Julie redevient jeune fille
Agnès avait pris Julie par la taille et elle se promenait dans les allées du jardin, contre le mur poussait un bouquet d’orties. La sévère maman remarqua le regard de sa fille qui le fixait :
— Je n’ai pas utilisé la fessée aux orties depuis très longtemps, mais j’aime les voir pousser.
Julie eu un petit frisson rétrospectif une seule fois, son derrière avait goûté à cette terrible punition, elles étaient rentrées ivres avec Cécile et la sanction avait été immédiate, la fessée déculottée magistrale qu’elles avaient reçue l’une après l’autre avait fait disparaître leur ivresse. Après les avoir mises au coin, Agnès était allées cueillir un bouquet d’orties fraîches dans le jardin.
Cécile était passée la première sur ses genoux, le frottement des orties sur sa peau déjà rougie lui avait tiré des cris déchirants. Quand Julie s’était approchée, elle avait eu le temps de voir les fesses écarlates de sa sœur, elle avait subi le même traitement, couchée en travers des cuisses de la sévère maman, elle en gardait un souvenir horrible. Une cuisson qui avait duré toute la nuit et l’impossibilité de supporter sa culotte de pyjama et encore le lendemain des fesses rouges et une cuisson sous sa culotte difficile à supporter pendant les cours.
Agnès lui tapota le derrière :
— J’espère bien que tu ne m’obligeras pas à venir en cueillir pour frotter ton derrière.
Julie serra ses fesses à cette terrible perspective :
— Oh non, maman…
La maman continuait à palper les fesses de sa fille :
— Eh bien alors, tâche d’être sage.
Elles continuèrent leur promenade, Julie était troublée de sentir sans arrêt la main de sa mère sur son fessier, le souvenir des deux punitions reçues, de sa culotte baissée et de ses fesses nues lui revenait en boucle. C’était délicieusement honteux, elle se sentait redevenir une gamine.
Au fond du jardin, la cabane en bois était toujours là, des souvenirs excitants y étaient associés, c’est là qu’elle jouait avec Cécile et des copines. C’était toujours sa grande sœur qui menait les jeux, elle était maîtresse d’école ou docteur, ce qui lui permettait d’explorer le derrière de sa petite sœur, soit pour la punir d’une fessée soit pour lui prendre la température. Julie se souvenait parfaitement y avoir connu ses premiers émois sexuels.
Le banc en bois était toujours là, Agnès s’y installa :
— Je pense que c’est un très bon endroit pour t’administrer ta dernière fessée.
Julie regarda autour d’elle, certes le jardin était clôturé et les maisons voisines très éloignées, mais un chemin longeait le mur et le bruit d’une fessée déculottée ne passerait pas inaperçu aux éventuels promeneurs. Ce serait donc quasiment une punition publique, elle protesta en rougissant :
— Oh non, maman pas ici, s’il te plaît.
Le sourire ironique de sa mère la renseigna immédiatement :
— Bien sûr que si ma chérie, je crois que tu as oublié que je n’aime pas quand on refuse sa punition. Elle sera donc doublée, une bonne déculottée ici pour commencer et pour te faire plaisir, une autre dans le salon. Allez dépêche-toi de venir sur mes genoux !!
Résignée, Julie se colla contre les cuisses de sa mère, celle-ci lui prit la main et le força à se coucher sur ses genoux.
Une fessée en plein air voilà qui était encore nouveau, la sensation que d’autre personne pouvait la voir dans cette honteuse position accentuait son trouble et comme d’habitude depuis qu’elle avait redécouvert la stricte éducation elle se sentit excitée. Agnès le devinait-elle, toujours est-il qu’elle ne se gêna pas pour ironiser sur la situation de Julie :
— Alors ma grande, tu vas encore me montrer tes bonnes grosses fesses, à croire que tu aimes te faire déculotter et bien on va le faire voir à tout le monde ton joli derrière. A quarante-cinq ans, une bonne fessée déculottée voilà ce que madame va recevoir.
Julie sentit l’air frais caresser ses cuisses et sa croupe, cette punition dans le jardin rendait le déculottage encore plus humiliant. Elle sentit sa culotte descendre inexorablement et en même temps un bruit de voix, elle serra encore plus ses fesses, des promeneurs passaient sur le chemin derrière le mur. Agnès ne s’était pas interrompue, la lingerie était à mi-cuisse, elle tapota les fesses de la punie :
— Tu as de la chance que j’aie choisi ce banc, personne ne voit que madame est cul nu.
Julie était morte de honte, les voix s’éloignaient, elle pria pour que sa mère ne démarre pas la fessée tout de suite.
