mercredi 22 janvier 2025
mardi 14 janvier 2025
Deux étudiantes 28
Nouvelle vie pour Odile
Odile exposait toujours sa croupe cramoisie pendant que Laetitia téléphonait à Julie, elle connaissait cette jeune femme qui passait de temps en temps à la maison. Savoir qu’elle allait maintenant être au courant de la nouvelle situation était particulièrement humiliant pour la mère de famille. Malgré la brûlure qui enflammait son fessier, elle essayait de suivre la conversation :
— Oui bien sûr cul nu, tu sais bien que je déculotte toujours la dame que je corrige.
— …
— Non, j’ai des arguments pour la faire obéir, maintenant c’est réglé, elle sera soumise au même régime que Brigitte et Suzanne.
Odile n’entendait pas les questions de Julie, mais elle les devinait aux réponses de sa fille. Soudain elle contracta un peu plus son derrière en entendant Laetitia :
— On va faire un appel vidéo sur Whatsapp, tu vas voir qu’elle a vraiment une belle paire de fesses.
Quelques instants plus tard elle entendait la voix de la petite amie de sa fille :
— Waouh… Tu ne l’as pas loupée… qu’est-ce qu’elles sont rouges. Le martinet coincé entre les fesses, c’est une super idée, bravo ma chérie.
— Attends j’approche un peu pour que tu les voies de plus près.
— C’est vrai qu’elle a une bonne paire de fesses. Il y a de quoi faire, elle les serre bien, c’est mignon comme tout.
La main de Laetitia claqua sèchement le fessier rubicond :
— Rassure-toi je vais les entretenir. De toute façon, elle a intérêt à serrer ses fesses, si le martinet tombe, elle a droit à un supplément avec.
Odile était morte de honte, elle se demandait comment elle allait pouvoir regarder en face Julie quand elle viendrait voir Laetitia.
Elle n’en avait pas fini avec les humiliations, Laetitia était décidée à lui faire payer toutes les fessées reçues. Dès qu’elle eut raccroché, la jeune femme alla chercher un thermomètre, elle s’approcha de sa mère et retira le martinet coincé entre ses fesses et elle lui tapota le derrière :
— Viens un peu là, je n’en ai pas tout à fait terminé avec toi.
Odile avait gardé ses mains sur sa tête, elle frémit en voyant le thermomètre dans la main de sa fille, celle-ci la regardait avec un petit air moqueur :
— Eh oui maman chérie, momy va te prendre la température. Tu es contente ?
Elle s’installa à nouveau sur la chaise à fessée et tapota ses cuisses :
— En position !
Odile était résignée, elle se coucha sur les genoux de sa fille. Quelle revanche, elle savourait le spectacle des deux larges fesses encore bien rouges étalées devant ses yeux, elle les palpa :
— Alors maman chérie, tu as honte de montrer ainsi tes fesses à ta grande fille n’est-ce pas ? Desserre-les mieux que ça, tu sais bien qu’il faut que momy voit bien ton petit trou. Allez !!
La main avait claqué sèchement la croupe d’Odile, celle-ci en gémissant écarta ses cuisses :
— Pardon momy, s’il te plaît…
Elle savait que c’était peine perdue, qu’elle devait subir sa punition sans rechigner, mais elle retrouvait ses accents de gamine quand Claudine la corrigeait. Laetitia souriait en écartant avec deux doigts les larges fesses :
— Oui ma chérie ? S’il te plaît quoi ? Tu ne veux pas que momy te prenne la température dans les fesses ? Tu es trop grande ?
— Non… non momy… Aïe.
La main avait à nouveau claqué l’épiderme enflammé :
— J’espère que tu ne crois pas ça ma chérie. Momy te prendra la température dans les fesses chaque fois que ce sera nécessaire, tu es d’accord ?
Odile était surprise de l’autorité naturelle de sa fille, elle avala sa salive :
— Oui, oui momy tu as raison.
— Tu n’es pas trop grande ?
— Non, non momy…
Laetitia claqua à nouveau les fesses de sa mère :
— C’est bien ce qui me semblait.
Elle tenait toujours les fesses écartées, elle savait la honte que devait ressentir sa mère à cet instant, elle passa son doigt au fond de la raie et titilla l’anus :
— Mamie te prends encore la température, elle me l’a dit, je sais aussi qu’elle t’a mis un suppo au gingembre. C’est vrai ?
Odile savait qu’il lui fallait répondre sous peine d’une nouvelle correction :
— Oui momy…
Elle serra légèrement les fesses, elle sentait le regard de Laetitia braqué dessus, une dizaine de claques atterrirent sur son fessier :
— Décidément tu as décidé de n’en faire qu’a ta tête ! Je te garantis que tu vas devoir changer d’attitude si tu veux pouvoir t’asseoir.
Odile gémissait doucement :
— Pardon momy, pardon, je n’ai pas fait exprès.
Laetitia se mit à rire :
— J’espère bien ma petite maman, mais tant pis pour toi, tu as gagné une petite fessée supplémentaire et une heure de pénitence.
Elle leva la main et se mit en devoir de claquer à nouveau le large fessier, ce ne fut qu’une petite fessée comme elle l’avait annoncé, mais sur un derrière déjà bien rouge c’était très douloureux pour la sévère mère de famille.
Elle gigotait, ses jambes battaient l’air, elle avait définitivement changé de statut, elle n’était plus qu’une gamine corrigée par une stricte momy. La jeune femme passa sa main sur la croupe écarlate :
— Tu as un très beau derrière, surtout quand il est bien rouge, tu vas obéir à momy maintenant ?
Odile avait les larmes aux yeux, autant de douleur que de honte :
— Oui, oui momy promis.
Laetitia écarta à nouveau les fesses avec deux doigts et posa l’embout du thermomètre sur la petite rondelle brune :
— Allez, on se décontracte, laisse-toi faire ma chérie.
Elle s’adressait à sa mère comme une maman à sa petite fille, c’était très perturbant pour Odile, mais le souvenir des deux corrections qu’elle venait de recevoir était encore cuisant. Elle relâcha ses muscles fessiers.
L’instrument médical pénétra doucement, Laetitia souriait ravie de l’humiliation de sa mère, elle sentit une excitation entre ses cuisses, elle avait été à bonne école, le thermomètre devait être rentré profondément pour qu’il ne bouge pas et que la punie le sente bien, elle relâcha les deux fesses :
— Voilà, il est bien en place maman chérie, tu vas le garder une heure, ça va t’apprendre à obéir à momy.
Elle claqua sèchement les fesses écarlates :
— Tu te lèves et tu serres bien les fesses !
Elle posa un coussin sur l’accoudoir du canapé et désigna l’endroit à sa mère :
— Tu te couches là et je ne veux plus t’entendre !
