Julie découvre la fessée
Depuis qu’elle avait réintroduit les bonnes vieilles méthodes
d’éducation dans la maison, Julie était ravie. Après quelques
magistrales fessées déculottées, Caroline était redevenue
charmante elle obéissait instantanément aux ordres de sa mère, la
vie était quand même plus simple songeait-elle, pourquoi n’y
ai-je pas pensé plus tôt.
Ce n’était pas tout à fait du goût de Caroline, ce retour
brutal à l’enfance avait été douloureux, aussi bien pour son
derrière que pour son amour propre. Être obligée de présenter ses
fesses nues à sa mère pour recevoir une fessée quand on a
vingt-deux ans, c’était une humiliation qui avait du mal à
passer.
Cependant malgré quelques épisodes sonores et cuisants, la vie
suivait son cours et ce jour-là Julie attendait la visite de Kate.
Kate était une jeune étudiante anglaise que Caroline avait
rencontré lors d’une soirée, pour arrondir ses fins de mois, elle
donnait des cours d’anglais. Dans le cadre de son travail de
secrétaire, Julie avait besoin de perfectionner son anglais, elle
s’était inscrite à des cours par correspondance, mais ce n’était
pas satisfaisant, Caroline lui avait parlé de la jeune anglaise,
Julie l’avait donc invitée à la maison.
Quand elle lui ouvrit la porte, elle fut immédiatement séduite
par l’énergie et la spontanéité de la jeune femme. Kate avait
vingt-cinq ans, elle était grande, solidement charpentée avec une
longue chevelure rousse et un sourire éclatant.
Après les présentations, Julie exprima ses souhaits et ses
difficultés à se remettre à étudier à son âge. Kate la rassura
immédiatement :
— Ce n’est vraiment pas une question d’âge, mais
simplement de volonté et d’organisation. D’ailleurs quel âge
avez-vous ?
Julie regardait cette jeune anglaise avec admiration, elle
répondit :
— Quarante-huit, c’est vrai que je suis quelquefois un
peu désorganisée.
Kate se mit à rire :
— Eh bien on va arranger ça. Si toutefois vous m’acceptez
comme professeur.
Julie se rendit compte que cette jeune femme aurait pu être sa
fille, l’avoir comme professeur pouvait sembler curieux, mais elle
avait vraiment besoin d’aide et puis Kate lui paraissait épatante.
Elle se mit à rire également :
— Vous allez avoir du travail, je suis ravie que vous
acceptiez de m’aider. Venez je vais nous faire un thé.
En entrant dans la cuisine la première chose qui sautait aux
yeux, c’était ce fichu martinet que Caroline détestait tant. Il
faisait tellement partie du quotidien que Julie n’y avait pas pensé
en invitant Kate à la suivre. La jeune anglaise poussa un petit cri
et elle désigna l’instrument de punition :
— C’est très original comme décoration, c’est le
fameux martinet français ?
Julie la regarda mi-amusée, mi-sérieuse :
— Oh oui, c’est le martinet familial, il vient de chez ma
mère. Mais vous savez, il n’est pas que décoratif, il a servi à
rougir de nombreuses paires de fesses et il sert encore.
Kate lui jeta un regard mutin :
— Ah bon ? Sur les fesses de Caroline ?
— Exactement, de temps en temps mademoiselle a besoin d’une
petite mise au point. Par contre j’aimerais que ça reste entre
nous, même si Caroline est quelques fois insolente je ne suis pas
méchante au point de crier sur les toits qu’elle reçoit encore la
fessée déculottée.
Les yeux de Kate s’étaient arrondi en écoutant Julie :
— La fessée déculottée ? Vous lui donnez réellement
a bare bottom spanking, comme on dit chez moi. Cette fois Julie se
mit à rire :
— Bien sûr, comment voulez-vous qu’une fessée soit
efficace si on ne baisse pas la culotte. Mademoiselle Caroline me
montre son joli derrière tout nu quand je dois la corriger.
