jeudi 27 juin 2024

Lucie et Christian 15

 La punition d'Aurore



Lucie était guillerette en arrivant au travail, la punition matinale administrée par Claire était terminée depuis hier, elle n’avait pas dû aller se présenter au bureau de sa cheffe de service pour y recevoir une fessée déculottée et ensuite regagner son bureau sans culotte sous sa jupe et avec une paire de fesses rouges et brûlantes.

Elle rejoignit Alice sur le parking, elle lui fit la bise et sans façon lui tapota le derrière par-dessus la jupe :

— Aujourd’hui pas de panpan cucul, ça te manque ?

Sa copine la regarda avec un sourire malicieux :

— Pas pour nous, mais j’en connais trois qui ne vont pas avoir froid aux fesses.

Lucie se mit à rire :

— C’est vrai que nos petites chipies vont y avoir droit. Tiens regarde, Clotilde arrive, elle va aller directement chez la mère Dugou et dans pas longtemps son gros derrière va ressembler à une belle tomate bien mûre.

En effet tête basse la cheffe comptable était entrée dans le hall sans les regarder, les deux secrétaires la suivirent du regard, elle bifurqua dans le couloir en direction du bureau de Claire, Alice mit son doigt sur sa bouche et sans faire de bruit, elles la suivirent. Arrivée devant la porte du bureau elle tourna la tête pour voir si il y avait quelqu’un, elle retroussa sa jupe et glissa deux doigts dans la ceinture de sa culotte puis elle la baissa sous ses fesses. Elle se tenait bien droite le nez contre le mur, les mains croisées dans le dos pour maintenir sa jupe retroussée.

Les deux secrétaires pouffèrent en silence au spectacle de la fière cheffe comptable exposant sa large croupe joufflue.

C’était la nouvelle humiliation imposée à Clotilde par Claire, la veille après lui avoir administré sa dernière correction et lui avoir tendu sa culotte afin qu’elle couvre son derrière écarlate, elle lui avait dit :

— Demain matin, quand tu viendras recevoir ta première fessée, tu attendras dans le couloir comme d’habitude, mais en plus de retrousser ta jupe je veux que tu te déculottes, ensuite tu attendras bien sagement le nez contre le mur que je vienne te chercher.

Clotilde n’avait rien dit, elle continuait à payer sa faute, elle savait qu’elle n’avait pas le choix, finalement à bien réfléchir même si c’était douloureux pour son amour propre et encore plus pour son fessier, c’était mérité et quand même préférable à un passage par la case justice. Elle commençait à s’habituer à être traitée comme une adolescente désobéissante et à exposer son derrière déculotté.

Elle sursauta un peu et contracta sa croupe nacrée en entendant des bruits de pas, hélas pour elle, ce n’était pas Claire qui venait la délivrer de sa pénitence, mais Alice qui s’était fait un malin plaisir de venir admirer ce spectacle humiliant :

— Oh la belle lune, vous êtes prêtes pour le panpan cucul du matin ma chère Clotilde. Vous avez vraiment une très belle paire de fesses, mes félicitations.

La secrétaire ne s’attarda pas, elle venait d’entendre la porte du hall s’ouvrir, c’était certainement la sévère madame Dugou, elle n’avait pas envie de goûter elle aussi à la déculottée matinale.

En arrivant devant son bureau elle eut le plaisir de voir que Laetitia et Émilie était déjà là. Elle attendait sagement tenant leurs jupes retroussées, dévoilant pour Laetitia une culotte blanche ornée de dentelle et pour la plus jeune des comptables, une mignonne petite culotte rose pâle moulant son joli derrière. Elle tapota les deux croupes culottées en passant :

— C’est bien vous êtes à l’heure, vous allez devoir patienter un peu avant qu’on s’occupe de vos fesses. Nous avons à discuter avec Lucie.

Elle entra dans le bureau, Lucie pianotait sur son téléphone, elle leva les yeux vers sa copine :

— J’ai prévu une soirée demain avec Christine et Aurore. Je t’invite, il faut que tu fasses connaissance avec d’autres paires de fesses.

Alice était ravie :

— Super, ce sera avec plaisir. Mais à propos de paires de fesses, les deux chipies attendent dehors en culotte. J’ai bien envie qu’on fasse comme la mère Dugou, on pourrait leur demander de se déculotter dans le couloir, attendre les fesses à l’air serait un bon début de journée tu ne trouves pas ?

Lucie se mit à rire :

— Tu fais des progrès de jour en jour dans la sévérité ma chérie, c’est une très bonne idée. Va leur annoncer, et par la même occasion, on va les faire patienter un peu, il faut qu’elles profitent d’être cul nu.

Alice ressortit du bureau, les deux punies tressaillirent, elles pensaient qu’elle venait les chercher pour la fessée :

— Mes petites chéries vous allez baisser vos culottes. À partir de maintenant c’est comme ça que vous devrez être pour attendre votre punition. Allez exécution, fesses à l’air !

Laetitia poussa un gémissement et essaya de protester, mal lui en prit. Alice la courba sous son bras et la déculotta rapidement, une cinquantaine de claques atterrirent sur son fessier tendu :

— Voilà ce qui arrive quand on obéit pas immédiatement à tatie Alice. Maintenant tu te mets le nez contre le mur et tu tiens ta jupe retroussée !

En pleurnichant la comptable s’exécuta, ses fesses étaient déjà colorées. Émilie sans un mot avait baissé sa culotte sous ses fesses, elle se tourna vers le mur avant qu’Alice le lui demande. Les deux fessiers dénudés étaient exposés à la vue des éventuels passants. Heureusement pour les deux punies, personne ne venait ici, mais la honte d’être fesses à l’air dans un lieu public était bien présente. Alice passa sa main sur les fesses :

— Vous voilà prêtes, encore quelques minutes en pénitence et je reviens vous chercher. Soyez sages.

Elle souriait en revenant dans le bureau, Lucie lui jeta un regard coquin :

— Ça a l’air de te plaire de jouer les mères fouettardes.

— Olala oui, ça me change de chez ma tatie, c’est vrai qu’elles ont toutes les deux un joli cul. Alors ce soir je pourrai voir celui de ta petite Christine ?

Lucie se mit à rire :

— Bien sûr, ça te tarde on dirait ? Mais tu auras également une autre petite surprise.

Alice essaya d’en savoir plus, mais Lucie mit un doigt sur sa bouche :

— Non, non tu n’en sauras pas plus, et puis fait attention, tu sais ce qui arrive aux petites filles trop curieuse… Bon il est temps de s’occuper de nos deux chipies.

Elle ouvrit la porte, les deux comptables se tenaient toujours sagement le nez contre le mur et les mains croisées dans le dos pour tenir leurs jupes. Les deux fessiers se contractèrent en entendant Lucie :

— Vous pouvez vous reculotter et vous venez nous voir.

Un peu surprise par cet ordre les deux jeunes femmes s’exécutèrent, Alice se tourna vers sa collègue le un regard interrogatif, celle-ci souriait :

— On ne va quand même pas se priver du plaisir du déculottage de ces deux donzelles.

Elle se tourna vers Laetitia :

— Qui t’a donné la fessée hier ma chérie ?

Elle le savait parfaitement, mais obliger la comptable à parler de sa punition rajoutait à sa confusion, elle se mit à rougir et balbutia :

— C’est vous tatie Lucie…

La sévère fesseuse était vraiment satisfaite de la docilité des deux punies. Dès le premier jour elle avait insisté sur le fait qu’elles devaient toujours les appeler tatie et c’était maintenant rentré dans les mœurs.

— C’est bien ce qu’il me semblait, tu vas aller voir tatie Alice pour lui montrer ton bon gros derrière.

Elle se tourna vers Émilie :

— Alors ma petite chipie, tu as bien dormi hier soir avec ton petit cul bien rouge ? Tu vas voir comme je vais bien te le chauffer et comme tu vas bien travailler ce matin.

Elles avaient désormais leurs habitudes, deux chaises se faisaient face au milieu du bureau, elles s’y assirent et tapotèrent en même temps sur leurs cuisses. Les deux jeunes femmes savaient ce que cela signifiait, il ne fallait pas tarder à se coucher sur les genoux des deux secrétaires sous peine de correction encore plus sévère.

Rapidement les deux fessiers apparurent et le bruit maintenant familier d’une bonne fessée déculottée envahi le bureau.

Après un passage dans le bureau de madame Dugou pour lui présenter leurs fesses écarlates et lui remettre leurs culottes, elles rejoindraient leur poste de travail cul nu sous leur jupe.

De son côté Clotilde avait attendu stoïquement que la porte du bureau de sa cheffe de service s’ouvre. Elle était maintenant devant elle, tenant toujours sa jupe retroussée, sa culotte descendue sous les fesses, Claire lui fit signe de se tourner, elle s’exécuta rapidement, elle avait pris l’habitude d’obéir sans discuter. La sévère maîtresse regardait cette large croupe avec plaisir, ses tendances dominatrices pouvaient maintenant s’exprimer sans retenue, Clotilde était complètement soumise, elle pouvait passer à l’étape suivante :

— C’est aujourd’hui le dernier jour de ta punition du midi. Tu as commencé à rembourser, c’est bien, mais je pense que tu n’es pas près d’avoir fini, et comme je te l’ai dit tant que tu n’auras pas terminé tu auras droit à ta fessée matinale et à celle de la fin de journée. Et comme je ne veux pas que tes fesses prennent froid pendant le week-end, tu vas venir le passer chez moi. Je t’attends samedi matin, tu rentreras chez toi dimanche soir avec des fesses bien chaudes.

Elle surveillait les réactions de Clotilde, celle-ci lui tournait le dos, il y eut juste une légère contraction de ses fesses mais aucune protestation :

— Bon allez en piste, tu vas être en retard au travail et si tu n’as pas fini le bilan que je t’ai demandé, ce sera encore panpan cucul comme à l’école.

Elle s’amusait de traiter la cheffe comptable de 50 ans comme si elle était une mauvaise élève réprimandée par son institutrice. Quelques instants plus tard comme dans le bureau voisin, les pleurs et le bruit des claques retentirent dans la pièce.



Lucie avait invité Alice à dîner, elle avait aussi convié Aurore. Bien sûr sa petite Christine serait de la partie, elle ferait le service.

Il y avait eu du changement dans la vie du monsieur devenu Christine, en effet Aurore avait obtenu de sa direction de pouvoir travailler depuis son appartement, elle avait également demandé que son assistant travaille à ses côtés.

