dimanche 29 septembre 2024

Atramenta

 Bonjour à tous mes fidèles lecteurs.

Amies et amis des fessées déculottées et des derrières cuisants.

Je publie pour celles et ceux que ça intéresse quelques uns de mes récits sous forme de romans complets à lire tranquillement.

Sur Atramenta.net

Auteur : Sylvie Bouger

Voici la liste de mes publications à ce jour :


Le hameau des fesses rouges




Julie ou les mémoires d'une fesseuse



Une sévère belle fille

dimanche 22 septembre 2024

Discipline traditionnelle 3

Mère et fille aux fesses bien rouges





 Kate s’était approché de son élève et avait retiré la feuille qu’elle tenait avec son nez, l’ordre avait claqué en même temps que sa main sur les fesses rougies :

— Va chercher le martinet !!

Julie n’était plus en état de protester, elle se dirigea vers la cuisine et revint quelques secondes plus tard en tenant l’instrument de sa punition. Kate s’en saisit, elle caressa les lanières :

— Ma petite Julie tu as été vraiment une vilaine fille et je crois qu’en France les vilaines filles reçoivent le martinet sur leur derrière. Exact ?

Julie baissa les yeux, c’était inimaginable, quand elle avait retrouvé le martinet familial et qu’elle avait eu l’idée de le suspendre dans la cuisine, elle n’aurait jamais imaginé qu’il serve un jour sur ses propres fesses. Elle poussa un cri et sursauta, les lanières venaient de cingler ses mollets :

— Je t’ai posé une question !

Le regard de Kate était à nouveau sévère, Julie avait l’impression d’être devant sa mère quelques trente années plus tôt, il lui fallait se rendre à l’évidence, elle était redevenue une grande fille punie malgré ses quarante-cinq ans passés :

— Oui, miss Kate…

— Oui quoi ?

Le martinet cingla les cuisses.

— Aïe, aïe… oui je mérite le martinet miss Kate.

La jeune anglaise se mit à rire :

— A la bonne heure, la fessée déculottée fait des miracles, tu deviens obéissante ma petite Julie.

Elle plaça le manche du martinet sous le menton de son élève et lui fit lever la tête :

— Oui tu mérites une bonne fessée avec ce joli martinet. Mais comme c’est la première fois que je l’utilise, tu vas m’expliquer comment je dois m’en servir, quelle position dois-tu prendre pour bien la recevoir ?

C’était une idée perverse, car ce n’était pas très difficile de deviner comment utiliser un martinet, mais elle voulait parfaire la soumission de sa grande élève.

Julie était rouge de honte, Kate fit mine de lever le martinet pour cingler à nouveau, il lui fallait à nouveau répondre :

— Oui miss Kate, quand je donne la fessée à Caroline avec le martinet, elle doit se mettre à genoux sur le fauteuil et tendre ses fesses.

Julie était au supplice de devoir expliquer la position que sans doute elle allait être obligée de prendre. Kate la regardait en souriant, les joues de la maman punie étaient de la même couleur que ses fesses :

— C’est intéressant, il n’y a pas d’autres positions ?

Julie réfléchit un instant avant de répondre, elle n’utilisait que cette position avec Caroline, mais sa mère la faisait quelquefois se courber sur la table de la cuisine avant de la trousser et de la déculotter, quant à sa grand-mère elle se contentait de la coincer sous son bras et de la courber avant de lui cingler aussi bien les cuisses que les mollets et les fesses.

Elle expliqua donc à sa jeune professeure ces différentes possibilités, celle-ci caressait les lanières tout en fixant Julie, elle désigna la table :

— La table me parait être parfaite, ton derrière sera bien présenté, ma mère utilise cette position pour la strap. Tends bien tes jolies fesses.



 


Julie s’exécuta, Kate lui fit écarter les jambes autant que la culotte baissée à mi-cuisse le permettait, elle tapota la croupe tendue :

— Te voila en bonne position ma petite Julie, c’est ta deuxième fessée, la première c’était pour ta paresse, celle-ci c’est pour ton mensonge.

Elle fit glisser les lanières sur l’épiderme enflammé :

— Comme c’est la première fois, ce sera vingt coups de martinet, mais je ne serai pas toujours si gentille.

Julie honteuse de présenter ainsi son derrière se mit à gémir, elle ne trouvait pas Kate particulièrement gentille :

— Oh… pardon miss Kate, promis je ne recommencerai plus.

La jeune anglaise était vraiment ravie, si Julie avait pu voir le sourire éclatant qui illuminait son visage. Avoir à sa disposition cette magnifique paire de fesses bien rebondie, la soumission de cette dame qui aurait pu être sa mère, tout ceci la comblait. Elle tapota à nouveau les fesses de sa grande élève :

— J’en suis persuadée ma petite Julie, c’est fait pour ça la bonne fessée déculottée de miss Kate, tu es prête ?

Sans attendre la réponse, elle leva le martinet et cingla sèchement la large croupe.

Julie poussa un cri et fit mine de se relever, le deuxième coup atteignit le haut des cuisses, juste sous le pli fessier, en même temps que Kate l’avertissait :

— Ne t’avise pas de bouger sinon la punition sera doublée, c’est comme ça en Angleterre.

Julie cria plus fort, la brûlure était intense, elle se mit à trépigner sur place, mais elle garda la position. Son fessier était maintenant rouge brique, la rougeur descendait sur l’arrière des cuisses. Elle songea au jour où elle avait administré une correction de cinquante coups de martinet sur les fesses de Caroline, la pauvre avait eu certainement le derrière en feu. Pour le moment le sien n’était plus qu’une boule incandescente, la raie médiane s’ouvrait et se fermait au rythme de ses piétinements, elle aurait tellement aimé se frotter les fesses. Kate ne lui en laissa pas le temps ;

— File te mettre au coin, tu connais la position !! On va laisser refroidir ton derrière avant la dernière fessée.

La jeune anglaise ne résista pas au plaisir de prendre une photo de Julie exposant ses fesses écarlates. Elle savait que la punie ne bougerait pas, elle décida d’aller voir Caroline.

Elle monta l’escalier, elle connaissait le chemin, elle entra dans la chambre sans frapper, la jeune femme sursauta, elle était couchée sur son lit, sa jupe était retroussée. Kate se mit à rire :

— Mademoiselle a frotté ses fesses après la fessée déculottée, tu sais que c’est interdit.

Caroline était rouge de honte, sa copine l’avait vue en fâcheuse posture en train de recevoir un châtiment enfantin et en plus elle se moquait d’elle. C’est vrai qu’elle avait frotté son derrière, ça la cuisait vraiment trop. Elle tira sur sa jupe, mais Kate l’arrêta :

— Non, non laisse ta jupe où elle est, je voudrais bien voir tes petites fesses, est-ce qu’elles sont encore rouges ?

Caroline fit la moue :

— Ah non, pas question !

Le regard de Kate se fit plus sévère :

— Tu ne devrais pas me parler comme ça ma chérie, tu veux que j’aille raconter ça à ta maman ?

Caroline la regarda interdite :

— Tu ferais ça ?

Le sourire de Kate la rassurait à moitié, mais la sentence tomba :

— Bien sûr et même que je pourrais raconter à quelques personnes bien intentionnées que je t’ai vu tortiller tes petites fesses bien rouges quand tu étais couchée sur les genoux de ta mère.

Caroline resta bouche bée. Non, tout mais pas ça :

— Non, non, s’il te plaît Kate, je ferai tout ce que tu voudras.

La jeune anglaise voyait tous ses plans se réaliser, après la mère, c’était la fille qui allait être à sa disposition :

— Tu vas commencer par te mettre sur le ventre et te déculotter pour me montrer ton derrière, après on verra.

Complètement affolée à l’idée que ses amies puissent savoir qu’elle recevait encore la fessée déculottée, Caroline se retourna et baissa sa culotte.

Julie avait été sévère, en effet une heure après la fessée, la croupe de sa fille en portait encore les stigmates, une jolie rougeur couvrait l’ensemble du fessier. En amatrice éclairée, Kate appréciait le spectacle, son amie avait vraiment un joli derrière. Elle s’approcha et caressa les fesses :

— Ta maman ne t’a pas loupée, mais elle était méritée n’est-ce pas ?

Caroline ne savait pas trop à quoi s’en tenir, elle répondit timidement :

— Euh, oui, oui, mais ça brûle tu sais.

C’était une manière de justifier son frottage de fesses, mais elle était un peu honteuse de s’exhiber ainsi déculottée, elle n’osait pas bouger. Kate lui claqua légèrement la croupe :

— C’est fait pour ça la fessée ma petite chérie et celle que je vais te donner va te brûler aussi.