Docilement Odile prit place sur l’accoudoir, le coussin disposé sous son ventre surélevait sa croupe et la mettait en valeur. Laetitia remonta un peu la culotte, puis elle se recula pour contempler le spectacle offert par sa mère, ses larges fesses bien rouges serrées sur le petit bout de verre du thermomètre. Elle prit une photo pour sa collection et l’envoya à sa grand-mère avec une légende « maman découvre l’éducation traditionnelle ».
Elle contrôla sur son téléphone le comportement de ses deux grandes pupilles, Suzanne exposait toujours ses fesses rouges garnie du thermomètre, elle regarda sa montre, elle en avait encore pour une heure. Brigitte quant à elle, se dandinait d’un pied sur l’autre en serrant le manche du thermomètre entre ses fesses, elle jugea que la punition était suffisante :
— Je monte chez Brigitte, tu as intérêt à rester tranquille !
Elle entra doucement dans l’appartement de la professeure et s’approcha en silence, quand elle posa sa main sur sa croupe, Brigitte sursauta :
— C’est bien, tu as été sage, je lève ta punition.
Elle retira le manche du martinet et claqua le popotin rebondi :
— Tu peux te reculotter.
Il était temps de s’occuper de Chloé, elle redescendit et se dirigea vers la chambre de sa sœur. Elle était assise à son bureau, les fesses nues directement posées sur sa chaise, la culotte à mi-cuisse :
— A nous deux ma petite chérie, viens avec moi.
Elle avait saisi l’oreille de la jeune fille pour la faire se lever et elle l’entraîna vers le salon. En entrant dans la pièce, Chloé ne put retenir un petit cri en voyant sa mère dans cette humiliante position, Laetitia lui lâcha l’oreille :
— Eh oui, notre petite Odile n’a pas été sage, j’ai été obligée de sévir. Je pense qu’elle regrette amèrement son comportement, mais une heure à nous montrer ses fesses avec un thermomètre va lui permettre de réfléchir.
Elle s’était installée sur la chaise à fessée pour bien signifier à sa jeune sœur que désormais c’était elle qui « portait la culotte » dans la maison. Elle fit un petit signe et Chloé se retrouva dans une position qu’elle connaissait trop bien, mais aujourd’hui, elle était couchée sur une nouvelle paire de cuisses. Les fesses étaient déjà prêtes pour la correction, Laetitia décida de prendre son temps afin d’expliquer à la jeune fille la nouvelle situation :
— Comme tu vois ma chérie, les choses ont changé dans cette maison, à partir d’aujourd’hui c’est à moi que tu dois obéir. Je surveillerai tes notes, tes sorties enfin tout ce que faisait maman avant et je peux t’assurer que je serai aussi stricte. Odile sera soumise à la même discipline que toi, je te demanderai de me signaler tout manquement, tu y as intérêt, car les punitions seront communes si je m’aperçois que l’une de vous a fait une bêtise. Pour ce qui est de ta punition d’aujourd’hui, comme je te l’ai dit tout à l’heure quand tu seras punie à l’école ou chez Brigitte, tu sera punie à la maison et je doublerai chaque fois la punition. Tu vas recevoir une fessée maintenant et tu en recevras une avant de te coucher.
Après cette tirade, elle administra la correction prévue et Chloé se rendit compte qu’elle n’avait pas gagné au change, la main de Laetitia claquait aussi sèchement que celle de sa mère. Une fois relevée, elle fut envoyée au coin.
La jeune maîtresse contrôla à nouveau la webcam de Suzanne, les fesses de l’ex-gouvernante se tortillait légèrement, elle devait commencer à trouver le temps long. Elle décida d’être magnanime et de lui enlever le thermomètre un peu plus tôt.
Suzanne avait entendu la porte s’ouvrir, elle était angoissée de ne pas voir qui entrait dans la pièce, laetitia se mit à sourire en voyant les fesses se crisper sur le thermomètre qui dépassait de la raie fessière. Elle s’approcha de la vieille fille et lui tapota les fesses :
— Alors ma chérie, tu as bien réfléchi ? Tu ne vas plus protester quand momy Laetitia décide quelque chose.
Suzanne était soulagée de savoir que sa pénitence allait prendre fin, mais elle se méfiait quand même de la perversité de sa jeune maîtresse, elle répondit d’une petite voix :
— Oui mademoiselle, promis… Aïe, aïe…
La main de Laetitia avait administré une claque sur chaque fesse :
— À partir de maintenant tu vas m’appeler momy, comme Odile et Brigitte, ce sera plus simple.
— Oui, oui momy…
Satisfaite Laetitia écarta les deux fesses de sa grande fille et retira doucement le thermomètre :
— Tu peux te relever, tu es privée de culotte et ta jupe reste retroussée, je te rappelle que tu es punie et que tu iras au lit à vingt heures, je viendrai à dix-neuf heures trente pour te coucher, tu as intérêt à être en chemise de nuit quand j’arriverai, bien sûr tu peux préparer ton derrière, tu sais que je t’ai promis une fessée matin et soir pendant une semaine.
Au rappel de sa punition, Suzanne baissa la tête en rougissant, ce qui fit sourire Laetitia, elle tapota les fesses encore rosées :
— Tu en fais une tête, il fallait réfléchir avant ma petite chérie.
Elle regarda sa montre, il était dix-huit heures :
— Tu as encore une heure et demie pour faire refroidir tes jolies fesses.
Elle remonta chez elle, les deux punies n’avaient pas bougé, deux paires de fesses bien rouges illuminaient la pièce. Elle renvoya Chloé dans sa chambre, Odile était en pénitence depuis un peu plus d’une heure, elle la fit se relever en lui tirant l’oreille et s’installa sur la chaise à fessée :
— Viens un peu là ma grande.
Odile penaude ne protesta pas et s’installa sur les genoux de sa fille, les fesses étaient encore rouges, elles avaient reçu tellement de fessées depuis ce matin qu’elles avaient gardé une jolie couleur. Laetitia décida de prolonger son plaisir de dominatrice, elle fit coulisser le thermomètre :
— Alors tu vas obéir à momy maintenant ? Je vais te corriger encore un peu pour que ça rentre bien dans ta tête.
Odile gémissait doucement, mais se laissait faire, quel changement depuis ce matin. Soudain elle poussa un cri, elle recevait une nouvelle fessée. Laetitia se contenta de lui administrer une centaine de claques avec la main, puis elle retira le thermomètre et glissa sa main entre les cuisses de la dame de quarante ans. Ses doigts agiles s’insinuèrent jusqu’aux lèvres et glissèrent sur la vulve, elle était humide, un petit sourire glissa sur le visage de la jeune maîtresse :
— On dirait que ça ne t’a pas déplu ce petit séjour sur le canapé avec le thermomètre dans les fesses et mes fessées, on dirait que tu les apprécies ?
