottom…

Sophie se mit à rire :

— Exactement, mais je vais te traduire ça en français. Tu vas recevoir une fessée cul nu ma chérie et même pour être vraiment exacte, une bonne fessée déculottée.

Sophie se tourna vers la baronne qui appréciait la perversité de la jeune assistante :

— Votre jeune gouvernante est charmante, j’ai déjà eu un aperçu de son derrière, mais je vais la déculotter qu’en pensez-vous ?

Marie De Nouvel lui fit un petit signe de la tête :

— J’espère bien, il faut que cette demoiselle ait bien honte, baissez lui la culotte et fessez là moi comme il convient.

Sophie replaça la culotte sur la croupe et elle la caressa :

— Ma chérie, maintenant il est temps de nous montrer vraiment tes fesses, une bonne fessée déculottée voilà ce que tu mérites.

Jennifer savait bien que ça allait arriver, mais se faire déculotter c’est toujours une épreuve quel que soit son âge, ses fesses étaient contractées sous son élégante culotte, elle sentit les doigts de la jeune femme s’insinuer sous la ceinture et sa lingerie intime glisser lentement sur sa croupe.

Sophie la baissa jusqu’à mi-cuisse afin de jouir parfaitement de cette belle paire de fesses, elle était déjà rougie, mais ce n’était bien sûr qu’un début « ton joli derrière va danser ma belle, il est fait pour recevoir des fessées, tu vas me le montrer souvent », elle caressait la croupe rebondie pendant que ses pensées vagabondaient, quel agréable métier.

Élisabeth exposait toujours son derrière avec ses mains sur la tête, elle savait que son tour arriverait, mais elle n’était pas mécontente que l’attention de Sophie soit concentrée sur le derrière de cette jeune pimbêche qui s’était régalée de son humiliation quand sa mère l’avait fait mettre au coin fesses à l’air.

Jenny n’en menait pas large, ses fesses déculottées parfaitement exposées à sa jeune maîtresse, en jetant un œil sur le côté elle avait vu que la baronne ne perdait pas une miette du spectacle, le fin sourire qui ornait son visage ne laissait pas de place au doute, elle appréciait le spectacle, ce ne serait pas la dernière fois où elle se retrouverait dans cette position humiliante montrant son derrière dénudé.

Soudain elle poussa un cri, la véritable fessée venait de commencer et elle n’avait rien à voir avec ce qui avait précédé, c’était une véritable correction, une avalanche de claques très rapides et très fortes s’abattaient sur sa croupe, ses jambes se mirent à mouliner dans le vide, ses fesses s’ouvrirent largement pour le plus grand plaisir de Sophie qui appréciait toujours ces moments, les pleurs succédèrent rapidement aux cris. Élisabeth appréciait de ne pas être à la place de la jeune gouvernante, elle savait ce qu’elle devait ressentir, Sophie voulait lui faire découvrir la vraie bonne fessée déculottée de l’institut, elle-même y goûtait régulièrement.

Le derrière rebondi était cramoisi quand la fessée cessa, Jennifer Sterling venait de recevoir sa première fessée déculottée en France, ce ne serait pas la dernière. Sophie la garda un moment en travers de ses genoux le temps qu’elle se calme, puis elle la fit se relever :

— C’est un bon début, ton derrière est ravissant, tu vas aller le montrer à madame la baronne.

Une petite claque sur la croupe brûlante incita la jeune femme à obéir, sa culotte était entortillée autour de ses chevilles, sa jupe retroussée et maintenue par une épingle laissait voir le derrière, elle se dirigea vers madame De Nouvel, puis se tourna docilement pour lui présenter son fessier écarlate, sa patronne appuya légèrement sur ses reins afin qu’elle se penche et passa sa main sur l’épiderme enflammé :

— Joli résultat ma chère Sophie, je vous félicite, ce n’est qu’un début bien sûr ?

La jeune assistante se mit à rire :

— Évidemment, vous pensez bien qu’une si belle paire de fesses à besoin d’autre chose qu’une simple fessée manuelle. Mademoiselle va aller au coin fesses à l’air pendant que je m’occupe d’Élisabeth, ensuite on passera aux choses sérieuses.

Elle se leva pour accompagner la jeune anglaise, elle lui avait saisi l’oreille pour la ramener vraiment à son statut de gamine punie, une fois qu’elle eut posé son nez contre le mur, elle mit spontanément ses mains sur sa tête. Sophie ouvrit sa mallette et en sortit deux épingles pour fixer la jupe dans le dos à sa façon, elle remonta la culotte à mi-cuisse et tapota le derrière écarlate :

— Tu pleures en silence ma grande, je ne veux pas t’entendre, réfléchis à ta paresse pour ne pas recommencer.

Elle se dirigea vers Élisabeth qui contracta ses fesses, ce qui la fit sourire « Tu as raison de serrer les fesses ma petite chérie, ton bon gros derrière va danser », elle se tourna vers la baronne :

— Qu’as donc fait notre chère Élisabeth pour que je doive la corriger ?

Marie De Nouvel souriait, cet après-midi était vraiment agréable, le derrière de sa gouvernante était appétissant et maintenant c’était sa grande fille qui malgré ses soixante-deux ans allaient recevoir la fessée :

— Oh vous la connaissez, il ne faut surtout pas lui lâcher la bride, elle a besoin d’avoir les fesses rouges et bien chaudes au moins une fois par jour, d’ailleurs depuis qu’elle va régulièrement à l’institut, je ne la reconnais pas c’est une mignonne grande fille.

Sophie s’était approchée de la sexagénaire, elle lui claqua les fesses :

— Reculotte-toi et viens me voir.