Caroline la regarda incrédule, passe que sa mère lui administre ce genre de punition, c’était difficile à accepter, mais elle n’y pouvait rien. Par contre que son amie anglaise veuille faire de même c’était intolérable. Elle ouvrit la bouche pour protester, mais elle n’eut pas le temps, déjà Kate lui avait saisi l’oreille pour la faire se relever :

— On ne doit pas frotter ses fesses après la fessée, tu le sais pourtant. Ta maman t’administrerait certainement une fessée supplémentaire, pour le moment elle en est empêchée, je vais donc la remplacer.

Caroline se mit à gémir :

— Non, s’il te plaît Kate, j’ai déjà les fesses en feu, promis je ne recommencerai plus.

La jeune anglaise la tenait toujours par l’oreille, elle était debout maintenant, elle claqua sèchement les fesses de Caroline :

— Cesse de pleurnicher, si tu continues je prends la brosse à cheveux comme ta mère.

Les gémissements cessèrent immédiatement, Caroline venait de comprendre que Kate ne plaisantait pas. Décidément la vie devenait compliquée, elle se laissa coucher en travers des cuisses de son amie. Celle-ci lui caressa les fesses, elles étaient vraiment appétissantes et tout à fait au goût de la jeune anglaise, elle était bisexuelle et sensible aux charmes de cette petite française, la mettre dans son lit lui semblait une agréable perspective.

En attendant, elle lui avait promis une fessée, il fallait lui administrer, elle souriait en voyant la légère chair de poule qui recouvrait les fesses de Caroline, « ma petite chérie, tu as raison de frissonner, tu vas voir comme Kate sait bien rougir les derrières, tu n’as pas fini d’avoir chaud au cul », elle se mit à rire silencieusement, elle faisait des progrès en français, elle adorait cette expression.



Elle leva la main et immédiatement Caroline se mit à pleurer, la fessée était vraiment très forte, elle n’aurait jamais pensé que son amie soit une fesseuse aussi aguerrie, elle eut rapidement le feu au derrière comme l’avait prévu la jeune anglaise. La correction ne dura pas très longtemps, juste le temps de couvrir la jolie croupe d’un rouge profond, puis Kate la fit relever et la guida pour qu’elle s’asseye sur ses genoux :

— Voilà ma chérie, une bonne petite fessée déculottée. À partir de maintenant tu peux préparer tes fesses, chaque fois que tu la mériteras tu viendras faire un petit séjour sur mes genoux.

Caroline sanglotait doucement, Kate glissa sa main sous la croupe brûlante :

— Arrête de pleurnicher, ça va te faire du bien tu verras. Tu as vraiment des fesses très mignonnes et je vais m’en occuper autrement tout à l’heure. Pour le moment je vais te faire une petite surprise, ça va te consoler très rapidement à mon avis.

Elle fit relever son amie et mit un doigt sur sa bouche :

— Viens avec moi, il y a quelqu’un qui attend au salon.

En entrant dans la pièce, Caroline failli pousser un cri mais le signe de son amie avec son doigt sur la bouche la retint. C’était bien sa mère qui était au coin le nez contre le mur, les mains sur la tête, la culotte baissée à mi-cuisse et exposant une magnifique paire de fesses bien rouges. Kate indiqua à Caroline un fauteuil et lui fit signe de s’y asseoir. Puis elle se dirigea vers la mère de famille punie et lui prit l’oreille :

— Viens un peu ici vilaine fille insolente, c’est l’heure de ta dernière fessée.

En se retournant, Julie découvrit avec horreur sa fille assise en face d’elle, le sourire éclatant qui illuminait son visage était éloquent, elle tenait sa revanche. Kate continua de tirer sa grande élève par l’oreille pour l’amener au centre de la pièce où trônait toujours la chaise qui avait servi à la première correction, devant le regard affolé de Julie, elle se mit à sourire également :

— Afin que la leçon soit plus profitable et que je sois sûr que tu ne recommences plus, j’ai pensé qu’une fessée déculottée en public serait la bienvenue.

Kate ne s’attarda pas aux gémissements de sa punie qui trouvait qu’elle lui tirait l’oreille un peu fortement et elle la fit basculer en travers de ses genoux, elle s’adressa à Caroline :

— Ma chérie, peux-tu me faire passer la brosse à cheveux qui a servi tout à l’heure sur tes fesses. L’insolence de Julie mérite d’être sévèrement punie et son bon gros derrière va certainement apprécier de connaître à nouveau la cuisson de la brosse.

La jeune femme était radieuse, bien sûr elle était toujours cul nu et Kate venait de lui rappeler qu’elle avait reçu également une bonne correction. Mais voir sa mère déculottée, couchée en position disciplinaire compensait largement la cuisson de ses fesses et la honte d’être traitée comme une gamine. Elle tendit le redoutable instrument de punition à la jeune anglaise.

Julie sanglotait déjà, autant de honte que de la crainte de sa nouvelle punition, Kate caressa les fesses encore rouges avec le dos de la brosse :

— J’espère que tu as bien honte de montrer tes fesses à Caroline, tu peux pleurer, ça ne changera rien. Je t’ai promis trois fessées et je tiens toujours mes promesses. Est-ce que tu seras encore paresseuse, menteuse et insolente ?

Julie serrait déjà les fesses dans l’attente de la première claque, la brosse tapota un peu plus sèchement le derrière :

— Non, non miss Kate, promis je ne recommencerai plus.

Caroline était sidérée d’entendre sa mère parler à Kate comme si elle était une gamine, quel changement, elle d’habitude si stricte, elle parlait d’une petite voix en pleurnichant. La jeune anglaise fit un petit clin d’œil à son amie :

— J’espère bien, sinon la prochaine fois la punition sera plus sévère et tu auras droit une fessée déculottée en public, je m’arrangerai pour qu’il n’y ait pas que Caroline, tu peux compter sur moi. En attendant on va finir de bien rougir ton bon gros derrière pour que tu penses à miss Kate à chaque fois que tu t’assiéras.



Elle ceintura fermement sa punie et leva la brosse, malgré son désir de ne pas se donner en spectacle devant les deux jeunes femmes, Julie ne put retenir ses cris et bientôt ses larmes. La brûlure devait être intense si on en jugeait aux battements désespérés de ses jambes. Elle essaya de protéger sa croupe avec sa main, mal lui en prit, car la brosse claqua sévèrement l’arrière de ses cuisses pendant que Kate lui saisissait la main pour la coincer dans le dos :

— Ah je vais t’apprendre à mettre ta main, tu vas avoir les cuisses aussi rouges que les fesses !!

Julie hurla de plus belle sous le regard amusé de sa grande fille.

La fessée dura un peu plus longtemps que prévu en raison de cette petite rébellion et c’est une Julie au visage baigné de larmes qui se releva, sa croupe n’était plus qu’une grosse boule rouge, tellement les deux hémisphères étaient serrés sous la douleur, elle trépignait sur place.

Kate l’avait à nouveau saisie par l’oreille, à sa grande surprise elle ne la conduisit pas au coin, mais vers la table :

— Assieds-toi et prend ton stylo.



Elle posa un cahier devant elle :

— Écris : i am a naughty schoolgirl, i deserve a good bare bottom spanking.

La sévère mère de famille s’appliqua, Kate jeta un coup d’œil sur le cahier :

— C’est bien, tu peux me traduire cette phrase ?

Surprise, Julie hésita, elle regardait sa jeune professeure d’un air intimidé, celle-ci tapota la paume de sa main avec la brosse :

— Tu veux revenir sur mes genoux ?

— Non, non miss Kate… Euh… je suis une vilaine écolière, je mérite une bonne fessée déculottée.

Kate souriait, ravie de la honte de sa grande élève, elle se tourna vers Caroline :

— Les bonnes vieilles méthodes ont quand même du bon, notre petite Julie vient de faire d’énorme progrès en anglais.

Elle tapota la tête de son élève :

— C’est parfait, tu vas me copier cent fois la phrase et sa traduction, tâche de t’appliquer sinon gare à tes fesses.

Elle se tourna vers son amie :

— Maintenant, à nous deux, tu files dans ta chambre, je te suis.

Elle avait claqué en riant les fesses nues de caroline pour l’inviter à se dépêcher.



Quelques instants plus tard, Caroline était à nouveau couchée sur ses genoux, mais ce n’était pas pour recevoir une fessée, elle se livra à un examen minutieux de la raie fessière, puis de la petite rondelle qu’elle força avec son doigt, ensuite sa main s’égara plus bas entre les cuisses pour titiller les lèvres. Caroline gémissait doucement, son amie lui claqua doucement les fesses :

— Ton petit cul est vraiment adorable ma chérie. Tu vas te déshabiller, je te veux toute nue pour la suite.

