Joyeux noël 🎅
Une bonne fessée déculottée pour finir l'année, il n'y a pas d'âge pour recevoir une fessée cul nu.
Sylvie l'a cherché toute l'année
🍑🍑🍅🍅🔥🔥
Voilà le résultat 😭😭
Passez de bonnes fêtes.
Vive la fessée déculottée
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Fessée pour une maman
En sortant de chez Suzanne, Laetitia était très en forme, la
soirée s’annonçait bien, sa chère maman allait devoir lui
présenter ses fesses. Elle devait être inquiète après l’épisode
chez Claudine. Elle décida de la faire attendre, elle lui envoya par
WhatsApp la vidéo qu’elle avait faite lors de la fessée à la
brosse que lui avait administrée sa mère, elle ajouta une petite
légende « Qu’en penses-tu maman chérie ? ».
Puis elle décida de faire un détour chez Brigitte, elle ne sonna pas bien sûr, la professeure donnait un cours à Chloé, comme elle en avait pris l’habitude celle-ci était les fesses à l’air. Elle était debout, le dos tourné et la couleur de son derrière ne laissait pas de place au doute, la leçon avait été cuisante. Brigitte avait une règle plate en bois à la main :
— Décidément tu as besoin d’être stimulée ma petite, c’est curieux comme tu es plus attentive quand je t’ai baissé la culotte et que je t’ai chauffé les fesses.
Elle entendit les pas de Laetitia et s’arrêta net, un sourire coquin flottait sur les lèvres de la jeune maîtresse :
— Bravo Brigitte, cette chipie a besoin d’avoir les fesses rouges sinon elle ne travaille pas.
Puis elle s’adressa à sa sœur :
— Chloé ma petite chérie, tu le sais pourtant qu’une fessée chez Brigitte, c’est deux fessées à la maison.
La jeune fille protesta :
— Oh non, maman ne va pas le savoir, s’il te plaît.
Laetitia s’approcha et lui claqua sèchement la croupe :
— Tais-toi, il ne s’agit pas de maman, à partir d’aujourd’hui c’est moi qui ai la charge de te surveiller. Si tu veux une fessée de plus tu n’as qu’à le dire.
Chloé se mit à gémir :
— Oh pardon, pardon laeti, s’il te plaît… Aïe, aïe…
La main avait claqué sèchement chaque fesse :
— Je t’ai dit de te taire ! Tu restes cul nu et tu rentres à la maison, tu vas dans ta chambre et tu n’en sortiras que quand je t’y autoriserai. Tu as intérêt à te mettre au travail, tu as deux fessées qui chauffe. Maintenant tu files !!
La main claqua à nouveau le fessier juvénile. A peine avait-elle passé la porte que Laetitia se tournait vers Brigitte :
— Décidément je crois ne pas avoir été assez clair tu as encore oublié ?
La professeure rougit violemment et se tourna :
— Oh pardon mademoiselle Laetitia, mais il… il y avait Chloé…
Elle avait glissé sa main sous sa jupe et s’était déculottée, puis elle avait retroussé sa jupe et se penchait pour tendre sa croupe dénudée vers sa jeune maîtresse.
Laetitia en souriant s’approcha et enlaça avec son bras gauche la taille de Brigitte, puis elle la força à se pencher un peu plus et leva la main. Elle commença tranquillement à claquer le fessier tendu :
— Je crois ma chérie qu’il te faut avoir les fesses chaudes et bien rouges pour que ta cervelle comprenne.
La main claquait lentement pour appuyer chaque parole, la dame punie piétinait sur place :
— Oui, oui, je sais mademoiselle Laetitia, pardon…
— Non, je crois que tu as oublié, répète-moi les consignes.
Brigitte se retenait de crier la cuisson devenait intense, il lui fallait répondre sinon la correction ne s’arrêterait pas :
— Oui mademoiselle Laetitia… Dès que vous arrivez, je dois vous présenter mes fesses nues.
— C’est ça, mais encore ?
— Euh… Aïe, aïe…
La main avait claqué la base des fesses.
— Je, je dois vous présenter mes fesses nues où que nous soyons et même s’il y a des témoins…
Laetitia avait cessé la fessée, elle caressa les fesses rougies :
— C’est ça, et pourquoi ne l’as-tu pas fait ?
— Je, je ne sais pas mademoiselle… Aïe, aïe, aïe…
La fessée avait repris ;
— Ah tu ne sais pas et bien moi je sais. Tu ne voulais pas montrer ton bon gros derrière à Chloé et bien je peux te dire que tu ne perds rien pour attendre, tu recevras une bonne fessée déculottée devant elle. Je vais t’apprendre à obéir, je te garantis, en attendant tu vas t’en prendre une bonne aujourd’hui, va chercher le martinet !!
Elle relâcha sa « grande fille », celle-ci se dirigea vers la cuisine où était suspendu l’instrument traditionnel de la discipline familiale. Elle le tendit à sa jeune maîtresse qui lui fit un petit signe lui indiquant de se tourner :
— Montre-moi donc tes bonnes grosses fesses ma jolie, tu vas voir comme Monsieur Martinet va les faire danser.
Brigitte en rougissant s’exécuta, laetitia s’approcha et passa sa main sur la croupe contractée :
— Détends-toi ma chérie. Tu poses tes mains sur tes genoux et tu tends bien tes fesses. Trente coups et tu comptes !!
La professeure serra ses fesses à l’annonce de la punition, elle détestait ce martinet qui brûlait tellement, elle se concentra dans l’attente du premier coup, mais Laetitia la faisait attendre, elle fit glisser les lanières sur le large derrière tendu :
— On dirait que tu aimes te faire chauffer les fesses, tu vas finir par obéir je te le garantis.
Brigitte geignait doucement, elle tendait bien son large fessier, elle savait que les fesseuses l’appréciaient, il fallait le présenter sous son meilleur jour, pour peut-être attendrir sa jeune maîtresse. Effectivement laetitia aimait les beaux derrières comme celui de l’ex-professeure ou celui de sa mère, y administrer une bonne fessée déculottée c’était particulièrement agréable. Elle ressentit une légère excitation en prenant conscience de sa puissance, mais elle se ressaisit rapidement, elle se plaça à côté de sa pupille et leva le bras, les lanières sifflèrent dans l’air et s’abattirent avec un bruit sec sur toute la largeur de la croupe. Brigitte poussa un cri et compta « un », des traces rouges, plus foncées apparurent sur les fesses, le deuxième coup était déjà tombé, la punie trépignait sur place, mais ne cherchait pas à éviter la correction. Au quinzième coup Laetitia changea de côté pour rougir équitablement les deux fesses.
La croupe était maintenant cramoisie et Brigitte pleurait doucement, la sévère jeune femme la fit se relever :
— Tu vas aller au coin pour réfléchir, la prochaine fois que tu oublieras de me présenter ton derrière, ça sera soixante coups de martinet. Je doublerai à chaque fois, ton derrière va finir par comprendre.
La punie avait été se placer contre le mur face à la fenêtre, la jeune femme ouvrit les rideaux en grand :
— Il faut que tous le monde profite du spectacle de ton bon gros derrière bien rouge.
Elle claqua les fesses sèchement :
— Colle bien ton nez contre le mur !
Elle écarta les deux fesses et posa le manche du martinet au fond de la raie.
— Tu serres les fesses, il ne doit pas tomber sinon je te redonne la même fessée.
Elle brancha la webcam et vérifia sur son téléphone que l’image y apparaissait. Elle se mit à sourire, on voyait en gros plan le large fessier serré sur le manche du martinet, les lanières retombaient sur les fesses rougies, c’était très élégant. Elle bascula sur l’appartement de Suzanne, l’ex-gouvernante était toujours allongée sur l’accoudoir du canapé, son derrière rouge pointant vers le haut et le thermomètre dépassant de la raie fessière.
Il lui fallait maintenant parachever cet après-midi cuisant en s’occupant de sa mère, elle quitta l’appartement de Brigitte, sans rien lui préciser sur la longueur de sa pénitence, l’incertitude faisait partie de la punition.
Elle entra chez elle en chantonnant, Odile était à la cuisine, elle l’appela :
— Maman tu peux venir, nous avons à discuter.
La sévère maman n’en menait pas large, ses joues étaient empourprées quand elle passa la porte, Laetitia la contempla de haut en bas avec un sourire gourmand. Que se passait-il à ce moment dans le cerveau de sa mère ? Elle prit place dans un fauteuil et ne proposa pas à Odile de s’asseoir, il fallait qu’elle marque son autorité :
— Je suppose que tu as compris qu’un certain nombre de choses vont changer dans cette maison.
Comme sa mère ne répondait pas, se contentant de baisser la tête, elle haussa le ton :
— La fessée de mamie n’a pas suffi ? Il va falloir t’habituer à me regarder et à me répondre quand je te parle !!
Odile rougit encore un peu plus, elle leva les yeux vers sa fille et l’inimaginable se produisit :
— Oui, pardon Laetitia, je suis désolée.
Les mots étaient sortis sans qu’elle y réfléchisse, ses fesses étaient encore douloureuses, elle était redevenue une petite fille prise en faute.
La jeune femme la regarda en souriant, elle se délectait de la situation :
— C’est bien, tu as donc compris que dorénavant tu dois m’obéir ?
— Oui…
— Oui momy ! À partir d’aujourd’hui c’est comme ça que tu m’appelleras, si tu oublies tu seras punie.
Odile sentait le sol se dérober sous ses pieds, elle essaya de ne pas baisser les yeux et avala sa salive :
— Oui… Momy…
Laetitia arborait un sourire triomphant :
— Tu as vu Chloé ? Je l’ai mis en pénitence dans sa chambre.
Odile répondit par l’affirmative, elle avait vu arriver sa plus jeune fille, la culotte descendue à mi-cuisse, la jupe épinglée dans le dos, arborant une paire de fesses écarlates. Celle-ci lui avait indiqué qu’elle devait aller dans sa chambre jusqu’à l’arrivée de Laetitia. Elle n’avait pas réagi tellement elle était absorbée par la nouvelle situation.
La jeune maîtresse fit un petit signe du doigt, Odile s’approcha :
— Tourne-toi.
Dès que sa mère eut obéi, elle saisit l’ourlet de la jupe et la retroussa, puis elle la coinça dans la ceinture :
— Te voilà en tenue pour m’écouter.
Odile était de plus en plus inquiète, elle se doutait de la perversité de sa fille, elle sursauta, Laetitia venait de lui claquer les fesses sur la culotte :
— À partir de maintenant, c’est moi qui détiens l’autorité dans cette maison, je suppose que tu n’as pas envie que les photos et les vidéos que j’ai faites chez mamie soit divulguées. Donc tu seras soumise au même traitement que Brigitte, Suzanne et les deux chipies. Tu m’obéiras au doigt et à l’œil sinon ce sera panpan cucul, c’est bien compris !
Elle conclut sa phrase par deux claques une sur la culotte et l’autre juste dessous à la limite des fesses, Odile sautilla sur place :
— Aïe, oui… Oui momy.
Laetitia souriait toujours, satisfaite de la docilité de sa mère :
— Pour inaugurer cette nouvelle ère, je vais t’administrer ta première fessée. J’ai eu l’occasion de corriger tatie Ingrid tout à l’heure, il faut que je fasse connaissance avec ton derrière.
Odile ne savait pas s’il lui fallait répondre, elle hésita :
— Oui momy…
Sa fille s’était levée, elle sortit son téléphone et le mit devant les yeux de sa mère :
— Tiens regarde ce qui arrive quand on désobéit à momy.
Odile vit le gros fessier bien rouge de Brigitte serré sur le manche du martinet,
puis le derrière écarlate de Suzanne non moins exposé. Laetitia en souriant lui prit l’oreille :
— Allez maman chérie, tu vas venir me montrer tes jolies fesses, tu vois que tu n’es pas la seule à te les faire rougir.
