jeudi 30 janvier 2025

Deux étudiantes 30

 La punition de Claudine



Laetitia rendait souvent visite à sa grand-mère et depuis qu’elle était devenue une maîtresse exigeante et sévère, les conversations avec Claudine avait pris du piquant. La mamie se régalait d’entendre sa petite-fille lui raconter par le menu comment elle corrigeait toutes ses pupilles.

Quand elle arriva chez Claudine, celle-ci était dans la cuisine :

— Installe-toi ma chérie, je finis de ranger et j’arrive.

Laetitia était assise sur le canapé quand elle avisa sur la table, une enveloppe barrée de tricolore. Elle était ouverte et depuis qu’elle gérait la vie de ces nombreuses “filles”, la jeune femme avait pris l’habitude de regarder leurs courriers. Sans gêne aucune, elle sortit donc la feuille de l’enveloppe, c’était une convocation du procureur de la république, intriguée la jeune femme entreprit de la lire en détail. Il en ressortait que Claudine s’était fait contrôler par la police et qu’elle conduisait en état d’ivresse. C’était très surprenant, elle remit l’enveloppe à sa place juste avant que Claudine arrive, elle lui fit une bise et s’installa en face d’elle :

— Alors ma chérie, tu as encore dû sévir ? Raconte-moi ça, laquelle de tes chipies a les fesses rouges ce matin ?

— Oh tu sais c’est un peu la routine, maman a pris sa fessée déculottée traditionnelle avant de partir au travail et je me suis occupée des deux étudiantes, elles sont parties en cours avec les fesses bien rouges et sans culotte.

Claudine se mit à rire :

— Privées de culottes ? ça alors… Remarque elles n’auront pas froid aux fesses après ta fessée. Et Odile ? Tu la fesses tous les matins ?

— À ça oui, je crois qu’elle en a encore besoin pendant un moment, il faut que ça rentre bien dans sa tête qu’à présent c’est moi la maîtresse. Et rien de mieux qu’un petit séjour sur mes genoux tous les matins, en fait je lui fais rentrer ça par les fesses.

La jeune fille s’était mise à rire également, Claudine se leva pour aller préparer le thé. Laetitia ne put s’empêcher d’admirer son fessier, une folle idée lui traversa l’esprit « ma petite mamie, je crois que tu va goûter toi aussi à la fessée de momy Laetitia ».

Quand Claudine revint portant un plateau elle pâlit en voyant le courrier officiel dans les mains de sa petite-fille, Laetitia la regardait sans sourire cette fois :

— Tu peux m’expliquer ce que c’est que cette lettre ?

Sa grand-mère la regarda, un peu déstabilisée par ce ton un peu sec. Elle ne put s’empêcher de rougir, Laetitia la regardait maintenant comme elle le faisait avec ses trois pupilles âgées, l’absence de réaction outragée de sa mamie l’encouragea à poursuivre dans son idée :

— Tu ne veux pas répondre ?

Claudine essaya de se ressaisir, elle releva la tête, ses joues étaient écarlates :

— Ben, tu vois, c’était le soir du beaujolais et je ne me suis pas rendu compte et puis ces flics, quels abrutis.

Laetitia la regardait fixement, elle siffla :

— C’est comme ça que tu parles ! Je te signale que c’est toi qui es en tort quand même !!

— Euh, oui tu as raison, mais…

— Mais quoi ? Tu ne te rappelles pas ce que tu m’as dit le jour où je t’ai dit qu’une copine s’était fait contrôler positive ?

Claudine s’en souvenait parfaitement, elle regardait sa petite-fille d’un air inquiet, elle n’allait quand même pas oser ?

— Puisque tu n’as pas l’air de t’en rappeler, je vais te rafraîchir la mémoire, tu m’avais dit : en plus de la suspension de permis, moi je lui flanquerais une bonne fessée déculottée, c’est tout ce qu’elle mérite.



Claudine essaya de plaisanter pour désarmer la tension qui devenait palpable :

— J’avais dit ça ? Décidément avec l’âge, on dit n’importe quoi.

Laetitia esquissa un sourire :

— Oui sans doute, sauf qu’à ton âge, on doit être encore plus responsable, tu ne penses pas ?

— Je, je… Mais enfin Laetitia, où veux-tu en venir ?

Claudine avait l’impression que le piège se refermait inexorablement, sa petite-fille lui paraissait tellement sûre d’elle.

— Où je veux en venir ? Oh mais c’est très simple mamie, je compte mettre en œuvre tes principes.

La jeune femme fixa sa grand-mère pour surveiller sa réaction. Ses joues étaient aussi rouges que les fesses d’Odile après sa fessée matinale, elle porta l’estocade :

— Tu mérites une bonne fessée déculottée et je vais donc te l’administrer.

La dame de soixante-dix ans la regarda stupéfaite :

— Mais enfin, Laetitia, tu n’y penses pas, je suis ta grand-mère tout de même !

— Oh si mamie, j’y pense vraiment, je crois que tu n’as pas le choix.

— Non !! Je ne veux pas !!

Claudine avait tapé du pied par terre, sans s’en rendre compte, elle se comportait comme une gamine. Laetitia s’était approché d’elle, elle lui fit un petit signe du doigt :

— Tu vas cesser ces simagrées immédiatement ! À moins que tu ne veuilles que toute la famille et tes amies sachent que tu as conduit en état d’ivresse et que tu n’as plus de permis de conduire.

Claudine baissa la tête et se tut, Laetitia pensa « qui ne dit mot consent », elle attrapa l’oreille de sa grand-mère comme si elle n’était qu’une adolescente :

— Viens un peu ici, je vais avoir une petite conversation avec tes fesses.

Claudine protesta doucement, mais elle ne résista pas :

— Non, non laetitia, s’il te plaît…

La jeune femme s’était installée sur une chaise et elle continuait de tirer l’oreille de Claudine :

— Allez ma grande, il fallait y réfléchir avant, maintenant c’est ton derrière qui va payer les pots cassés.

La sévère mamie qui avait déculotté tant de fessiers se retrouva rapidement dans une position très désagréable, la tête près du sol, les pieds décollés, la croupe tendue vers sa petite-fille, celle-ci ne s’embarrassa pas de fioritures, il fallait battre le fer tant qu’il était chaud. Elle retroussa la robe de Claudine, découvrant un large fessier tendu sous une culotte blanche assez couvrante et des bas autofixants, elle passa sa main sur la lingerie :

— Tu es bien installée mamie ? Ton derrière me parait un peu crispé.

Elle tapota la croupe, puis glissa ses doigts sous la culotte au niveau des cuisses pour découvrir la base des fesses :

— J’espère que tu as bien conscience de ce qui va t’arriver, tu l’as méritée cette fessée oui ou non ?

Claudine émit un petit gémissement, suivit d’un cri, la main de Laetitia venait de claquer la base des fesses et le haut des cuisses :

— Je t’ai posé une question !! As-tu mérité cette fessée oui ou non ?

— Aïe, aïe… Oui, oui je suis désolée.

Laetitia était ravie, même dans ses rêves les plus fous, elle n’aurait jamais imaginé avoir sa grand-mère ainsi couchée sur ses genoux, en parfaite position pour recevoir la fessée. En plus la chose s’était fait de façon tellement naturelle, la dame d’âge mûr installée en position disciplinaire ne protestait même pas, elle semblait accepter la situation. Elle glissa ses doigts dans la culotte et caressa les fesses :

— Tu en conviens donc ? Tu mérites une bonne fessée ?

— Oui… Oui…

La jeune femme commença à baisser la culotte :

— Une fessée déculottée ? N’est-ce pas mamie, c’est bien ce que tu avais dit ?