Caroline était toute émoustillée par ce petit hors d’œuvre, elle se dépêcha d’obéir, Kate fit de même et s’allongea sur le lit. Elle dictait sa loi, elle fit mettre la jeune femme à califourchon au-dessus d’elle pour avoir ses fesses à sa portée et ordonna :

— Tu va t’occuper de mon minou ma chérie et applique-toi, ton derrière et à ma portée.

La langue agile de Caroline eut vite fait de donner du plaisir à la sévère anglaise qui s’empressa de rendre la pareille à la petite française aux fesses bien rouges.

Bientôt elles s’enlacèrent sur le lit, Caroline désigna la porte avec un petit rire malicieux :

— Tu crois que ma petite maman a fini ses lignes ?

Kate lui passa la main sur les fesses encore rouges :

— Elle en avait pour un moment et vu la cuisson de son derrière, ça m’étonnerait qu’elle bouge avant que je lui en aie donné l’autorisation.

Caroline se lova contre son amante :

— Que c’est bon de faire l’amour après avoir assisté à la fessée déculottée de maman.

Kate se mit à rire :

— Petite coquine, ne t’inquiète pas tu y assisteras à nouveau, mon niveau d’exigence sera tel que la fessée déculottée sera inévitable.



Elle claqua les fesses de sa petite amie :

— Mais je te préviens que les tiennes sont en sursis, elles sont trop mignonnes pour rester blanches et je vais m’en occuper souvent. Quant à ta maman, ça m’étonnerait qu’elle ne se venge pas sur ton derrière des fessées qu’elle a reçues.

Caroline serra instinctivement les fesses, décidément l’avenir serait cuisant.

 

 

mardi 17 septembre 2024

Discipline traditionnelle 2

 Julie découvre la fessée



Depuis qu’elle avait réintroduit les bonnes vieilles méthodes d’éducation dans la maison, Julie était ravie. Après quelques magistrales fessées déculottées, Caroline était redevenue charmante elle obéissait instantanément aux ordres de sa mère, la vie était quand même plus simple songeait-elle, pourquoi n’y ai-je pas pensé plus tôt.

Ce n’était pas tout à fait du goût de Caroline, ce retour brutal à l’enfance avait été douloureux, aussi bien pour son derrière que pour son amour propre. Être obligée de présenter ses fesses nues à sa mère pour recevoir une fessée quand on a vingt-deux ans, c’était une humiliation qui avait du mal à passer.

Cependant malgré quelques épisodes sonores et cuisants, la vie suivait son cours et ce jour-là Julie attendait la visite de Kate.

Kate était une jeune étudiante anglaise que Caroline avait rencontré lors d’une soirée, pour arrondir ses fins de mois, elle donnait des cours d’anglais. Dans le cadre de son travail de secrétaire, Julie avait besoin de perfectionner son anglais, elle s’était inscrite à des cours par correspondance, mais ce n’était pas satisfaisant, Caroline lui avait parlé de la jeune anglaise, Julie l’avait donc invitée à la maison.

Quand elle lui ouvrit la porte, elle fut immédiatement séduite par l’énergie et la spontanéité de la jeune femme. Kate avait vingt-cinq ans, elle était grande, solidement charpentée avec une longue chevelure rousse et un sourire éclatant.

Après les présentations, Julie exprima ses souhaits et ses difficultés à se remettre à étudier à son âge. Kate la rassura immédiatement :

— Ce n’est vraiment pas une question d’âge, mais simplement de volonté et d’organisation. D’ailleurs quel âge avez-vous ?

Julie regardait cette jeune anglaise avec admiration, elle répondit :

— Quarante-huit, c’est vrai que je suis quelquefois un peu désorganisée.

Kate se mit à rire :

— Eh bien on va arranger ça. Si toutefois vous m’acceptez comme professeur.

Julie se rendit compte que cette jeune femme aurait pu être sa fille, l’avoir comme professeur pouvait sembler curieux, mais elle avait vraiment besoin d’aide et puis Kate lui paraissait épatante. Elle se mit à rire également :

— Vous allez avoir du travail, je suis ravie que vous acceptiez de m’aider. Venez je vais nous faire un thé.

En entrant dans la cuisine la première chose qui sautait aux yeux, c’était ce fichu martinet que Caroline détestait tant. Il faisait tellement partie du quotidien que Julie n’y avait pas pensé en invitant Kate à la suivre. La jeune anglaise poussa un petit cri et elle désigna l’instrument de punition :

— C’est très original comme décoration, c’est le fameux martinet français ?

Julie la regarda mi-amusée, mi-sérieuse :

— Oh oui, c’est le martinet familial, il vient de chez ma mère. Mais vous savez, il n’est pas que décoratif, il a servi à rougir de nombreuses paires de fesses et il sert encore.

Kate lui jeta un regard mutin :

— Ah bon ? Sur les fesses de Caroline ?

— Exactement, de temps en temps mademoiselle a besoin d’une petite mise au point. Par contre j’aimerais que ça reste entre nous, même si Caroline est quelques fois insolente je ne suis pas méchante au point de crier sur les toits qu’elle reçoit encore la fessée déculottée.

Les yeux de Kate s’étaient arrondi en écoutant Julie :

— La fessée déculottée ? Vous lui donnez réellement a bare bottom spanking, comme on dit chez moi. Cette fois Julie se mit à rire :

— Bien sûr, comment voulez-vous qu’une fessée soit efficace si on ne baisse pas la culotte. Mademoiselle Caroline me montre son joli derrière tout nu quand je dois la corriger.



Kate regardait l’instrument avec attention, elle passa sa main sur le manche poli :

— Vous permettez ?

— Bien sûr, il n’est pas fragile, vous pouvez le prendre.

La jeune anglaise se saisit du martinet et caressa les lanières, puis elle se tourna vers Julie :

— Ça doit réellement cuire les fesses, je suppose qu’après une fessée avec le martinet, on a plus envie de faire des bêtises.

— Normalement oui, mais il faut croire que Caroline a des fesses résistantes, car je suis obligée de l’utiliser régulièrement.

Kate souriait toujours, elle raccrocha l’instrument punitif :

— Chez nous, c’est la strap qui est utilisée, vous connaissez ? C’est une large lanière de cuir. Ça brûle énormément les fesses.



Julie lui lança un petit clin d’œil ironique :

— Vous semblez bien connaître, votre maman l’utilise ?

Kate rougit mais ne baissa pas les yeux :

— L’utilisait ? Oui bien sûr, maman est très stricte, la strap était suspendue à la cuisine comme chez vous, mais j’ai quitté la maison il y a plus de cinq ans, mes fesses restent blanches à présent.

Pendant la conversation, Julie avait fini de préparer le thé, elles revinrent au salon. Kate la précédait, la sévère maman eu tout le loisir de regarder sa croupe moulée dans un jean. Elle était assez large et appétissante, fessable pour tout dire.

La conversation roula sur les futures leçons d’anglais, Kate lui proposa de commencer rapidement, elle sortit un cahier de son sac et nota une série de mot anglais avec leur traduction :

— Pour débuter, il faut quand même avoir un peu de vocabulaire, pour demain vous allez apprendre cette liste de mots.

Julie prit la feuille et commença à parcourir la liste, elle était assez longue, arrivée à la fin, un sourire se dessina sur ses lèvres, décidément cette Kate était une coquine. Elle lut à haute voix le dernier mot :

— Bare bottom spanking : fessée cul nu ou fessée déculottée.

Kate souriait également :

— Celui-ci est facile à retenir n’est-ce pas.

— Oui effectivement, mais cette liste est très longue quand même.

— Je vous l’ai dit tout à l’heure, tout est une question d’organisation, je sais que vous avez les capacités pour le faire.

Elle lui tendit une autre feuille :

— Tenez, vous me traduirez ceci également.

Elle ajouta en souriant :

— Vous pouvez utiliser un dictionnaire mais pas Google traduction, sinon ça ne sert à rien. De toute façon j’aurais vite fait de le voir.

Avant de se quitter, Julie proposa qu’elle s’appelle par leur prénom et qu’elle se tutoie. Kate accepta avec joie puis sans façon elle claqua une bise à sa nouvelle élève :

— A demain Julie et travaille bien.

La sévère maman de Caroline était conquise et enchantée, elle raconta son après-midi à sa fille qui fit une grimace lorsqu’elle aborda le martinet et la discussion qui s’en était suivi :

— Oh maman, quand même, tu lui as dit que je recevais encore la fessée ?

— Mais oui ma chérie, c’est la vérité de toute façon, j’ai même précisé que tu la recevais cul nu et ça la bien fait rire. Mais ne t’inquiète pas, elle m’a promis que ça resterait entre nous, elle n’en parlera à personne.

