mardi 25 février 2025

Lucie et Christian 21

 Marché cuisant pour Alice



Pendant qu’Ingrid et Lucie se livraient à des activités que la morale réprouve, Alice avait pris sa voiture pour aller chez Ursula, elle la connaissait depuis longtemps, elle était lesbienne et ne s’en cachait pas, sa ferme et son marché de productrice était connu, c’était un lieu de rencontre de la communauté lesbienne du canton. Comme Ingrid, elle était dominatrice et adorait fesser ses petites amies, ce n’était pas exceptionnel qu’au cours du marché une ou deux paires de fesses féminines ne soit mise à l’air et rougies par ses soins ou par ceux d’une de ses amies productrices. Les acheteuses étaient prévenues et aucune ne s’en offusquait, c’était toujours une ambiance bon enfant et joyeuse, même si les fessées administrées pouvaient être sévères et que la punie se relevait des genoux de sa fesseuse avec les larmes coulant sur ses joues.

Alice gara sa voiture, il n’y avait pas grand monde, mais immédiatement son oreille fut attirée par un bruit qu’elle aurait reconnu entre mille, celle du claquement d’une main sur la peau nue d’un fessier. Elle se dépêcha pour profiter du spectacle et il n’était pas banal une grande blonde bien en chair gigotait et criait en exposant une paire de fesses écarlates. Elle était perchée sur la cuisse horizontale de Maddy une Irlandaise rousse qu’Alice connaissait bien. La fesseuse avait posé son pied sur une caisse et la punie les pieds décollés du sol s’égosillait pendant que les claques s’abattaient sur son large fessier qui rougissait à vue d’œil :

— Ah elles ne sont pas frais mes œufs ? Eh bien ton derrière non plus ma grande, je vais t’apprendre la politesse, ton cul va être bien chaud quand j’en aurai fini avec, je peux te l’assurer.

Trois ou quatre spectatrices assistaient en riant à la correction de Jennifer, c’était le nom de la grande blonde aux fesses rouges.

— Ça c’est sûr qu’elle ne va pas avoir froid aux fesses, Maddy a des mains comme des battoirs, je préfère que ça soit elle qui reçoive la fessée.

Alice s’était glissée derrière le groupe de dames qui commentaient la punition. Elle aperçut Ursula qui souriait et semblait prendre un grand plaisir au spectacle, la solide Irlandaise reposa Jennifer par terre, celle-ci se mit immédiatement à se frotter énergiquement le postérieur, elle avait les larmes aux yeux :

— Pardon mademoiselle Maddy, ce n’est pas ce que je voulais dire…

— Ah oui ? C’est pourtant ce que j’ai entendu, la prochaine fois tu réfléchiras avant de dire des bêtises. En attendant viens un peu ici !

La pauvre Jennifer la regarda, affolée :

— Non, non, s’il vous plaît plus la fessée, j’ai compris, je regrette.

Maddy se mit à rire et attrapa la dame par l’oreille :

— Rassure-toi, j’en ai fini avec tes fesses, je crois qu’elles sont assez chaudes, mais il faut que tu les montres à tout le monde.

Elle fit pivoter la punie et retroussa la jupe qui était retombée et coinça l’ourlet dans la ceinture, la culotte en dentelle était entortillée autour des chevilles, elle la remonta à mi-cuisse et reprenant cette dame de cinquante ans par l’oreille, elle la conduisit contre un pilier de la grange :

— Mets tes mains sur la tête et ne bouge pas de là tant que je ne t’en donnerai pas l’autorisation. Tout le monde pourra admirer ton popotin bien rouge.

Le spectacle était terminé, les clientes reprirent leurs emplettes auprès des stands des productrices sans plus faire attention au derrière cramoisi de Jennifer. Elle semblait habituée. À ce genre d’intermède. Ursula aperçut Alice :

— Coucou ma chérie, tu es en vacances chez ta tatie ?

La jeune femme rougit légèrement en voyant les clientes se tourner vers elle, il est vrai que sa tenue avait de quoi surprendre, sa jupette ultra-courte, Ingrid avait dit « aujourd’hui ça sera ras des fesses », ne laissait pas indifférente les dames qui était pour la plupart adepte des relations saphiques.

Ursula s’était approchée, elle lui fit une bise accompagnée d’une petite claque sur le derrière :

— Tu es toujours aussi mignonne, c’est Ingrid qui a choisi ta tenue je suppose ?

Malgré son habitude de ces situations embarrassantes, Alice piqua un fard, surtout que sans gêne aucune la maraîchère soulevait la jupe :

— Elle ne cache pas grand-chose ta mini-jupe ma chérie, heureusement que tu n’es pas privée de culotte aujourd’hui.

Cette allusion à un complément de punition que sa tante lui imposait quelquefois eut le don d’empourprer encore plus les joues d’Alice. Elle tira sur sa jupe pour cacher sa petite culotte, elle le fit un peu trop brutalement au goût de la solide matrone :

— Qu’est-ce que c’est que ces manières de gamine malpolie !

Alice sentit vaguement que la situation ne tournait pas à son avantage, elle jeta un coup d’œil circulaire, le regard malicieux de Maddy, les fesses rouges de Jennifer, les clientes qui la déshabillaient du regard, tout ceci ne lui disait rien qui vaille.

— Je vais t’apprendre !

Le ton d’Ursula ne laissait guère de doute sur la suite des événements, elle se sentit attirée par la main ferme de la solide fermière :

— Tu ne veux pas montrer ta culotte ? Eh bien on va la voir et même ce qu’il y a en dessous.

Elle s’installa sur un tabouret et avant que la jeune femme n’ait pu réagir, elle la coucha en travers de ses larges cuisses. Bien évidemment, vu la forme et la taille de la mini-jupe, les cuisses d’Alice apparurent immédiatement ainsi que la base des fesses et la petite culotte à pois qu’Ingrid avait choisie. Le fessier joufflu de la secrétaire transformée en collégienne débordait allègrement du sous-vêtement, Ursula retroussa la jupe sur les reins et tapota la croupe :

— Tu as vraiment un bon derrière ma chérie, je ne me rappelais pas qu’il était aussi joli. Allez on va le montrer à toutes ces dames, je suis sûr que ça leur tarde de voir ce que tu caches sous ta culotte.

Effectivement la plupart des clientes étaient très intéressées par le spectacle gratuit qu’Ursula leur offrait. Certes, elles venaient pour la qualité des produits, mais aussi pour l’ambiance coquine et décontractée du lieu. La mise à l’air d’une paire de fesses était monnaie courante, aujourd’hui elles étaient gâtées, ce n’était pas une mais deux croupes qu’elles allaient pouvoir admirer.

Les doigts d’Ursula s’étaient immiscés sous la ceinture de la lingerie et l’avait fait glisser sur le derrière rebondi de la pauvre Alice. Celle-ci avait l’habitude de se faire déculotter, mais c’était toujours aussi humiliant qui plus est devant ce public relativement nombreux et que pour la plupart, elle ne connaissait pas.

Ses fesses s’étaient contractées dès que l’air frais les avait caressées, elles étaient à peine rosées des fessées reçues le matin même. Ursula était comme sa tante une grande amatrice de derrière bien joufflu et Alice était bien pourvue de ce côté-là.

— Ça fait un moment que je ne t’ai pas flanqué une fessée ma chérie.

Elle caressait avec gourmandise la jolie paire de fesses :

— Tatie t’en a donné déjà une ce matin on dirait, décidément tu es une vilaine qui ne comprend qu’avec des fesses bien rouges.

Elle leva la main et commença à fesser la belle croupe charnue d’Alice, comme Maddy elle avait des mains de travailleuse, pas besoin d’instruments pour corriger comme il se doit une péronnelle. Même et surtout si celle-ci n’était plus une gamine, mais une dame avec tous ses attributs.



D’ailleurs les spectatrices pouvaient admirer à loisir l’intimité de la jeune femme, sous l’effet de la cuisante correction, elle gigotait, battait des pieds et ouvrait largement ses cuisses.

Ursula s’appliquait, elle adorait le fessier de cette petite Alice, il était maintenant bien rouge et chaud. Elle leva la tête pour juger de l’effet sur les spectatrices, de grands sourires illuminaient la plupart des visages. Il y avait dans l’assemblée des fesseuses et des fessées, les premières appréciaient la technique d’Ursula et les mignonnes fesses rouges d’Alice, les deuxièmes étaient contentes de ne pas être à sa place.

La maraîchère décida qu’une petite fessée était suffisante, elle fit relever la jeune femme qui s’empressa de frotter ses fesses brûlantes, elle avait les joues très rouges et les larmes aux yeux. Maddy s’adressa à Ursula :

— Elle a le droit de se frotter les fesses ?

