vendredi 14 juin 2024

Deux étudiantes 11

 La vengeance de Clémence et Clara



La soirée avait été cuisante pour Chloé, sa mère était réellement furieuse, elle avait bien l’intention de lui faire regretter son comportement.

La jeune fille était donc restée au coin les fesses à l’air jusqu’à l’heure du repas, puis elle avait reçu sa fessée du soir avant de passer la soirée allongée sur les genoux d’Odile le thermomètre profondément enfoncé, celle-ci se chargeant de lui garder les fesses bien rouges et bien chaudes en lui administrant à intervalle régulier une petite fessée d’entretien. Elle s’était donc couchée avec les fesses rouges et brûlantes, le lendemain matin elle avait été fessée avant le petit déjeuner et elle était partie au lycée avec un derrière rouge sous sa petite culotte.

Comme elle n’avait pas cours l’après-midi, elle était rentrée directement, pas question d’aller chez sa copine Louisa, celle-ci avait été également punie, mais moins sévèrement qu’elle. En arrivant dans le hall de l’immeuble elle fut surprise de trouver les deux étudiantes, elles semblaient l’attendre. Elles arboraient un sourire triomphant, elles encadrèrent la jeune fille, Clara prit la parole :

— On est contente de te voir, on a quelque chose à te dire, tu vas venir à la maison.

Chloé avait pâli, elle essaya de se dégager en protestant :

— Laissez-moi, il faut que je rentre.

Clémence lui pris la main et la serra fermement :

— Tu rentreras quand on l’aura décidé, pour le moment tu viens chez nous, ta mère ne rentre qu’a 17 h, on s’est renseignée. Et puis tu sais si tu n’es pas mignonne, on pourrait lui raconter que tu nous as encore menacée avec ta vidéo.

— Mais c’est pas vrai !

— Oui, mais tu ne pourras pas le prouver, c’est ta parole contre la nôtre.

Elles lui prirent chacune une main et la tirèrent vers l’escalier.

— Allez, on y va ! Avance plus vite !

La main de Clara avait claqué la croupe de Chloé par-dessus sa jupe. La jeune fille n’en menait pas large, elle suivit les deux étudiantes, arrivée dans le salon c’est à nouveau Clara qui reprit la parole :

— Je suppose que depuis hier soir tes petites fesses n’ont pas dû être blanches souvent, on aimerait bien les voir.

Chloé avait rougi à l’évocation des déculottées qu’elle avait reçues, elle regarda Clara et essaya de l’amadouer :

— Je regrette beaucoup de m’être mal conduite, je suis désolée, mais j’ai déjà payé pour ça.

Clémence se mit à rire :

— Ah, oui tu regrettes ? Je pense que tu vas le regretter encore plus dans un moment.

Chloé qui sentait que la situation devenait périlleuse se mit à gémir :

— Non, écoutez, vous n’avez pas le droit, non… Aïe, Aïe…

Sa phrase resta en suspens, la main de Clara venait de claquer ses cuisses juste sous sa minijupe. Clémence installa deux chaises face à face, les deux étudiantes avaient mis au point le scénario de leur vengeance. Elles tenaient fermement les mains de Chloé, elles s’assirent, leurs genoux se touchaient, leurs cuisses offraient un support parfait pour que la jeune fille s’y couche. En un clin d’œil la punie fut en position, elle avait juste poussé un cri, dorénavant son derrière encore dissimulé par la jupe était exposé aux yeux des deux amies. Clémence en souriant tapota la jolie croupe :

— Tu vas nous montrer ton petit cul ma chérie, j’aimerais bien voir s’il est encore coloré par la fessée de maman. Tu t’en es pris une bonne ce matin je crois ?

Elle retroussa la minijupe pour découvrir la petite culotte à fleur de Chloé. Apeurée, celle-ci serrait déjà ses fesses, la lingerie rentrait légèrement dans la raie fessière. Clara caressa à son tour le derrière :

— Eh bien, on dirait que mademoiselle fait moins la fière qu’hier, tu fais bien d’avoir peur et de serrer les fesses ma chérie tu vas voir comme on va s’en occuper.

