Julie et Caroline ont les fesses rouges
En se réveillant, Julie glissa sa main sous sa nuisette et caressa ses fesses, elles étaient encore sensibles. Elle sourit en repensant à la correction que lui avait infligé Cécile la veille, elle avait été sévère, une vraie bonne fessée déculottée, sa main quitta ses fesses pour se glisser entre ses cuisses, le souvenir de l’humiliante punition l’excitait. Elle se caressa un moment, en même temps que le souvenir de l’humiliation du déculottage et de la cuisson de son derrière, lui revint l’image de la belle paire de fesses de Caroline. Elle se mit à penser à sa fille qui devait encore dormir dans sa chambre à côté, elle se mit à rire intérieurement « toi ma petite, tu vas me montrer tes fesses, j’ai trop envie de les rougir ».
Elle se leva et troussa sa nuisette devant le miroir pour voir s’il restait des traces de la correction de la veille. Ses fesses étaient encore rosées, la fessée à la main, suivie du martinet ça garde le derrière rouge, par contre les cuisses et les mollets ne portaient plus de traces des lanières.
Elle enfila une culotte, sa nuisette était un peu courte et elle n’avait pas envie d’offrir à sa fille le spectacle de son derrière.
Elle entra dans la chambre de Caroline et ouvrit les rideaux, surprise la jeune femme grogna :
— Olala, mais ça va pas, c’est trop tôt ! Ferme les rideaux !!
Un sourire se dessina sur les lèvres de la maman, Caroline lui tendait la perche, celle-ci n’avait pas vu son sourire malicieux, elle prit donc son air sévère :
— Pardon ? C’est comme ça que tu me parles, la fessée d’avant-hier n’a pas suffi !!
Caroline était à peine réveillée, mais le ton de sa mère la sortit immédiatement de sa torpeur, elle se rendit compte que l’orage planait au-dessus de ses fesses.
Julie tira les draps, la jeune femme fit une tentative pour détourner la foudre :
— Pardon maman, mais je dormais, tu m’as surprise.
La maman perverse se mit à sourire, cette petite était vraiment mignonne couchée sur le côté, le derrière moulé dans son pyjama, ses excuses montraient qu’elle acceptait l’autorité de sa mère :
— Ce n’est pas une raison pour me parler ainsi, je t’ai prévenu l’autre jour. A chaque fois que tu seras insolente tu auras les fesses rouges. Allez, on a pas de temps à perdre !
Elle s’était assise sur le lit, elle tira sa fille par le bras pour qu’elle se couche en travers de ses cuisses. Caroline gémissait :
— Non, non, maman, pardon, s’il te plaît pas la fessée, je m’excuse…
— Trop tard ma chérie, il va falloir que tu apprennes à tenir ta langue, je vais expliquer ça à ton derrière.
La croupe se dessinait parfaitement sous la culotte du pyjama, Julie était pressée de voir le fessier de sa fille, il n’y aurait pas de fessée d’échauffement, elle glissa ses doigts sous la ceinture et déculotta largement la jeune femme. Le mignon derrière bien rebondi était crispé par la crainte, la peau laiteuse parsemée de petites taches de rousseur était recouverte par une légère chair de poule, on aurait dit qu’il était surpris de prendre l’air aussi vite. La main de la sévère maman palpa la jolie paire de fesses comme pour en prendre possession :
— Tu le sais pourtant que maman n’aime pas les petites insolentes, mais c’est plus fort que toi, à croire que tu aimes que je te baisse la culotte.
Pendant ce discours, les doigts parcouraient toute la surface des deux hémisphères, ils se glissèrent dans la raie médiane serrée par l’angoisse. Caroline n’était pas une oie blanche, elle appréciait les rapports saphiques, mais elle détestait que sa mère explore ainsi son intimité, une claque sèche sur chacune de ses fesses lui indiqua qu’il lui fallait se laisser faire, elle relâcha ses muscles fessiers et les doigts de Julie s’immiscèrent entre les deux globes et les écartèrent, puis ils descendirent entre les cuisses de sa fille :
— Dis-moi ma chérie, qu’est-ce que c’est que ces photos que j’ai vus sur ton ordinateur ?