Sa main tapotait distraitement les fesses de sa mère, elle avait ressenti elle aussi une semblable excitation lors de punitions reçues de la main d’Odile. Elle n’était donc pas surprise, malgré la douleur et l’humiliation une bonne fessée déculottée et des fesses brûlantes provoquaient souvent ce genre de réaction chez la punie.
Odile ne répondit pas, elle était mortifiée, mais après toutes les corrections reçues depuis ce matin, elle était devenue docile et résignée. Elle savait que sa condition avait définitivement changé.
Laetitia la garda allongée sur ses genoux pour lui annoncer la suite du programme :
— Maman chérie, tu as très vilaine aujourd’hui puisque j’ai été obligée de te fesser et mamie également. Je vais donc appliquer ta méthode, tu iras au lit à vingt heures trente comme une gamine punie et je ferai en sorte que tu aies les fesses bien chaudes pour dormir. Demain matin tu recevras une fessée avant de partir au travail et j’espère que tu seras sage dans la journée sinon demain soir je recommencerai, tu es privée de culotte jusqu’au coucher.
Elle claqua une dernière fois les fesses de sa mère pour l’inciter à se relever, elle s’assura que l’ourlet soit toujours coincé dans la ceinture, les larges fesses de la mère de famille n’avait jamais autant pris l’air dans cet appartement. Une nouvelle claque sur sa croupe signifia à Odile qu’il était temps pour elle d’aller préparer le repas.
La soirée fut très active pour la jeune femme, elle distribua généreusement les fessées qu’elle avait annoncées. Dans l’ordre prévu, Suzanne puis Odile et enfin Chloé eurent droit à un passage sur ses genoux et se couchèrent toutes avec une paire de fesses bien rouge et cuisante.
Le lendemain elle arriva à la maison avec une pile de cahier à la couverture rouge, elle entreprit de les préparer, il y en avait un pour chacune de ses pupilles. Sur la première page elle inscrivit le prénom des six dames et jeunes femmes soumises désormais à son autorité, trois dames d’âge mûr et trois beaucoup plus jeunes. Sous chaque prénom, elle colla une photo des fesses rouges de la pupille en question. C’était très esthétique, elle se félicita intérieurement. Odile arriva juste quand elle terminait, elle l’accueillit en souriant :
— Coucou ma petite maman, ta journée s’est bien passée ? Regarde le petit cadeau que je t’ai apporté.
Elle lui tendit le cahier à couverture rouge sur lequel était inscrit « Carnet des punitions ».
— Tu peux l’ouvrir.
En rougissant, Odile s’exécuta, elle pinça les lèvres en voyant sous son prénom la photo de ses fesses écarlates. Laetitia la regardait en souriant :
— Elles sont mignonnes n’est-ce pas ? J’espère pour toi qu’elles resteront blanches ce soir. À ce propos, tu vas me les montrer.
Odile la regarda, interloquée :
— Mais… pourquoi ?
Laetitia la fixa le regard sévère :
— Ma petite maman, il va falloir que tu perdes l’habitude de demander pourquoi, c’est la dernière fois que je te le dis, la prochaine ce sera directement panpan cucul. Montre-moi tes fesses tout de suite !!
Paniquée, se souvenant de la soirée de la veille, Odile s’empressa d’obéir. Elle retroussa sa jupe, se retourna et se déculotta. Elle portait des bas autofixants et une culotte noire ornée de dentelle. Le tableau qu’elle offrait était vraiment sexy, ses deux larges fesses nacrées séparées par une raie profonde, la culotte noire baissée soulignant la blancheur du fessier. Laetitia savourait sa puissance, elle s’approcha et caressa la croupe tendue :
— C’est bien, j’espère que tu as retenu la leçon, pour cette fois je passe l’éponge, mais la prochaine fois, c’est directement sur mes genoux. Tu peux te reculotter.
Elle avait demandé ça juste pour confirmer à sa mère sa nouvelle condition. Elle continua ses explications :
— Tu inscriras sur ce cahier toutes tes punitions, sans en oublier, je vérifierai de temps en temps, si je m’aperçois que tu n’en as pas marqué une, tu recevras la même triplée. Tu noteras tous les détails, la position, l’instrument et le motif. Je veux également que tu rajoutes à chaque fois un petit commentaire pour me dire ce que tu as ressenti. Je relèverai les cahiers toutes les semaines pour Suzanne, Brigitte et toi ce sera le samedi, pour les trois jeunes ce sera le vendredi. Bien sûr si tu as été trop punie dans la semaine attends-toi à une sévère correction le samedi soir.
Odile écoutait bouche bée, jamais malgré sa stricte éducation elle n’aurait pensé à ça. Laetitia parlait calmement en souriant toujours :
— Bien, tu peux t’y mettre, n’oublie pas de noter les fessées que t’a administrée mamie.
Elle se souvint soudain d’Ingrid sa tante, elle aussi allait faire partie de ses pupilles, il faudrait qu’elle lui achète un cahier. Elle laissa sa maman à son travail et se rendit chez Brigitte puis chez Suzanne.
Les deux étudiantes eurent droit à sa visite le soir, par la même occasion elle contrôla leurs notes et bien sûr les deux jeunes femmes passèrent une partie de la soirée au coin avec des fesses bien rouges. Leurs cahiers étaient posés sur la table, ils allaient servir immédiatement après le temps de coin.
En rentrant elle vit le cahier d’Odile sur le buffet, elle le feuilleta, elle était curieuse de savoir ce que sa mère avait noté sur son ressenti.
« Dimanche :
Première fessée par maman sur ses genoux à la main : très mal aux fesses
Au coin 1/2 heure
Deuxième fessée par maman sur ses genoux à la brosse devant Laetitia : très sévère, j’ai eu très honte de recevoir cette fessée devant ma fille
Troisième fessée par momy, sur ses genoux, double fessée à la main puis à la brosse : fessée très sévère, quelle honte de recevoir une fessée déculottée par sa fille.
Au coin avec le martinet entre les fesses : très long
Quatrième fessée avant le thermomètre sur ses genoux à la main puis thermomètre pendant une heure : très long et humiliant
Cinquième fessée avant de m’enlever le thermomètre sur ses genoux à la main : très mal aux fesses
Sixième fessée juste avant d’aller au lit, sur ses genoux avec la brosse : fesses brûlantes toute la nuit.
Laetitia souriait en refermant le cahier, sa petite maman n’avait oublié aucune des punitions reçues, ça en faisait beaucoup pour un premier jour, mais après tout, elles étaient toutes méritées. Elle était satisfaite des annotations concernant le ressenti, elle avait eu envie de rire en lisant l’expression « très mal aux fesses », c’est fait pour ça la fessée ma chérie avait-elle pensé.
Elle jeta un œil dans la cuisine, Odile préparait le repas, ce soir elle n’était pas cul nu comme la veille. Elle lui indiqua qu’elles dîneraient après vingt heures, car elle devait aller coucher Suzanne, devant le regard étonné de sa mère, elle précisa :
— Oui, je sais que c’est tôt, mais elle est punie. Pendant une semaine, coucher à vingt heures et une bonne fessée déculottée le matin et une autre avant d’aller au lit. Voilà ce qui arrive quand on conteste les décisions de momy, tâche de t’en souvenir.