Elle s’installa sur la chaise qu’Odile utilisait souvent pour la fesser, elle tenait symboliquement à corriger sa mère de la même façon. En quelques secondes celle-ci se retrouva couchée en travers des cuisses de sa fille. La jupe était déjà troussée, contrairement à ses filles qu’elles obligeaient à porter de sages culottes en coton, Odile aimait mettre des jolis sous-vêtements en dentelle de couleur. Tendue par la position, la lingerie rose avait du mal à contenir le beau et large fessier de la mère de famille, la culotte en dentelle rentrait dans la raie et découvrait la base du postérieur. L’humiliation était déjà conséquente, se retrouver en position disciplinaire sur les genoux de sa fille, jamais Odile n’aurait pu l’imaginer, mais quand elle sentit les doigts de Laetitia se glisser sous l’élastique du sous-vêtement, elle ne put s’empêcher de gémir :
— Oh non, Laetitia, s’il te plaît… Aïe, aïe, aïe, aïe…
La main avait cessé de baisser la culotte et la fessée crépitait déjà sur le derrière à moitié dénudé :
— Qu’est-ce que je t’ai dit !! Momy !! Tu dois m’appeler momy. À je vais te dresser ma petite, crois-moi ! Même si tu ne peux plus t’asseoir pendant toute la soirée !! La punition est doublée tant pis pour toi.
Elle déculotta largement sa maman devenue sa « grande fille » :
— Voilà ! Cul nu !!
La fessée reprit sur les fesses nues, une magistrale correction, ce ne serait pas la dernière, mais il fallait marquer le coup. Odile avait déjà reçu une sévère déculottée chez Claudine, cette troisième fessée était donc très douloureuse. Elle oublia bien vite qui était sa fesseuse, son attention était concentrée sur la brûlure de son derrière. Elle tortillait très suggessivement sa croupe de femme mûre et laetitia appréciait le spectacle que lui offrait sa mère redevenue une adolescente punie par sa momy, « ma petite maman chérie, tu as vraiment une belle paire de fesses, c’est la plus agréable à fesser de toutes celles à ma disposition. Je pense que tu vas me les présenter très souvent »
Elle claquait joyeusement ce fessier, les cris et les pleurs d’Odile devait parvenir jusqu’à la chambre de Chloé, que devait-elle penser à cet instant précis en entendant sa maman recevoir une magistrale fessée.
La croupe écarlate s’étalait devant les yeux ravis de la jeune femme, les deux globes se serraient puis s’ouvraient largement, signe d’une cuisson intense. La sévère mère de famille pleurait à chaudes larmes, elle était vaincue, toutes ses prérogatives venaient de disparaître en même temps qu’elle recevait cette humiliante punition. Celle-ci n’était pas terminée, Laetitia avait été élevée à bonne école, elle allait s’en rendre compte rapidement :
— Voilà pour ta fessée de bienvenue dans le groupe des pupilles de momy Laetitia, maintenant on va passer à ta punition pour m’avoir mal parlé.
Odile gémit doucement :
— Pardon momy, pardon… J’ai déjà été bien punie…
Laetitia en riant lui tapota les fesses :
— Tu plaisantes maman chérie, c’était juste une bonne petite fessée. Attends-toi maintenant à la vraie déculottée que tu mérites. Lève-toi !
Odile les joues humides de larmes se redressa, elle baissait la tête, une claque sur la cuisse la rappela à l’ordre :
— Regarde-moi vilaine fille !! Va chercher la brosse et le martinet.
Les fesses de la maman punie se serrèrent instinctivement, Laetitia se régalait de la soumission de sa mère et de la crainte qu’elle lui inspirait :
— Allez dépêche-toi un peu, oui tu as bien entendu, la brosse et le martinet !!
Elle ne comptait pas utiliser les deux instruments, mais laisser Odile dans l’expectative faisait partie du commencement de son éducation.
La culotte descendue aux genoux et le derrière écarlate, Odile se dirigea vers la cuisine pour ramener le martinet, elle craignait par-dessus tout que Chloé sorte de sa chambre et la découvre dans cette tenue peu enviable, en revenant elle se dirigea vers le meuble ou trônait, toujours prête à servir, sa brosse à cheveux.
Elle approcha lentement de sa fille qui était restée assise sur la chaise à fessée, elle n’avait jamais trouvé cette brosse à cheveux aussi lourde. En souriant Laetitia tendit la main :
— Tu n’as pas l’air d’apprécier maman chérie, mais tu n’as qu’à t’en prendre qu’à toi-même, la prochaine fois tu seras polie quand tu t’adresseras à ta momy.
Elle lissa sa jupe sur ses cuisses, exactement de la même façon qu’Odile le faisait quand elle annonçait la correction :
— Bon assez discuté, viens un peu là que je m’occupe de tes bonnes grosses fesses.
Les fesses de sa mère n’étaient pas spécialement grosses, elles étaient simplement confortables comme disait Claudine, un beau derrière bien large de dame mûre. Mais les dénommer ainsi c’était assez humiliant et Laetitia ne voulait pas se priver de ce plaisir.
Odile s’approcha à petit pas, elle touchait les cuisses de la jeune femme, celle-ci passa sa main dans son dos et appuya dessus pour l’inciter à se courber sur ses genoux, elle tapota les fesses au moment où elle se mettait en position :
— Voilà, tu es bien installée ? Quel joli derrière ! Mamie à raison tu as des fesses à fessée ma petite maman.
Elle posa le martinet par terre, juste sous le nez de la punie :
— Regarde le bien, il est prêt à te caresser le derrière.
Puis elle prit la brosse et la passa sur la peau rougie, elle sourit en voyant la légère contracture de la croupe « tu peux serre les fesses maman chérie, je vais te les faire danser, en souvenir de toutes les fessées que tu m’a administré avec cette brosse ». Elle leva l’instrument et Odile poussa un cri, Laetitia avait frappé très fort, une marque rouge, plus foncée se dessina sur la fesse droite, immédiatement le deuxième coup atterrit sur la fesse gauche, la punie se cabra, les fesses contractées par la brûlure. Elle se mit rapidement à pleurer, son désir de rester stoïque n’avait pas résisté à la douleur, elle redevenait une adolescente punie malgré ses quarante-cinq ans, qu’elle soit fessée par sa propre fille n’avait plus d’importance à ce moment précis, sa culotte était maintenant entortillée autour de ses chevilles.
Elle ne savait pas que Chloé assistait discrètement à sa punition, en entendant pour la deuxième fois le bruit d’une fessée et les cris qui ne ressemblait pas à la voix de sa sœur, elle s’était glissée dans le couloir et sidérée elle avait vu le large fessier écarlate de sa mère se trémousser sous l’effet d’une magistrale fessée.
Laetitia était concentrée sur sa tâche elle n’avait pas levé les yeux, les fesses cramoisies ressemblaient à deux belles tomates bien mûres. La mère de famille punie pleurait abondamment et suppliait :
— Non, non… Pardon momy… Plus la fessée, ça brûle… Nooonn.
Ses supplications ressemblaient à s’y méprendre à celle de ses filles quand elle les corrigeait et le résultat était le même, ça n’interrompait pas la correction, tout juste une réflexion amusée de la fesseuse :
— Ah oui ? Ça brûle ? Mais ma petite maman, c’est fait pour ça la fessée pour que tu deviennes une gentille fille bien polie.
Elle continua la correction, les battements des pieds devinrent vraiment gênants pour continuer, elle claqua l’arrière des cuisses, les cris d’Odile se firent plus stridents :
— Nooonn… Aïe…
Laetitia cessa la fessée :
— Tu reposes tes pieds par terre immédiatement, sinon je continue la fessée sur tes cuisses.
Odile reposa ses pieds sur le sol tout en continuant à pleurer, cette correction administrée sur un épiderme déjà échauffé par les précédentes fessées, était particulièrement douloureuse.
— Encore vingt coups pour terminer de chauffer ton derrière et nous serons quittes. Tu vas compter !
Odile pleura un peu plus fort, mais se garda bien de protester :
— Un… Deux… Aïe, trois…
La brosse claquait alternativement chaque fesse et le décompte s’égrenait au milieu des cris et des gémissements.
Chloé comptait aussi à voix basse, elle était jalouse de sa sœur qui pouvait se venger des multiples corrections administrées par leur mère. Elle venait de comprendre que désormais elle était sous la tutelle de Laetitia, elle connaissait la perversité de sa grande sœur et elle se demandait si finalement elle n’avait pas perdu au change ;
— Vingt…
Odile venait de terminer le cuisant décompte, la jeune femme posa la brosse et caressa le fessier brûlant :
— Voilà une jolie paire de fesses bien punie. Qu’est-ce qu’on dit ?
Odile pleurait encore, mais la main de sa fille sur sa croupe brûlante la ramena à la réalité, décidément elle avait vraiment changé de statut, elle déglutit et prononça l’humiliante phrase attendue par la sévère jeune femme :
— Merci… Momy… Aïe…
La main avait à nouveau claqué :
— Mieux que ça !!
— Merci momy pour cette fessée déculottée que j’avais bien méritée.
Elle s’était souvenu de cette phrase qu’elle imposait à toutes celles qu’elle déculottait et fessait auparavant. C’était une époque révolue, maintenant c’était à elle à se soumettre à ce honteux rituel.
Chloé s’éclipsa silencieusement, sa sœur lui avait déjà promis une déculottée, autant ne pas lui donner l’occasion d’être plus sévère.
Laetitia souriait, elle gardait sa mère couchée en travers de ses cuisses, c’était vraiment un instant très agréable, le large fessier rubicond étalé devant elle, se contractait au rythme des sanglots d’Odile. Elle la fit enfin se relever puis ramassa le martinet posé par terre :
— Tu vois ce joli martinet ma petite maman, aujourd’hui il ne va pas s’occuper de ton vilain derrière, mas je te garantis que la prochaine fois que tu parles mal à momy Laetitia, tu y auras droit en plus de la fessée à la brosse. Maintenant tu files au coin pour que tout le monde puisse admirer tes jolies fesses bien rouges.
Elle lui avait désigné le coin qu’elle-même occupait habituellement, ce serait dorénavant celui réservé à Odile. Celle-ci mit immédiatement ses mains sur sa tête, la jeune maîtresse remonta la culotte à mi-cuisse, puis elle prit le martinet et comme elle l’avait fait avec Brigitte, elle écarta la raie et posa le manche entre les deux hémisphères :
— Serre bien les fesses, il ne doit pas tomber.
Elle s’installa dans un fauteuil pour jouir du spectacle, il fallait qu’elle appelle Julie.
Mademoiselle Laetitia
Laetitia était la petite-fille préférée de Claudine, elle venait souvent rendre visite à sa grand-mère.
Quand elle arriva ce jour-là, elle vit le martinet suspendu dans la cuisine, elle le regarda en souriant et se tourna vers Claudine :
— Tu as ressorti ton martinet ? Maman m’a raconté que quand elle était gamine, il était toujours prêt à servir, mais je pensais que tu n’en avais plus.
Claudine lui fit un petit clin d’œil :
— Je l’avais rangé, mais ces derniers temps je me suis rendu compte que j’allais en avoir besoin à nouveau et puis c’est quand même mieux de l’avoir à sa disposition en permanence, ça a un petit côté dissuasif tu ne trouves pas.
La jeune fille fit une petite moue, sa grand-mère avait-elle l’intention de l’utiliser sur son derrière ?
La mamie se mit à rire devant la grimace de Laetitia :
— Ah je vois que tu as peur pour tes jolies fesses. Rassure-toi, elles n’y goûteront pas sauf bien sûr si tu es vilaine comme ta chipie de petite sœur.
Laetitia, rassurée se mit à sourire, elle adorait sa mamie et elle n’avait pas de secret pour elle. Elle décida de lui raconter ses nouvelles responsabilités, c’est-à-dire la prise en charge des deux étudiantes quand sa mère lui demandait. Claudine amusée l’interrogea :
— Alors tu fais baby-sitter de ces deux grandes filles, tu t’en sors, ce n’est pas trop difficile ?
— Pas du tout, maman m’a autorisée à les punir si c’est nécessaire.
Claudine avait le regard gourmand :
— À bon, et tu les punis comment ?
Laetitia la regarda en souriant :
— Je suis à bonne école avec maman et toi, si elles désobéissent ou ne sont pas sage, c’est la fessée déculottée illico.
— C’est parfait, mais elle accepte facilement de se faire baisser la culotte par une jeune fille plus jeune qu’elles ?
— Elles n’ont pas le choix, maman les a prévenues, si elles font des histoires, c’est elle qui va s’occuper de leurs derrières et la punition sera doublée. Je suis tranquille, je n’ai qu’un mot à dire et elles viennent gentiment se coucher sur mes genoux.
