mardi 27 mai 2025

Lucie et Christian 28

Première matinée de stage

 



Claire venait de faire un saut en arrière, sa dernière fessée remontait à plus de trente ans, quand elle était jeune fille au pair dans une famille aristocratique en Angleterre. Les filles de la famille étaient soumise à une stricte discipline domestique et la duchesse l’avait prévenue dès son arrivée qu’elle serait traitée comme les filles en cas de manquements à ses devoirs, mais qu’elle avait l’autorisation de déculotter et de fesser les deux adolescentes.

Elle avait donc goûté à l’humiliation de se faire corriger les fesses nues à vingt ans. La honte avait été renforcée par le fait que la punition lui avait été administrée par la bonne sur ordre de la maîtresse de maison.

La jeune soubrette s’y entendait et Claire s’était relevée de ses genoux avec une paire de fesses écarlates et brûlantes, sa culotte entortillée autour de ses chevilles, elle avait dû ensuite exposer son derrière au coin.

Aujourd’hui, elle était devant madame Sylvie, les joues rouges, se dandinant d’un pied sur l’autre. La fessothérapeute esquissa un sourire, c’était toujours un plaisir pour elle de voir une dame d’âge mûr ne sachant pas quelle attitude adopter.

Machinalement, Claire tira sur sa jupe comme si elle voulait la rallonger, elle n’en avait pas porté de si courte depuis sa jeunesse quand c’était la mode des minijupes, mais elles ne ressemblaient pas à celle-ci qui lui donnait vraiment un air de gamine.

— Tu sais pourquoi tu es là ?

Claire ne s’était pas encore habituée à être tutoyée, elle sursauta légèrement et elle rougit un peu plus.

— Je t’ai posée une question !! Il va falloir t’apprendre à répondre immédiatement ma petite Claire, sinon tu vas en payer les conséquences.

— Pardon madame Sylvie… Euh, oui, mais je vais vous expliquer.

La fessothérapeute tapotait son bureau :

— Ah oui, tu vas m’expliquer pourquoi tu es impolie ?

— Mais non madame, je… je ne pouvais pas répondre…

— Pourquoi ?

— J’attendais une réponse de ma direction madame.

La sévère directrice recula sa chaise :

— Tu te moques de moi.

— Non, non, madame. C’est vrai, je vous assure.

— Tu ne pouvais pas envoyer un mail pour prévenir ?

Claire était de plus en plus mal à l’aise, elle baissa la tête. Elle se revoyait au lycée dans le bureau de la directrice en train de se faire sermonner, mais les conséquences aujourd’hui seraient sans doute plus cuisantes, la fessée avait déjà disparu des écoles quand elle avait dix-huit ans.

Madame Sylvie s’était levée, elle prit une chaise et la disposa devant son bureau. Claire connaissait ce cérémonial, puisqu’elle pratiquait de même avec ses subordonnées :

— Je connais une très bonne méthode pour soigner l’impolitesse, approche !

Elle s’était installée sur la chaise et avec son doigt, elle avait fait un petit signe à la cheffe de service, Claire était tétanisée, elle ne bougea pas. Dans un geste d’énervement, la fessothérapeute lui saisit la main et l’attira contre ses cuisses, elle lui claqua l’arrière des cuisses sous la jupe :

— En plus d’être impolie, tu es désobéissante, nous allons avoir du travail ce week-end, mais rassure-toi je sais comment traiter les chipies.

Surprise par la brûlure des claques sur ses cuisses dénudées, Claire avait sautillé sur place et crié :

— Aïe, aïe… Non…

En un clin d’œil, elle se retrouva dans la position qu’elle faisait si souvent prendre à ses subordonnées et à ses filles. Elle pensa à celle-ci, que dirait-elle en la voyant en position disciplinaire ?

La cinquantenaire autoritaire qui déculottait et fessait avec entrain, était maintenant dans la position peu enviable d’une adolescente punie par la sévère directrice de son collège. Elle sentit sa jupe se relever, elle ne se souvenait pas de cette sensation, puis immédiatement les claques commencèrent à tomber sur son derrière culotté. C’était des claques très fortes et malgré la protection du tissu, elle ressentit rapidement une cuisson, la main claquait aussi le haut des cuisses au ras de la culotte, c’était très douloureux et la cheffe de service se mit à crier et à supplier, ce qui fit rire sa fesseuse :

— Tu es bien douillette ma petite, attends que je te baisse la culotte pour pleurer.

Claire sentit avec horreur le sous-vêtement glisser sur sa croupe, même si elle s’y attendait, se faire déculotter à plus de cinquante ans est une épreuve.




La vraie bonne fessée déculottée commença, la même que celle qu’elle se régalait d’administrer à ses filles et au cinq employées. Elle ne dérogea pas à la règle, malgré son âge, elle battit des pieds, ses fesses se serrèrent et s’ouvrirent au rythme de la correction, elle supplia et finit en pleurs :

— Tu seras encore impolie ?

La fessothérapeute avait cessé la punition et sa main reposait sur les fesses écarlates et brûlantes, Claire sanglotait doucement, elle avait oublié combien une fessée déculottée ça faisait mal :

— Non, non madame Sylvie, promis.

— J’espère…

Sylvie reclaqua une dizaine de fois le fessier :

— Je voudrais être sûre que tu as bien compris, la prochaine fois, je ne serai pas si gentille, tu auras droit à la fessée cul nu devant tes petites camarades.

Elle fit relever la sévère cheffe de service qui avait perdu toute sa superbe, les larmes coulaient sur ses joues :

— Tiens ta jupe retroussée !

Elle saisit l’oreille de Claire et la conduisit devant un grand miroir :

— Regarde tes jolies fesses, elles sont bien rouges n’est-ce pas ? Eh bien rassure-toi, elles seront souvent de la même couleur ce week-end.

Elle prit une photo, on distinguait bien dans la glace la croupe rubiconde et le visage de Claire.

— Tu as de la chance, comme c’est ta première fessée, tu as le droit de te reculotter. Allez dépêche-toi, tes camarades attendent.

Elle avait claqué le derrière écarlate, Claire ne se le fit pas dire deux fois, elle remonta sa culotte sur ses fesses brûlantes et remis sa jupe place.

Madame Sylvie ouvrit la porte du bureau, les cinq pensionnaires attendaient bien sagement alignées en rang par deux, sauf Clotilde qui attendait sa compagne. Les yeux rougis de la cheffe de service ne laissait guère de doute sur ce qui venait de lui arriver.

Alice donna un petit coup de coude à Lucie, un sourire éclairait leur visage. « Chacune son tour de montrer ses fesses »

— Maintenant, en classe et en silence !

Madame Sylvie avait claqué dans ses mains. Les six collégiennes la suivirent.

La salle de classe ressemblait vraiment à celle des années cinquante, six petits pupitres individuels, avec un siège fixe, le bureau de l’institutrice sur une estrade et un tableau noir. Sur le mur à côté du bureau était suspendu, un martinet, une sangle en cuir qui se séparait au bout en deux morceaux et sur le bureau posé bien en évidence, une grande règle plate en bois et une brosse à cheveux avec un large manche en bois. Les prénoms des élèves étaient marqués sur chaque table, Clotilde était évidemment à côté de Claire, mais Lucie avait été séparée d’Alice, celle-ci fit une petite grimace qui ne passa pas inaperçue. Sylvie s’adressa sévèrement à elle :

— Quelque chose ne te convient pas Alice ? J’ai demandé à mademoiselle Chloé de vous séparer, ça vous évitera de bavarder.

Mais comme ta place ne te convient pas, j’en ai une autre à te proposer. Viens ici !

Alice s’approcha tête basse, la discipline de ce collège était drastique, dès qu’elle fut à sa portée, Sylvie la prit par l’oreille et la conduisit à côté du tableau :

— Tu vas rester au coin un moment et tu me diras quelle place tu préfères. Mets tes mains sur la tête et colle ton nez contre le mur.

Elle retroussa la jupette, l’épingla dans le dos avec une pince sortie de sa poche, puis glissant ses doigts sous l’élastique de la culotte, elle la baissa jusqu’à mi-cuisses.

Elle claqua sèchement le fessier bien rebondi et se tourna vers les autres élèves :

— Quelqu’un n’est pas contente de sa place ? Bien asseyez-vous.

Lucie était ravie de pouvoir admirer la jolie paire de fesses de sa copine, après tout elle avait eu droit elle aussi à un déculottage public et en plus elle avait pris une fessée.

La sévère directrice ne faisait plus attention à la dame déculottée à côté d’elle :

— Sur vos bureaux, vous avez votre carnet de correspondance, sur la première page votre état civil, sur la deuxième vos mensurations, j’ai prévu en fin de matinée une visite médicale, c’est mademoiselle Chloé qui s’en chargera. Sur la page suivante vos notes de contrôle de connaissances et enfin sur le reste du carnet sera noté les punitions que vous aurez reçues.