La septuagénaire se mit à gémir, la honte la submergeait, mais elle ne résistait pas, elle sentait sa culotte glisser sur sa croupe. Laetitia découvrait avec ravissement la magnifique paire de fesse de Claudine, elle était large et encore ferme, un peu comme celle d’Odile, la lingerie continua son chemin, elle avait décidé de la déculotter complètement afin de profiter du spectacle. La culotte s’arrêta au niveau des genoux, les fesses de la grand-mère étaient serrées par la honte et l’appréhension :

— Te voilà cul nu mamie, je te promets que tu vas regretter ton comportement, quand j’en aurai fini avec ton derrière je pense que tu n’auras pas envie de recommencer. Tu peux serrer les fesses, je te garantis qu’elles vont te cuire !



Elle leva la main et l’impensable se produisit, une jeune fille de vingt ans administrant une fessée déculottée à sa grand-mère, la différence d’âge avait disparu d’un seul coup. Claudine n’était plus qu’une punie gigotant et pleurant sur les genoux d’une sévère momy. La correction fut sévère, c’était sa première fessée déculottée, il fallait qu’elle s’en souvienne, après plus de trois cents claques généreusement distribuées sur le large fessier, celui-ci était écarlate. La mamie n’était plus qu’une dame éplorée suppliant sa jeune maîtresse, ses jambes battant l’air et sa culotte entortillée autour de ses chevilles.

Laetitia caressa les fesses brûlantes :

— Voilà, ton derrière est bien échauffé, tu vas aller le faire refroidir au coin, ensuite on passera à la punition proprement dite.

Claudine n’en croyait pas ses oreilles, elle n’avait pas reçu la fessée depuis de nombreuses années, ses fesses étaient brûlantes et sa petite-fille lui annonçait que ce n’était pas fini :

— Oh non, Laetitia, s’il te plaît, j’ai été bien punie, j’ai compris… Aïe, aïe…

La fessée venait de reprendre :

— Non je ne crois pas que tu as compris ma petite mamie. Pour commencer tu vas m’appeler momy, comme tout le monde et deuxièmement, il va falloir que tu apprennes à obéir sans protester. Ce n’est pas à toi de juger si ta punition est suffisante, c’est moi la maîtresse maintenant.

La deuxième fessée fut plus courte que la première mais Claudine cria et supplia autant :

— Bien maintenant tu te lèves et tu files te mettre au coin !

L’ordre avait claqué en même temps qu’une magistrale claque au milieu du fessier écarlate. Claudine sans dire un mot alla se placer contre le mur et mis ses mains sur sa tête. Laetitia la regarda en souriant, satisfaite de son obéissance. Elle s’approcha de sa nouvelle pupille et retroussa la robe qui était retombée, puis elle l’épingla dans le dos avec une pince à linge :

— Ce serait dommage de cacher ces jolies fesses, elles sont magnifiques.

Elle lui fit enjamber la culotte entortillée aux chevilles :

— Tu es privée de culotte jusqu’à nouvel ordre.

Puis elle prit son téléphone et immortalisa la scène, elle demanda à Claudine de tourner la tête et prit une dernière photo ou on distinguait parfaitement le visage de la punie et son derrière écarlate :

— C’est parfait chérie, tu colles bien ton nez contre le mur et je ne veux plus t’entendre.

Elle envoya immédiatement un message à Julie avec la dernière photo « Tu ne connais pas ma grand-mère, eh bien je te la présente ainsi que ses fesses "

Le téléphone sonna illico, c’était son amie :

— J’y crois pas, tu as flanqué une déculottée à ta grand-mère, tu es trop forte.

Laetitia jouissait au propre comme au figuré, elle venait de réaliser un rêve, sa petite culotte était trempée.

— Eh oui, elle a un beau cul elle aussi n’est-ce pas ?

Claudine était de plus en plus inquiète en entendant sa petite-fille discuter au téléphone, ses craintes se confirmèrent rapidement, au bout de dix minutes, Laetitia s’approcha d’elle et sans souci de leur différence d’âge, elle lui tira l’oreille comme si elle était une gamine :

— Viens un peu ici ma petite, je vais t’expliquer ta nouvelle vie. Garde tes mains sur la tête, ça t’évitera de frotter tes fesses.

La grand-mère était devant la jeune fille entièrement nue de la taille aux pieds à l’exception de ses bas. Sa nouvelle maîtresse s’était assise sur le canapé :

— À partir d’aujourd’hui tu es ma nouvelle pupille, je suppose que tu sais ce que ça veut dire, je t’ai raconté souvent ce qui arrive à maman et aux deux autres dames de ton âge quand elles désobéissent.

Claudine baissa la tête :

— Oui, mais Laetitia… Aïe aïe, aïe, non…

La main de la sévère jeune fille venait de claquer les cuisses :

— Ça commence bien ! Qu’est-ce que je t’ai dit ? Comment dois-tu m’appeler ?

Claudine piétinait sur place, la main continuait son œuvre :

— Aïe aïe, aïe, oui, oui, pardon momy.

Laetitia en souriant cessa la fessée :

— Je pense que nous allons avoir du travail, mais tu as une bonne paire de fesses, il y a de quoi donner la fessée. Tourne-toi !



Docilement Claudine présenta son derrière écarlate à sa petite-fille. En moins d’une heure de temps, elle était passée du statut de matriarche autoritaire à celui de gamine docile obéissant au doigt et à l’œil. Laetitia tapota la croupe tendue devant elle :

— Tes fesses sont bien rouges, mais je n’en ai pas fini avec elles, tu vas revenir sur mes genoux, on sera plus à l’aise pour discuter.

La mamie ne trouvait pas que cette position, les fesses en l’air et la tête près du sol soit très adaptée à une discussion, mais elle ne protesta pas et s’allongea en travers des cuisses de sa jeune maîtresse. Celle-ci rajusta un peu la position en la faisant basculer un peu plus vers l’avant afin que ses pieds décollent du sol et que son fessier soit bien à sa portée.

Comme elle en avait l’habitude quand elle prenait en charge une nouvelle pupille elle se mit en devoir d’explorer l’intimité de Claudine. Celle-ci n’était pas une oie blanche, mais c’était quand même un examen très humiliant que lui faisait subir la jeune femme, elle commença par écarter les deux larges fesses, la raie fessière était profonde, elle passa son doigt sur l’anus, la mamie serra les fesses ce qui lui valu une magistrale claque :

— À pas de ça ma petite, je te conseille de te laisser faire, je te signale que ton derrière est à ma disposition.

Elle glissa sa main entre les cuisses et la força à les ouvrir, si elle avait pu les voir, elle aurait constaté que ses joues étaient écarlates, elle écarta ensuite les lèvres humides pour mettre à jour la vulve gonflée. Elle se régalait du spectacle et de sa puissance, toutes ces dames quel que soit leur âge se soumettait à ses désirs. Sa main se reposa sur la large croupe :

— Comme je te l’ai dit ton comportement mérite une punition exemplaire, la fessée que tu viens de recevoir n’était qu’un échauffement. Tu seras fessée matin et soir pendant une semaine puis tous les matins pendant un mois. Dimanche je t’administrerai la fessée déculottée devant tout le monde et tu passeras le repas au coin fesses à l’air. Tu auras droit au plug de gingembre une fois par semaine.

Claudine avait écouté la sentence avec effarement, décidément cette petite était d’une sévérité sans égal. Ses fesses s’étaient contractées à chaque annonce de punition supplémentaire, Laetitia tapota la croupe :

— Tu te lèves et tu vas me chercher la brosse à cheveux.

La sévère mamie s’exécuta, elle se dirigea sans dire un mot vers sa chambre pour y prendre l’instrument de sa punition, combien de fois avait-elle imposé cette humiliation à ses filles et à ses petites-filles, maintenant c’était elle qui exécutait cette marche de la honte, ses fesses rouges dodelinant au rythme de ses pas. La jeune femme regardait amusée le charmant spectacle de cette sexagénaire, la robe épinglée dans le dos, le derrière bien rouge souligné par les bas. Dans cette famille toutes les dames étaient dotées d’une bonne paire de fesses et l’aïeule ne faisait pas exception à la règle.