Kate regardait l’instrument avec attention, elle passa sa main
sur le manche poli :
— Vous permettez ?
— Bien sûr, il n’est pas fragile, vous pouvez le
prendre.
La jeune anglaise se saisit du martinet et caressa les lanières,
puis elle se tourna vers Julie :
— Ça doit réellement cuire les fesses, je suppose
qu’après une fessée avec le martinet, on a plus envie de faire
des bêtises.
— Normalement oui, mais il faut croire que Caroline a des
fesses résistantes, car je suis obligée de l’utiliser
régulièrement.
Kate souriait toujours, elle raccrocha l’instrument punitif :
— Chez nous, c’est la strap qui est utilisée, vous
connaissez ? C’est une large lanière de cuir. Ça brûle
énormément les fesses.
Julie lui lança un petit clin d’œil ironique :
— Vous semblez bien connaître, votre maman l’utilise ?
Kate rougit mais ne baissa pas les yeux :
— L’utilisait ? Oui bien sûr, maman est très
stricte, la strap était suspendue à la cuisine comme chez vous,
mais j’ai quitté la maison il y a plus de cinq ans, mes fesses
restent blanches à présent.
Pendant la conversation, Julie avait fini de préparer le thé,
elles revinrent au salon. Kate la précédait, la sévère maman eu
tout le loisir de regarder sa croupe moulée dans un jean. Elle était
assez large et appétissante, fessable pour tout dire.
La conversation roula sur les futures leçons d’anglais, Kate
lui proposa de commencer rapidement, elle sortit un cahier de son sac
et nota une série de mot anglais avec leur traduction :
— Pour débuter, il faut quand même avoir un peu de
vocabulaire, pour demain vous allez apprendre cette liste de mots.
Julie prit la feuille et commença à parcourir la liste, elle
était assez longue, arrivée à la fin, un sourire se dessina sur
ses lèvres, décidément cette Kate était une coquine. Elle lut à
haute voix le dernier mot :
— Bare bottom spanking : fessée cul nu ou fessée
déculottée.
Kate souriait également :
— Celui-ci est facile à retenir n’est-ce pas.
— Oui effectivement, mais cette liste est très longue
quand même.
— Je vous l’ai dit tout à l’heure, tout est une
question d’organisation, je sais que vous avez les capacités pour
le faire.
Elle lui tendit une autre feuille :
— Tenez, vous me traduirez ceci également.
Elle ajouta en souriant :
— Vous pouvez utiliser un dictionnaire mais pas Google
traduction, sinon ça ne sert à rien. De toute façon j’aurais
vite fait de le voir.
Avant de se quitter, Julie proposa qu’elle s’appelle par leur
prénom et qu’elle se tutoie. Kate accepta avec joie puis sans
façon elle claqua une bise à sa nouvelle élève :
— A demain Julie et travaille bien.
La sévère maman de Caroline était conquise et enchantée, elle
raconta son après-midi à sa fille qui fit une grimace lorsqu’elle
aborda le martinet et la discussion qui s’en était suivi :
— Oh maman, quand même, tu lui as dit que je recevais
encore la fessée ?
— Mais oui ma chérie, c’est la vérité de toute façon,
j’ai même précisé que tu la recevais cul nu et ça la bien fait
rire. Mais ne t’inquiète pas, elle m’a promis que ça resterait
entre nous, elle n’en parlera à personne.
Caroline était atterrée, comment allait-elle bien pouvoir
discuter avec Kate maintenant qu’elle savait qu’à vingt-deux ans
sa mère la déculottait pour lui administrer ce châtiment enfantin.
Sa mère tenta de la rassurer en lui racontant que Kate avait elle
aussi une mère sévère :
— Tu sais, il n’y a pas que toi qui montres ses fesses à
sa maman, elle m’a raconté que jusqu’à ce qu’elle quitte le
domicile familial, elle avait droit elle aussi à la fessée
déculottée et que la strap était toujours accrochée dans la
cuisine.