Les cinq stagiaires avaient écouté sans un mot, madame Sylvie scrutait les réactions :

— Ce soir et demain avant la fin du stage, nous ferons le compte des punitions reçues et un complément sera administré en cas de comportements inadaptés. Celles qui ont déjà été punies depuis votre arrivée, vous allez noter votre punition sur le carnet.

Lucie, Émilie et Claire étaient concernées, elles prirent un stylo :

— Vous notez par qui vous avez été punie, quel type de fessée, position et instrument.

Claire était mortifiée de noter sa punition, mais elle savait qu’elle n’avait pas le choix « fessée déculottée à la main, sur les genoux de madame Sylvie »

Lucie et Émilie étaient habituées à ces petites humiliations, la jeune comptable s’appliqua à bien écrire « fessée au martinet, debout mains sur les genoux par mademoiselle Chloé, sur les cuisses et sur les fesses nues », elle avait noté les détails par peur d’être grondée, Lucie était assise à côté d’elle, elle sourit en voyant ce que la jeune femme avait écrit, elle entreprit à son tour de noter sa punition « fessée déculottée, debout coincée sous le bras de mademoiselle Chloé, fessée à la main et fesses à l’air ensuite », elle avait rajouté de son propre chef la suite de la fessée à savoir la montée des escaliers culotte baissée.

Madame Sylvie circulait entre les pupitres, elle regarda ce qu’avaient écrit les trois punies :

— C’est parfait, Alice tu peux quitter ton coin et te reculotter, ta jupe restera retroussée jusqu’à midi. Tu noteras toi aussi ta punition.

Alice regagna son pupitre après avoir remonté sa petite culotte, elle s’installa et pris son carnet, Claire qui était derrière elle, remercia intérieurement la directrice de lui avoir laissé la jupe retroussée, le spectacle de ses belles fesses culottées posées directement sur le bois du banc était charmant.

« Mise au coin les fesses à l’air, mains sur la tête pendant dix minutes », madame Sylvie venait de lire le carnet d’Alice, elle frappa dans ses mains :

— Nous allons commencer par une première leçon, je vais vous donner une poésie, vous aurez un quart d’heure pour l’apprendre par cœur.

Elle distribua les feuilles, c’était un petit sonnet de Ronsard

Sonnet à Marie

Pierre de Ronsard

Je vous envoie un bouquet que ma main
Vient de trier de ces fleurs épanouies ;
Qui ne les eût à ce vêpres cueillies,
Chutes à terre elles fussent demain.

Cela vous soit un exemple certain
Que vos beautés, bien qu’elles soient fleuries,
En peu de temps cherront, toutes flétries,
Et, comme fleurs, périront tout soudain.

Le temps s’en va, le temps s’en va, ma dame
Las ! le temps, non, mais nous nous en allons,
Et tôt serons étendus sous la lame ;

Et des amours desquelles nous parlons,
Quand serons morts, n’en sera plus nouvelle.
Pour c’aimez-moi cependant qu’êtes belle.

Pierre de Ronsard

 

Les six stagiaires lurent avec effarement ce poème, apprendre ça en un quart d’heure, était une gageure, Sylvie le savait, elle avait décidé d’interroger deux des collégiennes. Elle avait déjà choisi lesquelles, deux n’avaient pas encore été punies, elle allait donc à coup sûr découvrir le derrière de Clotilde et celui de Laetitia.

Elle s’installa à son bureau pour surveiller du coin de l’œil ces six dames affolées par la difficulté, on les voyait répéter les phrases à voix basse, c’était assez comique.

Le quart d’heure passa trop vite, si l’on avait pu regarder sous les culottes on aurait certainement vu des paires de fesses contractées par l’angoisse.

— Clotilde au tableau !!

La cheffe comptable se leva, elle jeta un regard désespéré vers ses collègues, mais aucune ne lui apporta du réconfort, toutes bien contente d’échapper à la punition qui semblait inéluctable. Sylvie fit un petit signe à Clotilde qui s’était levée :

— Viens ici, tu montes sur l’estrade et tu regardes la classe et nous t’écoutons.

La cinquantenaire se retrouvait des années en arrière, elle avait toujours détesté les interrogations orales. Elle commença :

— Je… je vous envoie un bouquet que ma main, Vient de… de… trier de ces fleurs épanouies…

Elle était écarlate, elle bégayait, les autres compatissaient malgré tout, sachant qu’elles ne feraient pas mieux. Sylvie tapait du doigt sur son bureau :

— C’est tout ?

— Non, non madame Sylvie, pardon… euh, euh… Qui ne les eût à ce… vêpres cueillies… Chutes à terre elles…

Les mots s’emmêlaient dans le cerveau de la pauvre Clotilde, elle avait les larmes aux yeux.

— Tu n’as rien appris !!

— Pardon madame Sylvie, mais c’est trop dur…

— Cesse de pleurnicher, viens ici !

La cheffe comptable se tourna vers la directrice, celle-ci s’était levée.

Elle saisit Clotilde par l’oreille, la fit pivoter et lui claqua une dizaine de fois la croupe par-dessus la jupe :

— Je vais t’aider à retrouver la mémoire.

Elle retroussa la jupette et l’épingla dans le dos comme elle l’avait fait pour Alice, elle devait avoir une collection d’épingle dans la poche. Puis elle baissa la culotte d’un geste sec. La cheffe comptable tournait le dos aux spectatrices, elle exposait donc son large fessier d’un blanc laiteux à toute la classe, les traces de la fessée matinale de Claire avait disparu.

Sylvie lui entoura la taille et la fit courber en avant, son derrière pointait vers les spectatrices. La sévère directrice administra une fessée rapide tout au plus cinquante claques qui teintèrent la croupe de rose, puis elle la relâcha :

— Tu restes comme ça, qu’on voie bien tes bonnes grosses fesses et tu recommences.

Clotilde gémissait doucement, se faire déculotter, elle en avait l’habitude, mais ça ne lui était jamais arrivé devant autant de personnes qui regardaient avec attention. Elle perdit tous ses moyens et se mit à pleurer :

— Pardon madame Sylvie, c’est… c’est trop dur… je ne me rappelle pas.

La directrice la regarda en souriant :

— Reculotte-toi.

Surprise, Clotilde remonta sa culotte. Sylvie prit sa chaise et la disposa sur l’estrade légèrement en biais par rapport au public, elle s’installa :

— Je vais te montrer comment je soigne les paresseuses qui n’apprennent pas leur leçon, approche !

Clotilde comprit pourquoi elle l’avait fait se rhabiller, c’était pour le plaisir de la déculotter une fois couchée sur ses genoux, en un clin d’œil la cinquantenaire se retrouva comme une mauvaise élève punie par son institutrice, couchée en travers de ses cuisses :

— Une bonne fessée déculottée devant toutes tes petites camarades, voilà ce que tu mérites !

Elle se tourna vers les cinq spectatrices :

— Regardez bien et que ça vous serve de leçon.

Les grosses fesses de Clotilde étaient contractées par l’angoisse, la position oblique de la chaise exposait parfaitement son fessier culotté. Sylvie leva la main et commença à claquer le large derrière ainsi que le haut des cuisses et la base des fesses dénudées, c’était des claques très fortes et la punie ne tarda pas à gémir et à se trémousser. La fessothérapeute connaissait son métier, elle allait donner une fessée sévère, il fallait faire monter la température du fessier. Après une centaine de claques généreusement distribuées sur le fin coton, elle se décida à passer aux choses sérieuses. Elle glissa ses doigts sous la culotte et entreprit de la baisser lentement, elle voulait que la punie ressente bien l’humiliation de ce déculottage public et que les spectatrices profitent à plein du spectacle et qu’accessoirement, elles prennent conscience que ce serait bientôt leur tour.

La culotte s’arrêta à mi-cuisse, c’était suffisant pour une fessée scolaire, le large popotin de Clotilde s’étalait maintenant devant six paires d’yeux car Chloé était entrée dans la classe et se tenait au fond, elle souriait ravie du spectacle. 


La vraie fessée démarra, les fesses étaient déjà colorées par la fessée préparatoire. Mais ce n’était rien à côté de la rougeur qui envahi bientôt la croupe, la punie n’avait plus cinquante ans, elle tortillait son derrière, ses jambes battaient l’air, elle criait, suppliait comme une adolescente punie par son institutrice :

— Tu la sens bien la fessée de madame Sylvie, ton bon gros derrière est bien rouge, mais je peux t’assurer qu’il va l’être encore plus, je vais t’apprendre à travailler tu vas voir la prochaine fois tu la sauras ta poésie.

Elle se tourna légèrement et saisi la règle plate posée sur le bureau. Clotilde hurla dès le premier coup, madame Sylvie avait visé le pli séparant les fesses des cuisses, elle choisissait toujours cette zone très sensible pour que la punie comprenne que la correction serait sévère, et elle le fut. Les fesses bondissaient dans tous les sens, le public avait une vue magnifique sur l’intimité de la cheffe comptable qui désormais pleurait à chaudes larmes. Son large fessier était cramoisi, c’était la première fessée très sévère du week-end, Sylvie n’avait pas pu résister à la tentation de corriger cette belle paire de fesses.

