La punition d'Aurore
Lucie était guillerette en arrivant au travail, la punition matinale administrée par Claire était terminée depuis hier, elle n’avait pas dû aller se présenter au bureau de sa cheffe de service pour y recevoir une fessée déculottée et ensuite regagner son bureau sans culotte sous sa jupe et avec une paire de fesses rouges et brûlantes.
Elle rejoignit Alice sur le parking, elle lui fit la bise et sans façon lui tapota le derrière par-dessus la jupe :
— Aujourd’hui pas de panpan cucul, ça te manque ?
Sa copine la regarda avec un sourire malicieux :
— Pas pour nous, mais j’en connais trois qui ne vont pas avoir froid aux fesses.
Lucie se mit à rire :
— C’est vrai que nos petites chipies vont y avoir droit. Tiens regarde, Clotilde arrive, elle va aller directement chez la mère Dugou et dans pas longtemps son gros derrière va ressembler à une belle tomate bien mûre.
En effet tête basse la cheffe comptable était entrée dans le hall sans les regarder, les deux secrétaires la suivirent du regard, elle bifurqua dans le couloir en direction du bureau de Claire, Alice mit son doigt sur sa bouche et sans faire de bruit, elles la suivirent. Arrivée devant la porte du bureau elle tourna la tête pour voir si il y avait quelqu’un, elle retroussa sa jupe et glissa deux doigts dans la ceinture de sa culotte puis elle la baissa sous ses fesses. Elle se tenait bien droite le nez contre le mur, les mains croisées dans le dos pour maintenir sa jupe retroussée.
Les deux secrétaires pouffèrent en silence au spectacle de la fière cheffe comptable exposant sa large croupe joufflue.
C’était la nouvelle humiliation imposée à Clotilde par Claire, la veille après lui avoir administré sa dernière correction et lui avoir tendu sa culotte afin qu’elle couvre son derrière écarlate, elle lui avait dit :
— Demain matin, quand tu viendras recevoir ta première fessée, tu attendras dans le couloir comme d’habitude, mais en plus de retrousser ta jupe je veux que tu te déculottes, ensuite tu attendras bien sagement le nez contre le mur que je vienne te chercher.
Clotilde n’avait rien dit, elle continuait à payer sa faute, elle savait qu’elle n’avait pas le choix, finalement à bien réfléchir même si c’était douloureux pour son amour propre et encore plus pour son fessier, c’était mérité et quand même préférable à un passage par la case justice. Elle commençait à s’habituer à être traitée comme une adolescente désobéissante et à exposer son derrière déculotté.
Elle sursauta un peu et contracta sa croupe nacrée en entendant des bruits de pas, hélas pour elle, ce n’était pas Claire qui venait la délivrer de sa pénitence, mais Alice qui s’était fait un malin plaisir de venir admirer ce spectacle humiliant :
— Oh la belle lune, vous êtes prêtes pour le panpan cucul du matin ma chère Clotilde. Vous avez vraiment une très belle paire de fesses, mes félicitations.
La secrétaire ne s’attarda pas, elle venait d’entendre la porte du hall s’ouvrir, c’était certainement la sévère madame Dugou, elle n’avait pas envie de goûter elle aussi à la déculottée matinale.
En arrivant devant son bureau elle eut le plaisir de voir que Laetitia et Émilie était déjà là. Elle attendait sagement tenant leurs jupes retroussées, dévoilant pour Laetitia une culotte blanche ornée de dentelle et pour la plus jeune des comptables, une mignonne petite culotte rose pâle moulant son joli derrière. Elle tapota les deux croupes culottées en passant :
— C’est bien vous êtes à l’heure, vous allez devoir patienter un peu avant qu’on s’occupe de vos fesses. Nous avons à discuter avec Lucie.
Elle entra dans le bureau, Lucie pianotait sur son téléphone, elle leva les yeux vers sa copine :
— J’ai prévu une soirée demain avec Christine et Aurore. Je t’invite, il faut que tu fasses connaissance avec d’autres paires de fesses.
Alice était ravie :
— Super, ce sera avec plaisir. Mais à propos de paires de fesses, les deux chipies attendent dehors en culotte. J’ai bien envie qu’on fasse comme la mère Dugou, on pourrait leur demander de se déculotter dans le couloir, attendre les fesses à l’air serait un bon début de journée tu ne trouves pas ?
