mercredi 5 juin 2024

Lucie et Christian 14

 Trois derrières bien fessés



Claire était plus que satisfaite de sa journée, elle avait maintenant cinq fessiers à sa disposition. C’était plus qu’il ne lui en fallait pour assouvir sa passion pour la fessée. Elle était sûre d’avoir chaque jour au moins une ou deux paires de fesses à rougir.

De toute façon, avec le programme qu’elle avait concocté pour les trois comptables, elle avait de l’ouvrage pour un moment. Elle songea à Alice et Lucie, elles aussi devaient être corrigées régulièrement, il allait y avoir embouteillage de fesses rouges dans son bureau, il fallait qu’elle s’organise.

Midi approchait, les trois comptables allaient se présenter dans son bureau pour y recevoir la fessée déculottée qu’elle leur avait promise. En passant devant celui des deux commerciales elle sourit en pensant qu’elles étaient assises cul nu directement sur leur chaise et au plug qui garnissait le joli derrière de Lucie. Elle entra dans le bureau, elle venait d’avoir une idée.

Lucie et Alice sursautèrent en voyant entrer leur cheffe de service, celle-ci leur adressa un grand sourire :

— Alors mes petites chéries, vos jolies fesses vont bien ?

Les deux secrétaires se regardèrent, elles étaient bonnes pour une nouvelle mise à l’air de leur derrière, sans un mot elles se levèrent. Claire se mit à rire :

— C’est parfait, vous êtes de plus en plus obéissante, allez pleine lune et vite !

Les deux secrétaires s’étaient tournées et penchées vers l’avant, elles relevèrent en même temps leurs jupes, le fessier d’Alice était redevenu blanc, par contre celui de Lucie était encore bien coloré et on distinguait parfaitement le plug rose au milieu de la raie fessière. Claire s’approcha et tapota les deux jolies croupes :

— Vous viendrez récupérer vos culottes à 15h45, Lucie je t’enlèverai le plug à ce moment-là, ça va te faire le plus grand bien de le garder tout l’après-midi. J’aurai une mission à vous confier avant de partir. Vos fesses sont en parfait état, soyez sage si vous ne voulez pas qu’elles rougissent à nouveau. Allez au travail !!

Elle avait ponctué sa phrase par une bonne claque sur chacun des derrières tendus devant elle.

En arrivant devant son bureau, elle aperçut les trois comptables qui attendaient tête basse, elle les regarda en souriant :

— Prêtes pour la bonne fessée déculottée ? Retroussez vos jupes !

Elles la regardèrent affolées, elles étaient encore dans le couloir et leur cheffe de service voulait apparemment qu’elles exposent leurs fesses maintenant. Celle-ci se mit à rire devant leur mine inquiète :

— Oui mes petites chéries, vous avez bien entendu, je veux voir vos fesses ici. À partir de maintenant quand je vous convoquerai pour recevoir une fessée, vous devrez retrousser votre jupe avant de rentrer, si je suis occupée vous devrez patienter en culotte ou cul nu. Si quelqu’un passe, il saura que vous êtes punie. Allez exécution !!

Rapidement trois croupes encore rosées apparurent dans le couloir, Claire était satisfaite de son nouveau pouvoir, elle décida d’en abuser. Les trois comptables tenaient leurs jupes retroussées, leurs joues étaient plus rouges que leurs fesses, elle les regarda en souriant :

— Mettez-vous le nez contre le mur, j’ai un coup de téléphone à donner, je suis à vous dans un instant. Ne vous avisez pas de bouger ou de cacher vos derrières.



Ébahies et désespérées les trois dames s’exécutèrent, il n’y avait pas un bruit, elle pouvait espérer que cet instant de pénitence les fesses à l’air reste secret. Hélas une porte s’ouvrit et Alice apparu, elle poussa un petit « Oh » et s’approcha. Les trois fessiers s’étaient contractés mais aucune des punies n’avaient osé baisser sa jupe. Alice s’approcha :

— Comme c’est mignon, quelle belle brochette de cul nu ! On attend sa fessée à ce que je vois ?

Elle retourna vers son bureau pour appeler Lucie et bientôt les trois comptables eurent droit à deux spectatrices. Celle-ci s’éclipsèrent dès qu’elles entendirent Claire arriver, la cheffe de bureau esquissa un sourire, elle avait aperçu les deux secrétaires :

— Allez les chipies dans mon bureau, je vais m’occuper de vos derrières !!