Les cinq stagiaires n’en menaient pas large, elles essayaient de se rappeler cette foutue poésie.

La correction de Clotilde était maintenant terminée, elle continuait à pleurer, la directrice posa sa main sur sa croupe :

— Je pense que la prochaine fois tu vas travailler correctement, ton derrière est brûlant, c’est ce qu’il faut aux paresseuses. Lève-toi.





Clotilde se releva péniblement, on sentait que ses mains mourraient d’envie de frotter son large postérieur, Sylvie était ravie, la jupe épinglée découvrait bien la paire de fesses de la punie, la culotte entourait les genoux :

— Mets tes mains sur ta tête et tourne-toi que tout le monde voie ton bon gros derrière bien rouge.

Clotilde en sanglotant s’exécuta, la fessothérapeute appuya sa main sur son dos pour la faire se pencher légèrement puis elle regarda les spectatrices :

— Vous voyez ce qui arrive quand on ne travaille pas correctement, que ça vous serve de leçon, ma main n’est pas fatiguée.

Elle saisit l’oreille de la punie et la conduisit contre le mur à côté du tableau, à la place qu’avait occupée Alice. Elle prit la poésie et la posa devant le visage de Clotilde :

— Tu tiens la feuille avec ton nez et gare à tes fesses si elle tombe.

Elle se retourna vers les stagiaires, celles-ci n’en menaient pas large :

— Laetitia au tableau !

La comptable se leva, ses joues étaient quasiment de la même couleur que les fesses de Clotilde, elle s’approcha lentement :

— Dépêche-toi un peu, j’espère que tu as mieux travaillé que ta petite camarade.

Laetitia baissa la tête, elle était sur l’estrade, tirant maladroitement sur sa courte jupette, Chloé au fond de la classe se régalait du spectacle de ces six dames adultes ravalées au rang de gamines.

Sylvie s’était réinstallée derrière son bureau et elle tambourinait avec ses doigts sur le plateau :

— Je t’écoute.

Laetitia avala sa salive et commença à réciter le poème, elle alla un peu plus loin que Clotilde, elle réussit à réciter les deux premiers quatrains, mais elle commença à buter sur la suite, elle se mit à bégayer :

— Je… je ne… pardon madame Sylvie…

— Décidément, ce n’est guère mieux. Tu connais le tarif pourtant.

Sylvie fit un signe à Chloé :

— Mademoiselle Chloé, déculottez-moi cette paresseuse, peut-être que cul nu la mémoire va lui revenir.

La jeune assistante traversa la salle rapidement et monta sur l’estrade, en un clin d’œil elle retroussa la jupe et l’épingla bien haut, elle aussi avait une provision de pince dans sa poche, la culotte fut retournée et descendue jusqu’à mi-cuisse, Sylvie savourait la honte de la quarantenaire. Se faire mettre les fesses à l’air par cette jeune femme devant tout le monde :

— Tournez-la, qu’elle montre son derrière à ses camarades.

Chloé fit pivoter Laetitia, son fessier rebondi très pâle, s’étalait devant les yeux des quatre stagiaires restantes. Les fesses étaient serrées par l’appréhension :

— Alors mademoiselle, est-ce que l’air frais sur votre derrière rafraîchit également votre mémoire ?

Madame Sylvie savait manier l’ironie, la dame déculottée ne répondit pas.

— Bien, bien… Toujours rien ? Remonte ta culotte.

La mise en scène fut la même que pour la cheffe comptable, la dame de quarante se retrouva rapidement allongée en travers de cuisses de la directrice, exposant sa petite culotte blanche moulant parfaitement son derrière rebondi. La fessée d’échauffement sur la culotte fut aussi sévère, le déculottage lentement effectué impressionna les spectatrices :

— Voilà ma petite chipie paresseuse, tu devrais avoir honte à ton âge de montrer tes fesses. Elles sont déjà rouges, mais pas assez à mon goût. Oh oui tu as raison de les serrer ça va te cuire crois-moi.



La fessée crépita à nouveau dans la salle de classe, les quatre spectatrices n’étaient pas rassurées, à qui le tour après Laetitia. Celle-ci braillait et battait désespérément des pieds pendant que la main de la fessothérapeute claquait avec application toute la surface du fessier, du haut des cuisses jusqu’au sommet des fesses. Quand la punition prit fin le postérieur cramoisi de la comptable fut exposé à la classe. C’est Chloé qui s’en chargea, la faisant se pencher en avant afin de tendre ses fesses, puis elle la conduisit à côté de Clotilde, elle dut également tenir la poésie avec son nez et mettre ses mains sur la tête.

Sylvie s’était levée, elle regardait les quatre dames se régalant de leur angoisse :

— Bien, c’est l’heure de la récréation, rangez vos affaires et vous sortez en silence.

Soulagée, Claire, Émilie, Lucie et Alice se levèrent et gagnèrent la porte. Chloé les suivait, c’était elle qui avait la charge de surveiller la cour. En fait c’était un petit enclos devant le gîte, une petite route passait devant, Claire regarda à l’extérieur d’un air inquiet, si quelqu’un passait et les voyait dans cette tenue ridicule. Chloé l’apostropha :

— Alors ma petite Claire, ça c’est bien passé pour ton derrière quand tu es allé chez madame Sylvie ?

La cheffe de service rougit, cette petite peste savait très bien qu’elle avait reçu une bonne fessée déculottée. Il lui fallait quand même répondre pour ne pas lui donner l’occasion de sévir :

— Oui mademoiselle Chloé.

— Elle t’a baissé la culotte ?

— euh… Oui, oui.

Claire était au supplice, heureusement la directrice passa la tête par la porte :

— Chloé, vous irez chercher les deux punies et vous les mettrez en pénitence contre le mur, ça fera du bien à leur derrière de prendre l’air.

En souriant la jeune femme acquiesça :

— Tout de suite madame Sylvie, pas de problème.

Un instant plus tard, Clotilde et Laetitia apparurent, elles étaient tenues chacune par une oreille par Chloé, elle tenait la poésie à la main. La jeune assistante les conduisit contre le mur :

— Donnez-moi votre poésie et mettez vos mains sur la tête.

Une claque sur chacun des fessiers les fit activer. Puis elle coinça à nouveau la poésie entre leur nez et le mur :

— Tâchez de ne pas bouger, je vous ai à l’œil. Vos deux jolies paires de fesses égayent la cour, c’est parfait.

Elle alla s’installer sur une chaise et regarda les quatre dames qui se comportaient comme des adolescentes dans une cour de récréation, elles discutaient entre elles. Au début Claire avait hésité mais en réfléchissant, elle s’était dit que le week-end allait être long, autant ne pas faire la tête, après tout elles étaient toutes logées à la même enseigne et susceptible de se faire baisser la culotte à tout instant. D’ailleurs pour leur rappeler leur condition, il y avait les deux punies exhibant leurs fessiers cramoisis et Alice, la jupe épinglée dans le dos montrant sa petite culotte blanche.

Soudain, elles tournèrent la tête, une dame passait sur la route en vélo, elle fit un signe à Chloé qui le lui rendit et se leva.

La cycliste s’était arrêtée le long du muret qui marquait la limite de la propriété :

— Coucou Chloé, vous avez un stage ce week-end ?

— Bonjour Virginie, tu vas bien ?

La dame devait avoir la quarantaine, cheveux coupé court, un grand sourire éclairait en permanence son visage.

— Oui, je profite du beau temps.

— C’est vrai, on a de la chance, on a commencé ce matin, six stagiaires.

La cycliste désigna les deux fessiers écarlates qui ornaient le mur :

— À ce que je vois, le stage commence bien.

Puis elle regarda le groupe de quatre, qui s’était retournée et se taisait pour ne pas être remarquée :

— Elles ont l’air mignonnes. Remarque avec ces tenues de collégiennes c’est normal.

— Oh, il ne faut pas s’y fier, on leur donnerait le bon dieu sans confession, mais depuis ce matin, pas une n’a échappé au déculottage.

Virginie se mit à rire :

— Comme je te connais, ce n’est pas pour te déplaire. Bon j’y vais. Salue madame Sylvie de ma part.

Les stagiaires étaient sidérées, ainsi le voisinage était au courant de ce qui se passait au gîte et trouvait normal que des dames adultes soient traitées le temps d’un week-end comme des adolescentes dans les années cinquante. Ce qui était particulièrement choquant c’est qu’il était fort possible que la voisine en question assiste à un déculottage ou pire à une fessée, puisque apparemment ça ne gênait pas madame Sylvie de punir en extérieur.

La fessothérapeute revint dans la cour et tapa dans ses mains :

— La récréation est finie, les punies vous pouvez vous reculotter. Tout le monde suit mademoiselle Chloé pour la visite médicale, vous prenez vos carnets de correspondance.

Clotilde et Laetitia avaient caché leurs fesses, elle les regarda en souriant :

— Vos derrières ont bien rafraîchi ? Vous n’oublierez pas de noter votre punition sur votre carnet.