Quand elle revint tenant la brosse à la main, elle regarda Laetitia :

— Momy, je sais que je mérite d’être punie pour avoir conduit en état d’ivresse, mais s’il te plaît, ne me donne pas la fessée devant tout le monde, j’aurai trop honte.

La jeune maîtresse regarda sa grand-mère, quel changement dans son attitude, elle était contrite et semblait vraiment regretter sa conduite. Peut-être était-elle trop sévère, elle hésita un moment puis elle fit un petit signe du doigt à sa nouvelle pupille :

— En position ma chérie.

Claudine retrouva la position disciplinaire pour la troisième fois, elle sentit les doigts de la jeune femme palper ses fesses :

— Je sais que tu vas avoir honte de te faire déculotter devant tes filles et tes petites filles, mais c’est fait pour ça. Tu vas recevoir une correction dont tu vas te souvenir longtemps et je suis sûr qu’après cette fessée déculottée en public et ton mois de punition tu ne t’aviseras plus de conduire en ayant bu.

La brosse à cheveux commença son travail sur le fessier de Claudine qui se comporta comme toutes les dames punies de la sorte, ses jambes battirent l’air, elle cria, pleura et supplia. Quand la correction fut terminée, sa croupe était écarlate

— Tu files au coin !

Laetitia se comportait vraiment en momy sévère, en découvrant la convocation de sa grand-mère elle avait d’abord réfléchi aux bénéfices qu’elle pouvait en tirer et au plaisir de déculotter une dame mature, mais maintenant elle se sentait une responsabilité d’éducatrice, sa grand-mère avait eu un comportement immature, elle serait traitée comme une adolescente désobéissante.

Elle jeta un œil à la dame les fesses à l’air et le nez collé contre le mur, puis se dirigea vers la cuisine, elle ouvrit le frigo et trouva une racine de gingembre. Elle entreprit de l’éplucher et de la tailler en forme de gros suppositoire, elle le regarda en souriant « tu vas voir mamie comme il va bien garnir ton gros derrière ».

Elle revint dans le salon et en passant, sans s’arrêter elle saisit la punie par l’oreille pour l’attirer vers le canapé, puis elle la bascula sans ménagement en travers de ses genoux :

— On va passer à la suite de ta punition mamie, un bon petit suppo de gingembre dans ton derrière.

Claudine protesta faiblement :

— Oh non, momy… S’il te plaît…

Elle sentit les doigts de sa petite-fille écarter ses fesses brûlantes, depuis combien de temps n’avait-elle pas été punie ainsi, elle ne s’en souvenait plus. Sa mère était intransigeante et ses fesses avaient été rougies bien souvent, le gingembre dans les fesses pour terminer une correction elle connaissait bien sûr, mais elle fut quand même surprise par l’intensité de la brûlure.

— Aïe, oh ça brûle momy, no… aïe.



La main de Laetitia avait à nouveau claqué :

— Vas-tu cesser de gigoter !! Je le sais que ça brûle ma chérie et ça va te brûler un bon moment crois-moi. Tu te lèves et tu files au coin. Vite !!

La racine de gingembre apparaissait au milieu de la raie fessière, la jeune femme fit à nouveau une photo qu’elle envoya à Julie.

Une nouvelle vie commençait pour Claudine, montrer ses fesses rougies le nez au mur allait devenir courant, il fallait qu’elle s’y habitue.

— Tu cesses de te trémousser comme ça, sinon tu vas revenir faire un petit séjour sur mes genoux. Tu vas garder ce plug pendant une heure, je crois que c’est ce que tu as imposé à maman la dernière fois.




mardi 14 janvier 2025

Deux étudiantes 28

 Nouvelle vie pour Odile



Odile exposait toujours sa croupe cramoisie pendant que Laetitia téléphonait à Julie, elle connaissait cette jeune femme qui passait de temps en temps à la maison. Savoir qu’elle allait maintenant être au courant de la nouvelle situation était particulièrement humiliant pour la mère de famille. Malgré la brûlure qui enflammait son fessier, elle essayait de suivre la conversation :

— Oui bien sûr cul nu, tu sais bien que je déculotte toujours la dame que je corrige.

— …

— Non, j’ai des arguments pour la faire obéir, maintenant c’est réglé, elle sera soumise au même régime que Brigitte et Suzanne.

Odile n’entendait pas les questions de Julie, mais elle les devinait aux réponses de sa fille. Soudain elle contracta un peu plus son derrière en entendant Laetitia :

— On va faire un appel vidéo sur Whatsapp, tu vas voir qu’elle a vraiment une belle paire de fesses.

Quelques instants plus tard elle entendait la voix de la petite amie de sa fille :

— Waouh… Tu ne l’as pas loupée… qu’est-ce qu’elles sont rouges. Le martinet coincé entre les fesses, c’est une super idée, bravo ma chérie.

— Attends j’approche un peu pour que tu les voies de plus près.

— C’est vrai qu’elle a une bonne paire de fesses. Il y a de quoi faire, elle les serre bien, c’est mignon comme tout.

La main de Laetitia claqua sèchement le fessier rubicond :

— Rassure-toi je vais les entretenir. De toute façon, elle a intérêt à serrer ses fesses, si le martinet tombe, elle a droit à un supplément avec.

Odile était morte de honte, elle se demandait comment elle allait pouvoir regarder en face Julie quand elle viendrait voir Laetitia.

Elle n’en avait pas fini avec les humiliations, Laetitia était décidée à lui faire payer toutes les fessées reçues. Dès qu’elle eut raccroché, la jeune femme alla chercher un thermomètre, elle s’approcha de sa mère et retira le martinet coincé entre ses fesses et elle lui tapota le derrière :

— Viens un peu là, je n’en ai pas tout à fait terminé avec toi.

Odile avait gardé ses mains sur sa tête, elle frémit en voyant le thermomètre dans la main de sa fille, celle-ci la regardait avec un petit air moqueur :

— Eh oui maman chérie, momy va te prendre la température. Tu es contente ?

Elle s’installa à nouveau sur la chaise à fessée et tapota ses cuisses :

— En position !

Odile était résignée, elle se coucha sur les genoux de sa fille. Quelle revanche, elle savourait le spectacle des deux larges fesses encore bien rouges étalées devant ses yeux, elle les palpa :

— Alors maman chérie, tu as honte de montrer ainsi tes fesses à ta grande fille n’est-ce pas ? Desserre-les mieux que ça, tu sais bien qu’il faut que momy voit bien ton petit trou. Allez !!

La main avait claqué sèchement la croupe d’Odile, celle-ci en gémissant écarta ses cuisses :

— Pardon momy, s’il te plaît…

Elle savait que c’était peine perdue, qu’elle devait subir sa punition sans rechigner, mais elle retrouvait ses accents de gamine quand Claudine la corrigeait. Laetitia souriait en écartant avec deux doigts les larges fesses :

— Oui ma chérie ? S’il te plaît quoi ? Tu ne veux pas que momy te prenne la température dans les fesses ? Tu es trop grande ?

— Non… non momy… Aïe.

La main avait à nouveau claqué l’épiderme enflammé :

— J’espère que tu ne crois pas ça ma chérie. Momy te prendra la température dans les fesses chaque fois que ce sera nécessaire, tu es d’accord ?

Odile était surprise de l’autorité naturelle de sa fille, elle avala sa salive :

— Oui, oui momy tu as raison.

— Tu n’es pas trop grande ?

— Non, non momy…

Laetitia claqua à nouveau les fesses de sa mère :

— C’est bien ce qui me semblait.