Caroline était atterrée, comment allait-elle bien pouvoir discuter avec Kate maintenant qu’elle savait qu’à vingt-deux ans sa mère la déculottait pour lui administrer ce châtiment enfantin. Sa mère tenta de la rassurer en lui racontant que Kate avait elle aussi une mère sévère :

— Tu sais, il n’y a pas que toi qui montres ses fesses à sa maman, elle m’a raconté que jusqu’à ce qu’elle quitte le domicile familial, elle avait droit elle aussi à la fessée déculottée et que la strap était toujours accrochée dans la cuisine.

Cette révélation mit un peu de baume au cœur de Caroline.

La soirée fut calme, Julie commença la traduction, c’était un peu ardu, elle ouvrit Google traduction et la solution s’afficha rapidement, elle la recopia soigneusement. Elle était contente d’elle, Kate n’y verrait que du feu. Par contre apprendre la liste de vocabulaire fut plus compliqué, elle décida de la revoir demain avant que la jeune anglaise n’arrive.

Elles avaient convenu d’un rendez-vous à dix-sept heures. À seize heures trente, Caroline arriva très énervée, elle avait été contrôlée à 60 km/h en ville, c’était la deuxième fois en deux mois. Julie lui demanda la raison de sa colère et sans réfléchir la jeune femme l’envoya balader :

— Oh c’est déjà assez chiant comme ça, tu ne vas pas t’y mettre !

Le sang de Julie ne fit qu’un tour, elle se précipita sur sa fille, la courba sous son bras et après l’avoir troussée, lui baissa rapidement la culotte sous les fesses :



— Pardon ? À c’est comme ça que tu me parles et bien tu vas voir si je ne vais pas m’y mettre !

La fessée crépitait déjà dans la pièce, Caroline piétinait sur place, ses fesses rebondies, tendues par la position se mirent à rosir rapidement :

— Aïe, non, non, pardon maman, ce n’est pas ce que je voulais dire.

— Ah oui, je l’ai pourtant bien entendu !

La main de Julie n’oubliait aucune partie de la jolie croupe, Caroline hoquetait quand sa mère la relâcha :

— Bien, maintenant tu vas m’expliquer ce qui t’arrive.

De grosses larmes coulaient sur les joues de la jeune femme, elle se rendit compte soudain que sa situation était critique. De toute façon, sa mère allait savoir un jour ou l’autre pour sa contravention, elle contrôlait le courrier. Elle se décida à dire la vérité, sa jupe était retombée, mais elle était toujours déculottée, c’était une situation assez embarrassante. Au fur et à mesure qu’elle parlait le regard de sa mère s’assombrissait :

— Non mais c’est pas vrai, la déculottée que je t’ai flanqué la dernière fois n’a pas suffi et bien qu’à cela ne tienne on va recommencer, mais je te garantis que celle-là, tu vas t’en souvenir.

Elle se dirigea vers la salle de bain et revint quelques secondes plus tard en tenant sa brosse à cheveux. Caroline blêmit :

— Non, non maman, s’il te plaît pas la fessée, non, pas la brosse, noon…

Sa mère s’était assise, lui avait pris la main et l’avait fait basculer en travers de ses genoux. Elle retroussa calmement la jupe bien haut sur les reins et descendit la culotte jusqu’aux genoux :

— Oh si ma chérie, tu vas la recevoir cette fessée déculottée et avec la brosse en plus, la dernière fois j’ai dû être trop gentille puisque ça ne t’a pas servi de leçon.

Elle passa sa main sur les fesses déjà bien colorées :

— Tu vas voir comme je vais bien le soigner ton bon gros derrière, ça va te cuire longtemps crois-moi.



Elle leva la brosse et Caroline poussa un cri déchirant. Bientôt le bruit des claques sur la peau nue fut masqué par les cris et les pleurs de la punie. Elle se contorsionnait sur les cuisses de sa mère, mais bien tenue par la taille, son fessier cramoisi ne pouvait éviter la brûlure du redoutable instrument. Ses jambes battaient l’air, ses fesses s’ouvraient, mais rien n’arrêtait la sévère maman.

Soudain un petit cri retenti :

— Oh pardon, je vous dérange ?

Julie leva la tête et aperçu Kate :

— Pas du tout, j’en ai presque fini avec cette chipie.

La fessée continua encore quelques instants accompagnée par les pleurs et les supplications de Caroline. Le sourire aux lèvres, la jeune anglaise semblait prendre beaucoup de plaisir à assister à la correction de son amie.

Enfin Julie cessa la punition et fit relever sa fille, les larmes coulant sur ses joues rouges de honte, Caroline porta ses mains à ses fesses pour les frotter. Kate se mit à rire :

— On dirait que ça chauffe. Chez moi en Angleterre, on a pas le droit de frotter ses fesses après la fessée, mais il faut avouer que Caroline est vraiment mignonne en train de frotter son popotin.

Julie était vraiment ravie, sa colère était presque retombée sous l’effet de la remarque ironique de Kate :

— Chez moi aussi on ne frotte pas ses fesses, tu vas cesser immédiatement ces gamineries si tu ne veux pas revenir sur mes genoux.

Caroline retira ses mains de sa croupe enflammée, elle baissait les yeux pour ne pas croiser le regard de Kate, Julie ajouta :

— Ta punition n’est pas terminée, on verra pour la suite ce soir, en attendant tu vas dans ta chambre et ne t’avise pas d’en sortir avant que je t’en donne l’autorisation. Tu tiens ta jupe retroussée qu’on voie bien ton derrière tout rouge ! Allez files !

La croupe écarlate apparut, encadrée par la culotte et la jupe et c’est dans cette tenue, les fesses se balançant au rythme de la marche que Caroline gagna sa chambre.

Julie se tourna vers sa jeune professeure :

— Je suis désolée de t’avoir imposé cela, mais cette punition ne pouvait pas attendre.

Kate se mit à rire à nouveau :

— Ne sois pas gênée, c’est normal, comment dit-on chez vous ? Il faut battre le fer quand il est chaud… Enfin pour le coup ce n’est pas le fer, mais les fesses de Caroline.

Julie l’approuva en riant également :

— Effectivement, elles sont bien chaudes maintenant.

Kate redevint sérieuse :

— Bon, si nous passions aux choses sérieuses, tu as bien travaillé ?

Julie se sentit rougir, elle comptait réviser la liste de vocabulaire avant l’arrivée de Kate, mais l’épisode de la fessée de Caroline avait perturbé ses plans. Elle répondit rapidement :

— Euh, oui… J’ai fait la traduction, tu veux la voir ?

Kate s’amusa de la petite gêne de sa nouvelle élève, d’un air mutin elle lui répondit :

— Bien sûr, tu imagines que je suis venu pour quoi ? Mais à propos, je pense que pendant que nous serons en cours, c’est plus correct que tu me vouvoies et que tu m’appelles miss. Ça sera quand même plus sérieux.

Un peu surprise par cette demande qui jurait un peu avec le ton enjoué de la jeune anglaise, Julie approuva :

— Euh, oui si vous voulez made… pardon miss…

— Miss Kate !

— Oui, oui excusez-moi miss Kate.

La jeune anglaise désigna une chaise :

— Asseyons-nous et montre-moi ton devoir.

Julie lui tendit son cahier, elle se sentait comme une écolière devant son institutrice, elle sentit une légère rougeur sur ses joues. Kate en souriant parcouru le texte, elle leva les yeux vers la sévère maman :

— J’avais dit pas de Google traduction !

Julie piqua un énorme fard, prise au dépourvu, elle bégaya :

— Euh, euh, bien sûr miss Kate, je… je ne l’ai pas utilisé, je vous assure…

Kate planta ses yeux verts dans ceux de Julie :

— Ne rajoute pas le mensonge à ta désobéissance !!

Julie baissa les yeux, elle était revenue trente-cinq ans en arrière quand elle se faisait réprimander par son institutrice. La jeune anglaise poursuivi :

— Ça se voit comme le nez au milieu de la figure que tu as utilisé Google. Nous réglerons ce petit problème tout à l’heure, en attendant voyons si tu as appris la liste de vocabulaire.

Le sol semblait s’effondrer sous les pieds de Julie qui avait perdu de sa superbe, dès que Kate commença à énumérer le premier mot de la longue liste, tout se brouilla dans son cerveau. Elle ne se souvenait de rien. La jeune professeure fit une moue :

— Tu n’as rien appris ? As-tu une explication à me donner ?

La maman redevenue une mauvaise élève ne répondit pas, Kate s’était approchée et l’avait saisi par l’oreille, Julie poussa un petit cri de surprise :

— Aïe, non, non… miss Kate pardon…

La jeune femme força son élève à se lever en tirant légèrement sur son oreille :

— Le dernier mot de la liste c’est bare bottom spanking, je suppose que tu sais le traduire ?

Julie était rouge comme une pivoine, elle bégaya :

— Euh, euh… Pardon miss… aïe, non… Non.

La main de Kate avait claqué légèrement le derrière de Julie par-dessus sa jupe, elle souriait :

— J’attends la traduction, vite !