Cette révélation mit un peu de baume au cœur de Caroline.
La soirée fut calme, Julie commença la traduction, c’était un
peu ardu, elle ouvrit Google traduction et la solution s’afficha
rapidement, elle la recopia soigneusement. Elle était contente
d’elle, Kate n’y verrait que du feu. Par contre apprendre la
liste de vocabulaire fut plus compliqué, elle décida de la revoir
demain avant que la jeune anglaise n’arrive.
Elles avaient convenu d’un rendez-vous à dix-sept heures. À
seize heures trente, Caroline arriva très énervée, elle avait été
contrôlée à 60 km/h en ville, c’était la deuxième fois en
deux mois. Julie lui demanda la raison de sa colère et sans
réfléchir la jeune femme l’envoya balader :
— Oh c’est déjà assez chiant comme ça, tu ne vas pas
t’y mettre !
Le sang de Julie ne fit qu’un tour, elle se précipita sur sa
fille, la courba sous son bras et après l’avoir troussée, lui
baissa rapidement la culotte sous les fesses :
— Pardon ? À c’est comme ça que tu me parles et
bien tu vas voir si je ne vais pas m’y mettre !
La fessée crépitait déjà dans la pièce, Caroline piétinait
sur place, ses fesses rebondies, tendues par la position se mirent à
rosir rapidement :
— Aïe, non, non, pardon maman, ce n’est pas ce que je
voulais dire.
— Ah oui, je l’ai pourtant bien entendu !
La main de Julie n’oubliait aucune partie de la jolie croupe,
Caroline hoquetait quand sa mère la relâcha :
— Bien, maintenant tu vas m’expliquer ce qui t’arrive.
De grosses larmes coulaient sur les joues de la jeune femme, elle
se rendit compte soudain que sa situation était critique. De toute
façon, sa mère allait savoir un jour ou l’autre pour sa
contravention, elle contrôlait le courrier. Elle se décida à dire
la vérité, sa jupe était retombée, mais elle était toujours
déculottée, c’était une situation assez embarrassante. Au fur et
à mesure qu’elle parlait le regard de sa mère s’assombrissait :
— Non mais c’est pas vrai, la déculottée que je t’ai
flanqué la dernière fois n’a pas suffi et bien qu’à cela ne
tienne on va recommencer, mais je te garantis que celle-là, tu vas
t’en souvenir.
Elle se dirigea vers la salle de bain et revint quelques secondes
plus tard en tenant sa brosse à cheveux. Caroline blêmit :
— Non, non maman, s’il te plaît pas la fessée, non, pas
la brosse, noon…
Sa mère s’était assise, lui avait pris la main et l’avait
fait basculer en travers de ses genoux. Elle retroussa calmement la
jupe bien haut sur les reins et descendit la culotte jusqu’aux
genoux :
— Oh si ma chérie, tu vas la recevoir cette fessée
déculottée et avec la brosse en plus, la dernière fois j’ai dû
être trop gentille puisque ça ne t’a pas servi de leçon.
Elle passa sa main sur les fesses déjà bien colorées :
— Tu vas voir comme je vais bien le soigner ton bon gros
derrière, ça va te cuire longtemps crois-moi.
Elle leva la brosse et Caroline poussa un cri déchirant. Bientôt
le bruit des claques sur la peau nue fut masqué par les cris et les
pleurs de la punie. Elle se contorsionnait sur les cuisses de sa
mère, mais bien tenue par la taille, son fessier cramoisi ne pouvait
éviter la brûlure du redoutable instrument. Ses jambes battaient
l’air, ses fesses s’ouvraient, mais rien n’arrêtait la sévère
maman.
Soudain un petit cri retenti :
— Oh pardon, je vous dérange ?