Claudine était admirative devant l’assurance et la maturité de sa petite-fille, elles continuèrent de discuter comme deux adultes de l’intérêt des châtiments corporels dans l’éducation y compris chez les adultes. Enhardie la jeune fille décida d’aborder le cas de Brigitte et Suzanne, la grand-mère ouvrit de grands yeux en l’entendant expliquer qu’elle troussait et déculottait des dames qui avaient le même âge qu’elle :
— À ça par exemple, tu leur flanques la fessée cul nu comme à des gamines ? Et elles se laissent faire ?
Laetitia se mit à rire devant la mine de la dame d’âge mûr :
— Oui mamie, je les déculotte. Tu sais bien qu’il n’y a pas d’âge pour recevoir la fessée, c’est toi-même qui l’a dit à maman l’autre jour.
Claudine sursauta à ce rappel :
— Tu as entendu ça ?
Ce fut au tour de la jeune fille de lui faire un clin d’œil :
— Oui, tu as dit à maman de préparer ses fesses.
La grand-mère eut un petit sourire entendu, décidément cette petite était surprenante, d’ailleurs elle continuait ses explications sur sa façon « d’éduquer » les deux dames mâtures dont elle avait la charge :
— Tu sais, donner la fessée déculottée aux étudiantes ou à mes deux mamies, ce n’est pas très différent, une culotte ça se baisse pareille et une paire de fesses, quel que soit l’âge de sa propriétaire, ça rougi de la même façon. Pour Brigitte, c’est maman qui m’a demandé de lui mettre le thermomètre la première fois et en général quand tu te retrouves cul nu avec le thermomètre bien enfoncé tu ne fais plus la maligne après. Pour Suzanne, je lui ai fait découvrir qu’elle en avait besoin. Tiens je vais te montrer quelque chose.
Elle sortit son téléphone et fit défiler les photos de Brigitte et de Suzanne, au coin les fesses à l’air et bien rouges, sur certaines elles tournaient la tête et on les reconnaissait, sur d’autres on les voyait toujours le derrière bien rouge, mais avec un thermomètre dépassant de la raie fessière :
— Elles sont mignonnes mes deux chipies, tu ne trouves pas.
Claudine était impressionnée par l’aplomb de sa petite-fille, surtout que celle-ci continuait de lui expliquer sa façon mettre au pas ses deux pupilles :
— Elles n’ont pas trop le choix, il faut qu’elles m’obéissent au doigt et à l’œil, sinon je vais laisser traîner ces photos n’importe où. Je peux te dire qu’elles filent droit et que je peux les déculotter à ma guise.
Claudine se mit à rire :
— Comme je te connais, elles ne doivent pas avoir froid aux fesses. Mais dis-moi c’est agréable une paire de fesses de dame mâture, c’est peut-être mieux un derrière juvénile comme ceux des étudiantes, tu as pu comparer ?
Laetitia souriait en regardant sa grand-mère, elle était assez fière que celle-ci lui parle quasiment d’égale à égale, elles étaient toutes les deux des fesseuses maintenant :
— Détrompe-toi, elles ont toutes les deux des derrières très agréables à rougir, dans un style différent bien sûr. Brigitte à un bon gros derrière fessu, bien large, mais quand même ferme, tu as de la place pour claquer. Suzanne c’est différent, il est plus petit, mais malgré son âge, il est encore bien rebondi. Et puis tu sais le plus plaisant c’est quand je leur annonce qu’elles vont recevoir une fessée, elles rougissent comme des gamines et quand je les déculotte, j’ai vraiment l’impression d’avoir des grandes filles couchées sur mes genoux.
Claudine appréciait vraiment cette conversation, elle voyait la jeune fille d’un autre œil maintenant, une idée lui vint :
— Demain, j’ai convoqué ta mère et ta tante, je dois avoir une conversation avec elle, tu n’as qu’à venir vers quinze heures si tu n’as pas cours.
Laetitia remarqua le sourire de sa grand-mère, décidément elle avait bien fait de lui faire ces confidences, quelque chose lui disait que la conversation risquait d’être cuisante pour les deux sœurs.
— Oh oui ce sera avec plaisir, justement je suis libre demain, je dois juste flanquer une fessée de maintenance à Suzanne, c’est toujours le mercredi. Ensuite elle me copiera des lignes tout l’après-midi, Comme ça elle restera tranquille.
Laetitia avait copieusement rougi le derrière de l’ex-gouvernante, c’était un rituel qu’elle lui avait imposé, tous les mercredis en début d’après-midi Suzanne avait droit à une fessée préventive.
C’était toujours une correction cuisante, elle devait attendre sa jeune maîtresse dans le salon, le nez contre le mur en tenant sa jupe retroussée avec ses mains croisées dans le dos. Auparavant elle devait baisser sa culotte sous ses fesses, son derrière dénudé faisait ainsi face à la porte. Laetitia avait une clé de son appartement, elle pouvait entrer à sa guise.
Ce jour-là, elle avait administré à Suzanne une fessée déculottée classique couchée sur ses genoux, d’abord à la main puis avec la brosse à cheveux. La croupe était littéralement cramoisie quand la sexagénaire avait pu se relever, de grosses larmes coulaient sur ses joues, la jeune fille lui avait caressé la peau brûlante :
— Voilà une bonne chose de faite, tes fesses vont te faire penser à moi tout l’après-midi ma chérie. Enlève ta culotte.
Suzanne lui avait tendu sa lingerie rose et Laetitia l’avait posé bien en évidence sur la table. Elle ne devait pas bouger de là tant que sa jeune maîtresse ne lui dirait pas de se reculotter. C’était un rituel très gênant pour la punie cas de visite.
Ensuite elle lui avait demandé d’aller chercher son cahier de punition :
— Tu vas me copier 500 fois la phrase suivante « je suis une vilaine fille, je remercie mademoiselle Laetitia de prendre du temps pour mon éducation et de m’administrer les fessées déculottées que je mérite »
Suzanne avait baissé la tête, elle savait qu’il était inutile de protester, puis Laetitia avait posé sur la chaise un petit paillasson en plastique avec des picots très irritants :
— Tu retrousses ta jupe et tu poses ton derrière là-dessus. Tu en as pour l’après-midi, tache de bien écrire. Si tu as fini avant que je revienne, tu retournes te mettre au coin.
Elle avait fait une bise à sa « grande fille » et était partie en fermant la porte à clé.
En arrivant devant la porte de la maison de sa grand-mère elle entendit un bruit familier, des claquements sur la peau nue et des gémissements. Sans aucun doute quelqu’un recevait une fessée déculottée, elle sonna et attendit que Claudine lui dise d’entrer.
Le spectacle qu’elle découvrit était édifiant, deux paires de fesses bien rouges illuminaient la pièce, l’une appartenait à une dame qui était au coin mains sur la tête, l’autre était celle d’une punie gigotant en travers des genoux de la sévère grand-mère. Elle ne fut pas longue à découvrir à qui appartenait ces deux fessiers, la dame qui exposait son derrière au coin de la pièce, c’était sa mère. Elle n’avait encore jamais vu son large fessier dénudé, mais elle l’avait quand même reconnu, quant à la dame couchée sur les cuisses de Claudine, c’était sa tante Ingrid, la sœur d’Odile. La fesseuse avait juste levé la tête quand Laetitia était entrée, mais elle n’avait pas cessé de claquer la croupe de sa fille, celle-ci pleurait et ses pieds battaient l’air, elle se rendit compte que sa fessée serait publique à présent, mais le pire était à venir, sa mère accueillit sa petite fille :
— Coucou Laetitia, tu tombes bien, rien de mieux qu’une bonne fessée déculottée en public pour corriger les vilaines filles.
Sa nièce allait assister à son humiliante punition, elle se mit à gémir :
— Oh non, pardon maman, s’il te plaît… Aïe, aïe…
Les cris et les pleurs étaient mêlés, la dame de quarante ans couchée sur les genoux de Claudine retrouvait ses accents de gamine punie. Laetitia était subjuguée par le spectacle, ses yeux allaient d’un fessier à l’autre, c’était une douce revanche. Sa mère avait la main leste et sa tante n’était pas la dernière pour lui baisser la culotte et la corriger comme si elle était encore une gamine malgré ses vingt ans.
Claudine était appliquée à sa tâche, la croupe était uniformément rouge, elle fit relever Ingrid, qui baissa les yeux pour ne pas croiser ceux de sa nièce, mais c’était sans compter sur la perversité de sa mère :
— Va montrer tes fesses à Laetitia, elle pourra voir ce qui arrive aux vilaines filles, quel que soit leur âge.
Au comble de la honte, la pauvre Ingrid s’approcha de la jeune femme, celle-ci en souriant lui fit un petit signe pour l’inviter à se tourner. Maintenant elle présentait sa croupe écarlate, Laetitia n’était pas moins sévère que sa grand-mère, elle appuya sur le dos de sa tante :
— Penche-toi un peu ma petite chérie que je puisse examiner ton derrière.
La croupe tendue s’offrait au regard de la jeune maîtresse, elle tendit la main et la passa sur l’épiderme brûlant :
— Ça brûle ?
Une petite claque incita sa tante à répondre :
— Oh oui…
Une claque plus sèche résonna dans la pièce :
— Oui qui ?
— Aïe, pardon Laetitia… Aïe, aïe, aïe…
Trois claques sur les fesses endolories venaient de retentir :
— Mademoiselle Laetitia !!
— Oui, oui, pardon mademoiselle Laetitia.
La grand-mère et la petite-fille échangèrent un sourire complice :
— C’est bien, tes fesses sont très mignonnes.
Puis se tournant vers Claudine :
— Tu la mets au coin ?
Comme celle-ci acquiesçait de la tête, elle saisit l’oreille de sa tante comme elle avait l’habitude de le faire avec ses autres pupilles et tout en lui claquant les fesses de sa main libre, elle la conduisit au coin :
— Allez vilaine fille tu vas faire refroidir ton joli derrière au coin !
Claudine était de plus en plus impressionnée par sa petite-fille et son assurance, elle se leva et se dirigea vers Odile. Pendant toute la conversation celle-ci avait contracté ses fesses, elles étaient maintenant serrées, son derrière n’était plus qu’une boule rouge compacte.
Sa mère la saisit par l’oreille comme Laetitia l’avait fait pour Ingrid :
— À nous deux ma jolie, maintenant que tes fesses sont bien échauffées, on va passer à la vraie fessée.
La jeune fille souriait en voyant sa mère dans la même posture qu’elle lui avait fait si souvent prendre, la culotte à mi-cuisses et tenue par une oreille, la roue tournait vite et la dame de quarante-cinq ans n’en menait pas large, laetitia s’adressa à sa grand-mère :
— Comme elle est mignonne ! Je peux prendre une photo mamie ?
Odile était rouge de honte et ne semblait guère goûter l’humour de sa fille, elle ouvrit la bouche pour protester, mais une claque administrée au milieu de sa croupe lui coupa la parole :
— Bien sûr ma chérie, tu pourras même faire une petite vidéo de sa fessée, ça lui fera un souvenir et lui rappellera ce qui arrive quand on parle mal à sa maman.
Odile était effondrée, elle se doutait que sa fille profiterait de la situation. Laetitia avait sorti son téléphone, elle prit une photo, on distinguait parfaitement le visage d’Odile, tenue par l’oreille par sa mère et sa culotte à mi-cuisses. Claudine s’installa sur une chaise et la fit basculer en travers de ses genoux, elle tapota le large fessier étalé devant ses yeux :
— Ma chérie, je pense que tu vas te souvenir longtemps de cette punition. Une bonne fessée déculottée devant ta fille, j’espère que tu as bien honte.
Odile gémissait doucement :
— Pardon maman, pardon, je suis désolée.
La sévère grand-mère claqua un peu plus sèchement le derrière :
— Je suis sûr que tu vas être encore plus désolée tout à l’heure.
Elle prit sa lourde brosse à cheveux et commença la correction. Laetitia avait déjà assisté à de nombreuses fessées, mais celle-ci compterait dans son souvenir.
Odile se mit à crier immédiatement et les pleurs suivirent rapidement. Ses larges fesses bien rouges ballottaient de droite à gauche, ses jambes battaient l’air frénétiquement, la croupe rubiconde s’ouvrait largement découvrant l’intimité de cette dame d’âge mûr recevant ce châtiment habituellement réservé aux vilaines filles.