Elle tenait toujours les fesses écartées, elle savait la honte que devait ressentir sa mère à cet instant, elle passa son doigt au fond de la raie et titilla l’anus :

— Mamie te prends encore la température, elle me l’a dit, je sais aussi qu’elle t’a mis un suppo au gingembre. C’est vrai ?

Odile savait qu’il lui fallait répondre sous peine d’une nouvelle correction :

— Oui momy…

Elle serra légèrement les fesses, elle sentait le regard de Laetitia braqué dessus, une dizaine de claques atterrirent sur son fessier :

— Décidément tu as décidé de n’en faire qu’a ta tête ! Je te garantis que tu vas devoir changer d’attitude si tu veux pouvoir t’asseoir.

Odile gémissait doucement :

— Pardon momy, pardon, je n’ai pas fait exprès.

Laetitia se mit à rire :

— J’espère bien ma petite maman, mais tant pis pour toi, tu as gagné une petite fessée supplémentaire et une heure de pénitence.

Elle leva la main et se mit en devoir de claquer à nouveau le large fessier, ce ne fut qu’une petite fessée comme elle l’avait annoncé, mais sur un derrière déjà bien rouge c’était très douloureux pour la sévère mère de famille.


 Elle gigotait, ses jambes battaient l’air, elle avait définitivement changé de statut, elle n’était plus qu’une gamine corrigée par une stricte momy. La jeune femme passa sa main sur la croupe écarlate :

— Tu as un très beau derrière, surtout quand il est bien rouge, tu vas obéir à momy maintenant ?

Odile avait les larmes aux yeux, autant de douleur que de honte :

— Oui, oui momy promis.

Laetitia écarta à nouveau les fesses avec deux doigts et posa l’embout du thermomètre sur la petite rondelle brune :

— Allez, on se décontracte, laisse-toi faire ma chérie.

Elle s’adressait à sa mère comme une maman à sa petite fille, c’était très perturbant pour Odile, mais le souvenir des deux corrections qu’elle venait de recevoir était encore cuisant. Elle relâcha ses muscles fessiers.

L’instrument médical pénétra doucement, Laetitia souriait ravie de l’humiliation de sa mère, elle sentit une excitation entre ses cuisses, elle avait été à bonne école, le thermomètre devait être rentré profondément pour qu’il ne bouge pas et que la punie le sente bien, elle relâcha les deux fesses :

— Voilà, il est bien en place maman chérie, tu vas le garder une heure, ça va t’apprendre à obéir à momy.

Elle claqua sèchement les fesses écarlates :

— Tu te lèves et tu serres bien les fesses !

Elle posa un coussin sur l’accoudoir du canapé et désigna l’endroit à sa mère :

— Tu te couches là et je ne veux plus t’entendre !

Docilement Odile prit place sur l’accoudoir, le coussin disposé sous son ventre surélevait sa croupe et la mettait en valeur. Laetitia remonta un peu la culotte, puis elle se recula pour contempler le spectacle offert par sa mère, ses larges fesses bien rouges serrées sur le petit bout de verre du thermomètre. Elle prit une photo pour sa collection et l’envoya à sa grand-mère avec une légende « maman découvre l’éducation traditionnelle ».

Elle contrôla sur son téléphone le comportement de ses deux grandes pupilles, Suzanne exposait toujours ses fesses rouges garnie du thermomètre, elle regarda sa montre, elle en avait encore pour une heure. Brigitte quant à elle, se dandinait d’un pied sur l’autre en serrant le manche du thermomètre entre ses fesses, elle jugea que la punition était suffisante :

— Je monte chez Brigitte, tu as intérêt à rester tranquille !

Elle entra doucement dans l’appartement de la professeure et s’approcha en silence, quand elle posa sa main sur sa croupe, Brigitte sursauta :

— C’est bien, tu as été sage, je lève ta punition.

Elle retira le manche du martinet et claqua le popotin rebondi :

— Tu peux te reculotter.

Il était temps de s’occuper de Chloé, elle redescendit et se dirigea vers la chambre de sa sœur. Elle était assise à son bureau, les fesses nues directement posées sur sa chaise, la culotte à mi-cuisse :

— A nous deux ma petite chérie, viens avec moi.

Elle avait saisi l’oreille de la jeune fille pour la faire se lever et elle l’entraîna vers le salon. En entrant dans la pièce, Chloé ne put retenir un petit cri en voyant sa mère dans cette humiliante position, Laetitia lui lâcha l’oreille :

— Eh oui, notre petite Odile n’a pas été sage, j’ai été obligée de sévir. Je pense qu’elle regrette amèrement son comportement, mais une heure à nous montrer ses fesses avec un thermomètre va lui permettre de réfléchir.

Elle s’était installée sur la chaise à fessée pour bien signifier à sa jeune sœur que désormais c’était elle qui « portait la culotte » dans la maison. Elle fit un petit signe et Chloé se retrouva dans une position qu’elle connaissait trop bien, mais aujourd’hui, elle était couchée sur une nouvelle paire de cuisses. Les fesses étaient déjà prêtes pour la correction, Laetitia décida de prendre son temps afin d’expliquer à la jeune fille la nouvelle situation :

— Comme tu vois ma chérie, les choses ont changé dans cette maison, à partir d’aujourd’hui c’est à moi que tu dois obéir. Je surveillerai tes notes, tes sorties enfin tout ce que faisait maman avant et je peux t’assurer que je serai aussi stricte. Odile sera soumise à la même discipline que toi, je te demanderai de me signaler tout manquement, tu y as intérêt, car les punitions seront communes si je m’aperçois que l’une de vous a fait une bêtise. Pour ce qui est de ta punition d’aujourd’hui, comme je te l’ai dit tout à l’heure quand tu seras punie à l’école ou chez Brigitte, tu sera punie à la maison et je doublerai chaque fois la punition. Tu vas recevoir une fessée maintenant et tu en recevras une avant de te coucher.

Après cette tirade, elle administra la correction prévue et Chloé se rendit compte qu’elle n’avait pas gagné au change, la main de Laetitia claquait aussi sèchement que celle de sa mère. Une fois relevée, elle fut envoyée au coin.

La jeune maîtresse contrôla à nouveau la webcam de Suzanne, les fesses de l’ex-gouvernante se tortillait légèrement, elle devait commencer à trouver le temps long. Elle décida d’être magnanime et de lui enlever le thermomètre un peu plus tôt.

Suzanne avait entendu la porte s’ouvrir, elle était angoissée de ne pas voir qui entrait dans la pièce, laetitia se mit à sourire en voyant les fesses se crisper sur le thermomètre qui dépassait de la raie fessière. Elle s’approcha de la vieille fille et lui tapota les fesses :

— Alors ma chérie, tu as bien réfléchi ? Tu ne vas plus protester quand momy Laetitia décide quelque chose.

Suzanne était soulagée de savoir que sa pénitence allait prendre fin, mais elle se méfiait quand même de la perversité de sa jeune maîtresse, elle répondit d’une petite voix :

— Oui mademoiselle, promis… Aïe, aïe…

La main de Laetitia avait administré une claque sur chaque fesse :

— À partir de maintenant tu vas m’appeler momy, comme Odile et Brigitte, ce sera plus simple.

— Oui, oui momy…

Satisfaite Laetitia écarta les deux fesses de sa grande fille et retira doucement le thermomètre :



— Tu peux te relever, tu es privée de culotte et ta jupe reste retroussée, je te rappelle que tu es punie et que tu iras au lit à vingt heures, je viendrai à dix-neuf heures trente pour te coucher, tu as intérêt à être en chemise de nuit quand j’arriverai, bien sûr tu peux préparer ton derrière, tu sais que je t’ai promis une fessée matin et soir pendant une semaine.

Au rappel de sa punition, Suzanne baissa la tête en rougissant, ce qui fit sourire Laetitia, elle tapota les fesses encore rosées :

— Tu en fais une tête, il fallait réfléchir avant ma petite chérie.