Quelques instants plus tard le bruit caractéristique des claques sur la peau nue d’un derrière retentissait dans le bureau accompagné des cris et des pleurs de Clotilde, c’était la cheffe comptable qui inaugurait la séance de panpan cucul. Ses deux collègues avaient eu la permission de regarder leur supérieur subir ce châtiment enfantin. 



Elle se comportait comme une gamine sur les genoux de son institutrice, ses pieds battaient l’air au rythme de la fessée, sa croupe était à nouveau écarlate. Ses cris redoublèrent quand Claire prit la règle plate pour terminer la correction. Avant de la faire relever, la sévère maîtresse coinça l’ourlet de la jupe dans la ceinture :

— Voilà une belle paire de fesses cuite à point, mets tes mains sur la tête, tu vas pouvoir regarder la fessée de tes acolytes.

Les deux comptables tenaient toujours leur jupe retroussée, elles avaient été terrorisées de voir Clotilde gigoter, crier et pleurer comme une gamine sur les genoux de Claire, bientôt ça allait être leur tour.

Laetitia fut la suivante, elle se comporta comme toutes les punies du monde recevant la fessée cul nu. L’âge n’avait pas d’importance, une fois allongée sur les genoux de sa maîtresse et que la main claquait les rotondités dénudées toutes sans exception se mettaient à gémir puis à pleurer, les fesses s’ouvraient largement, les jambes battaient l’air et elles promettaient toutes d’être sage, de ne plus recommencer.

Émilie regardait sa collègue se débattre sur les genoux de Claire, ses yeux étaient baignés de larmes, la correction ne semblait pas vouloir s’arrêter, les fesses étaient rouge carmin et maintenant la règle plate cinglait les superbes fesses de Laetitia qui n’était plus qu’une petite fille en pleurs sur les genoux d’une maman sévère. Bientôt ce fut son tour d’exposer à ses deux collègues son petit fessier bien rond, Claire était contente, ce fessier juvénile était agréable à palper, elle décida d’humilier un peu plus la jeune comptable :

— Écarte tes cuisses ma jolie, qu’on puisse voir tes trésors.

Émilie se mit à pleurer :

— Oh non madame, pardon j’ai trop honte, aïe, aïe…

La main de Claire venait de claquer l’arrière des cuisses, juste sous les fesses :

— Dépêche-toi d’obéir, j’espère bien que tu as honte, c’est fait pour ça. À ton âge recevoir la fessée déculottée, tu vas t’en souvenir longtemps je te le garantis, tu n’as pas fini de me montrer ton petit derrière ? Allez écarte tes cuisses, voilà, c’est bien.

En pleurant, Émilie avait obéi aux ordres de la perverse cheffe de service, celle-ci ouvrit un peu plus les fesses pour mettre à jour la raie fessière et le petit trou de la jeune femme qui éclata en sanglot.

— Voilà ! Regardez bien les deux chipies, mademoiselle nous montre ce qu’une dame veut cacher en général, bientôt ce sera votre tour de l’exposer aussi. Ça fera partie de votre punition, la prochaine fois, vous réfléchirez avant de faire des bêtises.

Elle tenait toujours les fesses largement écartées, Émilie pleurait à chaudes larmes mais ne cherchait pas à se dérober. Il était temps de passer à la correction, la plus jeune des trois comptables reçu la plus sévère des trois corrections, ses deux globes fessiers ressemblaient vraiment à deux tomates trop mûres quand elle put se relever. Claire les regarda en souriant :

— Maintenant que vos derrières sont bien chauds, vous allez les faire refroidir au coin, mains sur la tête et nez contre le mur. Je ne veux plus vous entendre, vous en avez pour trois quarts d’heure ça va vous permettre de réfléchir.



Cette pause déjeuner cuisante allait se reproduire pendant toute la semaine, Claire avait mal à la main, son idée devait se concrétiser.

A 15h45 Lucie et Alice se présentèrent à son bureau, comme à son habitude, avant de leurs rendre leurs culottes, Claire les courba sous son bras et leur administra une rapide mais cuisante fessée. Puis une fois reculottée elle les fit s’asseoir :

— Je vais avoir besoin de vous, les trois chipies de la comptabilité ont fait une grosse bêtise et je dois les punir régulièrement. À midi je leur ai administré une bonne fessée déculottée à chacune mais c’est un peu long. Je leur en ai promis une ce soir avant de récupérer leurs culottes.