La fesseuse se mit à rire :

— Pour une fois je suis magnanime, c’est tellement mignon.

Vexée par cette remarque moqueuse, Alice cessa ces frottements, Ursula la fit pivoter et retroussa à nouveau la jupe, la culotte était aux genoux, elle s’adressa à l’assemblée :

— Regardez-moi ce joli derrière, n’est-il pas mignon avec cette jolie couleur, tenez-vous le pour dit, aujourd’hui il pourrait y avoir d’autres paires de fesses qui prendront l’air.

Elle coinça la jupe d’Alice dans la ceinture et lui claqua la croupe :

— File te mettre à côté de Jennifer que tes fesses refroidissent un peu.

Alice était résignée, c’était quasiment rituel, chaque fois que sa tante l’envoyait chez Ursula, elle était bonne pour une déculottée. Aujourd’hui, elle n’avait pas été très sévère, mais elle s’était quand même fait baisser la culotte en public à trente-cinq ans et elle exposait ses fesses nues.

Depuis l’enfance elle avait été soumise à ce genre de chose et finalement ça avait influé sur sa sexualité. Elle avait toujours vécu entourée de femmes et avait développé une libido axée sur les rapports lesbiens et une certaine forme de masochisme. D’ailleurs à ce moment précis malgré la cuisson de son derrière et son humiliante position, elle sentait sourdre une excitation.

Elle sentit une main caresser ses fesses :

— Très joli ce derrière, mes félicitations.

Comme sa tante lui avait appris quand elle était au coin, son nez devait toucher le mur et elle ne devait pas bouger, cependant elle tourna légèrement la tête et aperçu une jeune fille, brune et ronde qui souriait et continuait à explorer sans aucune gêne son anatomie postérieure. Les doigts s’insinuaient entre ses fesses :

— J’adore moi aussi donner la fessée, je pense que celle de ma tante n’était pas très sévère, avec une si belle paire de fesses, vous en auriez mérité une plus forte et plus longue.

La jeune fille se dirigea vers sa tante, Ursula discutait avec des clientes :

— Tatie, tu ne penses pas qu’Alice a fait assez de coin ?

La sévère matrone regarda sa nièce avec malice :

— Tu es bien gentille aujourd’hui ? Elles te plaisent ses fesses ?

Lili, c’était le nom de la jeune fille, se mit à rire :

— Il faudrait être difficile pour ne pas les apprécier.

Ursula jeta un œil au fessier d’Alice, elle aurait bien aimé croquer un peu plus la jeune femme, mais elle ne savait pas dire non à sa perverse nièce.

— Oui c’est bon, tu peux la libérer.

Lili s’approcha de la punie et cette fois elle palpa carrément le derrière d’Alice :

— Ta punition est levée vilaine fille, tatie m’a donné l’autorisation, mais tu restes cul nu, ton derrière est vraiment trop mignon.

Elle prit la main d’Alice et l’entraîna à l’écart, elle s’installa sur un banc et tapota la place à côté :

— Pose ton petit cul là, on va faire connaissance.

Alice était contente d’avoir quitté le mur où elle exposait ses fesses, elle ne s’offusqua pas trop de ne pas pouvoir se reculotter, elle était habituée à ces petites manies de maîtresses. Elle put enfin observer la jeune fille qui semblait intéressée par son derrière.

Lili n’était pas très grande, elle avait de longs cheveux brun attachés en queue de cheval, la peau mate et des yeux rieurs, elle n’était pas menue, sa poitrine pointait sous son tee-shirt et son mini-short était rempli par un fessier rebondi. Elle regarda Alice qu’elle venait de délivrer de sa pénitence :

— Alors comme ça tu reçois encore la fessée déculottée ?

La secrétaire habillée en adolescente se sentit rougir :

— Euh… C’est-à-dire…

Lili se régalait de la gêne de cette dame plus âgée qu’elle, assise sur le banc, les fesses nues et la culotte à mi-cuisse.

— Ben oui, une bonne fessée cul nu comme une gamine, elle claque bien la main de tatie, tu as dû la sentir passer sur ton bon gros derrière.

Alice était un peu humiliée d’être traitée ainsi par cette jeune fille, mais elle était un peu excitée malgré tout, où voulait-elle en venir.

— Moi aussi je donne la fessée tu sais, même à des dames plus âgées que toi, Ursula me charge de temps en temps de corriger une cliente mal élevée quand elle n’a pas le temps.

Alice osa quand même questionner la jeune fille, celle-ci lui appris qu’elle était la nièce de la maraîchère et qu’elle était en vacance. Elle comprit rapidement que Lili était délurée et que comme sa tante elle avait une nette attirance pour le sexe féminin :

— Avec tatie je me régale, elle adore administrer la fessée, tu as pu t’en rendre compte et comme j’ai toujours été sa préférée, elle ne m’a pas souvent déculottée, mais elle m’a souvent confié la responsabilité de mes cousines. Si tu vois ce que je veux dire, elles n’ont jamais froid aux fesses quand je m’en occupe.

Elle avait dit ça en riant de bon cœur, Alice était sous le charme de cette pétulante jeune fille, soudain Lili se leva et lui pris la main :

— J’ai bien envie qu’on fasse un peu mieux connaissance, viens avec moi, je connais un endroit où nous serons tranquilles.

Les clientes ne remarquèrent qu’à peine, ce couple improbable, une jeune fille tenant par la main une dame plus âgée, habillée en adolescente, la jupe retroussée et la culotte baissée à mi-cuisse. Elles traversèrent ce mini marché, Alice avait encore le rouge aux joues et aux fesses, elle était pressée de quitter le hall.

Lili la tirait fermement, dès qu’elles furent seules, elle claqua en riant les fesses d’Alice :

— Alors ma petite chérie, ça te fait quel effet d’avoir une nouvelle maîtresse aussi jeune.

Alice eut un petit mouvement de recul, décidément cette petite ne manquait pas d’air, elle lui annonçait de but en blanc que c’était elle qui allait mener la danse.

Elles étaient arrivées dans la maison, d’autorité Lili s’installa dans un fauteuil et fit basculer la jeune femme en travers de ses genoux :

— On va commencer par te rougir un peu mieux le derrière, je trouve que tatie Ursula a eu la main bien légère aujourd’hui.

Alice avait poussé un petit cri, mais elle n’avait pas résisté, elle était à nouveau dans cette position classique qu’elle connaissait si bien, la fessée crépita immédiatement et la nièce d’Ingrid se rendit compte que malgré son âge la jeune fille était une experte en correction cuisante. Sa croupe était habituée aux fessées répétées et sévères, mais ça faisait toujours un mal de chien d’en recevoir une sur un fessier encore rouge. Elle ne put s’empêcher de ruer, d’écarter largement ses fesses et finalement de pleurer comme une gamine.

Lili était ravie, malgré son jeune âge, elle était une experte en croupe rougie et celle d’Alice était particulièrement appétissante. Elle cessa la punition de cette dame qui pleurait sur ses genoux et entreprit d’explorer son intimité :

— Tu mouilles petite cochonne, ça te fait de l’effet la fessée de mademoiselle Lili, je vais te cuire le derrière, on va voir si tu trouves ça toujours aussi agréable.

Elle prit sur la table une petite palette en cuir et se mit en devoir d’administrer une deuxième fessée à Alice. La pauvre se mit à supplier immédiatement :

— Non, non, mademoiselle… Aïe, aïe, plus la fessée, s’il vous plaît… Aïe, aïe, aïe…

Lili se mit à rire et continua la correction, elle adorait quand une dame plus âgée se mettait à pleurer et à supplier comme si elle était à nouveau sur les genoux maternels, c’était encore plus excitant quand elle corrigeait des dames d’âge mûr :

— Eh pourquoi donc plus la fessée ? Moi je crois que tu en as encore besoin, puisque ça te fait mouiller, au moins tu vas savoir pourquoi tu ne peux plus t’asseoir ce soir.

Elle continuait avec application à tanner le derrière cramoisi :

— Voilà, encore quelques claques et ton joli derrière sera cuit à point.

Elle cessa enfin la fessée et fit relever Alice qui ne put s’empêcher de frotter son derrière brûlant, ce qui fit rire la jeune fille :

— Ça brûle n’est-ce pas ? Tu as vu que je sais m’occuper des vilains derrières. Viens un peu ici.

Elle fit asseoir la punie sur ses genoux et glissa sa main sous le fessier brûlant, elle malaxa doucement la chair meurtrie et ses lèvres se collèrent à celle d’Alice. Celle-ci était excitée par cette situation insolite, elle n’avait jamais été punie par une aussi jeune personne et la main experte de Lili fouillait maintenant son intimité en même temps qu’elle l’embrassait fougueusement et que sa langue se collait à la sienne.