Lucie se mit à rire :
— Tu fais des progrès de jour en jour dans la sévérité ma chérie, c’est une très bonne idée. Va leur annoncer, et par la même occasion, on va les faire patienter un peu, il faut qu’elles profitent d’être cul nu.
Alice ressortit du bureau, les deux punies tressaillirent, elles pensaient qu’elle venait les chercher pour la fessée :
— Mes petites chéries vous allez baisser vos culottes. À partir de maintenant c’est comme ça que vous devrez être pour attendre votre punition. Allez exécution, fesses à l’air !
Laetitia poussa un gémissement et essaya de protester, mal lui en prit. Alice la courba sous son bras et la déculotta rapidement, une cinquantaine de claques atterrirent sur son fessier tendu :
— Voilà ce qui arrive quand on obéit pas immédiatement à tatie Alice. Maintenant tu te mets le nez contre le mur et tu tiens ta jupe retroussée !
En pleurnichant la comptable s’exécuta, ses fesses étaient déjà colorées. Émilie sans un mot avait baissé sa culotte sous ses fesses, elle se tourna vers le mur avant qu’Alice le lui demande. Les deux fessiers dénudés étaient exposés à la vue des éventuels passants. Heureusement pour les deux punies, personne ne venait ici, mais la honte d’être fesses à l’air dans un lieu public était bien présente. Alice passa sa main sur les fesses :
— Vous voilà prêtes, encore quelques minutes en pénitence et je reviens vous chercher. Soyez sages.
Elle souriait en revenant dans le bureau, Lucie lui jeta un regard coquin :
— Ça a l’air de te plaire de jouer les mères fouettardes.
— Olala oui, ça me change de chez ma tatie, c’est vrai qu’elles ont toutes les deux un joli cul. Alors ce soir je pourrai voir celui de ta petite Christine ?
Lucie se mit à rire :
— Bien sûr, ça te tarde on dirait ? Mais tu auras également une autre petite surprise.
Alice essaya d’en savoir plus, mais Lucie mit un doigt sur sa bouche :
— Non, non tu n’en sauras pas plus, et puis fait attention, tu sais ce qui arrive aux petites filles trop curieuse… Bon il est temps de s’occuper de nos deux chipies.
Elle ouvrit la porte, les deux comptables se tenaient toujours sagement le nez contre le mur et les mains croisées dans le dos pour tenir leurs jupes. Les deux fessiers se contractèrent en entendant Lucie :
— Vous pouvez vous reculotter et vous venez nous voir.
Un peu surprise par cet ordre les deux jeunes femmes s’exécutèrent, Alice se tourna vers sa collègue le un regard interrogatif, celle-ci souriait :
— On ne va quand même pas se priver du plaisir du déculottage de ces deux donzelles.
Elle se tourna vers Laetitia :
— Qui t’a donné la fessée hier ma chérie ?
Elle le savait parfaitement, mais obliger la comptable à parler de sa punition rajoutait à sa confusion, elle se mit à rougir et balbutia :
— C’est vous tatie Lucie…
La sévère fesseuse était vraiment satisfaite de la docilité des deux punies. Dès le premier jour elle avait insisté sur le fait qu’elles devaient toujours les appeler tatie et c’était maintenant rentré dans les mœurs.
— C’est bien ce qu’il me semblait, tu vas aller voir tatie Alice pour lui montrer ton bon gros derrière.
Elle se tourna vers Émilie :
— Alors ma petite chipie, tu as bien dormi hier soir avec ton petit cul bien rouge ? Tu vas voir comme je vais bien te le chauffer et comme tu vas bien travailler ce matin.
Elles avaient désormais leurs habitudes, deux chaises se faisaient face au milieu du bureau, elles s’y assirent et tapotèrent en même temps sur leurs cuisses. Les deux jeunes femmes savaient ce que cela signifiait, il ne fallait pas tarder à se coucher sur les genoux des deux secrétaires sous peine de correction encore plus sévère.
Rapidement les deux fessiers apparurent et le bruit maintenant familier d’une bonne fessée déculottée envahi le bureau.
Après un passage dans le bureau de madame Dugou pour lui présenter leurs fesses écarlates et lui remettre leurs culottes, elles rejoindraient leur poste de travail cul nu sous leur jupe.