 


 

 

 

 





dimanche 25 mai 2025

Lucie et Christian 27

 Stage de motivation




Claire était très agacée, elle relisait le mail de la direction générale, il était très explicite :

« Nous avons pris bonne note de la proposition de stage de motivation de votre équipe, nous sommes d’accord pour le financement, mais il doit être fait avant la fin du mois afin de rentrer dans le budget »

Il restait donc à peine quinze jours, impossible de trouver un autre prestataire. Elle se mordait les doigts d’avoir eu cette idée de stage auprès de madame Sylvie, la fessothérapeute. Au début tout allait bien, elle se régalait d’envoyer les cinq filles se faire rougir le derrière, elle avait donc signé pour un week-end complet.

Le ciel s’était assombri quand mademoiselle Chloé était venu lui présenter l’organisation du stage, elle avait été formelle, madame Sylvie exigeait la participation de toute l’équipe y compris le manager. Claire Dugou avait bien essayé de négocier, mais la fessothérapeute était restée inflexible, et pour finir ce mail qui bloquait tout autre possibilité.

Elle reprit la plaquette de présentation du stage :

« Un stage de motivation pour souder une équipe.

Revivez l’atmosphère d’un pensionnat des années cinquante au côté de Madame Sylvie la directrice et de son assistante Mademoiselle Chloé.

L’équipe sera soumise à une stricte discipline, les bases scolaires seront révisées.

Les châtiments corporels seront bien entendu de rigueur en cas d’indiscipline ou de niveau trop faible dans la réalisation des exercices.

Vous serez accueillies dans un gîte prévu à cet effet avec des petits dortoirs, les uniformes de collégiennes seront fournis. »

Cette présentation ne laissait pas de place au doute, les fesses allaient rougir pendant ce week-end.

Le téléphone sonna, c’était mademoiselle Chloé :

— Bonjour madame Dugou, nous n’avons pas reçu la confirmation pour le stage, madame Sylvie a déjà réservé le gîte.

Le ton était assez sec, Claire essaya de calmer la jeune secrétaire :

— Veuillez m’excuser mademoiselle, mais j’attendais le mail d’accord de la direction générale, je viens de le recevoir. Je vous envoie la confirmation ainsi que le chèque.

— Parfait…

Il y eut un petit temps d’arrêt au bout du fil, qui inquiéta Claire.

— Madame Sylvie devra avoir une conversation avec vous au début du stage à propos de ce retard… A samedi matin madame Dugou, neuf heures précises, je vous envoie les coordonnées du gîte.

Claire était encore plus énervée en raccrochant, elle se dirigea vers le bureau des deux secrétaires commerciales.

Alice et Lucie levèrent la tête en entendant les pas dans le couloir, le martèlement des escarpins de la cheffe de service n’était pas un bon signe, elle devait être de mauvaise humeur.

Effectivement dès qu’elle fut dans le bureau l’ordre claqua :

— Vos fesses et vite !!

Alice et Lucie se regardèrent, elle savait que protester était inutile, elles étaient bonnes pour avoir les fesses rouges toute la matinée. Elles se retournèrent, troussèrent leurs jupes et baissèrent leur culotte. Les deux paires de fesses blanches serrées par la crainte eurent le don de calmer un peu la sévère cheffe de service. Elle s’approcha et tapota les deux derrières :

— A quand remonte votre dernière fessée ?

Alice répondit la première :

— Lundi madame.

Claire claqua sèchement la croupe de Lucie :

— Et toi ?

— Euh… Vendredi madame.

— Très bien, on va commencer par toi, depuis vendredi ton derrière a eu le temps de refroidir.

Elle attrapa l’oreille de Lucie, celle-ci détestait toujours autant cette façon de faire qui la ramenait au rôle de gamine, madame Dugou claqua les fesses tendues d’Alice :

— Tu ne bouges pas de là ton derrière est très bien présenté.

Elle s’installa sur une chaise, Lucie se retrouva en un instant en position disciplinaire, elle trouvait cela particulièrement injuste, car il lui semblait n’avoir rien fait de mal. Claire avait besoin de se calmer les nerfs et quoi de mieux que les jolies paires de fesses des deux secrétaires. Elle n’avait aucun remord, de toute façon elle jugeait qu’il fallait leur rougir le derrière au moins deux fois par semaine.

Et les fesses de Lucie rougirent vraiment très vite sous la main de la cheffe de service, elle ne fut pas longue à gémir puis à pleurer, quand Claire était énervée, ses claques étaient encore plus fortes qu’habituellement, le spectacle que lui offrait bien malgré la pauvre Lucie avait de quoi la calmer, ses belles fesses rebondies étaient écarlates et elles s’ouvraient largement, exposant à la perverse Claire ses trésors intimes.



Elle la fit relever, la jeune femme trépignait sur place :

— Mets tes mains sur la tête et tourne-toi pour me présenter tes fesses. Alice, en position, vite !!

La jeune femme ne se le fit pas dire deux fois, elle avait assisté en audio à la correction de son amie, elle savait qu’elle allait recevoir la même, pas la peine d’énerver un peu plus madame Dugou. Elle se coucha d’elle-même en travers des cuisses de Claire.

La sévère fesseuse appréciait tous les derrières à sa disposition, mais celui d’Alice était particulièrement appétissant. Un peu plus large et rebondi que celui de Lucie, une profonde raie médiane qu’on avait envie d’explorer et pour une fesseuse avoir une plus grande surface à claquer c’est toujours mieux.

La fessée pétarada dans le silence du bureau, les gémissements de la jeune femme accompagnaient le bruit de la correction, soudain Claire en tournant la tête aperçut Émilie, elle interrompit la punition :

— Que fais-tu là ?

La jeune femme rougit, elle regardait les deux paires de fesses écarlates des secrétaires :

— Pardon madame, je… je… j’amenais un dossier à Lucie.

— Tu tombes bien, tourne-toi et baisse ta culotte que je vois tes fesses pendant que je finis de m’occuper de celle d’Alice.

Émilie sans un mot, se tourna, glissa ses mains sous sa jupe et se déculotta, puis elle retroussa sa jupe. Son joli derrière bien rond et musclé était serré par l’appréhension, elle savait que madame Dugou ne lui avait pas fait baisser sa culotte pour rien.

La fessée d’Alice avait repris, son derrière était de la même couleur que celui de Lucie, Claire vérifiait de temps en temps et comparait les teintes :

— Mais toi à côté de Lucie et montre-moi bien tes fesses.

La secrétaire se plaça juste à côté de sa copine, les deux paires de fesses se touchaient presque.

— Émilie amène-moi tes fesses !

L’ordre avait claqué pendant que Alice pleurnichait au côté de Lucie.

— Alice, pleure en silence, sinon tu reviens sur mes genoux !

Émilie s’était retournée, elle tenait toujours sa jupe retroussée, Claire lui attrapa le bras et la coucha sur ses genoux :

— Ton joli derrière est trop blanc ma petite chérie, je vais lui donner bonne mine.

La jeune femme reçut la même déculottée que ses deux collègues. Comme elle, elle ne savait pas pourquoi elle était punie, mais depuis que la cheffe de service avait mis en place ces nouvelles règles, les employées recevaient leur fessée cul nu sans jamais protester. Elle se releva, de grosses larmes coulaient sur ses joues :

— Cesse de pleurnicher, à quand remonte ta dernière fessée ?

— Hier soir madame…

Claire le savait parfaitement, mais c’était un petit plaisir que de le faire avouer à la punie :

— Eh bien tu viendras ce soir t’en prendre une autre en venant chercher ta culotte.

Émilie renifla, décidément son derrière attirait beaucoup la cheffe de service ces temps-ci :

— Tu as entendu, donne-moi ta culotte !

La jeune femme enjamba son sous-vêtement et le tendit à Claire, celle-ci satisfaite lui claqua les fesses :

— Tu retournes au travail, tu tiens ta jupe retroussée et tu poses tes fesses sur le paillasson de punition.

Le paillasson de punition, c’était la dernière invention de madame Dugou, elle avait acheté cinq petits tapis rond, bien rugueux que les punies devaient poser sur leur siège en complément de punition quand elles étaient privées de culottes.

Émilie quitta le bureau en tenant sa jupe en l’air, son petit derrière rebondi se dandinait au rythme de ses pas, c’était très mignon.

Les deux secrétaires exposaient toujours leur fessier rougeoyant, Claire leur administra à chacune une bonne claque au centre de la croupe :

— C’est pareil pour vous, vos culottes sur le bureau et ensuite cul nu sur le paillasson jusqu’à midi.

Sans un mot Alice et Lucie s’exécutèrent, la matinée s’annonçait cuisante pour leur derrière.

Un mail de Chloé l’attendait dans son bureau.

« Nous accusons bonne réception de votre chèque et nous vous attendons donc toutes les six, samedi à neuf heures précise. Adresses du gîte : Les Lunes pourpres, hameau de la croupe rouge Parthounieu. »

La dénomination du gîte fit sourire Claire, décidément madame Sylvie avait de l’humour, un petit sentiment d’angoisse pointa en elle, qui se traduisit par une légère contraction de ses fesses sous sa culotte.