Depuis quelque temps, la jeune femme s’amusait avec des logiciels de création par IA et les photos générées représentaient souvent des dames plus ou moins jeunes, la plupart du temps nues et les fesses rouges. Julie avait fouillé dans son ordinateur la veille et ces images l’avait excitée, ainsi sa fille était attirée elle aussi par la fessée. Autant lui faire plaisir.
Caroline se mordit les lèvres de voir ses fantasmes découverts, elle ne répondit pas. Une avalanche de claques atterrit sur sa croupe :
— Alors comme ça, mademoiselle aime bien les derrières des dames et encore plus s’ils sont rouges si je comprends bien. Tu vas voir tes fesses vont être écarlates et on fera une photo.
La fessée se poursuivait et Caroline suppliaient sa mère :
— Non, aïe, aïe, aïe… Maman, arrête, ça brûle…
Elle se mit rapidement à pleurer, ses jambes moulinaient dans le vide. Elle n’avait jamais reçu une telle correction au saut du lit, pour sûr elle était parfaitement réveillée maintenant. Elle ne pouvait nier qu’elle fantasmait sur la fessée, particulièrement celle administrée par une dame, d’ailleurs elle se mettait quelquefois en scène dans ses montages photographiques. Mais la déculottée que sa mère lui administrait n’avait rien d’un fantasme, elle avait le derrière en feu. Julie s’appliquait à rougir entièrement le postérieur de sa fille, elle ne montrait aucun signe de fatigue, au contraire plus les fesses de Caroline viraient au cramoisi, plus elle sentait une excitation monter en elle.
Cependant même les bonnes choses ont une fin, elle avait rougi également l’arrière des cuisses de la jeune femme et celle-ci sanglotait, mais ne se débattait plus sous les claques. Elle palpa le derrière brûlant :
— Tu seras encore insolente ma chérie ?
Caroline avait l’impression d’avoir un brasier à la place des fesses :
— Non, non, pardon maman… olala, ça brûle…
Julie se mit à rire, décidément cette journée commençait bien, elle tapota la belle paire de fesses brûlante :
— Mais c’est fait pour ça la fessée déculottée ma petite chérie et j’espère que ça va te cuire longtemps pour que tu te souviennes qu’il faut parler correctement à maman. Et si ce n’est pas suffisant, tu reviendras faire un petit séjour sur mes genoux.
Elle remonta la culotte du pyjama sur les fesses écarlates :
— On va déjeuner, tu dois aller en cours à quelle heure ?
— Dix heures…
— C’est parfait, tu auras le temps d’aller au coin pendant un moment. Allez debout !
Le petit déjeuner se passa bien, Julie s’amusait de voir Caroline se trémousser sur sa chaise :
— On dirait que mademoiselle a mal à son petit cucul…
Caroline rougit à cette allusion transparente, oui elle venait à vingt-trois ans de recevoir encore une fessée déculottée. Elle essaya de sourire également, après tout, elle l’avait certainement méritée. Elle savait bien qu’il ne fallait pas mal parler à sa mère et puis malgré son éducation stricte et ses fesses souvent brûlantes, elle adorait sa maman.
Elle débarrassa la table, espérant secrètement que sa mère oublierait sa promesse, mais dès la vaisselle rangée, l’ordre claqua :
— Tu te déculottes et tu vas te mettre au coin au salon, en face de la fenêtre.
C’était le signe que sa mère souhaitait une punition exemplaire, le coin en face de la fenêtre signifiait qu’elle allait certainement ouvrir les rideaux et peut-être la baie vitrée pour que le voisinage soit au courant de sa punition.
Elle se dirigea vers l’endroit requis, glissa ses doigts sous l’élastique de la culotte du pyjama et la baissa sous ses fesses, puis elle posa ses mains sur sa tête et colla son nez contre le mur.
— Plus bas la culotte, on doit voir tes fesses mieux que ça !!