— Aïe, aïe…
La fessée avait commencé et surprise par la vigueur des claques la dame de quarante-cinq ans déculottée comme une gamine, n’avait pas pu retenir un cri. Agnès en souriant s’arrêta, les voix s’étaient tues, elles attendaient la suite :
— Ma chérie, tout le monde va savoir que tu reçois une bonne fessée déculottée.
Au moment où la conversation recommençait, la sévère maman releva la main et sans se soucier si les dames écoutaient de l’autre côté du mur, elle administra à Julie sa première correction semi-publique. Celle-ci se mordait les lèvres pour ne pas trop attirer l’attention, cependant Agnès était une experte et les cris et les larmes ne tardèrent pas.
Quand les fesses de sa fille eurent repris une jolie couleur grenat, elle cessa et caressa les fesses, elle était sûre que les randonneuses avaient assisté à l’intégralité de la punition, elle les entendit chuchoter. Elle coinça l’ourlet de la jupe dans la ceinture et la fit relever, la culotte entourait les genoux :
— Voilà un bon échauffement, ton derrière est prêt pour la suite. Allez file !
Elle avait appliqué une bonne claque au milieu du fessier, Julie ne se préoccupait plus des éventuelles spectatrices, elle pensait à ce que sa mère venait de dire « un échauffement ».
Agnès suivait sa grande fille en souriant, le large derrière encadré par le porte-jarretelle et la culotte baissée était magnifique, elle jeta un œil sur le côté et il lui sembla apercevoir deux jeunes femmes qui ne perdaient rien du spectacle. Quand Julie grimpa les quelques marches pour pénétrer dans la maison, elle offrit au voisinage bien malgré elle, la vue un splendide fessier bien rouge.
Dès qu’elles furent rentrées, Julie fut mise au courant de ce qui attendait ses fesses :
— Va chercher la brosse dans ma chambre, elle est sur la commode.
Sa grande fille revint quelques instants plus tard tenant le redoutable instrument, elle avait les larmes aux yeux. Pour une reprise en main de son éducation, sa mère la gâtait, Agnès prit la brosse et s’installa sur une chaise :
— Je vais t’apprendre à protester quand je t’annonce une fessée ma chérie. Ça fait combien de temps que ton derrière n’a pas goûté à ma brosse ?
Julie baissa la tête, sa mère la subjuguait par sa sévérité, elle mouillait malgré elle :
— Vingt-trois ans, maman…
Agnès souriait, satisfaite de l’obéissance retrouvée de sa fille qui malgré son âge ne se révoltait pas :
— C’est bien ce qu’il me semblait, eh bien ça va lui rappeler de bon souvenir. En position ma chérie.
Julie avait déjà le feu aux fesses, elle se mit à pleurer, même si elle savait inconsciemment qu’elle avait besoin d’être sévèrement corrigée, il lui semblait que sa mère exagérait. Agnès la regarda attentivement, sa grande fille lâchait prise, elle était mâtée définitivement, désormais la vie reprendrait son cours normal, maman baisserait les culottes, les derrières de filles rougiraient puis iraient orner le coin de la pièce.
Elle adoucit son regard :
— Je sais que ton derrière te brûle ma chérie, mais tu sais bien qu’on ne meurt pas d’une bonne fessée, tu auras simplement du mal à t’asseoir ce soir et demain tes fesses te brûleront encore. Ton bon gros derrière peut très bien supporter cette dernière fessée. Par contre tu devrais te dépêcher, ma main n’est pas fatiguée s’il t’en faut une autre.
Résignée, Julie se coucha à nouveau en travers des cuisses de sa maman. Agnès posa la brosse sur les reins et entrepris d’examiner la large croupe, comme Julie le faisait pour Caroline, ses doigts inquisiteurs se glissèrent entre les fesses et les cuisses. Elle eut un petit sourire en ressortant ses doigts gluants de sécrétions intimes de Julie :
— Je crois que tu as vraiment besoin que maman s’occupe de tes fesses ma chérie.
Elle prit la brosse et administra une courte mais sévère fessée à Julie, celle-ci effectua une très jolie danse des fesses, cria et pleura sans retenue. Sa croupe n’était plus qu’une boule de feu quand elle put se relever.
Agnès lui prit la main et la fit s’asseoir sur ses genoux, elle fit une petite grimace, mais la sévère maman savait se montrer douce, elle glissa sa main sous les fesses de Julie et les caressa doucement. La dame de quarante-cinq ans se sentit redevenir une petite fille elle cala sa tête contre l’épaule de sa mère :
— Avoue que tu l’avais bien mérité.