Julie leva la tête et aperçu Kate :
— Pas du tout, j’en ai presque fini avec cette chipie.
La fessée continua encore quelques instants accompagnée par les
pleurs et les supplications de Caroline. Le sourire aux lèvres, la
jeune anglaise semblait prendre beaucoup de plaisir à assister à la
correction de son amie.
Enfin Julie cessa la punition et fit relever sa fille, les larmes
coulant sur ses joues rouges de honte, Caroline porta ses mains à
ses fesses pour les frotter. Kate se mit à rire :
— On dirait que ça chauffe. Chez moi en Angleterre, on a
pas le droit de frotter ses fesses après la fessée, mais il faut
avouer que Caroline est vraiment mignonne en train de frotter son
popotin.
Julie était vraiment ravie, sa colère était presque retombée
sous l’effet de la remarque ironique de Kate :
— Chez moi aussi on ne frotte pas ses fesses, tu vas cesser
immédiatement ces gamineries si tu ne veux pas revenir sur mes
genoux.
Caroline retira ses mains de sa croupe enflammée, elle baissait
les yeux pour ne pas croiser le regard de Kate, Julie ajouta :
— Ta punition n’est pas terminée, on verra pour la suite
ce soir, en attendant tu vas dans ta chambre et ne t’avise pas d’en
sortir avant que je t’en donne l’autorisation. Tu tiens ta jupe
retroussée qu’on voie bien ton derrière tout rouge ! Allez
files !
La croupe écarlate apparut, encadrée par la culotte et la jupe
et c’est dans cette tenue, les fesses se balançant au rythme de la
marche que Caroline gagna sa chambre.
Julie se tourna vers sa jeune professeure :
— Je suis désolée de t’avoir imposé cela, mais cette
punition ne pouvait pas attendre.
Kate se mit à rire à nouveau :
— Ne sois pas gênée, c’est normal, comment dit-on chez
vous ? Il faut battre le fer quand il est chaud… Enfin pour le
coup ce n’est pas le fer, mais les fesses de Caroline.
Julie l’approuva en riant également :
— Effectivement, elles sont bien chaudes maintenant.
Kate redevint sérieuse :
— Bon, si nous passions aux choses sérieuses, tu as bien
travaillé ?
Julie se sentit rougir, elle comptait réviser la liste de
vocabulaire avant l’arrivée de Kate, mais l’épisode de la
fessée de Caroline avait perturbé ses plans. Elle répondit
rapidement :
— Euh, oui… J’ai fait la traduction, tu veux la voir ?
Kate s’amusa de la petite gêne de sa nouvelle élève, d’un
air mutin elle lui répondit :
— Bien sûr, tu imagines que je suis venu pour quoi ?
Mais à propos, je pense que pendant que nous serons en cours, c’est
plus correct que tu me vouvoies et que tu m’appelles miss. Ça sera
quand même plus sérieux.
Un peu surprise par cette demande qui jurait un peu avec le ton
enjoué de la jeune anglaise, Julie approuva :
— Euh, oui si vous voulez made… pardon miss…
— Miss Kate !
— Oui, oui excusez-moi miss Kate.
La jeune anglaise désigna une chaise :
— Asseyons-nous et montre-moi ton devoir.
Julie lui tendit son cahier, elle se sentait comme une écolière
devant son institutrice, elle sentit une légère rougeur sur ses
joues. Kate en souriant parcouru le texte, elle leva les yeux vers la
sévère maman :
— J’avais dit pas de Google traduction !
Julie piqua un énorme fard, prise au dépourvu, elle bégaya :
— Euh, euh, bien sûr miss Kate, je… je ne l’ai pas
utilisé, je vous assure…
Kate planta ses yeux verts dans ceux de Julie :
— Ne rajoute pas le mensonge à ta désobéissance !!