L’ordre était arrivé de la cuisine, Julie avait surveillé la mise en pénitence de sa fille, le déculottage sous les fesses c’était mignon, mais elle voulait voir parfaitement le derrière écarlate de Caroline.
Celle-ci baissa la culotte jusqu’à mi-cuisse et repris la position. Julie était satisfaite de ce début de journée, certes elle avait été un peu sévère avec sa grande fille, mais à voir sa bonne paire de fesses bien rouge, elle ne le regrettait pas. Comme disait sa mère, un bon gros derrière nécessite de bonnes fessées très régulièrement administrées, la peau des fesses repoussent toujours.
Elle sourit en pensant à Agnès, sa maman aussi claquait fort, elle songea à la consigne de Cécile « tu vas aller voir maman pour lui demander de t’administrer la fessée déculottée qui te manque depuis vingt-trois ans », ses fesses se contractèrent sous sa culotte. Elle tira les rideaux et ouvrit la baie vitrée au grand désespoir de Caroline qui savait que ses fesses rouges étaient maintenant exposées à toute personne passant sur le chemin longeant la maison.
La jeune femme exposa ainsi son derrière rougi pendant une demi-heure, seule la voisine d’en face une dame âgée qui la connaissait depuis qu’elle était petite avait pu constater que la discipline était toujours aussi stricte chez Julie.
Quand Caroline quitta la maison, elle la croisa :
— Alors comme ça on a encore été vilaine, maman a fait panpan cucul.
Elle avait dit ça d’un ton badin, comme s’il était habituel qu’une jeune femme de vingt-trois ans reçoivent encore la fessée déculottée. Caroline avait rougi, mais elle savait qu’il lui fallait répondre :
— Euh, oui, je l’avais bien mérité.
Puis elle avait tourné les talons et avait accéléré le pas.
Julie avait surveillé la scène depuis la fenêtre, elle fit un petit signe à sa voisine, qui leva le pouce, signe qu’elle approuvait les principes d’éducation de Julie.
La sévère maman était maintenant seule, elle était en RTT, elle pouvait en profiter pour aller voir sa mère. Les images de son enfance et des corrections reçues se mêlaient à celle des fesses rouges de Caroline, puis lui revint la fessée que lui avait administrée Cécile et le trouble que ça avait provoqué dans sa libido.
Elle sentit à nouveau, des picotements dans son bas-ventre et une humidité gagner sa culotte. Elle appela sa mère pour savoir si elle était disponible pour discuter. Agnès fut un peu surprise, Julie ne venait pas souvent la voir, elle lui dit qu’elle pouvait passer et même rester à manger si elle était seule.
En arrivant devant la maison isolée d’Agnès, elle faillit faire demi-tour, allait-elle oser lui faire cette demande incongrue. Elle sonna et ouvrit le portillon, Agnès apparu sur le pas de la porte, elle avait soixante-dix ans, mais en paraissait dix de moins, comme Cécile elle avait des formes généreuses, une belle poitrine et un large popotin. Julie se rendit compte que son rapport à l’anatomie féminine avait légèrement changé, car elle n’avait jamais remarqué la croupe de sa mère, elle était fessable sans aucun doute.
Après l’avoir embrassé, elle la fit rentrer, l’intérieur était toujours impeccable comme d’habitude, Julie jeta un regard circulaire sur la pièce, que de fois avait-elle dû épousseter ces bibelots et combien de fois avait-elle fini sa tâche avec une paire de fesses bien rouges pour avoir oublié de la poussière à quelques endroits.
— Je finissais de préparer le repas, on peut discuter dans la cuisine.
En entrant, la première chose que vit Julie fut le martinet suspendu toujours à la même place. Bien sûr, Cécile l’avait prévenu et elle s’y attendait, mais voir l’instrument qui lui avait cinglé si souvent les fesses et les cuisses la surprit, elle s’immobilisa en le fixant. Agnès se retourna et remarqua le regard de sa fille, elle se mit à sourire :
— Toujours prêt à servir. On dirait que tu as oublié ?