De son côté Clotilde avait attendu stoïquement que la porte du bureau de sa cheffe de service s’ouvre. Elle était maintenant devant elle, tenant toujours sa jupe retroussée, sa culotte descendue sous les fesses, Claire lui fit signe de se tourner, elle s’exécuta rapidement, elle avait pris l’habitude d’obéir sans discuter. La sévère maîtresse regardait cette large croupe avec plaisir, ses tendances dominatrices pouvaient maintenant s’exprimer sans retenue, Clotilde était complètement soumise, elle pouvait passer à l’étape suivante :
— C’est aujourd’hui le dernier jour de ta punition du midi. Tu as commencé à rembourser, c’est bien, mais je pense que tu n’es pas près d’avoir fini, et comme je te l’ai dit tant que tu n’auras pas terminé tu auras droit à ta fessée matinale et à celle de la fin de journée. Et comme je ne veux pas que tes fesses prennent froid pendant le week-end, tu vas venir le passer chez moi. Je t’attends samedi matin, tu rentreras chez toi dimanche soir avec des fesses bien chaudes.
Elle surveillait les réactions de Clotilde, celle-ci lui tournait le dos, il y eut juste une légère contraction de ses fesses mais aucune protestation :
— Bon allez en piste, tu vas être en retard au travail et si tu n’as pas fini le bilan que je t’ai demandé, ce sera encore panpan cucul comme à l’école.
Elle s’amusait de traiter la cheffe comptable de 50 ans comme si elle était une mauvaise élève réprimandée par son institutrice. Quelques instants plus tard comme dans le bureau voisin, les pleurs et le bruit des claques retentirent dans la pièce.
Lucie avait invité Alice à dîner, elle avait aussi convié Aurore. Bien sûr sa petite Christine serait de la partie, elle ferait le service.
Il y avait eu du changement dans la vie du monsieur devenu Christine, en effet Aurore avait obtenu de sa direction de pouvoir travailler depuis son appartement, elle avait également demandé que son assistant travaille à ses côtés.
Il n’y avait donc plus aucun obstacle à la féminisation complète de Christian qui était devenue Christine définitivement et ne quittait plus sa tenue féminine même pour se rendre à son travail. Il était devenu la secrétaire particulière d’Aurore qui était une patronne exigeante et sévère. La seule sanction qu’elle utilisait c’était la fessée déculottée et malgré tout ses efforts, notre petite Christine ne passait pas un jour sans avoir les fesses rouges et cuisantes.
Ça avait été bien sûr le cas aujourd’hui et Christine était rentrée à la maison les fesses écarlates sous sa culotte blanche ornée de dentelle, elle avait bien sûr un mot à faire signer par son épouse sur son carnet de correspondance. C’était une nouveauté instaurée par Aurore qui ramenait la pauvre Christine à l’époque du collège, penaud il avait tendu le carnet à Lucie, il savait par expérience que le cacher ou retarder la signature ne ferait qu’empirer les choses. Le regard de Lucie s’était assombri :
— Décidément j’ai l’impression que tu aimes recevoir la fessée. Tu n’en loupes pas une. Eh bien rassure-toi je vais me faire un plaisir de te satisfaire. Va chercher le martinet !
Christine se dépêcha d’aller dans la cuisine, l’instrument de punition familial était toujours suspendu à son crochet à côté de la porte. Elle le prit et caressa le manche poli, elle savait que bientôt les lanières allaient cingler ses fesses et ses cuisses mais sans pouvoir l’expliquer une légère excitation la parcouru et une érection raidi son sexe. Elle eut un moment de panique, malgré sa féminisation il restait quand même un homme, il savait que son épouse ne tolérerait pas ce genre de chose, il ne pouvait jouir que quand elle le décidait, heureusement l’érection cessa rapidement en pensant à la cuisson terrible du martinet. Il revint au salon tenant l’instrument de sa punition. Lucie le regardait sévèrement :
— En position et déculotte-toi, vite !!
Christine s’agenouilla sur le fauteuil Voltaire qui était destiné à cet usage, retroussa sa courte jupette et baissa sa culotte à mi-cuisses. Elle se pencha sur le dossier du fauteuil pour bien faire ressortir ses fesses.
Lucie caressait les lanières du martinet, une petite fessée apéritive n’était pas pour lui déplaire, elle avait prévu de corriger sérieusement Christine devant Alice, mais c’était tout l’intérêt de la fessée au martinet, ça cuisait et rougissait le derrière mais ça n’abîmait pas les fesses. On pouvait recommencer aussi souvent que nécessaire.
— J’attends ?