Élisabeth savait qu’elle lui faisait remettre sa culotte en place pour avoir le plaisir de la déculotter et même si elle était habituée à ce cérémonial, c’était toujours aussi humiliant.

Elle avait quarante de plus que sa jeune maîtresse, mais à cet instant la différence d’âge n’avait aucune importance, elle redevenait une gamine qui va recevoir ce châtiment si humiliant, une bonne fessée déculottée.

Elle était maintenant devant Sophie la tête basse, la jeune femme s’était installée sur une chaise, elle prit la main de la jeune baronne De Nouvel, celle-ci n’était plus une grande bourgeoise, elle bascula en travers des cuisses de sa jeune maîtresse :

— Alors ma petite Élisabeth, à quand remonte ta dernière fessée ?

Elle le savait pertinemment puisque samedi la sexagénaire était venue à l’institut pour une journée fesses rouges et qu’elle s’était relayée avec Aurélie pour entretenir la couleur du fessier.

— Samedi mademoiselle Sophie…

La jeune femme regarda Marie De Nouvel en lui faisant un petit clin d’œil :

— Madame ne s’est pas fait rougir les fesses hier ?

— Malheureusement non, ce n’est pas l’envie qui m’a manqué, mais je ne peux plus lui administrer la fessée.

Sophie tapota le derrière culotté :

— Tu n’as pas eu les fesses rouges hier ?

— Non mademoiselle Sophie…

— Et tu as été sage ?

— Euh… Oui… Aïe, aïe…

La main de la jeune assistante venait de claquer l’arrière des cuisses juste sous la culotte :

— Tu sais que je déteste les menteuses ma petite Élisabeth.

C’était un spectacle un peu surréaliste de voir cette dame d’âge mûr couchée sur les genoux d’une jeune femme qui aurait pu être sa petite fille, en train de se faire morigéner. Mais la baronne De Nouvel avait tellement l’habitude d’être traitée en gamine qu’elle en avait acquis les réflexes, elle se mit à gémir :

— Pardon, mademoiselle Sophie, pardon…

— C’est bien ce qu’il me semblait tu as mérité la fessée et ta maman n’a pas pu te l’administrer, c’est ça ?

Élisabeth connaissait la suite, elle savait également qu’il ne fallait surtout pas contredire les jeunes assistantes de l’institut sous peine de punitions encore plus cuisantes :

— Euh… Aïe, aïe… oui mademoiselle Sophie.

La main de la jeune femme avait encore claqué sèchement le pli fessier, cette zone si sensible.

— Nous y voilà, tu as donc encore mérité une bonne fessée déculottée, c’est quand même incroyable, il faut déculotter madame tous les jours !! Eh bien compte sur moi, tu vas recevoir la fessée pour tes bêtises d’hier et je vais en rajouter une en prévention de celle d’aujourd’hui.

Elle glissa ses doigts sous la ceinture de la culotte et la baissa lentement, elle aimait tellement ce moment, il fallait le faire durer. Bien sûr le fessier de la baronne Élisabeth De Nouvel n’avait plus aucun secret pour elle, elle en connaissait tous les recoins même les plus intimes comme cette raie fessière bien serrée où elle glissa ses doigts pour écarter les deux globes et mettre à jour la petite rondelle brune. C’était un moment délicieux, elle devinait la honte de cette bourgeoise de soixante-deux ans obligée de se laisser faire. La base de la croupe était déjà rouge, elle s’attaqua donc à la partie la plus rebondie du derrière, celle qui est la plus propice à la fessée.

Élisabeth avait l’habitude des corrections sévères, elle ne réagit pas immédiatement ce qui énerva un peu Sophie, elle accentua donc la vigueur des claques et les jambes de la baronne se mirent à pédaler dans le vide et les cris et supplications fusèrent. La belle paire de fesses de la dame d’âge mûr prit rapidement la belle couleur préférée de l’institut, un rouge profond et soutenu.

— Une bonne fessée déculottée pour échauffer ton bon gros derrière ensuite je m’occuperai de t’administrer la correction supplémentaire. Tu la sens celle-là ma chérie ?



Élisabeth hoquetait, ses larges fesses s’ouvraient et se fermaient, Sophie regarda la mère de la punie en souriant :

— Comme madame ne veut pas répondre je vais continuer. Tu la sens ma fessée, elles te cuisent tes bonnes grosses fesses ?

— Ou… Oui, oui mademoiselle Sophie, Aïe, aïe… Noon plus la fessée s’il vous plaît…

— Tu n’as pas répondu ma chérie, je vais donc continuer à chauffer ton derrière.

— Noon, s’il vous plaît mademoiselle Sophie… Oui, oui je la sens votre fessée mademoiselle, oui mes fesses me brûlent… aïe, aïe, aïe… s’il vous plaît.

Pendant la conversation, la main n’avait pas cessé son œuvre sur le derrière d’Élisabeth, il était vraiment cramoisi, Sophie en souriant s’arrêta et posa sa main sur les fesses brûlantes :

— A la bonne heure, c’est fait pour ça ma grande, il faut que tes fesses te cuisent et rassure-toi je vais m’arranger pour que tu la sentes longtemps ma fessée.

Elle fit relever la punie et la conduisit à côté de la jeune gouvernante, la culotte remontée à mi-cuisse soulignait la rougeur du fessier, la couleur était équivalente à celui de Jenny. Élisabeth connaissait les consignes, elle posa son nez contre le mur et mis ses mains sur sa tête.

Marie De Nouvel sonna pour appeler la jeune soubrette :

— Servez-nous le thé ma petite.

La jeune fille avait jeté un œil sur les deux fessiers écarlates ornant le mur de la pièce, elle ne put s’empêcher de serrer ses fesses sous sa culotte. Pas plus tard qu’hier sa patronne l’avait menacé de lui faire donner la fessée si elle faisait encore une bêtise. La couleur des deux croupes ne laissait guère de place au doute, la fessée si elle arrivait serait sévère.