Au cours du repas, elle expliqua comment elle entendait la nouvelle organisation de la maison et les sanctions en cas de désobéissance. Chloé trouva sa sœur encore plus exigeante que sa mère, mais que dire d’Odile qui devant sa plus jeune fille s’était vue reléguer au rang de gamine et menacer de fessée cul nu en cas de manquement aux règles :
— Pour ce qui est du coucher, Chloé tu iras au lit à vingt et une heures trente en semaine et vingt-deux heures le week-end.
La jeune fille ouvrit la bouche pour protester, mais le regard sévère de sa grande sœur l’incita à la prudence, Laetitia s’était tournée vers sa mère, celle-ci s’attendait au pire, elle ne fut pas déçue :
— Quant à toi maman chérie, tu iras également au lit à vingt et une heures trente en semaine, je te trouve un peu fatiguée, tu as besoin de dormir. Pour le week-end, je déciderai en fonction de ton comportement de la semaine à toi d’être sage si tu ne veux pas goûter au coucher à vingt heures comme Suzanne.
mardi 7 janvier 2025
Deux étudiantes 27
Julie
Julie était grande, blonde avec des formes, une magnifique poitrine et évidemment, ce qui intéressait le plus sa nouvelle copine, elle était dotée d’une belle paire de fesses qu’elle mettait en valeur en portant des jeans serrés.
En discutant dans un bar dès le premier jour de leur rencontre, Laetitia l’avait félicité pour cette croupe avantageuse et avait ajouté en riant :
— Tu devrais quand même faire attention, un joli derrière comme le tien ça attire la fessée.
Julie avait répondu en riant également :
— Ah oui ? Tu me la donnerais ?
Elle était assise au fond du café, une demi cloison séparait leur table des autres, Laetitia s’était levée et avait saisi l’oreille de sa nouvelle petite amie :
— Et comment ! Regarde !
Julie avait été obligée de se lever en gémissant :
— Aïe… Aïe ;
La main de la jeune femme avait claqué rapidement la croupe arrogante moulée dans le jeans.
— Tu vois, c’est facile, ça c’est juste un apéritif ma chérie, tu verras quand on sera tranquille, tu vas en recevoir une autre, mais déculottée cette fois.
Puis elle avait relâché l’oreille de Julie et s’était rassise en riant. La jeune fille en rougissant s’était frotté le derrière, c’était charmant.
Quelques jours plus tard elle s’était retrouvée dans la chambre d’étudiante de Julie et Laetitia avait pris l’initiative :
— Bon c’est pas tout ça ma petite chérie, mais il va falloir que tu me montres tes fesses.
Julie se mit à rire et minauda le rouge aux joues :
— Olala, comme tu y vas… Directement cul nu ?
Laetitia souriante, planta ses yeux dans les siens :
— C’est très simple, ou tu te déculottes et tu n’auras qu’un petit panpan cucul, ou c’est moi qui te baisse la culotte et ça sera une vraie fessée déculottée.
Malgré son sourire, Julie comprit que sa petite amie ne plaisantait pas, elle avait une bonne expérience des châtiments corporels puisqu’elle avait été scolarisée jusqu’au bac dans une institution religieuse stricte. Les punitions telles que la fessée ou la mise au piquet les fesses à l’air même si elles n’étaient pas systématiquement appliquées étaient quand même utilisées régulièrement à l’internat par les surveillantes.
Elle avait eu ses premiers émois sexuels en assistant à la fessée déculottée d’une fille de son dortoir. La pionne était particulièrement vicieuse, elle avait installé sa chaise au milieu du dortoir, puis elle avait couché la fautive sur ses genoux en demandant aux autres filles de bien regarder comment elle déculottait une vilaine fille. La pauvre avait subi en pleurant l’humiliante mise à nu de son derrière, la fesseuse avait pris son temps pour descendre lentement la culotte du pyjama, puis elle avait forcé la jeune fille à écarter ses cuisses. La vue de la vulve gonflée puis les claques qui s’abattaient sur le tendre fessier avait excité Julie. La fessée avait été magistrale et la punie avait dû rester ensuite le nez contre le mur, les fesses rougies exposées à la vue de tout le dortoir pendant une demi-heure.
Pendant le premier trimestre, la pionne avait déculotté et fessé pratiquement toutes les filles du dortoir et bien sûr Julie avait subi également l’humiliante mise à nu de ses rondeurs en public. À sa grande surprise malgré la honte et la douleur, elle avait ressenti en plus de la cuisson de son derrière une délicieuse excitation entre ses cuisses.
La surveillante avait dû s’en rendre compte d’ailleurs car Julie avait remarqué que sous prétexte d’écarter les cuisses des punies sa main glissait toujours sur l’intimité des jeunes filles. Elle n’y avait pas échappé et quand la jeune femme était venue la délivrer du coin, elle lui avait elle-même remonté la culotte et glissé à l’oreille « ça à l’air de te plaire petite cochonne ».
Au cours des deux autres trimestres, elle avait été la plus fréquemment punie, au moins une fois par semaine elle présentait sa jolie croupe bien rouge à ses camarades.
Souvent après cette cuisante punition, elle se glissait dans le lit de sa voisine qui la consolait avec des caresses et des léchouilles appropriées.
L’annonce par Laetitia d’une petite fessée n’était donc pas pour lui déplaire, elle décida de la provoquer :
— J’aimerais bien voir ça.
Lui lançât-elle avec un regard coquin.
La jeune dominatrice n’en demandait pas tant. En un clin d’œil elle fondit sur sa petite amie :
— C’est tout vu ma chérie, mais je t’aurai prévenue.
Elle avait saisi sa copine par la ceinture du jean et l’avait immédiatement déboutonné puis descendu jusqu’aux genoux. Julie était maintenant debout devant elle en petite culotte, elle n’avait pas résisté. Laetitia lui prit la main et la guida pour qu’elle se couche sur ses cuisses :
— Tu veux que je te déculotte vilaine fille ? Ça sera donc une vraie fessée.
La lingerie avait glissé sur l’orgueilleux fessier, laetitia avait souri en voyant les fesses se contracter légèrement « Ma petite chérie tu as vraiment un joli cul, compte sur moi pour m’en occuper »
La main caressa lentement les rondeurs de Julie puis sans prévenir, elle asséna une formidable claque sur la fesse droite suivi immédiatement de la même sur la fesse gauche. La jeune femme hurla :
— Aïe, aïe… Non mais ça va pas !!