Christine savait, il lui fallait prononcer la phrase magique, elle l’avait appris après de nombreuses correction. Elle avala sa salive :
— S’il te plaît maman Lucie peux-tu m’administrer la bonne fessée déculottée que j’ai bien méritée.
Son épouse souriait, ravie de la soumission de son mari devenu sa petite femme :
— Avec plaisir ma chérie, c’est si gentiment demandé.
Le martinet commença sa danse sur le derrière rebondi, la petite Christine comme l’appelait Lucie était bien dressée, ses fesses dansaient également, s’ouvrant et se fermant au rythme de la punition, ses pieds battaient également la mesure, mais elle ne cherchait pas à s’échapper, elle gémissait puis rapidement elle se mit à supplier et à sangloter. Lucie était sévère, elle administra jusqu’au bout la correction prévue, la croupe était parfaitement rouge sur toute sa surface. Ce martinet de maman fait vraiment des merveilles pensa Lucie. Elle passa sa main sur les fesses brûlantes :
— Voilà, c’était juste une petite fessée déculottée pour débuter la soirée, tu as du travail, tu vas rester cul nu pour préparer le repas, tâche de t’appliquer, je veux que mes invitées soient contentes.
Elle la prépara comme elle en avait l’habitude, jupe coincée dans la ceinture et culotte remontée sous les fesses, elles étaient ainsi bien mises en valeur.
Christine adorait faire la cuisine, ce n’était donc pas un problème pour elle, la faire les fesses à l’air non plus, ça lui arrivait très souvent.
Alice fut la première à arriver, Lucie appela Christine :
— Chérie, viens dire bonjour.
Un peu gênée, le monsieur demoiselle sortit de la cuisine, sans façon Alice lui claqua une bise :
— Depuis le temps que j’entends Lucie me parler de toi, je suis contente de te voir.
Elle dévisagea la jeune femme de haut en bas, elle eut vite fait de remarquer la tenue de Christine, même si celle-ci lui faisait face. Elle regarda Lucie :
— Elle a été punie ?
La sévère maîtresse de maison acquiesça en souriant :
— Mademoiselle fait des bêtises au travail, donc maman s’occupe de son derrière à la maison. Christine, tourne-toi.
La pauvre était rouge de honte, elle bégaya :
— Ma… man… s’il te plaît…
— Dépêche-toi !
Le ton de Lucie était sans réplique, Christine se tourna. Son derrière encore rouge encadré par la culotte blanche et la jupe était ravissant. Alice applaudit :
— Oh que c’est mignon, tu ne m’as pas menti, elle a vraiment un joli petit cul.
Elle s’approcha et posa sa main sur les fesses, Christine les serra légèrement mais ne bougea pas.
— Elle est obéissante. C’est toujours pareil, après une fessée la peau est douce. C’est avec ta main ?
Lucie lui montra martinet posé sur la table :
— Non, c’est avec monsieur martinet.
Alice le prit et le contempla :
— Exactement le même que celui de ma tante, un vrai martinet familial.
Christine exposait toujours ses fesses nues, Lucie lui administra une solide claque au milieu du derrière :
— Allez, retourne au travail.
Les deux collègues s’assirent pour papoter, quelques minutes plus tard la sonnette retenti, Lucie se leva :
— C’est Aurore, la cheffe de Christine. Tu vas voir, elle est charmante.
Alice compris que c’était la surprise annoncée par son amie. Aurore savait qu’il y aurait une autre invitée, Lucie fit les présentations et les deux jeunes femmes se firent la bise.
Aurore s’était assise quand Lucie la regarda en souriant :
— Ma chérie, je crois que tu as oublié quelque chose.
Aurore la regarda interdite, elle n’osait imaginer ce que Lucie voulait dire. Celle-ci souriait toujours :
— As-tu besoin d’être stimulée ? Ma main me démange.
L’allusion à la fessée était limpide, Aurore était rouge de honte. Être obligée de faire cette demande infamante ou recevoir une fessée déculottée devant une inconnue, le choix était cornélien. Le regard de Lucie se fit plus sévère :
— Je ne vais pas patienter longtemps ma chérie.
Aurore se rendit compte soudain dans quel piège elle était tombée, la soirée s’annonçait cuisante, elle déglutit et baissa les yeux pour ne pas croiser le regard des deux jeunes femmes qui la regardait :
— S’il te plaît maman Lucie, peux-tu me prendre la température…
Alice était sidérée, son regard allait de Lucie à Aurore, ainsi son amie avait réussi à soumettre cette jeune cadre dynamique au point que celle-ci s’humilie à faire cette demande.