 

 

 

 



samedi 21 juin 2025

Mademoiselle Héloïse

 Procrastination et insolence 


Mademoiselle Héloïse m’a prévenue, elle en a assez de ma paresse et de mon insolence.

Malgré son âge je lui obéis au doigt et à l’œil, il faut dire qu’elle a la main leste et que quand son regard noir me transperce je redeviens une gamine.

Hier j’ai paressé comme d’habitude, c’est dans ma nature nonchalante et quand elle m’en a fait la remarque je n’ai pas pu m’empêcher de lui répondre d’une manière insolente, ça aussi c’est dans ma nature.

Je n’aurais pas dû, on était à la piscine, illico, elle m’a coincé sous son bras et déculottée, mon bas de maillot entortillé autour de mes chevilles, j’ai trépigné sur place. On était sur la plage de la piscine et que les voisins entendent les claques sur mon derrière dénudé ou mes supplications ne l’a pas dérangé.

Ensuite j’ai dû me plonger dans la piscine jusqu’à la ceinture et elle m’en a fait sortir en me tirant par l’oreille. Elle s’est installée sur un transat et m’a annoncé :

— Je vais te sécher le derrière à ma façon ma petite chipie, je vais te faire passer l’envie de me répondre comme ça.

Elle a mis une serviette sur ses cuisses et j’ai dû m’allonger dessus pour lui présenter mes fesses mouillées.

Elles étaient déjà rouges, mais quand je me suis relevée, elles étaient cramoisies, je n’ai pas pu m’empêcher de crier et de pleurer, c’est sûr que la voisine à dû entendre, elle s’est régalée certainement, je pense que c’est une amatrice de derrière féminin. Un jour, en me regardant elle a dit bien fort « il y a des fessées qui se perdent »

Ensuite, Héloïse m’a fait relever, j’étais toute nue avec le derrière bien rouge, elle m’a dit :

— Tu as de la chance, je ne te mets pas au coin sur la terrasse, file à la maison.

Elle m’a flanqué une bonne claque au milieu des fesses pour me faire avancer. Je sais que quand je rentre à la maison, la voisine peut me voir, si elle était à sa fenêtre, elle a eu une vision parfaite sur mon fessier rubicond.

Arrivé dans le salon, ma sévère tatie, a été cherché ce gros stylo qui lui sert pour me punir. Elle m’a à nouveau couchée sur ses genoux et me l’a enfoncé bien profondément dans mon petit trou et ensuite j’ai dû aller au coin :

— Une heure au coin le nez contre le mur et les mains sur la tête. Ça va te calmer !

C’est drôle comme je lui obéis sans discuter alors que j’ai l’âge d’être sa grand-mère.

Elle m’a annoncé que cet après-midi je recevrais à nouveau la même punition et que c’était le dernier avertissement avant la journée fesses rouges qui me pendait aux fesses…

— Et ce soir ma petite chérie, je te réserve ma punition spéciale. Tu m’attends dans ta chambre au coin la culotte du pyjama baissée.

Elle m’a dit ça après ma correction de l’après-midi, quand j’ai pu quitter mon coin et qu’elle m’a retiré le stylo.

C’est très humiliant mais en même temps excitant d’être traitée ainsi par une si jeune femme.

J’avais encore les fesses colorées avant le repas, quand j’ai été punie je vais souvent vérifier l’état de mon derrière en me déculottant devant la glace dans ma chambre.

Héloïse m’a annoncé en souriant :

— Ce soir au lit après le repas, je vais t’apprendre !! Tu te comportes comme une gamine, je vais te traiter comme telle.

J’ai débarrassé la table et rangé la cuisine, puis Héloïse m’a annoncé :

— Tu files te préparer, laver tes dents, faire pipi et en pyjama. Je veux te trouver fesses à l’air au coin quand j’arrive.

Je venais de faire un bon de soixante ans en arrière, quand j’étais gamine et que ma mère m’envoyait au lit pour me punir. En plus ses consignes, se laver les dents et faire pipi, c’est assez humiliant à entendre.

Je n’ai pas pipé mots, mes fesses étaient encore sensibles après la fessée déculottée de l’après-midi avec la brosse à cheveux.

Une fois dans la chambre après un passage à la salle de bain et aux toilettes, j’ai mis mon pyjama, pour l’été le bas c’est un short. Je l’ai baissé sous mes fesses et j’ai été me mettre dans le coin, j’ai posé mon nez contre le mur et mis mes mains sur la tête comme elle l’exige.



Je n’ai pas attendu longtemps, elle est entrée :

— C’est bien tu commences à devenir obéissante, ça ne t’empêchera pas de recevoir la punition prévue mais au moins elle ne sera pas doublée.

Elle m’a claqué les fesses :

— Viens un peu ici, vilaine fille. Où as-tu mis ta culotte sale ?

Je lui ai montré, elle était posée sur la chaise avec mes affaires, elle l’a pris et l’a roulée en boule :

— Ouvre la bouche !

Elle m’a fourré ma culotte sale de la journée entre les dents, c’était la première fois, c’est affreux. Devant mon air piteux pour cette nouvelle punition, elle a ri :

— Ça t’apprendra à mal me parler, ça remplace le savonnage de la bouche.



Elle s’est installée au bout du lit, puis elle a pris ma main pour m’allonger sur ses genoux, j’étais déjà déculottée, mais ce n’était pas suffisant pour Héloïse, elle a baissé mon bas de pyjama jusqu’aux genoux et elle a tapoté mon derrière qui devait être bien exposé :

— On va commencer par régler ton problème de paresse.