Elle se mit à jouir rapidement, surprise par la dextérité de sa jeune partenaire. Celle-ci décolla ses lèvres et la regarda tendrement :

— C’était bon ma chérie ?

Alice se lova contre elle, ses fesses étaient toujours aussi douloureuses, mais ça n’avait plus d’importance.

Lili la fit relever et la regarda en souriant :

— J’ai bien aimé te flanquer cette fessée ma petite tu es vraiment mignonne. On recommencera.

La culotte d’Alice traînait par terre, les mouvements désordonnés de ses jambes l’avaient expulsée, la jeune fille la ramassa :

— Je la garde en souvenir, tu vas rentrer cul nu ma chérie, vu la longueur de ta jupe je te conseille de ne pas trop te baisser.

Alice jeta un coup d’œil dans la glace, effectivement ses fesses rouges seraient visibles au moindre mouvement vers l’avant, mais l’air frais sur son derrière endolori était somme toute assez agréable.

Elles retournèrent sous la halle, il n’y avait plus grand monde, la grande Jennifer avait quitté son coin et remis sa jupe en place. Ursula fit un petit clin d’œil coquin à sa nièce :

— Alors, vous vous êtes bien amusée ?

Lili lui rendit son sourire et fit pivoter sa nouvelle amante :

— Oui, regarde.

Elle retroussa la jupette d’Alice qui poussa un petit « Oh ». La croupe écarlate apparut dans toute sa splendeur :

— Mazette, tu ne l’as pas manquée, madame n’aura pas froid aux fesses pour rentrer.

Lili relâcha la jupe en riant :

— C’est pour ça que je lui ai confisqué sa culotte.

Ursula s’adressa à la punie qui avait les joues aussi rouges que son derrière :

— Au fait, tu venais pour acheter quoi ? Si tu oublies je pense qu’Ingrid va s’occuper de tes fesses.

Alice sortit sa liste de courses et ramassa son panier, elle faisait bien attention de ne pas se baisser, mais elle ne se faisait pas d’illusion, la rougeur de ses fesses descendait sur l’arrière de ses cuisses, toutes les personnes présentes savaient pertinemment qu’elle avait été corrigée comme une gamine.

Au moment de partir, Lili l’embrassa et sans gêne aucune glissa sa main sous sa jupe et caressa ses fesses nues :

— Elles sont encore bien chaudes, tu as aimé ma fessée ?

Alice regarda la jeune fille et lui rendit son sourire :

— Comme a dit ta tante, tu ne m’as pas manquée. Je vais me souvenir de cette déculottée.

Puis elle l’embrassa fougueusement :

— C’était parfait… Elles te plaisent mes fesses ?

— Elles sont vraiment à mon goût, d’ailleurs si tu es libre demain, je peux encore m’en occuper.

Alice s’esquiva en souriant :

— Ça dépendra de ma tante, je ne sais pas ce qu’elle a prévu, je te tiens au courant.

En arrivant chez Ingrid, elle était guillerette, la matinée avait été cuisante pour ses fesses, mais elle avait eu des compensations. Elle entra dans la pièce et ne put retenir un sourire de satisfaction en voyant Lucie au coin les fesses à l’air, sa tante s’était apparemment livrée à son activité favorite vu la couleur de la croupe.



— Eh bien, tu en as mis du temps, Ursula va bien ?

Ingrid sortait de la cuisine, elle vit que sa nièce contemplait le derrière de son amie :

— J’ai eu une petite conversation avec les fesses de Lucie. Et toi, Ursula s’en est occupée ?

Alice ne put s’empêcher de rougir, surtout que sa tante l’avait fait pivoter :

— voyons un peu ça.

La jupette retroussée, les fesses rondes de la jeune femme apparurent immédiatement :

— Mais qu’est-ce que c’est que ça, tu as perdu ta culotte ?

Une claque venait d’atterrir sur les fesses encore rouges, Alice sursauta en poussant un cri :

— Aïe, non, non tatie… C’est Lili…

Ingrid avait courbé sa nièce sous son bras et examinait ses fesses.

— Je ne sais pas qui est cette Lili, mais apparemment elle s’y entend pour rougir un derrière. Puisqu’il est aussi joli que celui de Lucie tu vas lui tenir compagnie au coin pendant que je finis de préparer le repas.

Elle relâcha sa nièce, lui coinça la jupe dans la ceinture et lui administra une magistrale claque sur le fessier dénudé :

— File !!

Sans un mot, Alice alla coller son nez contre le mur et mit ses mains sur sa tête. Dès qu’Ingrid fut dans la cuisine, elle tourna légèrement la tête vers Lucie et murmura :

— Alors ? Ça c’est bien passé avec tatie ? Tu n’as pas eu chaud seulement aux fesses je suppose ?

Lucie pouffa doucement pour ne pas attirer l’attention de la sévère matrone :

— Ça tu peux le dire, elle se débrouille vraiment bien malgré son âge.

Soudain Ingrid apparut à la porte :

— Vous voulez peut-être que je vous aide ? Quand on est au coin on ne dit rien ! Attendez que j’aie fini et j’arrive pour m’occuper de vos derrières.

Les deux amies recollèrent leur nez contre le mur et se turent, elles savaient qu’Ingrid tenait toujours parole et que leurs fesses allaient à nouveau brûler dans quelques instants.

Effectivement dès que le repas fut près, elles refirent chacune à leur tour un séjour sur les genoux de la tatie d’Alice, elles crièrent et pleurèrent comme il se doit, mais c’était le prix à payer pour leur désobéissance. Lucie aurait fait de même avec Christine et Aurore et Alice savait depuis longtemps qu’on ne parle pas quand on est punie au coin.



Ingrid déposa sur leur chaise un petit paillasson et leur laissa la jupe coincée dans la ceinture. Alice fit la grimace, il y avait longtemps que sa tante n’avait pas utilisé cette méthode de punition, Ingrid les regarda en souriant :

— Vous allez manger sur vos chaises de réflexion, ça vous fera le plus grand bien.

Lucie fit une petite grimace en posant ses fesses endolories sur le paillasson rugueux ce qui fit bien rire la tatie :

— Eh oui, ce n’est pas très agréable, mais c’est fait pour ça, tes fesses vont rester bien rouges et tu pourras réfléchir à ta désobéissance.





jeudi 13 février 2025

Lucie et Christian 20

 Coquine Ingrid



Bonjour, 

Après avoir terminé (provisoirement?) les aventures des deux étudiantes, je reprends celles non moins cuisantes de Lucie et Christian.

Pour ceux qui on oublié je les invite à relire le dernier chapitre publié fin octobre sous le libellé "fessothérapie".

Lucie et sa copine Alice passe le Week-end chez Ingrid la sévère tante d'Alice.


Le lendemain matin, Ingrid entra dans la chambre et ouvrit grand les rideaux, elle avait l’air guillerette :

— Allez debout paresseuse, il fait beau, je vous attends sur la terrasse pour le petit déjeuner, ne traînez pas !

Lucie avait ouvert les yeux et vu la tatie quitter la chambre, elle portait un déshabillé très sexy, elle se posa la question en voyant son fessier généreux onduler « Que portait Ingrid sous la soie nacrée de sa robe de chambre ». Elle était déjà dans la chambre de sa nièce et ouvrait également les rideaux.

Quelques instants plus tard, Alice passa la tête par la porte :

— Alors ma chérie, tu as bien dormi avec ton derrière tout chaud ?

Lucie lui rendit son sourire, elle était adorable avec sa petite nuisette lui arrivant à peine à mi-cuisse. C’est vrai que malgré la brûlure de ses fesses et le suppositoire au gingembre, elle avait dormi comme un bébé :

— Oh oui, j’ai fait plein de beaux rêves, je voyais tes fesses bien rouges.

Alice se mit à rire :

— Ben moi, c’était les tiennes. Bon c’est pas tout ça, mais il faut qu’on se dépêche, tatie n’aime pas qu’on traîne.

Lucie était sortie de son lit, elle se regarda dans la glace, cette chemise de nuit était vraiment courte, surtout sans culotte dessous, elle interrogea sa copine :

— On doit descendre comme ça ? On ne s’habille pas ?

Alice la regarda en souriant :

— Oh non, tatie veut qu’on déjeune en chemise de nuit, elle trouve ça plus pratique.

Elle avait fini sa phrase en riant, Lucie avait compris à demi-mot, mais elle se sentit obligée de demander des précisions :

— Plus pratique ? Pourquoi ?

Sa copine s’approcha d’elle et souleva la nuisette :

— Nos derrières sont à sa disposition, si tu vois ce que je veux dire.