Julie piqua un fard :
— Euh non… Le mien est aussi suspendu dans la cuisine, à la même place, elle omit de dire qu’il avait retrouvé son crochet depuis peu de temps, ce petit mensonge la rendit mal à l’aise. Elle fondait littéralement sous le regard narquois de sa mère :
— Ah, je suis rassurée, les fesses de Caroline y goûtent donc encore.
— Oui et pas plus tard qu’avant-hier.
Elle était ravie de parler des fessées de Caroline, ça lui permettait de reprendre son rôle d’adulte et d’abandonner celui de grande fille face à sa sévère maman.
Agnès se remit aux fourneaux, Julie tout en parlant jetait de temps en temps un œil à l’instrument punitif. Contre le mur, elle remarqua une chaise, c’était toujours sur elle qu’Agnès s’asseyait avant de lui faire un signe, il fallait approcher sans tarder et se coucher en travers des genoux maternels.
Elle avala sa salive et st se lança :
— Pourquoi le laisses-tu toujours suspendu, tu donnes encore la fessée ?
Agnès la regarda, éberluée :
— Bien sûr, tu crois qu’il est là pour décorer, tu sais bien qu’il n’y a pas d’âge pour recevoir une bonne déculottée et dans mes connaissances certaines en ont vraiment besoin, comme ta sœur d’ailleurs.
Julie ne put s’empêcher de s’étonner :
— Tu donnes encore la fessée à Cécile ?
Agnès se retourna et fixa sa fille, se rendait-elle compte que Julie y échappait depuis un moment :
— Quand c’est nécessaire, bien sûr, une bonne fessée déculottée remet les idées en place. Mais pourquoi me poses-tu toutes ces questions ?
Les joues de Julie avaient la même couleur que les fesses de Caroline le matin-même. Elle n’osait pas regarder sa mère, mais le moment fatidique était arrivé un peu plus vite que prévu :
— Euh, eh bien justement, on en a parlé avec Cécile et on ne comprend pas pourquoi tu as arrêté de me la donner.
Un grand sourire illumina le visage d’Agnès :
— C’est donc ça ? Ça te manque tellement ?
— Non, enfin…
Agnès fixait Julie qui ne levait pas les yeux :
— Si tu as quelque chose à me dire, il faudrait mieux que tu te dépêches !!
Julie reconnut immédiatement le ton de sa mère quand l’orage grondait au-dessus de ses fesses. Redevenue une grande fille devant sa maman sévère malgré ses quarante-cinq ans, elle leva enfin les yeux et essaya de parler distinctement. Oh que c’était difficile à dire :
— J’ai parlé avec Cécile et pour tout dire, depuis vingt-trois ans que tu ne m’as pas corrigée, j’ai dû souvent la mériter.
Agnès souriait en voyant les efforts de sa grande fille :
— Ça c’est sûr !! Et à bien y réfléchir, je me demande maintenant pourquoi tes fesses n’ont pas pris l’air depuis tout ce temps. Quelle est donc ta conclusion ma chérie ?
Julie avait commencé, il lui restait le plus compliqué à dire, ce que Cécile avait exigé d’elle, réclamer sa fessée déculottée.
Elle fixa sa mère :
— Euh…
— Oui ??
— Je crois que je mérite une bonne fessée déculottée maman.
Agnès se mit à rire :
— Eh bien, ça a été un peu difficile à sortir ma grande, mais je suis d’accord avec toi. Et quoi de mieux qu’une bonne déculottée en apéritif. Viens un peu là.
Julie eu un frisson en voyant sa mère s’installer sur la chaise à fessée, celle qu’elle avait remarqué tout à l’heure, elle n’avait jamais mieux porté son nom.