Il n’y avait donc plus aucun obstacle à la féminisation complète de Christian qui était devenue Christine définitivement et ne quittait plus sa tenue féminine même pour se rendre à son travail. Il était devenu la secrétaire particulière d’Aurore qui était une patronne exigeante et sévère. La seule sanction qu’elle utilisait c’était la fessée déculottée et malgré tout ses efforts, notre petite Christine ne passait pas un jour sans avoir les fesses rouges et cuisantes.



Ça avait été bien sûr le cas aujourd’hui et Christine était rentrée à la maison les fesses écarlates sous sa culotte blanche ornée de dentelle, elle avait bien sûr un mot à faire signer par son épouse sur son carnet de correspondance. C’était une nouveauté instaurée par Aurore qui ramenait la pauvre Christine à l’époque du collège, penaud il avait tendu le carnet à Lucie, il savait par expérience que le cacher ou retarder la signature ne ferait qu’empirer les choses. Le regard de Lucie s’était assombri :

— Décidément j’ai l’impression que tu aimes recevoir la fessée. Tu n’en loupes pas une. Eh bien rassure-toi je vais me faire un plaisir de te satisfaire. Va chercher le martinet !

Christine se dépêcha d’aller dans la cuisine, l’instrument de punition familial était toujours suspendu à son crochet à côté de la porte. Elle le prit et caressa le manche poli, elle savait que bientôt les lanières allaient cingler ses fesses et ses cuisses mais sans pouvoir l’expliquer une légère excitation la parcouru et une érection raidi son sexe. Elle eut un moment de panique, malgré sa féminisation il restait quand même un homme, il savait que son épouse ne tolérerait pas ce genre de chose, il ne pouvait jouir que quand elle le décidait, heureusement l’érection cessa rapidement en pensant à la cuisson terrible du martinet. Il revint au salon tenant l’instrument de sa punition. Lucie le regardait sévèrement :

— En position et déculotte-toi, vite !!

Christine s’agenouilla sur le fauteuil Voltaire qui était destiné à cet usage, retroussa sa courte jupette et baissa sa culotte à mi-cuisses. Elle se pencha sur le dossier du fauteuil pour bien faire ressortir ses fesses.

Lucie caressait les lanières du martinet, une petite fessée apéritive n’était pas pour lui déplaire, elle avait prévu de corriger sérieusement Christine devant Alice, mais c’était tout l’intérêt de la fessée au martinet, ça cuisait et rougissait le derrière mais ça n’abîmait pas les fesses. On pouvait recommencer aussi souvent que nécessaire.

— J’attends ?

Christine savait, il lui fallait prononcer la phrase magique, elle l’avait appris après de nombreuses correction. Elle avala sa salive :

— S’il te plaît maman Lucie peux-tu m’administrer la bonne fessée déculottée que j’ai bien méritée.

Son épouse souriait, ravie de la soumission de son mari devenu sa petite femme :

— Avec plaisir ma chérie, c’est si gentiment demandé.

Le martinet commença sa danse sur le derrière rebondi, la petite Christine comme l’appelait Lucie était bien dressée, ses fesses dansaient également, s’ouvrant et se fermant au rythme de la punition, ses pieds battaient également la mesure, mais elle ne cherchait pas à s’échapper, elle gémissait puis rapidement elle se mit à supplier et à sangloter. Lucie était sévère, elle administra jusqu’au bout la correction prévue, la croupe était parfaitement rouge sur toute sa surface. Ce martinet de maman fait vraiment des merveilles pensa Lucie. Elle passa sa main sur les fesses brûlantes :

— Voilà, c’était juste une petite fessée déculottée pour débuter la soirée, tu as du travail, tu vas rester cul nu pour préparer le repas, tâche de t’appliquer, je veux que mes invitées soient contentes.

Elle la prépara comme elle en avait l’habitude, jupe coincée dans la ceinture et culotte remontée sous les fesses, elles étaient ainsi bien mises en valeur.



Christine adorait faire la cuisine, ce n’était donc pas un problème pour elle, la faire les fesses à l’air non plus, ça lui arrivait très souvent.

Alice fut la première à arriver, Lucie appela Christine :

— Chérie, viens dire bonjour.

Un peu gênée, le monsieur demoiselle sortit de la cuisine, sans façon Alice lui claqua une bise :

— Depuis le temps que j’entends Lucie me parler de toi, je suis contente de te voir.

Elle dévisagea la jeune femme de haut en bas, elle eut vite fait de remarquer la tenue de Christine, même si celle-ci lui faisait face. Elle regarda Lucie :

— Elle a été punie ?

La sévère maîtresse de maison acquiesça en souriant :

— Mademoiselle fait des bêtises au travail, donc maman s’occupe de son derrière à la maison. Christine, tourne-toi.

La pauvre était rouge de honte, elle bégaya :

— Ma… man… s’il te plaît…

— Dépêche-toi !

Le ton de Lucie était sans réplique, Christine se tourna. Son derrière encore rouge encadré par la culotte blanche et la jupe était ravissant. Alice applaudit :

— Oh que c’est mignon, tu ne m’as pas menti, elle a vraiment un joli petit cul.

Elle s’approcha et posa sa main sur les fesses, Christine les serra légèrement mais ne bougea pas.

— Elle est obéissante. C’est toujours pareil, après une fessée la peau est douce. C’est avec ta main ?

Lucie lui montra martinet posé sur la table :

— Non, c’est avec monsieur martinet.

Alice le prit et le contempla :

— Exactement le même que celui de ma tante, un vrai martinet familial.

Christine exposait toujours ses fesses nues, Lucie lui administra une solide claque au milieu du derrière :

— Allez, retourne au travail.

Les deux collègues s’assirent pour papoter, quelques minutes plus tard la sonnette retenti, Lucie se leva :

— C’est Aurore, la cheffe de Christine. Tu vas voir, elle est charmante.

Alice compris que c’était la surprise annoncée par son amie. Aurore savait qu’il y aurait une autre invitée, Lucie fit les présentations et les deux jeunes femmes se firent la bise.

Aurore s’était assise quand Lucie la regarda en souriant :

— Ma chérie, je crois que tu as oublié quelque chose.

Aurore la regarda interdite, elle n’osait imaginer ce que Lucie voulait dire. Celle-ci souriait toujours :

— As-tu besoin d’être stimulée ? Ma main me démange.

L’allusion à la fessée était limpide, Aurore était rouge de honte. Être obligée de faire cette demande infamante ou recevoir une fessée déculottée devant une inconnue, le choix était cornélien. Le regard de Lucie se fit plus sévère :

— Je ne vais pas patienter longtemps ma chérie.

Aurore se rendit compte soudain dans quel piège elle était tombée, la soirée s’annonçait cuisante, elle déglutit et baissa les yeux pour ne pas croiser le regard des deux jeunes femmes qui la regardait :

— S’il te plaît maman Lucie, peux-tu me prendre la température…

Alice était sidérée, son regard allait de Lucie à Aurore, ainsi son amie avait réussi à soumettre cette jeune cadre dynamique au point que celle-ci s’humilie à faire cette demande.

Lucie savourait son triomphe, depuis qu’elle avait imposé ce petit viol anal à Aurore, elle lui avait imposé l’humiliation de devoir demander sa prise de température à chaque fois qu’elle venait la voir. C’était toutefois la première fois qu’elle l’obligeait à le faire devant une tierce personne, la pauvre était morte de honte, Lucie s’installa sur le canapé et tapota ses cuisses :

— Mais avec plaisir ma chérie, viens un peu là.

Aurore essaya de ne pas croiser le regard d’Alice, elle se coucha en travers des genoux de sa maîtresse. La secrétaire ne l’avait pas encore remarqué mais la cheffe de service portait une tenue plutôt juvénile, sa jupe à fleur était très courte et de forme évasée et elle portait des ballerines. 


La position fit remonter naturellement la jupette, découvrant le haut des cuisses et laissant deviner la culotte. Lucie n’était pas pressée, elle voulait savourer ce moment de domination sur cette femme plus âgée qu’elle mais qui était entièrement soumise à ses caprices. Elle tapota le fessier rebondi par-dessus la jupe :

— Ça a été un peu laborieux ma chérie, tu sais que maman Lucie n’aime pas les désobéissantes. Tu le sais pourtant que tu dois me demander le thermomètre dès que tu arrives !

La main claqua un peu plus sèchement les fesses encore protégées :

— Tu vas expliquer à Alice ce qui arrive quand on désobéit à sa maman.

Aurore connaissait la perversité de sa jeune maîtresse, son caractère soumis s’en accommodait, mais la punition publique qui s’annonçait était vraiment une nouveauté. Elle était morte de honte, mais elle savait que ça faisait partie de la punition et comment ne pas le reconnaître, de son plaisir. La main de Lucie claquait sèchement son fessier, elle savait que toute hésitation ou rébellion serait sévèrement punie. Elle se lança, sa voix était hésitante :

— Euh… quand je désobéis maman me punit… Euh… aïe, aïe…

La main de Lucie avait claqué l’arrière des cuisses.

— Elle me donne la fessée déculottée…

Elle avait dit ça très vite, elle sentit poindre une excitation entre ses cuisses, elle n’arrivait pas à se l’expliquer, mais avouer qu’elle recevait encore la fessée déculottée à son âge la faisait mouiller.

Alice assistait avec amusement et envie à l’humiliation de cette fière bourgeoise, ce n’était vraiment pas banal, Lucie la regarda en souriant :

— Notre petite Aurore a fait quelques progrès, mais il lui faut de temps en temps une petite remise à niveau pour qu’elle ne se prenne pas pour une dame. C’est ma petite fille chérie et elle sait qu’elle doit obéir sans discuter, sinon c’est panpan cucul.

Alice acquiesça :

— Ça me paraît juste, elle vient de reconnaître qu’elle mérite une fessée déculottée, il ne faut pas la décevoir.

Aurore était toujours couchée sur les genoux de Lucie, les fesses tendues vers le ciel, le temps lui paraissait long. Puisque Lucie semblait décidée à lui administrer une fessée cul nu autant que ça arrive immédiatement. Elle sentit sa jupe se retrousser, une mignonne petite culotte à fleurs apparu sous les yeux intéressés d’Alice, décidément cette jolie bourgeoise n’était pas habillée comme on aurait pu s’y attendre, après la jupette courte, la culotte en coton de gamine, elle se mit à rire :

— Mazette, ta petite chipie a une vraie petite culotte de fille. C’est une idée à toi je suppose ?