Le samedi matin toute la petite troupe se retrouva à Parthounieu, elles avaient fait du covoiturage, Émilie était venue dans la voiture de Laetitia, Alice et Lucie avaient partagé leur véhicule, quant à Clotilde, madame Dugou ne lui avait pas laissé le choix :

— Je te prends demain matin, tâche d’être prête quand j’arrive.

Évidemment Clotilde avait voyagé avec une paire de fesses rouges, elle avait fait attendre une minute de trop sa cheffe de service. À la première aire de repos, Claire s’était garée un peu à l’écart et Clotilde avait exposé ses bonnes grosses fesses blanches à l’air frais de ce début juin. Claire assise sur un banc l’avait troussée et déculottée puis fessée d’importance comme une gamine. Il n’y avait pas grand monde et Claire avait choisi un endroit discret, mais malgré tout, Clotilde avait eu vraiment l’impression de recevoir une fessée publique.

Madame Sylvie les attendait en souriant à l’entrée du gîte, mademoiselle Chloé se tenait un peu en retrait. La première surprise pour les participantes fut la tenue des deux dames, elles portaient un tailleur strict, un peu démodé, style année cinquante, madame Sylvie avait coiffé ses cheveux en chignon ce qui lui donnait vraiment l’air d’une directrice d’école sévère, Chloé avait égalent tiré ses cheveux en arrière afin de donner à son visage un air plus sérieux.

Sylvie les fit entrer dans la salle principale, elle se tenait bien droite et toisait une à une les stagiaires, même Claire d’habitude si autoritaire était dans ses petits souliers :

— Bienvenue aux Lunes pourpres mesdames, je vous souhaite un bon séjour. Pour commencer, vous allez découvrir vos chambres, mademoiselle Chloé s’occupe de tous les problèmes pratiques, c’est elle qui va vous accompagner, je n’ai bien sûr pas besoin de vous rappeler que vous devez lui obéir en tout point et qu’elle a mon autorisation pour sévir si nécessaire.

Les six dames avaient compris sans qu’on leur donne d’autres précisions que la jeune femme avait le droit de leur administrer une fessée déculottée en cas de besoin. Madame Sylvie continua :

— Durant le séjour vous serez répartie en deux groupes, Claire, Clotilde et Émilie seront dans le premier sous ma responsabilité, Alice, Lucie et Laetitia seront dans le deuxième sous la responsabilité de mademoiselle Chloé. Durant tous le séjour nous vous appellerons par vos prénoms, et vous devrez vous adresser à nous respectueusement, madame Sylvie pour moi et mademoiselle Chloé pour mon assistante. Bien maintenant vous suivez mademoiselle Chloé en silence et je vous retrouve dans trente minutes pour le début du stage.

La jeune assistante claqua dans ses mains :

— En rang par deux et en route, on ne bavarde pas !

Lucie regarda Alice en souriant, elle lui glissa :

— On ne va pas trop rigoler.

— Mademoiselle, venez me voir !

Lucie piqua un fard, d’être appelée mademoiselle d’abord et que Chloé l’ait entendu, elle s’approcha de la jeune femme :

— Comment t’appelles-tu ?

Le fait d’être tutoyée par Chloé, déstabilisa un peu plus, la jeune femme. Elle savait parfaitement comment elle s’appelait pourquoi lui posait-elle la question.

— Lucie, mademoiselle Chloé.

— Approche ma petite Lucie.

Dès qu’elle fut à sa portée, Chloé lui saisit l’oreille et la tira pour la forcer à se tenir sur la pointe des pieds :

— Je croyais m’être fait comprendre, j’ai bien dit, on ne bavarde pas.

Une claque venait de claquer les cuisses de Lucie :

— Aïe… Oui mademoiselle Chloé… Pardon…

— Je vais vous montrez à toutes, ce qui arrivera chaque fois que vous désobéirez.

Elle lâcha l’oreille de la punie et en un clin d’œil, elle la courba sous son bras. La jupe troussée, la culotte baissée juste sous ses fesses, Lucie exposait sa lune blanche aux cinq stagiaires et à madame Sylvie. La fessée crépita immédiatement, Lucie reconnu immédiatement la technique de Chloé, cette petite peste s’y entendait pour rougir les derrière, elle essaya de faire bonne figure, elle piétinait sur place, mais elle ne put retenir ses gémissements puis ses supplications :

— Aïe, aïe… Pardon mademoiselle Chloé, promis je ne recommencerai plus… Aïe, aïe… non s’il vous plaît.

Mademoiselle Chloé termina la punition par une dizaine de claques très fortes, puis elle relâcha Lucie :

— Bien, j’espère que tous le monde a compris. Tu ne remontes pas ta culotte.



Elle coinça la jupe dans la ceinture et claqua dans ses mains.

— En rang par deux, vite !!

Instantanément les dames adultes retrouvèrent leurs réflexes de collégiennes et se rangèrent par deux. Émilie prit même la main de Laetitia ce qui fit sourire la sévère demoiselle :

— Très bien, faites donc toutes comme Émilie tenez-vous par la main.

Claire bouillait intérieurement, mais elle ne put refuser de tenir la main de Clotilde. La première fessée déculottée avait été administrée si rapidement que ça n’annonçait rien de bon. Madame Sylvie avait apprécié à sa juste valeur la première fessée administrée par son assistante, elle regarda s’éloigner le petit groupe en rang par deux et se tenant la main, c’était incongru et charmant. Clotilde et Claire fermaient la marche. En fesseuse avertie, elle apprécia le plantureux fessier de Clotilde qui se balançait au rythme de ses pas « Toi ma grande, je vais vraiment prendre du plaisir à te rougir le derrière, il y a vraiment de la place pour claquer », son regard se porta sur celui de Claire, la cinquantenaire avait elle aussi un beau fessier, généreux mais qui ballottait moins que celui de sa compagne, un joli derrière fessable pensa la fessothérapeute.

Au moment où le groupe allait quitter la pièce elle interpella sa collaboratrice :

— Mademoiselle Chloé, vous m’enverrez Claire dès qu’elle est prête, je dois avoir une conversation avec elle.

La cheffe de service frissonna en entendant ces paroles, c’est les fesses serrées qu’elle monta l’escalier.

Sur le palier, Chloé leur désigna les chambres :

— Dans la une, le groupe de madame Sylvie, dans la deux mon groupe.

Les deux chambres étaient séparées par une autre qui était réservée à la jeune assistante, elle leur désigna la porte en souriant :

— C’est ma chambre, je serai juste à côté de vous, gare aux bavardages intempestifs ou au chahut, j’entendrai tout.

Les dames entrèrent dans leur chambre respective, il y avait trois lits dans chacune, séparés par à peine un mètre, pas de lampe de chevet pour éventuellement lire, c’était spartiate et le long du mur en face trois armoires. Émilie poussa un petit cri de surprise en voyant un martinet suspendu juste à côté de la porte, Chloé qui était sur le palier entra :

— Qu’est-ce qui se passe ?

Émilie rougit et baissa la tête, il était évident que c’était elle qui avait crié, la jeune femme s’approcha d’elle et comme pour Lucie, elle lui saisit l’oreille et la tira pour que la jeune femme se tienne sur la pointe des pieds :

— J’ai dit on s’installe en silence, puis-je savoir ce qui me vaut ce cri ?

— Aïe, aïe… Pardon mademoiselle Chloé, j’ai été surprise.

Chloé en souriant continuait de tirer l’oreille d’Émilie :

— Ah oui ? Raconte-moi ça.

Elle claqua le fessier de la jeune femme par-dessus sa jupe.

— Euh, pardon mademoiselle… euh, c’est le martinet.

La jeune assistante se mit à rire :

— Ah c’est donc ça et bien va le chercher.

Elle avait lâché l’oreille de la jeune femme et lui avait claqué sèchement le derrière. Émilie timidement décrocha le martinet, Chloé tendit la main :

— Donne-moi le.

Elle prit l’instrument et caressa les lanières :

— Vous connaissez cet instrument n’est-ce pas ?

Elle s’était adressée à Claire et Clotilde qui étaient restées sans bouger, elles acquiescèrent d’un mouvement de tête, Chloé se tourna alors vers Émilie :

— Et toi, tu sais à quoi ça sert ?

— Oui, oui… mademoiselle.

La jeune femme était affolée, la sévère jeune femme s’approcha d’elle :

— Tourne-toi et retrousse ta jupe !

Habituée à ce genre d’ordre, habituellement donné par madame Dugou, la jeune femme s’exécuta et présenta sa petite culotte blanche qui moulait parfaitement sa jolie croupe.

Chloé s’approcha et coinça l’ourlet de la jupe dans la ceinture :

— Tu te penches et tu mets tes mains sur tes genoux.

Les fesses d’Émilie pointaient en arrière, la culotte rentait légèrement dans la raie fessière, Chloé regarda les deux spectatrices :

— Que cela vous serve de leçon.