Sa fille filmait soigneusement la scène, elle s’était déplacée pour que le visage de sa mère soit bien visible. Dorénavant celle-ci serait à sa merci.
Elle observait la technique de sa grand-mère, on voyait qu’elle était habituée à administrer ce genre de correction. Elle tenait Odile fermement par la taille, ses fesses ne pouvaient échapper aux morsures brûlantes de la brosse, elle alternait les claques sur la fesse droite puis la gauche, la partie charnue recevait les coups les plus sévères, puis elle claquait ensuite le bas du fessier et le haut des cuisses. Laetitia savait par expérience qu’après une fessée comme celle-là sa chère maman aurait dû mal à s’asseoir pendant quelques heures et que la douleur ne s’atténuerait que très lentement.
Elle gisait en larmes en travers des cuisses de sa mère, celle-ci regarda sa petite-fille en souriant :
— Voilà un derrière cuit à point, madame ne fait plus la fière. Allez debout. Laetitia tu t’en occupes.
La jeune fille n’en demandait pas temps, quel plaisir que de conduire sa maman au coin en la tenant par l’oreille, sa culotte entortillée autour de ses chevilles la gênait pour marcher, Laetitia lui administra une vigoureuse claque au milieu des fesses :
— Allez dépêche-toi un peu !
Arrivée contre le mur, Odile mit instantanément ses mains sur sa tête, sa fille sans demander l’autorisation à sa grand-mère prit l’initiative de lui faire enjamber sa culotte pour lui retirer complètement, elle la tenait à deux doigts et s’adressa en riant à Claudine :
— Je crois qu’elle n’en a plus besoin, elle ne va pas avoir froid aux fesses aujourd’hui et puis tu lui as mis une jolie culotte rouge sur le derrière.
Sa mamie approuva :
— Tu as raison, retire également celle d’Ingrid, elles sont privées de culotte jusqu’à ce soir.
Puis elle tendit la brosse à sa petite-fille :
— Tu vas t’occuper des fesses de ta tante, j’aimerais bien voir comment tu t’y prends.
Laetitia faillit battre des mains tellement elle était contente du cadeau que lui faisait sa grand-mère. Elle attrapa Ingrid par l’oreille et prit place sur la chaise que lui avait laissé Claudine, une fois la punie couchée sur ses genoux elle lui retira sa culotte comme elle l’avait fait à sa mère, elle poussa la perversité jusqu’à en examiner le fond :
— Voilà madame, tu es privée de culotte, bon pour aujourd’hui ça ira elle est à peu près propre.
Elle la posa sur la table à côté de celle d’Odile, puis elle reprit la brosse qu’elle avait posée et commença la fessée.
Ingrid se comporta exactement comme sa sœur, que la correction soit administrée par sa mère ou sa nièce ne changeait rien à la cuisson de son fessier. La jeune fille avait déjà une technique redoutable, elle fessa très sévèrement sa tante, elle voulait prouver à sa grand-mère qu’elle était une vraie fesseuse.
Celle-ci appréciait en professionnelle la qualité de la punition, les deux fessiers étaient de la même couleur et même si son derrière était moins volumineux que celui de sa sœur, Ingrid exécuta une magnifique danse des fesses.
A présent les deux punies exposaient leurs croupes cramoisies l’une à côté de l’autre, l’ourlet des jupes coincé dans la ceinture découvrait parfaitement la surface corrigée. Les épaules se soulevaient au rythme des sanglots et les fesses se serraient pour essayer d’atténuer la cuisson.
Comme deux vieilles amies, la grand-mère et la petite-fille sirotaient un thé en papotant, la conversation portait évidemment sur les bienfaits de la fessée administrée à des dames adultes. Laetitia regardait la vidéo qu’avait fait sa grand-mère pendant qu’elle corrigeait Ingrid :
— C’est rigolo de me voir en train d’administrer une fessée à tatie, c’est la première fois.
Claudine lui fit un petit clin d’œil :
— Mon petit doigt me dit que ce ne sera pas la dernière, tu vas avoir deux nouvelles pupilles ma chérie.
Laetitia se leva et fit un gros bisou à Claudine :
— Merci mamie, tu es adorable, je te promets de bien m’en occuper, tu vas voir qu’à partir de maintenant tu auras deux filles mignonnes, obéissantes et polies.
L’avenir s’annonçait radieux, mais surtout cuisant pour de nombreuses dames.
La jeune fille inaugura son nouveau rôle le soir même. Elle avait laissé Claudine pour rentrer s’occuper de Suzanne, celle-ci finissait tout juste ses cinq cents lignes quand Laetitia arriva. Elle jeta un regard sur le travail de sa pupille puis la fit se lever :
— Ça c’est bien passé ma chérie ? Tourne-toi que je voie un peu tes fesses.
Docilement la sexagénaire présenta sa croupe à sa jeune maîtresse, elle était restée rouge, les picots du paillasson s’étaient imprimés dans la chair formant des boursouflures, Laetitia passa la main sur l’épiderme enflammé, elle souriait fière de son pouvoir sur ces dames toutes plus âgée qu’elle :
— Ton derrière te brûle ? C’est parfait tu vas penser à moi jusqu’à ce soir. Enlève ta culotte, tu en es privée jusqu’au coucher.
Suzanne enjamba sa lingerie et la tendit à la jeune fille qui la fourra dans sa poche.
— Je viendrai à vingt heures trente pour ton coucher ma chérie, j’ai des occupations ce soir, tant pis pour toi tu iras au lit plus tôt.
Suzanne se mit à gémir :
— Oh mademoiselle Laetitia, c’est trop tôt.
La jeune fille la dévisagea sévèrement :
— Pardon ? J’ai mal entendu ?
La vieille fille se mordit la langue, elle venait de se rendre compte de son erreur, mais c’était trop tard, elle était à nouveau courbée sous le bras de sa maîtresse, sa jupe retroussée et une avalanche de claques s’abattaient sur sa croupe déjà bien rouge :
— Ah c’est trop tôt ? Mademoiselle proteste, eh bien on va régler ça à ma façon. Tu la sens celle-là sur ton petit cul ?
Suzanne haletait et piétinait sur place, Laetitia la relâcha et lui annonça sa punition :
— Pendant une semaine coucher à vingt heures, une fessée déculottée matin et soir et tu vas garder le thermomètre pendant deux heures, je vais t’apprendre à raisonner !!
Elle lui désigna l’accoudoir du canapé :
— En position et vite, je n’ai pas que ça à faire !!
Le thermomètre était posé sur le buffet toujours prêt à servir, il rentra profondément entre les fesses écarlates de l’ex-gouvernante. Laetitia lui administra une dizaine de claques supplémentaire :
— Voilà, j’espère que ça va te servir de leçon et ne t’avise pas de bouger de là jusqu’à mon retour, sinon c’est le même traitement pendant un mois et le thermomètre tous les jours pendant une heure.
Elle brancha la webcam qu’elle avait installée pour surveiller sa pupille, c’était une nouveauté qui était présente chez Brigitte également. Elle pensa que maintenant qu’elle avait l’autorité sur toute la maison, il lui faudrait en mettre chez les étudiantes et à la maison pour surveiller sa mère quand elle serait absente.
L'épilation de Laurence
Odile avait sonné à la porte de l’appartement d’Annie, celle-ci leur ouvrit et les accueillit chaleureusement en leur claquant une bise à chacune :
— Bonjour ma chérie. Alors c’est vous Laurence, je suis ravie.
La maman ce Clara était un peu gênée, elle essaya quand même de faire bonne figure, Annie savait après les confidences téléphoniques d’Odile, qu’elle avait reçu hier une fessée déculottée. Elle invita les deux dames à entrer et quand Laurence passa devant elle, elle lui tapota les fesses en riant :
— On va s’occuper de ça.
La sévère maman piqua un fard, surtout qu’Odile riait également :
— Oh oui, elle en a besoin, je lui ai dit de bien se laver le derrière, tu vas pouvoir le constater toi-même.
Laurence protesta, elle avait les joues écarlates :
— Odile !! Quand même ! Tu exagères…
Mais ça ne calma pas son amie qui à son tour lui tapota la croupe :
— Ne fais pas ta mijaurée ma chérie, tu sais que je n’aime pas ça, et puis on ne va pas perdre de temps, allons-y.
Annie acquiesça et ouvrit une porte qui donnait sur le salon :
— J’ai aménagé cette pièce quand je fais des prestations chez moi.
La pièce était aménagée avec goût dans les tons roses, il y avait deux fauteuils moelleux, une table basse et un lit d’examen recouvert d’un tissu en éponge rose également, un meuble vitré avec des flacons et des pots de produits de beauté complétait l’ameublement de la salle.
Annie se tourna vers Laurence en souriant :
— Si j’ai bien compris, il faut que je m’occupe de vos fesses, il va falloir vous déculotter ma chère.
Le rouge n’avait pas quitté les joues de Laurence, elle hésita et se tourna vers son amie, Odile la fixa :
— Tu veux que je t’aide ?
Laurence baissa les yeux et glissa ses mains sous sa jupe, elle retira sa culotte, elle la tenait à la main un peu gênée, Annie se mit à rire :
— On dirait que tu ne sais pas quoi en faire, regarde il y a une patère, c’est fait pour mettre les culottes des vilaines qui en sont privées.
Laurence ne goûta pas trop la plaisanterie, mais elle s’exécuta, l’esthéticienne lui désigna la table :
— Allongez-vous là, sur le ventre bien sûr.
La patiente s’installa, Annie prit un coussin et le glissa sous son ventre :
— Vous serez mieux installée et votre derrière sera en bonne position.
Puis sans hésiter, elle retroussa la jupe de Laurence, mettant à jour sa croupe rebondie, celle-ci poussa un petit cri de surprise, ce qui fit rire les deux spectatrices, Odile s’approcha et lui claqua gentiment le fessier :
— Pour ce qu’Annie doit faire, il vaut mieux qu’elle te relève la jupe.
Elle se tourna vers l’esthéticienne :
— Elle a une belle paire de fesses n’est-ce pas ? C’est vrai que le coussin la met bien en valeur.
Annie jeta un œil professionnel sur la croupe, puis elle s’approcha et avec deux doigts elle écarta les globes jumeaux, instinctivement Laurence crispa un peu son derrière, ce qui lui attira une réaction amusée d’Annie :
— Je sais que c’est un peu gênant de se faire examiner la raie des fesses ma chère, mais vous êtes là pour ça, il va falloir vous laisser faire.
Elle avait accompagné sa phrase d’une petite claque sèche au milieu du derrière surélevé. Odile regardait sa copine dans cette position peu envieuse, elle était ravie de lui faire subir ce traitement humiliant, elle souriait :
— Je l’ai prévenue qu’il fallait qu’elle soit mignonne, elle sait très bien ce qui va lui arriver si elle serre les fesses.
Annie se tourna vers sa voisine :
— Ah c’est vrai qu’elle a déjà pris une fessée déculottée hier, j’espère qu’on ne sera pas obligée d’en arriver là. Vous allez être sage n’est-ce pas ?
Laurence était au supplice, elle essaya de relaxer au maximum sa croupe, elle ne voulait pas donner l’occasion à Annie de lui rougir les fesses.
L’esthéticienne tenait toujours les fesses largement écartées, elle passa son doigt dans la raie sans se soucier du gémissement de honte de sa patiente :
— Tu as raison ma chère Odile, il y a nécessité d’un petit nettoyage.
Elle tapota à nouveau le fessier de Laurence :
— Détendez-vous donc, ce n’est quand même pas si terrible que ça, quand Odile vous a flanqué la fessée déculottée, ça devait être bien pire.
Elle relâcha enfin les fesses et ouvrit le meuble pour préparer son matériel. Laurence était mortifiée d’être ainsi exposée, cul nu au milieu de la pièce sous le regard moqueur des deux dames.
Annie s’approcha et lui tapota les fesses :
— Je suppose que vous savez que je vais avoir besoin de vous, vous allez écarter vos jolies fesses avec vos mains et les tenir pendant que je mets la cire, j’espère que vous allez être sage.
Au comble de la confusion, la maman de Clara écarta ses deux globes, sa raie était largement ouverte dans une position très impudique. L’esthéticienne déposa la cire avec une spatule :
— Gardez cette position, c’est parfait, on va laisser la cire refroidir un peu.