— Exactement, madame se prenait pour une dame, mais quand on reçoit encore la fessée déculottée sur les genoux de maman on met des dessous qui correspondent. Tu ne trouves pas que ça lui fait un joli derrière ?

C’est vrai que les fesses d’Aurore n’étaient pas celles d’une gamine, c’était une belle croupe de dame, large, ferme et bien rebondie. Elle avait un peu de mal à contenir dans la petite culotte en coton, le pli fessier qui séparait le postérieur, des cuisses était bien visible et la base bien ronde du derrière était découvert. Lucie le tapotait pour bien signifier qu’il était entièrement à sa disposition :

— Ma petite chérie, maman n’est pas contente, je sais que tu n’aimes pas me demander de te prendre la température, mais c’est pour ton bien, pour que tu deviennes une gentille petite fille que je te le demande. Chaque fois que tu oublieras de le faire tu recevras la fessée, j’espère que la présence d’Alice te fait bien honte. Maintenant voyons un peu ce derrière.

Si Alice avait pu voir le visage d’Aurore, elle aurait constaté que ses joues étaient aussi rouges que ses propres fesses après la fessée déculottée de madame Dugou. La dame punie se mit à sangloter doucement, la honte était trop forte même si elle commençait à s’habituer à la perversité de Lucie. Celle-ci souriait satisfaite de la soumission de la cheffe de service redevenue une gamine. Elle palpa les fesses, les écarta et glissa ses doigts entre les cuisses, elle savait qu’Aurore malgré son humiliation devait mouiller elle en eu la confirmation en retirant ses doigts gluants. Elle fit un petit clin d’œil à Alice :

— Madame apprécie les fessées sévères, on ne va pas la décevoir.

La punie essaya de protester mais une claque magistrale appliquée au milieu de son fessier lui fit pousser un cri. Il fut suivi de beaucoup d’autres, la correction fut particulièrement sévère. Le beau derrière était maintenant écarlate, Alice appréciait le spectacle, la danse des fesses et les battements de jambes d’Aurore était splendide. 


Elle admirait Lucie, c’était une redoutable fesseuse, elle se demanda si par hasard celle-ci n’avait pas prévu de la déculotter également. La fessée était maintenant terminée, Aurore n’était plus une élégante dame de 45 ans, responsable marketing, elle pleurait et serrait ses fesses sous l’effet de la brûlure comme toute punie après une bonne déculottée, Lucie lui tapota la croupe cramoisie :

— Cesse de pleurnicher, tu l’avais bien méritée cette fessée, tu sais que maman Lucie n’aime pas les désobéissantes. Maintenant tu vas écarter bien gentiment tes fesses pour que je te prenne la température. Allez desserre-moi ça !

Elle avait claqué un peu plus sèchement le derrière brûlant, Aurore écarta largement ses cuisses, Alice mouillait à ce spectacle excitant, la raie fessière s’ouvrait, mais ce n’était pas suffisant pour la sévère maîtresse, elle écarta un peu plus les fesses avec deux doigts, Aurore était au comble de la confusion, son intimité largement exposée, la rondelle brune de l’anus bien visible, Lucie regarda sa copine en souriant :

— Voilà un joli derrière bien rouge, tout prêt pour le thermomètre, fais-moi le passer s’il te plaît.

Alice lui tendit l’instrument et s’approcha, elle posa sa main sur le fessier écarlate :

— C’est vrai qu’il est bien chaud, c’est ce que ma tante appelle une bonne déculottée, elle dit toujours ça quand j’ai les fesses en feu.

La réflexion fit sourire Lucie :

— J’aimerais bien la rencontrer ta tatie, je pense qu’on s’entendrait bien. Allez madame on se détend et on ne serre pas les fesses, sinon gare !

Elle avait posé le thermomètre sur le petit trou comme elle l’appelait, Aurore avait vraiment le feu aux fesses, la correction avait été très cuisante, elle essaya de relâcher ses muscles fessiers, elle savait que sa « maman » ne manquerait pas de lui rougir un peu plus le derrière en cas de nécessité.

Son caractère soumis s’accoutumait finalement de cette punition publique, l’humiliation faisait partie de son apprentissage, Lucie lui avait déjà expliqué cela. Le thermomètre rentrait inexorablement sous le regard intéressé d’Alice :

— Eh bien dis donc, elle est devenue sage ta petite fille. Tu lui rentres profond ?

Lucie se mit à rire :

— Ça c’est sûr, avec une paire de fesses bien rouges, en général elle devient très mignonne, je ne l’entends plus. Oui je le rentre complètement, comme ça il ne risque pas de ressortir, elle va le garder un moment, ça va lui apprendre à me désobéir.

Maintenant le thermomètre ne dépassait plus que d’un centimètre, elle relâcha les deux fesses, un petit bout de verre apparaissait à peine au milieu du derrière écarlate :

— On va boire quelque chose pendant que madame réfléchi à sa conduite, elle est très bien là, à nous exposer son joli popotin.



Alice appréciait vraiment ce début de soirée, elle en oubliait presque ses craintes concernant son propre derrière.



vendredi 14 juin 2024

Deux étudiantes 11

 La vengeance de Clémence et Clara



La soirée avait été cuisante pour Chloé, sa mère était réellement furieuse, elle avait bien l’intention de lui faire regretter son comportement.

La jeune fille était donc restée au coin les fesses à l’air jusqu’à l’heure du repas, puis elle avait reçu sa fessée du soir avant de passer la soirée allongée sur les genoux d’Odile le thermomètre profondément enfoncé, celle-ci se chargeant de lui garder les fesses bien rouges et bien chaudes en lui administrant à intervalle régulier une petite fessée d’entretien. Elle s’était donc couchée avec les fesses rouges et brûlantes, le lendemain matin elle avait été fessée avant le petit déjeuner et elle était partie au lycée avec un derrière rouge sous sa petite culotte.

Comme elle n’avait pas cours l’après-midi, elle était rentrée directement, pas question d’aller chez sa copine Louisa, celle-ci avait été également punie, mais moins sévèrement qu’elle. En arrivant dans le hall de l’immeuble elle fut surprise de trouver les deux étudiantes, elles semblaient l’attendre. Elles arboraient un sourire triomphant, elles encadrèrent la jeune fille, Clara prit la parole :

— On est contente de te voir, on a quelque chose à te dire, tu vas venir à la maison.

Chloé avait pâli, elle essaya de se dégager en protestant :

— Laissez-moi, il faut que je rentre.

Clémence lui pris la main et la serra fermement :

— Tu rentreras quand on l’aura décidé, pour le moment tu viens chez nous, ta mère ne rentre qu’a 17 h, on s’est renseignée. Et puis tu sais si tu n’es pas mignonne, on pourrait lui raconter que tu nous as encore menacée avec ta vidéo.

— Mais c’est pas vrai !

— Oui, mais tu ne pourras pas le prouver, c’est ta parole contre la nôtre.

Elles lui prirent chacune une main et la tirèrent vers l’escalier.

— Allez, on y va ! Avance plus vite !

La main de Clara avait claqué la croupe de Chloé par-dessus sa jupe. La jeune fille n’en menait pas large, elle suivit les deux étudiantes, arrivée dans le salon c’est à nouveau Clara qui reprit la parole :

— Je suppose que depuis hier soir tes petites fesses n’ont pas dû être blanches souvent, on aimerait bien les voir.

Chloé avait rougi à l’évocation des déculottées qu’elle avait reçues, elle regarda Clara et essaya de l’amadouer :

— Je regrette beaucoup de m’être mal conduite, je suis désolée, mais j’ai déjà payé pour ça.

Clémence se mit à rire :

— Ah, oui tu regrettes ? Je pense que tu vas le regretter encore plus dans un moment.

Chloé qui sentait que la situation devenait périlleuse se mit à gémir :

— Non, écoutez, vous n’avez pas le droit, non… Aïe, Aïe…

Sa phrase resta en suspens, la main de Clara venait de claquer ses cuisses juste sous sa minijupe. Clémence installa deux chaises face à face, les deux étudiantes avaient mis au point le scénario de leur vengeance. Elles tenaient fermement les mains de Chloé, elles s’assirent, leurs genoux se touchaient, leurs cuisses offraient un support parfait pour que la jeune fille s’y couche. En un clin d’œil la punie fut en position, elle avait juste poussé un cri, dorénavant son derrière encore dissimulé par la jupe était exposé aux yeux des deux amies. Clémence en souriant tapota la jolie croupe :

— Tu vas nous montrer ton petit cul ma chérie, j’aimerais bien voir s’il est encore coloré par la fessée de maman. Tu t’en es pris une bonne ce matin je crois ?

Elle retroussa la minijupe pour découvrir la petite culotte à fleur de Chloé. Apeurée, celle-ci serrait déjà ses fesses, la lingerie rentrait légèrement dans la raie fessière. Clara caressa à son tour le derrière :

— Eh bien, on dirait que mademoiselle fait moins la fière qu’hier, tu fais bien d’avoir peur et de serrer les fesses ma chérie tu vas voir comme on va s’en occuper.

Elle avait glissé ses doigts sous la petite culotte et elle palpait sans vergogne la croupe juvénile, elle regarda Clémence :

— On la déculotte tout de suite, ou on commence panpan cucul sur la culotte ?

Celle-ci lui fit un clin d’œil :

— Entre les deux, regarde.

Elle avait tiré la culotte pour la faire rentrer presque entièrement dans la raie médiane, transformant le sous-vêtement en string. Les fesses étaient intégralement découvertes, elle les claqua légèrement :

— Voilà un joli petit derrière prêt a être échauffé.

Clara se mit à rire :

— Sa petite culotte ne cache plus grand-chose effectivement.

Chloé gémissait doucement en sentant l’air frais sur son derrière, sa culotte tirée dans sa fente aurait pu l’exciter, mais elle était trop inquiète pour ça. Clémence regarda sa copine :

— On y va ?

Clara leva la main et d’un seul coup deux claques retentirent dans la pièce accompagnées du cri de douleur de Chloé. Clémence avait claqué la fesse droite et Clara la gauche. Rapidement elles trouvèrent leur rythme, elles alternaient les claques si bien que Chloé recevait une double fessée. Il n’y avait aucune interruption à la brûlure, c’était insupportable, elle se mit à hurler et à se démener pour échapper aux claques, mais elle était fermement maintenue, elle ne pouvait que battre des jambes désespérément. Son fessier fut rapidement écarlate, les deux amies tenaient leur vengeance, elles administrèrent chacune une bonne fessée à la jeune chipie, celle-ci en reçu donc deux dans le même laps de temps.