Lucie savourait son triomphe, depuis qu’elle avait imposé ce petit viol anal à Aurore, elle lui avait imposé l’humiliation de devoir demander sa prise de température à chaque fois qu’elle venait la voir. C’était toutefois la première fois qu’elle l’obligeait à le faire devant une tierce personne, la pauvre était morte de honte, Lucie s’installa sur le canapé et tapota ses cuisses :
— Mais avec plaisir ma chérie, viens un peu là.
Aurore essaya de ne pas croiser le regard d’Alice, elle se coucha en travers des genoux de sa maîtresse. La secrétaire ne l’avait pas encore remarqué mais la cheffe de service portait une tenue plutôt juvénile, sa jupe à fleur était très courte et de forme évasée et elle portait des ballerines.
La position fit remonter naturellement la jupette, découvrant le haut des cuisses et laissant deviner la culotte. Lucie n’était pas pressée, elle voulait savourer ce moment de domination sur cette femme plus âgée qu’elle mais qui était entièrement soumise à ses caprices. Elle tapota le fessier rebondi par-dessus la jupe :
— Ça a été un peu laborieux ma chérie, tu sais que maman Lucie n’aime pas les désobéissantes. Tu le sais pourtant que tu dois me demander le thermomètre dès que tu arrives !
La main claqua un peu plus sèchement les fesses encore protégées :
— Tu vas expliquer à Alice ce qui arrive quand on désobéit à sa maman.
Aurore connaissait la perversité de sa jeune maîtresse, son caractère soumis s’en accommodait, mais la punition publique qui s’annonçait était vraiment une nouveauté. Elle était morte de honte, mais elle savait que ça faisait partie de la punition et comment ne pas le reconnaître, de son plaisir. La main de Lucie claquait sèchement son fessier, elle savait que toute hésitation ou rébellion serait sévèrement punie. Elle se lança, sa voix était hésitante :
— Euh… quand je désobéis maman me punit… Euh… aïe, aïe…
La main de Lucie avait claqué l’arrière des cuisses.
— Elle me donne la fessée déculottée…
Elle avait dit ça très vite, elle sentit poindre une excitation entre ses cuisses, elle n’arrivait pas à se l’expliquer, mais avouer qu’elle recevait encore la fessée déculottée à son âge la faisait mouiller.
Alice assistait avec amusement et envie à l’humiliation de cette fière bourgeoise, ce n’était vraiment pas banal, Lucie la regarda en souriant :
— Notre petite Aurore a fait quelques progrès, mais il lui faut de temps en temps une petite remise à niveau pour qu’elle ne se prenne pas pour une dame. C’est ma petite fille chérie et elle sait qu’elle doit obéir sans discuter, sinon c’est panpan cucul.
Alice acquiesça :
— Ça me paraît juste, elle vient de reconnaître qu’elle mérite une fessée déculottée, il ne faut pas la décevoir.
Aurore était toujours couchée sur les genoux de Lucie, les fesses tendues vers le ciel, le temps lui paraissait long. Puisque Lucie semblait décidée à lui administrer une fessée cul nu autant que ça arrive immédiatement. Elle sentit sa jupe se retrousser, une mignonne petite culotte à fleurs apparu sous les yeux intéressés d’Alice, décidément cette jolie bourgeoise n’était pas habillée comme on aurait pu s’y attendre, après la jupette courte, la culotte en coton de gamine, elle se mit à rire :
— Mazette, ta petite chipie a une vraie petite culotte de fille. C’est une idée à toi je suppose ?
— Exactement, madame se prenait pour une dame, mais quand on reçoit encore la fessée déculottée sur les genoux de maman on met des dessous qui correspondent. Tu ne trouves pas que ça lui fait un joli derrière ?
C’est vrai que les fesses d’Aurore n’étaient pas celles d’une gamine, c’était une belle croupe de dame, large, ferme et bien rebondie. Elle avait un peu de mal à contenir dans la petite culotte en coton, le pli fessier qui séparait le postérieur, des cuisses était bien visible et la base bien ronde du derrière était découvert. Lucie le tapotait pour bien signifier qu’il était entièrement à sa disposition :
— Ma petite chérie, maman n’est pas contente, je sais que tu n’aimes pas me demander de te prendre la température, mais c’est pour ton bien, pour que tu deviennes une gentille petite fille que je te le demande. Chaque fois que tu oublieras de le faire tu recevras la fessée, j’espère que la présence d’Alice te fait bien honte. Maintenant voyons un peu ce derrière.