Alice et Lucie jetèrent un œil aux trois sous-vêtements suspendu au mur, elles esquissèrent un sourire. Claire continua :

— Je vais m’occuper de rougir le derrière de Clotilde et je vais vous envoyer Laetitia et Émilie pour que vous les corrigiez.

Lucie et Alice rayonnaient, voilà qui les consolaient des nombreuses corrections reçues depuis quelque temps.

— Je contrôlerai l’état de leurs fesses, appliquez-vous, si elles ne sont pas assez rouges c’est les vôtres qui vont vous brûler.

Alice et Lucie échangèrent un sourire complice, Claire pouvait être rassurée, les deux chipies n’auraient pas froid aux fesses pour rentrer chez elles.

À 16 h précise, les trois comptables se présentèrent devant le bureau, ne voulant pas s’attirer les foudres de leur cheffe de service, elles retroussèrent leurs jupes dans le couloir avant de frapper. Claire prit son temps avant de répondre, une petite exposition fesses à l’air faisait partie de la punition.

Dès qu’elles furent devant elle, Claire leur expliqua la suite du programme :

— Je n’ai pas le temps de vous administrer la fessée prévue, Clotilde tu vas rester là, je vais m’occuper de ton derrière, quant à vous, vous allez voir Alice et Lucie, c’est elles qui vont se charger de vous corriger.

Les deux jeunes femmes restèrent bouches bée, le ciel venait de leur tomber sur la tête. C’était humiliant de recevoir une fessée déculottée par leur cheffe de service, mais elle commençait à s’y habituer, par contre se faire punir de cette façon par les deux secrétaires c’était sans commune mesure. Claire s’amusait de leur désarroi :

— Eh oui mes petites chéries, c’est la suite de votre apprentissage de l’humilité. Il n’y a pas d’âge pour recevoir une bonne fessée déculottée et il va falloir vous y faire. Vous montrerez vos fesses à beaucoup de monde. Allez filer vite, sinon je leur dis de doubler la punition !

Les deux comptables sortirent du bureau, elles se dirigèrent vers le secrétariat où Lucie et Alice les attendaient de pied ferme. Elles entrèrent dans le bureau un peu gênées, ce fut Alice qui moqueuse les accueillit :

— Eh bien qu’est-ce qui vous amène ? Vous n’êtes pas allé récupérer vos culottes chez madame Dugou ?

Rougissantes, les deux jeunes femmes baissèrent la tête, c’est Lucie qui prit le relais :

— Que peut-on faire pour vous ?

C’était un peu trop pour Émilie qui se mit à pleurer. Lucie la regarda en souriant :

— Tu pleures trop tôt ma chérie, on ne s’est pas encore occupée de ton petit cul.



Alice commençait à s’impatienter, elle avait très souvent reçu la fessée mais jamais elle n’en avait administré une, ça lui tardait trop :

— Bon, vous allez nous dire ce qui vous amène et vite, sinon ça va barder !

Ce fut Laetitia qui se lança, elle parlait vite en regardant ses pieds :

— Euh… Voilà… Euh madame Dugou a dit que vous deviez nous punir…

Elle s’arrêta, demander sa fessée, c’était quand même compliqué à 40 ans.

Lucie ne l’entendait pas de cette oreille, elle avait l’habitude d’imposer des petites humiliations à Christine et à ces autres soumises, elle jeta un regard inquisiteur à Laetitia :

— Tiens, tiens, vous punir ? Et comment doit-on s’y prendre ? Tu vas m’expliquer ça un peu mieux ma chérie.

Émilie pleurait toujours, Alice s’approcha d’elle et lui tapota les fesses :

— Garde tes larmes ma chérie.

Lucie s’occupait toujours de Laetitia :

— Il va falloir que tu sois plus précise ma petite, sinon je vais être obligée d’aller demander à madame Dugou, je ne sais pas si elle va trop apprécier.

Laetitia s’affola :

— Non, non s’il vous plaît… Euh madame Dugou veut que vous nous donniez une fessée…

Elle avait dit ça très vite, comme si ces mots lui brûlaient la langue. Les deux secrétaires éclatèrent de rire :

— Voyez-vous ça, la fessée ? Et comment dois-je te la donner cette fessée ?