Elle regarda sa montre, il était dix-huit heures :

— Tu as encore une heure et demie pour faire refroidir tes jolies fesses.

Elle remonta chez elle, les deux punies n’avaient pas bougé, deux paires de fesses bien rouges illuminaient la pièce. Elle renvoya Chloé dans sa chambre, Odile était en pénitence depuis un peu plus d’une heure, elle la fit se relever en lui tirant l’oreille et s’installa sur la chaise à fessée :

— Viens un peu là ma grande.

Odile penaude ne protesta pas et s’installa sur les genoux de sa fille, les fesses étaient encore rouges, elles avaient reçu tellement de fessées depuis ce matin qu’elles avaient gardé une jolie couleur. Laetitia décida de prolonger son plaisir de dominatrice, elle fit coulisser le thermomètre :

— Alors tu vas obéir à momy maintenant ? Je vais te corriger encore un peu pour que ça rentre bien dans ta tête.

Odile gémissait doucement, mais se laissait faire, quel changement depuis ce matin. Soudain elle poussa un cri, elle recevait une nouvelle fessée. Laetitia se contenta de lui administrer une centaine de claques avec la main, puis elle retira le thermomètre et glissa sa main entre les cuisses de la dame de quarante ans. Ses doigts agiles s’insinuèrent jusqu’aux lèvres et glissèrent sur la vulve, elle était humide, un petit sourire glissa sur le visage de la jeune maîtresse :

— On dirait que ça ne t’a pas déplu ce petit séjour sur le canapé avec le thermomètre dans les fesses et mes fessées, on dirait que tu les apprécies ?

Sa main tapotait distraitement les fesses de sa mère, elle avait ressenti elle aussi une semblable excitation lors de punitions reçues de la main d’Odile. Elle n’était donc pas surprise, malgré la douleur et l’humiliation une bonne fessée déculottée et des fesses brûlantes provoquaient souvent ce genre de réaction chez la punie.

Odile ne répondit pas, elle était mortifiée, mais après toutes les corrections reçues depuis ce matin, elle était devenue docile et résignée. Elle savait que sa condition avait définitivement changé.

Laetitia la garda allongée sur ses genoux pour lui annoncer la suite du programme :

— Maman chérie, tu as très vilaine aujourd’hui puisque j’ai été obligée de te fesser et mamie également. Je vais donc appliquer ta méthode, tu iras au lit à vingt heures trente comme une gamine punie et je ferai en sorte que tu aies les fesses bien chaudes pour dormir. Demain matin tu recevras une fessée avant de partir au travail et j’espère que tu seras sage dans la journée sinon demain soir je recommencerai, tu es privée de culotte jusqu’au coucher.

Elle claqua une dernière fois les fesses de sa mère pour l’inciter à se relever, elle s’assura que l’ourlet soit toujours coincé dans la ceinture, les larges fesses de la mère de famille n’avait jamais autant pris l’air dans cet appartement. Une nouvelle claque sur sa croupe signifia à Odile qu’il était temps pour elle d’aller préparer le repas.

La soirée fut très active pour la jeune femme, elle distribua généreusement les fessées qu’elle avait annoncées. Dans l’ordre prévu, Suzanne puis Odile et enfin Chloé eurent droit à un passage sur ses genoux et se couchèrent toutes avec une paire de fesses bien rouge et cuisante.



Le lendemain elle arriva à la maison avec une pile de cahier à la couverture rouge, elle entreprit de les préparer, il y en avait un pour chacune de ses pupilles. Sur la première page elle inscrivit le prénom des six dames et jeunes femmes soumises désormais à son autorité, trois dames d’âge mûr et trois beaucoup plus jeunes. Sous chaque prénom, elle colla une photo des fesses rouges de la pupille en question. C’était très esthétique, elle se félicita intérieurement. Odile arriva juste quand elle terminait, elle l’accueillit en souriant :

— Coucou ma petite maman, ta journée s’est bien passée ? Regarde le petit cadeau que je t’ai apporté.

Elle lui tendit le cahier à couverture rouge sur lequel était inscrit « Carnet des punitions ».

— Tu peux l’ouvrir.

En rougissant, Odile s’exécuta, elle pinça les lèvres en voyant sous son prénom la photo de ses fesses écarlates. Laetitia la regardait en souriant :

— Elles sont mignonnes n’est-ce pas ? J’espère pour toi qu’elles resteront blanches ce soir. À ce propos, tu vas me les montrer.

Odile la regarda, interloquée :

— Mais… pourquoi ?

Laetitia la fixa le regard sévère :

— Ma petite maman, il va falloir que tu perdes l’habitude de demander pourquoi, c’est la dernière fois que je te le dis, la prochaine ce sera directement panpan cucul. Montre-moi tes fesses tout de suite !!

Paniquée, se souvenant de la soirée de la veille, Odile s’empressa d’obéir. Elle retroussa sa jupe, se retourna et se déculotta. Elle portait des bas autofixants et une culotte noire ornée de dentelle. Le tableau qu’elle offrait était vraiment sexy, ses deux larges fesses nacrées séparées par une raie profonde, la culotte noire baissée soulignant la blancheur du fessier. Laetitia savourait sa puissance, elle s’approcha et caressa la croupe tendue :

— C’est bien, j’espère que tu as retenu la leçon, pour cette fois je passe l’éponge, mais la prochaine fois, c’est directement sur mes genoux. Tu peux te reculotter.

Elle avait demandé ça juste pour confirmer à sa mère sa nouvelle condition. Elle continua ses explications :

— Tu inscriras sur ce cahier toutes tes punitions, sans en oublier, je vérifierai de temps en temps, si je m’aperçois que tu n’en as pas marqué une, tu recevras la même triplée. Tu noteras tous les détails, la position, l’instrument et le motif. Je veux également que tu rajoutes à chaque fois un petit commentaire pour me dire ce que tu as ressenti. Je relèverai les cahiers toutes les semaines pour Suzanne, Brigitte et toi ce sera le samedi, pour les trois jeunes ce sera le vendredi. Bien sûr si tu as été trop punie dans la semaine attends-toi à une sévère correction le samedi soir.

Odile écoutait bouche bée, jamais malgré sa stricte éducation elle n’aurait pensé à ça. Laetitia parlait calmement en souriant toujours :

— Bien, tu peux t’y mettre, n’oublie pas de noter les fessées que t’a administrée mamie.

Elle se souvint soudain d’Ingrid sa tante, elle aussi allait faire partie de ses pupilles, il faudrait qu’elle lui achète un cahier. Elle laissa sa maman à son travail et se rendit chez Brigitte puis chez Suzanne.

Les deux étudiantes eurent droit à sa visite le soir, par la même occasion elle contrôla leurs notes et bien sûr les deux jeunes femmes passèrent une partie de la soirée au coin avec des fesses bien rouges. Leurs cahiers étaient posés sur la table, ils allaient servir immédiatement après le temps de coin.

En rentrant elle vit le cahier d’Odile sur le buffet, elle le feuilleta, elle était curieuse de savoir ce que sa mère avait noté sur son ressenti.

« Dimanche :

Première fessée par maman sur ses genoux à la main : très mal aux fesses

Au coin 1/2 heure

Deuxième fessée par maman sur ses genoux à la brosse devant Laetitia : très sévère, j’ai eu très honte de recevoir cette fessée devant ma fille

Troisième fessée par momy, sur ses genoux, double fessée à la main puis à la brosse : fessée très sévère, quelle honte de recevoir une fessée déculottée par sa fille.

Au coin avec le martinet entre les fesses : très long

Quatrième fessée avant le thermomètre sur ses genoux à la main puis thermomètre pendant une heure : très long et humiliant

Cinquième fessée avant de m’enlever le thermomètre sur ses genoux à la main : très mal aux fesses

Sixième fessée juste avant d’aller au lit, sur ses genoux avec la brosse : fesses brûlantes toute la nuit.