Elle avait glissé ses doigts sous la petite culotte et elle palpait sans vergogne la croupe juvénile, elle regarda Clémence :

— On la déculotte tout de suite, ou on commence panpan cucul sur la culotte ?

Celle-ci lui fit un clin d’œil :

— Entre les deux, regarde.

Elle avait tiré la culotte pour la faire rentrer presque entièrement dans la raie médiane, transformant le sous-vêtement en string. Les fesses étaient intégralement découvertes, elle les claqua légèrement :

— Voilà un joli petit derrière prêt a être échauffé.

Clara se mit à rire :

— Sa petite culotte ne cache plus grand-chose effectivement.

Chloé gémissait doucement en sentant l’air frais sur son derrière, sa culotte tirée dans sa fente aurait pu l’exciter, mais elle était trop inquiète pour ça. Clémence regarda sa copine :

— On y va ?

Clara leva la main et d’un seul coup deux claques retentirent dans la pièce accompagnées du cri de douleur de Chloé. Clémence avait claqué la fesse droite et Clara la gauche. Rapidement elles trouvèrent leur rythme, elles alternaient les claques si bien que Chloé recevait une double fessée. Il n’y avait aucune interruption à la brûlure, c’était insupportable, elle se mit à hurler et à se démener pour échapper aux claques, mais elle était fermement maintenue, elle ne pouvait que battre des jambes désespérément. Son fessier fut rapidement écarlate, les deux amies tenaient leur vengeance, elles administrèrent chacune une bonne fessée à la jeune chipie, celle-ci en reçu donc deux dans le même laps de temps.

Son derrière était brûlant, elles décidèrent enfin de la déculotter, c’est Clara qui s’en chargea :

— Et voilà, cul nu ma petite !

Le sous-vêtement descendu à mi-cuisse, les fesses rubicondes bien serrées, Chloé pleurait et n’en menait pas large. Clémence introduisit ses doigts entre les cuisses pour les écarter :

— Tu vas nous montrer ton petit abricot ma chérie.



Docilement Chloé se laissa faire, elle était prête à tout pour que la correction s’arrête, les doigts de la jeune étudiante titillaient les lèvres puis ils remontèrent entre les fesses, elle les écarta largement et posa son doigt sur l’anus :

— Tu as eu droit au thermomètre ?

Chloé sentit qu’il fallait répondre :

— Oui…

— Longtemps ?

— Toute la soirée…

Clara se mit à rire :

— Mazette, ta mère s’y entend pour punir les gourgandines de ton espèce.

Elle lui claqua sèchement les fesses :

— Lève-toi et vas chercher le martinet.

Chloé protesta :

— Oh non, mademoiselle pas le martinet, j’ai déjà été bien punie… Aïe, aïe, aïe…

La main de Clémence venait de claquer la base des fesses :

— Dépêche-toi et arrête de discuter, tu commences à m’agacer.

En pleurnichant, exposant son derrière écarlate, la jeune fille se dirigea vers la cuisine et en revint quelques instants plus tard avec l’instrument de sa punition.

Clara regarda son amie :

— Tu commences ?

— Oui, j’ai vraiment envie de voir danser son petit cul.

— On va se limiter un peu, il ne faut pas abîmer ses jolies fesses, sinon Odile risque de ne pas aimer.

Clémence fit une petite moue :

— Ok, bon combien de coups alors ?

— On va se contenter de 25 chacune, ça va la brûler suffisamment, et puis j’ai une petite idée pour la suite.

Clémence avait pris le martinet, elle fit pivoter Chloé pour qu’elle lui présente sa croupe :

— À genoux sur le canapé ma petite et tu tends bien tes fesses !!

La jeune fille obéit sans discuter et se pencha vers l’avant, son postérieur potelé était parfaitement présenté. La jeune femme fit glisser les lanières sur la croupe :

— Prête ma chérie, 25 sur ton petit cul.