Lucie ne voulait pas lâcher Laetitia, de plus en plus rouge, celle-ci se mit à bégayer :

— Euh… euh… je ne sais pas… que voulez-vous dire…

La secrétaire s’approcha et lui tapota la croupe par-dessus la jupe :

— Quand madame Dugou t’a corrigée, c’était sur la jupe ou sur la culotte ?

— Euh… Non…

— Et bien tu vas me le dire !

La main de Lucie avait claqué sèchement la jupe. Laetitia, les larmes aux yeux compris enfin ce que voulait la secrétaire :

— Euh, madame Dugou veut que vous nous donniez une… aïe…

La main de Lucie avait claqué la cuisse.

— Euh… aïe, aïe… une fessée déculottée…

Lucie souriait toujours :

— C’était un peu laborieux, alors comme ça, vous êtes venue vous prendre une fessée cul nu. Ça va être un plaisir mes chéries.

Elle regarda Alice :

— Tu préfères laquelle ?

La secrétaire regarda alternativement les deux jeunes femmes s’attardant sur leurs fessiers. Laetitia avait une magnifique croupe, un derrière fessable comme disait sa tante qui était une grande amatrice de fessier féminin. Le petit derrière d’Émilie était également très agréable à contempler, bien rond et musclé. Elle s’approcha et posa sa main sur la large croupe de Laetitia :

— Si tu n’y vois pas d’inconvénient, je préférerais m’occuper des bonnes grosses fesses de Laetitia.

Lucie se mit à rire :

— Je te comprends, pour commencer une carrière de fesseuse, rien de mieux qu’un bon gros derrière bien joufflu.

Elle s’était également approchée des deux comptables apeurées, elle saisit l’oreille de la jeune Émilie :

— Viens un peu ici ma chérie tu vas voir comment tatie Lucie va bien s’occuper de ton joli petit cul.

Toujours tenant l’oreille de la jeune comptable, elle tira sa chaise de bureau pour l’amener au centre de la pièce, puis elle s’y assit et fit basculer Émilie en travers de ses cuisses :

— En position pour la fessée ma petite !

Alice n’était pas en reste, elle avait disposé sa chaise en face de celle de sa collègue et Laetitia se retrouva dans la même position. Elle avait une grande habitude de la fessée, mais normalement c’était elle qui présentait son derrière, elle connaissait cependant les positions les plus confortables pour la fesseuse et les plus humiliantes pour une adulte recevant ce châtiment enfantin. Elle fit donc basculer vers l’avant cette pimbêche de Laetitia, ses pieds quittèrent le sol et son fessier pointa bien haut en direction de sa nouvelle tatie. Elle aussi elle avait décidé de prendre très au sérieux ce nouveau rôle :

— Alors vilaine fille, tu feras encore des bêtises ?

— Aïe, aïe… non, non Alice… Aïe, aïe…

La main de la secrétaire venait de claquer sèchement la croupe largement étalée :

— Qu’est-ce que c’est que ces manières !! D’abord tu réponds quand je te pose une question et tu m’appelles tatie Alice, c’est bien compris !! Alors tu recommenceras tes bêtises ?

Pendant toute cette tirade, la main n’avait cessé d’aller et venir sur le fessier de la pauvre Laetitia qui pleurait déjà.

— Non, non tatie Alice. Aïe, aïe, aïe… Non, promis, ça brûle.

Lucie regardait sa copine en souriant, elle tapotait distraitement sur le derrière d’Émilie qui serrait les fesses, effrayée par la suite des événements qui s’annonçait cuisante. Alice se mit à rire :

— Bien sûr que ça brûle, c’est fait pour ça ma chérie, mais attends un peu pour pleurer, je n’ai pas encore commencé ta correction.

Elle regarda sa collègue :

— On y va ?

Lucie leva la main, enfin elle allait pouvoir satisfaire ses pulsions fessophiles sur un nouveau derrière et celui d’Émilie était particulièrement appétissant. Les deux petites fesses rondes et musclées étaient serrées par l’appréhension, la jeune femme poussa un cri quand la main de Lucie claqua à toute volée sa fesse droite celle-ci sembla sauter sur les genoux de sa fesseuse, immédiatement la fesse gauche reçut son dû, une magistrale claque sur la partie la plus charnue du fessier. Rapidement la croupe repris la jolie couleur rouge qui ne l’avait quasiment pas quitté depuis le milieu de la matinée, Émilie criait et pleurait en même temps.