Laetitia souriait en refermant le cahier, sa petite maman n’avait oublié aucune des punitions reçues, ça en faisait beaucoup pour un premier jour, mais après tout, elles étaient toutes méritées. Elle était satisfaite des annotations concernant le ressenti, elle avait eu envie de rire en lisant l’expression « très mal aux fesses », c’est fait pour ça la fessée ma chérie avait-elle pensé.

Elle jeta un œil dans la cuisine, Odile préparait le repas, ce soir elle n’était pas cul nu comme la veille. Elle lui indiqua qu’elles dîneraient après vingt heures, car elle devait aller coucher Suzanne, devant le regard étonné de sa mère, elle précisa :

— Oui, je sais que c’est tôt, mais elle est punie. Pendant une semaine, coucher à vingt heures et une bonne fessée déculottée le matin et une autre avant d’aller au lit. Voilà ce qui arrive quand on conteste les décisions de momy, tâche de t’en souvenir.



Au cours du repas, elle expliqua comment elle entendait la nouvelle organisation de la maison et les sanctions en cas de désobéissance. Chloé trouva sa sœur encore plus exigeante que sa mère, mais que dire d’Odile qui devant sa plus jeune fille s’était vue reléguer au rang de gamine et menacer de fessée cul nu en cas de manquement aux règles :

— Pour ce qui est du coucher, Chloé tu iras au lit à vingt et une heures trente en semaine et vingt-deux heures le week-end.

La jeune fille ouvrit la bouche pour protester, mais le regard sévère de sa grande sœur l’incita à la prudence, Laetitia s’était tournée vers sa mère, celle-ci s’attendait au pire, elle ne fut pas déçue :

— Quant à toi maman chérie, tu iras également au lit à vingt et une heures trente en semaine, je te trouve un peu fatiguée, tu as besoin de dormir. Pour le week-end, je déciderai en fonction de ton comportement de la semaine à toi d’être sage si tu ne veux pas goûter au coucher à vingt heures comme Suzanne.



mardi 7 janvier 2025

Deux étudiantes 27

Julie



 Laetitia aimait les filles et la fessée, c’est ainsi qu’elle avait fait connaissance de Julie. Elles étaient dans la même classe de BTS et elles s’étaient plu dès le premier jour.

Julie était grande, blonde avec des formes, une magnifique poitrine et évidemment, ce qui intéressait le plus sa nouvelle copine, elle était dotée d’une belle paire de fesses qu’elle mettait en valeur en portant des jeans serrés.

En discutant dans un bar dès le premier jour de leur rencontre, Laetitia l’avait félicité pour cette croupe avantageuse et avait ajouté en riant :

— Tu devrais quand même faire attention, un joli derrière comme le tien ça attire la fessée.

Julie avait répondu en riant également :

— Ah oui ? Tu me la donnerais ?

Elle était assise au fond du café, une demi cloison séparait leur table des autres, Laetitia s’était levée et avait saisi l’oreille de sa nouvelle petite amie :

— Et comment ! Regarde !

Julie avait été obligée de se lever en gémissant :

— Aïe… Aïe ;

La main de la jeune femme avait claqué rapidement la croupe arrogante moulée dans le jeans.

— Tu vois, c’est facile, ça c’est juste un apéritif ma chérie, tu verras quand on sera tranquille, tu vas en recevoir une autre, mais déculottée cette fois.

Puis elle avait relâché l’oreille de Julie et s’était rassise en riant. La jeune fille en rougissant s’était frotté le derrière, c’était charmant.

Quelques jours plus tard elle s’était retrouvée dans la chambre d’étudiante de Julie et Laetitia avait pris l’initiative :

— Bon c’est pas tout ça ma petite chérie, mais il va falloir que tu me montres tes fesses.

Julie se mit à rire et minauda le rouge aux joues :

— Olala, comme tu y vas… Directement cul nu ?

Laetitia souriante, planta ses yeux dans les siens :

— C’est très simple, ou tu te déculottes et tu n’auras qu’un petit panpan cucul, ou c’est moi qui te baisse la culotte et ça sera une vraie fessée déculottée.

Malgré son sourire, Julie comprit que sa petite amie ne plaisantait pas, elle avait une bonne expérience des châtiments corporels puisqu’elle avait été scolarisée jusqu’au bac dans une institution religieuse stricte. Les punitions telles que la fessée ou la mise au piquet les fesses à l’air même si elles n’étaient pas systématiquement appliquées étaient quand même utilisées régulièrement à l’internat par les surveillantes.

Elle avait eu ses premiers émois sexuels en assistant à la fessée déculottée d’une fille de son dortoir. La pionne était particulièrement vicieuse, elle avait installé sa chaise au milieu du dortoir, puis elle avait couché la fautive sur ses genoux en demandant aux autres filles de bien regarder comment elle déculottait une vilaine fille. La pauvre avait subi en pleurant l’humiliante mise à nu de son derrière, la fesseuse avait pris son temps pour descendre lentement la culotte du pyjama, puis elle avait forcé la jeune fille à écarter ses cuisses. La vue de la vulve gonflée puis les claques qui s’abattaient sur le tendre fessier avait excité Julie. La fessée avait été magistrale et la punie avait dû rester ensuite le nez contre le mur, les fesses rougies exposées à la vue de tout le dortoir pendant une demi-heure.

Pendant le premier trimestre, la pionne avait déculotté et fessé pratiquement toutes les filles du dortoir et bien sûr Julie avait subi également l’humiliante mise à nu de ses rondeurs en public. À sa grande surprise malgré la honte et la douleur, elle avait ressenti en plus de la cuisson de son derrière une délicieuse excitation entre ses cuisses.

La surveillante avait dû s’en rendre compte d’ailleurs car Julie avait remarqué que sous prétexte d’écarter les cuisses des punies sa main glissait toujours sur l’intimité des jeunes filles. Elle n’y avait pas échappé et quand la jeune femme était venue la délivrer du coin, elle lui avait elle-même remonté la culotte et glissé à l’oreille « ça à l’air de te plaire petite cochonne ».

Au cours des deux autres trimestres, elle avait été la plus fréquemment punie, au moins une fois par semaine elle présentait sa jolie croupe bien rouge à ses camarades.

Souvent après cette cuisante punition, elle se glissait dans le lit de sa voisine qui la consolait avec des caresses et des léchouilles appropriées.

L’annonce par Laetitia d’une petite fessée n’était donc pas pour lui déplaire, elle décida de la provoquer :

— J’aimerais bien voir ça.

Lui lançât-elle avec un regard coquin.

La jeune dominatrice n’en demandait pas tant. En un clin d’œil elle fondit sur sa petite amie :

— C’est tout vu ma chérie, mais je t’aurai prévenue.

Elle avait saisi sa copine par la ceinture du jean et l’avait immédiatement déboutonné puis descendu jusqu’aux genoux. Julie était maintenant debout devant elle en petite culotte, elle n’avait pas résisté. Laetitia lui prit la main et la guida pour qu’elle se couche sur ses cuisses :

— Tu veux que je te déculotte vilaine fille ? Ça sera donc une vraie fessée.

La lingerie avait glissé sur l’orgueilleux fessier, laetitia avait souri en voyant les fesses se contracter légèrement « Ma petite chérie tu as vraiment un joli cul, compte sur moi pour m’en occuper »

La main caressa lentement les rondeurs de Julie puis sans prévenir, elle asséna une formidable claque sur la fesse droite suivi immédiatement de la même sur la fesse gauche. La jeune femme hurla :

— Aïe, aïe… Non mais ça va pas !!

Elle chercha à se relever et posa sa main sur son derrière pour le protéger. Ce fut peine perdue, Laetitia était devenue une experte en fessée, elle la ceintura fermement pour la maintenir en place, coinça son bras avec sa main gauche et continua la correction :

— Ça va très bien ma chérie, je t’avais prévenue, ce sera une vraie fessée.