Julie baissa les yeux, elle était revenue trente-cinq ans en
arrière quand elle se faisait réprimander par son institutrice. La
jeune anglaise poursuivi :
— Ça se voit comme le nez au milieu de la figure que tu as
utilisé Google. Nous réglerons ce petit problème tout à l’heure,
en attendant voyons si tu as appris la liste de vocabulaire.
Le sol semblait s’effondrer sous les pieds de Julie qui avait
perdu de sa superbe, dès que Kate commença à énumérer le premier
mot de la longue liste, tout se brouilla dans son cerveau. Elle ne se
souvenait de rien. La jeune professeure fit une moue :
— Tu n’as rien appris ? As-tu une explication à me
donner ?
La maman redevenue une mauvaise élève ne répondit pas, Kate
s’était approchée et l’avait saisi par l’oreille, Julie
poussa un petit cri de surprise :
— Aïe, non, non… miss Kate pardon…
La jeune femme força son élève à se lever en tirant légèrement
sur son oreille :
— Le dernier mot de la liste c’est bare bottom spanking,
je suppose que tu sais le traduire ?
Julie était rouge comme une pivoine, elle bégaya :
— Euh, euh… Pardon miss… aïe, non… Non.
La main de Kate avait claqué légèrement le derrière de Julie
par-dessus sa jupe, elle souriait :
— J’attends la traduction, vite !
Une autre claque atterrit sur le large fessier de la maman de
Caroline :
— Euh… Oui… fessée déculottée…
Kate se mit à rire :
— Exactement, c’est au moins un mot que tu as appris.
Dis-moi ma petite Julie, à ton avis qu’est-ce qui arriverait à
Caroline si sa maman apprenait qu’elle à triché pour faire un
devoir et qu’elle n’a pas appris sa leçon ?
Julie ne savait plus où se mettre, elle tenta de se sortir de
cette situation gênante :
— Oui, je sais que j’ai fait une bêtise, je suis
désolée. Ça ne se reproduira plus.
Kate la fixait intensément :
— Tu n’as pas répondu à ma question ma petite Julie.
La sévère maman se reprit à bafouiller, le fait que Kate
l’appelle « ma petite Julie », alors qu’elle avait
quarante-huit ans, était encore plus déstabilisant :
— Euh, euh, miss Kate… Je… Je… Oui mais quand même…
je ne suis plus une gamine tout de même…
Kate lui saisit à nouveau l’oreille et la tira vers le haut,
Julie poussa un petit cri, surtout que l’autre main de la jeune
anglaise avait à nouveau claqué ses fesses :
— Aïe, aïe… oui pardon miss Kate, je sais que je mérite
d’être punie…
La jeune femme souriait, satisfaite du résultat, son caractère
dominateur et son attirance pour la fessée était comblé :
— À nous y voila, c’est bien de le reconnaître ma
petite Julie. Et à ton avis quelle punition serait adéquat ?
Elle s’amusait de la gêne de cette dame de quarante-huit ans,
redevenue en un instant une adolescente craignant la sévérité de
sa maîtresse. Elle lui lâcha l’oreille et mis son doigt sous le
menton de Julie pour la forcer à la regarder en face :
— Tu dois bien avoir une petite idée, si j’en juge par
la couleur des fesses de Caroline, tu en connais un rayon en matière
de punition pour les désobéissantes et les paresseuses.
Julie ne répondit pas, Kate en souriant lui asséna le coup de
grâce :
— Moi je pense que tu le sais, mais que tu n’oses pas me
le dire, je vais donc t’aider. I think you deserve a good bare
bottom spanking.
Elle souriait toujours en guettant la réaction de Julie, elle
avait parlé volontairement en anglais pour bien souligner le
caractère solennel de la punition. La maman de Caroline avait pâli,
elle redoutait ce moment, elle savait qu’elle ne pouvait plus
reculer, elle tenta le tout pour le tout :
— Mais enfin Kate, tu n’y penses pas, je pourrais être
ta mère et puis il y a Caroline dans sa chambre.