— Oui maman…
— Et ce n’est pas fini tu le sais.
— Oui maman…
— Tous les vendredi tu auras les fesses rouges.
— Oui maman
— Tu aimes quand maman te déculottes ?
La question abrupte déstabilisa Julie, oui elle aimait ça, mais l’avouer…
— Tu sais que maman n’aime pas les menteuses, tu veux revenir sur mes genoux ?
— Non, non maman…
— Alors ? Tu aimes quand maman te baisses la culotte ?
— Euh… Oh maman… Oui…
Un grand sourire éclaira le visage d’Agnès :
— C’est bien ce qui me semblait, ça tombe bien j’adore mettre à l’air les bons gros derrières.
Julie avait les joues du haut de la même couleur que celle du bas :
— Oh maman, j’ai honte.
— Honte de quoi ? D’avouer que de montrer tes fesses et d’être traitée comme une gamine ça t’excite ? Je te rassure, tu n’es pas la seule. Moi aussi j’ai connu ça, mais maintenant j’avoue que je préfère donner la fessée. Toi aussi d’ailleurs si j’en juge par le nombre de fois où ma petite fille à chaud aux fesses.
Julie était honteuse que ses fantasmes aient été débusqués par sa mère, mais finalement la main d’Agnès qui lui palpait le derrière brûlant eut vite fait de lui provoquer à nouveau une douce excitation et elle se laissa aller.
Au bout de quelques minutes, Agnès la fit se relever :
— Tu peux te reculotter, maman en a fini avec tes jolies fesses pour aujourd’hui, mais je te rappelle que nous nous revoyons vendredi, je t’attends à quatorze heures, nous aurons tout l’après-midi.
Julie revint sur terre, on était mercredi, sa croupe aurait tout juste le temps de se reposer. Elle savait par expérience qu’après la sévère correction de cet après-midi, elle aurait encore mal aux fesses demain.
Elle remonta avec précaution sa culotte sur son derrière endolori, Agnès la regardait avec un sourire ironique :
— Tu vas penser à maman cette nuit ma chérie. Tourne-toi que je remette ta jupe en place.
Julie lissa sa jupe et en profita pour frotter discrètement ses fesses.
Une dernière petite humiliation lui était réservée par sa sévère maman.
— Avant de rentrer chez toi, tu vas aller montrer tes fesses à Cécile, comme ça elle pourra constater que vous êtes sur un pied d’égalité.
Julie sentit les larmes monter, mais le regard de sa mère l’incita à obéir sans protester.
— Oui maman.
Elle fit une bise à sa mère et s’apprêta à partir. Agnès lui claqua gentiment les fesses :
— Je suis contente d’avoir enfin retrouvé ma grande fille, tu as vraiment un très joli derrière.
Dès qu’elle fut dans sa voiture, Julie appela sa sœur :
— Coucou, c’est moi, je peux passer ?
— Bien sûr, j’ai un petit problème à régler avec Cindy, mais ta présence ne sera pas gênante.
Quelques instants plus tard, elle garait sa voiture devant chez sa sœur, Cécile l’avait vu arriver, elle lui fit signe depuis le perron de rentrer.
Dans le salon le spectacle était édifiant, une jolie paire de fesses bien rouges ornaient le coin de la pièce. Julie reconnut immédiatement le derrière de Cindy, sa nièce, la fille aînée de Cécile.
Après l’avoir embrassée, Cécile désigna la punie :
— Comme tu m’as dit que tu allais passer, j’ai préféré attendre avant d’administrer la suite de sa punition à cette chipie.
La chipie en question avait vingt-cinq était responsable dans une agence bancaire, mais ça ne semblait avoir aucune importance pour sa mère qui parlait d’elle comme si elle avait douze ans. Le derrière de Cindy s’était légèrement crispé en entendant les paroles de sa mère, certes elle était habituée à recevoir la fessée cul nu comme disait Cécile, mais ça faisait très longtemps qu’elle n’avait pas reçu ce châtiment humiliant en présence d’une tierce personne. Sa honte était légèrement atténuée par le fait que le témoin de sa punition serait sa tante qui avait assisté à de nombreuses reprises à la mise à nu de son derrière.
Julie était ravie, ça différait un peu l’humiliante présentation de sa croupe à Cécile et assister à une bonne déculottée satisfaisait sa libido, surtout que Cindy avait vraiment des fesses ravissantes. Caroline lui avait souvent dit qu’elle était jalouse du popotin de sa cousine. Elle ne posa pas de question sur la cause de la punition, elle s’installa simplement et attendit. Cécile s’était approchée de sa grande fille et l’avait saisi par l’oreille :
— Tu vas commencer par montrer ton derrière à ta tante pour qu’elle puisse constater comment je traite les grandes filles insolentes qui se croient trop âgées pour se faire baisser la culotte.