Son derrière était brûlant, elles décidèrent enfin de la déculotter, c’est Clara qui s’en chargea :

— Et voilà, cul nu ma petite !

Le sous-vêtement descendu à mi-cuisse, les fesses rubicondes bien serrées, Chloé pleurait et n’en menait pas large. Clémence introduisit ses doigts entre les cuisses pour les écarter :

— Tu vas nous montrer ton petit abricot ma chérie.



Docilement Chloé se laissa faire, elle était prête à tout pour que la correction s’arrête, les doigts de la jeune étudiante titillaient les lèvres puis ils remontèrent entre les fesses, elle les écarta largement et posa son doigt sur l’anus :

— Tu as eu droit au thermomètre ?

Chloé sentit qu’il fallait répondre :

— Oui…

— Longtemps ?

— Toute la soirée…

Clara se mit à rire :

— Mazette, ta mère s’y entend pour punir les gourgandines de ton espèce.

Elle lui claqua sèchement les fesses :

— Lève-toi et vas chercher le martinet.

Chloé protesta :

— Oh non, mademoiselle pas le martinet, j’ai déjà été bien punie… Aïe, aïe, aïe…

La main de Clémence venait de claquer la base des fesses :

— Dépêche-toi et arrête de discuter, tu commences à m’agacer.

En pleurnichant, exposant son derrière écarlate, la jeune fille se dirigea vers la cuisine et en revint quelques instants plus tard avec l’instrument de sa punition.

Clara regarda son amie :

— Tu commences ?

— Oui, j’ai vraiment envie de voir danser son petit cul.

— On va se limiter un peu, il ne faut pas abîmer ses jolies fesses, sinon Odile risque de ne pas aimer.

Clémence fit une petite moue :

— Ok, bon combien de coups alors ?

— On va se contenter de 25 chacune, ça va la brûler suffisamment, et puis j’ai une petite idée pour la suite.

Clémence avait pris le martinet, elle fit pivoter Chloé pour qu’elle lui présente sa croupe :

— À genoux sur le canapé ma petite et tu tends bien tes fesses !!

La jeune fille obéit sans discuter et se pencha vers l’avant, son postérieur potelé était parfaitement présenté. La jeune femme fit glisser les lanières sur la croupe :

— Prête ma chérie, 25 sur ton petit cul.

Le martinet commença à cingler la peau déjà rougie et Chloé se mit à crier et tortiller ses fesses, Clara se mit à rire :

— Quelle jolie danse des fesses, rougis-lui un peu les cuisses, ça va lui faire du bien.



Clémence ne se fit pas prier et l’arrière des cuisses fut rapidement rouge. Chloé couinait de plus belle, elle ouvrait puis serrait suggessivement son petit derrière, Clara se régalait. C’était maintenant son tour elle prit le martinet tendu par sa copine puis passa sa main sur la croupe brûlante :

— Tu regrettes ce que tu nous as fait ?

— Oui, oui, pardon mademoiselle… S’il vous plaît plus la fessée…

Clara claqua sèchement les fesses de la punie :

— Ta correction n’est pas finie ma chérie, il faut vraiment que tu t’en souviennes pour ne plus recommencer. Tu vas compter les 25 coups, et tâche de ne pas te tromper.

En pleurant, au milieu du bruit des cinglées sur son derrière tendu, Chloé compta sa punition. Clara lui saisit à nouveau l’oreille et l’attira vers les chaises où elle reprit place en face de Clémence. La jeune fille éplorée bascula à nouveau en travers de leurs genoux. La perverse étudiante fit un clin d’œil à son amie, elle avait gardé le martinet à la main :

— Son petit trou à l’habitude du thermomètre, il faudrait qu’elle goûte à quelque chose de plus sévère.

Clémence avait compris, elle écarta avec deux doigts les fesses brûlantes :

— Très bonne idée, regarde-moi ce petit trou, il t’attend.

Chloé avait aussi compris, elle se mit à crier :

— Noon… Non pas le manche du martinet, mademoiselle… s’il vous plaît… Aïe, aïe…

Clémence venait de lui administrer deux magistrales claques sur chaque fesse :

— On t’a déjà dit de te taire !!! On a pas à te demander ton avis, tu as bien mis le manche du martinet dans les fesses de Clara et bien elle va te rendre la pareille. Tu as de la chance tu as deux spectatrices pour ton enculage.

Elle avait volontairement employé ce mot un peu cru pour humilier un peu plus la jeune fille.

Clara posa le manche du martinet sur l’anus et commença doucement à l’enfoncer, Clémence maintenait toujours les fesses largement écartées. Chloé se mit à gémir :

— Non, aïe, c’est trop gros, non, ça fait mal… AÏE.

Clémence venait de claquer sèchement la croupe :

— Mais c’est pas vrai ! vas tu te taire !! Ah mademoiselle trouve que c’est trop gros que ça fait mal à son petit cucul, et ma fessée, tu la sens ?

La jeune étudiante pas mécontente de pouvoir poursuivre la punition, s’était remis à claquer les fesses rubicondes, maintenant Chloé pleurait à chaudes larmes. Attendant la fin de la fessée, Clara tenait toujours le manche du martinet, légèrement enfoncé. Clémence cessa de claquer le petit fessier et la sodomisation de la jeune fille put enfin se poursuivre.

Une fois bien place, les lanières pendant sur la croupe, elles se regardèrent en souriant, elles étaient satisfaites de la punition infligée à Chloé. Clémence faisait tourner le manche distraitement :

— Maintenant que cette petite peste a été corrigée, je pense que sa copine Louisa mériterait également un petit séjour ici avec les fesses à l’air.

Clara approuva et tapota les fesses de Chloé :

— Tu vas t’arranger pour nous l’amener d’ici demain, sinon c’est toi qui prendras une nouvelle correction, tu as compris !

Clémence était satisfaite, elle s’adressa également à la punie :

— À quelle heure rentre ta mère ?

— A 17 heure.

— C’est parfait, tu vas aller faire un petit séjour au coin avec les fesses à l’air, elles seront prêtes pour le panpan cucul du soir. Allez debout !

Chloé se leva avec le martinet toujours planté au milieu de son derrière, la jeune étudiante lui saisit l’oreille et la conduisit contre le mur, la jupe retroussée et épinglée dans le dos, la culotte à mi-cuisse, le spectacle était très suggestif.



Clara saisit sa copine par la taille et l’attira sur le canapé, en un clin d’œil sa main avait glissé sous sa jupe, baissé sa culotte et ses doigts agiles caressaient la fente humide.

— Tu as vu comme elles sont appétissantes ses petites fesses ? J’aimerais bien voir les tiennes.

Docilement Clémence se tourna et présenta sa croupe à son amie, puis sans se soucier de la présence de la punie exposant son fessier rougeoyant, elles se mirent à se caresser mutuellement, Clara fut déculottée aussi rapidement que Clémence et bientôt deux magnifiques croupes blanches qui s’ébattirent sur le canapé.

Après cet intermède coquin et un séjour au coin d’une bonne heure, Chloé fut autorisée à se reculotter après que Clémence lui eut retiré le manche du martinet. Ses fesses étaient encore rosées, Clara les lui tapota par-dessus la jupe :

— Tu peux y aller, n’oublie pas que Louisa doit venir nous voir avant demain.

En pleurnichant la jeune fille regagna son domicile, sa cuisante soirée n’était pas terminée et même si elle avait l’habitude d’être corrigée sévèrement par sa mère, elle se doutait que la fessée du soir serait très douloureuse sur ses fesses échauffées par les deux étudiantes. Une fois dans sa chambre, elle se troussa et se déculotta pour examiner son fessier dans la glace, il était encore bien coloré, la vengeance de Clara et Clémence avait été terrible, elle alla chercher une crème hydratante et se massa soigneusement les fesses. Une douce sensation envahit son bas ventre, elle avait entendu les soupirs et les gémissements des deux jeunes femmes quand elle était au coin fesses à l’air et malgré la cuisson de sa croupe, ça l’avait été légèrement excitée, elle consulta son téléphone, pas de message de sa mère, elle avait un peu de temps, elle s’allongea sur son lit, la culotte baissée à mi-cuisses, elle se caressa.



Louisa avait reçu un message de sa copine, « Clara et Clémence veulent te voir, elles m’ont dit que si tu refusais, elle s’arrangerait pour que ta mère te flanque la fessée de ta vie. À mon avis, elle ne plaisante pas, tu devrais aller les voir demain »

Louisa avait réfléchi un instant, elle n’avait pas le choix, sa mère lui avait déjà administré une sévère déculottée quand Odile l’avait avertie de son petit manège avec Chloé, elle n’avait pas envie de repasser à nouveau sur ses genoux.

C’est donc avec ne petite boule au ventre qu’elle sonna à la porte des deux étudiantes. Clémence en la voyant lui fit un grand sourire :

— Ah te voilà, Chloé t’a prévenue de ce qui allait t’arriver ?

La petite brunette baissa les yeux et regarda ses pieds :

— Euh, mademoiselle, je voulais vous dire… Je… regrette… Maman m’a déjà punie vous savez.

Clara s’approcha et lui tapota les fesses :

— Ce n’est pas notre problème… Ça t’a plu de voir mes fesses bien rouges l’autre jour et bien aujourd’hui, on va pouvoir examiner ton joli petit cul. Allez en piste !

Elle avait saisi l’oreille de Louisa qui poussa un petit cri.

— Aïe, aïe… Non, mademoiselle… Non.

Clara avait eu vite fait de la basculer en travers de ses genoux. La jeune fille portait une jupe courte bien évasée, la position l’avait fait remonter dévoilant le bas de sa petite culotte rose. L’étudiante retroussa la jupe bien haut sur les reins, Louisa avait une paire de fesses bien rebondie et potelée à souhait.

Sa mère qui était assez perverse, lui faisait toujours porter des culottes un peu petites pour son fessier si bien que celui-ci débordait assez largement. Annie, c’était le nom de la maman de Louisa, devait trouver cela plus excitant, comme Odile elle adorait administrer la fessée et elle avait une passion pour les derrières bien joufflus. Celui de sa fille était toujours à sa disposition et elle le mettait à nu à la moindre occasion. Sa profession d’esthéticienne lui offrait d’autres occasions d’assouvir ses pulsions perverses et nombre de ses clientes repartaient de son institut avec une paire de fesses bien chaudes sous leur culotte, elle avait une technique remarquable pour que ses clientes se plient de gré ou de force à ses pulsions fessophiles.