Elle avait volontairement employé le tutoiement pour essayer
d’amadouer la sévère anglaise, mais le fait d’évoquer la
présence de Caroline, c’était avouer implicitement qu’elle
acceptait la sanction, mais qu’elle tentait de la différer. Son
espoir fut vite refroidi, une nouvelle claque atterrit sur ses
fesses :
— Pardon ? Comment dois-tu m’appeler ?
Julie baissa la tête :
— Pardon, pardon miss Kate.
La jeune anglaise lui avait à nouveau saisi l’oreille :
— Je pense que nous allons avoir beaucoup de travail ma
chérie, mais rassure-toi, miss Kate connaît les bonnes méthodes
pour soigner la paresse, le mensonge et l’insolence. Si je compte
bien, tu mérites trois fessées, nous n’avons pas de temps à
perdre.
Elle s’était assise sur une chaise tenant toujours l’oreille
de son élève, celle-ci fut forcée de la suivre et un instant plus
tard, Julie se retrouva dans la position qu’elle faisait prendre à
Caroline bien souvent, Kate la positionna correctement en la faisant
basculer vers l’avant, ses pieds décollèrent du sol, la fesseuse
tapota le derrière tendu sous la jupe :
— Tu es bien installée ? Nous en avons pour un
moment. Pour répondre à ta question au sujet de Caroline, je ne
pense pas qu’elle ne va se risquer à sortir de sa chambre après
la déculottée que tu lui as administrée et il ne tient qu’à toi
de ne pas trop faire de bruit si tu ne veux pas qu’elle sache que
sa maman est en train de recevoir une bonne fessée déculottée.
Elle retroussa largement la jupe sur les reins, Julie portait une
culotte blanche légèrement échancrée qui laissait voir la base de
son fessier, ce n’était pas une culotte de petite fille qui reçoit
encore la fessée, mais elle était assez sage tout de même. Kate
apprécia à sa juste valeur le spectacle, ce n’était pas tous les
jours qu’elle aurait l’occasion d’avoir couchée sur ses genoux
une dame de quarante-huit ans, qui plus est troussée et bientôt
déculottée.
Elle caressa la fine lingerie, Julie tressaillit, elle avait
poussé un petit cri en sentant sa jupe se relever, elle avait encore
l’espoir d’échapper à la honte du déculottage. Elle gémit, la
main de Kate venait de frapper alternativement la base des deux
fesses. Elle avait oublié combien ça brûlait une fessée, la
dernière qu’elle avait reçue remontait à vingt-huit ans en
arrière. La jeune anglaise avait visé la base des fesses qui
n’était pas recouverte par le fin tissu, c’était une zone
encore plus sensible.
— Aïe… aïe, aïe, aïe…
La fessée continuait et la peau se mit à rougir rapidement, la
main cessa de claquer et Julie sentit avec horreur les doigts de sa
jeune professeure se glisser dans la ceinture et sa culotte descendre
lentement sur ses rondeurs :
— Noonn, non, miss Kate s’il vous plaît pas la culotte…
Elle se mit à pleurer et Kate à rire :
— Eh pourquoi donc pas la culotte ?
— Oh miss Kate, j’ai trop honte, pas la culotte… à mon
âge…
Elle avait essayé d’attraper la main de la jeune femme pour
l’empêcher de la déculotter. Calmement celle-ci lui coinça le
bras dans le dos et claqua sèchement l’arrière des cuisses :
— J’ai dit a good bare bottom spanking ma petite Julie.
Ça veut dire que je vais te baisser la culotte que ça te plaise ou
non. Tu viens juste de gagner une fessée plus sévère. Quand miss
Kate décide une punition tu dois l’accepter sans discuter sinon
elle est doublée. Tu vas donc recevoir deux cents claques sur chaque
fesse au lieu des cents prévues.
