samedi 3 mai 2025

Lucie et Christian 26

 Punition pour Emilie et Clotilde



C’était un lundi habituel, enfin presque, il succédait à un week-end cuisant pour plusieurs derrières de la société. Clotilde avait fait l’amère expérience d’un stage de soubrette chez Claire et avait découvert la honte d’être fessée cul nu par une très jeune femme. Alice et Lucie avaient connu un week-end torride aussi bien pour leurs derrières rebondis que pour le reste. Alice avait fait la connaissance de Lili qui adorait son fessier et l’avait amené au septième ciel après une cuisante correction, elle était amoureuse et ça se voyait à son visage rayonnant. Lucie avait été conquise par la sévère tatie d’Alice, Ingrid l’avait initiée aux plaisirs saphiques sophistiqués et elle avait vraiment apprécié malgré ses fesses brûlantes.

Clotilde se dirigea immédiatement vers le bureau de Claire, elle avait intégré ce rituel humiliant, elle ne portait plus que des jupes assez larges qui pouvaient se trousser facilement. Se déculotter dans le couloir et attendre fesses à l’air le nez collé contre le mur ne lui posait plus trop de problème. Bien sûr, elle sursautait à chaque bruit inconnu, elle était toujours dans la crainte d’être découverte dans cette tenue humiliante par une personne étrangère.



Le bruit des talons de madame Dugou résonnant sur le sol lui était devenu familier, la marche rapide et énergique de la responsable était reconnaissable, elle contracta ses fesses. Soudain son sang se glaça, une voix étrangère accompagnait les pas de madame Dugou.

— Ah ça par exemple, c’est original, qu’a fait cette dame pour être punie de la sorte ?

La voix inconnue parlait d’un ton égal, elle ne paraissait pas surprise de voir une dame troussée et déculottée dans le couloir.

— C’est une histoire ancienne, mais la faute est grave, la punition de madame va durer encore un moment.

Clotilde collait son nez contre le mur, depuis la découverte de sa malversation, Claire ne lui avait pas épargné les situations honteuses, celle-ci comptait parmi les pires. Elle sentit une main caresser ses fesses :

— C’est bien, ton derrière est encore rouge de tes corrections du week-end, mais il pourra facilement supporter ta fessée matinale. Tu restes là pendant que je finis avec mademoiselle Chloé et ensuite je m’occupe de tes bonnes grosses fesses.

Un petit rire retentit derrière elle :

— C’est vrai que madame à un bon popotin, on peut lui donner la fessée sans crainte.

Chloé, l’assistante de madame Sylvie était venue à la demande de la sévère cheffe de service, elle lui amenait un devis pour la prestation qu’elle voulait offrir à son personnel. Un stage de fessothérapie collective pour souder l’équipe et améliorer sa productivité.

Dans le bureau la jeune assistante expliqua le déroulé de la séance qui s’étalait sur une journée ou un week-end selon les désirs du client. Elle pouvait avoir lieu au cabinet de madame Sylvie ou pour les stages de deux jours, dans un gîte que madame Sylvie louait. Le résultat était garanti, le dossier était accompagné de nombreuses photos, toutes très édifiantes, une succession de croupes féminines toutes plus rouges les unes que les autres, des images de dames fessées dans diverses positions. Suivait également une série de témoignage élogieux sur les bienfaits de ce stage pour la productivité et l’ambiance de travail.

Madame Dugou parcouru en souriant le document, Chloé la regarda :

— Bien sûr, pour une réelle efficacité de la séance, tous le personnel doit participer, y compris l’encadrement.

La sévère cheffe de service rougit et ne répondit pas à cette allusion.

— Bien, je vais étudier ça de près et je vous donne une réponse rapidement.

Chloé avait noté le léger trouble de madame Dugou, elle lui serra la main en souriant :

— A bientôt, chère madame, j’espère que vous ferez cette expérience, c’est très intéressant.

En sortant du bureau, elle tapota les fesses toujours exposées de Clotilde :

— Ça va être à vous ma chère, vous pouvez préparer vos fesses.