Elle chercha à se relever et posa sa main sur son derrière pour le protéger. Ce fut peine perdue, Laetitia était devenue une experte en fessée, elle la ceintura fermement pour la maintenir en place, coinça son bras avec sa main gauche et continua la correction :
— Ça va très bien ma chérie, je t’avais prévenue, ce sera une vraie fessée.
Julie reçut ce jour-là sa première vraie fessée déculottée, ce ne serait pas la dernière. Une fois qu’elle lui eut mis une jolie culotte rouge sur les fesses, Laetitia l’entraîna pour des ébats pour le moins torrides. Alors qu’elles étaient couchées sur le lit, la jeune maîtresse tout en caressant les fesses brûlantes de sa petite amie lui annonça :
— Eh bien ma chérie, s’il te faut avoir le derrière bien rouge pour jouir, crois-moi tu auras souvent chaud aux fesses.
À partir de ce jour, Julie eut l’interdiction de porter des jeans ou tout autre pantalon, Laetitia lui avait dit en riant :
— Ça met bien en valeur ton joli cul, mais ce n’est pas pratique pour administrer une bonne fessée déculottée.
Bien sûr la jeune femme suivait au jour le jour les progrès de sa maîtresse dans la prise en main de l’immeuble. Elle avait pu visionner les vidéos de fessée que faisait Laetitia et elle se régalait de l’album de photos de celle-ci où les fesses bien rouges se succédaient.
Laetitia lui avait promis qu’un jour elle assisterait à la correction de l’une de ses pupilles.
Elle l’avait donc invité chez Suzanne, elles seraient tranquilles, elle était la seule à déculotter et à fesser la vieille fille, alors que chez Brigitte ou chez les deux chipies, sa mère pouvait survenir à l’improviste.
L’ex-gouvernante avait été surprise et gênée que sa maîtresse soit accompagnée par une jeune femme du même âge qu’elle. Cependant les souvenirs cuisant que Laetitia avait laissé sur ses fesses l’incitèrent à faire comme prévu à chaque visite de la jeune femme.
En rougissant elle se tourna et sous le regard ébahi de Julie elle retroussa sa jupe, Laetitia était fière de montrer son pouvoir à sa petite amie, elle souriait en regardant la culotte en dentelle blanche, tendue sur la croupe de la dame de soixante-cinq ans :
— Tu vois comme ma petite Suzanne est devenue obéissante, mais elle n’a pas tout à fait fini. N’est-ce pas ma petite chérie ?
Elles ne pouvaient pas voir les joues de la dame soumise, elles étaient de la couleur de ses fesses après un passage sur les genoux de sa jeune maîtresse, elle répondit d’une petite voix :
— Oui mademoiselle.
Puis elle glissa ses deux pouces dans la ceinture de sa fine lingerie et la fit glisser sur ses rondeurs. Julie ne perdait pas une miette du spectacle, bien sûr sa petite amie lui avait expliqué comment elle soumettait ces dames d’âge mûr, mais le voir pour de vrai était vraiment surprenant et très excitant.
Les fesses nacrées étaient maintenant parfaitement exposées, contractées par la honte, la culotte était baissée juste sous la croupe. Laetitia s’approcha et tapota le derrière :
— C’est bien ma chérie, tes jolies fesses sont très mignonnes, je suis sûr que Julie apprécie.
La jeune femme avait les yeux brillants d’excitation, elle s’approcha et posa sa main sur le fessier. Surprise, Suzanne se releva légèrement, mal lui en prit, sa jeune maîtresse lui administra deux claques très sèches :
— Depuis quand as-tu l’autorisation de bouger quand on examine tes fesses ? Va te mettre au coin.
Elle se tourna vers son amie :
— Tu peux aller l’installer, je crois que tu sais comment faire.
Julie se mit à rire :
— Oh oui, une vilaine fille qui expose ses bonnes grosses fesses au coin, je connais.
Elle suivit Suzanne qui se dirigeait vers le mur, elle lui retroussa la jupe et lui claqua les fesses :
— Allez on se dépêche !
L’ex-gouvernante posa son nez contre le mur pendant que la jeune femme coinçait l’ourlet de la jupe dans la ceinture, elle baissa un peu plus la culotte et claqua à nouveau le derrière dénudé :
— Mets tes mains sur ta tête !
Elle était passé naturellement au tutoiement sans aucun égard pour l’âge de la dame. En même temps, celui-ci n’avait aucune importance puisque la dame en question exposait ses fesses nues et qu’une cuisante correction s’annonçait.
Laetitia était comme chez elle. Elle alla chercher de quoi boire et s’installa dans le canapé :
— Regarde-moi ce joli derrière, c’est quand même agréable.
Julie attendait avec impatience la suite, elle fixait intensément la croupe de cette dame mature, traitée par sa copine comme une gamine, jamais elle n’aurait pu imaginer qu’une telle chose soit possible. Laetitia la regardait en souriant :
— On dirait que la suite te tarde ?
Julie sursauta et rougit légèrement :
— Ben, c’est-à-dire que quand on est au coin le derrière à l’air, normalement il est rouge. Tu la fesses souvent ?
La jeune maîtresse la regarda avec un air coquin :
— C’est vrai que tu as une certaine expérience de la chose, mais attendre ainsi cul nu fait partie de la punition. Madame est en train de réfléchir à ce qui va lui arriver et puis présenter son derrière à une inconnue n’est jamais très agréable.
Elle se décida enfin à satisfaire sa petite amie :
— Suzanne, vient un peu me voir, nous devons avoir une petite conversation.
L’ex-gouvernante redevenue une jeune bonne grondée par sa maîtresse se présenta devant les deux amies confortablement installées, elle avait gardé ses mains sur sa tête, laetitia la regardait avec son air pervers qui ne lui disait rien de bon :
— Tu peux baisser tes mains. Julie voudrait savoir combien de fois je t’ai donné la fessée déculottée depuis le début de la semaine ?
Suzanne baissa les yeux en rougissant à nouveau, quelle humiliation que de reconnaître devant cette très jeune femme qu’à soixante-cinq ans elle recevait encore ce châtiment enfantin. Elle était à portée de main de sa jeune maîtresse, la main de celle-ci claqua la cuisse :
— Dépêche-toi, tu sais très bien que ça m’agace quand tu ne réponds pas !
— Oui, oui, pardon mademoiselle Laetitia, huit fois…
On était jeudi, Julie se tourna vers son amie :
— Mazette, ça fait plus d’une fessée par jour.
Laetitia se mit à rire :
— Ça c’est sûr, madame a besoin d’avoir très souvent les fesses rouges, on dirait qu’elle aime ça.
Elle fit un petit signe à sa pupille :
— Tourne-toi !
Elle tendit la main et pinça le gras de la fesse de la dame :
— Il y a de quoi claquer et puis regarde comme elles sont devenues fermes depuis que je m’en occupe. On ne dirait pas les fesses d’une dame de soixante-cinq ans.