La fessée a débuté, ça brûlait plus que la fessée à la main, j’ai vite compris, elle avait pris la règle plate posée sur mon bureau. Elle m’a flanqué une magistrale déculottée comme elle dit. J’avais littéralement le feu au derrière.




J’ai senti ses doigts qui écartaient mes fesses, j’ai vite compris que j’allais avoir droit au stylo. C’est un complément de punition qu’elle apprécie beaucoup depuis qu’elle sait que je trouve honteux de lui présenter mon petit trou avec les fesses bien écartées.

Le stylo est entré bien profondément dans mon derrière, puis elle a tapoté ma croupe écarlate :

— Tu vas le garder toute la nuit, ça te servira de leçon. En attendant tu files te mettre au coin et tu gardes ta culotte dans la bouche. Tu en as pour une demi-heure ma petite chipie.

Je suis retourné me mettre en pénitence avec les fesses en feu, le stylo bien enfoncé et cette culotte sale roulée en boule entre mes lèvres.

Elle m’a laissé comme ça et j’ai entendu qu’elle parlait avec une copine, elle avait laissé la porte ouverte. Elle lui a tout raconté, mes fessées, mon bon gros derrière bien rouge, le stylo et la culotte, son amie devait lui demander des précisions, car tout y est passé, la taille du stylo, si c’était compliqué de l’enfoncer, si ma culotte était sale, la couleur de mes fesses, etc.

Quand elle est revenue, elle avait le martinet à la main, celui que j’ai retrouvé qui date de ma mère, je n’aurais pas dû lui en parler, elle a voulu que je le suspende dans la cuisine, c’est un peu gênant quand il y a des visiteurs, j’essaye de plaisanter en disant que c’est décoratif.

Elle m’a pris par l’oreille et m’a amené au pied du lit :

— Mets-toi à genoux et présente-moi tes fesses, monsieur martinet va s’en occuper, il va t’apprendre à ne pas répondre à mademoiselle Héloïse.

Ça cingle vraiment un martinet sur des fesses tendues, je peux vous l’assurer surtout quand c’est mademoiselle Héloïse qui administre la fessée, la correction m’a semblé interminable, mon derrière devait fumer quand elle a posé le martinet.

Elle a de nouveau écarté mes fesses pour vérifier le stylo, elle la fait coulisser en riant :

— Tu le sens bien dans tes bonnes grosses fesses ma chérie ?

Elle m’a fait relever, a retiré la culotte de ma bouche et a remonté ma culotte de pyjama sur mon derrière brûlant :

— Maintenant dodo, le stylo reste dans ton derrière toute la nuit, si je ne le trouve pas à sa place demain matin je te tanne le derrière et tu as droit à deux journées fesses rouges.

Avec une telle menace, vous pensez bien que je me suis gardé de toucher au stylo et le lendemain quand mademoiselle Héloïse est venue me réveiller elle l’a trouvé à sa place.

Elle est entrée dans la chambre à sept heures a tiré sur la couverture :

— Tu as bien dormi vilaine fille, mets-toi sur le ventre que je puisse vérifier tes fesses.

Je me suis tournée docilement et ça n’a pas traîné, elle m’a déculottée largement, puis elle a écarté mes fesses avec deux doigts :

— C’est parfait, le stylo est bien en place, tu vas le garder encore un peu, lève-toi.



Elle s’est installée au bout du lit, j’ai remarqué la brosse à cheveux qui dépassait de sa poche, elle a tapoté ses cuisses :

— En position ma chipie.

Je me suis retrouvée à nouveau en position disciplinaire, j’ai bien essayé de protester que je n’avais rien fait, ça l’a bien fait rire :

— Ah oui ? Eh bien ce sera une fessée préventive ma chérie.

Sa main a commencé à me claquer le derrière, après les fessées de la veille, ça a été immédiatement douloureux. Mais ce n’était qu’un échauffement, j’ai eu droit à la fessée à la brosse ensuite.

Quand elle a jugé que mes bonnes grosses fesses avaient la couleur requise, elle a écarté à nouveau mes deux globes fessiers brûlants et a retiré le stylo :

— Voilà ta punition est terminée, j’espère que ça va te servir de leçon, tu es prévenue la prochaine incartade ce sera une journée fesses rouges.



Comme une gamine que je suis devenue quand elle est là j’ai répondu d’une petite voix :

— Oui mademoiselle Héloïse, promis je serai sage.

Elle m’a claqué le derrière en riant :

— c’est fou comme une bonne fessée déculottée transforme une dame insolente en gentille petite fille. Allez relève-toi et file à la douche, j’espère ne pas avoir à te déculotter aujourd’hui.



mercredi 18 juin 2025

Lucie et Christian 32

 Épilogue.



 La vie suivait son cours dans l’entreprise de Claire. Après l’épisode du stage, les cinq employées avaient dû subir les foudres de la cheffe de service.

Surtout pendant le mois où celle-ci était allée tous les jours se faire déculotter et rougir les fesses chez madame Sylvie. Immanquablement les deux secrétaires et les trois comptables repartaient chez elle avec des fesses cramoisies et cuisantes.

La vie privée de toutes ces dames avait connu des changements.

 

Commençons par Lucie, elle était tombée amoureuse d’Ingrid la tante d’Alice et c’était réciproque. Malgré la différence d’âge celle-ci lui avait fait découvrir des sensations amoureuses qu’elle n’avait jamais connues auparavant et la dame âgée connaissait une seconde jeunesse au côté de cette charmante quadragénaire. Bien sûr elle n’avait pas changé ses habitudes et c’est toujours avec une paire de fesses écarlates que Lucie goûtait aux plaisirs de la chair.