Les jolies fesses potelées de Louisa étaient serrées par l’angoisse, son sous-vêtement trop étroit rentrait déjà dans sa raie fessière, toute la base de la croupe était découverte. Clara passa sa main sur le derrière de la jeune fille :

— On va commencer par échauffer ton joli petit cul.

Elle leva la main et commença à claquer les fesses encore culottées, elle alternait les gifles sur la culotte puis sur la base des fesses, Louisa se mit à gémir rapidement, certes elle était habituée aux sévères fessées, sa mère claquait toujours très fort, mais se faire corriger par cette jeune femme qu’elle ne connaissait presque pas, c’était très humiliant. La croupe se trémoussait, la culotte rentrait toujours un peu plus dans la raie, Clémence se régalait de ce charmant spectacle. Clara cessa la fessée et la regarda :

— À ton tour, chauffe lui encore le derrière.

Elle fit relever Louisa, Clémence prit la place de sa copine et fit un petit signe à la punie :

— En position ma petite, tu vas pouvoir comparer notre façon de te claquer les fesses.

Elle put comparer effectivement, Clémence claquait vraiment plus fort et quasiment toujours sur la peau nue, elle insistait également sur le haut des cuisses, Louisa se mit à pleurer :

— Aïe, aïe, aïe, non mademoiselle ça fait trop mal, s’il vous plaît…

Elle tortillait son popotin et ses jambes battaient l’air, un vrai régal pour une fesseuse, Clémence s’arrêta et la fit relever. Clara prit immédiatement sa place et saisit la main de la jeune fille :

— Ce n’est pas fini ma petite, maintenant c’est la fessée cul nu.

Elle fit basculer Louisa en travers de ses cuisses et glissa ses doigts sous la culotte, en un clin d’œil le sous-vêtement fut à mi-cuisses, le derrière rebondi était déjà bien rouge, elle ne prit pas le temps de le caresser, une formidable avalanche s’abattit sur les fesses de la punie, Clara avait constaté que sa copine claquait fort, elle ne voulait pas être en reste. La correction ne dura pas longtemps, mais les fesses étaient maintenant écarlates.



Comme dans un ballet bien réglé, elle fit relever la pauvre Louisa pour laisser Clémence prendre sa place et immédiatement, celle-ci remit la jeune fille en position, la fessée reprit, Louisa pleurait et criait sous la brûlure mais les deux étudiantes voulaient leur revanche, ce petit cul allait vraiment trinquer.

Clémence satisfaite s’arrêta enfin et palpa le fessier en riant :

— Il est cuit à point, on dirait deux tomates bien mûres.

Clara avait pris son téléphone, elle fit une photo des fesses en gros plan :

— C’est vrai qu’elles sont encore plus mignonnes comme ça, j’ai fait une vidéo. Ma petite chérie tu as intérêt à te tenir à carreaux si tu veux que ça reste entre nous.

Louisa sanglotait, toujours couchée en travers des genoux de Clémence, celle-ci la fit se relever :

— Cesse de chouiner, tu l’avais bien méritée celle-là, tu vas aller au coin comme Chloé hier. Tu en as pour une heure à exposer tes fesses, elles auront le temps de refroidir.

Comme la veille, les deux étudiantes passablement excitées par la fessée administrée à Louisa et le spectacle de son mignon derrière, se livrèrent à des ébats tumultueux.

Quand la jeune fille eut regagné son domicile, Clara fit un petit clin d’œil à sa copine :

— C’est vraiment super excitant de faire une galipette après avoir flanqué une fessée déculottée à cette gamine, je crois qu’on va recommencer souvent. Notre petite Louisa n’a pas fini de nous montrer ses fesses bien rouges.




dimanche 9 juin 2024

Le musée

 Un nouveau récit de mon amie Caroline que j'accueille avec plaisir sur mon blog.

Une histoire de fessée déculottée tendre et coquine.

Je vous la laisse déguster.

La suite de mes propres récits, bientôt... 


Un nouveau musée venait d’ouvrir dans la ville. Un groupe de passionnés avait restauré une ancienne école et l’avait mise en scène comme au début du 20e siècle.

Ils avaient eu du mal à retrouver le mobilier d’époque, mais finalement tout ou presque y était. Une salle de classe avec ses tables d’école, les encriers en porcelaine, les grandes cartes sur les murs sur lesquelles figurent les pays de l’ancien empire colonial français.

Caroline avait vu une publicité dans le journal local. Elle trouvait super que des associations œuvrent à la préservation du patrimoine. Elle décida d’aller le visiter. N’ayant pas réussi à convaincre ses copines de l’accompagner, elle s’y rendit seule.

L’école était telle qu’elle était au début du siècle. On s’y croyait vraiment. Caroline fût accueillie par une dame habillée comme l’était les maîtresses d’école de l’époque. Une grande robe noire, a manches longues et un col blanc. Elle lui a dit s’appeler madame Joséphine. Elle serait la guide de la visite, elle lui demanda de patienter dans la cour afin d’attendre d’autres visiteurs. Au bout de 10 minutes, personnes ne s’étant présenté, elle annonça à Caroline qu’elle aurait droit à une visite privée. Elles commencèrent par la cour où une marelle était peinte sur le sol et où se trouvait une vieille balançoire. Ensuite la cantine, on y trouvait alignées de grandes tables avec des bancs.

À chaque fois, madame Joséphine donnait des explications, racontait des anecdotes, Caroline posait des questions, elle était curieuse et essayait de s’imaginer dans ces lieux à l’époque. Elles entrèrent dans la salle de classe. Il y avait de vieux pupitres, avec leurs encriers, un poêle à bois, une estrade et le bureau de la maîtresse. Dans un angle à côté du bureau, un grand bonnet pointu était posé sur un tabouret.

— Qu’est-ce que c’est ?

Demanda Caroline.

— C’est le bonnet d’âne,

lui répondit madame Joséphine. Les châtiments corporels étaient autorisés et très fréquents à cette époque. Mais, puisque nous sommes seules aujourd’hui, prenez donc place à un pupitre.

Caroline, ravie de se plonger un peu plus dans la scène reconstituée, s’installa au premier rang. Madame Joséphine prit place au bureau de la maîtresse.

— On s’y croirait vraiment.

Caroline était subjuguée.

— Je vous remercie, nous avons fait beaucoup d’efforts pour que notre reconstitution soit la plus proche de la réalité. Avez-vous des questions ?

— Euh… au sujet… des châtiments corporels, de quoi s’agissait-il ?

— Le sujet vous intéresse, je vois.

Caroline se sentit rougir jusqu’aux oreilles.

— Eh bien, reprit madame Joséphine, suivant la gravité de la faute, cela pouvait aller de quelques coups de baguette sur la main à la fessée déculottée.

— La fessée déculottée ?!

Caroline n’avait pas pu retenir son exclamation.

— Oui, et finalement, cela arrivait très souvent, là, ici.

La dame montrait du doigt le devant de l’estrade, à quelques centimètres de la place de Caroline.



— Ça devait être terrible.

— Pas tant que ça, je vous rappelle que c’était normal à ce temps-là. Heureusement,

aujourd’hui c’est interdit.

— Ça devait être très embarrassant.

— Très

— Les pauvres, la culotte baissée…

Le cœur de Caroline battait fort dans sa poitrine, ces mots, ses images, provoquèrent en elle un émoi qu’elle ne pouvait expliquer. Madame Joséphine, le remarqua immédiatement, elle avait devant elle une très belle jeune femme, blonde, les cheveux mi-long, vêtue d’une robe en lin blanc.

— Comment vous appelez vous ?

— Caroline

— Je te sens troublée par ce que je viens de dire, je me trompe ?

Caroline fut surprise par ce soudain tutoiement. Un frisson l’a parcouru. Elle était assise au

pupitre, comme une élève.

— Non, balbutia-t-elle.

— Ce sont les mots : fessée déculottée qui te trouble ?

— Oui, murmura Caroline.

— Tu t’imagines allongée sur les genoux de maîtresse ?



— Oh ! Non, enfin…

— Je vais te poser une question directe Caroline, si tu avais l’opportunité de recevoir une fessée déculottée, oserais-tu ?

— Euh

— Réponds franchement. Je ne suis là pour te juger, mais je peux t’aider à réaliser ce fantasme.

— Ah bon et comment ça ?

— En te donnant une fessée déculottée pardi !

— La ? Maintenant ? Ici ?

— Oui

— Euh…

— Nous sommes seules, est ce que tu souhaites que j’aille fermer les portes du musée ? Tu comprends ce que je veux dire ?

Caroline, comme toutes les femmes, fit rapidement mentalement un check-up de sa situation physique. Pas en période de règles, jolie petite culotte, pilosité pubienne naturelle. Rien n’empêchait une intrusion dans son intimité.

— Oui.

— Approche.

Joséphine lui tendait la main, Caroline se leva de son siège et s’approcha d’elle. Elle posa sa main sur celle de la maîtresse, elle ressentait un désir profond, une excitation. Sans appréhension, le rose aux joues, le sexe palpitant, elle se laissa guider. Joséphine accompagna Caroline vers le tabouret des punis. L’aida à s’agenouiller dessus et plaça le bonnet d’âne sur sa tête. Puis tendrement posa un baiser sur sa joue.

— Je vais faire en sorte que tu vives une expérience inoubliable mêlée de plaisir et de douleur. Reste ici pendant que je vais fermer les portes.

Caroline avait peine à réaliser ce qui était en train de se passer, il y a quelques heures, elle était chez elle, se préparant à une visite de musée et maintenant elle était agenouillée à la place des punies. Elle allait recevoir une fessée déculottée. Des papillons virevoltaient dans son ventre et son sexe. Elle entendit des pas derrière elle.

— Bien, jeune fille, lève-toi !

Joséphine déplaça la chaise du bureau pour la positionner devant l’estrade, à l’endroit même qu’elle avait montré à Caroline quelques instants plus tôt. Elle s’y installa.

— Approche Caroline et mets tes mains sur ta tête !

Puis elle posa sa main sur les fesses de Caroline et les massa tendrement.

— Prête à rentrer dans ton rôle ?

— Oui

— On dit : oui maîtresse !

— Oui maîtresse.

Joséphine, aida Caroline à se coucher sur ses genoux. Elle lissa le bas de la robe. Dans quelques instants, elle allait découvrir ce petit trésor. Elle commença par tapoter les fesses de Caroline, de son côté, celle-ci se laissait faire. Elle avait pris place en travers des cuisses de la maîtresse, elle était désormais à sa merci, offrant ses fesses encore protégées par sa robe et sa culotte.