Lucie fit la moue, décidément Ingrid était vraiment attirée par les rondeurs féminines. Alice lui claqua les fesses :

— Allez, on y va.

Ingrid les attendait sur la terrasse, la table était mise, il faisait déjà chaud, l’air doux s’insinuait sous sa courte chemise de nuit et caressait les fesses de Lucie, c’était assez curieux et même excitant. La sévère tatie leur fit une bise et ne se gêna pas pour glisser sa main sous la nuisette de la jeune femme :

— Bien dormi mes chéries ? Comment vont vos petites fesses depuis hier soir ?

Lucie se sentit rougir, surtout que la main d’Ingrid palpait sa croupe, elle ne répondit pas mais Alice le fit à sa place :

— J’ai eu chaud aux fesses tatie, mais maintenant ça va.

Ingrid avait un regard mutin, elle s’installa sur une chaise et prit la main de sa nièce :

— On va vérifier ça tout de suite.

Alice fit la moue, elle avait espéré, en répondant spontanément à Ingrid, échapper à cette inspection un peu humiliante, mais déjà sa tante l’avait basculée en travers de ses cuisses. Bien évidemment vu la forme de la chemise de nuit, la base des fesses apparut immédiatement sans qu’elle ait besoin de la retrousser. La main se glissa dessous et palpa le fessier joufflu :

— Il est tout frais ce petit derrière.

La nuisette remonta sur les reins, les deux globes étaient serrés comme surpris de voir si vite la lumière, ils étaient à la disposition de la main inquisitrice d’Ingrid. Elle glissa ses doigts dans la raie et écarta les deux fesses :

— Allez ma chérie, tu écartes les jambes, il faut que tatie t’examine de plus près.

Docilement Alice s’exécuta, elle avait l’habitude des petites manies de sa tante et puis c’était moins désagréable qu’une fessée, la raie était maintenant largement écartée, Ingrid souriait en regardant Lucie pour juger de ses réactions :

— Regarde-moi comme c’est mignon, ce petit trou et ce petit abricot.

Elle appuya sur l’anus :

— Il était bon le suppo de tatie ? J’espère que ça t’a bien chauffé.

Elle tapota la croupe dodue de sa nièce :

— Ton petit derrière est un peu trop blanc, je vais lui donner des couleurs.



La main se mit à claquer lentement les fesses d’Alice, elle se mit à les tortiller de façon très suggestive. Lucie appréciait le spectacle, mais elle se doutait que la sévère tatie n’allait pas lui faire cadeau de l’examen minutieux de son fessier. La jolie croupe rosissait à vue d’œil, c’est vrai qu’elle était bien plus mignonne à présent. Ingrid cessa la petite fessée et glissa sa main entre les cuisses, ses doigts écartèrent les lèvres gonflées :

— Ça te plaît on dirait ma petite chérie ? Tatie a raison de t’administrer la fessée cul nu, ça te fait le plus grand bien.

Elle claqua sèchement le fessier d’Alice et la fit se relever :

— Allez debout, je vais m’occuper de Lucie.

Même si elle en avait l’habitude, cet examen humiliant devant son amie avait été une épreuve pour la jeune femme, ses joues étaient écarlates quand elle fut remise sur pied. Lucie n’avait pas le visage moins rouge. Certes elle était maintenant habituée aux situations gênantes et aux examens humiliant, madame Sylvie et madame Dugou s’y entendait pour ça, mais être ainsi exposée et examinée par Ingrid devant Alice était quelque chose de nouveau.

Elle se retrouva rapidement dans la même position que sa copine, l’air frais sur sa croupe l’avertit que la tatie avait retroussé sa nuisette :

— Voyons un peu ce joli petit cul.

Lucie contracta ses fesses ce qui lui valu immédiatement une magistrale claque au milieu du fessier bien exposé :

— Je déteste les culs serrés ma chérie, relâche-moi tes fesses tout de suite, sinon j’ai un très bon moyen pour les rendre souples.

La main experte écarta les cuisses et les doigts remontèrent de l’entre-jambe jusqu’à la raie fessière. Lucie sentait le regard de la vicieuse tatie, braqué sur son intimité, un doigt força son anus :

— Toi aussi je suis sûr que tu as apprécié ma petite gâterie d’hier soir.

Lucie était morte de honte, mais elle se laissait faire, soudain elle poussa un cri, la main d’Ingrid avait claqué sèchement sa fesse droite :

— Toi aussi tu as le popotin un peu trop pâle, ne t’inquiète pas je vais le colorer un peu.

Ce fut une petite fessée, claquante mais pas trop cuisante, Lucie se releva le rouge aux joues, mais légèrement excitée. Elle passa sa main sur son derrière ce qui fit sourire la coquine tatie :

— Ça chauffe un peu ? C’est fait pour ça ma chérie.

Puis elle claqua dans ses mains :

— On va déjeuner, la vue de vos petites fesses m’a donné faim. Vous relevez vos nuisettes pour vous asseoir.

Elle avait dit ça tranquillement, comme si c’était une évidence que les deux jeunes femmes qui lui faisait face soit assise directement sur leurs fesses nues. Alice fit ça naturellement, elle avait l’habitude des petites manies perverses de sa tante, Lucie l’imita elle commençait à comprendre comment fonctionnait Ingrid.

Le petit déjeuner fut agréable, Alice et Lucie avaient oublié leur tenue et Ingrid était de charmante humeur. Elle indiqua à sa nièce qu’elle devrait aller au marché dans la matinée, elle regarda Lucie d’un air gourmand :

— Tu vas rester avec moi ce matin, j’ai quelques projets.

Lucie se sentit rougir.

Ingrid les traitait vraiment comme si elles étaient des adolescentes, elles durent débarrasser la table et aller faire leur toilette :

— Vous rangez bien votre chambre, j’irai vérifier et gare à vos fesses si elles sont en désordre, ensuite à la douche et lavez bien vos fesses, elles en ont certainement besoin, coquine comme vous êtes.

Elle avait dit ça en riant. Lucie ne trouva pas cette allusion très drôle.

Elle en fit la remarque à sa copine dès qu’elles furent seules :

— Elle s’occupe aussi de ton hygiène intime ? On a plus l’âge.

Alice ne semblait pas spécialement perturbée :

— Bof, tu sais on s’y fait vite, je sais que quand j’arrive ici je perds beaucoup de mes prérogatives d’adulte, mais tu sais tatie est vraiment câline à part ça.

Elle continuait de discuter dans la chambre sans se soucier du temps qui passait, soudain Ingrid apparu :

— Mais qu’est-ce que c’est que ces histoires, vous n’êtes pas encore lavées ?

Alice se mordit les lèvres et rougit :

— Oh pardon tatie, on ne s’était pas rendu compte, j’y vais de suite.

— Je vais m’occuper de vous, petites chipies, enlevez-moi vos chemises de nuit et dans la salle de bain, vite !!

Lucie la regarda interloquée, pendant qu’Alice sans un mot faisait passer sa nuisette par-dessus sa tête et se retrouvait toute nue. Ingrid se tourna vers la jeune femme :

— Lucie, tu n’as pas entendu ? Il faut que je t’aide ?

Le ton était sans appel, elle hésita juste un peu trop, déjà Ingrid s’était approchée et avait soulevé la courte chemise de nuit, la main claqua sèchement les rondeurs :

— Tu devrais savoir que j’aime qu’on m’obéisse rapidement, mes fessées d’hier n’ont pas suffi ?

Lucie poussa un cri et sautilla sur place :

— Aïe, aïe… oui, oui, pardon tatie.

La sévère matrone avait saisi l’ourlet de la nuisette et l’avait retroussée très haut pour la faire passer par-dessus la tête, Lucie se retrouva à son tour nue comme un vers :

— Quand c’est moi qui déshabille, j’ajoute toujours une petite note personnelle.

Ingrid coinça la jeune femme contre sa hanche et la fit pencher en avant, une courte mais magistrale avalanche de claques dégringola sur le fessier tendu. Lucie se mit à piailler comme une gamine, ses fesses étaient encore sensibles après les diverses corrections de la veille, la cuisson se réveilla rapidement. Ingrid la relâcha, Alice souriait, le derrière de sa copine était vraiment mignon et pour une fois que ce n’était pas elle qui se prenait une déculottée. Lucie avait les larmes aux eux, décidément ce week-end était beaucoup plus cuisant que ce qu’elle avait imaginé, elle frotta ses fesses en reniflant, Ingrid administra une nouvelle claque sur sa croupe rougie :

— Tu frotteras tes fesses plus tard, maintenant tu files à la salle de bain.