Elle s’approcha, les yeux baissés, en un clin d’œil tout venait de refaire surface, Agnès ne perdit pas de temps, saisissant la main de Julie, elle la bascula en travers de ses cuisses, la jupe vola sur les reins. Depuis que Cécile lui avait administré une fessée, elle avait abandonné les collants et aujourd’hui elle avait opté pour des bas classiques maintenu par un porte-jarretelles blanc. Sa culotte blanche également couvrait bien son large derrière, Agnès était ravie d’avoir ce fessier à sa disposition, elle lissa la culotte :
— Très joli dessous ma chérie, je vois que tu n’as pas cédé à cette mode horrible des collants. Je ne me rappelais plus que tu avais une aussi bonne paire de fesses, c’est confortable pour s’asseoir et il y a de la place pour une bonne déculottée.
Elle riait en tapotant le derrière de Julie, celle-ci reconnaissait la manière inimitable de sa mère, elle n’avait pas son pareil pour agrémenter ses corrections de commentaires ironiques et humiliants afin de parfaire la confusion de la punie.
La fessée commença classiquement par une magistrale correction sur la culotte. Julie avait oublié combien la main de sa mère pouvait être sèche, malgré la fine protection du sous-vêtement, elle ressentit rapidement une cuisson sur sa croupe, la main s’égarait également sur le haut des cuisses et le pli fessier découvert par les gigotements de la punie.
— Aïe, aïe… Olala… ça brûle maman…
Agnès se mit à rire :
— Eh bien, ça se voit que tu as perdu l’habitude de recevoir la fessée de maman ma chérie, c’est juste un petit échauffement sur la culotte attend que je te donne une vraie fessée avant de te plaindre.
Elle cessa la punition et saisissant la ceinture de la lingerie, elle déculotta largement sa fille, baissant la culotte jusqu’aux genoux. Le derrière avait déjà pris des couleurs, elle le caressa :
— Voilà ma chérie, cul nu comme quand tu étais vilaine, j’espère que tu as bien honte de me montrer tes fesses à ton âge.
Julie avait été surprise par la rapidité du déculottage, bien sûr, elle savait qu’elle allait se retrouver fesses à l’air, mais sentir sa culotte glisser sur sa croupe et l’air frais caresser son derrière, était particulièrement humiliant. Elle avait quarante-cinq ans et elle était en position disciplinaire sur les genoux de sa mère comme une gamine, troussée et déculottée comme il y a vingt-trois ans. Le retour à la réalité était brutal, surtout que la correction repris immédiatement, sa mère avait raison, ça n’avait rien à voir avec la fessée sur la culotte, la brûlure était intense, elle se mit à crier et à supplier immédiatement, ses jambes pédalaient dans le vide comme quand elle était adolescente, les larmes ne tardèrent pas.
Agnès en fesseuse sévère n’arrêtait jamais la punition aux premiers pleurs, il fallait que la punie rende les armes, qu’elle lâche prise complètement. Le fessier était cramoisi du bas des reins jusqu’à mi-cuisse, Julie pleurait et criait mais les battements de ses pieds avaient moins de vigueur, puis elle se laissa aller, complètement affalée en travers des cuisses de sa maman.
La fessée cessa et Agnès caressa doucement le derrière brûlant :
— On a rattrapé un peu le temps perdu ma chérie, mais ta jolie paire de fesse peut encore en supporter. Tu vas aller au coin pendant que je mets le couvert, nous discuterons ensuite.
Julie reconnaissait vraiment sa mère, elle disait souvent qu’à une bonne paire de fesses il faut plusieurs fessées, elle songea qu’elle pratiquait de même avec Caroline.
Elle se retint de frotter son derrière douloureux, le doigt de sa mère lui indiquait où se mettre, le même coin qu’elle occupait quand elle était jeune fille, face à la fenêtre comme Caroline ce matin. Elle se dirigea vers le mur et retrouva immédiatement ses bonnes habitudes, elle colla son nez contre le mur et mit ses mains sur sa tête. Agnès l’avait suivi avec une pince à linge à la main, elle retroussa la jupe et l’épingla bien haut dans le dos pour dégager les fesses rubicondes.
Puis sans plus se soucier de la dame de quarante-cinq ans en pénitence, elle se remit à ses tâches ménagères, Julie la remercia intérieurement de ne pas avoir tiré les rideaux afin que ses fesses ne soient pas visibles de l’extérieur.