Une autre claque atterrit sur le large fessier de la maman de Caroline :

— Euh… Oui… fessée déculottée…

Kate se mit à rire :

— Exactement, c’est au moins un mot que tu as appris. Dis-moi ma petite Julie, à ton avis qu’est-ce qui arriverait à Caroline si sa maman apprenait qu’elle à triché pour faire un devoir et qu’elle n’a pas appris sa leçon ?

Julie ne savait plus où se mettre, elle tenta de se sortir de cette situation gênante :

— Oui, je sais que j’ai fait une bêtise, je suis désolée. Ça ne se reproduira plus.

Kate la fixait intensément :

— Tu n’as pas répondu à ma question ma petite Julie.

La sévère maman se reprit à bafouiller, le fait que Kate l’appelle « ma petite Julie », alors qu’elle avait quarante-huit ans, était encore plus déstabilisant :

— Euh, euh, miss Kate… Je… Je… Oui mais quand même… je ne suis plus une gamine tout de même…

Kate lui saisit à nouveau l’oreille et la tira vers le haut, Julie poussa un petit cri, surtout que l’autre main de la jeune anglaise avait à nouveau claqué ses fesses :

— Aïe, aïe… oui pardon miss Kate, je sais que je mérite d’être punie…

La jeune femme souriait, satisfaite du résultat, son caractère dominateur et son attirance pour la fessée était comblé :

— À nous y voila, c’est bien de le reconnaître ma petite Julie. Et à ton avis quelle punition serait adéquat ?

Elle s’amusait de la gêne de cette dame de quarante-huit ans, redevenue en un instant une adolescente craignant la sévérité de sa maîtresse. Elle lui lâcha l’oreille et mis son doigt sous le menton de Julie pour la forcer à la regarder en face :

— Tu dois bien avoir une petite idée, si j’en juge par la couleur des fesses de Caroline, tu en connais un rayon en matière de punition pour les désobéissantes et les paresseuses.

Julie ne répondit pas, Kate en souriant lui asséna le coup de grâce :

— Moi je pense que tu le sais, mais que tu n’oses pas me le dire, je vais donc t’aider. I think you deserve a good bare bottom spanking.

Elle souriait toujours en guettant la réaction de Julie, elle avait parlé volontairement en anglais pour bien souligner le caractère solennel de la punition. La maman de Caroline avait pâli, elle redoutait ce moment, elle savait qu’elle ne pouvait plus reculer, elle tenta le tout pour le tout :

— Mais enfin Kate, tu n’y penses pas, je pourrais être ta mère et puis il y a Caroline dans sa chambre.

Elle avait volontairement employé le tutoiement pour essayer d’amadouer la sévère anglaise, mais le fait d’évoquer la présence de Caroline, c’était avouer implicitement qu’elle acceptait la sanction, mais qu’elle tentait de la différer. Son espoir fut vite refroidi, une nouvelle claque atterrit sur ses fesses :

— Pardon ? Comment dois-tu m’appeler ?

Julie baissa la tête :

— Pardon, pardon miss Kate.

La jeune anglaise lui avait à nouveau saisi l’oreille :

— Je pense que nous allons avoir beaucoup de travail ma chérie, mais rassure-toi, miss Kate connaît les bonnes méthodes pour soigner la paresse, le mensonge et l’insolence. Si je compte bien, tu mérites trois fessées, nous n’avons pas de temps à perdre.

Elle s’était assise sur une chaise tenant toujours l’oreille de son élève, celle-ci fut forcée de la suivre et un instant plus tard, Julie se retrouva dans la position qu’elle faisait prendre à Caroline bien souvent, Kate la positionna correctement en la faisant basculer vers l’avant, ses pieds décollèrent du sol, la fesseuse tapota le derrière tendu sous la jupe :

— Tu es bien installée ? Nous en avons pour un moment. Pour répondre à ta question au sujet de Caroline, je ne pense pas qu’elle ne va se risquer à sortir de sa chambre après la déculottée que tu lui as administrée et il ne tient qu’à toi de ne pas trop faire de bruit si tu ne veux pas qu’elle sache que sa maman est en train de recevoir une bonne fessée déculottée.

Elle retroussa largement la jupe sur les reins, Julie portait une culotte blanche légèrement échancrée qui laissait voir la base de son fessier, ce n’était pas une culotte de petite fille qui reçoit encore la fessée, mais elle était assez sage tout de même. Kate apprécia à sa juste valeur le spectacle, ce n’était pas tous les jours qu’elle aurait l’occasion d’avoir couchée sur ses genoux une dame de quarante-huit ans, qui plus est troussée et bientôt déculottée.



Elle caressa la fine lingerie, Julie tressaillit, elle avait poussé un petit cri en sentant sa jupe se relever, elle avait encore l’espoir d’échapper à la honte du déculottage. Elle gémit, la main de Kate venait de frapper alternativement la base des deux fesses. Elle avait oublié combien ça brûlait une fessée, la dernière qu’elle avait reçue remontait à vingt-huit ans en arrière. La jeune anglaise avait visé la base des fesses qui n’était pas recouverte par le fin tissu, c’était une zone encore plus sensible.

— Aïe… aïe, aïe, aïe…

La fessée continuait et la peau se mit à rougir rapidement, la main cessa de claquer et Julie sentit avec horreur les doigts de sa jeune professeure se glisser dans la ceinture et sa culotte descendre lentement sur ses rondeurs :

— Noonn, non, miss Kate s’il vous plaît pas la culotte…

Elle se mit à pleurer et Kate à rire :

— Eh pourquoi donc pas la culotte ?

— Oh miss Kate, j’ai trop honte, pas la culotte… à mon âge…

Elle avait essayé d’attraper la main de la jeune femme pour l’empêcher de la déculotter. Calmement celle-ci lui coinça le bras dans le dos et claqua sèchement l’arrière des cuisses :

— J’ai dit a good bare bottom spanking ma petite Julie. Ça veut dire que je vais te baisser la culotte que ça te plaise ou non. Tu viens juste de gagner une fessée plus sévère. Quand miss Kate décide une punition tu dois l’accepter sans discuter sinon elle est doublée. Tu vas donc recevoir deux cents claques sur chaque fesse au lieu des cents prévues.

Julie se mit à gémir, jamais elle n’aurait pu imaginer se retrouver dans une situation pareille. En tournant la tête elle put se voir dans la glace, elle était dans cette position ridicule et humiliante, les fesses dénudées pointées vers le ciel sous le regard ironique de cette jeune femme qui aurait pu être sa fille, elle la vit lever la main et immédiatement le claquement sec sur la peau nue, accompagné d’une brûlure :

— Aïe, aïe, aïe…



Les claques se succédaient à un rythme effréné, apparemment Kate avait une grande habitude de la fessée. La cuisson intense de son fessier fut vite intolérable, Julie exécuta une magnifique danse des fesses, ses pieds battaient l’air frénétiquement, elle se mit rapidement à pleurer autant de honte que de douleur, recevoir ce châtiment humiliant à quarante-huit ans n’était vraiment pas banal. La correction ne fut pas trop longue mais suffisamment cuisante pour que Julie s’en souvienne, chacune de ses fesses avait reçu deux cents claques.

Kate la fit se relever et après lui avoir saisi l’oreille elle la conduisit devant la table :

— Tu vas me recopier la liste de vocabulaire dix fois, tache de bien écrire !

La culotte de Julie était entortillée autour de ses chevilles, elle lui remonta à mi-cuisse :

— Tu retrousses ta jupe, je veux que tu sentes bien tes fesses ! Maintenant au travail !



Kate s’installa confortablement dans le canapé et regarda son élève, les fesses nues posées directement sur la paille de la chaise, c’était un spectacle très excitant. Discrètement, elle glissa sa main sous sa jupe et se caressa, depuis qu’elle était en France, c’était la première fessée qu’elle administrait, chez elle ce n’était pas rare, ses petites amies repartaient souvent de sa maison avec une paire de fesses bien rouges sous leur petite culotte.

Julie avait mis un petit quart d’heure pour copier dix fois la liste de noms, d’une voix timide elle appela Kate :

— Euh, miss Kate, j’ai fini.

En souriant la jeune anglaise se leva et prit la feuille :

— C’est bien, tu t’es appliquée, lève-toi et tourne-toi.

Intimidée, redevenue une élève obéissante, Julie s’exécuta. Kate retroussa la jupe et le coinça dans la ceinture, puis elle prit une règle plate posée sur la table. Elle s’installa à nouveau dans le canapé et fit venir son élève à côté d’elle. Julie était debout tournée de profil, ses fesses nues étaient presque à hauteur des yeux de sa jeune professeure :

— On va voir si tu as un peu mieux retenu les noms anglais.