De son côté Alice n’était pas restée inactive et les larges fesses de Laetitia bondissaient sous la vigoureuse fessée, elles rougissaient plus vite que celle d’Émilie. La jeune maîtresse se régalait à claquer ce plantureux derrière, Laetitia battait des jambes et ouvrait largement ses cuisses dévoilant son intimité. Alice se rendait compte du spectacle qu’elle offrait à sa tante et à Claire quand elle la corrigeait, c’était assez indécent, elle en fut confuse.



Maintenant les deux paires de fesses étaient écarlates et les deux comptables pleuraient comme des gamines punies par leur maman. Alice et Lucie continuaient cependant, elles s’encourageaient mutuellement du regard, même l’arrière des cuisses était rouge à présent. Mais toutes les bonnes choses ont une fin, elles cessèrent la punition mais gardèrent un moment les punies affalées en travers de leurs cuisses.

Une fois relevées, elles leur coincèrent la jupe dans la ceinture. Lucie menait la danse, elle claqua les fesses rougeoyantes des deux jeunes femmes :

— Vous restez fesses à l’air et vous allez les montrer à madame Dugou.

Penaudes, les larmes coulant sur leurs joues, elles étaient résignées à devoir traverser le couloir cul nu, elles se présentèrent devant le bureau de la cheffe de service.

Des pleurs mêlés aux claquements de la main de madame Dugou sur la peau nue leur indiquèrent que la punition de Clotilde n’était pas terminée. Les cris déchirants de la responsable de la comptabilité compensaient un peu le feu qui envahissait leurs derrières, finalement elles ne regrettaient pas d’avoir été fessées par les deux secrétaires, la cheffe de service semblait beaucoup plus sévère.

Quand le bruit de la fessée cessa, elles tapèrent timidement à la porte, Claire les invita à entrer. Clotilde était toujours couchée sur ses genoux, elle sanglotait, sa large croupe était rouge carmin, la rougeur descendait même sur l’arrière des cuisses. La sévère maîtresse caressait en souriant le fessier brûlant, elle regarda les deux jeunes femmes :

— Alors mesdames, vous avez été bien fessée ? On va vérifier ça, tournez-vous.

Sans un mot elles se tournèrent présentant leurs croupes écarlates, Claire souriait satisfaite de leur obéissance :

— Approchez et penchez-vous, je veux voir si elles ont bien travaillé.

Les deux comptables s’approchèrent tendant leurs fesses, Claire avait gardé Clotilde en position disciplinaire pour ajouter à sa confusion. Elle se pencha vers l’avant pour palper les deux derrières :

— C’est parfait, j’espère que ça vous brûle. Allez vous mettre au coin pendant que j’en termine avec Clotilde.

En entendant ces mots, la cheffe comptable contracta ses fesses, elle pensait que sa punition était terminée. Claire écarta les deux grosses fesses brûlantes pour mettre à jour l’anus de sa punie :

— Écarte-moi tes fesses mieux que ça ma chérie. Voilà c’est bien.

Clotilde gémissait de honte, obligée d’exposer son intimité à sa perverse maîtresse, le doigt de Claire força l’anus contracté :

— Détends-toi ma chérie, tu vas voir comme je vais m’occuper de ton petit trou.

La pauvre Clotilde poussa un cri, elle n’avait jamais été déflorée de ce côté-là. Claire se mit à rire :

— Eh bien, tu cries pour pas grand-chose ma chérie, c’est juste un petit thermomètre que je te mets dans les fesses. Tu auras droit à quelque chose de beaucoup plus gros demain.

Elle faisait coulisser le thermomètre entre les grosses fesses. 



Quand il fut bien enfoncé, elle la fit se relever et lui claqua le fessier rubicond :

— File te mettre au coin, le nez contre le mur !

Puis elle appela les deux jeunes femmes :

— Laetitia et Émilie venez ici. Vous pouvez vous reculotter.