Julie resta au coin pendant un bon quart d’heure, puis Agnès vint lui tapoter les fesses :
— C’est bien ma chérie, tu peux venir, enlèves tes mains de ta tête.
Julie se retourna, ses joues étaient très rouges, sa mère semblait ravie de la tournure des événements, elle lui désigna le canapé :
— Tu as eu une sorte d’apéritif avec ma fessée, mais je vais t’offrir quand même un petit porto, tu restes cul nu.
Un peu surprise et gênée par sa tenue, Julie posa délicatement son fessier sur le cuir du canapé, la fraîcheur lui fit du bien et atténua un peu l’inconfort de la position assise. Agnès déposa la bouteille sur la table avec deux verres, elle regarda sa fille en souriant. La culotte aux genoux, les fesses nues, la jupe épinglée dans le dos, la tenue de celle-ci était assez curieuse pour prendre l’apéritif, mais la sévère maman voulait absolument que sa fille prenne conscience de la nouvelle situation :
— Tes fesses te cuisent encore ma chérie ?
— Oui maman… ça brûle…
— C’est parfait, tu as donc reçu une première fessée déculottée, tu conviendras que pour vingt-trois années de bêtises, ce n’est vraiment pas assez.
Julie protesta :
— Mais maman, je n’ai quand même pas fait des bêtises pendant tout ce temps.
Agnès la regarda en souriant, sa fille si autoritaire habituellement était devenue toute mignonne depuis qu’elle avait un derrière bien rouge :
— Je sais bien ma chérie, mais avoue que tu as dû quand même en faire beaucoup pour que tu arrives à me demander toi-même de te corriger.
Julie opina en rougissant, elle n’était pas en position pour négocier quoi que ce soit :
— Oui maman.
— Très bien, voilà donc le programme. Après le repas tu recevras une bonne déculottée au martinet, tu iras au coin pendant une heure et je t’administrerai une dernière fessée avant que tu partes.
Julie était abasourdie, mais elle ne protesta pas, sa mère continuait :
— Comme tes fesses ont beaucoup de retard à rattraper, tu viendras tous les vendredis après-midi me les présenter et ceci jusqu’à ce que je juge que ton derrière et ton caractère soient devenus assez souples.
— Oui maman…
Julie se surprit elle-même d’accepter ce programme sans rechigner. Agnès la fixait, satisfaite de l’obéissance de sa grande fille :
— Bien sûr, à partir d’aujourd’hui, nous reprenons les bonnes habitudes, comme pour Cécile, à chaque bêtise ou désobéissance, tu recevras une fessée déculottée.
Agnès leva son verre :
— Trinquons à cette bonne nouvelle ma fille et à tes jolies fesses rouges !
Elle avait dit ça en riant, Julie en rougissant leva son verre. Comme souvent depuis quelques jours, la perspective d’une fessée déculottée et d’un fessier brûlant au lieu de l’affoler, provoquait chez elle des picotements dans le bas ventre et une humidité entre les cuisses.
Agnès se leva :
— Nous pouvons passer à table, tu peux te reculotter.
Elle enleva la pince à linge qui retenait la jupe et Julie retrouva une tenue plus conforme à son âge.
Le repas se passa le mieux du monde, Agnès était toujours une très bonne cuisinière, Julie oublia progressivement la cuisson de son derrière, la conversation roula bien entendu sur l’éducation stricte. On évoqua bien sûr la mignonne paire de fesses de Caroline et Agnès se régala aux souvenirs des fessées magistrales qu’elle avait administrées à ses deux filles. Julie l’interrogea sur les dames qui avait le plaisir de lui présenter leurs fesses. Elle fut surprise d’apprendre que telle ou telle amie de sa mère qu’elle ne connaissait qu’en dame chic et bon genre, le temps d’un après-midi chez Agnès redevenaient des grandes filles, troussées et déculottées et que comme elle tout à l’heure elles exposaient au coin, leurs fessiers rougeoyants à la vue de la sévère maman.