Effectivement, quelques secondes plus tard, le bruit caractéristique d’une bonne fessée déculottée retentissait dans le bureau et le couloir, Claire n’avait pas pris la peine de fermer la porte. Les pleurs et supplications de la dame fessée accompagnaient le claquement de la main sur la peau nue.

Comme tous les matins, Clotilde rejoignit son bureau avec les yeux rougis, elle ne portait plus de culotte sous sa jupe et ses fesses étaient cramoisies.

Elle avait croisé ses deux collègues qui tenaient leurs culottes à la main et qui avaient également les yeux et les joues rouges. Elles allaient présenter leurs derrières à madame Dugou et lui remettre leur culotte.

Alice était arrivée sur le parking en même temps que Lucie, elles s’étaient fait la bise tout en se tapotant le derrière comme tous les matins. Elles étaient rayonnantes, Lucie remercia sa copine pour ce week-end chaud dans tous les sens du terme.

— Tu crois que les deux chipies sont déjà cul nu devant notre bureau.

— Elles ont intérêt d’y être, les fessées de tatie Ingrid me chauffent encore les fesses, je suis vraiment en forme pour leur tanner le derrière.

Lucie claqua les fesses de sa copine par-dessus sa jupe pour l’inciter à avancer.

— Allons-y, j’ai la main qui me démange.

Effectivement, Émilie et Laetitia étaient dans le couloir, le nez collé contre le mur, la culotte baissée sous les fesses et elles tenaient leurs jupes retroussées.

Les deux secrétaires échangèrent un sourire complice, la semaine commençait bien. Alice s’approcha et claqua sèchement chacune à leur tour les fessiers nacrés :

— Allez, reculottez-vous et en piste. Vos fesses se sont bien reposées ce week-end, elles sont vraiment trop blanches. Rassurez-vous on va leur donner un peu de couleur.

Les deux comptables avaient maintenant l’habitude de ces petites piques, elles savaient qu’il ne fallait surtout pas rechigner. Elles remontèrent leur culotte et suivirent Lucie, Alice s’occupa de leur faire presser le pas en leur claquant le derrière.

Le rituel était rodé, les deux punies attendaient tandis que les jeunes femmes préparaient la punition, en disposant deux chaises face à face.

Chaque lundi, elles inversaient leur punie, ce matin-là, Émilie dut se coucher sur les genoux d’Alice.

Quelques secondes plus tard, la jeune comptable et sa collègue plus âgée, exposaient leur fesse nue et la correction pouvait commencer. C’était toujours des fessées rapides mais magistrales. Depuis la semaine précédente, craignant que les fessiers s’habituent à la fessée manuelle, Lucie avait décidé de terminer la punition par l’administration d’une cinquantaine de coups de règle plate en bois. Les deux dames aux fesses déjà rouges n’appréciaient pas ce petit supplément et les cris et battements de jambes faisaient plaisir aux deux fesseuses.

Les croupes cramoisies se serraient convulsivement, Alice qui était d’humeur coquine, écarta les deux hémisphères brûlants d’Émilie :

— Ma petite chérie, il va falloir te laisser faire si tu ne veux pas que je me fâche.

La jeune femme n’en était plus à sa près, du moment que la fessée s’arrêtait. Sa raie était largement ouverte, Alice prit un stylo avec un embout bien rond et le posa sur l’anus de sa victime :

— Tu vas voir tatie Alice va s’occuper de ton petit trou, allez desserre tes fesses, sinon c’est panpan cucul.

Le stylo pénétrait doucement, Émilie au comble de la honte relâcha ses muscles fessiers et le plug improvisé pénétra profondément. Alice le fit pivoter et coulisser, elle fit un petit clin d’œil à sa copine qui la regardait amusée tout en tapotant les fesses écarlates de Laetitia toujours étalées en travers de ses cuisses :

— Tu ne penses pas que ces petites pourraient bénéficier d’un plug.

Lucie se mit à rire :

— Décidément ce week-end t’as mis en chaleur ma chérie. Mais je te rappelle que nous punissons ces chipies sous le contrôle de la mère Dugou, je ne pense pas qu’elle apprécierait ce genre d’initiative.