Julie se mit à gémir, jamais elle n’aurait pu imaginer se
retrouver dans une situation pareille. En tournant la tête elle put
se voir dans la glace, elle était dans cette position ridicule et
humiliante, les fesses dénudées pointées vers le ciel sous le
regard ironique de cette jeune femme qui aurait pu être sa fille,
elle la vit lever la main et immédiatement le claquement sec sur la
peau nue, accompagné d’une brûlure :
— Aïe, aïe, aïe…
Les claques se succédaient à un rythme effréné, apparemment
Kate avait une grande habitude de la fessée. La cuisson intense de
son fessier fut vite intolérable, Julie exécuta une magnifique
danse des fesses, ses pieds battaient l’air frénétiquement, elle
se mit rapidement à pleurer autant de honte que de douleur, recevoir
ce châtiment humiliant à quarante-huit ans n’était vraiment pas
banal. La correction ne fut pas trop longue mais suffisamment
cuisante pour que Julie s’en souvienne, chacune de ses fesses avait
reçu deux cents claques.
Kate la fit se relever et après lui avoir saisi l’oreille elle
la conduisit devant la table :
— Tu vas me recopier la liste de vocabulaire dix fois,
tache de bien écrire !
La culotte de Julie était entortillée autour de ses chevilles,
elle lui remonta à mi-cuisse :
— Tu retrousses ta jupe, je veux que tu sentes bien tes
fesses ! Maintenant au travail !
Kate s’installa confortablement dans le canapé et regarda son
élève, les fesses nues posées directement sur la paille de la
chaise, c’était un spectacle très excitant. Discrètement, elle
glissa sa main sous sa jupe et se caressa, depuis qu’elle était en
France, c’était la première fessée qu’elle administrait, chez
elle ce n’était pas rare, ses petites amies repartaient souvent de
sa maison avec une paire de fesses bien rouges sous leur petite
culotte.
Julie avait mis un petit quart d’heure pour copier dix fois la
liste de noms, d’une voix timide elle appela Kate :
— Euh, miss Kate, j’ai fini.
En souriant la jeune anglaise se leva et prit la feuille :
— C’est bien, tu t’es appliquée, lève-toi et
tourne-toi.
Intimidée, redevenue une élève obéissante, Julie s’exécuta.
Kate retroussa la jupe et le coinça dans la ceinture, puis elle prit
une règle plate posée sur la table. Elle s’installa à nouveau
dans le canapé et fit venir son élève à côté d’elle. Julie
était debout tournée de profil, ses fesses nues étaient presque à
hauteur des yeux de sa jeune professeure :
— On va voir si tu as un peu mieux retenu les noms anglais.
Elle commença l’interrogation, copier dix fois la liste avait
aidé Julie à retenir un peu mieux le vocabulaire, mais elle
trébucha quand même rapidement sur plusieurs mots plus compliqués.
Immédiatement la règle claqua sèchement son derrière :
— Bottom !! tu devrais quand même savoir que c’est
le derrière, le tien n’est pas assez rouge !!
Julie trépigna sur place sous la morsure de la règle :
— Aïe, aïe, oui, oui pardon miss Kate.
L’interrogation dura un moment et la règle claqua un nombre
conséquent de fois la belle croupe de la maman de Caroline. Quand ce
fut terminé, la jeune femme prit la feuille et conduisit Julie au
coin de la pièce, elle lui appuya la tête contre le mur et glissa
la feuille devant son visage :
— Tu vas tenir cette feuille avec ton nez et tu mets tes
mains sur la tête, tu resteras là pendant dix minutes à réfléchir
aux conséquences de ta paresse.
C’est très long dix minutes au coin le nez collé contre le
mur, Julie avait des crampes dans les bras quand Kate leva la
pénitence. Mais la punition de Julie n’était pas finie, Kate lui
avait promis trois fessées :
— Va chercher le martinet.