Agnès était contente d’avoir retrouvé sa grande fille, elle ne se gêna donc pas pour lui donner les instructions pour ranger :
— Tu débarrasses la table, tu ranges la cuisine et quand tu as fini, tu m’amènes le martinet, je t’attends au salon.
Julie ne pipa mot et s’exécuta, dix minutes plus tard elle pénétrait au salon avec l’instrument punitif à la main.
Dès qu’elle avait eu fini, elle s’en était approchée et en le décrochant un petit frisson avait parcouru ses fesses. Comme quand elle avait retrouvé le sien, elle avait caressé les lanières usées, et à nouveau elle avait senti son entre-cuisses s’humidifier. Comment sa mère allait-elle la corriger ?
Elle fut vite renseignée, Agnès tendit la main pour saisir le redoutable instrument, puis elle désigna la table :
— Je pense que tu n’as pas oublié la position.
Julie savait ce qu’il lui restait à faire, elle posa son buste sur la table et attendit, Agnès plaça le martinet à côté d’elle et entreprit de la préparer, elle commença par retrousser la jupe sur les reins puis glissant ses doigts sous l’élastique de la culotte, elle la baissa. Elle ne se contenta pas d’un simple déculottage laissant la lingerie à mi-cuisses, elle la descendit jusqu’aux chevilles et la fit enjamber par sa fille. Elle la posa sur la table sous le nez de Julie :
— Cul nu ! C’est comme ça que je punis les vilaines filles.
Julie contracta ses fesses, la correction s’annonçait sévère, Agnès en souriant tapota les deux hémisphères serrés :
— On dirait que madame a peur pour son petit cucul.
Elle continua la préparation en dégrafant une à une les pinces qui retenait les bas puis elle les roula jusqu’aux chevilles. La punie était entièrement nue de la ceinture aux pieds. La sévère maman prit le martinet et fit glisser les lanières sur la croupe tendue :
— Te voilà prête pour ta punition ma grande, monsieur martinet va s’occuper de tes fesses mais aussi de tes cuisses et de tes mollets, j’espère que tu t’en souviens.
Oh non, elle n’avait rien oublié de l’humiliation de présenter ainsi son derrière, mais aussi de la brûlure des lanières et de la rougeur persistante, montrant à tout le monde qu’on avait été corrigée par maman :
— Vingt-trois ans, quatre trimestres par année, ça nous fait quatre-vingt-douze coups ma chérie. On va donc dire quarante-six sur tes bonnes grosses fesses et le reste sur tes cuisses et tes mollets.
Julie ne s’attendait pas à une correction aussi sévère, décidément Agnès avait décidé de rattraper le temps perdu. Elle se mit à gémir doucement :
— Oh, oui… pardon maman, pardon…
Elle se garda bien de protester, elle savait que ça ne servait qu’à augmenter la punition. Son excitation n’était pas retombée, être ainsi exposée, le fessier tendu offert aux lanières lui procurait d’étranges sensations. Mais immédiatement une intense brûlure sur les mollets, suivie de la même sur les cuisses, la fit hurler et trépigner sur place. Les lanières cinglèrent deux fois les larges fesses encore rosées de la fessée matinale.
Julie n’était plus qu’une gamine punie par sa maman, son excitation était retombée, ne comptait plus que la douleur de la correction. Agnès fessait avec application le beau fessier offert à sa vue, c’était quasiment scientifique, un coup sur les mollets, suivi d’un autre sur les cuisses, puis le derrière était cinglé deux fois. Elle n’avait pas imposé à Julie l’humiliation de compter les coups de sa punition, mais elle le faisait mentalement, arrivé à la moitié de la fessée, elle changea de côté afin que la surface dénudée reçoive équitablement son dû.
Les fesses, les cuisses et les mollets étaient rouge foncé, Julie sautillait sur place au rythme du martinet, son derrière était un brasier ardent, elle avait oublié combien une fessée de sa mère brûlait les fesses. Elle pleurait mais ne cherchait pas à se dérober à sa punition, elle savait qu’elle avait mérité cette fessée.