Julie tendit la main également pour caresser la croupe de Suzanne, ses yeux brillaient. Laetitia la regarda avec un air coquin :
— Tu aimerais t’en occuper n’est-ce pas ?
La jeune femme la regarda avec de grands yeux :
— Ça c’est sûr. Tu voudrais bien ?
— Je crois que madame a besoin de connaître une autre main, elle a déjà eu droit à une fessée publique devant Brigitte, mais ce n’est sans doute pas suffisant puisqu’elle continue à faire des bêtises.
Suzanne ne disait rien, mais ça bouillonnait à l’intérieur, elle tournait le dos aux deux jeunes femmes qui se régalaient de la vue de son fessier, cette petite Julie qui avait tout juste vingt ans allait lui administrer une fessée, son éducation continuait, des larmes lui vinrent aux yeux. Soudain des doigts saisirent son oreille :
— Viens un peu par là ma chérie.
C’était la voix de Julie, elle était grande et elle se fit un malin plaisir à tirer l’oreille de Suzanne vers le haut forçant quasiment celle-ci à marcher sur la pointe des pieds :
— Aïe, aïe…
De sa main libre elle accompagna la marche de sa victime en lui administrant quelques claques bien fermes sur le derrière dénudé, puis elle saisit une chaise qu’elle disposa devant le canapé :
— Allez en position ma petite !
C’était assez curieux de voir cette jeune femme traiter de cette manière une dame aux cheveux blancs qui aurait pu être sa grand-mère. Elle lui avait lâché l’oreille pour la faire basculer en travers de ses cuisses. Suzanne eut le temps d’apercevoir Laetitia qui avait sorti son téléphone et qui filmait la scène.
Elle était maintenant couchée sur les genoux d’une nouvelle maîtresse, les fesses parfaitement exposées, elle connaissait parfaitement cette position, Laetitia tapotait souvent ses cuisses pour lui indiquer qu’il était temps de recevoir sa fessée.
Elle sentit les doigts de Julie s’insinuer entre ses fesses, la jeune femme était lesbienne et explorer l’intimité de cette dame était une expérience vraiment excitante, elle sourit en découvrant l’humidité de la vulve de la punie, elle regarda sa petite amie :
— Je commence à comprendre pourquoi madame fait autant de bêtises, elle doit aimer se faire rougir le derrière.
Laetitia s’approcha et écarta sans façon les fesses de la dame de soixante-cinq ans :
— Ah oui ? C’est du joli ! Eh bien puisque c’est ça, tanne-lui bien les fesses, ça va la calmer !
Julie n’avait pas souvent donné la fessée, c’était elle en général qui présentait sa croupe, mais elle savait comment faire. Elle prit la main de Suzanne pour lui coincer dans le dos et bien la maintenir puis elle leva la main droite et commença à corriger ce beau derrière de dame mature. Soudain elle se rendit compte que c’était vraiment très agréable et même excitant de voir ses jambes battre l’air et les fesses se contracter sous la brûlure des claques, rapidement les gémissements de Suzanne se transformèrent en supplication et bientôt en pleurs. Julie était grande et sportive et elle avait de la poigne, l’ex-gouvernante allait se souvenir longtemps de cette première correction. Quand elle fut remise sur ses pieds par sa fesseuse, celle-ci lui désigna Laetitia :
— Va montrer tes fesses à ta maman, elle verra comme elles sont bien rouges.
Les joues baignées de larmes, autant de honte que de douleur, la punie s’exécuta et elle se pencha pour présenter son fessier écarlate à sa sévère maîtresse, celle-ci les caressa et glissa ses doigts entre ses cuisses :
— Voilà un derrière cuit à point, j’espère que ça va te calmer mademoiselle la dévergondée ! Puisque tu as l’air d’aimer ça et bien je t’annonce que Julie à l’autorisation de te flanquer la fessée déculottée chaque fois que tu l’auras méritée.
Elle claqua sèchement le derrière empourpré :
— Maintenant tu files au coin et je ne veux plus t’entendre, si ça te brûle trop, tu pleures en silence !
Julie était aux anges :
— C’est vrai ? Je peux la déculotter et lui rougir les fesses ?
— Bien sûr ma chérie, tu sais j’ai quatre paires de fesses à ma disposition, sans compter celle de ma petite sœur et les tiennes. Elles ont toutes besoin d’être régulièrement corrigées, il y a des jours où je ne m’en sors pas, de temps en temps je ferai appel à toi. Pour ce qui est de Suzanne, comme elle a besoin d’être bien tenue en main, je pense que tu t’en occuperas très souvent.
Julie sauta au cou de sa petite amie :
— Oh merci, tu es vraiment chou, tu me fais un super cadeau.
Elle se leva et se dirigea vers la dame en pénitence les fesses à l’air et lui tapota la croupe brûlante :
— Tu as entendu ma petite chérie maman Julie va bien s’occuper de ton derrière, tu vas voir comme je vais te le faire danser. Tu as intérêt à être bien sage.
Laetitia regardait avec gourmandise les fesses bien rouges de sa grande fille de soixante-cinq ans et le popotin rebondi moulé par la mini-jupe crayon de sa petite amie, il ne fallait pas que celle-ci pense que sa situation avait changé :
— Chérie, viens un peu me voir.
Julie se retourna en souriant, mais le regard de Laetitia ne lui disait rien qui vaille.
— Dis-moi, tu trouves normal que Suzanne m’ait présenté gentiment ses fesses pendant que toi tu gardes ta culotte ?
Le sourire de la jeune femme se figea, décidément Laetitia n’était jamais à court d’imagination, son doigt lui faisait signe d’approcher et de se tourner, elle adorait faire obéir ses pupilles sans avoir à parler ou très peu, Julie n’y échappait pas.
Elle présenta son fessier à sa petite amie, celle-ci glissa ses doigts sous la jupe et palpa les fesses rebondies :
— Alors ma chérie, qu’en penses-tu ?
Julie minauda et tortilla un peu sa croupe :
— Ben, euh… Tu crois… Je…
Laetitia pinça la fesse droite :
— Tu te déculottes et vite !!
Julie rougit, elle hésita un peu trop au goût de sa sévère petite amie :
— Ah c’est comme ça que tu obéis et bien tu vas voir !
Elle s’était levée avait coincé sa petite amie sous son bras. Elle troussa sa jupe et lui baissa rapidement la culotte sous les fesses. Une centaine de claques eurent vite fait de rougir le derrière tendu. Julie criait et piétinait sur place, mais ses fesses n’échappaient pas à la main de Laetitia. Elle cessa la fessée et remonta la culotte :
— Tu as compris ? Quand je te demande quelque chose tu dois le faire immédiatement, sinon c’est panpan cucul.
Julie avait les joues aussi rouges que ses fesses, elle acquiesça :
— Oui… Pardon…
Laetitia la regarda en souriant :
— Oui miss ! Chaque fois que je te punirai, tu devras m’appeler comme ça et me remercier. J’attends !!
