Un nouveau récit de mon amie Caroline que j'accueille avec plaisir sur mon blog.
Une histoire de fessée déculottée tendre et coquine.
Je vous la laisse déguster.
La suite de mes propres récits, bientôt...
Un nouveau musée venait d’ouvrir dans la ville. Un groupe de passionnés avait restauré une ancienne école et l’avait mise en scène comme au début du 20e siècle.
Ils avaient eu du mal à retrouver le mobilier d’époque, mais finalement tout ou presque y était. Une salle de classe avec ses tables d’école, les encriers en porcelaine, les grandes cartes sur les murs sur lesquelles figurent les pays de l’ancien empire colonial français.
Caroline avait vu une publicité dans le journal local. Elle trouvait super que des associations œuvrent à la préservation du patrimoine. Elle décida d’aller le visiter. N’ayant pas réussi à convaincre ses copines de l’accompagner, elle s’y rendit seule.
L’école était telle qu’elle était au début du siècle. On s’y croyait vraiment. Caroline fût accueillie par une dame habillée comme l’était les maîtresses d’école de l’époque. Une grande robe noire, a manches longues et un col blanc. Elle lui a dit s’appeler madame Joséphine. Elle serait la guide de la visite, elle lui demanda de patienter dans la cour afin d’attendre d’autres visiteurs. Au bout de 10 minutes, personnes ne s’étant présenté, elle annonça à Caroline qu’elle aurait droit à une visite privée. Elles commencèrent par la cour où une marelle était peinte sur le sol et où se trouvait une vieille balançoire. Ensuite la cantine, on y trouvait alignées de grandes tables avec des bancs.
À chaque fois, madame Joséphine donnait des explications, racontait des anecdotes, Caroline posait des questions, elle était curieuse et essayait de s’imaginer dans ces lieux à l’époque. Elles entrèrent dans la salle de classe. Il y avait de vieux pupitres, avec leurs encriers, un poêle à bois, une estrade et le bureau de la maîtresse. Dans un angle à côté du bureau, un grand bonnet pointu était posé sur un tabouret.
— Qu’est-ce que c’est ?
Demanda Caroline.
— C’est le bonnet d’âne,
lui répondit madame Joséphine. Les châtiments corporels étaient autorisés et très fréquents à cette époque. Mais, puisque nous sommes seules aujourd’hui, prenez donc place à un pupitre.
Caroline, ravie de se plonger un peu plus dans la scène reconstituée, s’installa au premier rang. Madame Joséphine prit place au bureau de la maîtresse.
— On s’y croirait vraiment.
Caroline était subjuguée.
— Je vous remercie, nous avons fait beaucoup d’efforts pour que notre reconstitution soit la plus proche de la réalité. Avez-vous des questions ?
— Euh… au sujet… des châtiments corporels, de quoi s’agissait-il ?
— Le sujet vous intéresse, je vois.
Caroline se sentit rougir jusqu’aux oreilles.
— Eh bien, reprit madame Joséphine, suivant la gravité de la faute, cela pouvait aller de quelques coups de baguette sur la main à la fessée déculottée.
— La fessée déculottée ?!
Caroline n’avait pas pu retenir son exclamation.
— Oui, et finalement, cela arrivait très souvent, là, ici.
La dame montrait du doigt le devant de l’estrade, à quelques centimètres de la place de Caroline.
— Ça devait être terrible.
— Pas tant que ça, je vous rappelle que c’était normal à ce temps-là. Heureusement,
aujourd’hui c’est interdit.
— Ça devait être très embarrassant.
— Très
— Les pauvres, la culotte baissée…
Le cœur de Caroline battait fort dans sa poitrine, ces mots, ses images, provoquèrent en elle un émoi qu’elle ne pouvait expliquer. Madame Joséphine, le remarqua immédiatement, elle avait devant elle une très belle jeune femme, blonde, les cheveux mi-long, vêtue d’une robe en lin blanc.
— Comment vous appelez vous ?
— Caroline
— Je te sens troublée par ce que je viens de dire, je me trompe ?
Caroline fut surprise par ce soudain tutoiement. Un frisson l’a parcouru. Elle était assise au
pupitre, comme une élève.
— Non, balbutia-t-elle.
— Ce sont les mots : fessée déculottée qui te trouble ?
— Oui, murmura Caroline.
— Tu t’imagines allongée sur les genoux de maîtresse ?
— Oh ! Non, enfin…
— Je vais te poser une question directe Caroline, si tu avais l’opportunité de recevoir une fessée déculottée, oserais-tu ?