C’était venu naturellement elle avait commencé à se rendre chez Ingrid régulièrement le week-end et malgré ou peut-être à cause des fessées magistrales que sa sévère amante lui administrait, elle revenait maintenant toutes les semaines.

C’était un rite bien codifié, dès qu’elle arrivait, après avoir fait une bise à sa « tatie », elle montait rapidement dans la chambre d’Alice et revêtait son costume de gamine. Elle avait bien essayé de négocier arguant de son changement de statut, puisque désormais elles étaient amantes, mais la sévère tatie avait été intraitable et après d’innombrables et sévères fessées déculottées suivies de long séjour au coin, Lucie s’était fait une raison. Ça ne lui posait plus de problème de porter des jupes ultracourtes, des socquettes et des petites culottes en coton.

C’est seulement après cette petite transformation qu’elle pouvait bénéficier des tendres caresses de son amante.

Les voisines et amies d’Ingrid avaient rapidement adopté cette jeune femme, Lucie avait goûté à la honte de la fessée déculottée en public et des longs passages au coin à exposer son derrière rougi pendant que les dames buvaient le thé.

Elle y réfléchissait quelquefois, elle avait abandonné beaucoup de ses prérogatives de fesseuse, mais c’était tellement agréable de se laisser aller sous l’autorité amoureuse d’Ingrid.

Après quelques mois de ces allers-retours, elles en eurent un peu assez et Ingrid proposa à la jeune femme de venir s’installer définitivement chez elle. Ses moyens lui permettait d’entretenir sans aucun problème son amante.

Il fallait quand même régler quelques problèmes pratiques, depuis un certain temps ses rapports avec Christine s’étaient distendu, même si elle ne négligeait pas de lui faire « reluire les fesses » comme elle disait en riant après l’avoir couchée sur ses genoux et déculottée.

Chaque week-end elle la confiait à Aurore et celle-ci se chargeait de poursuivre l’éducation sévère de l’épouse de Christine, son derrière était rouge quasiment en permanence, mais elle s’y était habituée. Il faut dire qu’Aurore était devenue plus que sa patronne, avec l’assentiment de Lucie leur rapport était devenu plus intime et après une magistrale déculottée qui lui laissait le derrière en feu, notre petite Christine devait présenter ses fesses pour qu’Aurore s’en occupe avec son god ceinture.

Quand Lucie leur annonça qu’elle allait s’installer définitivement chez Ingrid, Aurore sauta de joie à l’idée d’avoir Christine en permanence à sa disposition. Pour celle-ci cela ne changeait pas grand-chose, la main d’Aurore était aussi sèche et claquante que celle de Lucie.

Lucie devait aussi prévenir madame Dugou de son départ et donc de sa démission, Claire fut déçue, Lucie avait été la première à inaugurer cette nouvelle organisation du travail basée sur l’administration régulière de vigoureuses fessées déculottées.

Elle lui demanda quand elle comptait partir, la jeune secrétaire l’informa qu’elle quitterait l’entreprise à la fin du mois, Claire regarda le calendrier :

— Il nous reste deux semaines ma petite Lucie, je vais m’occuper de ton derrière pour que tu te souviennes de la mère Dugou.

Elle avait dit ça en souriant, elle n’ignorait pas que c’était comme ça que les secrétaires la dénommaient entre elles.

Lucie comprit que ces deux semaines seraient cuisantes pour ses fesses.

— Nous allons reprendre les bonnes habitudes, une fessée déculottée matin, midi et soir. Bien sûr privée de culotte toute la journée et au coin toute ta pause de midi. D’ailleurs à midi tu recevras deux fessées une avant le coin et une après.

Lucie essaya de négocier :

— Mais madame ce n’est pas juste, je n’ai rien fait.

— Ah oui ? Tu contestes ? Eh bien disons que tu viendras en plus à dix heures et à quinze heures me présenter tes jolies fesses. Tu as encore quelque chose à dire ?

Lucie comprit que la partie était perdue, elle baissa la tête en rougissant :

— Non, non, madame pardon.

— Parfait ma petite, en piste, on commence maintenant.

Et Lucie se retrouva déculottée en travers des genoux de sa responsable pour la première de ses six fessées journalières.



Alice était au courant de son départ, quand elle la vit arriver dans le bureau avec les yeux rougis elle comprit immédiatement :

— La mère Dugou veut profiter de ton derrière jusqu’au bout.

Lucie en souriant lui expliqua le programme :

— Heureusement que je suis amoureuse de ta tante et que je suis contente de partir, mais quand même, elle a décidé de me soigner.

— Tu me montres tes fesses ?

Lucie fit une petite moue, puis elle se tourna et troussa sa jupe, sa lune écarlate apparu et Alice en riant la tapota :

— C’est sûr que tu n’as pas besoin de culotte, tu n’auras pas froid aux fesses.

Lucie s’assit avec précaution et regarda sa montre :

— Dans une heure et demie je dois aller lui montrer mes fesses, je vais avoir du mal à m’asseoir.

Alice se mit à rire :

— Tu as quand même un joli popotin, ne t’inquiète pas on ne meurt pas d’une bonne déculottée.

Elle prit un air sérieux :

— De toute façon tu l’as bien mérité, tu me laisses tomber comme une vieille chaussette. Je ne sais pas qui va te remplacer. Tu crois qu’elle aura un joli derrière ?

Lucie malgré la cuisson de sa croupe ne put s’empêcher de rire :

— Je ne sais pas, mais je pense que la mère Dugou aura vite fait de la mettre au pli et d’examiner ses fesses. Je pense que tu les verras rapidement.