Maîtresse commença la fessée, appuyant un peu plus ses claques, sur un rythme régulier, alternant chaque fesse et s’appliquant à couvrir toute la surface. Petit à petit, les claques devinrent plus fortes, la vraie fessée avait débuté. Caroline encaissait chaque claque avec surprise et plaisir. Elle ne comprenait pas comment la douleur grandissante pouvait l’exciter autant. Elle lâchait des petits aïe et des ouilles incontrôlés.

— Vous voyez ce qui arrive à celles qui imitent la signature de leurs parents sur un contrôle ?

Joséphine semblait s’adresser à un auditoire fictif.

— Eh bien, c’est la fessée !!

Caroline imaginait un public attentif et subjugué par la vue qu’elle offrait, elle sentait tous les regards braqués sur ses fesses. Bientôt elles allaient voir, tout voir !

Maintenant les fesses de Caroline commençaient vraiment à chauffer.

— Bien, c’est le moment du déculottage. Qu’en dis-tu Caroline ?

— S’il vous plaît maîtresse, pas la culotte !

— Et pourquoi donc ? Tu ne crois pas que ce que tu as fait ne mérite pas la fessée déculottée ?

— C’est très gênant !

— Ça ! Il fallait y réfléchir avant ma chère. Lève-toi et mets tes mains sur la tête.

Caroline s’exécuta, elle regarda la maîtresse se lever également et pivoter le siège sur le côté. Elle commença à comprendre ce qu’elle était en train de préparer. Elle allait être déculottée de telle manière que ses fesses soient face à la classe !! Tout le monde allait voir son intimité !

— Reprends ta place de punie.

Caroline s’allongea à nouveau. Joséphine releva le bas de la robe de Caroline jusqu’au milieu du dos. Elle portait une jolie culotte blanche avec des petits cœurs rouges.

Joséphine apprécia la vue que lui offrait sa partenaire de jeu. Une large tache d’humidité s’étalait sur l’entrejambe. Joséphine était aux anges, Caroline avait l’air de prendre beaucoup de plaisir. Elle saisit l’élastique de la culotte et la fit glisser le long des cuisses de Caroline. Ses fesses, harmonieusement colorées, étaient tout simplement magnifiques. Le petit duvet de poils châtain qui ornait la vulve de Caroline était humide.

— Comment te sens-tu Caroline ? On continue ? À ce que je constate, tu sembles apprécier cette punition ?

— Oui maîtresse, j’ai mérité la fessée déculottée.



Caroline était maintenant totalement dans son rôle, la fessée reprit de plus belle, les claques quoique plus espacées étaient plus appuyées. Chaque impact sur les fesses dénudées de Caroline provoquaient un petit gémissement. Joséphine s’arrêta. Elle plaça deux doigts sur le sexe de Caroline.

— Je peux ?

— Oui

Caroline avait murmuré dans un gémissement étouffé. Joséphine se mit à caresser le sexe de Caroline, elle fit aller ses doigts sur le clitoris et sur l’entrée du vagin déjà plus que lubrifié. Caroline poussait des gémissements de plus en plus fort. Son bassin ondulait au rythme des caresses. Quand Joséphine sentit que Caroline était proche de l’orgasme, elle s’arrêta. Elle fit rouler la culotte de Caroline jusqu’aux chevilles et l’ôta complètement.

Puis avec sa main, elle fit ouvrir en grand les cuisses de Caroline. Son sexe palpitant était béant, un petit filet de mouille perlait le long de ses lèvres.

Caroline était dans un état d’excitation extrême. Elle s’imaginait le spectacle qu’elle offrait à son public imaginaire. Une jeune femme, les jambes écartées, recevant une fessée déculottée et chacun pouvant se délecter de la vue de son sexe et de son anus. Quelle honte délicieuse, les claques qui suivirent furent plus douces, presque caressantes. Caroline, ainsi offerte, au summum de son plaisir sentit venir un formidable orgasme du plus profond de son être. Ses gémissements devinrent rauques, et quand il explosa, elle s’évanouit presque.



Elle resta dans cette position de longues minutes, le temps de revenir à la réalité. Joséphine, de son côté, était brûlante de désir. Elle trouva cependant la force de rester maîtresse de ses émotions. Elle avait réussi à faire jouir une femme avec une fessée déculottée. Elle laissa Caroline profiter de son extase, en lui massant tendrement les fesses. Puis elle l’aida a se relever.

— Est-ce que toutes les visites se terminent comme ça?

Caroline avait un petit sourire en coin

- Non ma chérie, c’est la première fois

- J’ai donc eu de la chance.

- Viens, nous allons boire un thé.

- Volontiers.

Caroline et Joséphine restèrent un moment à discuter. Elles ne parlèrent pas de ce qu’elles avaient vécu. Elles voulaient le garder intact dans leurs mémoires, puis Caroline rentra chez elle.

Quand se déshabilla pour prendre une douche, elle s’aperçut qu’elle n’avait pas repris sa culotte. Elle était fesses à l’air depuis tout ce temps, elle pouffa de rire.

Après le départ de Caroline, Joséphine fit le tour des pièces du musée pour fermer les portes et éteindre la lumière. Au moment de fermer la porte de la salle de classe elle marqua un temps d’arrêt. Elle se vit assise avec une jeune femme couchée sur ses genoux, la culotte baissée, les jambes outrageusement ouvertes. Son regard fut attiré par une boule de tissu blanc et rouge. C’était la culotte de Caroline. Elle la ramassa et la déplia, elle était encore toute humide de plaisir. Elle porta la culotte à son nez et la huma. Toute son après midi était résumé dans cette carte olfactive. Elle se promit de garder précieusement ce souvenir.

Elles ne s’étaient pas échangé ni mail ni numéro de téléphone. De toute façon, Caroline savait où la retrouver si elle voulait revivre cette expérience.

Cette expérience avait fait découvrir à Caroline sa féminité dans toute sa puissance. Elle avait lâché prise et osé, elle dormit d’un sommeil reposé, heureuse et fière d’elle-même.










mercredi 5 juin 2024

Lucie et Christian 14

 Trois derrières bien fessés



Claire était plus que satisfaite de sa journée, elle avait maintenant cinq fessiers à sa disposition. C’était plus qu’il ne lui en fallait pour assouvir sa passion pour la fessée. Elle était sûre d’avoir chaque jour au moins une ou deux paires de fesses à rougir.

De toute façon, avec le programme qu’elle avait concocté pour les trois comptables, elle avait de l’ouvrage pour un moment. Elle songea à Alice et Lucie, elles aussi devaient être corrigées régulièrement, il allait y avoir embouteillage de fesses rouges dans son bureau, il fallait qu’elle s’organise.

Midi approchait, les trois comptables allaient se présenter dans son bureau pour y recevoir la fessée déculottée qu’elle leur avait promise. En passant devant celui des deux commerciales elle sourit en pensant qu’elles étaient assises cul nu directement sur leur chaise et au plug qui garnissait le joli derrière de Lucie. Elle entra dans le bureau, elle venait d’avoir une idée.

Lucie et Alice sursautèrent en voyant entrer leur cheffe de service, celle-ci leur adressa un grand sourire :

— Alors mes petites chéries, vos jolies fesses vont bien ?

Les deux secrétaires se regardèrent, elles étaient bonnes pour une nouvelle mise à l’air de leur derrière, sans un mot elles se levèrent. Claire se mit à rire :

— C’est parfait, vous êtes de plus en plus obéissante, allez pleine lune et vite !

Les deux secrétaires s’étaient tournées et penchées vers l’avant, elles relevèrent en même temps leurs jupes, le fessier d’Alice était redevenu blanc, par contre celui de Lucie était encore bien coloré et on distinguait parfaitement le plug rose au milieu de la raie fessière. Claire s’approcha et tapota les deux jolies croupes :

— Vous viendrez récupérer vos culottes à 15h45, Lucie je t’enlèverai le plug à ce moment-là, ça va te faire le plus grand bien de le garder tout l’après-midi. J’aurai une mission à vous confier avant de partir. Vos fesses sont en parfait état, soyez sage si vous ne voulez pas qu’elles rougissent à nouveau. Allez au travail !!

Elle avait ponctué sa phrase par une bonne claque sur chacun des derrières tendus devant elle.

En arrivant devant son bureau, elle aperçut les trois comptables qui attendaient tête basse, elle les regarda en souriant :

— Prêtes pour la bonne fessée déculottée ? Retroussez vos jupes !

Elles la regardèrent affolées, elles étaient encore dans le couloir et leur cheffe de service voulait apparemment qu’elles exposent leurs fesses maintenant. Celle-ci se mit à rire devant leur mine inquiète :

— Oui mes petites chéries, vous avez bien entendu, je veux voir vos fesses ici. À partir de maintenant quand je vous convoquerai pour recevoir une fessée, vous devrez retrousser votre jupe avant de rentrer, si je suis occupée vous devrez patienter en culotte ou cul nu. Si quelqu’un passe, il saura que vous êtes punie. Allez exécution !!

Rapidement trois croupes encore rosées apparurent dans le couloir, Claire était satisfaite de son nouveau pouvoir, elle décida d’en abuser. Les trois comptables tenaient leurs jupes retroussées, leurs joues étaient plus rouges que leurs fesses, elle les regarda en souriant :

— Mettez-vous le nez contre le mur, j’ai un coup de téléphone à donner, je suis à vous dans un instant. Ne vous avisez pas de bouger ou de cacher vos derrières.



Ébahies et désespérées les trois dames s’exécutèrent, il n’y avait pas un bruit, elle pouvait espérer que cet instant de pénitence les fesses à l’air reste secret. Hélas une porte s’ouvrit et Alice apparu, elle poussa un petit « Oh » et s’approcha. Les trois fessiers s’étaient contractés mais aucune des punies n’avaient osé baisser sa jupe. Alice s’approcha :

— Comme c’est mignon, quelle belle brochette de cul nu ! On attend sa fessée à ce que je vois ?

Elle retourna vers son bureau pour appeler Lucie et bientôt les trois comptables eurent droit à deux spectatrices. Celle-ci s’éclipsèrent dès qu’elles entendirent Claire arriver, la cheffe de bureau esquissa un sourire, elle avait aperçu les deux secrétaires :

— Allez les chipies dans mon bureau, je vais m’occuper de vos derrières !!