Enfin Agnès déposa le martinet sur la table, elle passa sa main sur les fesses brûlantes :
— Voilà ce que j’appelle une bonne déculottée, je pense que tu vas t’en souvenir.
— Oui maman… ça brûle…
Agnès était contente de son œuvre, elle caressa à nouveau la croupe cramoisie :
— Je sais ma chérie, c’est fait pour ça la fessée au martinet, pour que tes fesses s’en souviennent longtemps.
Elle continuait à frotter doucement le derrière de sa grande fille punie, elle savait que celle-ci mourait d’envie d’en faire autant, sa main qui claquait si bien savait aussi se montrer tendre :
— Vingt-trois ans sans me présenter ton derrière, tu te rends compte ma chérie tout le temps que nous avons à rattraper, tu n’as pas fini d’avoir chaud aux fesses je te garantis.
La chaleur qui envahissait sa croupe, s’étendit doucement dans son bas ventre et son entre-jambe, décidément si sa mère savait l’effet que lui faisait sa punition, elle aurait été surprise. Soudain elle poussa un cri, Agnès avait cessé de lui frotter les fesses et elle venait de lui administrer deux claques magistrales :
— Tu finis d’enlever tes bas, tu les poses sur la table et tu files au coin.
Redevenue une grande fille punie, Julie s’exécuta et après avoir déposé ses bas à côté de sa culotte, elle se dirigea vers le mur et mis ses mains sur la tête :
— Colle bien ton nez contre le mur ma grande, tu en as pour une heure à montrer tes jolies fesses bien rouges.
Agnès épingla à nouveau la jupe, puis se dirigea vers la fenêtre et tira les rideaux, c’est ce que redoutait Julie, son derrière cramoisi serait visible de l’extérieur. Même si peu de gens passait, le risque d’être vue dans cette honteuse position accentuait l’humiliation de la punition.
C’est très long une heure au coin, Julie s’en rendit compte, elle imposait de temps en temps cette punition à Caroline, mais elle n’y avait jamais goûté. Au bout d’une demi-heure, Agnès l’autorisa à croiser ses mains dans son dos pour reposer un peu ses bras.
Quand la fin de la pénitence arriva, elle vint derrière Julie et tapota à nouveau le derrière de la punie :
— Tu peux te rhabiller ma chérie.
Julie était tellement contente de quitter son coin que malgré la brûlure qui irradiait encore ses fesses, elle adressa un grand sourire à sa mère :
— Merci maman.
Sans souci d’exposer sa croupe rougie elle se tourna et entreprit de remettre ses bas, elle ne put retenir une petite grimace quand le nylon frotta sa peau encore sensible, elle lissa bien ses bas et les refixa au porte-jarretelles. Agnès la regardait faire en souriant, c’était un spectacle légèrement érotique et elle était sensible au beau et large derrière de sa fille encadré par le blanc de la lingerie. Enfin celle-ci se reculotta et la grimace qu’elle fit quand le fin tissu glissa sur son fessier eut le don de mettre en joie sa mère :
— Eh bien, mais fessée a été efficace on dirait. Viens ici que je remette ta jupe en place, tu ressembleras plus à une dame qu’à une grande fille punie.
Elle ne put s’empêcher de claquer le derrière de Julie avant que la jupe ne cache la culotte.
Celle-ci lui adressa un grand sourire comme si elle lui était reconnaissante de s’occuper à nouveau d’elle, Agnès ouvrit les bras et Julie vint s’y blottir.
Les mains de la sévère maman caressaient la croupe :
— Je suis contente d’avoir retrouvé ma grande fille. Il te reste encore une fessée à recevoir avant de partir, mais pour le moment allons au jardin.
Julie savait que son derrière n’en avait pas tout à fait fini avec la main de sa mère, elle en avait pris son parti. Elle profitait de l’instant présent.
une maman efficace qui corrige sa fille adulte car Julie l'avait surement mérité, quelle belle exemple d'éducation sévère à toute âge! j'attends la suite avec impatience.
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