Le lendemain Alice était toute joyeuse quand Lucie revint du bureau de madame Dugou avec son fessier écarlate et brûlant. Dès qu’elle eut examiné le derrière de son amie et que celle-ci eut posé avec précaution ses fesses sur sa chaise elle attaqua :

— Tu ne peux pas savoir comme je suis contente, Lili va venir habiter chez moi.

— Ah oui ? et pourquoi ?

— Elle a été prise en formation pas loin d’ici et elle cherchait à se loger, tu comprends bien que je n’ai pas laissé passer l’occasion.

Depuis leur première rencontre chez la tante de Lili, Alice était tombée sous le charme de cette très jeune fille qui avait su lui rougir les fesses comme il se doit, mais l’avait fait grimper au ciel avec sa langue et lui avait fait découvrir des plaisirs jusque-là inconnus.

Lili en arrivant chez Alice avait très vite mis les choses au point, elle avait examiné l’appartement d’un regard circulaire :

— Qu’est-ce que c’est que ce bazar, c’est comme ça que tu ranges. Viens un peu là.

Avant même d’avoir pu se réjouir de l’arrivée de sa petite amie, Alice s’était retrouvée couchée en travers de ses cuisses, jupe troussée et culotte aux genoux :

— Je vais t’apprendre ma chérie.



La première fessée déculottée reçue par Alice ne fut pas la dernière, à partir de ce jour les fesses d’Alice furent régulièrement dépoussiérées.

Les rôles étaient répartis, Lili faisait la cuisine, elle adorait ça, par contre toutes les autres tâches ménagères étaient dévolues à l’aînée, la plus jeune était intransigeante sur la propreté, que de fois la trentenaire se retrouva à refaire le ménage les fesses bien rouges et exposées à la vue de son amie.

D’ailleurs après quelques séances cuisantes, Lili décida de la tenue d’Alice pour passer l’aspirateur ou faire la poussière. Elle épingla la jupe de son amie dans le dos et baissa sa culotte juste sous ses fesses :

— Comme ça elles sont à ma disposition ma chérie.

Elle avait dit ça en riant et en claquant joyeusement le derrière joufflu d’Alice.

Comme chez sa tante, elle devait dès qu’elle rentrait quitter sa tenue élégante de secrétaire, mettre une jupe courte et enlever ses bas. Ses dessous n’étaient plus des culottes en dentelle affriolante, mais de sage culotte en coton blanche ou à petites fleurs. Ça avait été assez difficile à accepter mais les arguments claquants de sa petite amie avait fini de la convaincre. Ses voisines et les commerçants s’étaient habitué à la voir sortir dans cette tenue et quand elle était accompagnée de Lili, il ne faisait de doute pour personne que c’était la plus jeune qui portait la culotte dans le couple.

La jeune fille ne lui passait rien et rapidement la concierge de l’immeuble sut que mademoiselle Alice recevait encore la fessée déculottée à son âge. Lili venait de sévir une fois de plus, le martinet était posé bien en évidence sur la table basse et la secrétaire sanglotait le nez contre le mur, quand la sonnette retentit. Sans se préoccuper de la tenue de sa petite amie la jeune fille ouvrit en laissant la porte du salon ouverte, depuis l’entrée la concierge qui amenait un colis avait une vue panoramique sur la pièce, elle pouvait voir les fesses écarlates d’Alice et le martinet. Ces deux éléments ne laissaient guère de place au doute, la fessée déculottée était la règle dans cette maison.

Madame Pinson, la concierge, eut un petit sourire qui n’échappa pas à Lili :

— Alice n’a pas été sage, mais avec un derrière bien rouge et une heure au coin elle va réfléchir pour la prochaine fois.

— C’est vrai que les bonnes vieilles méthodes ont du bon, je ne croyais pas qu’à votre âge vous pratiquiez ce genre de choses.

Lili la regarda en souriant :

— Comme vous savez, il n’y a pas d’âge pour recevoir une bonne fessée déculottée, mais la réciproque est vraie, il n’y a pas d’âge pour en administrer une.

A partir de cette date les relations de la trentenaire avec sa concierge changèrent, celle-ci faisait des allusions transparentes à sa condition et il lui arrivait même de secouer la main d’un air entendu :

— Gare à vos fesses mademoiselle Alice.

C’était dit sur le ton de la plaisanterie, mais la jeune secrétaire piquait un fard et serrait inconsciemment ses fesses.

Pour Clotilde aussi les choses avaient changé, Claire lui avait expliqué qu’elle désirait l’avoir à sa disposition en permanence. La cheffe comptable habitait seule et son caractère soumis s’accommodait bien de l’autorité de sa responsable, elle avait donc emménagé chez Claire. De toute façon, elle n’avait pas eu le choix.

Héloïse et Karine les deux filles de Claire avaient été un peu surprises, mais comme Clotilde faisait le ménage, elles étaient déchargées de certaines tâches et ce n’était pas désagréable. Celle qui avait été ravie c’est Karine, elle aurait les bonnes grosses fesses de Clotilde à sa disposition quand sa mère serait absente.



Comme pour Alice, la cheffe comptable dès qu’elle rentrait du bureau devait quitter ses vêtements pour revêtir son costume de soubrette. Karine appréciait particulièrement cette jupe très courte qui lui permettait discrètement de claquer le plantureux derrière quand elle en avait envie.

Les deux autres comptables n’avaient pas échappé à ce chamboulement, le stage avait été un révélateur pour les deux, la fessée déculottée serait leur but ultime. Elles se mirent en couple avec une organisation un peu particulière, elles jouaient à la maîtresse une semaine sur deux. Chacune y trouvait son équilibre, mais le week-end elles se rendaient chez Chloé et là il n’y avait pas de place au doute, elles redevenaient des gamines troussées et déculottées comme il se doit par la jeune femme.