Quelques instants plus tard le bruit caractéristique des claques sur la peau nue d’un derrière retentissait dans le bureau accompagné des cris et des pleurs de Clotilde, c’était la cheffe comptable qui inaugurait la séance de panpan cucul. Ses deux collègues avaient eu la permission de regarder leur supérieur subir ce châtiment enfantin. 



Elle se comportait comme une gamine sur les genoux de son institutrice, ses pieds battaient l’air au rythme de la fessée, sa croupe était à nouveau écarlate. Ses cris redoublèrent quand Claire prit la règle plate pour terminer la correction. Avant de la faire relever, la sévère maîtresse coinça l’ourlet de la jupe dans la ceinture :

— Voilà une belle paire de fesses cuite à point, mets tes mains sur la tête, tu vas pouvoir regarder la fessée de tes acolytes.

Les deux comptables tenaient toujours leur jupe retroussée, elles avaient été terrorisées de voir Clotilde gigoter, crier et pleurer comme une gamine sur les genoux de Claire, bientôt ça allait être leur tour.

Laetitia fut la suivante, elle se comporta comme toutes les punies du monde recevant la fessée cul nu. L’âge n’avait pas d’importance, une fois allongée sur les genoux de sa maîtresse et que la main claquait les rotondités dénudées toutes sans exception se mettaient à gémir puis à pleurer, les fesses s’ouvraient largement, les jambes battaient l’air et elles promettaient toutes d’être sage, de ne plus recommencer.

Émilie regardait sa collègue se débattre sur les genoux de Claire, ses yeux étaient baignés de larmes, la correction ne semblait pas vouloir s’arrêter, les fesses étaient rouge carmin et maintenant la règle plate cinglait les superbes fesses de Laetitia qui n’était plus qu’une petite fille en pleurs sur les genoux d’une maman sévère. Bientôt ce fut son tour d’exposer à ses deux collègues son petit fessier bien rond, Claire était contente, ce fessier juvénile était agréable à palper, elle décida d’humilier un peu plus la jeune comptable :

— Écarte tes cuisses ma jolie, qu’on puisse voir tes trésors.

Émilie se mit à pleurer :

— Oh non madame, pardon j’ai trop honte, aïe, aïe…

La main de Claire venait de claquer l’arrière des cuisses, juste sous les fesses :

— Dépêche-toi d’obéir, j’espère bien que tu as honte, c’est fait pour ça. À ton âge recevoir la fessée déculottée, tu vas t’en souvenir longtemps je te le garantis, tu n’as pas fini de me montrer ton petit derrière ? Allez écarte tes cuisses, voilà, c’est bien.

En pleurant, Émilie avait obéi aux ordres de la perverse cheffe de service, celle-ci ouvrit un peu plus les fesses pour mettre à jour la raie fessière et le petit trou de la jeune femme qui éclata en sanglot.

— Voilà ! Regardez bien les deux chipies, mademoiselle nous montre ce qu’une dame veut cacher en général, bientôt ce sera votre tour de l’exposer aussi. Ça fera partie de votre punition, la prochaine fois, vous réfléchirez avant de faire des bêtises.

Elle tenait toujours les fesses largement écartées, Émilie pleurait à chaudes larmes mais ne cherchait pas à se dérober. Il était temps de passer à la correction, la plus jeune des trois comptables reçu la plus sévère des trois corrections, ses deux globes fessiers ressemblaient vraiment à deux tomates trop mûres quand elle put se relever. Claire les regarda en souriant :

— Maintenant que vos derrières sont bien chauds, vous allez les faire refroidir au coin, mains sur la tête et nez contre le mur. Je ne veux plus vous entendre, vous en avez pour trois quarts d’heure ça va vous permettre de réfléchir.



Cette pause déjeuner cuisante allait se reproduire pendant toute la semaine, Claire avait mal à la main, son idée devait se concrétiser.

A 15h45 Lucie et Alice se présentèrent à son bureau, comme à son habitude, avant de leurs rendre leurs culottes, Claire les courba sous son bras et leur administra une rapide mais cuisante fessée. Puis une fois reculottée elle les fit s’asseoir :

— Je vais avoir besoin de vous, les trois chipies de la comptabilité ont fait une grosse bêtise et je dois les punir régulièrement. À midi je leur ai administré une bonne fessée déculottée à chacune mais c’est un peu long. Je leur en ai promis une ce soir avant de récupérer leurs culottes.

Alice et Lucie jetèrent un œil aux trois sous-vêtements suspendu au mur, elles esquissèrent un sourire. Claire continua :

— Je vais m’occuper de rougir le derrière de Clotilde et je vais vous envoyer Laetitia et Émilie pour que vous les corrigiez.

Lucie et Alice rayonnaient, voilà qui les consolaient des nombreuses corrections reçues depuis quelque temps.

— Je contrôlerai l’état de leurs fesses, appliquez-vous, si elles ne sont pas assez rouges c’est les vôtres qui vont vous brûler.

Alice et Lucie échangèrent un sourire complice, Claire pouvait être rassurée, les deux chipies n’auraient pas froid aux fesses pour rentrer chez elles.

À 16 h précise, les trois comptables se présentèrent devant le bureau, ne voulant pas s’attirer les foudres de leur cheffe de service, elles retroussèrent leurs jupes dans le couloir avant de frapper. Claire prit son temps avant de répondre, une petite exposition fesses à l’air faisait partie de la punition.

Dès qu’elles furent devant elle, Claire leur expliqua la suite du programme :

— Je n’ai pas le temps de vous administrer la fessée prévue, Clotilde tu vas rester là, je vais m’occuper de ton derrière, quant à vous, vous allez voir Alice et Lucie, c’est elles qui vont se charger de vous corriger.

Les deux jeunes femmes restèrent bouches bée, le ciel venait de leur tomber sur la tête. C’était humiliant de recevoir une fessée déculottée par leur cheffe de service, mais elle commençait à s’y habituer, par contre se faire punir de cette façon par les deux secrétaires c’était sans commune mesure. Claire s’amusait de leur désarroi :

— Eh oui mes petites chéries, c’est la suite de votre apprentissage de l’humilité. Il n’y a pas d’âge pour recevoir une bonne fessée déculottée et il va falloir vous y faire. Vous montrerez vos fesses à beaucoup de monde. Allez filer vite, sinon je leur dis de doubler la punition !

Les deux comptables sortirent du bureau, elles se dirigèrent vers le secrétariat où Lucie et Alice les attendaient de pied ferme. Elles entrèrent dans le bureau un peu gênées, ce fut Alice qui moqueuse les accueillit :

— Eh bien qu’est-ce qui vous amène ? Vous n’êtes pas allé récupérer vos culottes chez madame Dugou ?

Rougissantes, les deux jeunes femmes baissèrent la tête, c’est Lucie qui prit le relais :

— Que peut-on faire pour vous ?

C’était un peu trop pour Émilie qui se mit à pleurer. Lucie la regarda en souriant :

— Tu pleures trop tôt ma chérie, on ne s’est pas encore occupée de ton petit cul.



Alice commençait à s’impatienter, elle avait très souvent reçu la fessée mais jamais elle n’en avait administré une, ça lui tardait trop :

— Bon, vous allez nous dire ce qui vous amène et vite, sinon ça va barder !

Ce fut Laetitia qui se lança, elle parlait vite en regardant ses pieds :

— Euh… Voilà… Euh madame Dugou a dit que vous deviez nous punir…

Elle s’arrêta, demander sa fessée, c’était quand même compliqué à 40 ans.

Lucie ne l’entendait pas de cette oreille, elle avait l’habitude d’imposer des petites humiliations à Christine et à ces autres soumises, elle jeta un regard inquisiteur à Laetitia :

— Tiens, tiens, vous punir ? Et comment doit-on s’y prendre ? Tu vas m’expliquer ça un peu mieux ma chérie.

Émilie pleurait toujours, Alice s’approcha d’elle et lui tapota les fesses :

— Garde tes larmes ma chérie.

Lucie s’occupait toujours de Laetitia :

— Il va falloir que tu sois plus précise ma petite, sinon je vais être obligée d’aller demander à madame Dugou, je ne sais pas si elle va trop apprécier.

Laetitia s’affola :

— Non, non s’il vous plaît… Euh madame Dugou veut que vous nous donniez une fessée…

Elle avait dit ça très vite, comme si ces mots lui brûlaient la langue. Les deux secrétaires éclatèrent de rire :

— Voyez-vous ça, la fessée ? Et comment dois-je te la donner cette fessée ?

Lucie ne voulait pas lâcher Laetitia, de plus en plus rouge, celle-ci se mit à bégayer :

— Euh… euh… je ne sais pas… que voulez-vous dire…

La secrétaire s’approcha et lui tapota la croupe par-dessus la jupe :

— Quand madame Dugou t’a corrigée, c’était sur la jupe ou sur la culotte ?

— Euh… Non…

— Et bien tu vas me le dire !

La main de Lucie avait claqué sèchement la jupe. Laetitia, les larmes aux yeux compris enfin ce que voulait la secrétaire :

— Euh, madame Dugou veut que vous nous donniez une… aïe…

La main de Lucie avait claqué la cuisse.

— Euh… aïe, aïe… une fessée déculottée…

Lucie souriait toujours :

— C’était un peu laborieux, alors comme ça, vous êtes venue vous prendre une fessée cul nu. Ça va être un plaisir mes chéries.

Elle regarda Alice :

— Tu préfères laquelle ?

La secrétaire regarda alternativement les deux jeunes femmes s’attardant sur leurs fessiers. Laetitia avait une magnifique croupe, un derrière fessable comme disait sa tante qui était une grande amatrice de fessier féminin. Le petit derrière d’Émilie était également très agréable à contempler, bien rond et musclé. Elle s’approcha et posa sa main sur la large croupe de Laetitia :

— Si tu n’y vois pas d’inconvénient, je préférerais m’occuper des bonnes grosses fesses de Laetitia.

Lucie se mit à rire :

— Je te comprends, pour commencer une carrière de fesseuse, rien de mieux qu’un bon gros derrière bien joufflu.

Elle s’était également approchée des deux comptables apeurées, elle saisit l’oreille de la jeune Émilie :

— Viens un peu ici ma chérie tu vas voir comment tatie Lucie va bien s’occuper de ton joli petit cul.

Toujours tenant l’oreille de la jeune comptable, elle tira sa chaise de bureau pour l’amener au centre de la pièce, puis elle s’y assit et fit basculer Émilie en travers de ses cuisses :

— En position pour la fessée ma petite !

