samedi 9 mars 2024

Deux étudiantes 5

La punition d'Amélie



Clara était sortie seule, la révolte de Clémence sur l’heure du couvre-feu lui avait valu en plus d’une magistrale fessée déculottée, d’être privée de sortie.

Et elle avait été invitée à passer la soirée chez Odile. Amélie et Chloé après leur escapade sans autorisation au bar étaient privées de sortie pendant un mois.

Odile leur avait préparé le repas et à la grande surprise de la jeune étudiante dès qu’elles eurent fini de débarrasser la table, les deux filles montèrent dans leur chambre pour se mettre en pyjama, il était 19h30 et comme des petites filles punies elles redescendirent au salon dans cette tenue un peu ridicule.

Dès qu’elles furent arrivées, Odile s’adressa à Amélie :

— je pense que tu n’as pas oublié ce que je t’ai promis ma chérie ?

La jeune fille piqua un fard et protesta.

— oh non maman pas ce soir, s’il te plaît ?

Odile fronça les sourcils :

— et pourquoi donc pas ce soir ? tu viens de gagner 10’ supplémentaire ma chérie. Dépêche-toi d’aller chercher le thermomètre si tu ne veux pas que je rajoute 10’.

Clémence ouvrait de grands yeux, pourquoi fallait-il qu’Amélie aille chercher un thermomètre. Celle-ci avait les yeux embués de larmes :

— maman, s’il te plaît…

Odile souriait maintenant devant le désarroi de sa grande fille :

— parfait, 10’ de plus, ça fait déjà trente minutes ma grande. Tu devrais te dépêcher car en plus ma main commence à me démanger.

— non, maman, non, j’y vais tout de suite.

— comment non ? c’est toi qui décides peut-être ? On va rajouter encore 10’

Amélie se mit à pleurer et se dirigea vers la salle de bain. Elle revint rapidement en tenant à la main un thermomètre en verre pour la température rectale. Elle avait les joues très rouges comme ses fesses après une bonne fessée. Elle le tendit à sa mère.

— maman, s’il te plaît ?

— encore “mais” décidément aujourd’hui tu ne comprends pas. Bon et bien on rajoute encore 10', tu n’es plus loin de le garder 1 h dans ton petit trou ma chérie. J’en ai plus qu’assez de tes pleurnicheries, je sais bien que tu as honte de te faire mettre le thermomètre dans tes petites fesses devant Clémence mais outre que ce n’est pas toi qui décides comment tu dois être punie, tu n’avais qu’à pas être désobéissante. Allez en piste ma chérie.

Odile c’était assise sur le canapé et elle tapotait ses genoux. En pleurant, sa grande fille se coucha en travers de ses cuisses, ses belles fesses étaient parfaitement moulées par la culotte du pyjama. Odile les tapota en souriant :

— tu es bien installée ma chérie, tu sais que tu en as pour un moment.

Elle fit glisser Amélie un peu vers l’avant, son buste reposait sur le canapé, ses fesses étaient pointées vers sa mère, Odile glissa ses doigts dans la culotte et la fit descendre lentement, elle franchit la rondeur du fessier joufflu. Elle la laissa à mi-cuisses puis elle leva la main et commença à claquer les fesses si bien présentées, Clémence ne pouvait pas quitter des yeux la magnifique paire de fesses qui gigotait sous l’avalanche de claques, elle était comblée, finalement elle n’était pas mécontente d’avoir été privée de sortie. Soudain la fessée cessa et Odile se tourna vers Chloé.

— ma chérie, va me chercher ma brosse à cheveux dans la salle de bain, les fesses de ta sœur méritent une vraie bonne fessée ce soir.

Amélie se mit à gémir :

— oh non maman, pardon, s’il te plaît pas la brosse.

Odile se mit à rire :

— et pourquoi donc pas la brosse, c’est toi qui décides peut-être ? Tu viens juste de gagner les 10' qu’il manquait pour faire un compte rond. Je te garantis que tes fesses vont être bien rouges pour recevoir monsieur thermomètre.

La fessée repris, la brûlure était intense car la jeune fille pourtant habituée aux sévères fessées maternelles se mit à pleurer, tout en battant des jambes et en ouvrant largement ses fesses. Le fessier était maintenant rubicond, Odile posa la brosse puis elle prit le thermomètre et avec sa main gauche elle écarta largement les deux fesses pour mettre à jour la petite rondelle brune. Amélie pleurait à chaudes larmes maintenant, elle était humiliée comme jamais. Odile était restée inflexible, elle avait une conception très stricte de l’éducation de ses filles. L’embout força doucement le passage, Amélie était vaincue, elle se laissait faire en pleurant doucement.

Clémence était comme hypnotisée par la raie fessière bien écartée et le thermomètre qui disparaissait doucement dans l’intimité de la jeune femme.



Odile s’appliqua à le faire pénétrer très profondément puis elle relâcha les deux fesses bien rouges, c’était un spectacle ravissant et excitant, Chloé se tourna vers Clémence qui avait les joues très rouges, elle lui murmura :

— tu mouilles ta petite culotte je parie.

La jeune femme ne répondit pas, mais un petit sourire apparu sur ses lèvres. Odile avait vu le manège de la plus jeune de ses filles :

— ne fait pas trop la maligne ma petite Chloé, la semaine n’est pas finie et monsieur thermomètre pourrait peut-être visiter ton petit trou bientôt.