Les deux jeunes femmes quittèrent la chambre suivie par Ingrid qui se régalait de voir les deux mignonnes paires de fesses ballottant devant elle. Le derrière rouge de Lucie était particulièrement appétissant, elle comptait bien le déguster dans la matinée. Arrivée dans la salle de bain, elle désigna la baignoire à Lucie :

— Monte là, je vais m’occuper de ta toilette puisque tu te comportes comme une gamine.

Celle-ci la regarda ébahie, elle aurait voulu protester, mais la cuisson de sa croupe l’incitait à la prudence, elle enjamba la baignoire. Sans tarder, la sévère tatie empoigna le pommeau de la douche et sans se soucier de la température de l’eau, elle dirigea le jet sur la jeune femme, celle-ci sursauta ;

— Olala, c’est froid tatie.

Ingrid se mit à rire et elle continua à asperger Lucie :

— Ça t’apprendra, tourne-toi, je vais te rafraîchir les fesses.

Le jet dirigé sur la croupe rougeoyante était un peu moins froid, Lucie sautillait sur place, mais elle n’osait pas se dérober, Ingrid coupa l’eau et prit un gant de toilette :

— Penche-toi et écarte les jambes que je te débarbouille, tu vas avoir un derrière tout propre.



Lucie était humiliée d’être traitée comme une gamine, mais l’autorité naturelle de la sévère tatie l’empêcha de protester, elle s’exécuta. Finalement Alice avait raison elle s’habituait à être ramenée en enfance, le gant glissait entre ses cuisses puis remontait dans la raie fessière, Ingrid écarta les deux globes jumeaux et frotta énergiquement l’entre-fesse, elle s’attarda ensuite sur les lèvres et la vulve provoquant une excitation chez la jeune femme. Puis elle reprit le pommeau et rinça abondamment :

— Maintenant tu sors, tu mériterais que je te sèche le derrière avec une bonne fessée.

Elle avait accompagné sa phrase d’une claque sèche sur le fessier mouillé, Alice était aux anges, Lucie était ravissante avec son air de gamine punie et son derrière écarlate. Mais c’était maintenant son tour, sa tante lui claqua les fesses pour l’inciter à enjamber la baignoire :

— Allez en piste et tu me présentes bien ton derrière toi aussi.

La croupe rebondie de sa nièce fut nettoyée avec la même énergie et pour faire bonne mesure, Ingrid lui administra une vingtaine de claques sur les fesses mouillées ce qui la fit gémir trépigner sur place :

— Aïe, aïe, non, non tatie, ça brûle, c’est pas juste, je n’ai rien fait.

La fessée repris immédiatement :

— Comment ça tu n’as rien fait ? Tourne-toi mieux que je voie bien tes fesses. Tu vas voir comme je vais t’apprendre, quand je dis d’aller se laver il faut y aller de suite. Tu la sens cette fessée !

La croupe était maintenant écarlate, la correction sur la peau humide était beaucoup plus douloureuse, Lucie compatissait un peu, mais c’était quand même une petite compensation.

Alice sortit à son tour de la baignoire, les larmes coulaient sur ses joues, Ingrid lui tendit une serviette, elle s’en saisit un peu brusquement au goût de sa tante :

— Ah c’est comme ça, eh bien tu l’auras cherché celle-là.

Elle reprit la serviette, s’installa sur un tabouret, posa le linge sur ses genoux et prit la main de sa nièce qu’elle fit basculer en travers de ses cuisses.

— Tu n’auras pas besoin de serviette pour te sécher le derrière, je te le garantis !

La fessée crépita dans la salle de bain accompagnée par les cris de la punie qui battait désespérément des jambes.



Lucie était impressionnée, elle ne regrettait pas de s’être laissée faire. Maintenant Alice était à nouveau sur ses pieds, de grosses larmes coulaient sur ses joues, même si elle était habituée à la sévérité de sa tatie, elle trouvait que c’était quand même un peu injuste. Elle venait de se prendre une bonne grosse fessée déculottée devant sa copine alors que c’était de la faute à Lucie si elles avaient été en retard pour se laver.

Ingrid leur indiqua la sortie :

— Vous allez dans vos chambres, j’arrive pour vous habiller.

Lucie était complètement éberluée par la tournure prise par les événements, elle était devenue sans qu’elle lui demande son avis, la nièce d’Ingrid et elle ne la traitait pas moins sévèrement qu’Alice. Elle suivit celle-ci et son derrière écarlate, si elle n’avait pas été si inquiète de la suite de la journée, le spectacle des deux bonnes fesses joufflues de sa copine, l’aurait émoustillée. Dès qu’elles furent dans la chambre, Ingrid ouvrit le placard, elle choisit une jupe bleu marine et un chemisier blanc. Alice fit une petite grimace qui fit sourire sa tante :

— Tu ne l’aimes pas, elle est trop courte ?

Lucie avait effectivement remarqué que c’était plutôt une jupette qu’un vêtement de dame de presque quarante ans. Ingrid la tendit à sa nièce :

— Aujourd’hui ça sera ras des fesses, ça t’apprendra à faire des manières pour ta toilette. Enfile là que je voie à quoi tu ressembles.

Alice ne discuta pas, elle savait que c’était inutile, la cuisson de son derrière le lui rappelait, elle enfila la jupette. Elle ne couvrait que dix centimètres des cuisses, c’était sexy en diable, mais pas très adapté pour aller faire des courses. Ingrid avait pris une culotte blanche avec des petits pois rouges, elle la donna à Alice en souriant :

— Tu as quand même le droit de couvrir tes jolies fesses.

La jeune femme ne se fit pas prier, elle avait les joues bien rouges, la sévère tatie la fit pivoter et souleva la jupette :

— Elle te va comme un gant, tu es toute mignonne habillée comme ça.

Ce n’était visiblement pas l’avis d’Alice, mais Ingrid n’en avait que faire. Résignée sa nièce finit de s’habiller. Lucie était d’accord avec la tatie, son amie était à croquer, cependant quand Ingrid lui tendit une jupe de la même taille, mais encore plus évasée, son sourire se figea.

Le sourire de la sévère tatie l’encouragea, de toute façon, elle n’avait pas vraiment le choix, la jupe était si courte, qu’elle avait l’impression d’avoir les fesses à l’air, c’était presque le cas puisqu’elle ne portait pas encore de culotte.

Elles étaient habillées toutes les deux maintenant, on aurait dit des gamines se préparant pour l’école. Lucie jeta un œil dans la glace, sa tenue était vraiment un appel à galipettes et autres activités érotiques, elle se rappela ce qu’Alice lui avait raconté à propos de sa tante « Tatie a toujours préféré les dames ».

Elle regarda Alice et se demanda si Ingrid voulait vraiment l’envoyer faire le marché dans cette tenue, elle eut la réponse rapidement :

— Ursula sera contente de te voir depuis le temps qu’elle me demande de tes nouvelles.

Lucie s’enquit de savoir qui était cette dame.

— C’est une amie hollandaise qui est maraîchère et qui vend directement ses légumes, elle propose de nombreux autres produits avec d’autres dames, c’est comme un marché, mais en plus intime.

Lucie comprit à demi-mot que les amies en question devaient avoir la même orientation sexuelle et la même attirance qu’Ingrid pour les plaisirs claquants, car elle ajouta à l’attention de sa nièce :

— Tâche d’être mignonne, tu sais qu’Ursula à mon autorisation pour te déculotter si c’est nécessaire. Tu prends ton temps, je vais m’occuper de Lucie en ton absence.

C’était une allusion assez explicite aux envies de sa tatie, Alice regarda son amie avec un petit sourire en coin. Lucie ne savait pas qu’en penser, dès qu’elles furent seules, Ingrid l’a pris par l’épaule et l’entraîna dans sa chambre :

— Viens un peu avec moi ma petite chérie, je voudrais vérifier quelque chose.

Elle avait un air coquin qui n’échappa pas à la jeune femme, depuis quelque temps elle avait pris goût aux relations saphiques, mais c’était toujours à son initiative et avec des dames de son âge. Elle regarda un peu mieux la tante d’Alice, malgré ses soixante-dix ans elle était bien conservée, son fessier notamment paraissait encore appétissant. La main de la dame d’âge mûr, se glissa sous la jupe de Lucie :

— Je ne pense pas que tu aurais dû remettre une culotte ma chérie, la jeune femme ne put s’empêcher de rougir.

Les doigts experts s’insinuèrent rapidement sous la lingerie et glissèrent sur la vulve, puis elle embrassa la nuque de Lucie :

— On va aller vérifier tout de suite tes petits trésors ma chérie.