Alice n’était pas en reste, elle avait disposé sa chaise en face de celle de sa collègue et Laetitia se retrouva dans la même position. Elle avait une grande habitude de la fessée, mais normalement c’était elle qui présentait son derrière, elle connaissait cependant les positions les plus confortables pour la fesseuse et les plus humiliantes pour une adulte recevant ce châtiment enfantin. Elle fit donc basculer vers l’avant cette pimbêche de Laetitia, ses pieds quittèrent le sol et son fessier pointa bien haut en direction de sa nouvelle tatie. Elle aussi elle avait décidé de prendre très au sérieux ce nouveau rôle :

— Alors vilaine fille, tu feras encore des bêtises ?

— Aïe, aïe… non, non Alice… Aïe, aïe…

La main de la secrétaire venait de claquer sèchement la croupe largement étalée :

— Qu’est-ce que c’est que ces manières !! D’abord tu réponds quand je te pose une question et tu m’appelles tatie Alice, c’est bien compris !! Alors tu recommenceras tes bêtises ?

Pendant toute cette tirade, la main n’avait cessé d’aller et venir sur le fessier de la pauvre Laetitia qui pleurait déjà.

— Non, non tatie Alice. Aïe, aïe, aïe… Non, promis, ça brûle.

Lucie regardait sa copine en souriant, elle tapotait distraitement sur le derrière d’Émilie qui serrait les fesses, effrayée par la suite des événements qui s’annonçait cuisante. Alice se mit à rire :

— Bien sûr que ça brûle, c’est fait pour ça ma chérie, mais attends un peu pour pleurer, je n’ai pas encore commencé ta correction.

Elle regarda sa collègue :

— On y va ?

Lucie leva la main, enfin elle allait pouvoir satisfaire ses pulsions fessophiles sur un nouveau derrière et celui d’Émilie était particulièrement appétissant. Les deux petites fesses rondes et musclées étaient serrées par l’appréhension, la jeune femme poussa un cri quand la main de Lucie claqua à toute volée sa fesse droite celle-ci sembla sauter sur les genoux de sa fesseuse, immédiatement la fesse gauche reçut son dû, une magistrale claque sur la partie la plus charnue du fessier. Rapidement la croupe repris la jolie couleur rouge qui ne l’avait quasiment pas quitté depuis le milieu de la matinée, Émilie criait et pleurait en même temps.

De son côté Alice n’était pas restée inactive et les larges fesses de Laetitia bondissaient sous la vigoureuse fessée, elles rougissaient plus vite que celle d’Émilie. La jeune maîtresse se régalait à claquer ce plantureux derrière, Laetitia battait des jambes et ouvrait largement ses cuisses dévoilant son intimité. Alice se rendait compte du spectacle qu’elle offrait à sa tante et à Claire quand elle la corrigeait, c’était assez indécent, elle en fut confuse.



Maintenant les deux paires de fesses étaient écarlates et les deux comptables pleuraient comme des gamines punies par leur maman. Alice et Lucie continuaient cependant, elles s’encourageaient mutuellement du regard, même l’arrière des cuisses était rouge à présent. Mais toutes les bonnes choses ont une fin, elles cessèrent la punition mais gardèrent un moment les punies affalées en travers de leurs cuisses.

Une fois relevées, elles leur coincèrent la jupe dans la ceinture. Lucie menait la danse, elle claqua les fesses rougeoyantes des deux jeunes femmes :

— Vous restez fesses à l’air et vous allez les montrer à madame Dugou.

Penaudes, les larmes coulant sur leurs joues, elles étaient résignées à devoir traverser le couloir cul nu, elles se présentèrent devant le bureau de la cheffe de service.

Des pleurs mêlés aux claquements de la main de madame Dugou sur la peau nue leur indiquèrent que la punition de Clotilde n’était pas terminée. Les cris déchirants de la responsable de la comptabilité compensaient un peu le feu qui envahissait leurs derrières, finalement elles ne regrettaient pas d’avoir été fessées par les deux secrétaires, la cheffe de service semblait beaucoup plus sévère.

Quand le bruit de la fessée cessa, elles tapèrent timidement à la porte, Claire les invita à entrer. Clotilde était toujours couchée sur ses genoux, elle sanglotait, sa large croupe était rouge carmin, la rougeur descendait même sur l’arrière des cuisses. La sévère maîtresse caressait en souriant le fessier brûlant, elle regarda les deux jeunes femmes :

— Alors mesdames, vous avez été bien fessée ? On va vérifier ça, tournez-vous.

Sans un mot elles se tournèrent présentant leurs croupes écarlates, Claire souriait satisfaite de leur obéissance :

— Approchez et penchez-vous, je veux voir si elles ont bien travaillé.

Les deux comptables s’approchèrent tendant leurs fesses, Claire avait gardé Clotilde en position disciplinaire pour ajouter à sa confusion. Elle se pencha vers l’avant pour palper les deux derrières :

— C’est parfait, j’espère que ça vous brûle. Allez vous mettre au coin pendant que j’en termine avec Clotilde.

En entendant ces mots, la cheffe comptable contracta ses fesses, elle pensait que sa punition était terminée. Claire écarta les deux grosses fesses brûlantes pour mettre à jour l’anus de sa punie :

— Écarte-moi tes fesses mieux que ça ma chérie. Voilà c’est bien.

Clotilde gémissait de honte, obligée d’exposer son intimité à sa perverse maîtresse, le doigt de Claire força l’anus contracté :

— Détends-toi ma chérie, tu vas voir comme je vais m’occuper de ton petit trou.

La pauvre Clotilde poussa un cri, elle n’avait jamais été déflorée de ce côté-là. Claire se mit à rire :

— Eh bien, tu cries pour pas grand-chose ma chérie, c’est juste un petit thermomètre que je te mets dans les fesses. Tu auras droit à quelque chose de beaucoup plus gros demain.

Elle faisait coulisser le thermomètre entre les grosses fesses. 



Quand il fut bien enfoncé, elle la fit se relever et lui claqua le fessier rubicond :

— File te mettre au coin, le nez contre le mur !

Puis elle appela les deux jeunes femmes :

— Laetitia et Émilie venez ici. Vous pouvez vous reculotter.

Elles ne se le firent pas dire deux fois, elles jetèrent un œil sur leur cheffe qui exposait son gros derrière, le thermomètre qui apparaissait entre les fesses serrées rendait la scène encore plus excitante. Ça les consolait de la fessée reçue. Claire leur annonça le programme du lendemain ce qui eut le don de les calmer :

— Demain matin, dès votre arrivée, vous allez voir Alice et Lucie pour votre fessée matinale. Vous attendrez devant leur bureau jupe retroussée. À midi, comme aujourd’hui, fessée dans mon bureau et au coin fesses à l’air pendant la pause déjeuner, puis fessée de fin de journée comme ce soir. Vous pouvez y aller.

Il ne restait plus que Clotilde au coin, elle décida de l’y laisser un moment. Elle se dirigea vers le bureau des secrétaires, celles-ci attendaient sagement, elle les regarda en souriant :

— Je vous félicite, vous avez correctement corrigé ces deux donzelles. Demain matin, comme d’habitude vous viendrez dans mon bureau recevoir votre fessée déculottée, je vous rappelle que vous en avez encore pour une semaine à être punie et privée de culotte. Laetitia et Émilie arrive à 8h30, elles viendront vous voir et vous les corrigerez comme ce soir, ensuite elles m’amèneront leurs culottes et je vérifierai la couleur de leurs derrières, il doit être bien rouge. Le soir avant de quitter le travail elles auront droit au même traitement. Ah, j’oubliais elles doivent attendre devant votre bureau la jupe retroussée, j’y tiens. Tout le monde doit savoir qu’elles sont là en attente de punition.

Les deux amies se lancèrent un regard complice, elles allaient pouvoir s’amuser avec ces deux péronnelles de la comptabilité. Claire les laissa, il lui fallait finir de s’occuper de Clotilde.

Quand elle rentra dans le bureau, celle-ci n’avait pas bougé, son nez était toujours appuyé contre le mur et ses fesses écarlates se serraient convulsivement sur le thermomètre planté en leur milieu. La sévère maîtresse s’approcha et lui saisit l’oreille :

— Viens un peu ici ma petite.

En fait Clotilde était plus âgée qu’elle, mais la façon dont elle était traitée la rapprochait plus du statut de gamine fessée par une maman sévère que celui d’une dame d’âge mûr. D’ailleurs elle en avait le comportement, elle se mit à gémir et à pleurnicher :

— Aïe, non, s’il vous plaît madame, plus la fessée, promis je serai sage.

Elle en oubliait son âge, être tenue par l’oreille, avoir les fesses nues ne présageait rien de bon. Elle avait raison, sa large croupe attirait les convoitises, Claire voulait encore en profiter, elle la coucha sans ménagement en travers de ses cuisses :

— Oh ça j’en suis sûr que tu vas être sage, en général quand on a la culotte baissée et les fesses bien rouges et bien chaudes on évite de faire des bêtises. Mais je veux être sûr que tu penses à ta sévère maman toute la soirée, tes bonnes grosses fesses ont encore besoin d’être réchauffées.

Elle fit coulisser le thermomètre, ce qui fit gémir encore plus la punie. Ce n’était pas douloureux mais sentir les doigts de Claire écarter ses fesses pour mettre à jour son intimité était une humiliation supplémentaire. 



La main de celle-ci s’égara jusque sur la vulve qui était humide, elle sourit en retirant ses doigts et les plaça sous le nez de Clotilde :

— Tu mouilles ma chérie ? Décidément tu as bien mérité cette dernière fessée, je vais te laisser le thermomètre pendant ta correction, ça t’apprendra.

Elle administra une rapide mais magistrale fessée au large derrière, Clotilde pleura de plus belle et offrit un spectacle très excitant à Claire. Elle lui retira le thermomètre et après l’avoir fait relever elle lui tendit sa culotte :

— Tu vas voir comme on dort bien avec une paire de fesses bien chaudes. Je t’attends à 8h30 pour ta première fessée. Allez file !

Elle avait claqué le large fessier par-dessus la jupe pour bien lui rappeler sa condition.

Une fois seule, elle songea qu’elle pourrait profiter de la situation, Clotilde vivait seule, elle était divorcée, ça serait une bonne idée que de la faire venir à la maison pour passer un week-end. Elle glissa sa main dans sa culotte et se caressa.






Deux étudiantes 22

Sévère Laetitia  Le lendemain Laurence se présenta chez Odile qui lui fit une bise en lui caressant la croupe : — Coucou ma chérie, tu as ...