Émilie gémissait doucement, mais elle se laissait faire, d’une main agile, Alice glissa ses doigts entre ses cuisses :

— Eh bien, tu apprécies petite coquine, je vais te faire passer ces idées vicieuses.

Tout en laissant le stylo profondément enfoncé, elle reprit la règle plate et fessa à nouveau la jeune femme. Les cris et les pleurs retentirent à nouveau dans le bureau. La main de Lucie s’occupait aussi de l’intimité de Laetitia qui ne chercha pas à résister quand sa raie fut grande ouverte.

La deuxième correction d’Émilie était terminée, Alice lui retira le stylo et le fit relever, Lucie fit de même avec Laetitia :

— Enlevez vos culottes et allez montrer vos jolies fesses à madame Dugou.



En arrivant dans le couloir, elles croisèrent donc Clotilde et sa paire de fesses écarlates, elles toquèrent à la porte.

Claire les accueillit en souriant :

— Alors mesdames, on a les fesses bien chaudes ? Accrochez vos culottes et montrez-moi vos derrières.

Docilement les deux comptables s’exécutèrent, après avoir suspendu leur fine lingerie aux patères, elles se retournèrent et troussèrent leur jupe. La cheffe de service passa sa main sur les deux paires de fesses, celle d’Émilie était un peu plus rouge. Claire ne s’attarda pas à ce détail, elle claqua les fesses tendues :

— C’est bien, au travail maintenant.

Émilie se retourna et avalant sa salive, elle osa une question :

— Euh… madame, on a déjà bien remboursé, on pourrait peut-être recevoir moins de fessée.

Un peu surprise, Claire la fixa :

— Ah oui ? Tu penses peut-être que c’est toi qui décides de ta punition ?

Émilie sentit qu’elle venait d’aggraver son cas, elle essaya de rétropédaler :

— Euh, non, bien sûr madame, c’est vous… Pardon…

— Exactement, c’est moi ! Et je t’annonce que tu viens de gagner deux fessées supplémentaires chaque jour, une à dix heures trente et une à quinze heures trente. Tu iras voir Lucie et Alice, je vais les prévenir. En attendant tourne-toi.

Émilie pivota et Claire lui coinça l’ourlet de la jupe dans la ceinture puis elle lui administra deux claques magistrales sur chaque fesse :

— Tu resteras cul nu toute la journée, file !!

Émilie se précipita dehors en tortillant son derrière écarlate parfaitement exposé. Laetitia la suivait, arrivée dans le bureau comme sa jeune collègue pleurnichait en se frottant les fesses elle lui dit :

— Mais qu’est ce qui t’a pris ? Tu le sais pourtant qu’on a rien à dire. Tant pis pour tes fesses ma petite chérie.

Clotilde avait levé le nez à l’arrivée de ses deux collègues, elle esquissa un sourire en voyant la jupe d’Émilie coincée dans la ceinture, laissant voir sa croupe écarlate, elle interrogea Laetitia du regard :

— Mademoiselle a voulu faire la maligne avec madame Dugou, voilà le résultat, cul nu toute la journée et deux fessées supplémentaires.

Clotilde hocha la tête :

— Tu n’es vraiment qu’une gamine, ça va t’apprendre. Tu as de la chance qu’elle ne t’ait pas fait asseoir sur le paillasson de réflexion.

Émilie frottait toujours son derrière en pleurnichant quand la cheffe de service entra dans le bureau, elle tenait à la main un petit paillasson rond en plastique avec des picots :

— Émilie !! Tu sais bien qu’on ne frotte pas ses fesses. Décidément les deux fessées supplémentaires te feront le plus grand bien. En attendant tu vas passer la matinée sur ce paillasson, ça va te faire réfléchir. Je suis sûr que ton joli derrière va apprécier.

Elle posa le nouvel instrument de punition sur le siège de la jeune fille, puis elle lui saisit l’oreille, la fit pivoter et lui claqua sèchement les fesses :

— Maintenant au travail, j’ai prévenu Lucie, elle t’attend à dix heures trente.