Rouge de honte, la jeune femme se présenta devant Julie qui souriait devant sa gêne, elle lui fit un petit signe du doigt :
— Tourne-toi ma chérie que je regarde ton derrière de plus près.
Elle pensa un instant que ce serait bientôt son tour, autant profiter du moment présent. Les deux fesses rondes et musclées de Cindy était tout près d’elle, habituée à obéir sans discuter, celle-ci s’était légèrement penchée pour offrir une vue parfaite à sa tante. Julie tapota le derrière écarlate et se tourna vers Cécile :
— Tu l’as déjà bien soignée. Tu finis par quoi ?
La sévère maman se mit à rire :
— Tu plaisantes, mademoiselle a juste reçu une bonne déculottée à la main, ce n’est vraiment rien pour une chipie de son espèce avec un si beau derrière. Non ce qui lui faut, c’est le martinet et ce soir la brosse à cheveux avant d’aller au lit.
Puis s’adressant à la punie :
— Tu as entendu ce que maman te réserve ?
Cindy avait les larmes aux yeux :
— Oui maman…
— Tu sais que tu l’as méritée cette correction ?
— Oui maman…
— Enlève ta culotte complètement et va chercher le martinet.
La jeune femme sans un mot baissa sa culotte jusqu'à ses chevilles et l’enjamba, sa mère tendit la main pour recueillir la lingerie :
— Tu es privée de culotte à la maison pendant une semaine, comme ça j’aurai tes fesses à disposition. Maintenant file chercher le martinet.
Cindy se dirigea vers la cuisine le balancement de ses jolies fesses rouges fit de l’effet à Julie. Quelques instants plus tard, la jeune femme le buste posé sur la table présentait sa croupe aux morsures des lanières. Cécile avait annoncé, trente sur les fesses, trente sur les cuisses.
La correction se déroula sans aucun problème, Cindy offrit aux deux sœurs une jolie danse des fesses, mais ne chercha pas à échapper à son châtiment.
Son derrière était d’un rouge éclatant et ses cuisses ne l’étaient pas moins, elle pleurait toujours couchée sur la table, les fesses tendues se serrant convulsivement. Cécile la laissa dans cette honteuse position un moment, puis elle la fit se relever :
— File au coin et cesse de pleurnicher.
Sans que sa mère ait eu besoin de lui préciser, la jeune femme reprit sa position, les mains sur la tête et le nez contre le mur.
Cécile se tourna vers Julie :
— Qu’est-ce qui t’amène ma chérie ?
Julie piqua un fard et regarda sa nièce dans le coin, elle ne pouvait décemment pas raconter sa punition devant elle :
— Euh, c’est un peu gênant à raconter en présence de Cindy, on peut aller dans la cuisine.
Cécile eut un petit sourire coquin :
— Toi ma petite, je crois que tu es allé chez maman. Bon allez viens dans la cuisine.
Julie avait les joues presque aussi rouges que les fesses de sa nièce, elle remarqua que Cécile avait le martinet à la main, elle le raccrocha à son crochet. Les picotements dans son bas ventre recommençaient.
— Alors ma petite, qu’est-ce que tu voulais me dire que Cindy ne devait pas entendre ?
— J’ai été voir maman…
— Oui, et alors ?
— Ben…
Julie regardait ses pieds, c’était quand même difficile à avouer même à sa sœur qu’à quarante-cinq ans, elle venait de se prendre une magistrale déculottée et ce qui était encore plus compliqué, c’était de lui dire qu’elle devait lui montrer son derrière bien rouge.
Cécile devinait tout ça et se régalait de la gêne de Julie :
— Tu as besoin d’aide ?
Elle avait agité sa main devant le nez de Julie d’une façon tout à fait explicite. Julie se lança :
— J’ai fait ce que tu m’avais demandé.
— C’est-à-dire ?
Cécile le savait très bien, mais elle s’amusait des difficultés de sa sœur, elle voulait l’entendre dire qu’elle avait reçu une fessée. Julie la regarda, elle comprit qu’elle n’échapperait pas à l’humiliation :
— Euh… Ben… Je lui ai dit que je méritais une fessée…
Elle avait parlé très vite comme si les mots lui brûlaient la bouche. Cécile souriait :
— Et alors, elle te l’a donnée ?