Lucie était arrivée avec ses valises chez sa « tatie » pour son installation définitive, celle-ci après l’avoir embrassée regarda d’un œil soupçonneux les bagages :

— Je suppose que tu sais que tu n’auras pas besoin de toutes ces tenues, ici c’est moi qui décide comment tu seras habillée.

La jeune femme rougit, elle s’en doutait, mais elle espérait secrètement pouvoir s’habiller de temps en temps de façon un peu plus sexy :

— Va te changer, je regarderai tout ça demain. Nous allons au marché chez Ursula, il faut que je te présente.

Lucie objecta qu’elle connaissait déjà la maraîchère, mais Ingrid lui fit un petit clin d’œil :

— Aujourd’hui c’est un peu différent, tu viens habiter définitivement ici, ça se fête.

Lucie était contente d’être avec sa chérie, mais quand même un peu inquiète, arrivée chez Ursula elle constata que celle-ci n’était pas seule, son amie Maddy était là. Cette grande rousse dont lui avait parlé Alice qui avait mes mêmes goûts que sa tatie et son amie, sans manière Ursula claqua une bise à Lucie et au passage lui palpa les fesses :

— Alors ma petite, c’est le grand jour tu habites définitivement chez nous ?

Ingrid enlaça Lucie :

— Oui, je vais enfin pouvoir m’occuper de son éducation à plein temps.

Lucie fit une moue qui ne passa pas inaperçue, Maddy regarda Ingrid en souriant :

— Mademoiselle n’a pas l’air d’apprécier.

— Oui je sais, j’ai encore du travail, ma petite Lucie trouve qu’elle est trop grande pour qu’on s’occupe de l’éduquer. N’est-ce pas ma chérie ?

Lucie sentait que le terrain devenait glissant, mais il lui fallait quand même répondre :

— C’est-à-dire, j’ai quand même quarante ans, tatie…

— Ah oui ? Et tu penses qu’a quarante ans je ne peux pas te baisser la culotte ?

Lucie rougit jusqu’aux oreilles, même si elle savait que les amies d’Ingrid étaient au courant de ses penchants, cette allusion transparente à la fessée était gênante. Elle n’eut pas le loisir d’aller plus loin dans ses réflexions, car Ingrid venait de lui faire un petit signe :

— D’ailleurs il est temps qu’Ursula et Maddy fasse connaissance avec ton derrière ma chérie, comme elles auront sans doute l’occasion de s’en occuper, autant leur présenter aujourd’hui.

C’était donc ça que son amante avait prévu comme cadeau de bienvenue, une bonne fessée déculottée en public. Résignée, elle s’approcha des genoux de la sévère tatie, celle-ci lui tapota les fesses par-dessus la jupe :

— Ne fais pas cette tête ma chérie, tu as une paire de fesses magnifique et je suis sûr que quand elles seront bien rouges Ursula et Maddy vont encore plus les apprécier.

Lucie baissa la tête, Ingrid lui fit redresser en mettant son doigt sous le menton :

— La phrase magique ma chérie.

C’était la honte absolue, mais Lucie n’avait pas le choix, il lui fallait quémander sa fessée. Elle comprit en regardant sa maîtresse que celle-ci voulait lui prouver son amour en la fessant devant ses amies. Elle prit une grande inspiration et se lança :

— Je suis une vilaine fille tatie, peux-tu me donner la fessée déculottée que je mérite.

Les deux spectatrices applaudirent, Maddy apprécia particulièrement :

— Mes félicitations Ingrid, ta petite chérie est vraiment bien élevée.

Celle-ci était aux anges, elle fit un grand sourire à sa petite amie :

— Mais avec plaisir ma chérie, tu vas voir comme tatie va s’occuper de tes bonnes grosses fesses.

Il fallait que Lucie s’y habitue ce serait comme cela qu’Ingrid parlerait de son derrière quand elle s’apprêterait à la corriger.

Ingrid pris la main de sa jeune amie et la tira vers elle, puis elle la fit basculer en travers de ses genoux. Lucie avait maintenant une grande habitude de cette position, mais curieusement aujourd’hui elle lui paraissait particulièrement honteuse. Peut-être était-ce dû à la présence des deux amies d’Ingrid, les fessées publiques qu’elle avait reçues c’étaient toujours déroulées devant des personnes qu’elle connaissait. À cet instant précis elle était vraiment dans la position d’une gamine corrigée par sa tante en présence d’invitées.

L’air frais sur ses cuisses lui indiqua que sa jupe était troussée, elle portait aujourd’hui une culotte en coton ornée de petites fleurs, Maddy apprécia :

— Quelle mignonne petite culotte, tu as bien choisi Ingrid, une vraie culotte de gamine.

La tatie tapotait le derrière moulé par la lingerie :

— Elle a un bon popotin notre petite Lucie, il remplit bien sa culotte.

Elle commença par claquer le derrière culotté, ce fut une vraie fessée, malgré la protection du tissu, la jeune femme sentit la cuisson envahir sa croupe et elle ne put s’empêcher de battre des pieds comme une gamine. La main claqua ensuite l’arrière des cuisses juste sous la culotte et les cris se firent plus stridents, les deux spectatrices appréciaient la technique de leur amie. Celle-ci leva les yeux et les regarda d’un air gourmand :

— On regarde ce que nous cache cette petite culotte ?

Les deux dames applaudirent en riant, Ursula particulièrement :

— Ah oui, je veux le voir ce popotin, il a vraiment l’air appétissant.

Les doigts qui se glissaient sous l’élastique de son sous-vêtement, Lucie en avait l’habitude, mais elle ne put réprimer un petit frisson, elle venait définitivement de changer de statut, elle ne serait plus jamais l’élégante et autoritaire secrétaire qui fessait son mari et ses amies, elle était la compagne d’Ingrid soumise à sa stricte discipline et celle-ci pouvait la déculotter à tout instant et devant n’importe qui si elle le jugeait utile.