Julie reçut ce jour-là sa première vraie fessée déculottée, ce ne serait pas la dernière. Une fois qu’elle lui eut mis une jolie culotte rouge sur les fesses, Laetitia l’entraîna pour des ébats pour le moins torrides. Alors qu’elles étaient couchées sur le lit, la jeune maîtresse tout en caressant les fesses brûlantes de sa petite amie lui annonça :

— Eh bien ma chérie, s’il te faut avoir le derrière bien rouge pour jouir, crois-moi tu auras souvent chaud aux fesses.

À partir de ce jour, Julie eut l’interdiction de porter des jeans ou tout autre pantalon, Laetitia lui avait dit en riant :

— Ça met bien en valeur ton joli cul, mais ce n’est pas pratique pour administrer une bonne fessée déculottée.

Bien sûr la jeune femme suivait au jour le jour les progrès de sa maîtresse dans la prise en main de l’immeuble. Elle avait pu visionner les vidéos de fessée que faisait Laetitia et elle se régalait de l’album de photos de celle-ci où les fesses bien rouges se succédaient.

Laetitia lui avait promis qu’un jour elle assisterait à la correction de l’une de ses pupilles.

Elle l’avait donc invité chez Suzanne, elles seraient tranquilles, elle était la seule à déculotter et à fesser la vieille fille, alors que chez Brigitte ou chez les deux chipies, sa mère pouvait survenir à l’improviste.

L’ex-gouvernante avait été surprise et gênée que sa maîtresse soit accompagnée par une jeune femme du même âge qu’elle. Cependant les souvenirs cuisant que Laetitia avait laissé sur ses fesses l’incitèrent à faire comme prévu à chaque visite de la jeune femme.

En rougissant elle se tourna et sous le regard ébahi de Julie elle retroussa sa jupe, Laetitia était fière de montrer son pouvoir à sa petite amie, elle souriait en regardant la culotte en dentelle blanche, tendue sur la croupe de la dame de soixante-cinq ans :

— Tu vois comme ma petite Suzanne est devenue obéissante, mais elle n’a pas tout à fait fini. N’est-ce pas ma petite chérie ?

Elles ne pouvaient pas voir les joues de la dame soumise, elles étaient de la couleur de ses fesses après un passage sur les genoux de sa jeune maîtresse, elle répondit d’une petite voix :

— Oui mademoiselle.

Puis elle glissa ses deux pouces dans la ceinture de sa fine lingerie et la fit glisser sur ses rondeurs. Julie ne perdait pas une miette du spectacle, bien sûr sa petite amie lui avait expliqué comment elle soumettait ces dames d’âge mûr, mais le voir pour de vrai était vraiment surprenant et très excitant.



Les fesses nacrées étaient maintenant parfaitement exposées, contractées par la honte, la culotte était baissée juste sous la croupe. Laetitia s’approcha et tapota le derrière :

— C’est bien ma chérie, tes jolies fesses sont très mignonnes, je suis sûr que Julie apprécie.

La jeune femme avait les yeux brillants d’excitation, elle s’approcha et posa sa main sur le fessier. Surprise, Suzanne se releva légèrement, mal lui en prit, sa jeune maîtresse lui administra deux claques très sèches :

— Depuis quand as-tu l’autorisation de bouger quand on examine tes fesses ? Va te mettre au coin.

Elle se tourna vers son amie :

— Tu peux aller l’installer, je crois que tu sais comment faire.

Julie se mit à rire :

— Oh oui, une vilaine fille qui expose ses bonnes grosses fesses au coin, je connais.

Elle suivit Suzanne qui se dirigeait vers le mur, elle lui retroussa la jupe et lui claqua les fesses :

— Allez on se dépêche !

L’ex-gouvernante posa son nez contre le mur pendant que la jeune femme coinçait l’ourlet de la jupe dans la ceinture, elle baissa un peu plus la culotte et claqua à nouveau le derrière dénudé :

— Mets tes mains sur ta tête !

Elle était passé naturellement au tutoiement sans aucun égard pour l’âge de la dame. En même temps, celui-ci n’avait aucune importance puisque la dame en question exposait ses fesses nues et qu’une cuisante correction s’annonçait.



Laetitia était comme chez elle. Elle alla chercher de quoi boire et s’installa dans le canapé :

— Regarde-moi ce joli derrière, c’est quand même agréable.

Julie attendait avec impatience la suite, elle fixait intensément la croupe de cette dame mature, traitée par sa copine comme une gamine, jamais elle n’aurait pu imaginer qu’une telle chose soit possible. Laetitia la regardait en souriant :

— On dirait que la suite te tarde ?

Julie sursauta et rougit légèrement :

— Ben, c’est-à-dire que quand on est au coin le derrière à l’air, normalement il est rouge. Tu la fesses souvent ?

La jeune maîtresse la regarda avec un air coquin :

— C’est vrai que tu as une certaine expérience de la chose, mais attendre ainsi cul nu fait partie de la punition. Madame est en train de réfléchir à ce qui va lui arriver et puis présenter son derrière à une inconnue n’est jamais très agréable.

Elle se décida enfin à satisfaire sa petite amie :

— Suzanne, vient un peu me voir, nous devons avoir une petite conversation.

L’ex-gouvernante redevenue une jeune bonne grondée par sa maîtresse se présenta devant les deux amies confortablement installées, elle avait gardé ses mains sur sa tête, laetitia la regardait avec son air pervers qui ne lui disait rien de bon :

— Tu peux baisser tes mains. Julie voudrait savoir combien de fois je t’ai donné la fessée déculottée depuis le début de la semaine ?

Suzanne baissa les yeux en rougissant à nouveau, quelle humiliation que de reconnaître devant cette très jeune femme qu’à soixante-cinq ans elle recevait encore ce châtiment enfantin. Elle était à portée de main de sa jeune maîtresse, la main de celle-ci claqua la cuisse :

— Dépêche-toi, tu sais très bien que ça m’agace quand tu ne réponds pas !

— Oui, oui, pardon mademoiselle Laetitia, huit fois…

On était jeudi, Julie se tourna vers son amie :

— Mazette, ça fait plus d’une fessée par jour.

Laetitia se mit à rire :

— Ça c’est sûr, madame a besoin d’avoir très souvent les fesses rouges, on dirait qu’elle aime ça.

Elle fit un petit signe à sa pupille :

— Tourne-toi !

Elle tendit la main et pinça le gras de la fesse de la dame :

— Il y a de quoi claquer et puis regarde comme elles sont devenues fermes depuis que je m’en occupe. On ne dirait pas les fesses d’une dame de soixante-cinq ans.

Julie tendit la main également pour caresser la croupe de Suzanne, ses yeux brillaient. Laetitia la regarda avec un air coquin :

— Tu aimerais t’en occuper n’est-ce pas ?

La jeune femme la regarda avec de grands yeux :

— Ça c’est sûr. Tu voudrais bien ?

— Je crois que madame a besoin de connaître une autre main, elle a déjà eu droit à une fessée publique devant Brigitte, mais ce n’est sans doute pas suffisant puisqu’elle continue à faire des bêtises.

Suzanne ne disait rien, mais ça bouillonnait à l’intérieur, elle tournait le dos aux deux jeunes femmes qui se régalaient de la vue de son fessier, cette petite Julie qui avait tout juste vingt ans allait lui administrer une fessée, son éducation continuait, des larmes lui vinrent aux yeux. Soudain des doigts saisirent son oreille :

— Viens un peu par là ma chérie.

C’était la voix de Julie, elle était grande et elle se fit un malin plaisir à tirer l’oreille de Suzanne vers le haut forçant quasiment celle-ci à marcher sur la pointe des pieds :

— Aïe, aïe…

De sa main libre elle accompagna la marche de sa victime en lui administrant quelques claques bien fermes sur le derrière dénudé, puis elle saisit une chaise qu’elle disposa devant le canapé :

— Allez en position ma petite !