La jeune comptable posa délicatement son fessier enflammé sur le paillasson en plastique, elle ne put retenir une grimace, ce qui fit sourire Claire :

— Ce n’est pas très agréable, j’en conviens, mais ça t’apprendra, et si tu n’es pas sage tu y resteras toute la journée.

Puis elle tourna les talons et quitta le bureau des comptables.

À l’heure dite, la plus jeune des comptables se leva ; même si c’était pour recevoir à nouveau une cuisante correction, elle était presque contente de pouvoir lever ses fesses de l’urticant paillasson. Elle frappa timidement à la porte du bureau des secrétaires, Lucie l’invita à rentrer :

— À voilà notre petite chipie, tu as encore fait des bêtises, c’est à croire que tu aimes te faire rougir le derrière.

Alice souriait devant la confusion de la jeune femme qui ne répondait pas, elle remarqua la jupe coincée dans la ceinture :

— Et en plus cul nu toute la journée, eh bien la mère Dugou t’a soignée. Ce matin c’est Lucie qui te corrige, cet après-midi ce sera moi.

Lucie avait reculé sa chaise du bureau et fit un petit signe à la jeune femme, dès qu’elle fut à sa portée, elle la bascula en travers de ses genoux. Elle poussa un petit cri de surprise en voyant l’aspect des fesses.

— Mazette, tu as eu droit au paillasson ?

Les fesses encore rouges, étaient ciblées de petits trous, trace des picots qui s’étaient incrustés dans la chair tendre du fessier.

Lucie palpa la croupe :

— Ça ne t’épargnera pas la fessée ma chérie, mais celle-là tu vas la sentir.

Effectivement, Émilie se mit à pleurer dès le début de la punition. Lucie ne tint pas compte de l’état du derrière, elle administra la fessée prévue sans faiblir. Elle savait qu’une bonne paire de fesses de dame pouvait facilement supporter ce genre de traitement, cependant elle lui fit cadeau de la fessée à la règle plate.

Émilie regagna son bureau avec un derrière cramoisi et brûlant, le poser délicatement sur son siège fut une épreuve.

Comme tous les midis, les trois comptables se rendirent dans le bureau de Claire Dugou pour y recevoir leur punition et rester en pénitence les fesses à l’air. Claire était souriante en voyant la docilité de ses trois subordonnées, elle décida d’être magnanime :

— C’est votre dernière fessée du midi, à partir de demain vous ne recevrez plus que celle du matin et du soir.

Les visages des trois punies s’éclairèrent, Claire regarda Émilie :

— Bien sûr, ça ne s’applique pas à toi, tu viendras me montrer ton derrière pendant encore une semaine. Cinq fessées par jour, tu vas voir comme tu vas devenir mignonne, surtout que tu viendras passer le week-end chez moi pour que tes jolies fesses ne refroidissent pas. Si tu t’es bien comportée pendant tout ce temps, je lèverai ta punition.

Émilie avait baissé la tête en entendant ce qui l’attendait, ses fesses étaient encore brûlantes des deux fessées déjà reçues et du séjour sur le paillasson.

Claire Dugou commença par elle, la fessée fut aussi sévère que d’habitude et la pauvre Émilie brailla et pleura tout son saoul. Claire comme Lucie savait qu’on ne mourrait pas d’une bonne fessée, le fessier féminin est ainsi fait qu’il peut endurer de nombreuses corrections sans grand dommage, si ce n’est une cuisson persistante et une difficulté à rester assise.



La jeune comptable piétinait sur place le nez contre le mur et les mains sur la tête pendant que l’une après l’autre ses deux collègues recevaient leur fessée, la même pour chacune avec un résultat identique, une croupe cramoisie jusqu’au sommet des cuisses.

Le séjour au coin même s’il pouvait paraître long était un moment de répit apprécié. Claire Dugou regardait avec gourmandise la jolie paire de fesses d’Émilie. Elle allait pouvoir en profiter tout un week-end, il était très mignon, ferme et bien rebondi, ça changerait du plantureux derrière de Clotilde, elle évalua la taille des vêtements que devait porter la jeune femme, elle allait lui commander un costume de soubrette à elle aussi.