La culotte avait glissé sur le fessier rebondi, la fessée préparatoire avait été efficace, il était déjà bien coloré, Ingrid posa la main dessus :

— Tu m’as bien demandé une bonne fessée déculottée ma chérie ?

— Ou… Oui… Tatie…

— Tu peux me répéter la phrase magique ?

— … Aïe, aïe…

Deux claques s’était abattue sur le derrière dénudé :

— Dépêche-toi avant que je ne double la punition.

— Pardon tatie… Je suis une vilaine fille tatie, peux-tu me donner la fessée déculottée que je mérite.

Ingrid caressa les fesses rougies :

— Avec plaisir ma chérie, la prochaine fois que tu hésiteras comme ça, tatie te donnera deux fessées.

C’était un spectacle excitant de voir cette quadragénaire, obéir au doigt et à l’œil, même si elle était habituée à l’autorité de leur amie, Ursula et Maddy appréciait vraiment.



L’avalanche de claques déferla sur la belle croupe, ce n’était pas une fessée pour rire, mais une véritable correction que reçu Lucie ce jour-là. Ingrid avait vraiment l’intention de marquer son autorité, il fallait que sa petite amie sache qu’à la moindre incartade ou désobéissance ce serait le prix à payer, une paire de fesses cramoisie et brûlante. Les battements de pieds et la danse des fesses furent éloquents, la petite Lucie pleurait à chaudes larmes quand elle fut remise sur pied par sa tatie qui sans faiblesse lui saisit l’oreille et la conduisit au coin.

Elle accompagna la marche de quelques claques supplémentaires :

— Cesse de pleurnicher, c’est toi qui m’a réclamé cette fessée déculottée, tu l’avais donc bien méritée. Colle ton nez contre le mur et pleure en silence, tes fesses vont pouvoir refroidir.

Elle épingla la jupe dans le dos.

Ursula s’était levée pour préparer le thé, c’était un rituel qui prenait toute sa saveur avec la présence de Lucie exposant sa magnifique paire de fesses écarlate au coin de la pièce.

— Cette petite a vraiment des fesses adorables, tu vas te régaler.

Ingrid se mit à rire :

— C’est vrai, je dois avouer qu’elle a aussi d’autres qualités, mais avoir un joli derrière à disposition n’est vraiment pas désagréable.

Lucie se morfondait dans son coin pendant que ces dames papotaient, elle se demandait si sa punition était terminée, elle ne fut pas rassurée quand Ingrid l’appela :

— Viens ici ma chérie, tu vas aller montrer tes jolies fesses à mes amies.

Lucie se présenta d’abord devant Maddy, elle se retourna et se pencha en avant, sa culotte baissée aux genoux et sa jupe épinglée dans son dos dévoilait parfaitement sa croupe écarlate, la rousse Irlandaise caressa le derrière et se tourna vers Ingrid :

— Je peux ?

La sévère tatie hocha la tête en signe d’assentiment, Lucie sentit un bras la tirer vers les genoux de la solide fermière pour se retrouver à nouveau dans cette position si humiliante, elle se mit à gémir :

— Oh non tatie, je n’ai rien fait… Aïe, aïe…

La main de Maddy venait de claquer ses fesses déjà endolories :

— Cesse de pleurnicher, les gamines de ton espèce mérite toujours la fessée, soit pour les corriger, soit pour prévenir les bêtises. Aujourd’hui c’est juste pour que je fasse connaissance avec tes fesses et que ton derrière sache ce qui l’attend si tu n’es pas sage.

Ce fut une fessée copieuse, bien sonore et cuisante pour les fesses de la pauvre Lucie, elle se remit à pleurer, les mains de Maddy était habituée aux travaux des champs, elles claquaient vraiment très fort.

Remise sur ses pieds, elle regarda sa maîtresse qui souriait :

— Va montrer tes bonnes grosses fesses bien rouges à Ursula.

La maraîchère ne demanda pas l’autorisation, elle bascula directement l’ancienne secrétaire en travers de ses cuisses et entreprit de lui examiner soigneusement le fessier :

— C’est vrai qu’elle a vraiment une bonne paire de fesses, je vais finir de lui cuire et elle pourra rentrer sans culotte, elle n’aura pas froid au derrière.

La dernière fessée fut un peu moins sévère que les deux premières mais sur une croupe déjà endolorie, Lucie l’a senti passer. Quand ce fut fini, Ingrid la fit asseoir sur ses genoux et passa une main sous ses fesses pour les caresser :

— C’est fini ma chérie, tu es vraiment chez toi maintenant, mais tu sais également que Maddy et Ursula ont mon autorisation pour te déculotter et te corriger quand ce sera nécessaire. On va rentrer à la maison, tu finiras ton temps de coin chez nous.

Elle lui retira sa culotte et claqua le derrière en riant :

— Tes fesses sont tellement jolies que j’ai bien envie que tu gardes ta jupe épinglée.

Lucie protesta :

— Oh non, s’il te plaît tatie.

Ingrid décrocha la jupe en souriant :

— Aujourd’hui je plaisantais ma chérie, mais un jour que tu seras vilaine ça t’arrivera.

Lucie passa une demi-heure de plus fesses à l’air au salon, puis elle put enfin cacher son derrière, mais elle n’eut pas droit à la culotte.

Une nouvelle vie commençait.



 

 

 

 

 

L'institut suite 1

A la demande de nombreuses lectrices et lecteurs qui désiraient retrouver les perverses fesseuse de l'institut de madame Rose, je me met...