— Euh
— Réponds franchement. Je ne suis là pour te juger, mais je peux t’aider à réaliser ce fantasme.
— Ah bon et comment ça ?
— En te donnant une fessée déculottée pardi !
— La ? Maintenant ? Ici ?
— Oui
— Euh…
— Nous sommes seules, est ce que tu souhaites que j’aille fermer les portes du musée ? Tu comprends ce que je veux dire ?
Caroline, comme toutes les femmes, fit rapidement mentalement un check-up de sa situation physique. Pas en période de règles, jolie petite culotte, pilosité pubienne naturelle. Rien n’empêchait une intrusion dans son intimité.
— Oui.
— Approche.
Joséphine lui tendait la main, Caroline se leva de son siège et s’approcha d’elle. Elle posa sa main sur celle de la maîtresse, elle ressentait un désir profond, une excitation. Sans appréhension, le rose aux joues, le sexe palpitant, elle se laissa guider. Joséphine accompagna Caroline vers le tabouret des punis. L’aida à s’agenouiller dessus et plaça le bonnet d’âne sur sa tête. Puis tendrement posa un baiser sur sa joue.
— Je vais faire en sorte que tu vives une expérience inoubliable mêlée de plaisir et de douleur. Reste ici pendant que je vais fermer les portes.
Caroline avait peine à réaliser ce qui était en train de se passer, il y a quelques heures, elle était chez elle, se préparant à une visite de musée et maintenant elle était agenouillée à la place des punies. Elle allait recevoir une fessée déculottée. Des papillons virevoltaient dans son ventre et son sexe. Elle entendit des pas derrière elle.
— Bien, jeune fille, lève-toi !
Joséphine déplaça la chaise du bureau pour la positionner devant l’estrade, à l’endroit même qu’elle avait montré à Caroline quelques instants plus tôt. Elle s’y installa.
— Approche Caroline et mets tes mains sur ta tête !
Puis elle posa sa main sur les fesses de Caroline et les massa tendrement.
— Prête à rentrer dans ton rôle ?
— Oui
— On dit : oui maîtresse !
— Oui maîtresse.
Joséphine, aida Caroline à se coucher sur ses genoux. Elle lissa le bas de la robe. Dans quelques instants, elle allait découvrir ce petit trésor. Elle commença par tapoter les fesses de Caroline, de son côté, celle-ci se laissait faire. Elle avait pris place en travers des cuisses de la maîtresse, elle était désormais à sa merci, offrant ses fesses encore protégées par sa robe et sa culotte.
Maîtresse commença la fessée, appuyant un peu plus ses claques, sur un rythme régulier, alternant chaque fesse et s’appliquant à couvrir toute la surface. Petit à petit, les claques devinrent plus fortes, la vraie fessée avait débuté. Caroline encaissait chaque claque avec surprise et plaisir. Elle ne comprenait pas comment la douleur grandissante pouvait l’exciter autant. Elle lâchait des petits aïe et des ouilles incontrôlés.
— Vous voyez ce qui arrive à celles qui imitent la signature de leurs parents sur un contrôle ?
Joséphine semblait s’adresser à un auditoire fictif.
— Eh bien, c’est la fessée !!
Caroline imaginait un public attentif et subjugué par la vue qu’elle offrait, elle sentait tous les regards braqués sur ses fesses. Bientôt elles allaient voir, tout voir !
Maintenant les fesses de Caroline commençaient vraiment à chauffer.
— Bien, c’est le moment du déculottage. Qu’en dis-tu Caroline ?
— S’il vous plaît maîtresse, pas la culotte !
— Et pourquoi donc ? Tu ne crois pas que ce que tu as fait ne mérite pas la fessée déculottée ?
— C’est très gênant !
— Ça ! Il fallait y réfléchir avant ma chère. Lève-toi et mets tes mains sur la tête.
Caroline s’exécuta, elle regarda la maîtresse se lever également et pivoter le siège sur le côté. Elle commença à comprendre ce qu’elle était en train de préparer. Elle allait être déculottée de telle manière que ses fesses soient face à la classe !! Tout le monde allait voir son intimité !
— Reprends ta place de punie.
Caroline s’allongea à nouveau. Joséphine releva le bas de la robe de Caroline jusqu’au milieu du dos. Elle portait une jolie culotte blanche avec des petits cœurs rouges.
Joséphine apprécia la vue que lui offrait sa partenaire de jeu. Une large tache d’humidité s’étalait sur l’entrejambe. Joséphine était aux anges, Caroline avait l’air de prendre beaucoup de plaisir. Elle saisit l’élastique de la culotte et la fit glisser le long des cuisses de Caroline. Ses fesses, harmonieusement colorées, étaient tout simplement magnifiques. Le petit duvet de poils châtain qui ornait la vulve de Caroline était humide.