Si Alice avait pu voir le visage d’Aurore, elle aurait constaté que ses joues étaient aussi rouges que ses propres fesses après la fessée déculottée de madame Dugou. La dame punie se mit à sangloter doucement, la honte était trop forte même si elle commençait à s’habituer à la perversité de Lucie. Celle-ci souriait satisfaite de la soumission de la cheffe de service redevenue une gamine. Elle palpa les fesses, les écarta et glissa ses doigts entre les cuisses, elle savait qu’Aurore malgré son humiliation devait mouiller elle en eu la confirmation en retirant ses doigts gluants. Elle fit un petit clin d’œil à Alice :
— Madame apprécie les fessées sévères, on ne va pas la décevoir.
La punie essaya de protester mais une claque magistrale appliquée au milieu de son fessier lui fit pousser un cri. Il fut suivi de beaucoup d’autres, la correction fut particulièrement sévère. Le beau derrière était maintenant écarlate, Alice appréciait le spectacle, la danse des fesses et les battements de jambes d’Aurore était splendide.
Elle admirait Lucie, c’était une redoutable fesseuse, elle se demanda si par hasard celle-ci n’avait pas prévu de la déculotter également. La fessée était maintenant terminée, Aurore n’était plus une élégante dame de 45 ans, responsable marketing, elle pleurait et serrait ses fesses sous l’effet de la brûlure comme toute punie après une bonne déculottée, Lucie lui tapota la croupe cramoisie :
— Cesse de pleurnicher, tu l’avais bien méritée cette fessée, tu sais que maman Lucie n’aime pas les désobéissantes. Maintenant tu vas écarter bien gentiment tes fesses pour que je te prenne la température. Allez desserre-moi ça !
Elle avait claqué un peu plus sèchement le derrière brûlant, Aurore écarta largement ses cuisses, Alice mouillait à ce spectacle excitant, la raie fessière s’ouvrait, mais ce n’était pas suffisant pour la sévère maîtresse, elle écarta un peu plus les fesses avec deux doigts, Aurore était au comble de la confusion, son intimité largement exposée, la rondelle brune de l’anus bien visible, Lucie regarda sa copine en souriant :
— Voilà un joli derrière bien rouge, tout prêt pour le thermomètre, fais-moi le passer s’il te plaît.
Alice lui tendit l’instrument et s’approcha, elle posa sa main sur le fessier écarlate :
— C’est vrai qu’il est bien chaud, c’est ce que ma tante appelle une bonne déculottée, elle dit toujours ça quand j’ai les fesses en feu.
La réflexion fit sourire Lucie :
— J’aimerais bien la rencontrer ta tatie, je pense qu’on s’entendrait bien. Allez madame on se détend et on ne serre pas les fesses, sinon gare !
Elle avait posé le thermomètre sur le petit trou comme elle l’appelait, Aurore avait vraiment le feu aux fesses, la correction avait été très cuisante, elle essaya de relâcher ses muscles fessiers, elle savait que sa « maman » ne manquerait pas de lui rougir un peu plus le derrière en cas de nécessité.
Son caractère soumis s’accoutumait finalement de cette punition publique, l’humiliation faisait partie de son apprentissage, Lucie lui avait déjà expliqué cela. Le thermomètre rentrait inexorablement sous le regard intéressé d’Alice :
— Eh bien dis donc, elle est devenue sage ta petite fille. Tu lui rentres profond ?
Lucie se mit à rire :
— Ça c’est sûr, avec une paire de fesses bien rouges, en général elle devient très mignonne, je ne l’entends plus. Oui je le rentre complètement, comme ça il ne risque pas de ressortir, elle va le garder un moment, ça va lui apprendre à me désobéir.
Maintenant le thermomètre ne dépassait plus que d’un centimètre, elle relâcha les deux fesses, un petit bout de verre apparaissait à peine au milieu du derrière écarlate :
— On va boire quelque chose pendant que madame réfléchi à sa conduite, elle est très bien là, à nous exposer son joli popotin.
Alice appréciait vraiment ce début de soirée, elle en oubliait presque ses craintes concernant son propre derrière.