Quand la jeune femme remonta dans sa voiture le soir après les deux fessées supplémentaires, celle de l’après-midi et celle juste avant de quitter son travail, elle avait littéralement le feu au derrière. Une copine l’appela pour sortir, elle déclina l’invitation, elle n’avait qu’une envie, se prendre un bain et de se masser les fesses avec une crème apaisante.

Clotilde reçut un message pendant qu’elle conduisait, c’était Karine « coucou ma chipie, comment va ton bon gros derrière ? Je sors de cours, je serai chez toi dans trente minutes, il faut que j’examine un peu tes fesses ». Le message était explicite, la cheffe comptable serra instinctivement ses fesses encore rouges et soupira.

Elle allait s’engager dans le parking souterrain quand elle aperçut Karine qui arrivait à pied, celle-ci lui fit un petit signe de la main, elle se gara donc au pied de son immeuble. Dès qu’elle sortit de sa voiture, la jeune femme lui fit une bise et tapota le beau derrière par-dessus la jupe :

— Alors, je suppose que maman a dû s’en occuper aujourd’hui, on va aller vérifier ça.

Clotilde avait rougi et jeté un regard circulaire pour vérifier que personne n’avait vu le geste de la jeune fille, ni surtout entendu ses paroles, heureusement, la rue était déserte. Karine nullement gênée, claqua la croupe :

— Bon allez on monte chez toi.

Bizarrement Clotilde était excitée par la conduite de la jeune femme, elle ouvrit la porte de l’immeuble, Karine la suivait en souriant, le généreux popotin se tortillait de façon très suggestive.

Dans l’ascenseur, elle fit pivoter la dame d’âge mûr et lui claqua sèchement la croupe :

— Tu sais que j’ai rêvé de tes fesses toute la journée, j’aurais bien envie de te déculotter ici.

Paniquée, Clotilde protesta :

— Oh non mademoiselle Karine, s’il vous plaît…

La jeune perverse éclata de rire :

— Je t’ai fait peur on dirait ? Rassure-toi ce ne sera pas pour aujourd’hui, mais je te garantis qu’un jour tu goûteras aux joies de la fessée déculottée en plein air.

Clotilde pria pour ne rencontrer personne, en sortant de l’ascenseur, sa voisine une dame âgée fermait sa porte, elle la salua, mais ne sembla pas remarquer les joues rouges de la cheffe comptable.

Dès qu’elles furent dans l’appartement, l’ordre fusa :

— Viens ici !

Il y avait un petit tabouret dans l’entrée, Karine s’y était assise. Elle tira Clotilde par la main pour la forcer à se coucher en travers de ses genoux. La pauvre était affolée, seule la porte d’entrée la séparait du palier, elle se doutait bien que Karine ne l’avait pas mise dans cette position pour compter des perles. Le bruit de la fessée qui risquait d’arriver allait s’entendre si quelqu’un passait.

En un clin d’œil, la jeune femme la troussa et la déculotta :

— Eh bien, maman t’a soignée, tes fesses sont encore bien rouges. Pas assez à mon goût par contre.



Elle se mit à claquer sèchement le bon gros derrière, Clotilde se retenait de crier et de supplier, le bruit des claques était déjà assourdissant. Sa voisine était certainement descendue chercher son courrier, quand elle allait remonter, elle ne pourrait pas ne pas deviner que quelqu’un recevait une fessée déculottée.

Heureusement, la position ne convenait pas à Karine, elle la fit se relever et en lui claquant les fesses lui indiqua le salon :

— C’était un apéritif ma chérie, mademoiselle Karine va s’occuper de ton bon gros derrière pour que tu penses à elle toute la nuit. Enlève ta culotte et ta jupe.

Clotilde s’exécuta, elle était nue de la taille aux pieds si ce n’est ses bas et un porte-jarretelles blanc, la jeune femme lui désigna le mur :

— File te mettre au coin, pendant que je réfléchis à la suite.