Elle leva le martinet et cingla plusieurs fois les cuisses de la jeune comptable, elle cria et piétina sur place, mais garda la position. Des traces rouges s’entrelaçaient sur la peau blanche des cuisses, Chloé visa ensuite la racine des fesses découverte par la position, Émilie piailla de plus belle, sans émouvoir la fesseuse, elle s’approcha, glissa ses doigts dans la ceinture de la culotte et la baissa juste sous les fesses, une dizaine de coups de martinet s’abattirent sur le mignon fessier qui prit une jolie couleur. Puis elle remonta la culotte sur le derrière de la jeune femme :

— Voilà, tu sais à quoi sert ce martinet, à chaque fois que l’une d’entre vous fera une bêtise, monsieur martinet lui caressera les fesses.

Elle regarda Claire et Clotilde qui semblait impressionnée par tant de sévérité :

— Bien, l’incident est clos, vos uniformes sont sur vos lits, vous vous déshabillez entièrement, y compris la culotte et vous vous habillez comme il convient à des jeunes filles.

Elle quitta la chambre pour donner les mêmes instructions à l’autre groupe.

Clotilde et Émilie habituée à obéir au doigt et à l’œil avaient commencé à se déshabiller quand Chloé revint, elle regarda Claire :

— Faut-il que je t’aide ma grande ?

La cheffe de service sursauta, surprise d’être interpellée par son prénom et tutoyée, qui plus est par cette jeune femme qui aurait pu être sa fille.

— Je te rappelle que tu dois aller voir madame Sylvie, je ne pense pas qu’elle va t’attendre longtemps.

Claire piqua un énorme fard et entrepris immédiatement de quitter ses vêtements de dame.

L’uniforme était classique, une jupette à carreau, un chemisier blanc, des socquettes blanches également. Claire était en culotte, et porte-jarretelle, elle regardait les vêtements posés sur le lit, une claque frappa sa fesse droite sur la culotte en dentelle :

— J’ai dit, y compris la culotte, tu n’as pas compris !

— Si, si pardon mademoiselle Chloé.

Claire sans s’en rendre compte commençait à rentrer dans le moule et à obéir rapidement, elle se déculotta sous l’œil goguenard de la jeune femme, puis elle retira ses bas. Chloé se régalait de ces trois strip-teases, Clotilde et Émilie étaient déjà toute nue, la cheffe comptable prit la petite culotte blanche, elle était à sa taille mais c’était une vraie culotte de gamine en coton blanc. Elle glissa son large fessier dedans, il débordait un peu, c’était assez sexy. Émilie avait enfilé elle aussi sa petite culotte, c’était au tour de Claire, elle fit une petite grimace en voyant la forme et le tissu du sous-vêtement, Chloé se mit à rire :

— Ça n’a pas l’air de te plaire ma petite Claire ? Si tu préfères, je te prive de culotte pour toute la matinée.

Affolée, la cheffe de service se dépêcha d’enfiler la lingerie de collégienne :

— Non, non mademoiselle Chloé, cette culotte est parfaite.

— Très bien dépêchez-vous de finir de vous habiller, je vais surveiller les trois autres chipies.

Lucie, Alice et Laetitia était également en culotte quand la jeune assistante entra, elle sourit au spectacle de ces dames en culotte de gamine :

— Vous êtes très mignonnes, tournez-vous que je voie si ça couvre bien vos jolis derrières.



Dans un ensemble parfait les deux secrétaires et la comptable pivotèrent et présentèrent leur fessier culotté. La perverse jeune femme déculotta successivement les trois dames, elle introduisait ses doigts sous la ceinture et retournait le sous-vêtement juste sous les fesses, les trois derrières étaient serrés, attendant la première claque. Les fesses d’Alice et de Laetitia étaient bien blanches, celles de Lucie portaient encore les traces de la fessée administrée dans le hall. Chloé souriait de la gêne des trois stagiaires :

— On serre les fesses, vous avez peur que mademoiselle Chloé fasse panpan cucul ? Vous avez quelque chose à vous reprocher ?

Elle claqua sèchement le fessier d’Alice qui était à sa portée :

— J’ai posé une question !

Les trois paires de fesses nues répondirent en chœur :

— Non, non mademoiselle Chloé.

Satisfaite de cette obéissance, la jeune femme claqua les fesses de Laetitia :

— C’est bien, reculottez-vous et finissez de vous habiller.

Dans le dortoir voisin, les trois stagiaires avaient presque fini, le contraste était saisissant, surtout pour Claire et Clotilde, les deux cinquantenaires se regardaient dans leur costume de collégiennes. Il était à leur taille, mais Claire avait envie de tirer sur la jupe qui lui arrivait à mi-cuisse.

— C’est parfait vous n’avez pas traîné, Claire tu descends au bureau. Madame Sylvie veut te parler.

Madame Dugou n’était plus l’autoritaire cheffe de service, mais une collégienne envoyée par la surveillante du dortoir chez la directrice.

Elle quitta la pièce sous le regard ironique de Chloé, celle-ci n’avait pas pu s’empêcher au moment où Claire passait à sa portée de lui claquer sèchement le derrière par-dessus la jupe, la faisant sursauter :

— Dépêche-toi un peu.

Arrivée dans le hall, elle frappa à la porte où était noté « Madame Sylvie directrice ».

— Entre !!






















mercredi 14 mai 2025

Caroline et la fessée de maman 4

 Julie redevient jeune fille



Agnès avait pris Julie par la taille et elle se promenait dans les allées du jardin, contre le mur poussait un bouquet d’orties. La sévère maman remarqua le regard de sa fille qui le fixait :

— Je n’ai pas utilisé la fessée aux orties depuis très longtemps, mais j’aime les voir pousser.

Julie eu un petit frisson rétrospectif une seule fois, son derrière avait goûté à cette terrible punition, elles étaient rentrées ivres avec Cécile et la sanction avait été immédiate, la fessée déculottée magistrale qu’elles avaient reçue l’une après l’autre avait fait disparaître leur ivresse. Après les avoir mises au coin, Agnès était allées cueillir un bouquet d’orties fraîches dans le jardin.

Cécile était passée la première sur ses genoux, le frottement des orties sur sa peau déjà rougie lui avait tiré des cris déchirants. Quand Julie s’était approchée, elle avait eu le temps de voir les fesses écarlates de sa sœur, elle avait subi le même traitement, couchée en travers des cuisses de la sévère maman, elle en gardait un souvenir horrible. Une cuisson qui avait duré toute la nuit et l’impossibilité de supporter sa culotte de pyjama et encore le lendemain des fesses rouges et une cuisson sous sa culotte difficile à supporter pendant les cours.

Agnès lui tapota le derrière :

— J’espère bien que tu ne m’obligeras pas à venir en cueillir pour frotter ton derrière.

Julie serra ses fesses à cette terrible perspective :

— Oh non, maman…

La maman continuait à palper les fesses de sa fille :

— Eh bien alors, tâche d’être sage.

Elles continuèrent leur promenade, Julie était troublée de sentir sans arrêt la main de sa mère sur son fessier, le souvenir des deux punitions reçues, de sa culotte baissée et de ses fesses nues lui revenait en boucle. C’était délicieusement honteux, elle se sentait redevenir une gamine.

Au fond du jardin, la cabane en bois était toujours là, des souvenirs excitants y étaient associés, c’est là qu’elle jouait avec Cécile et des copines. C’était toujours sa grande sœur qui menait les jeux, elle était maîtresse d’école ou docteur, ce qui lui permettait d’explorer le derrière de sa petite sœur, soit pour la punir d’une fessée soit pour lui prendre la température. Julie se souvenait parfaitement y avoir connu ses premiers émois sexuels.

Le banc en bois était toujours là, Agnès s’y installa :

— Je pense que c’est un très bon endroit pour t’administrer ta dernière fessée.

Julie regarda autour d’elle, certes le jardin était clôturé et les maisons voisines très éloignées, mais un chemin longeait le mur et le bruit d’une fessée déculottée ne passerait pas inaperçu aux éventuels promeneurs. Ce serait donc quasiment une punition publique, elle protesta en rougissant :

— Oh non, maman pas ici, s’il te plaît.

Le sourire ironique de sa mère la renseigna immédiatement :

— Bien sûr que si ma chérie, je crois que tu as oublié que je n’aime pas quand on refuse sa punition. Elle sera donc doublée, une bonne déculottée ici pour commencer et pour te faire plaisir, une autre dans le salon. Allez dépêche-toi de venir sur mes genoux !!

Résignée, Julie se colla contre les cuisses de sa mère, celle-ci lui prit la main et le força à se coucher sur ses genoux.

Une fessée en plein air voilà qui était encore nouveau, la sensation que d’autre personne pouvait la voir dans cette honteuse position accentuait son trouble et comme d’habitude depuis qu’elle avait redécouvert la stricte éducation elle se sentit excitée. Agnès le devinait-elle, toujours est-il qu’elle ne se gêna pas pour ironiser sur la situation de Julie :

— Alors ma grande, tu vas encore me montrer tes bonnes grosses fesses, à croire que tu aimes te faire déculotter et bien on va le faire voir à tout le monde ton joli derrière. A quarante-cinq ans, une bonne fessée déculottée voilà ce que madame va recevoir.