Lucie n’était plus une oie blanche, mais c’était elle qui habituellement prenait l’initiative, elle était déstabilisée par l’âge d’Ingrid. Celle-ci la coucha sur le lit et la déculotta immédiatement, les doigts caressaient l’intimité de la jeune femme, la cyprine coulait :

— Tu aimes ça petite coquine.

Elle se pencha et ses lèvres embrassèrent goulûment la vulve gonflée, Lucie haletait et se laissait faire. Ingrid se releva et se déshabilla rapidement, elle avait fait glisser sa culotte sur sa croupe, Lucie avait vu juste, elle avait encore un magnifique fessier. Elle s’était tournée pour lui présenter sa croupe, elle souriait :

— Tu vois ma petite Lucie, ta tatie te montre aussi ses fesses, tu aimerais les rougir ?

Lucie était de plus en plus excitée, elle ne savait pas où Ingrid voulait en venir, elle se hasarda à tendre sa main pour caresser le beau derrière tendu vers elle, la sévère tatie se laissa faire et tortilla suggessivement ses fesses. Elle s’agenouilla sur le lit et posa sa tête sur la couverture son plantureux fessier pointait vers le ciel, ses cuisses légèrement écartées montraient son intimité, Lucie était sidérée par l’impudique tableau, elle avait une envie irrépressible de claquer l’orgueilleuse croupe, mais elle se retint :

— Lèche-moi ma chérie, applique-toi et fais-moi jouir.

Malgré son âge, Ingrid avait encore des besoins sexuels, Lucie la combla au-delà de ses espérances, elle se mit à gémir rapidement, Lucie était devenue experte en plaisirs féminins et même si elle adorait administrer la fessée, ce genre de divertissement était tout à fait à son goût. Elle amena sa sévère maîtresse jusqu’à la jouissance, puis Ingrid inversa les rôles, ce fut au tour de la jeune femme de lui présenter sa croupe, elle joua de sa langue avec dextérité :

— Ma chérie tu es vraiment très douée, mais tu vas voir c’est encore mieux avec les fesses rouges.

— Elle souleva Lucie et la coucha sur ses genoux pour lui administrer une magistrale fessée, puis elle l’a remis en position à quatre pattes sur le lit les fesses écarlates bien présentées et elle recommença son manège. Curieusement Lucie avait apprécié cette fessée qui avait été pourtant sévère et sa jouissance en fut décuplée.

Elle était maintenant couchée l’une à côté de l’autre, Lucie osa la question qui lui brûlait les lèvres :

— Tu as raison tatie, c’est encore mieux avec les fesses brûlantes, tu n’as jamais essayé ?

Ingrid la regarda en souriant :

— Bien sûr que si. Mais je…

Elle n’osait pas continuer, Lucie avait compris à demi-mot, elle s’assit et tapota ses cuisses :

— En position vilaine fille.

La sévère tatie, sans un mot, les joues rouges, se glissa en travers des cuisses de la jeune femme. Elle était en tenue, les fesses présentées à sa jeune maîtresse, Lucie ne retint pas sa main, Ingrid reçu ce jour-là une de ces fessées qui compte dans une vie. Elle hurla, ses fesses semblaient bondir au-devant de la main, elles s’ouvraient largement, mais à aucun moment elle n’essaya de se protéger ou chercha à se dérober à l’avalanche de claques. Son beau derrière était écarlate quand la correction prit fin, le visage baigné de larmes elle se tourna vers Lucie et murmura :

— Merci ma chérie.

Lucie la fit remettre en position le nez dans les coussins, les fesses tendues vers le ciel et elle la fit jouir une deuxième fois.

Elle était maintenant allongée sur le ventre, elle râlait de plaisir, sa croupe rougie exposée à sa jeune maîtresse, Lucie aurait voulu aller plus loin, mais Ingrid était encore la sévère tatie. Elle se retourna et fit un petit clin d’œil à la jeune femme :

— Merci ma chérie. Ça t’a plu de me flanquer une bonne fessée déculottée on dirait ?

Lucie rougit légèrement, c’était vrai qu’elle avait pris un réel plaisir à lui administrer cette fessée, mais la différence d’âge et les passages cuisants sur les genoux d’Ingrid la gênait un peu.

Elle n’eut pas le temps de répondre que déjà elle était à nouveau couchée en travers des cuisses de son amante. Elle lui écarta les fesses largement et titilla son anus :

— Tu as eu raison d’en profiter ma chérie, mais tu vas le payer.

On ne fesse pas tatie Ingrid impunément, le derrière de Lucie s’en rendit vite compte, la première fessée avant la galipette n’était qu’un petit échauffement à côté de la correction qu’elle lui administra. Cependant elle était tellement excitée qu’au milieu de ses gémissements et de ses pleurs elle se mit à jouir sous l’avalanche de claques qui lui brûlait la croupe. Ingrid la laissa se calmer, puis elle écarta à nouveau les deux hémisphères écarlates :

— Tatie va te donner ton petit dessert ma chérie.

Lucie sentit le suppositoire pénétrer, puis rapidement la brûlure lui envahir le fondement, elle se mit à se tortiller frénétiquement :

— Ça brûle tatie, noon…

Ingrid se mit à rire :

— Tu as vraiment le feu aux fesses ma petite chérie, j’adore voir ton petit cul se trémousser comme ça, ces suppositoires au gingembre sont vraiment épatants.

Elle tapota la croupe cramoisie :

— Allez debout, la récréation est terminée, Alice ne va pas tarder.

Elle se rhabilla, Lucie également, mais Ingrid l’arrêta au moment où sa culotte allait enfin cacher ses fesses :

— Non, non tu restes cul nu ma chérie, il faut qu’on voie tes jolies fesses bien rouges.



Lucie la regarda un peu surprise, Ingrid la fit pivoter et lui coinça la jupe dans la ceinture et lui claqua le derrière, la culotte était restée sous les fesses :

— Allons-y, tu vas aller te mettre au coin en attendant qu’elle arrive.

Lucie s’exécuta sans dire un mot, décidément Ingrid ne se lassait pas de punir et d’admirer les jolies fesses.


mercredi 5 février 2025

Deux étudiantes 31

 Fin de semaine cuisante



La vie était maintenant parfaitement réglée dans l’immeuble ainsi que chez Claudine et Ingrid. Tout le monde obéissait au doigt et à l’œil à Momy Laetitia. Elle était secondée dans sa tâche par son amie Julie qui n’était pas moins sévère qu’elle. De temps en temps quand il y avait trop de paires de fesses à corriger elle demandait à sa jeune sœur Chloé de l’aider, celle-ci ne se faisait pas prier, depuis son enfance elle avait été soumise à une stricte discipline par ces dames, les déculotter pour leur flanquer une bonne fessée était une douce revanche.

Cependant les deux assistantes n’intervenaient que sous la stricte supervision de momy et elles n’étaient pas à l’abri de se retrouver à leur tour sur ses genoux la culotte baissée et les fesses bien rouges.

Nous étions en fin de semaine, elle avait été cuisante comme souvent. Le vendredi soir Laetitia contrôlait les carnets de punition des dames, Julie et Chloé étaient présentes. Depuis que Claudine faisait partie des pupilles, c’était cinq carnets qu’il fallait vérifier avec bien sûr les sanctions à suivre.

Claudine et ses deux filles se tenaient droite, leur carnet à la main, à leur côté Brigitte et Suzanne n’en menaient pas large non plus. Laetitia était assise à la table, Julie et Chloé installées à ses côtés. Chacune à leur tour les dames venaient déposer leur carnet de punition devant la sévère jeune femme qui leur souriait, puis elles se retournaient et retroussaient leur jupe. C’était un spectacle très excitant pour les trois jeunes femmes que de contempler cette brochette de cinq fessiers culottés, on devinait les fesses serrées sous la lingerie, elles tenaient leur jupe relevée et ne disaient pas un mot.

Sans se presser Laetitia feuilletait l’un après l’autre les carnets rouges, elle comptait le nombre de punitions reçues pendant la semaine et notait la sanction encourue. Elle avait établi un barème : De trois à six fessées la fautive recevait une fessée déculottée à la brosse à cheveux et vingt coups de martinet, de sept à dix fessées, elle avait droit à une deuxième fessée avec un autre instrument suivi de trente coups de martinet, au-delà de dix fessées, elle rajoutait une troisième fessée et quarante coups de martinet supplémentaire.

La soirée se terminait par la mise en place du thermomètre pour toutes les punies sauf pour celle qui avait reçu plus de dix fessées, elle avait droit au plug de gingembre. La durée de la pénitence variait selon l’humeur de la sévère momy.