Le majestueux postérieur était d’un rouge éclatant, Karine sentit l’excitation monter, c’était incontrôlable, la vue du fessier de Clotilde déclenchait chez elle une pulsion érotique. Elle était amoureuse des fesses de la cheffe comptable et malheureusement pour celle-ci, il fallait qu’elles soient bien rouges pour exciter la jeune femme.

Elle fouina dans l’appartement autant par curiosité que pour dénicher un instrument punitif. Elle hésita entre une grande règle plate en bois, une cuillère également en bois, avant de jeter son dévolu sur une petite planche à découper en bois munie d’un manche. C’était quasiment un paddle made in Angleterre.

De son côté Clotilde malgré la brûlure qui embrasait son derrière n’était pas insensible à la sévérité de cette jeune femme. Son regard bleu acier, son sourire ironique quand elle lui annonçait une bonne fessée cul nu la ramenait au rang de gamine punie. Elle ne savait pas pourquoi, mais elle mouillait malgré son fessier douloureux.

Karine sourit au spectacle de cette dame d’âge mûr en pénitence les fesses à l’air. Elle s’approcha et glissa sa main entre les fesses puis les cuisses :

— C’est bien ce que je pensais, tu aimes quand je te fesse n’est-ce pas ? Eh bien rassure-toi moi aussi j’aime te rougir le derrière, on est faite pour s’entendre.

Elle la prit par l’oreille :

— Je n’en ai pas tout à fait terminé avec tes jolies fesses, mais avant tu vas me donner du plaisir et tâche de t’appliquer.



Elle se dirigea vers la chambre et sans façon se déshabilla, Clotilde regardait sa jeune maîtresse avec fascination, elle ne s’était jamais mariée et avait eu une vie sexuelle relativement sage et traditionnelle. Elle n’avait aucune expérience de relation homosexuelle, mais voir cette jeune fille en petit culotte, ses fesses rebondies et ses petits seins pointant sous son soutien-gorge, lui firent beaucoup d’effet. Sans aucune gêne, Karine glissa ses doigts dans la ceinture de son sous-vêtement et se déculotta, son derrière blanc laiteux était appétissant à souhait, elle se tourna vers Clotilde, exhibant sa toison très claire et peu fournie.

Claire adorait lui administrer la fessée, sa peau de blonde rougissait très vite et très fort, le contraste du rouge vif de ses fesses avec le reste de son corps était saisissant.

Clotilde ne bougeait pas ne sachant pas ce qu’attendait sa jeune maîtresse, Karine se mit à rire :

— Tu m’as l’air un peu gourde ma grande. Je vais te faire une formation expresse, tu as intérêt à bien retenir la leçon.

Elle désigna le lit :

— Allonge-toi là.

Comme Clotilde se couchait sur le ventre, elle se moqua d’elle :

— Ma chérie, pour le moment c’est le côté face qui m’intéresse, tes fesses bien rouges sont magnifiques, mais je finirai de m’en occuper tout à l’heure.

Clotilde, le visage rubicond se retourna. Immédiatement la jeune femme la chevaucha, les fesses tournées vers son visage, elle écarta les cuisses de sa soumise et entrepris de lui faire un cunnilingus. C’était nouveau pour la dame d’âge mûr, mais tellement plus agréable qu’une fessée, elle se mit à gémir et spontanément se mit à caresser les fesses de Karine qui gigotait devant ses yeux, la jeune femme continua un moment, puis elle se releva :

— J’espère que tu as compris, on inverse les rôles, à ton tour !!

Elle se coucha sur le dos, cuisses largement ouverte et attendit, maladroitement Clotilde prit la même position qu’elle à califourchon au-dessus de la jeune femme et ses lèvres se dirigèrent vers le petit abricot que lui offrait Karine. Elle se montra habile, la jeune maîtresse se mit à gémir de plaisir. Les grosses fesses rouges ballottaient devant ses yeux, elle les agrippa, les malaxa et rapidement se mit à les claquer :

— Oui, c’est bon, continue ma chérie, allez encore, tu vas voir comme je vais m’occuper de ton gros derrière.