Elle commença l’interrogation, copier dix fois la liste avait aidé Julie à retenir un peu mieux le vocabulaire, mais elle trébucha quand même rapidement sur plusieurs mots plus compliqués. Immédiatement la règle claqua sèchement son derrière :

— Bottom !! tu devrais quand même savoir que c’est le derrière, le tien n’est pas assez rouge !!

Julie trépigna sur place sous la morsure de la règle :

— Aïe, aïe, oui, oui pardon miss Kate.

L’interrogation dura un moment et la règle claqua un nombre conséquent de fois la belle croupe de la maman de Caroline. Quand ce fut terminé, la jeune femme prit la feuille et conduisit Julie au coin de la pièce, elle lui appuya la tête contre le mur et glissa la feuille devant son visage :

— Tu vas tenir cette feuille avec ton nez et tu mets tes mains sur la tête, tu resteras là pendant dix minutes à réfléchir aux conséquences de ta paresse.



C’est très long dix minutes au coin le nez collé contre le mur, Julie avait des crampes dans les bras quand Kate leva la pénitence. Mais la punition de Julie n’était pas finie, Kate lui avait promis trois fessées :

— Va chercher le martinet.















mercredi 11 septembre 2024

Deux étudiantes 16

 Cuisant retour en arrière




Brigitte Audin était rentrée chez elle un peu troublée par le spectacle des deux étudiantes déculottées mise en exposition par sa voisine Odile. Leurs croupes bien rouges et le thermomètre profondément enfoncé entre leurs fesses avaient réveillé des souvenirs cuisants chez la sexagénaire.

Madame Audin était une professeure de français en retraite, veuve depuis une dizaine d’année, elle avait fait la connaissance d’Odile en donnant des cours particuliers à ses deux filles.

Elle avait eu l’occasion de voir quelle méthode utilisait la sévère maman pour éduquer ses filles. Les châtiments corporels et particulièrement la fessée déculottée était d’usage chez Odile. Brigitte eut rapidement l’occasion d’assister à cette punition traditionnelle, alors qu’elle faisait un compte rendu peu élogieux du travail d’Amélie, celle-ci s’était retrouvée couchée sur les genoux de sa mère et prestement troussée puis déculottée sous le regard intéressé de la professeure.

Après cette sévère fessée tandis que la jeune fille pleurnichait au coin les fesses à l’air, les deux dames avaient discuté, Odile lui avait précisé qu’elle lui donnait toute latitude pour corriger ses deux filles et qu’à son avis seule l’utilisation régulière de la fessée déculottée permettrait à ses filles de progresser.

Malheureusement pour le derrière de Chloé et d’Amélie, Brigitte avait parfaitement intégré ces consignes et il ne se passait plus un cours sans que l’une ou l’autre des jeunes filles ne se retrouvent couchées sur les genoux de la professeure pour une cuisante mise au point. Pour couronner le tout, Odile appliquait scrupuleusement la règle : une fessée à l’école égale une fessée par maman à la maison. Le fait que l’école soit à la maison ne changeait rien à l’adage.

Brigitte s’y connaissait en matière de correction domestique, son mari était un partisan des méthodes traditionnelles et dès le lendemain de leur mariage il avait administré à sa jeune épouse une magistrale fessée déculottée, elle avait été suivie de nombreuses autres.

Son mari avait été conseillé par la propre mère de Brigitte qui utilisait cette méthode d’éducation traditionnelle. 



La jeune mariée était passée directement de la férule de sa sévère maman à celle non moins stricte de son mari, d’ailleurs pour faire bonne mesure, ils s’étaient quasiment passé le relais puisque Brigitte avait reçu sa dernière fessée maternelle le matin même de son mariage et la première de son époux vingt-quatre heures plus tard.

Depuis dix ans qu’elle avait perdu brutalement son mari, ses fesses étaient restées d’une blancheur virginale. La rencontre avec sa voisine Odile avait été une véritable découverte, elle s’était rendu compte que la fessée qui avait rythmé une bonne partie de sa vie lui manquait.

Elle avait découvert le plaisir d’administrer à son tour ce châtiment enfantin à ses deux élèves, elle avait apprécié de leur baisser la culotte, elle avait compris soudain pourquoi sa mère puis son mari tenait tellement à ce qu’elle porte des jupes et des culottes sage. La honte qu’elle ressentait lors du déculottage et de la mise à nu de ses rondeurs, s’était transformée en plaisir la première fois où après avoir couché Amélie sur ses genoux, elle lui avait lentement et soigneusement baissé la culotte. La découverte de ce joli fessier juvénile avait provoqué chez elle une excitation dont elle avait eu un peu honte au début, mais qui au fur et à mesure des déculottages s’était accentué au point de ne plus pouvoir s’en passer pour le plus grand malheur des fesses de ses deux élèves.



Elle avait sympathisé avec Odile qui maintenant l’invitait souvent après son cours à rester pour boire un thé, c’était un double plaisir pour elle, car la conversation roulait souvent sur le thème des châtiments corporels et que souvent elle assistait à la deuxième punition de l’élève qu’elle avait corrigée. La première fois c’était Chloé qui avait subit l’humiliation de la fessée déculottée, Odile avait dit à Brigitte :

— Puisque vous êtes là, je vais en profiter pour administrer à cette chipie la fessée que je lui dois, votre présence rendra la punition encore plus efficace.

La jeune fille avait du une deuxième fois « montrer ses fesses » comme disait sa maman, la fessée déculottée en public à dix-sept ans ce n’est jamais très agréable. Le derrière encore rosé de la correction de Brigitte avait repris rapidement une belle couleur de tomate bien mûre. La professeure s’était rendu compte que ses fessées étaient vraiment moins sévères que celle d’Odile. Chloé avait crié immédiatement et ses mignonnes petites fesses avaient effectué une très jolie danse. Elle avait fini en pleurs bien évidemment et avait été conduite au coin pour exposer son derrière bien rouge.

Mise en confiance par Odile, Brigitte s’était rapidement confiée et elle avait avoué en rougissant qu’elle connaissait très bien la fessée, mais plutôt du côté punie que fesseuse. Odile en souriant l’avait questionné habilement et bientôt elle savait tout de l’histoire de Brigitte.

La sévère maman était une amoureuse de la fessée, à partir de cet instant elle n’eut de cesse que de découvrir le fessier de sa voisine.

Brigitte avait été impressionnée par l’autorité naturelle d’Odile, elle l’invita également à prendre un thé, elle avait ajouté en souriant :

— Nous serons plus tranquilles pour parler.

Elles étaient assises face à face, quand Odile aborda frontalement le sujet :

— Alors comme ça ma chère, vous n’avez plus reçu la fessée depuis le décès de votre mari ?

Brigitte surprise la regarda en rougissant :

— Euh, c’est-à-dire… Oui… Mais…

Sa phrase resta en suspens, Odile la fixait intensément, augmentant son trouble :

— Vous aviez quel âge quand il est décédé ?

— Cinquante-cinq ans, pourquoi ?

Odile avait un sourire gourmand, Brigitte répondait à ses questions et elle n’avait pas changé de conversation, il fallait continuer de la cuisiner pour la mettre en confiance :

— Vous vous êtes mariée à quel âge ?

Brigitte ne voyait pas bien où sa voisine voulait en venir :

— A vingt-deux ans.

— Vous receviez souvent la fessée ?

Les joues de Brigitte s’empourprèrent :

— Euh, oui, enfin ça dépend…

— Comment ça ? Ça dépend de quoi ?

Odile s’amusait de la gêne de sa voisine, celle-ci avait vingt ans de plus qu’elle, mais elle était comme une gamine interrogée par son institutrice, Odile avait pris un ton un peu plus sec, Brigitte était de plus en plus rouge :

— Ben, ça dépendait des semaines, de toute façon, il y avait toujours la fessée de maintenance du samedi.

— Ah oui ? Un panpan cucul tous les samedi ?

Brigitte se sentit obligée de rentrer dans les détails de la discipline domestique instaurée par son époux :

— Oui tous les samedi, il m’administrait une fessée, il disait que c’était pour que je sache ce qui allait m’arriver si je faisais des bêtises dans la semaine.

— Une vraie fessée ? Déculottée ?

Brigitte regarda Odile d’un air surpris, elle avait toujours été déculottée pour recevoir cette punition, y compris quand c’était sa mère qui s’occupait de son éducation. Une fessée ne s’entendait que cul nu comme disait sa maman.

Odile le savait pertinemment, mais elle voulait que Brigitte fasse cet aveu honteux à haute voix, « oui jusqu’à cinquante-cinq ans j’ai reçu la fessée déculottée couchée sur les genoux de mon mari »

Brigitte mise en confiance par le sourire d’Odile, entra dans les détails :

— Bien sûr c’était toujours cul nu, si je n’avais pas été punie dans la semaine, c’était une simple fessée déculottée à la main, mais toujours très forte, Alex ne savait pas donner de petites fessées. Par contre si j’avais été corrigée dans la semaine, la punition était plus sévère, il utilisait des instruments.