Elle tapota à nouveau le derrière de Laurence et se tourna vers Odile :
— Finalement, elle est sage. Peut-être que c’est grâce à ta fessée d’hier.
Odile se mit à rire.
— Sans doute, je n’ai encore rien trouvé de mieux pour faire obéir les vilaines.
Elle s’approcha et passa sa main sur la croupe tendue :
— Tu as vraiment une très jolie paire de fesses ma chérie.
Laurence goûtait moyennement ces commentaires qui la rabaissait au rang de gamine punie.
Soudain elle poussa un cri et serra les fesses, Annie venait d’arracher la cire :
— Ah non, qu’est-ce que c’est que ces manières !
Une magistrale claque atterri sur la fesse droite de Laurence, elle n’eut pas le temps de réagir que déjà l’esthéticienne lui avait saisi l’oreille et la faisait se relever :
— Odile vous avait pourtant prévenue, eh bien on va passer aux travaux pratiques.
A peine était-elle debout que Annie l’avait coincé sous son bras et fléchi vers l’avant. De sa main libre elle retroussa la jupe qui était retombée, découvrant le beau fessier rebondi de cette dame d’âge mûr. Elle était dans la position classique qu’utilisent les mamans en colère pour punir leur fille. Laurence essaya de protester et voulu se libérer, mais Annie savait donner la fessée, mis à part Louisa, sa fille qu’elle déculottait et fessait très régulièrement, elle avait une grande habitude d’administrer des corrections à des dames adultes. Laurence était bien maintenue, elle ne put que taper du pied par terre, déjà la première claque arrivait :
— Aïe, non, aïe, arrêtez, s’il vous plaît… aïe, aïe, aïe…
Une avalanche de claques s’abattait sur son derrière tendu, Odile souriait, ravie d’assister à cette fessée déculottée. Elle savait avant d’arriver que son amie ne repartirait pas de chez sa voisine sans avoir les fesses bien rouges.
Laurence continuait de crier et de trépigner, ses hanches ondulaient à droite et à gauche, mais elle ne pouvait éviter les généreuses claques qu’Annie distribuait sur son derrière de dame de quarante-cinq ans.
Maintenant le large fessier était d’une belle couleur rouge, elle débordait même sur le haut des cuisses, car pour faire bonne mesure, la sévère esthéticienne n’avait pas oublié cette zone plus sensible juste sous les fesses. Des sanglots apparurent au milieu des cris, Annie leva la tête de son ouvrage et adressa un petit clin d’œil à Odile :
— Notre petite chipie commence à comprendre, je pense que je vais pouvoir continuer et que madame va tenir ses fesses bien écartées.
Elle finit la correction par une série de claques très fortes, puis elle relâcha Laurence. Celle-ci se redressa et immédiatement se mit à frotter sa croupe brûlante, ce qui fit bien rire les deux spectatrices :
— On dirait que madame à chaud aux fesses.
Odile était hilare, Laurence avait les yeux humides et les joues très rouges, ce n’était pas une fessée coquine qu’elle venait de recevoir, mais une véritable punition pour son indiscipline. Annie la regarda en souriant :
— Votre fille a le droit de frotter ses fesses après une fessée ?
Laurence cessa immédiatement et resta les bras ballants, Odile sauta sur l’occasion, le derrière de son amie était vraiment trop mignon :
— C’est vrai, on dirait que tu l’as oublié, viens un peu ici, je vais te rafraîchir la mémoire.
Laurence, interloquée regarda son amie :
— Mais enfin, Odile… Non !!
Elle n’eut pas le temps de terminer sa phrase, la sévère maman lui avait saisi la main et l’avait attiré contre ses genoux, en un instant elle se retrouva en travers des cuisses d’Odile. La tête près du sol les jambes décollées, la situation aurait pu être comique si elle n’avait pas déjà les fesses cuisantes et bien rouges. La maman fesseuse retroussa à nouveau la jupe :
— Tu le sais pourtant qu’on ne doit pas frotter ses fesses après une fessée, Clara et Clémence le savent, elles ne s’y risquent plus après un deuxième passage sur mes genoux.
Elle caressa le fessier écarlate :
— À croire que tu aimes nous montrer ton derrière ma chérie.
Laurence se mit à pleurnicher comme une gamine :
— Non, s’il te plaît Odile, je n’ai pas fait exprès, arrête j’ai trop mal aux fesses.
Odile fit un petit clin d’œil à Annie et prit son air sévère :
— Ah tu ne l’as pas fait exprès ? Tu te moques de moi ! Attends un peu que je te chauffe le derrière, je suis sûr que la prochaine fois tu ne frotteras pas tes jolies fesses.
Elle leva la main et administra une courte, mais magistrale fessée à la maman retombée en enfance. Elle la fit relever et lui désigna la table :
— Remets-toi en place et tâche de rester tranquille cette fois, j’ai ma brosse à cheveux à la disposition de ton popotin.
Laurence se rallongea sur la table et Annie lui retroussa immédiatement la jupe, les fesses étaient très rouges, l’esthéticienne les palpa d’un air professionnel :
— Voilà un derrière cuit à point, j’espère que cette fois-ci je n’aurai pas à sévir, je pense que la fessée a été plus douloureuse que l’épilation.
Laurence gémissait doucement :
— Oh oui, ça brûle, promis je ne vais plus bouger.
— Très bien, écartez bien vos fesses, encore une application de cire et votre derrière sera nickel.
Laurence, saisit ses deux globes et sans souci de pudeur, les écarta largement, elle était pressée que ça finisse et la fessée déculottée avait fait son effet, elle était devenue docile.
Annie jouissait de cette magnifique croupe à sa disposition, elle prit son temps et Laurence poussa un cri mais ne bougea pas quand elle retira la cire, l’esthéticienne se tourna vers sa voisine :
— Sa raie est nickel, tu peux venir vérifier.
La patiente instruite par la correction reçue précédemment tenait toujours ses deux hémisphères bien écartés, Odile passa son doigt dans le sillon fessier et s’attarda même pour titiller l’anus :
— Tu mériterais que je te mette le thermomètre ma chérie, on verra ça tout à l’heure.
Annie fit relever Laurence, elle tenait une boite de talc à la main, elle s’installa sur une chaise et tapota ses cuisses :
— Venez un peu là je vais vous talquer pour éviter les démangeaisons.
Laurence la regarda interloquée, le geste de l’esthéticienne était explicite, elle voulait qu’elle se couche sur ses genoux, le regard impérieux et ses fesses cuisantes incitèrent Laurence à l’obéissance.
Une fois en position elle sentit à nouveau les doigts écarter ses fesses et la main d’Annie qui massait doucement sa raie fessière et son derrière endolori, l’esthéticienne talquait les fesses de cette dame de quarante-cinq ans comme si elle était une petite fille.
Odile se mit à rire :
— C’est mieux que de recevoir une fessée n’est-ce pas ? C’est vraiment mignon.
Laurence trouvait cela très agréable effectivement, même si la position était un peu humiliante. Annie la garda un moment en travers de ses cuisses afin de profiter du spectacle, elle tapotait les fesses écarlates :
— Ton amie a vraiment une bonne paire de fesses, c’est quoi cette histoire de thermomètre ?
Les fesses de Laurence se contractèrent, Odile s’approcha et les écartèrent sans manière :
— Tu vois ce petit trou, eh bien pour compléter la punition des chipies et les ramener à un peu d’humilité, je leur prends la température comme quand elles étaient petites, en général après ça elles ne font plus les malignes.
Annie se mit à rire :
— Ça par exemple, c’est une bonne idée. Ma petite Louisa va y goûter rapidement et madame aussi ?
— C’est sûr. Elle a de la chance que je n’aie pas pris mon thermomètre sinon elle y aurait eu droit maintenant.
Laurence était mortifiée d’entendre Odile parler d’elle comme si elle était sa fille alors qu’elle avait deux ans de plus qu’elle, mais elle était couchée sur les genoux d’Annie, les fesses encore rouges bien exposées, il fallait faire profil bas.
Enfin, Annie la libéra en lui claquant les fesses :
— Allez vilaine fille, vous pouvez vous relever et vous reculotter, vos jolies fesses sont prêtes pour qu’Odile s’en occupe.
La maman de Clara ne se le fit pas dire deux fois, elle cacha rapidement sa croupe. Annie les invita à boire un verre, ce fut un soulagement pour Laurence, même si elle se doutait qu’il serait de courte durée.
À peine était-elle installée que Louisa arriva, Laurence frissonna rétrospectivement, quelques minutes auparavant elle était couchée sur les genoux d’Annie les fesses à l’air. La fille de celle-ci aurait très bien pu la découvrir dans cette humiliante position. La jeune fille leur fit la bise, Odile lui tapota les fesses :
— Alors ma petite chérie, tu as été sage, maman n’a pas été obligée de te baisser la culotte ?
Louisa rougit et baissa les yeux, à dix-sept ans c’était un peu gênant comme question, surtout devant une inconnue, elle ne savait pas que la dame qui la regardait en souriant c’était elle-même fait déculotter quelques minutes auparavant.
C’est Annie qui répondit à la place de sa fille :
— Tu parles… sage mademoiselle ? C’est comme tes chipies, si je ne lui administre pas une bonne fessée déculottée au moins deux fois par semaine, elle est infernale.
Odile tapota à nouveau, mais un peu plus sèchement les fesses rondes de la jeune fille :
— Tu devrais essayer le thermomètre, depuis que je l’utilise sur les filles j’ai constaté une nette amélioration. Bon je ne te dirai pas que je ne leur baisse plus la culotte, mais c’est un peu moins fréquent, la perspective de se retrouver avec le thermomètre dans les fesses au milieu du salon devant tout le monde a un grand pouvoir dissuasif.
Annie regardait sa fille en souriant :
— Tu as entendu ma chérie, maman va essayer une nouvelle punition.
Louisa fit la grimace, Chloé lui avait parlé de cette manie qu’avait sa mère de lui mettre un thermomètre dans le derrière pour remplacer le coin.
Odile continuait de tapoter les fesses de la jeune fille, elle aurait bien voulu les voir de plus près, Louisa n’osait pas bouger :
— Je vais te donner l’adresse de la pharmacie où je les achète, en attendant tu n’as qu’a m’envoyer la petite je vais t’en prêter un si tu veux essayer.
Annie regarda sa fille avec un sourire gourmand :
— C’est parfait, je me demande si mes fessées sont suffisantes on dirait que ça ne lui fait ni chaud ni froid, il faut que j’essaye quelque chose. Tu as entendu ma chérie, tu vas aller chez Odile et elle va te donner un thermomètre pour ton petit derrière.
Louisa avait les joues très rouges, elle ne répondit pas, Laurence était contente que l’attention se soit détournée d’elle. Odile se leva :
— Bon, on y va. Louisa tu viens avec nous.
Elle claqua les fesses de la jeune fille pour lui signifier qu’elle n’avait pas le choix et fit de même avec Laurence pour asseoir son autorité. Annie lui fit un clin d’œil :
— J’ai l’impression qu’il n’y a pas que Louisa qui va goûter au thermomètre.
Odile se mit à rire :
— En effet, c’est également très efficace sur les mamans.
Heureusement Louisa n’avait pas entendu, elle était déjà sur le palier. Arrivées à la maison, elles croisèrent Laetitia qui sortaient, elle leur annonça qu’elle devait aller chez Brigitte pour un contrôle de français, elle demanda à sa mère si elle avait l’autorisation de rejoindre Chloé en ville ensuite. Odile avait des projets avec Laurence, elle donna son accord en précisant qu’elles devraient être rentrées à vingt heures sous peine d’une cuisante correction.
Laetitia s’éclipsa ravie, elle avait tout l’après-midi pour se livrer à ses activités perverses avec ses deux pupilles. Les fesses des deux dames d’âge mûr resteraient rouges.
Odile se dirigea vers la salle de bain et en revint avec deux thermomètres, elle en tendit un à Louisa :
— Tiens ma petite chérie, tu vas amener ça à maman, je pense qu’elle va en faire bon usage.
La jeune fille tendit la main sans répondre, Odile lui mit le doigt sous le menton :
— Tu as perdu ta langue ?
Louisa continuait obstinément à baisser les yeux, la sévère maman se mit à sourire, cette petite lui tendait une perche pour découvrir son petit fessier. Elle la saisit par l’oreille :
— Je vais t’apprendre la politesse ma chérie.