Le martinet commença à cingler la peau déjà rougie et Chloé se mit à crier et tortiller ses fesses, Clara se mit à rire :

— Quelle jolie danse des fesses, rougis-lui un peu les cuisses, ça va lui faire du bien.



Clémence ne se fit pas prier et l’arrière des cuisses fut rapidement rouge. Chloé couinait de plus belle, elle ouvrait puis serrait suggessivement son petit derrière, Clara se régalait. C’était maintenant son tour elle prit le martinet tendu par sa copine puis passa sa main sur la croupe brûlante :

— Tu regrettes ce que tu nous as fait ?

— Oui, oui, pardon mademoiselle… S’il vous plaît plus la fessée…

Clara claqua sèchement les fesses de la punie :

— Ta correction n’est pas finie ma chérie, il faut vraiment que tu t’en souviennes pour ne plus recommencer. Tu vas compter les 25 coups, et tâche de ne pas te tromper.

En pleurant, au milieu du bruit des cinglées sur son derrière tendu, Chloé compta sa punition. Clara lui saisit à nouveau l’oreille et l’attira vers les chaises où elle reprit place en face de Clémence. La jeune fille éplorée bascula à nouveau en travers de leurs genoux. La perverse étudiante fit un clin d’œil à son amie, elle avait gardé le martinet à la main :

— Son petit trou à l’habitude du thermomètre, il faudrait qu’elle goûte à quelque chose de plus sévère.

Clémence avait compris, elle écarta avec deux doigts les fesses brûlantes :

— Très bonne idée, regarde-moi ce petit trou, il t’attend.

Chloé avait aussi compris, elle se mit à crier :

— Noon… Non pas le manche du martinet, mademoiselle… s’il vous plaît… Aïe, aïe…

Clémence venait de lui administrer deux magistrales claques sur chaque fesse :

— On t’a déjà dit de te taire !!! On a pas à te demander ton avis, tu as bien mis le manche du martinet dans les fesses de Clara et bien elle va te rendre la pareille. Tu as de la chance tu as deux spectatrices pour ton enculage.

Elle avait volontairement employé ce mot un peu cru pour humilier un peu plus la jeune fille.

Clara posa le manche du martinet sur l’anus et commença doucement à l’enfoncer, Clémence maintenait toujours les fesses largement écartées. Chloé se mit à gémir :

— Non, aïe, c’est trop gros, non, ça fait mal… AÏE.

Clémence venait de claquer sèchement la croupe :

— Mais c’est pas vrai ! vas tu te taire !! Ah mademoiselle trouve que c’est trop gros que ça fait mal à son petit cucul, et ma fessée, tu la sens ?

La jeune étudiante pas mécontente de pouvoir poursuivre la punition, s’était remis à claquer les fesses rubicondes, maintenant Chloé pleurait à chaudes larmes. Attendant la fin de la fessée, Clara tenait toujours le manche du martinet, légèrement enfoncé. Clémence cessa de claquer le petit fessier et la sodomisation de la jeune fille put enfin se poursuivre.

Une fois bien place, les lanières pendant sur la croupe, elles se regardèrent en souriant, elles étaient satisfaites de la punition infligée à Chloé. Clémence faisait tourner le manche distraitement :

— Maintenant que cette petite peste a été corrigée, je pense que sa copine Louisa mériterait également un petit séjour ici avec les fesses à l’air.

Clara approuva et tapota les fesses de Chloé :

— Tu vas t’arranger pour nous l’amener d’ici demain, sinon c’est toi qui prendras une nouvelle correction, tu as compris !

Clémence était satisfaite, elle s’adressa également à la punie :

— À quelle heure rentre ta mère ?

— A 17 heure.

— C’est parfait, tu vas aller faire un petit séjour au coin avec les fesses à l’air, elles seront prêtes pour le panpan cucul du soir. Allez debout !

Chloé se leva avec le martinet toujours planté au milieu de son derrière, la jeune étudiante lui saisit l’oreille et la conduisit contre le mur, la jupe retroussée et épinglée dans le dos, la culotte à mi-cuisse, le spectacle était très suggestif.