La main claquait et Clotilde découvrant ses plaisirs inconnus se mit à gémir elle aussi, surtout que les doigts de Karine se mirent à la caresser également, fouillant sa vulve et écartant ses larges fesses.

Cet intermède coquin dura un bon moment, Karine fit coucher son amante à côté, mais sur le ventre cette fois-ci afin d’avoir son confortable fessier à sa portée :

— Ton derrière a refroidi ma chérie, il va falloir que je m’en occupe à nouveau.

Clotilde protesta faiblement :

— Oh non, mademoiselle Karine, j’ai encore mal aux fesses.

La jeune femme sourit et tapota la large croupe, elle était contente de son autorité sur cette dame et malgré leur différence d’âge, elle se surprenait à éprouver une véritable attirance pour elle :

— J’aime bien quand tu m’appelles « mademoiselle Karine », mais tu sais bien que c’est moi qui décide si tes fesses en on reçut assez. Je pense que ton bon gros popotin a encore besoin d’une fessée supplémentaire. Il faut que tu t’endormes avec les fesses brûlantes pour penser à ta maîtresse toute la nuit.

Elle se leva :

— Tu préfères que je te corrige ici ou au salon ? Tu vois je suis gentille, tu as le choix.

Clotilde ne répondit pas immédiatement, ce qui lui valut une dizaine de claques sur le postérieur :

— Dépêche-toi de décider, sinon tu auras droit à deux fessées, une ici et une au salon.

La cheffe comptable regarda la porte, il lui sembla préférable que sa chambre reste un lieu de plaisir, s’il fallait à nouveau recevoir une fessée autant que ça soit au salon :

— Je préfère au salon mademoiselle Karine.

La jeune femme en souriant lui claqua le derrière sèchement :

— Parfait, allons-y. Je n’ai plus trop de temps à t’accorder, mais crois-moi, ton bon gros derrière va te cuire.

Elle ne s’était pas rhabillée, elle posa ses fesses nues sur le canapé et fit basculer sa soumise en travers de ses cuisses. Elle avait pris le paddle improvisé sur la table basse. Immédiatement la palette en bois s’abattit au milieu du large fessier, Clotilde poussa un cri, la brûlure était intense, supérieure à celle d’une fessée à la brosse à cheveux ou à la règle plate. La petite planche à découper avait quasiment la même surface qu’une fesse de la cheffe comptable. À cet instant précis, elle n’était plus responsable de la comptabilité, mais une gamine sévèrement corrigée par une maman sévère, Karine jouait ce rôle à merveille.



Il ne fallut pas longtemps pour que la croupe rubiconde se couvre d’un rouge très profond, Clotilde pleurait et ses jambes pédalaient dans le vide.

Karine posa le paddle et caressa la croupe incandescente :

— Voilà une paire de fesses cuite à point, tu vas filer au coin.

Clotilde rejoignit le mur, face à la baie vitrée et Karine alla se rhabiller dans la chambre. Elle s’approcha de son amante soumise et glissa ses doigts entre ses fesses brûlantes puis ses cuisses :

— Ça t’a plu n’est-ce pas ? Rassure-toi, on recommencera. Tu vas rester au coin jusqu’à ce que je t’appelle. Je prends tes clés, tu dois bien avoir un double, je veux pouvoir venir te surveiller quand j’en ai envie. Si jamais tu quittes le coin avant que je t’y autorise, je te promets une correction dont tu te souviendras toute ta vie.

La menace était théorique, mais Karine savait que Clotilde obéirait.

Effectivement, une fois que sa jeune maîtresse eu quitté l’appartement et fermé la porte à clé, la punie resta le nez collé contre le mur et les mains sur la tête. Il ne lui venait pas à l’idée de désobéir à sa fesseuse, elle était soumise et amoureuse.

Le téléphone sonna au bout d’une demi-heure :

— Alors ma chérie, tu as encore le feu aux fesses j’espère ? Tu manges un morceau, tu prends une douche et au dodo. Au fait, fais-moi une photo de ton bon gros derrière. Tu en feras une également demain matin.




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