Elle s’installa sur une chaise et bascula la jeune fille en travers de ses cuisses :
— On va voir si tu as encore des cordes vocales !!
En un instant la jupe avait volé sur les reins et la culotte était baissée sous les fesses. Louisa avait juste eu le temps de crier pour protester :
— Non, non, madame… Non, aïe, aïe…
Déjà la fessée crépitait dans la pièce sous le regard intéressé de Laurence, la jeune fille se débattait, mais elle ne pouvait que battre des jambes car Odile la maintenait fermement par la taille, elle se mit à rire en continuant d’administrer de magistrales claques sur le derrière bien rebondi :
— On dirait que tu as retrouvé ta voix.
Les mignonnes fesses de la donzelle étaient rouges à présent, Odile la remit sur ses pieds sans la reculotter :
— Tu restes cul nu sous ta jupe, je pense que ta maman va s’occuper de ton derrière, il sera prêt. Estime-toi heureuse que je te laisse ta jupe, la prochaine fois tu traverseras la cour les fesses à l’air, allez file !!
Une magistrale claque appliquée au milieu du fessier écarlate incita Louisa à quitter la pièce. Odile se tourna vers Laurence en souriant, celle-ci était ravie de cet intermède :
— Elle a vraiment une très mignonne paire de fesses, je comprends qu’Annie la déculotte souvent.
Elle prit le thermomètre sur la table et l’agita en l’air :
— Maintenant, à nous deux vilaine fille.
Laurence ouvrit la bouche pour protester mais déjà Odile lui avait saisi l’oreille :
— Non, non, aïe…
Une claque très sèche sur la cuisse lui fit comprendre qu’elle n’était plus maîtresse de son destin, Odile s’était assise sur la chaise qui avait servi pour la fessée de Louisa :
— Ne commence pas à faire ta mauvaise tête, tu sais très bien que ça m’agace !
Laurence se retrouva rapidement dans une position qu’elle commençait à connaître. Et malheureusement pour elle la suite fut classique également, sa jupe troussée sur ses reins et un déculottage rapide, elle avait déjà reçu deux magistrales fessées déculottées et elle en position pour en recevoir une troisième. Elle trémoussa un peu son derrière pour essayer d’amadouer sa maîtresse et elle minauda :
— Chérie, je n’ai plus l’âge, tu ne veux pas qu’on essaye autre chose.
Le petit intermède saphique de la veille était encore dans sa mémoire. Odile la fit déchanter, elle claqua sèchement le fessier encore rouge :
— Ma chérie, nous verrons plus tard si tu mérites des câlins, mais pour le moment on va régler ton petit problème d’indiscipline chez Annie.
Laurence serra les fesses sous la menace, ce qui fit sourire Odile :
— Tu as raison de craindre pour ton derrière ma chérie, tu connais l’adage puisque Clara m’a dit que tu l’appliquais « une fessée à l’école égale deux fessées à la maison ». Je vais donc t’administrer la première maintenant et ensuite tu vas goûter au thermomètre, pour la deuxième ça dépendra de ta sagesse.
Elle leva la main et administra une dizaine de claques sur les belles fesses de Laurence, puis elle s’arrêta et prit sa brosse à cheveux, c’était une découverte pour la punie, jamais elle n’avait été fessée avec un instrument, la brûlure la surprit et elle se mit à se débattre, ses cris emplissaient la pièce, Odile la maintenait solidement par la taille et s’appliquait à n’oublier aucune partie du postérieur :
— Alors ma chérie, tu la sens bien celle-là ? Tu recommenceras à désobéir à maman ?
— Non, non, aïe, arrête, aïe, aïe… Ça fait trop mal…
Laurence se mit à pleurer rapidement, Odile ne s’arrêta pas pour autant, elle voulait que son amie accepte sans rechigner ses punitions, il lui fallait une sévère correction. Les fesses étaient cramoisies, elle posa sa brosse et passa sa main sur la croupe brûlante :
— C’est parfait ton derrière est prêt, allez desserre tes fesses, si tu n’en veux pas une autre.
Laurence pleurait comme sa fille après un passage en travers de ses cuisses, la sévère maman écarta les deux hémisphères écarlates, la maman de Clara était vaincue. Elle n’était plus l’autoritaire mère de famille qui troussait et déculottait les deux étudiantes pour les fesser d’importance, mais juste une grande fille couchée sur les genoux d’une maîtresse qui s’apprêtait à lui faire subir l’humiliante introduction d’un thermomètre dans ses fesses largement écartées.
L’instrument médical pénétra doucement, les trois fessées reçues avaient fait leur effet, Laurence se laissa faire. Odile satisfaite lui tapota les fesses brûlantes :
— Alors ma chérie quelle effet ça te fait de te faire prendre la température par maman Odile ? Ça te rajeunit ?
Laurence gémissait doucement :
— Pardon Odile, s’il te plaît… oui j’ai compris… Si les filles arrivent…
La sévère maîtresse lui caressait les fesses, elle se mit à rire :
— C’est vrai que tu n’es pas dans une position très glorieuse ma pauvre chérie, mais ta paire de fesses est vraiment magnifique et tu l’as bien cherché. De toute façon tu vas garder le thermomètre un moment, il va falloir t’y habituer.
La punie se mit à supplier :
— Oh non, s’il te plaît…
Odile lui administra une claque sur chacune de ses fesses :
— Cesse un peu ces jérémiades, tu es punie, un point c’est tout, si tu veux une autre fessée tu n’as qu’a le dire.
Immédiatement les gémissements cessèrent :
— Tu vas te lever doucement en serrant les fesses, si le thermomètre ressort gare à toi.
Laurence le rouge aux joues, s’exécuta, Odile lui désigna le canapé :
— Couche-toi sur l’accoudoir.
Sans un mot, elle s’installa les fesses pointées vers le ciel, Odile s’approcha et les écarta pour enfoncer un peu plus le thermomètre :
— Tu es bien installée ? Tu en as pour une heure à exposer tes fesses ma chérie, détends-toi. Tu es ravissante.
Laurence pensa aux filles qui pouvaient rentrer à tout moment, elle supplia :
— Odile, s’il te plaît ne me laisse pas là si quelqu’un arrive.
Celle-ci se mit à rire :
— Eh bien ils verront ce qui arrive aux dames désobéissantes, même quand elles croient avoir passé l’âge de la fessée cul nu.
Elle claqua les fesses en souriant :
— Rassure-toi quand même, les filles ne vont pas rentrer, pour une fois qu’elles ont l’autorisation de sortir jusqu’à vingt heures, elles vont en profiter.
Laurence dut se résigner, elle allait passer une heure dans cette position humiliante, Odile l’avait laissé pour se livrer à ses activités domestique. Le temps lui paru affreusement long, elle sursautait et contractait son derrière au moindre bruit, mais personne n’eut le plaisir d’admirer sa croupe écarlate bien exposée.
La punition de Suzanne
Comme dans un rêve l’ancienne gouvernante s’approcha de la jeune femme qui aurait pu être sa petite fille, ses jambes touchaient les cuisses de Laetitia, elle eut un mouvement de recul :
— Non, non mademoiselle Laetitia… enfin, j’ai soixante-dix ans… quand même.
Celle-ci lui saisit la main et en riant l’attira près d’elle :
— La belle affaire, il n’y a pas d’âge pour recevoir une bonne fessée quand on la mérite, regardez Brigitte qui nous présente son derrière bien rouge, elle n’est pas très jeune et puis je peux vous dire que vous la méritez cette fessée depuis le temps que vous jouez à la curieuse derrière votre fenêtre. Allez en piste !!
Elle tira sur le bras de Suzanne et la fit basculer en travers de ses cuisses, celle-ci ne résista pas, elle était assez menue, mais sa croupe tendait quand même sa jupe. Laetitia était surprise de la facilité avec laquelle Suzanne s’était soumise, elle tapota la jupe, elle voulait vérifier si la demoiselle de soixante-dix ans allait se laisser faire :
— Vous êtes bien installée ? Ça vous rajeunit n’est-ce pas ?
L’ex-gouvernante ne répondit pas, elle était revenue des années en arrière, une jeune femme de chambre punie par la responsable de l’étage dans la chambre de l’hôtel Royal. Les souvenirs lui revenaient par bouffée, mademoiselle Louise était sévère et perverse, elle aimait déculotter et rougir les fesses des jeunes femmes qui étaient sous son autorité, il ne se passait pas une semaine sans qu’elle finisse sa journée avec les fesses brûlantes.
Plus tard elle lavait adoré jouer les mères fouettardes à son tour, mais aujourd’hui c’était sa robe qui était retroussée. Elle sentit l’air frais sur ses cuisses, Laetitia avait saisi l’ourlet comme elle en avait l’habitude depuis quelque temps et l’avait retroussée haut sur les reins, elle portait une culotte rose qui couvrait bien son derrière, on le devinait crispé par l’angoisse, mais à aucun moment elle n’avait cherché à se dérober. La jeune femme caressa le sous-vêtement :
— Ma chère Suzanne, vous avez une jolie culotte, mais je suis désolée, je vais être obligée de vous la baisser.
La vieille fille sembla sortir de sa torpeur, elle se mit à gémir :
— Oh non mademoiselle Laetitia, s’il vous plaît pas la culotte, j’ai trop honte.
Elle protestait doucement, mais ne bougeait pas, Laetitia se rendit compte que la partie était gagnée, elle arborait un sourire triomphant, elle claqua la croupe culottée :
— Bien sûr que je vais vous baisser la culotte ! Et si vous avez honte de me montrer vos fesses c’est parfait, c’est justement pour ça que je vous déculotte.
Tout en parlant elle avait glissé ses doigts sous l’élastique de la ceinture et elle faisait glisser la lingerie sur le derrière de Suzanne. Depuis le temps, celle-ci avait oublié combien c’était humiliant de sentir le regard d’une étrangère sur son intimité mise à nu. Elle sentit les doigts de la jeune femme caresser ses fesses, elle geignait doucement :
— Oh non mademoiselle, s’il vous plaît pas la fessée cul nu.
C’était le terme qu’avait employé la gouvernante le jour de son embauche « en cas de travail mal fait, c’est la fessée cul nu ! ». Même si ça remontait à plus de cinquante ans, elle s’en souvenait comme si c’était hier. Le claquement sec suivi d’une brûlure l’avertit que la punition avait commencé, ce ne fut pas une petite fessée, mais une vraie correction. Malgré son jeune âge, Laetitia se comportait comme une maman sévère corrigeant sa grande fille, que celle-ci ait soixante-dix ans n’avait aucune importance. Bientôt les fesses prirent une belle couleur rouge, les cris mêlés aux pleurs de Suzanne remplissaient la pièce, ses jambes pédalaient dans le vide, sa culotte était entortillée autour de ses chevilles. Laetitia s’appliquait, c’était la première fessée de la demoiselle, il fallait qu’elle s’en souvienne, ce ne serait pas la dernière, mais cette expérience allait rester gravée dans son cerveau et nul doute que comme Brigitte, elle accepterait désormais l’autorité de la jeune femme. La croupe était écarlate comme le haut des cuisses, la punition cessa :
— Voilà ce que j’appelle une bonne fessée déculottée ma chère Suzanne. Avouez que vous l’aviez méritée.
La vieille fille ne répondit pas, elle pleurait comme une gamine, ses fesses se serraient pour essayer d’atténuer la cuisson, Laetitia se mit à rire :
— On dirait que mademoiselle a chaud aux fesses, ça vous brûle ma petite Suzanne ?
L’ex-gouvernante sanglotait doucement, une claque sèche atterrit sur son derrière meurtri :
— Quand je pose une question on répond mademoiselle, vous voulez une autre fessée ?
Suzanne se mit à gémir :
— Non, non mademoiselle Laetitia, plus la fessée s’il vous plaît.
Laetitia adorait tourmenter ses punies, elle les voulait soumises, Suzanne n’échapperait pas à sa perversité, elle claqua une dizaine de fois le fessier brûlant, la vieille fille se remit à crier et à supplier :
— Non, non, aïe, aïe… Pardon, ça brûle mademoiselle.