La sévère maman buvait les paroles de sa voisine, décidément de belles perspectives s’ouvraient à elle :

— Des instruments ? Quel genre ?

Brigitte regarda Odile, elle ressemblait de plus en plus à sa mère ? À sa façon de l’interroger, on ne pouvait que répondre :

— Le plus classique, c’était le martinet, maman lui avait offert dès notre première semaine de mariage.

Odile se mit à rire :

— Eh bien dites-moi, votre maman tenait à votre éducation. Elle vous a corrigé jusqu’à vingt-deux ans ?

La professeure la regarda songeuse :

— Oh oui, maman était un peu comme vous avec Amélie et Chloé, elle disait qu’il n’y a pas d’âge pour la fessée déculottée et que tant que je serais à la maison, je devrais lui montrer mes fesses si c’était nécessaire.

Odile approuva :

— C’est sûr, la fessée est de plus en plus efficace quand on prend de l’âge.

Elle avait plongé ses yeux dans ceux de sa voisine.

— Vos jolies fesses ont été rougies sans interruption jusqu’à cinquante-cinq si je comprends bien.

— Euh… oui, vous comptez bien.

Brigitte avait jeté un regard coquin à la maman sévère. Celle-ci nota que sa voisine n’était pas choquée par son interrogatoire.

— Il n’utilisait que le martinet ?

— Oh non… il y avait le paddle.

Brigitte avait répondu très vite.

— Le paddle ?

— Oui, vous ne connaissez pas ?

Elle se leva pour aller dans sa chambre et en revint quelques instants plus tard tenant les deux instruments. Odile reconnut immédiatement le martinet familial, le même que celui qui était suspendu dans sa cuisine, les lanières étaient polies et luisantes, signe d’une utilisation fréquente et d’un entretien parfait. Elle s’intéressa ensuite à l’autre instrument tenu par Brigitte. Une sorte de raquette en bois percée de trous, elle tendit la main et sa voisine lui confia le redoutable instrument de punition. Elle la soupesa et jeta un regard rieur à l’ancienne professeure :

— C’est lourd, ça doit bien claquer sur le derrière.

Brigitte fit une moue, sa dernière fessée avec le paddle semblait encore lui brûler les fesses dix ans plus tard :

— Ça, vous pouvez me croire, quand je voyais le paddle posé sur la table du salon, je n’en menais pas large.

En souriant, Odile le posa exactement au même endroit :

— Dites-moi Brigitte, dix ans sans montrer vos fesses… Ça ne vous manque pas ?

Elle avait décidé d’attaquer frontalement Brigitte, celle-ci lui avait prouvé avec ses confidences que la fessée déculottée avait fait partie de sa vie. Les joues de la professeure s’empourprèrent à nouveau :

— Oh, Odile… que voulez-vous dire ?

Elle ne s’était pas offusquée et n’avait pas répondu par la négative, la partie était quasiment gagnée. La sévère maman souriait toujours, elle prit le martinet et caressa les lanières :

— C’est très simple ma chère, si votre mari a été obligé de vous corriger à la suite de votre maman pendant plus de trente ans, je pense que vous le méritiez n’est-ce pas ?

— Euh… oui sans doute.

— Et comme par enchantement vous êtes devenue sage à la disparition d’Alex ?

Brigitte sentit le piège se refermer, bien sûr, toute sa vie elle avait été soumise à une stricte discipline et elle s’en était accommodée, mais depuis dix ans elle en avait perdu l’habitude. Elle regarda Odile, sa voisine à cet instant n’avait plus vingt ans de moins qu’elle, c’était une sévère maman qui la regardait tranquillement et qui sans rire lui disait qu’elle méritait certainement la fessée.

Odile se leva et prit une chaise qu’elle installa au milieu du salon, puis elle s’y assit :

— Il est temps de solder vos comptes ma chère.

Brigitte était écarlate, elle tenta une diversion en bredouillant :

— Mais… que… voulez vous, Odile… Je… enfin quand même…

La sévère maman avait soudain le même regard qu’avec ses filles :

— Brigitte !! Cessez ces enfantillages, que faisait votre mère quand vous refusiez votre punition ?

— Euh… oui madame, je…

— Que vous arrivait-il ?

Brigitte était redevenue une adolescente :

— La fessée était doublée madame…

— Eh bien, vous venez de gagner une deuxième fessée déculottée ma petite ! Dépêchez-vous si vous ne voulez pas goûter à nouveau au paddle !

Brigitte se précipita et se coucha en travers des genoux de sa voisine. Celle-ci lui tapota les fesses, elle souriait, finalement ça n’avait pas été très difficile. Elle allait enfin pouvoir découvrir le fessier rebondi de Brigitte :

— Ça a été un peu laborieux, c’est la dernière fois, la prochaine fois je triplerai la punition, c’est bien compris !

Elle avait claqué sèchement la croupe par-dessus la jupe.

D’un seul coup Brigitte venait de faire un saut en arrière, cela faisait dix ans qu’elle ne s’était pas retrouvée dans cette position. Ses réflexes de punie revinrent immédiatement, elle posa ses mains par terre et essaya de décontracter ses fesses. Elle sentit sa jupe se soulever, l’air sur ses cuisses lui indiqua qu’elle était troussée et qu’Odile avait une vue parfaite sur sa culotte.

— Mes félicitations Brigitte, vous ne portez pas de collants et votre culotte est très mignonne.

Cette main qui tapotait ses fesses et cette voix féminine, elle se retrouvait quarante-cinq ans en arrière, couchée sur les genoux de sa maman. Malgré la honte et la crainte du châtiment, une chaleur se propagea dans son bas-ventre.

Odile appréciait à sa juste valeur le spectacle offert par sa voisine. Un beau et large fessier moulé par une culotte blanche ornée de dentelle, effectivement elle ne portait pas ces horribles collants mais des bas autofixants. Aussi bien sa mère que son mari ne tolérait que ça sous sa jupe, elle avait également des bas classiques tenus par des porte-jarretelles mais c’était pour les grandes occasions. Malgré la disparition de son mari, elle n’avait pas changé ses habitudes. La sévère maman caressait la croupe tendue par la position :

— Alors ma chère, vous êtes bien installée ?

Une claque un peu plus sèche sur le derrière incita l’ancienne professeure à répondre.

— Euh, oui, oui maman…

Odile se mit à rire :

— C’est bien ma chérie, tu vas voir comme maman va bien s’occuper de ton bon gros derrière.

Brigitte l’avait naturellement appelé maman, c’est vrai qu’elle jouait ce rôle à la perfection malgré la différence d’âge. Elle sentit les doigts de sa nouvelle maman s’insinuer sous l’élastique de sa culotte, le moment fatidique et redouté arrivait, Brigitte poussa un petit gémissement :

— Oh non, pas la culotte…

La sévère maman se mit à rire de plus belle :

— Ah oui ? Et pourquoi donc pas la culotte ? Tu as mérité une bonne fessée déculottée, je vais donc te baisser la culotte comme ta maman et ton mari le faisait.

Brigitte n’avait esquissé aucune rébellion, elle se laissait déculotter comme si c’était normal à soixante-cinq ans de recevoir encore ce châtiment enfantin. Elle se rendait compte que finalement c’était juste un retour à une situation habituelle, il fallait que quelqu’un s’occupe d’elle, même si c’était douloureux pour son amour-propre et son derrière.



Le sous-vêtement était arrivé à mi-cuisse, le large fessier un peu grassouillet s’étalait devant les yeux ravis d’Odile. Il était d’une blancheur nacrée, recouvert d’une légère chair de poule, la raie médiane était serrée, Brigitte dans un souci de pudeur avait contracté ses fesses.

La sévère maman n’avait jamais fessé une dame d’âge mûr, cette magnifique croupe était une belle découverte, c’était un véritable derrière à fessée :

— Eh bien dis-moi ma chérie, ton derrière est bien trop blanc, je vais lui donner bonne mine.

La correction commença immédiatement, la sévère main d’Odile rebondissait sur les rondeurs étalées devant elle.

Brigitte fut surprise de la vigueur de la fessée, si son mari ne savait pas donner de petites fessées, c’était également le cas pour Odile. Elle se mit rapidement à gémir puis à crier, elle avait oublié combien une fessée déculottée pouvait brûler. Dix ans déjà que son postérieur n’avait pas goûté à la rigueur d’une bonne fessée et vingt-cinq ans même pour une correction maternelle. Car c’était bien de ça qu’il s’agissait, Odile la grondait à la manière d’une maman sévère :

— Tu la sens bien ma main sur tes bonnes grosses fesses ? Oh tu peux gigoter, tu peux battre des pieds, tu as mérité la bonne fessée de maman et tu vas l’avoir, je te garantis que tu vas être sage après ça.