Elles ne se le firent pas dire deux fois, elles jetèrent un œil sur leur cheffe qui exposait son gros derrière, le thermomètre qui apparaissait entre les fesses serrées rendait la scène encore plus excitante. Ça les consolait de la fessée reçue. Claire leur annonça le programme du lendemain ce qui eut le don de les calmer :

— Demain matin, dès votre arrivée, vous allez voir Alice et Lucie pour votre fessée matinale. Vous attendrez devant leur bureau jupe retroussée. À midi, comme aujourd’hui, fessée dans mon bureau et au coin fesses à l’air pendant la pause déjeuner, puis fessée de fin de journée comme ce soir. Vous pouvez y aller.

Il ne restait plus que Clotilde au coin, elle décida de l’y laisser un moment. Elle se dirigea vers le bureau des secrétaires, celles-ci attendaient sagement, elle les regarda en souriant :

— Je vous félicite, vous avez correctement corrigé ces deux donzelles. Demain matin, comme d’habitude vous viendrez dans mon bureau recevoir votre fessée déculottée, je vous rappelle que vous en avez encore pour une semaine à être punie et privée de culotte. Laetitia et Émilie arrive à 8h30, elles viendront vous voir et vous les corrigerez comme ce soir, ensuite elles m’amèneront leurs culottes et je vérifierai la couleur de leurs derrières, il doit être bien rouge. Le soir avant de quitter le travail elles auront droit au même traitement. Ah, j’oubliais elles doivent attendre devant votre bureau la jupe retroussée, j’y tiens. Tout le monde doit savoir qu’elles sont là en attente de punition.

Les deux amies se lancèrent un regard complice, elles allaient pouvoir s’amuser avec ces deux péronnelles de la comptabilité. Claire les laissa, il lui fallait finir de s’occuper de Clotilde.

Quand elle rentra dans le bureau, celle-ci n’avait pas bougé, son nez était toujours appuyé contre le mur et ses fesses écarlates se serraient convulsivement sur le thermomètre planté en leur milieu. La sévère maîtresse s’approcha et lui saisit l’oreille :

— Viens un peu ici ma petite.

En fait Clotilde était plus âgée qu’elle, mais la façon dont elle était traitée la rapprochait plus du statut de gamine fessée par une maman sévère que celui d’une dame d’âge mûr. D’ailleurs elle en avait le comportement, elle se mit à gémir et à pleurnicher :

— Aïe, non, s’il vous plaît madame, plus la fessée, promis je serai sage.

Elle en oubliait son âge, être tenue par l’oreille, avoir les fesses nues ne présageait rien de bon. Elle avait raison, sa large croupe attirait les convoitises, Claire voulait encore en profiter, elle la coucha sans ménagement en travers de ses cuisses :

— Oh ça j’en suis sûr que tu vas être sage, en général quand on a la culotte baissée et les fesses bien rouges et bien chaudes on évite de faire des bêtises. Mais je veux être sûr que tu penses à ta sévère maman toute la soirée, tes bonnes grosses fesses ont encore besoin d’être réchauffées.

Elle fit coulisser le thermomètre, ce qui fit gémir encore plus la punie. Ce n’était pas douloureux mais sentir les doigts de Claire écarter ses fesses pour mettre à jour son intimité était une humiliation supplémentaire. 



La main de celle-ci s’égara jusque sur la vulve qui était humide, elle sourit en retirant ses doigts et les plaça sous le nez de Clotilde :

— Tu mouilles ma chérie ? Décidément tu as bien mérité cette dernière fessée, je vais te laisser le thermomètre pendant ta correction, ça t’apprendra.

Elle administra une rapide mais magistrale fessée au large derrière, Clotilde pleura de plus belle et offrit un spectacle très excitant à Claire. Elle lui retira le thermomètre et après l’avoir fait relever elle lui tendit sa culotte :

— Tu vas voir comme on dort bien avec une paire de fesses bien chaudes. Je t’attends à 8h30 pour ta première fessée. Allez file !

Elle avait claqué le large fessier par-dessus la jupe pour bien lui rappeler sa condition.

Une fois seule, elle songea qu’elle pourrait profiter de la situation, Clotilde vivait seule, elle était divorcée, ça serait une bonne idée que de la faire venir à la maison pour passer un week-end. Elle glissa sa main dans sa culotte et se caressa.






2 commentaires:

  1. As usual Sylvie....you impress the readers......please make something unexpected

    Chinmay

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  2. Sylvie nous le dis si bien, Il n’y a pas d’âge pour recevoir une bonne fessée déculottée...
    MeoDeed

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