Clara saisit sa copine par la taille et l’attira sur le canapé, en un clin d’œil sa main avait glissé sous sa jupe, baissé sa culotte et ses doigts agiles caressaient la fente humide.

— Tu as vu comme elles sont appétissantes ses petites fesses ? J’aimerais bien voir les tiennes.

Docilement Clémence se tourna et présenta sa croupe à son amie, puis sans se soucier de la présence de la punie exposant son fessier rougeoyant, elles se mirent à se caresser mutuellement, Clara fut déculottée aussi rapidement que Clémence et bientôt deux magnifiques croupes blanches qui s’ébattirent sur le canapé.

Après cet intermède coquin et un séjour au coin d’une bonne heure, Chloé fut autorisée à se reculotter après que Clémence lui eut retiré le manche du martinet. Ses fesses étaient encore rosées, Clara les lui tapota par-dessus la jupe :

— Tu peux y aller, n’oublie pas que Louisa doit venir nous voir avant demain.

En pleurnichant la jeune fille regagna son domicile, sa cuisante soirée n’était pas terminée et même si elle avait l’habitude d’être corrigée sévèrement par sa mère, elle se doutait que la fessée du soir serait très douloureuse sur ses fesses échauffées par les deux étudiantes. Une fois dans sa chambre, elle se troussa et se déculotta pour examiner son fessier dans la glace, il était encore bien coloré, la vengeance de Clara et Clémence avait été terrible, elle alla chercher une crème hydratante et se massa soigneusement les fesses. Une douce sensation envahit son bas ventre, elle avait entendu les soupirs et les gémissements des deux jeunes femmes quand elle était au coin fesses à l’air et malgré la cuisson de sa croupe, ça l’avait été légèrement excitée, elle consulta son téléphone, pas de message de sa mère, elle avait un peu de temps, elle s’allongea sur son lit, la culotte baissée à mi-cuisses, elle se caressa.



Louisa avait reçu un message de sa copine, « Clara et Clémence veulent te voir, elles m’ont dit que si tu refusais, elle s’arrangerait pour que ta mère te flanque la fessée de ta vie. À mon avis, elle ne plaisante pas, tu devrais aller les voir demain »

Louisa avait réfléchi un instant, elle n’avait pas le choix, sa mère lui avait déjà administré une sévère déculottée quand Odile l’avait avertie de son petit manège avec Chloé, elle n’avait pas envie de repasser à nouveau sur ses genoux.

C’est donc avec ne petite boule au ventre qu’elle sonna à la porte des deux étudiantes. Clémence en la voyant lui fit un grand sourire :

— Ah te voilà, Chloé t’a prévenue de ce qui allait t’arriver ?

La petite brunette baissa les yeux et regarda ses pieds :

— Euh, mademoiselle, je voulais vous dire… Je… regrette… Maman m’a déjà punie vous savez.

Clara s’approcha et lui tapota les fesses :

— Ce n’est pas notre problème… Ça t’a plu de voir mes fesses bien rouges l’autre jour et bien aujourd’hui, on va pouvoir examiner ton joli petit cul. Allez en piste !

Elle avait saisi l’oreille de Louisa qui poussa un petit cri.

— Aïe, aïe… Non, mademoiselle… Non.

Clara avait eu vite fait de la basculer en travers de ses genoux. La jeune fille portait une jupe courte bien évasée, la position l’avait fait remonter dévoilant le bas de sa petite culotte rose. L’étudiante retroussa la jupe bien haut sur les reins, Louisa avait une paire de fesses bien rebondie et potelée à souhait.

Sa mère qui était assez perverse, lui faisait toujours porter des culottes un peu petites pour son fessier si bien que celui-ci débordait assez largement. Annie, c’était le nom de la maman de Louisa, devait trouver cela plus excitant, comme Odile elle adorait administrer la fessée et elle avait une passion pour les derrières bien joufflus. Celui de sa fille était toujours à sa disposition et elle le mettait à nu à la moindre occasion. Sa profession d’esthéticienne lui offrait d’autres occasions d’assouvir ses pulsions perverses et nombre de ses clientes repartaient de son institut avec une paire de fesses bien chaudes sous leur culotte, elle avait une technique remarquable pour que ses clientes se plient de gré ou de force à ses pulsions fessophiles.