Julie ouvrit des yeux ronds, décidément sa chérie n’était jamais à court d’idées perverses, ses fesses brûlantes l’incitèrent à obéir :
— Merci… Miss…
— Parfait, maintenant tu te tournes et tu te déculottes !
Les jolies fesses de Julie moulées dans sa petite culotte étaient vraiment mignonnes, on les devinait crispées sous la fine lingerie, un peu de rouge débordait sur le pli fessier. La jeune femme glissa ses pouces sous l’élastique et baissa sa culotte sous ses fesses, comme l’avait fait Suzanne auparavant.
— Déculotte-toi mieux que ça ! Descends là un peu plus !
L’ordre avait claqué en même temps que la main sur les fesses dénudées, la jeune femme baissa sa culotte jusqu’aux genoux. La jupe étroite tenait toute seule et ne masquait pas les fesses :
— Mets tes mains sur la tête ! Et va te mettre à côté de Suzanne.
Julie se dirigea à petit pas vers le mur et se plaça à côté de la dame qu’elle venait de corriger. Laetitia souriait, se régalant du spectacle de ces deux belles paires de fesses, l’une plus ferme que l’autre et encore blanche, l’autre bien rouge qui se contractait pour atténuer la cuisson. Elle fit une photo et laissa ainsi ses deux punies en pénitence.
Elle savoura cet instant, un sentiment de puissance l’habitait. Elle glissa sa main dans sa culotte et sans se soucier des deux dames qui le nez collé au mur, exposait leurs fesses nues, elle se caressa.
Bien sûr le derrière de Julie ne resta pas blanc très longtemps, quelques minutes plus tard elle braillait et gigotait, couchée en travers des cuisses de sa petite amie. Elle goûta même à la brosse à cheveux pour faire bonne mesure et lui faire comprendre que même si elle avait gagné le droit de fesser Suzanne, ses fesses n’étaient pas à l’abri.
vendredi 3 janvier 2025
Bonne année et bonne fessée
Comment ne pas commencer l’année par une bonne fessée déculottée…
C’était tellement évident…
Au douze coups de minuit, j’étais déjà couchée sur ses genoux, ma jupe courte et évasée retroussée bien haut sur mes reins et ma culotte descendue à mi-cuisse.
A onze heures cinquante, elle m’avait fait un petit signe, j’avais rougi, je savais ce que je devais faire. J’ai été chercher la brosse à cheveux dans la salle de bain et je suis revenue. Je lui ai tendu en essayant de ne pas croiser le regard de mes deux amies qui regardaient avec attention cette dame de soixante-dix ans rougissante devant sa jeune maîtresse de vingt-cinq ans.
Caroline a reculé sa chaise et tapoté ses cuisses, je savais que c’était l’endroit qui m’était destiné.
— En position madame !
Elle avait dit ça en souriant, comme s’il était normal qu’une dame de mon âge reçoive encore la fessée comme une gamine.
Je me suis donc couchée en travers de ses genoux, la tête près du sol, le fessier pointé vers le ciel, dans cette position humiliante que je connais si bien.
Agnès et Julie souriaient également, la première est une amie allemande grande amatrice de fessée, la deuxième est la mère de Caroline, elle lui a appris comment administrer ce châtiment honteux et celle-ci est devenue une spécialiste, au point que même sa mère est maintenant soumise à sa stricte discipline.
Au moment où ma jupe se retroussait, j’ai entendu la voix d’Agnès, elle s’adressait à Julie :
— Tu ne vas pas laisser Sylvie toute seule pour bien commencer l’année, viens un peu là.
En tournant la tête, j’ai vu la maman de Caroline se lever et docilement se coucher elle aussi sur les cuisses d’Agnès.
La pendule indiquait onze heures cinquante-cinq, la jupe de Julie s’était également envolée sur ses reins, deux dames d’âge mûr exposaient maintenant leurs derrières culottés.
Caroline tapotait ma croupe, je savais que les minutes qui allaient suivre seraient cuisantes.
— Il faut solder l’année 2024 et bien entrer dans l’année 2025 ma chérie.
J’ai senti les doigts de ma jeune maîtresse s’insinuer sous ma culotte et l’air frais sur mon derrière, j’ai jeté un regard sur le côté et j’ai vu les fesses blanches de Julie apparaître également. Pour marquer la solennité de l’instant, Caroline s’appliqua à me déculotter complètement en descendant ma petite culotte jusqu’aux genoux. Celle de Julie suivit le même chemin.
La soirée avait été parfaite jusqu’à présent, nous avions bien mangé et bien rit aux récits des fessées qu’Agnès et Caroline administraient généreusement par ci par là, j’aurais du me douter de la suite. Maintenant j’étais là les fesses à l’air bien présentées et je n’en menais pas large, le verdict tomba :
— 2025 claques, ça me parait correct n’est-ce pas Agnès ?
Julie se mit à gémir et à protester :
— Oh non… c’est trop… Aïe…
La main d’Agnès venait de lui claquer sèchement la croupe :
— Tais-toi vilaine fille, ce n’est pas à toi de décider, si je t’entends encore protester ce sera 2025 sur chaque fesse.
Caroline c’est mis à rire :
— Tu vas avoir du mal à t’asseoir demain ma petite maman.
Puis elle s’est adressée à mon amie allemande :
— Tu as raison d’être sévère avec elle, il lui faut toujours avoir les fesses bien rouges pour qu’elle reste tranquille. As-tu une brosse à cheveux ?
— Bien sûr, c’est un accessoire qui ne quitte jamais mon sac à main.
Caroline continuait à me caresser les fesses, sa main était douce, mais je savais que ça n’allait pas durer.
— On va faire des séries de 100 claques, après la dixième on les mettra au coin pour faire refroidir les fesses et on reprendra pour le reste ensuite.
Agnès approuva juste au moment où la pendule commençait à sonner. La fessée débuta immédiatement.
Caroline donnait le rythme, j’ai essayé de compter au début, mais je me suis vite embrouillée, ça brûlait trop. C’est Agnès qui a annoncé :
— Voilà 100 claques, leur derrière est bien échauffé, on va prendre la brosse pour la deuxième.
Julie a hurlé tout de suite, moi j’ai essayé d’être stoïque, mais ça n’a pas duré et à la fin de la deuxième série nous pleurions toutes les deux.
Quand Caroline a posé la brosse sur mes reins j’ai un peu soufflé, mais la troisième série avec la main a été tout aussi cuisante. Les pleurs n’ont plus cessé tout au long des autres séries, mes fesses n’étaient plus qu’une boule de feu.
Enfin Agnès a annoncé triomphalement :
— Voilà, nous y sommes, dix séries… Ces petites fesses sont vraiment ravissantes avec leurs jolies culottes rouges.
Elles nous ont fait relever et comme deux gamines punies, nous avons été conduites au coin tenues par l’oreille.