La jeune femme cessa la correction et posa sa main sur la croupe brûlante :
— Alors vous allez me répondre ma petite Suzanne, ma main n’est pas fatiguée et vos fesses peuvent encore rougir. Je répète mes deux questions. Avez-vous mérité cette fessée oui ou non et est-ce que votre petit derrière vous brûle ? Dépêchez-vous de répondre ou je recommence la fessée et je vous garantis que vous aurez du mal à vous asseoir ce soir.
La demoiselle était redevenue une petite bonne sur les genoux de la gouvernante, elle sanglotait, Laetitia releva la main :
— Très bien, tu l’auras cherché.
La fessée reprit de plus belle, la jeune femme administrait de grandes claques espacées, le fessier cramoisi tressautait à chaque fois, la demoiselle punie pleurait et suppliait en même temps, ses pieds continuaient de battre l’air et sa culotte était entortillée autour des chevilles. Suzanne allait se souvenir longtemps de la première correction de sa jeune maîtresse. Laetitia cessa à nouveau la fessée :
— Ça te suffit ou je continue ?
Elle était passée naturellement au tutoiement, sa main était posée sur la fesse droite, en sanglotant Suzanne répondit :
— Oui mademoiselle, pardon… ça brûle…
Laetitia souriait :
— Tu l’avais bien mérité n’est-ce pas ?
— Ou… oui mademoiselle…
— Tu vas me dire ça un peu mieux, répète après moi, « merci mademoiselle de m’avoir administré cette bonne fessée déculottée que j’avais bien méritée ».
Suzanne avait tellement mal aux fesses qu’elle ne souhaitait qu’une chose, que la punition s’arrête, elle répéta docilement :
— Merci mademoiselle de m’avoir administré cette bonne fessée déculottée… Aïe…
La main de Laetitia venait de reclaquer deux fois les fesses endolories :
— Tu recommences et tu ne t’arrêtes pas !
— Merci mademoiselle de m’avoir administré cette bonne fessée déculottée que j’avais bien méritée.
Laetitia se mit à rire, elle tapota le derrière écarlate :
— Eh bien nous y voilà, notre petite Suzanne devient mignonne, il n’y a rien de mieux qu’une bonne déculottée pour faire obéir les vilaines filles de soixante-dix ans. Tu vas voir, mademoiselle Laetitia va s’occuper régulièrement de tes jolies fesses et tu n’y auras plus jamais froid.
Elle fit relever la demoiselle, des larmes coulaient sur ses joues. Comme elle l’avait fait pour Brigitte elle lui saisit l’oreille et la conduisit à côté de la professeure, sa culotte la gênait pour marcher, elle faillit trébucher. Quand elle eut mis son nez contre le mur, Laetitia remonta la culotte à mi-cuisses et épingla la robe dans le dos avec une de ses pinces à cheveux. Elle se recula légèrement pour admirer le spectacle :
— Voilà deux jolis derrières.
Elle prit son téléphone :
— Vous allez tourner la tête vers moi en gardant les mains dessus.
Elle prit immédiatement une photo, on distinguait bien les visages des deux punies et leurs fesses nues très rouges :
— C’est parfait, remettez votre nez contre le mur. Cette petite photo restera confidentielle tant que vous serez docile, s’il vous prenait l’idée de refuser mes punitions, tout le monde pourra voir que vous recevez encore la fessée déculottée à votre âge.
Les deux dames d’âge mûr étaient désormais à la merci de la jeune femme, elle n’allait pas se priver d’user et d’abuser de ce nouveau pouvoir.
Elle s’approcha de Brigitte et glissa sa main entre ses cuisses puis remonta dans la raie médiane. Son doigt s’insinua jusqu’au petit trou qu’elle titilla :
— Alors ma petite Brigitte, tu aimes quand mademoiselle Laetitia s’occupe de ton gros derrière n’est-ce pas ?
La professeure gémissait doucement, rouge de confusion, le doigt pressa un peu plus l’anus :
— Réponds vite sinon tu vas revenir sur mes genoux ma chérie.
— Oh… mademoiselle… euh… aïe…
La main avait claqué sa croupe, elle ne désirait pas reprendre une autre correction, elle avala sa salive :
— Oui, oui mademoiselle…
— Oui quoi ?
La main reclaqua le fessier brûlant.
— Oui mademoiselle, j’aime que vous vous occupiez de mes bonnes grosses fesses.
Elle en avait rajouté dans l’humiliation afin d’amadouer sa jeune maîtresse. Celle-ci souriait ravie de la soumission de cette dame qui aurait pu être sa grand-mère, elle tapota les larges fesses bien rouges :
— Eh bien, puisque tu aimes ça, je te promets que tu ne seras pas déçue, tu vas voir comme je vais bien te les rougir ma chérie. Vous êtes trop mignonnes toutes les deux avec vos derrières bien rouges, ne bougez pas de là.
Elle entreprit de visiter l’appartement de Suzanne, dans la salle de bain, elle sourit en voyant une brosse à cheveux avec un large manche en bois « Ça va bien chauffer tes petites fesses ma chérie ", elle ouvrit les tiroirs et elle trouva enfin ce qu’elle cherchait, une dame de l’âge de l’ex-gouvernante avait obligatoirement un thermomètre traditionnel en verre, elle le regarda ravie « et ça c’est pour garnir ton petit trou ». Elle revint dans le salon, les deux punies n’avaient pas bougé.
Elle s’approcha de Brigitte et lui claqua sèchement les fesses :
— Pour le moment, ta pénitence est levée, tu peux te reculotter.
Puis elle se dirigea vers Suzanne, ses fesses étaient contractées, la jeune femme la prit par l’oreille et l’amena au centre de la pièce. Brigitte était contente à double titre, d’abord elle avait pu remonter sa culotte et couvrir ses fesses et en plus elle allait assister à n’en pas douter à la suite de la punition de la demoiselle. Celle-ci s’était régalé au spectacle de sa correction, c’était un juste retour des choses.
Laetitia s’était assise sur une chaise, elle fit basculer sa nouvelle pupille en travers de ses cuisses :
— Je vais continuer à m’occuper de ton derrière ma chérie.
Elle tapota la croupe avec le dos de la brosse à cheveux :
— J’ai trouvé ça dans ta salle de bain, est-ce que tes fesses y ont déjà goûté ?
Le derrière de Suzanne se crispa un peu plus, mais instruite par la double fessée reçue précédemment, elle jugea utile de répondre :
— Non, mademoiselle Laetitia, jamais.
La jeune femme tapota un peu plus sèchement la croupe :
— Eh bien tu vas voir comme c’est bon.
La brosse commença à claquer le fessier de la demoiselle qui aussitôt poussa des cris déchirants, heureusement que laetitia la tenait solidement par la taille, car elle se mit à se débattre pour échapper à la morsure du sévère instrument, ses jambes battaient l’air et elle se mit à pleurer rapidement :
— Aïe, aïe, aïe, non, non mademoiselle plus la fessée, non ça brûle… Pardon je serai sage…
La jeune femme se mit à rire de ses supplications enfantines, décidément ce nouveau rôle de baby-sitter de dames âgées était vraiment très amusant :
— J’espère bien que tu seras sage ma petite Suzanne, sinon tu auras panpan cucul comme une vilaine fille.
Elle s’amusait à infantiliser sa victime, c’était tellement excitant, la fessée fut assez courte, mais les tourments de la vieille fille n’était pas terminé, Laetitia posa la brosse sur le dos de la punie et prit le thermomètre, avec deux doigts elle écarta les fesses écarlates. La pauvre Suzanne se rendit compte qu’elle allait subir le même traitement humiliant que Brigitte la veille, malgré la brûlure qui envahissait son fessier et les risques d’une deuxième fessée, elle essaya de retarder l’échéance en serrant ses fesses. Calmement la jeune baby-sitter reprit la brosse :
— Je savais bien que j’en aurais encore besoin.
L’ex-gouvernante brailla comme une gamine punie dès que la brosse se remit à claquer.
— Oh tu peux crier tout ton saoul ma chérie, je te garantis que tu vas finir par comprendre qu’il ne sert à rien de vouloir éviter ta punition. A chaque fois ce sera la même chose, la fessée sera doublée.
Laetitia était à bonne école avec Odile qui elle-même avait appris les bases d’une éducation sévère avec Claudine sa maman. Dans la famille, de génération en génération les mères rougissaient les fesses de leurs filles.
La croupe de Suzanne était littéralement cramoisie, cuite à point pour utiliser une expression d’Odile, la jeune maîtresse reposa la brosse sur les reins de la punie :
— Elle reste à la disposition de ton derrière ma petite Suzanne. Si tu te laisses faire elle restera là, mais gare à toi si tu serres les fesses.
Elle écarta à nouveau les deux hémisphères écarlates, mettant à jour la petite rondelle brune, elle commençait à avoir l’habitude, les deux étudiantes lui avait déjà présenté cet endroit secret et celui de Brigitte n’avait plus de secret pour elle.
C’était une humiliation intense pour la demoiselle de soixante-dix ans, jamais depuis qu’elle avait quitté l’enfance on ne lui avait fait subir un examen aussi intime. Elle sentait le regard de sa jeune maîtresse braqué sur sa raie grande ouverte, elle se mit à pleurer de honte.
Laetitia souriait en tenant à deux doigts les fesses écartées, elle se tourna vers Brigitte :
— Tu vois ce qui arrive aux petites curieuses et aux désobéissantes. Notre chère Suzanne va comprendre que mademoiselle Laetitia est une baby-sitter sévère.
Brigitte souriait également, ses fesses étaient encore douloureuses, mais voir sa voisine dans cette posture honteuse la consolait un peu. Elle approcha pour voir de plus près ce fessier rubicond. Laetitia prit le thermomètre et le posa sur la rondelle :
— Ce joli derrière attend le thermomètre, on ne va pas le faire patienter plus longtemps. Allez ma petite chérie on se décontracte, tu vas voir comme ça fait du bien un thermomètre dans les fesses après une bonne déculottée.
Elle exagérait vraiment les bienfaits de l’introduction d’un thermomètre dans son fondement, c’était surtout très humiliant. Mais c’était vraiment excitant pour les deux spectatrices, Suzanne geignait doucement mais la double fessée à la brosse avait fait son effet et elle ne serra pas les fesses.
Comme à son habitude la jeune femme l’enfonça profondément, puis elle relâcha les fesses :
— Voilà, il est bien en place, si tu avais été sage ça t’aurais évité la deuxième fessée. C’est toujours comme ça au début, il faut expliquer aux fesses ce que les oreilles n’entendent pas.
Suzanne ne disait rien complètement surprise par cette nouvelle expérience, la tête près du sol, les fesses brûlantes et largement exposées. Laetitia tournait doucement le thermomètre et le faisait coulisser, le sortant légèrement puis le rentrant profondément, il fallait que la domination soit complète, elle expliqua à la demoiselle ce qu’elle attendait d’elle à partir de maintenant :
— Demain tu iras acheter un martinet, je t’indiquerai la boutique où maman se les procure, tu l’accrocheras dans la cuisine, il doit toujours être disponible. Chaque fois que je viendrai te voir tu me présenteras ton derrière, Brigitte va te montrer comment faire.
Le sourire de la professeure se figea en entendant ces derniers mots, décidément mademoiselle Laetitia n’oubliait rien. Elle continua :
— Tu vas garder le thermomètre une heure, ça t’apprendra l’obéissance, je ne vais pas te tenir sur mes genoux pendant tout ce temps, tu vas te relever doucement en serrant bien tes fesses pour garder le thermomètre en place. Allez on se lève !
Elle avait claqué sèchement le fessier, Suzanne le visage rouge de honte se releva, elle baissait la tête pour ne pas croiser le regard des deux spectatrices, surtout celui de Brigitte qui avait assisté à son humiliation. Laetitia lui plaça un doigt sous le menton pour lui faire lever les yeux :
— Regarde-moi quand je te parle ! C’est bien d’avoir ce thermomètre dans le derrière ?
Suzanne était au supplice, les épisodes précédents avaient été cuisants pour ses fesses, elle savait qu’il lui fallait répondre :
— Oui… Oui mademoiselle Laetitia…
La jeune femme éclata de rire :
— C’est bien ce que je t’avais dit, eh bien puisque tu sembles aimer ça ne t’inquiète pas tu auras souvent ton petit cul garni.