Les cinq pupilles n’avaient pas été très sages ou peut-être que momy avait été particulièrement exigeante, toujours est-il que Brigitte, Suzanne et Irène avaient reçu plus de sept fessées, quant à Claudine et Odile leur cas était grave, la mamie avait reçu quatorze fessées et sa fille douze.

— Tournez-vous vilaines filles !

Laetitia avait son regard sévère qui ne présageait rien de bon pour les derrières des cinq dames. Elles auraient toutes du mal à s’asseoir, seulement le lendemain pour les trois premières, mais certainement les jours suivants pour mamie et maman.

— Je ne vous félicite pas, je ne sais pas si vous aimez vous faire déculotter pour recevoir la fessée, mais c’est à croire. Vous connaissez le tarif, on va commencer par vous échauffer le derrière, Julie tu vas t’occuper des fesses de maman, Chloé de celles de mamie, quant à moi je vais rougir celles des trois autres chipies.

Elle se leva et frappa dans ses mains :

— Allez on se dépêche un peu. En place !

Comme dans un ballet bien réglé, les deux jeunes assistantes se levèrent également et disposèrent les chaises en arc de cercle.

Odile était ulcérée de devoir se soumettre à Julie, cette petite était perverse, elle avait déjà eu affaire à elle et ses corrections étaient toujours très sévères et puis passe encore de recevoir une fessée de sa fille, elle commençait à s’y habituer et elle était résignée à subir sa nouvelle condition, mais Julie était une étrangère et elle était si jeune.



Claudine en entendant Laetitia annoncer que ce serait Chloé qui la punirait, n’en avait pas cru ses oreilles, ça serait la première fois et c’était vraiment humiliant à soixante-dix ans de se faire déculotter par une gamine de dix-sept ans. Elle jeta un regard vers la jeune fille, celle-ci avait l’air vraiment ravie du cadeau que lui faisait sa sœur, elle gardait un souvenir cuisant d’une punition publique administrée par sa grand-mère au cours d’un repas du dimanche, elle allait lui rendre la monnaie de sa pièce.

Laetitia regardait d’un air gourmand les trois autres punies, par qui allait-elle commencer, ces trois dames avaient toutes de beaux fessiers, le plus plantureux était celui de Brigitte, elle décida de le garder pour la fin. Ingrid ne s’habituait pas à son nouveau statut de pupille de sa nièce, on la sentait nerveuse, elle baissait la tête et dansait d’un pied sur l’autre, la jeune femme décida de s’occuper d’elle en premier, une bonne déculottée allait la calmer rapidement.

Les trois fesseuses commençaient à avoir l’habitude de s’occuper de dames plus âgées et de la façon de rendre ces punitions encore plus humiliantes, la première chose à faire était de les saisir par l’oreille comme si elles étaient redevenues des gamines. Chloé tira avec entrain le lobe de l’oreille de sa mamie :

— Viens un peu par là que je m’occupe de ton bon gros derrière.

Claudine gémit, la jeune fille n’avait pas hésité à tirer fortement pour l’amener vers la chaise où elle s’installa. La mamie avait les joues très rouges, être traitée de la sorte avait quelque chose de surréaliste, mais la réalité la rattrapa rapidement quand elle se retrouva couchée en travers des cuisses de sa petite-fille, celle-ci lui tapota les fesses sur la jupe :

— Tu es bien installée mamie ?

Elle avait dit ça en riant. Pendant ce temps Julie avait fait de même avec Odile et lui avait retroussé immédiatement la jupe, elle lissait la culotte tendue sur le large fessier :

— Voilà une bonne paire de fesses, détends-toi ma chérie.

Ingrid avait pleurniché quand sa nièce lui avait saisi l’oreille, ce qui lui avait valu une bonne claque sur le derrière et un commentaire sarcastique de Laetitia :

— Gardes tes larmes pour tout à l’heure, je n’ai pas encore commencé à m’occuper de tes fesses ma grande.

Les deux dernières punies regardaient le spectacle, bientôt viendraient leur tour, elles se demandaient si ce n’était pas mieux de recevoir en premier sa correction, l’attente était angoissante. Laetitia était la maîtresse de cérémonie :

— On va mettre à l’air ces derrières.

Les trois paires de fesses encore blanches apparurent, quels régals pour ces trois jeunes femmes que de déculotter ces dames d’âges mûr, les fines lingeries furent baissées à mi-cuisse afin de bien dégager la surface à corriger. Les derrières étaient contractés par l’angoisse du châtiment imminent et les raies fessières bien serrées dans l’attente de la première claque :

— Une petite fessée d’échauffement pour réveiller ces dames et ensuite la brosse.

Laetitia leva la main et donna le signal du début de la soirée, elle allait être sonore et cuisante.

La petite fessée d’échauffement annoncée se révéla être une vraie correction et quand les brosses à cheveux entrèrent en action les croupes étaient déjà bien rouges. Le ballet des jambes battant l’air, les fesses cramoisies se serrant et s’ouvrant au milieu des cris et des pleurs des trois punies, tout cela n’était pas très rassurant pour Suzanne et Brigitte qui assistaient au spectacle.

Quand la fessée cessa, elles coincèrent les jupes dans la ceinture pour laisser les fesses bien visibles, les culottes étaient au niveau des genoux :

— Mettez vos mains sur la tête pendant la punition de Suzanne et Brigitte, vous pouvez regarder puisqu’elles ont vu vos jolies fesses.

La première à goûter à la sévérité de la momy fut Suzanne, l’ex-gouvernante offrit une danse des fesses en tout point comparable à celle de ses trois compagnes, elle brailla comme quand elle était une jeune employée d’hôtel couchée sur les genoux de sa supérieure. 



À ce moment précis, elle avait oublié que sa fesseuse n’avait que vingt ans, le derrière brûlant, les joues noyées de larmes, elle se plaça ensuite à côté des autres fesses rouges.

Le visage de Brigitte se décomposait au fur et à mesure que les punitions se succédaient, Laetitia semblait en forme ce soir, son derrière était de plus en plus crispé sous sa culotte, s’ajoutait à la crainte de la correction, la honte d’être la dernière à recevoir la fessée et d’avoir donc sept paires d’yeux braqués sur ses fesses nues et bien rouges.

La première partie de la punition était maintenant terminée, cinq croupes écarlates ornaient le mur du salon, les trois jeunes fesseuses papotaient joyeusement, Chloé était enthousiaste :

— Mamie a vraiment une paire de fesses magnifique pour son âge, c’est un vrai régal de lui donner la fessée, regardez-moi ça comme il est beau son gros derrière bien rouge.



Elle se leva et tapota les fesses de sa grand-mère, puis glissa ses doigts entre les deux larges fesses pour les écarter :

— Alors mamie, elle t’a plu la bonne fessée déculottée de ta petite Chloé, tu as vu comme ça brûle ?

Laetitia souriait, elle devinait la honte que devait ressentir cette dame de soixante-dix ans contrainte à cette exposition humiliante :

— Ça c’est sûr qu’elle ne doit pas avoir froid aux fesses, mais avec toutes les bêtises de la semaine, elle n’a pas fini de tortiller son derrière.

Trois martinets étaient posés sur la table, en plus de celui accroché en permanence dans la cuisine, Laetitia avait demandé à Brigitte et à Suzanne d’apporter le leur, la honte de monter ou descendre les escaliers en tenant l’instrument de leur future punition, c’était ajouté à la crainte de ce qui allait suivre.

La momy se leva et désigna les instruments :

— Vingt coups sur chaque derrière, vous gardez votre punie ?

Les deux jeunes assistantes se levèrent et allèrent prendre les martinets, Laetitia claqua dans ses mains :

— Maman, mamie et tatie vous venez ici !

Elle désigna les trois chaises.

— Vous posez vos mains là et vous tendez bien vos derrières, vite !

Les trois belles croupes des deux filles et de leur mère étaient parfaitement exposées, les lanières cinglèrent immédiatement et les trois dames se mirent à piailler comme des gamines en trépignant sur place. Vingt coups de martinet c’est assez rapide, sitôt les trois punies relevées, elles regagnèrent le mur, Suzanne et Brigitte les remplacèrent. Chloé et Julie se chargèrent de la fessée au martinet.

Nous n’en étions qu’au début de la soirée, mais les croupes étaient déjà très rouges et douloureuses. Laetitia décida de laisser refroidir les derrières, elles se désaltèrent et se moquèrent gentiment des cinq dames qui recevaient encore la fessée cul nu malgré leur âge.

Après la deuxième série de fessée administrée avec des babouches en cuir que la jeune momy avait acheté spécialement pour ça, les punies pleuraient abondamment, surtout que Laetitia ne leur avait pas fait cadeau de la correction avec le martinet, celle-ci avait été appliquée dans la foulée. Suzanne, Ingrid et Brigitte en avaient fini avec la cuisson de leur derrière, ce n’était pas le cas d’Odile et de Claudine.