Inlassablement la main claquait alternativement une fesse après l’autre, bientôt Brigitte éclata en sanglot, le but de la punition était atteint. Odile continua quand même encore pendant quelques instants, puis elle posa sa main sur la croupe cramoisie, elle était brûlante :

— Voila ce que j’appelle une bonne déculottée ma chérie, ton derrière est fumant.

Brigitte pleurait toujours, sa nouvelle maman la laissa se calmer, elle caressait les belles fesses, c’était vraiment une belle journée :

— Tu vas aller faire refroidir ton bon gros derrière au coin, ça te permettra de réfléchir.

On y était, le retour aux bonnes habitudes était complet, le passage au coin fesses à l’air. Sans dire un mot, en reniflant pour contenir ses larmes la professeure en retraite se dirigea vers le mur.

Odile la regardait attentivement, elle ne lui avait volontairement pas donné de consignes, les fesses joufflues ballottaient au rythme des pas, elles étaient d’un rouge profond. Brigitte n’avait pas hésité, elle avait retrouvé sans réfléchir le coin de la pièce où elle avait passé de nombreuses heures les fesses brûlantes. Elle mit son nez contre le mur et posa ses mains sur la tête, Odile souriait, contente de la docilité de sa nouvelle grande fille. Elle se leva et coinça l’ourlet de la jupe dans la ceinture :

— Voilà une bien jolie paire de fesses, ce serait dommage de ne pas les exposer.

Elle n’annonça pas la durée de la pénitence, elle voulait laisser Brigitte dans l’incertitude quant à sa sévérité. Elle entreprit de visiter l’appartement, sur la commode de la chambre était posée une brosse à cheveux avec un manche en ébène, elle la soupesa. Cet instrument n’avait pas dû servir souvent à coiffer les cheveux, mais il devait parfaitement cuire un bon gros derrière.

Dans la salle de bain elle ouvrit tous les tiroirs, elle sourit en découvrant une crème hydratante, après une bonne déculottée, ça pouvait servir. Elle trouva enfin ce qu’elle cherchait, un thermomètre traditionnel en verre, il y avait également à côté un autre plus moderne, mais elle le négligea. Elle revint vers le salon, la punie n’avait pas bougé, elle s’approcha et passa sa main sur les fesses brûlantes :

— C’est bien tu as été sage.

Elle saisit l’oreille de la professeure :

— Viens avec moi.

Sans protester celle-ci l’a suivi, elle avait gardé ses mains sur la tête. La sévère maman s’installa dans le canapé et laissa la punie debout. Elle posa sur la table la brosse à cheveux à côté du thermomètre. Le martinet et le paddle complétaient la collection d’instruments punitifs. Elle regardait en souriant sa punie :

— Tu connais tout ça ?

Brigitte hocha la tête, à part le thermomètre, ils avaient tous servi sur ses fesses. Odile avait saisi l’instrument médical :

— Pourquoi as-tu gardé ce thermomètre, tu t’en sers encore dans ton gros derrière.

Brigitte piqua un fard :

— Euh, non, non pourquoi ?

La dernière fois qu’il avait été utilisé, c’était par sa mère, cela faisait plus de quarante-cinq ans.

Odile souriait de la gêne de sa voisine, elle faisait tourner le thermomètre entre ses doigts :

— Ah bon, pourquoi l’as tu gardé alors ? J’ai le même à la maison et crois-moi, il sert beaucoup, les petites fesses des filles le connaissent très bien.

Brigitte regarda Odile, c’était vraiment la réincarnation de sa mère, elle avoua :

— Oui maman l’utilisait également.

La sévère voisine jubilait, décidément de grandes perspectives s’ouvraient :

— Ta maman l’a utilisé jusqu’à quel âge ?

Brigitte était au supplice, mais elle répondait sans protester à toutes les questions. Elle était devant Odile, la culotte baissée aux genoux, les fesses encore sensibles, celle-ci ne lui avait pas dit d’enlever ses mains de sa tête et bien qu’elle se trouva un peu ridicule, elle n’avait pas osé changer de position.

— Euh… jusqu’à vingt ans.

C’était un petit mensonge, car elle n’avait quitté le domicile familial que pour se marier à vingt-deux ans et jusqu’à cette date, sa mère quand elle soupçonnait une maladie lui prenait elle-même la température dans les fesses comme elle disait.

Odile en souriant reposa le thermomètre sur la table :

— À partir de maintenant, il restera dans le salon, je veux l’avoir à disposition si nécessaire.

Brigitte ouvrit la bouche pour poser une question, mais sa sévère maman continuait :

— Nous allons reprendre les bonnes habitudes, je viendrai une fois par semaine, disons le samedi en début d’après-midi pour te donner ta fessée de maintenance. Je pense que c’est nécessaire.

Brigitte s’en doutait depuis un moment, elle ne dit rien.

— Bien sûr, à chaque incartade tu peux t’attendre à recevoir une bonne fessée déculottée et quel que soit le lieu, si tu ne veux pas montrer tes fesses à tout le monde, tu n’auras qu’à être mignonne. La seule exception pour le moment, ce sera devant les filles, tu dois garder une certaine autorité. Autre chose, quand tu seras punie, tu m’appelleras maman et je te tutoierai, le reste du temps tu redeviendras Brigitte Audin.

La tirade avait été longue, Brigitte l’avait écouté sans broncher ni protester le moins du monde, finalement c’était peut-être ce qu’elle attendait depuis la disparition de son mari. Après dix ans d’errance, elle allait être à nouveau sous la férule de quelqu’un et inconsciemment elle savait qu’elle en avait besoin.

Odile la regarda en souriant :

— Tu ne dis rien ? Qui ne dit mot consent, demain je viendrai pour ta fessée de maintenance.

Brigitte se rendit compte qu’on était effectivement vendredi, elle faillit protester que ce n’était pas juste, normalement la punition était hebdomadaire, mais le regard impérieux de sa nouvelle maman l’en dissuada.

Odile avait pris le paddle sur la table pour le soupeser, elle le balança au bout de son bras :

— Il est lourd, ça doit vraiment brûler les fesses.

Elle le reposa et prit le martinet :

— Pour ta deuxième fessée, je vais rester classique, tu auras droit au martinet.

Devant le regard surpris de sa voisine, elle ajouta :

— Tu n’as pas oublié ma chérie, maman doit te donner une fessée supplémentaire pour avoir refusé de venir te coucher sur ses genoux dès qu’elle te l’a demandé.



Elle désigna la chaise qui avait servi pour la première punition :

— Tu mets tes mains sur la chaise et tu tends bien ton joli derrière, monsieur martinet s’est ennuyé pendant dix ans. On va le faire travailler un peu.

Comme un automate, Brigitte se mit en position, ses larges fesses encore bien colorées par la fessée précédente, se tendaient vers Odile comme pour réclamer leur dû.

Il fallait marquer son autorité, celle-ci décida d’être sévère, le plantureux derrière était bien échauffé et suffisamment confortable pour recevoir une deuxième correction.

Le martinet cingla la croupe tendue une cinquantaine de fois, on sentait que la dame de soixante-cinq ans qui recevait la fessée était habituée aux sévères corrections, elle piétinait sur place et pleurait, mais elle ne cherchait pas à éviter sa punition en mettant ses mains ou en se relevant. Odile appréciait à sa juste valeur la danse des fesses que lui offrait Brigitte, elles s’ouvraient impudiquement puis se serraient brusquement, c’était charmant.

La rougeur du fessier était intense quand la fessée prit fin, elle s’étendait de la partie la plus charnue jusqu’au milieu des cuisses. Brigitte sanglotait, elle porta ses mains à ses fesses pour les frotter, c’était normalement interdit, mais Odile fut émue par ce spectacle, cette dame d’âge mûr frottant son derrière comme une gamine c’était vraiment mignon. Elle se mit à rire :

— On dirait que ça te brûle ma petite chérie, la prochaine fois tu viendras vite te coucher sur mes genoux quand je l’aurai décidé. Bon maintenant tu arrêtes et tu mets tes mains sur ta tête.

Elle saisit sa soumise par l’oreille et la reconduisit au coin :

— Tu vas rester là pendant une heure, ne t’avise pas de bouger avant que je vienne te chercher, sinon je te descends chez moi et tu feras du coin cul nu devant tout le monde !



Elle claqua les fesses brûlantes et laissa Brigitte Audin sangloter le nez contre le mur. Elle était sûre que sa punie ne bougerait pas d’un pouce.

 

 

Deux étudiantes 22

Sévère Laetitia  Le lendemain Laurence se présenta chez Odile qui lui fit une bise en lui caressant la croupe : — Coucou ma chérie, tu as ...