— Comment te sens-tu Caroline ? On continue ? À ce que je constate, tu sembles apprécier cette punition ?
— Oui maîtresse, j’ai mérité la fessée déculottée.
Caroline était maintenant totalement dans son rôle, la fessée reprit de plus belle, les claques quoique plus espacées étaient plus appuyées. Chaque impact sur les fesses dénudées de Caroline provoquaient un petit gémissement. Joséphine s’arrêta. Elle plaça deux doigts sur le sexe de Caroline.
— Je peux ?
— Oui
Caroline avait murmuré dans un gémissement étouffé. Joséphine se mit à caresser le sexe de Caroline, elle fit aller ses doigts sur le clitoris et sur l’entrée du vagin déjà plus que lubrifié. Caroline poussait des gémissements de plus en plus fort. Son bassin ondulait au rythme des caresses. Quand Joséphine sentit que Caroline était proche de l’orgasme, elle s’arrêta. Elle fit rouler la culotte de Caroline jusqu’aux chevilles et l’ôta complètement.
Puis avec sa main, elle fit ouvrir en grand les cuisses de Caroline. Son sexe palpitant était béant, un petit filet de mouille perlait le long de ses lèvres.
Caroline était dans un état d’excitation extrême. Elle s’imaginait le spectacle qu’elle offrait à son public imaginaire. Une jeune femme, les jambes écartées, recevant une fessée déculottée et chacun pouvant se délecter de la vue de son sexe et de son anus. Quelle honte délicieuse, les claques qui suivirent furent plus douces, presque caressantes. Caroline, ainsi offerte, au summum de son plaisir sentit venir un formidable orgasme du plus profond de son être. Ses gémissements devinrent rauques, et quand il explosa, elle s’évanouit presque.
Elle resta dans cette position de longues minutes, le temps de revenir à la réalité. Joséphine, de son côté, était brûlante de désir. Elle trouva cependant la force de rester maîtresse de ses émotions. Elle avait réussi à faire jouir une femme avec une fessée déculottée. Elle laissa Caroline profiter de son extase, en lui massant tendrement les fesses. Puis elle l’aida a se relever.
— Est-ce que toutes les visites se terminent comme ça?
Caroline avait un petit sourire en coin
- Non ma chérie, c’est la première fois
- J’ai donc eu de la chance.
- Viens, nous allons boire un thé.
- Volontiers.
Caroline et Joséphine restèrent un moment à discuter. Elles ne parlèrent pas de ce qu’elles avaient vécu. Elles voulaient le garder intact dans leurs mémoires, puis Caroline rentra chez elle.
Quand se déshabilla pour prendre une douche, elle s’aperçut qu’elle n’avait pas repris sa culotte. Elle était fesses à l’air depuis tout ce temps, elle pouffa de rire.
Après le départ de Caroline, Joséphine fit le tour des pièces du musée pour fermer les portes et éteindre la lumière. Au moment de fermer la porte de la salle de classe elle marqua un temps d’arrêt. Elle se vit assise avec une jeune femme couchée sur ses genoux, la culotte baissée, les jambes outrageusement ouvertes. Son regard fut attiré par une boule de tissu blanc et rouge. C’était la culotte de Caroline. Elle la ramassa et la déplia, elle était encore toute humide de plaisir. Elle porta la culotte à son nez et la huma. Toute son après midi était résumé dans cette carte olfactive. Elle se promit de garder précieusement ce souvenir.
Elles ne s’étaient pas échangé ni mail ni numéro de téléphone. De toute façon, Caroline savait où la retrouver si elle voulait revivre cette expérience.
Cette expérience avait fait découvrir à Caroline sa féminité dans toute sa puissance. Elle avait lâché prise et osé, elle dormit d’un sommeil reposé, heureuse et fière d’elle-même.
Magnifique histoire, j'espère qu’il y aura une suite 🍑
RépondreSupprimerJe me rappelle de mes années de primaires, où je suis souvent montée sur l’estrade, pour il recevoir quelques fessées déculottées 🍑🔥🍑
Qu’es ce que j’aimais ça !! j'en mouille encore.
What a beautiful story
RépondreSupprimerChinmay
Merci pour vos compliments
RépondreSupprimerBravo et merci Caroline quel talent !!!!vivement une nouvelle histoire
RépondreSupprimerMerci, j'ysonge déjà
RépondreSupprimerVivement une nouvelle histoire merci
RépondreSupprimer