Les cinq paires de fesses étaient alignées contre le mur, la jeune femme interrogea ses deux comparses :

— Ces deux chipies ont vraiment été intenables cette semaine, deux fessées par jour pour mamie et presque autant pour maman, je pense qu’il faut que je sois plus sévère pour qu’elles s’en souviennent, de toute façon avec leur bon gros derrière il n’y a rien à craindre, elles auront juste du mal à s’asseoir pendant quelques jours.

Julie approuva en riant :

— Ça c’est sûr qu’elles sont toutes les deux bien fournies, elles penseront à toi chaque fois qu’elles poseront leurs fesses sur une chaise.

Les deux dames étaient vraiment inquiètes en entendant Laetitia, elles étaient mains sur la tête, le nez bien collé contre le mur. La jeune femme se leva et palpa les deux fessiers rougeoyants :

— Ils sont bien chauds, on va attendre un peu avant la dernière fessée, c’est plus efficace quand la peau refroidit, elles sentiront mieux les claques.

Odile se rendit compte que sa fille avait bien retenu ses leçons, elle espaçait toujours les fessées pour que les punies en ressentent mieux les effets.

La jeune femme s’était levée pour prendre les thermomètres :

— En attendant les trois autres donzelles vont se prendre le thermomètre dans les fesses, je vous laisse choisir celle qui vous plaît.

Chloé se dirigea vers Brigitte, celle-ci lui donnait toujours des cours et elle ne se gênait pas pour la trousser et la déculotter, lui placer un thermomètre dans le derrière serait une petite vengeance. Bien sûr, Julie choisit sa pupille préférée, elle était amoureuse des fesses de Suzanne qui étaient restées appétissantes malgré ses soixante-cinq ans. Laetitia n’était pas mécontente de s’occuper du bon derrière de sa tante, celle-ci quand la situation n’avait pas encore évolué à son avantage, savait se montrer sévère avec elle, combien de fois l’avait-elle corrigée devant ses cousines pour un motif futile. Une fois les punies en position en travers des genoux des trois jeunes femmes, la momy leur donna les instructions :

— Allez-y doucement, mais il faut le mettre profondément quand même, elles vont le garder un moment.

Puis elle s’adressa aux dames :

— Vous avez déjà les fesses bien rouges, je vous conseille de ne pas les serrer, si vous ne voulez pas en reprendre une.

En écartant les fesses de sa tante, elle songea à ses cousines, elles n’étaient pas encore au courant du nouveau statut de leur mère, il faudrait songer à lui administrer une fessée cul nu devant ses filles, ça lui ferait le plus grand bien.

Chloé avait posé le thermomètre et administrait une énième fessée à la professeure et elle la grondait comme si elle avait quinze ans :

— Ah je vais t’apprendre à obéir ma petite Brigitte, si tu n’as pas les fesses assez chaudes, tu n’as qu’à demander.

Quand les trois fessiers furent garnis, elles gardèrent les punies dans cette humiliante position tout en discutant, Laetitia jetait de temps en temps un coup d’œil sur les deux croupes exposées contre le mur. Au bout d’un quart d’heure, elle tapota les fesses d’Ingrid :

— Allez debout, on va vous installer pour la pénitence.

Suzanne et Brigitte durent chacune s’allonger sur l’un des accoudoirs du canapé, quant à Ingrid, elle fut installée sur un pouf, les fesses bien surélevées. Elles ne savaient pas combien de temps elles allaient rester là, mais les expériences des semaines précédentes les incitaient à penser qu’elles en avaient pour un moment à exposer ainsi leur derrière avec le thermomètre bien enfoncé en son centre.



Laetitia appela sa grand-mère et sa mère :

— Venez ici les vilaines !

Elle tenait à la main un paddle en bois percé de trous :

— Regardez ce que j’ai acheté pour s’occuper de vos bons gros derrières, il est lourd et ça va vous cuire. Je vous garantis que vous allez vous en rappeler longtemps et si vous continuez comme ça, la prochaine fois vous aurez droit aux orties.

Les deux dames baissaient la tête en rougissant, cette jeune femme qui se trouvait être leur fille et petite-fille était vraiment d’une intransigeance digne d’une directrice d’un pensionnat anglais des années cinquante.

Les deux autres jeunes femmes regardaient les deux punies, elles savaient que Laetitia se réservait la dernière correction, c’était son privilège de momy, elles s’installèrent chacune dans un fauteuil pour assister au spectacle, la jeune maîtresse les avait déjà bien gâtées en leurs confiants les fessiers de Claudine et d’Odile.

Ce fut la maman qui bascula en premier sur les genoux de sa fille, avant de commencer la correction elle caressa les fesses, elles étaient encore rouges et chaudes, mais pas brûlantes, elle souriait intérieurement « Tu vas la sentir maman chérie, la bonne fessée de ta petite Laetitia, tes bonnes grosses fesses sont juste à point ». Le paddle claqua sèchement et Odile poussa un cri, effectivement la peau était redevenue très sensible et la fessée fut particulièrement douloureuse.

Laetitia ne se préoccupait pas des pleurs et des supplications de sa mère, ni de ses battements de jambes et de l’aspect de ses fesses qui devenaient de plus en plus rouges. Elle était concentrée sur sa tâche, même si elle adorait administrer la fessée, elle prenait son rôle « d’éducatrice » au sérieux, sa mère avait mérité d’être sérieusement punie, elle le serait.

La punition terminée, elle garda un moment la pauvre Odile couchée sur ses genoux, le temps qu’elle se calme, elle put ensuite se relever et rejoindre le mur, Laetitia remonta à mi-cuisse la culotte qui était enroulée autour des chevilles, sans qu’elle ait eu besoin de le lui dire, la mère de famille avait posé ses mains sur sa tête, elle continuait de pleurer abondamment, la momy lui administra une claque sur le fessier brûlant :

— Pleure en silence ! Tu n’as eu que ce que tu mérites !



Seul le haussement des épaules et la contraction spasmodique des fesses continuèrent. Déjà la jeune femme avait saisi l’oreille de sa grand-mère :

— À nous deux ! Quatorze fessées ! C’est quand même incroyable qu’à ton âge, je sois encore obligée de te déculotter deux fois par jour pour te faire obéir. Mais je te garantis que je ne vais pas céder, ton bon gros derrière va te cuire longtemps, je te le promets.

Pendant cette diatribe, elle avait installé Claudine en travers de ses cuisses, la dame de soixante-dix ans qui en avait administré tellement des fessées déculottées, n’en menait pas large à ce moment. Le ton employé par sa petite-fille, sa position et sa tenue avait d’un seul coup gommé tout différence d’âge. Les deux spectatrices non plus ne semblaient pas surprises, c’était somme toute un épisode de discipline familial classique qui se déroulait devant leurs yeux.

Claudine se mit à piailler comme une gamine dès que le lourd paddle atteignit son fessier, la correction fut aussi sévère que celle reçue par sa fille. Laetitia adorait fesser sa grand-mère, malgré son âge elle avait gardé des fesses bien fermes et puis leur volume était conséquent, de quoi régaler une amatrice de popotin. Le derrière en question était cramoisi et la mamie pleurait toutes les larmes de son corps, elle fut installée à côté d’Odile, puis Laetitia regarda ses deux complices :

— Voilà une bonne chose de faite, vous allez me préparer deux bons gros suppos de gingembre pour finir de corriger ces deux chipies.

Chloé et Julie ne se le firent pas dire deux fois, elles se dirigèrent vers la cuisine. La sévère momy jeta un regard circulaire sur les cinq fessiers écarlates disséminés dans la pièce, quel charmant spectacle offert par ces dames d’âge mûr. C’est vrai qu’elle était sévère, mais c’était somme toute pour leur bien, l’administration de fessées régulières entretenait la fermeté de leur croupe et leur comportement c’était grandement amélioré depuis l’instauration de ce régime strict et l’établissement de cette nouvelle hiérarchie dans l’autorité.

Bientôt elle allait écarter les fesses des deux chipies pour mettre en place le suppositoire au gingembre et ce soir elle finirait la punition en leur administrant une dernière fessée au martinet.



Demain ce serait au tour des deux étudiantes de lui présenter leur mignon petit derrière, Chloé et Julie passeraient de l’autre côté également, elles avaient aussi un carnet de punition.

Laetitia glissa sa main dans sa culotte pour se caresser, sa vie était un rêve éveillé.




Lucie et Chistian 24

  Double fessée Le temps parut long pour les quatre punies, le nez collé au mur et les mains sur la tête. Les deux amies discutaient joyeus...