— Euh… oui… Je dois te montrer mes fesses…
Julie avait continué sa confession, sa sœur ouvrit de grands yeux :
— Ah c’était donc ça que tu ne voulais pas que Cindy entende. Je comprends. Bon tu me les montres ?
Julie était soulagée d’avoir parlé, mais ce fut quand même compliqué de passer ses mains sous sa jupe, de faire glisser sa culotte sous ses fesses puis de retrousser sa jupe et de se retourner pour présenter son derrière à sa sœur.
Cécile s’approcha et appuya légèrement sur son dos pour la faire se pencher un peu plus :
— Mazette, maman a décidé de rattraper le retard, tu as pris combien de fessées ?
Elle caressait la croupe rougie, Julie était au supplice, mais malgré tout cette humiliation l’excitait. Cécile claqua sèchement les fesses :
— Combien ?
— Aïe… trois.
— Avec quoi ?
Julie présentait toujours son derrière dénudé au milieu de la cuisine et en plus elle devait répondre à un interrogatoire gênant. Elle serrait ses fesses, mais ne se relevait pas. Cécile lui prit la main, s’installa sur une chaise et la bascula en travers de ses cuisses :
— Nous serons mieux pour parler. Tu vas me raconter tout ça en détail et n’oublie rien tes jolies fesses sont parfaitement disposées.
Elle baissa la culotte jusqu’à mi-cuisse, Julie était à nouveau en position pour recevoir la fessée, mais curieusement, cette perspective ne l’effrayait pas, elle l’attendait presque. Elle sentit la main de sa sœur palper son derrière, elle mouillait à nouveau ;
Cécile lui tapota sèchement la croupe pour l’inciter à commencer sa confession. Elle raconta sa journée dans le détail, la fessée déculottée avant le repas, le passage au coin. La correction au martinet après le repas et enfin la double fessée avant de partir dont une dans le jardin.
Cécile écoutait sa sœur en souriant tout en tapotant doucement les fesses encore rouges :
— Eh bien, c’est normal que ton derrière ait encore si bonne mine, maman t’a soignée. Si j’ai bien compris tu n’as pas été au coin après ta dernière fessée.
Julie se doutait de la suite, elle essaya de négocier :
— J’y ai passé un bon bout de temps quand même.
Cécile lui claqua les fesses :
— Debout !!
Elle lui saisit l’oreille et la conduisit contre le mur à côté du martinet, elle coinça la jupe dans la ceinture et claqua chacune des fesses :
— Les mains sur la tête, vite !!
Julie se mit à gémir :
— S’il te plaît Cécile… Non, si les filles me voient. Aïe, aïe…
Deux magistrales claques venaient d’atterrir sur son fessier endolori :
— Tu préfères que je te mette au coin au salon avec Cindy ? À toi de choisir.
— Non, non…
— Alors cesse de pleurnicher, tu en as pour un quart d’heure, je ne veux plus t’entendre.
Elle laissa la pauvre Julie désespérée, les fesses à l’air dans la cuisine, puis elle revint au salon, Cindy n’avait pas bougé.
C’était finalement une très bonne après-midi, le mignon derrière écarlate de sa fille était vraiment excitant et celui de Julie, large et rebondi ne l’était pas moins. Elle s’installa dans un fauteuil et glissa sa main sous sa jupe puis dans sa culotte.
Julie le nez contre le mur, sentait son excitation monter, Cécile allait-elle lui flanquer à son tour une fessée déculottée.
Qu’on la reçoive où qu’on l’administre, la fessée a quand même du bon…
Encore une bonne correction de la part de sa maman et en plus dans le jardin à la vue de randonneur . Il n'y a vraiment pas d'âge pour la fessée quand on la mérite vraiment . J'attend vraiment la suite, j'espère que Cécile va recevoir aussi la fessée de sa maman.
RépondreSupprimerEffectivement il n'y a pas d'âge pour se faire rougir le derrière. Ne vous inquiétez pas les culottes ne vont pas rester longtemps sur les fesses de ces dames.
SupprimerVous êtes revenue en pleine forme. Merci pour tous ces récits cuisants 💜
RépondreSupprimerMerci de ce commentaire élogieux, je vais donc continuer à baisser les culottes et à rougir les fesses des dames.
SupprimerMerci de continuer d'écrire toutes ces aventures cuisantes et claquantes. Je suis vos récits avec un très grand plaisir. A bientôt.
RépondreSupprimerMerci Agnès, je prends également beaucoup de plaisir à les écrire. Il n'y a pas d'âge pour recevoir une bonne fessée déculottée.
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