Julie sentit l’air frais caresser ses cuisses et sa croupe, cette punition dans le jardin rendait le déculottage encore plus humiliant. Elle sentit sa culotte descendre inexorablement et en même temps un bruit de voix, elle serra encore plus ses fesses, des promeneurs passaient sur le chemin derrière le mur. Agnès ne s’était pas interrompue, la lingerie était à mi-cuisse, elle tapota les fesses de la punie :

— Tu as de la chance que j’aie choisi ce banc, personne ne voit que madame est cul nu.

Julie était morte de honte, les voix s’éloignaient, elle pria pour que sa mère ne démarre pas la fessée tout de suite.

— Aïe, aïe…

La fessée avait commencé et surprise par la vigueur des claques la dame de quarante-cinq ans déculottée comme une gamine, n’avait pas pu retenir un cri. Agnès en souriant s’arrêta, les voix s’étaient tues, elles attendaient la suite :

— Ma chérie, tout le monde va savoir que tu reçois une bonne fessée déculottée.

Au moment où la conversation recommençait, la sévère maman releva la main et sans se soucier si les dames écoutaient de l’autre côté du mur, elle administra à Julie sa première correction semi-publique. Celle-ci se mordait les lèvres pour ne pas trop attirer l’attention, cependant Agnès était une experte et les cris et les larmes ne tardèrent pas.

Quand les fesses de sa fille eurent repris une jolie couleur grenat, elle cessa et caressa les fesses, elle était sûre que les randonneuses avaient assisté à l’intégralité de la punition, elle les entendit chuchoter. Elle coinça l’ourlet de la jupe dans la ceinture et la fit relever, la culotte entourait les genoux :

— Voilà un bon échauffement, ton derrière est prêt pour la suite. Allez file !

Elle avait appliqué une bonne claque au milieu du fessier, Julie ne se préoccupait plus des éventuelles spectatrices, elle pensait à ce que sa mère venait de dire « un échauffement ».

Agnès suivait sa grande fille en souriant, le large derrière encadré par le porte-jarretelle et la culotte baissée était magnifique, elle jeta un œil sur le côté et il lui sembla apercevoir deux jeunes femmes qui ne perdaient rien du spectacle. Quand Julie grimpa les quelques marches pour pénétrer dans la maison, elle offrit au voisinage bien malgré elle, la vue un splendide fessier bien rouge.

Dès qu’elles furent rentrées, Julie fut mise au courant de ce qui attendait ses fesses :

— Va chercher la brosse dans ma chambre, elle est sur la commode.

Sa grande fille revint quelques instants plus tard tenant le redoutable instrument, elle avait les larmes aux yeux. Pour une reprise en main de son éducation, sa mère la gâtait, Agnès prit la brosse et s’installa sur une chaise :

— Je vais t’apprendre à protester quand je t’annonce une fessée ma chérie. Ça fait combien de temps que ton derrière n’a pas goûté à ma brosse ?

Julie baissa la tête, sa mère la subjuguait par sa sévérité, elle mouillait malgré elle :

— Vingt-trois ans, maman…

Agnès souriait, satisfaite de l’obéissance retrouvée de sa fille qui malgré son âge ne se révoltait pas :

— C’est bien ce qu’il me semblait, eh bien ça va lui rappeler de bon souvenir. En position ma chérie.

Julie avait déjà le feu aux fesses, elle se mit à pleurer, même si elle savait inconsciemment qu’elle avait besoin d’être sévèrement corrigée, il lui semblait que sa mère exagérait. Agnès la regarda attentivement, sa grande fille lâchait prise, elle était mâtée définitivement, désormais la vie reprendrait son cours normal, maman baisserait les culottes, les derrières de filles rougiraient puis iraient orner le coin de la pièce.

Elle adoucit son regard :

— Je sais que ton derrière te brûle ma chérie, mais tu sais bien qu’on ne meurt pas d’une bonne fessée, tu auras simplement du mal à t’asseoir ce soir et demain tes fesses te brûleront encore. Ton bon gros derrière peut très bien supporter cette dernière fessée. Par contre tu devrais te dépêcher, ma main n’est pas fatiguée s’il t’en faut une autre.

Résignée, Julie se coucha à nouveau en travers des cuisses de sa maman. Agnès posa la brosse sur les reins et entrepris d’examiner la large croupe, comme Julie le faisait pour Caroline, ses doigts inquisiteurs se glissèrent entre les fesses et les cuisses. Elle eut un petit sourire en ressortant ses doigts gluants de sécrétions intimes de Julie :

— Je crois que tu as vraiment besoin que maman s’occupe de tes fesses ma chérie.



Elle prit la brosse et administra une courte mais sévère fessée à Julie, celle-ci effectua une très jolie danse des fesses, cria et pleura sans retenue. Sa croupe n’était plus qu’une boule de feu quand elle put se relever.

Agnès lui prit la main et la fit s’asseoir sur ses genoux, elle fit une petite grimace, mais la sévère maman savait se montrer douce, elle glissa sa main sous les fesses de Julie et les caressa doucement. La dame de quarante-cinq ans se sentit redevenir une petite fille elle cala sa tête contre l’épaule de sa mère :

— Avoue que tu l’avais bien mérité.

— Oui maman…

— Et ce n’est pas fini tu le sais.

— Oui maman…

— Tous les vendredi tu auras les fesses rouges.

— Oui maman

— Tu aimes quand maman te déculottes ?

La question abrupte déstabilisa Julie, oui elle aimait ça, mais l’avouer…

— Tu sais que maman n’aime pas les menteuses, tu veux revenir sur mes genoux ?

— Non, non maman…

— Alors ? Tu aimes quand maman te baisses la culotte ?

— Euh… Oh maman… Oui…

Un grand sourire éclaira le visage d’Agnès :

— C’est bien ce qui me semblait, ça tombe bien j’adore mettre à l’air les bons gros derrières.

Julie avait les joues du haut de la même couleur que celle du bas :

— Oh maman, j’ai honte.

— Honte de quoi ? D’avouer que de montrer tes fesses et d’être traitée comme une gamine ça t’excite ? Je te rassure, tu n’es pas la seule. Moi aussi j’ai connu ça, mais maintenant j’avoue que je préfère donner la fessée. Toi aussi d’ailleurs si j’en juge par le nombre de fois où ma petite fille à chaud aux fesses.



Julie était honteuse que ses fantasmes aient été débusqués par sa mère, mais finalement la main d’Agnès qui lui palpait le derrière brûlant eut vite fait de lui provoquer à nouveau une douce excitation et elle se laissa aller.

Au bout de quelques minutes, Agnès la fit se relever :

— Tu peux te reculotter, maman en a fini avec tes jolies fesses pour aujourd’hui, mais je te rappelle que nous nous revoyons vendredi, je t’attends à quatorze heures, nous aurons tout l’après-midi.

Julie revint sur terre, on était mercredi, sa croupe aurait tout juste le temps de se reposer. Elle savait par expérience qu’après la sévère correction de cet après-midi, elle aurait encore mal aux fesses demain.

Elle remonta avec précaution sa culotte sur son derrière endolori, Agnès la regardait avec un sourire ironique :

— Tu vas penser à maman cette nuit ma chérie. Tourne-toi que je remette ta jupe en place.

Julie lissa sa jupe et en profita pour frotter discrètement ses fesses.

Une dernière petite humiliation lui était réservée par sa sévère maman.

— Avant de rentrer chez toi, tu vas aller montrer tes fesses à Cécile, comme ça elle pourra constater que vous êtes sur un pied d’égalité.

Julie sentit les larmes monter, mais le regard de sa mère l’incita à obéir sans protester.

— Oui maman.

Elle fit une bise à sa mère et s’apprêta à partir. Agnès lui claqua gentiment les fesses :

— Je suis contente d’avoir enfin retrouvé ma grande fille, tu as vraiment un très joli derrière.



Dès qu’elle fut dans sa voiture, Julie appela sa sœur :

— Coucou, c’est moi, je peux passer ?

— Bien sûr, j’ai un petit problème à régler avec Cindy, mais ta présence ne sera pas gênante.

Quelques instants plus tard, elle garait sa voiture devant chez sa sœur, Cécile l’avait vu arriver, elle lui fit signe depuis le perron de rentrer.

Dans le salon le spectacle était édifiant, une jolie paire de fesses bien rouges ornaient le coin de la pièce. Julie reconnut immédiatement le derrière de Cindy, sa nièce, la fille aînée de Cécile.

Après l’avoir embrassée, Cécile désigna la punie :

— Comme tu m’as dit que tu allais passer, j’ai préféré attendre avant d’administrer la suite de sa punition à cette chipie.