C’était assez curieux de voir cette jeune femme traiter de cette manière une dame aux cheveux blancs qui aurait pu être sa grand-mère. Elle lui avait lâché l’oreille pour la faire basculer en travers de ses cuisses. Suzanne eut le temps d’apercevoir Laetitia qui avait sorti son téléphone et qui filmait la scène.

Elle était maintenant couchée sur les genoux d’une nouvelle maîtresse, les fesses parfaitement exposées, elle connaissait parfaitement cette position, Laetitia tapotait souvent ses cuisses pour lui indiquer qu’il était temps de recevoir sa fessée.

Elle sentit les doigts de Julie s’insinuer entre ses fesses, la jeune femme était lesbienne et explorer l’intimité de cette dame était une expérience vraiment excitante, elle sourit en découvrant l’humidité de la vulve de la punie, elle regarda sa petite amie :

— Je commence à comprendre pourquoi madame fait autant de bêtises, elle doit aimer se faire rougir le derrière.

Laetitia s’approcha et écarta sans façon les fesses de la dame de soixante-cinq ans :

— Ah oui ? C’est du joli ! Eh bien puisque c’est ça, tanne-lui bien les fesses, ça va la calmer !

Julie n’avait pas souvent donné la fessée, c’était elle en général qui présentait sa croupe, mais elle savait comment faire. Elle prit la main de Suzanne pour lui coincer dans le dos et bien la maintenir puis elle leva la main droite et commença à corriger ce beau derrière de dame mature. Soudain elle se rendit compte que c’était vraiment très agréable et même excitant de voir ses jambes battre l’air et les fesses se contracter sous la brûlure des claques, rapidement les gémissements de Suzanne se transformèrent en supplication et bientôt en pleurs. Julie était grande et sportive et elle avait de la poigne, l’ex-gouvernante allait se souvenir longtemps de cette première correction. Quand elle fut remise sur ses pieds par sa fesseuse, celle-ci lui désigna Laetitia :

— Va montrer tes fesses à ta maman, elle verra comme elles sont bien rouges.



Les joues baignées de larmes, autant de honte que de douleur, la punie s’exécuta et elle se pencha pour présenter son fessier écarlate à sa sévère maîtresse, celle-ci les caressa et glissa ses doigts entre ses cuisses :

— Voilà un derrière cuit à point, j’espère que ça va te calmer mademoiselle la dévergondée ! Puisque tu as l’air d’aimer ça et bien je t’annonce que Julie à l’autorisation de te flanquer la fessée déculottée chaque fois que tu l’auras méritée.

Elle claqua sèchement le derrière empourpré :

— Maintenant tu files au coin et je ne veux plus t’entendre, si ça te brûle trop, tu pleures en silence !

Julie était aux anges :

— C’est vrai ? Je peux la déculotter et lui rougir les fesses ?

— Bien sûr ma chérie, tu sais j’ai quatre paires de fesses à ma disposition, sans compter celle de ma petite sœur et les tiennes. Elles ont toutes besoin d’être régulièrement corrigées, il y a des jours où je ne m’en sors pas, de temps en temps je ferai appel à toi. Pour ce qui est de Suzanne, comme elle a besoin d’être bien tenue en main, je pense que tu t’en occuperas très souvent.

Julie sauta au cou de sa petite amie :

— Oh merci, tu es vraiment chou, tu me fais un super cadeau.

Elle se leva et se dirigea vers la dame en pénitence les fesses à l’air et lui tapota la croupe brûlante :

— Tu as entendu ma petite chérie maman Julie va bien s’occuper de ton derrière, tu vas voir comme je vais te le faire danser. Tu as intérêt à être bien sage.

Laetitia regardait avec gourmandise les fesses bien rouges de sa grande fille de soixante-cinq ans et le popotin rebondi moulé par la mini-jupe crayon de sa petite amie, il ne fallait pas que celle-ci pense que sa situation avait changé :

— Chérie, viens un peu me voir.

Julie se retourna en souriant, mais le regard de Laetitia ne lui disait rien qui vaille.

— Dis-moi, tu trouves normal que Suzanne m’ait présenté gentiment ses fesses pendant que toi tu gardes ta culotte ?

Le sourire de la jeune femme se figea, décidément Laetitia n’était jamais à court d’imagination, son doigt lui faisait signe d’approcher et de se tourner, elle adorait faire obéir ses pupilles sans avoir à parler ou très peu, Julie n’y échappait pas.

Elle présenta son fessier à sa petite amie, celle-ci glissa ses doigts sous la jupe et palpa les fesses rebondies :

— Alors ma chérie, qu’en penses-tu ?

Julie minauda et tortilla un peu sa croupe :

— Ben, euh… Tu crois… Je…

Laetitia pinça la fesse droite :

— Tu te déculottes et vite !!

Julie rougit, elle hésita un peu trop au goût de sa sévère petite amie :

— Ah c’est comme ça que tu obéis et bien tu vas voir !

Elle s’était levée avait coincé sa petite amie sous son bras. Elle troussa sa jupe et lui baissa rapidement la culotte sous les fesses. Une centaine de claques eurent vite fait de rougir le derrière tendu. Julie criait et piétinait sur place, mais ses fesses n’échappaient pas à la main de Laetitia. Elle cessa la fessée et remonta la culotte :

— Tu as compris ? Quand je te demande quelque chose tu dois le faire immédiatement, sinon c’est panpan cucul.

Julie avait les joues aussi rouges que ses fesses, elle acquiesça :

— Oui… Pardon…

Laetitia la regarda en souriant :

— Oui miss ! Chaque fois que je te punirai, tu devras m’appeler comme ça et me remercier. J’attends !!

Julie ouvrit des yeux ronds, décidément sa chérie n’était jamais à court d’idées perverses, ses fesses brûlantes l’incitèrent à obéir :

— Merci… Miss…

— Parfait, maintenant tu te tournes et tu te déculottes !



Les jolies fesses de Julie moulées dans sa petite culotte étaient vraiment mignonnes, on les devinait crispées sous la fine lingerie, un peu de rouge débordait sur le pli fessier. La jeune femme glissa ses pouces sous l’élastique et baissa sa culotte sous ses fesses, comme l’avait fait Suzanne auparavant.

— Déculotte-toi mieux que ça ! Descends là un peu plus !

L’ordre avait claqué en même temps que la main sur les fesses dénudées, la jeune femme baissa sa culotte jusqu’aux genoux. La jupe étroite tenait toute seule et ne masquait pas les fesses :

— Mets tes mains sur la tête ! Et va te mettre à côté de Suzanne.

Julie se dirigea à petit pas vers le mur et se plaça à côté de la dame qu’elle venait de corriger. Laetitia souriait, se régalant du spectacle de ces deux belles paires de fesses, l’une plus ferme que l’autre et encore blanche, l’autre bien rouge qui se contractait pour atténuer la cuisson. Elle fit une photo et laissa ainsi ses deux punies en pénitence.

Elle savoura cet instant, un sentiment de puissance l’habitait. Elle glissa sa main dans sa culotte et sans se soucier des deux dames qui le nez collé au mur, exposait leurs fesses nues, elle se caressa.

Bien sûr le derrière de Julie ne resta pas blanc très longtemps, quelques minutes plus tard elle braillait et gigotait, couchée en travers des cuisses de sa petite amie. Elle goûta même à la brosse à cheveux pour faire bonne mesure et lui faire comprendre que même si elle avait gagné le droit de fesser Suzanne, ses fesses n’étaient pas à l’abri.



 

 

 

Absence prolongée

 Bonjour à toutes et à tous. Je vous dois une explications, j'ai été souffrante et je suis pour le moment en convalescence. Promis je ne...