L’ex-gouvernante se mordit les lèvres, ce n’était pas si agréable, mais elle avait répondu ça pour faire plaisir à la jeune femme et éviter une nouvelle punition. Laetitia se tourna vers Brigitte :
— Tu vas montrer à Suzanne comment elle doit faire quand j’arrive chez elle.
La professeure rougit, mais ne protesta pas, les multiples fessées avaient fait leur effet, elle se tourna et souleva sa jupe, puis elle baissa sa culotte sous ses fesses et se pencha légèrement pour bien faire ressortir son large fessier encore rouge, elle tenait sa jupe pour qu’elle ne retombe pas.
Laetitia s’approcha et caressa cette belle croupe :
— C’est parfait, puisque tu es cul nu, tu vas retourner au coin, tes fesses n’ont pas assez refroidi.
Docilement Brigitte se plaça à nouveau le nez contre le mur en tenant toujours sa jupe, sa jeune maîtresse s’approcha et coinça l’ourlet dans la ceinture, puis elle claqua le derrière :
— Mets tes mains sur la tête !
Elle se tourna vers Suzanne :
— Tu as vu comment Brigitte a fait, je te conseille de ne pas oublier sinon gare à tes fesses.
Elle s’approcha de la demoiselle qui serrait toujours ses fesses sur le thermomètre et lui prit l’oreille :
— Viens un peu là ma jolie.
Elle l’attira vers le canapé et la fit se coucher sur l’accoudoir, elle vérifia que le thermomètre était bien en place, puis claqua une nouvelle fois le fessier rougeoyant :
— Voilà deux petits culs bien rouges et bien exposés. Je vais vous laisser un moment, j’ai une course à faire, ne vous avisez pas de bouger ni l’une ni l’autre, sinon je vous garantis que vous aurez du mal à vous asseoir pendant plusieurs jours.
Elle ouvrit en grand les rideaux du salon et sortit en prenant soin de fermer la porte à clé. Elle garda le trousseau dans son sac, les deux dames étaient donc enfermées dans l’appartement comme deux gamines punies par leur maman.
Au bout de quelques minutes de silence, Suzanne chuchota :
— Brigitte, vous croyez qu’elle va nous laisser là longtemps ?
La professeure répondit doucement :
— On ne doit pas parler quand on est au coin.
— Mais elle est partie…
— Oui, je sais, mais il faut faire attention, si elle revient à l’improviste et qu’elle nous entend, ça craint pour nos fesses.
— On va parler doucement et on entendra la clé.
Brigitte avait légèrement tourné la tête tout en la gardant tout près du mur, elle pouvait voir le fessier cramoisi de Suzanne tendu vers le ciel et le thermomètre dépassant de la raie fessière bien serrée.
— D’accord…
— Je vous demandais si elle allait nous laisser là longtemps ?
— Vous l’avez bien entendu, elle a dit que vous alliez le garder une heure, elle tient toujours ses promesses, j’en sais quelque chose.
Suzanne contracta ses fesses et bougea légèrement, elle soupira :
— Mais c’est long… Une heure comme ça ?
— Il va falloir vous y habituer, et rester au coin aussi. C’est pénible surtout quand il y a du monde, mais je préfère quand même ça à la fessée.
Suzanne se mit à gémir :
— Comment ça, quand il y a du monde ? Elle vous laisse les fesses à l’air en public ?
— Oh oui, et sa mère fait ça aussi très souvent, elle dit que la punition est plus efficace quand il y a des spectatrices.
— Oh mon dieu… c’est impossible.
Malgré la situation et la cuisson de ses fesses, Brigitte ne put s’empêcher de sourire :
— Je crains ma chère que vous n’ayez pas le choix, à moins que vous ne teniez à ce qu’elle divulgue les photos de vos fesses bien rouges.
Suzanne ne répondit pas, elle se concentra sur la brûlure de ses fesses, ses mains se portèrent vers sa croupe pour la frotter. Brigitte la regardait du coin de l’œil :
— Vous ne devriez pas faire ça, d’abord c’est interdit et en plus ça ne sert à rien, vos fesses vont continuer à vous cuire toute la soirée, c’est normal après une fessée à la brosse.
Suzanne reposa ses mains sur le canapé et se contenta de soupirer.
Pendant ce temps Laetitia était rentrée chez elle. Il n’y avait personne, elle fut rassurée, sa mère ne se demanderait pas où elle était passée. Dans sa chambre elle s’allongea sur son lit et se repassa le film de cette matinée, c’était vraiment excitant, elle glissa sa main dans sa culotte et se mit à se caresser, elle arriva quasiment à la jouissance en revoyant les images des deux paires fesses qu’elle avait déculottées et fessées sans retenue, ces deux dames d’âge mûr étaient maintenant entièrement soumises à ses caprices, elle les imagina en pénitence les fesses à l’air. Elle avait tout son temps, la crainte d’une nouvelle correction allait les faire tenir tranquille.
Elle se leva et regarda par la fenêtre, elle apercevait l’appartement de Suzanne, aucune trace de mouvement n’était visible. Elle vit Brigitte le nez posé contre le mur et les mains sur la tête, on ne distinguait pas Suzanne, il faudrait qu’elle trouve l’endroit où la mettre quand elle serait en pénitence afin qu’on la voie les fesses à l’air. Il était temps d’y retourner.
Elle tourna très doucement la clé et rentra en silence dans l’appartement, les deux punies n’avaient pas bougé :
— C’est bien, je vois que la bonne fessée déculottée de mademoiselle Laetitia a fait de l’effet vous êtes devenues de gentilles petites filles.
Elle s’approcha de Brigitte et tapota sa croupe encore rouge, elle avait perdu un peu de sa chaleur, puis elle se dirigea vers Suzanne, ses fesses étaient encore écarlates, la brosse avait été très efficace, elle caressa le derrière puis commença à faire coulisser le thermomètre :
— Alors ma petite chérie, tu le sens bien dans ton petit cul ?
La vieille fille contracta ses fesses sans répondre, une claque sèche frappa sa fesse droite.
— Alors ?
— Oui, oui mademoiselle, pardon, s’il vous plaît plus la fessée.
Elle gémissait, craignant une nouvelle correction. La jeune femme souriait fière de son autorité :
— Il va falloir t’apprendre à répondre quand je te pose une question. Bon tu en as encore pour une demi-heure.
Elle regarda le gros derrière de la professeure, une petite humiliation supplémentaire lui ferait le plus grand bien. Elle la saisit par l’oreille :
— Allez, tu as fait assez de coin, je te ramène à la maison.
Brigitte se mit à gémir quand elle se rendit compte que sa jeune maîtresse comptait la faire traverser la cour de l’immeuble avec les fesses nues :
— Oh non mademoiselle Laetitia, s’il vous plaît, remettez-moi au moins la jupe.
La jeune perverse se mit à rire et claqua sèchement les fesses de sa soumise :
— Bien sûr que non, tu vas rester cul nu ma chérie, allez en route !
Elle tenait toujours la professeure par l’oreille comme si elle était une gamine, Brigitte se demanda avec effroi si en plus de traverser la cour les fesses nues elle allait aussi marcher tenue par l’oreille comme une mauvaise élève. Elle était dans l’entrée, Laetitia ouvrit la porte et enfin lui lâcha l’oreille, une nouvelle claque atterrit sur son derrière pour lui indiquer qu’il était temps d’avancer :
— On y va tu vas voir comme ça va faire du bien à ton joli derrière de prendre l’air.
Elle se tourna vers Suzanne :
— Quant à toi je te conseille de ne pas bouger si tu veux pouvoir t’asseoir ce soir.
Elles descendirent l’escalier, Brigitte complètement affolée regardait dans toutes les directions pour guetter l’éventuelle arrivée d’une habitante de l’immeuble, Laetitia lui avait pris la main et la faisait avancer rapidement. Quand elles arrivèrent dans la cour, Brigitte se raidit légèrement, Laetitia se mit à rire :
— Madame a peur de montrer ses fesses nues, tu devrais te dépêcher pendant qu’il n’y a personne et puis n’oublie pas que je peux te flanquer une autre fessée ici si c’est nécessaire pour te faire avancer.
Elles traversèrent la cour sans rencontrer personne, en arrivant dans le hall, une dame attendait devant l’ascenseur, elle se tourna vers elles, Brigitte rouge de honte reconnu sa voisine de palier, la porte de l’ascenseur s’ouvrit, Sylvie Belon s’effaça pour les laisser passer.
Brigitte la connaissait depuis très longtemps, elles étaient voisines déjà du temps de son mari et elle était sûr qu’elle était au courant des méthodes utilisées par celui-ci pour gérer leur couple. Bien que celui-ci ne l’ait jamais puni d’une fessée en public, elle avait sans aucun doute possible entendu le bruit des déculottées qu’elle recevait régulièrement. Elle la salua amicalement :
— Bonjour Brigitte comment allez-vous ?
Quand la professeure poussée par Laetitia passa devant elle, elle poussa un petit cri d’étonnement en voyant la jupe retroussée par-derrière et la culotte baissée sous les fesses découvrant parfaitement le postérieur encore rouge de sa voisine.
— Mon dieu, mais…
Sa phrase resta en suspens, Laetitia la regarda en souriant :
— J’ai été obligée de punir Brigitte, je la raccompagne chez elle, mais comme elle n’a pas fini son temps de coin, c’était inutile de lui remonter la culotte.
Sylvie Belon esquissa un sourire, ainsi sa voisine continuait d’être soumise à ce châtiment enfantin, peut-être aimait-elle ça :
— Si c’est ça je comprends mieux, vous lui avez donc administré une fessée déculottée ?
— Oui nous sortons de chez mademoiselle Vilpot, Brigitte a été insupportable, j’ai été obligée de sévir. Une bonne fessée déculottée ça remets les idées en place à tout âge n’est-ce pas ?
L’ascenseur était arrivé à l’étage, Laetitia prit la professeure par la main et la conduisit devant la porte de son appartement, Sylvie était fascinée par le plantureux fessier de sa voisine exposé à sa vue, cette jeune femme semblait savoir ce qu’elle voulait son regard perçant l’impressionnait, avant d’ouvrir la porte, elle se tourna vers elle :
— Je ne suis pas toujours là pour surveiller Brigitte, si par hasard vous constatez un mauvais comportement de sa part, signalez-moi le ou même mieux, je vous autorise à lui flanquer une fessée. Sylvie se mit à sourire devant cette proposition pour le moins originale, mais elle ne refusa pas, au contraire :
— Vous pouvez compter sur moi.
Brigitte était effondrée devant la perspective d’être sous le joug d’une nouvelle personne, laetitia ouvrit la porte et claqua sèchement les fesses de sa pupille :
— Allez entre et tu files te mettre au coin !
Sylvie fit un petit clin d’œil à la jeune femme :
— Je vois qu’avec vous elle file droit, c’était comme ça avec son défunt mari, je crois que c’est ce qu’il lui faut.
Une fois dans l’appartement, Laetitia indiqua le mur à Brigitte :
— Encore une demi-heure et tu pourras te reculotter. Je vais aller finir de m’occuper de Suzanne et ensuite je reviens, sois sage ma chérie.
Elle redescendit chez la demoiselle qui n’avait pas bougé, elle avait perdu un peu la notion du temps, quand Laetitia lui écarta les fesses et lui retira le thermomètre, elle lui claqua sèchement les fesses et l’autorisa à se relever. Puis elle lui fit quitter sa culotte :
— Tu es privée de culotte toute la journée et ta robe va rester épinglée dans ton dos jusqu’à ce que je pense que ta punition est suffisante.
Elle posa son doigt sous le menton de Suzanne pour qu’elle la regarde :
— Tu es contente que je m’occupe de toi ?
L’ex-gouvernante rougit violemment et répondit :
— Oui mademoiselle.
Triomphante, Laetitia ajouta :
— Alors qu’est-ce qu’on dit ?
— Mer… Merci mademoiselle Laetitia.
La jeune femme l’enlaça et lui fit une bise pendant que ses mains caressaient ses fesses :
— C’est bien ma chérie, tu vas voir comment je vais m’occuper de ton derrière. Allez je te laisse, je t’appellerai pour te dire quand tu pourras baisser ta robe. Bien sûr tu ne vas pas désobéir, n’est-ce pas ?
Elle savait que Suzanne ne toucherait pas à sa robe, elle savait qu’après le genre de correction qu’elle lui avait administré, on avait pas envie de faire la maligne.
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