La chipie en question avait vingt-cinq était responsable dans une agence bancaire, mais ça ne semblait avoir aucune importance pour sa mère qui parlait d’elle comme si elle avait douze ans. Le derrière de Cindy s’était légèrement crispé en entendant les paroles de sa mère, certes elle était habituée à recevoir la fessée cul nu comme disait Cécile, mais ça faisait très longtemps qu’elle n’avait pas reçu ce châtiment humiliant en présence d’une tierce personne. Sa honte était légèrement atténuée par le fait que le témoin de sa punition serait sa tante qui avait assisté à de nombreuses reprises à la mise à nu de son derrière.

Julie était ravie, ça différait un peu l’humiliante présentation de sa croupe à Cécile et assister à une bonne déculottée satisfaisait sa libido, surtout que Cindy avait vraiment des fesses ravissantes. Caroline lui avait souvent dit qu’elle était jalouse du popotin de sa cousine. Elle ne posa pas de question sur la cause de la punition, elle s’installa simplement et attendit. Cécile s’était approchée de sa grande fille et l’avait saisi par l’oreille :

— Tu vas commencer par montrer ton derrière à ta tante pour qu’elle puisse constater comment je traite les grandes filles insolentes qui se croient trop âgées pour se faire baisser la culotte.

Rouge de honte, la jeune femme se présenta devant Julie qui souriait devant sa gêne, elle lui fit un petit signe du doigt :

— Tourne-toi ma chérie que je regarde ton derrière de plus près.



Elle pensa un instant que ce serait bientôt son tour, autant profiter du moment présent. Les deux fesses rondes et musclées de Cindy était tout près d’elle, habituée à obéir sans discuter, celle-ci s’était légèrement penchée pour offrir une vue parfaite à sa tante. Julie tapota le derrière écarlate et se tourna vers Cécile :

— Tu l’as déjà bien soignée. Tu finis par quoi ?

La sévère maman se mit à rire :

— Tu plaisantes, mademoiselle a juste reçu une bonne déculottée à la main, ce n’est vraiment rien pour une chipie de son espèce avec un si beau derrière. Non ce qui lui faut, c’est le martinet et ce soir la brosse à cheveux avant d’aller au lit.

Puis s’adressant à la punie :

— Tu as entendu ce que maman te réserve ?

Cindy avait les larmes aux yeux :

— Oui maman…

— Tu sais que tu l’as méritée cette correction ?

— Oui maman…

— Enlève ta culotte complètement et va chercher le martinet.

La jeune femme sans un mot baissa sa culotte jusqu'à ses chevilles et l’enjamba, sa mère tendit la main pour recueillir la lingerie :

— Tu es privée de culotte à la maison pendant une semaine, comme ça j’aurai tes fesses à disposition. Maintenant file chercher le martinet.

Cindy se dirigea vers la cuisine le balancement de ses jolies fesses rouges fit de l’effet à Julie. Quelques instants plus tard, la jeune femme le buste posé sur la table présentait sa croupe aux morsures des lanières. Cécile avait annoncé, trente sur les fesses, trente sur les cuisses.

La correction se déroula sans aucun problème, Cindy offrit aux deux sœurs une jolie danse des fesses, mais ne chercha pas à échapper à son châtiment.

Son derrière était d’un rouge éclatant et ses cuisses ne l’étaient pas moins, elle pleurait toujours couchée sur la table, les fesses tendues se serrant convulsivement. Cécile la laissa dans cette honteuse position un moment, puis elle la fit se relever :

— File au coin et cesse de pleurnicher.

Sans que sa mère ait eu besoin de lui préciser, la jeune femme reprit sa position, les mains sur la tête et le nez contre le mur.

Cécile se tourna vers Julie :

— Qu’est-ce qui t’amène ma chérie ?

Julie piqua un fard et regarda sa nièce dans le coin, elle ne pouvait décemment pas raconter sa punition devant elle :

— Euh, c’est un peu gênant à raconter en présence de Cindy, on peut aller dans la cuisine.

Cécile eut un petit sourire coquin :

— Toi ma petite, je crois que tu es allé chez maman. Bon allez viens dans la cuisine.

Julie avait les joues presque aussi rouges que les fesses de sa nièce, elle remarqua que Cécile avait le martinet à la main, elle le raccrocha à son crochet. Les picotements dans son bas ventre recommençaient.

— Alors ma petite, qu’est-ce que tu voulais me dire que Cindy ne devait pas entendre ?

— J’ai été voir maman…

— Oui, et alors ?

— Ben…

Julie regardait ses pieds, c’était quand même difficile à avouer même à sa sœur qu’à quarante-cinq ans, elle venait de se prendre une magistrale déculottée et ce qui était encore plus compliqué, c’était de lui dire qu’elle devait lui montrer son derrière bien rouge.

Cécile devinait tout ça et se régalait de la gêne de Julie :

— Tu as besoin d’aide ?

Elle avait agité sa main devant le nez de Julie d’une façon tout à fait explicite. Julie se lança :

— J’ai fait ce que tu m’avais demandé.

— C’est-à-dire ?

Cécile le savait très bien, mais elle s’amusait des difficultés de sa sœur, elle voulait l’entendre dire qu’elle avait reçu une fessée. Julie la regarda, elle comprit qu’elle n’échapperait pas à l’humiliation :

— Euh… Ben… Je lui ai dit que je méritais une fessée…

Elle avait parlé très vite comme si les mots lui brûlaient la bouche. Cécile souriait :

— Et alors, elle te l’a donnée ?

— Euh… oui… Je dois te montrer mes fesses…

Julie avait continué sa confession, sa sœur ouvrit de grands yeux :

— Ah c’était donc ça que tu ne voulais pas que Cindy entende. Je comprends. Bon tu me les montres ?

Julie était soulagée d’avoir parlé, mais ce fut quand même compliqué de passer ses mains sous sa jupe, de faire glisser sa culotte sous ses fesses puis de retrousser sa jupe et de se retourner pour présenter son derrière à sa sœur.

Cécile s’approcha et appuya légèrement sur son dos pour la faire se pencher un peu plus :

— Mazette, maman a décidé de rattraper le retard, tu as pris combien de fessées ?

Elle caressait la croupe rougie, Julie était au supplice, mais malgré tout cette humiliation l’excitait. Cécile claqua sèchement les fesses :

— Combien ?

— Aïe… trois.

— Avec quoi ?

Julie présentait toujours son derrière dénudé au milieu de la cuisine et en plus elle devait répondre à un interrogatoire gênant. Elle serrait ses fesses, mais ne se relevait pas. Cécile lui prit la main, s’installa sur une chaise et la bascula en travers de ses cuisses :

— Nous serons mieux pour parler. Tu vas me raconter tout ça en détail et n’oublie rien tes jolies fesses sont parfaitement disposées.

Elle baissa la culotte jusqu’à mi-cuisse, Julie était à nouveau en position pour recevoir la fessée, mais curieusement, cette perspective ne l’effrayait pas, elle l’attendait presque. Elle sentit la main de sa sœur palper son derrière, elle mouillait à nouveau ;

Cécile lui tapota sèchement la croupe pour l’inciter à commencer sa confession. Elle raconta sa journée dans le détail, la fessée déculottée avant le repas, le passage au coin. La correction au martinet après le repas et enfin la double fessée avant de partir dont une dans le jardin.

Cécile écoutait sa sœur en souriant tout en tapotant doucement les fesses encore rouges :

— Eh bien, c’est normal que ton derrière ait encore si bonne mine, maman t’a soignée. Si j’ai bien compris tu n’as pas été au coin après ta dernière fessée.

Julie se doutait de la suite, elle essaya de négocier :

— J’y ai passé un bon bout de temps quand même.

Cécile lui claqua les fesses :

— Debout !!

Elle lui saisit l’oreille et la conduisit contre le mur à côté du martinet, elle coinça la jupe dans la ceinture et claqua chacune des fesses :

— Les mains sur la tête, vite !!

Julie se mit à gémir :

— S’il te plaît Cécile… Non, si les filles me voient. Aïe, aïe…

Deux magistrales claques venaient d’atterrir sur son fessier endolori :

— Tu préfères que je te mette au coin au salon avec Cindy ? À toi de choisir.

— Non, non…

— Alors cesse de pleurnicher, tu en as pour un quart d’heure, je ne veux plus t’entendre.



Elle laissa la pauvre Julie désespérée, les fesses à l’air dans la cuisine, puis elle revint au salon, Cindy n’avait pas bougé.

C’était finalement une très bonne après-midi, le mignon derrière écarlate de sa fille était vraiment excitant et celui de Julie, large et rebondi ne l’était pas moins. Elle s’installa dans un fauteuil et glissa sa main sous sa jupe puis dans sa culotte.

Julie le nez contre le mur, sentait son excitation monter, Cécile allait-elle lui flanquer à son tour une fessée déculottée.

Qu’on la reçoive où qu’on l’administre, la fessée a quand même du bon…




L'institut suite 3

La soubrette fesseuse  Les deux punies étaient toujours les fesses à l’air, le nez collé contre le mur. La baronne se leva et appela Priscil...