— Une demi-heure le nez contre le mur, réfléchissez bien à toutes les bêtises que vous avez faites en 2024.
C’était toujours Caroline du haut de ces vingt-cinq ans qui dictait la suite des événements. Elle s’adressa à Agnès :
— On va boire une coupe de champagne, ça m’a donné soif. Elles sont vraiment mignonnes avec leur petit cul bien rouge.
Agnès c’est mis à rire :
— C’est vrai, mais je n’aime pas ce mot, je préfère, derrière ou popotin et puis tu es gentille, ils ne sont pas si petits que ça leurs derrières, moi je trouve qu’elles ont un bon gros popotin aussi bien l’une que l’autre.
Avec Julie on avait le nez collé contre le mur, nos fesses nous brûlaient et on devait supporter sans rien dire les railleries de nos deux maîtresses.
D’habitude quand je suis au coin après une bonne déculottée, je trouve le temps long, mais quand Caroline a annoncé « en piste pour la deuxième série », j’ai trouvé que la demi-heure avait passé bien vite.
On s’est retrouvée à nouveau toutes les deux en position disciplinaire sur les genoux de nos « mamans », Caroline a annoncé :
— Vous avez soldé 2024 avec votre première fessée, maintenant vous allez en recevoir une pour préparer 2025. Dix séries de 100 pour commencer, on verra pour les vingt-cinq derniers.
La correction a repris, nous avons pratiquement pleuré instantanément, cette fessée sur des fesses déjà cuisantes était vraiment douloureuse. Après la cinquième série, Agnès a eu pitié de nos derrière :
— On va finir seulement avec la main, je ne voudrais pas abîmer les jolies fesses bien dodues de ta maman.
Caroline acquiesça en riant :
— Tu as raison, il faut qu’elles puissent encore servir, il y a 365 jours en 2025.
La punition a donc continué par des claques sur nos croupes brûlantes, en tournant la tête, je pouvais voir la couleur du fessier de Julie, il était cramoisi,
le mien devait être de la même couleur, soudain Caroline s’est attaquée à l’arrière de mes cuisses, je n’ai pas pu m’empêcher de crier et de battre des jambes comme une folle ce qui a bien fait rire les deux fesseuses.
— Quel spectacle ma chérie, tes fesses nous offrent vraiment une jolie danse, mais maintenant ça suffit cesse de gigoter, sinon la fessée va être prolongée.
La maman de Caroline pleurait comme une madeleine pendant qu’Agnès s’occupait de lui rougir également l’arrière des cuisses et la base des fesses.
Enfin la sévère allemande annonça :
— Eh bien nous y voilà 2000, il nous reste à clôturer cette année par les vingt-cinq derniers. Tu as une idée ?
Nous étions affalées en pleurs sur les genoux de nos mamans, la suite ne nous importait plus, tellement nous avions mal au derrière, mais en entendant le mot martinet, mes fesses se sont serrées. Agnès approuva :
— Très bonne idée, vingt-cinq coups sur ces popotins bien échauffés, ça va les faire réfléchir. Allez, debout !
Agnès avait toujours un martinet dans son sac, elle l’a sorti, Caroline est allé décrocher celui qui est toujours suspendu dans la cuisine, puis elle a désigné le canapé :
— Vous vous allongez chacune sur un accoudoir qu’on voie bien vos jolies fesses.
On s’est exécutée, j’ai jeté un œil vers la glace, nos fesses pointaient vers le haut semblant quémander la punition. Ça n’a pas traîné, Caroline avait annoncé :
— Vingt-cinq et vous comptez !
Les cris ont fusé en même temps que les lanières cinglaient nos derrières, je me suis forcée à compter bien fort « Un !! »
Les vingt-cinq coups ont été administrés sans faiblesse, puis elles nous ont laissé couchées les fesses en l’air pendant qu’elle dégustait une énième coupe de champagne.
Caroline était contente de m’avoir administré cette magistrale fessée, mais elle voulait également s’occuper de sa mère pour bien lui faire comprendre la nouvelle répartition des rôles. Elle se tourna vers Agnès :
— On leur prend la température ?
Mon amie allemande s’est mise à rire :
— Bonne idée.
Caroline a désigné les fesses écarlates de sa mère :
— Je crois qu’il faut que je m’occupe de ma petite maman.
Elle a été chercher deux thermomètres dans la salle de bain, j’avais entendu la conversation et je savais que nous n’allions pas échapper à cette ultime humiliation. Quand Agnès m’a saisi par l’oreille pour me relever, j’étais résignée. Je me suis retrouvée à nouveau couchée en travers de ses cuisses, Julie avait subi le même sort, sauf que c’était encore plus honteux pour elle, elle exposait ses fesses rouges à sa fille.
J’ai senti les doigts d’Agnès écarter ma raie, je déteste ce moment où ma maîtresse a une vue parfaite sur mon intimité et cette petite rondelle brune qu’habituellement je ne montre à personne.
L’embout de l’instrument médical a commencé à forcer mon petit trou, je sais qu’il ne faut pas serrer les fesses sous peine de sanction, je m’efforçais de me décontracter, quand j’ai entendu le bruit d’une claque et un cri :
— Qu’est-ce que c(est que ces manières, je vais t’apprendre.
Une fessée crépita dans la pièce et les pleurs de Julie redoublèrent. Elle fut rapide mais certainement cuisante pour les fesses de la pauvre maman ramenée au rang de gamine fessée :
— Maintenant tu desserres les fesses et gare à toi si tu recommences !
Pendant la correction de Julie, Agnès avait interrompu l’introduction du thermomètre, elle le tenait à moitié enfoncé. Elle le poussa à nouveau, quand il fut en place elle me tapota les fesses :
— C’est bien tu es mignonne. Je te félicite Caroline, ta petite Sylvie est bien élevée.
Ma jeune maîtresse avait fini d’introduire l’instrument entre les fesses de sa mère, elle lui claqua sèchement la croupe :
— Oui, ce n’est pas comme madame, mais je te garantis qu’elle va apprendre à obéir !
Elle administra à nouveau une claque sur chaque fesse de sa mère :
— Ma petite maman, tu viens de gagner une fessée tous les soirs pendant une semaine et le thermomètre toute la soirée pendant une semaine également. Comme ça, tu vas bien commencer l’année.
Elle se mit à rire et palpa les larges fesses écarlates de sa « grande fille » en regardant Agnès :
— Effectivement, elle a un bon popotin, on peut lui flanquer la fessée sans crainte.
Nous sommes restées un quart d’heure avec le thermomètre dans les fesses, puis nous avons eu l’autorisation de nous relever, mais pas de nous reculotter.
Nous avons donc fini la soirée cul nu et nous sommes allées au lit avec un derrière bien rouge et bien chaud.
Vraiment une magnifique soirée de la Saint-Sylvestre.
Deux étudiantes 29
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