Les jolies fesses potelées de Louisa étaient serrées par l’angoisse, son sous-vêtement trop étroit rentrait déjà dans sa raie fessière, toute la base de la croupe était découverte. Clara passa sa main sur le derrière de la jeune fille :

— On va commencer par échauffer ton joli petit cul.

Elle leva la main et commença à claquer les fesses encore culottées, elle alternait les gifles sur la culotte puis sur la base des fesses, Louisa se mit à gémir rapidement, certes elle était habituée aux sévères fessées, sa mère claquait toujours très fort, mais se faire corriger par cette jeune femme qu’elle ne connaissait presque pas, c’était très humiliant. La croupe se trémoussait, la culotte rentrait toujours un peu plus dans la raie, Clémence se régalait de ce charmant spectacle. Clara cessa la fessée et la regarda :

— À ton tour, chauffe lui encore le derrière.

Elle fit relever Louisa, Clémence prit la place de sa copine et fit un petit signe à la punie :

— En position ma petite, tu vas pouvoir comparer notre façon de te claquer les fesses.

Elle put comparer effectivement, Clémence claquait vraiment plus fort et quasiment toujours sur la peau nue, elle insistait également sur le haut des cuisses, Louisa se mit à pleurer :

— Aïe, aïe, aïe, non mademoiselle ça fait trop mal, s’il vous plaît…

Elle tortillait son popotin et ses jambes battaient l’air, un vrai régal pour une fesseuse, Clémence s’arrêta et la fit relever. Clara prit immédiatement sa place et saisit la main de la jeune fille :

— Ce n’est pas fini ma petite, maintenant c’est la fessée cul nu.

Elle fit basculer Louisa en travers de ses cuisses et glissa ses doigts sous la culotte, en un clin d’œil le sous-vêtement fut à mi-cuisses, le derrière rebondi était déjà bien rouge, elle ne prit pas le temps de le caresser, une formidable avalanche s’abattit sur les fesses de la punie, Clara avait constaté que sa copine claquait fort, elle ne voulait pas être en reste. La correction ne dura pas longtemps, mais les fesses étaient maintenant écarlates.



Comme dans un ballet bien réglé, elle fit relever la pauvre Louisa pour laisser Clémence prendre sa place et immédiatement, celle-ci remit la jeune fille en position, la fessée reprit, Louisa pleurait et criait sous la brûlure mais les deux étudiantes voulaient leur revanche, ce petit cul allait vraiment trinquer.

Clémence satisfaite s’arrêta enfin et palpa le fessier en riant :

— Il est cuit à point, on dirait deux tomates bien mûres.

Clara avait pris son téléphone, elle fit une photo des fesses en gros plan :

— C’est vrai qu’elles sont encore plus mignonnes comme ça, j’ai fait une vidéo. Ma petite chérie tu as intérêt à te tenir à carreaux si tu veux que ça reste entre nous.

Louisa sanglotait, toujours couchée en travers des genoux de Clémence, celle-ci la fit se relever :

— Cesse de chouiner, tu l’avais bien méritée celle-là, tu vas aller au coin comme Chloé hier. Tu en as pour une heure à exposer tes fesses, elles auront le temps de refroidir.

Comme la veille, les deux étudiantes passablement excitées par la fessée administrée à Louisa et le spectacle de son mignon derrière, se livrèrent à des ébats tumultueux.

Quand la jeune fille eut regagné son domicile, Clara fit un petit clin d’œil à sa copine :

— C’est vraiment super excitant de faire une galipette après avoir flanqué une fessée déculottée à cette gamine, je crois qu’on va recommencer souvent. Notre petite Louisa n’a pas fini de nous montrer ses fesses bien rouges.




1 commentaire:

  1. Déjà une semaine sans nouvelle histoire vous avez envie d'une bonne fessee de Caroline???

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