Chloé rougit violemment et baissa la tête, décidément sa mère ne laissait rien passer. Odile regarda Clémence, elle sentait qu’il fallait lui donner quelques explications :

— je vois que tu es un peu surprise ma petite Clémence, sache que quand l’une de mes deux chipies à fait beaucoup de bêtises dans la semaine et que j’ai été obligée de la déculotter trop souvent, elle a droit à ce petit supplément de punition. Je sais que c’est très désagréable et humiliant quand on est grande de se faire mettre un thermomètre dans les fesses et c’est bien pour ça que je le fais, ça les ramène à un peu plus d’humilité.

Elle regardait fixement Clémence, celle-ci se mit à rougir également. Est-ce que leur nouvelle maman comptait leur appliquer le même traitement. Elle eut rapidement la réponse car Odile continuait à parler tout en faisant coulisser le thermomètre dans les fesses de sa fille.

— Amélie a déjà reçu 4 fessées déculottées depuis le début de la semaine, c’est beaucoup trop…

Elle ajouta en souriant :

— ma petite Chloé en est à trois déculottages, elle n’est pas loin de la pénitence avec le thermomètre. Et toi ma petite Clémence ?

La jeune femme ne savait pas où se mettre, elle venait de compter mentalement, elle aussi, elle avait dû présenter trois fois ses fesses nues à Odile et celle-ci le savait parfaitement.

Elle fut soulagée quand Odile changea de conversation :

— bon si nous regardions un peu la télé pendant que notre petite Amélie réfléchi à ses bêtises.

Elle tapota les fesses rouges de sa fille et prit la télécommande. La soirée fut assez surréaliste les deux jeunes sur un canapé qui regardait une série et Odile avec Amélie couchée fesses à l’air sur ses genoux qui pleurait en silence.

Au bout d’une demi-heure, Odile leva la main et administra une courte mais cuisante fessée au derrière de sa fille. Elle expliqua en souriant que la punition au thermomètre exigeait des fesses bien rouges.

La fin de la série correspondait juste avec la fin de la punition d’Amélie. Odile écarta les fesses et délicatement retira le thermomètre. Elle le posa sur la table prit la brosse à cheveux et administra une vingtaine de claques sur les fesses encore très rouges. Amélie hurla, tapa des pieds et écarta à nouveau largement ses fesses au grand plaisir de Clémence. Quand la fessée fut finie, Odile caressa doucement les fesses brûlantes :

— voilà ma chérie, ta punition est terminée, j’espère que ça va te servir de leçon et que nous allons passer une bonne semaine. Mais rassure-toi si c’est nécessaire tu reviendras sur mes genoux pour me montrer tes fesses. En attendant tu files au lit et tu éteins la lumière immédiatement, je ne veux rien entendre.

Elle regarda Chloé.

— toi aussi tu files au lit et tu éteins la lumière également. Allez exécution !!

Amélie s’était relevée, elle essaya d’éviter le regard de Clémence et commença à remonter sa culotte de pyjama, Odile lui dit en riant :

— non, non tu ne caches pas tes jolies petites fesses rouges. Tu ne remettras ta culotte en place que dans ta chambre, je te rappelle que tu dois dormir sur le dos et ne pas frotter tes fesses. Allez maintenant file !!



Clémence était ravie de voir les belles fesses bien rouges d’Amélie se dandiner au rythme de la marche.

Les deux filles ayant rejoint leurs chambres, Odile se tourna vers Clémence :

— bon, je vais te raccompagner, comme ça je vérifierai si Clara est bien rentrée, il est 21h10, normalement elle doit être là, sinon gare à ses fesses.

Elle avait dit ça en souriant mais le geste de sa main était très explicite. Elles étaient sur le palier quand Clara arriva tout essoufflée, elle marqua un temps d’arrêt en voyant Odile qui fronçait les sourcils.

— je, je… j’ai raté le bus…pardon madame.

Odile n’avait pas dit un mot, elle avait déjà saisi Clara par l’oreille et lui administrait deux fortes claques par-dessus sa jupe :

— tu te moques de moi !! Tu mériterais que je te déculotte ici-même pour te flanquer la fessée que tu mérites. Je suis gentille je vais faire ça dans ton salon, mais rassure-toi tes petites fesses vont la sentir passer.

Elle tenait toujours Clara par l’oreille, elle lui claqua à nouveau les fesses pour la faire avancer. Clémence la précédait, elle ouvrit la porte de l’appartement. Elle était désolée pour son amie mais pas mécontente non plus d’assister à une nouvelle fessée qui serait précédée d’un déculottage, ce moment qu’elle appréciait tellement dans la fessée.

Elles étaient maintenant dans le salon, Odile prit une chaise tout en continuant de tirer l’oreille de la jeune femme. Il faisait beau, Clara portait une jupe courte en lin et un tee-shirt, rapidement elle se retrouva dans cette position qu’elle détestait le plus, la tête près du sol, les pieds décollés et les fesses pointant vers le ciel. La jupe ne resta pas longtemps en place, la position disciplinaire l’avait déjà fait remonter légèrement découvrant la sage petite culotte blanche, Odile la retroussa haut sur les reins, puis d’un geste sec elle déculotta Clara qui poussa un petit cri. 



Elle avait l’habitude des fessées de sa mère et quand celle-ci déculottait immédiatement sans prendre le temps d’un échauffement sur la culotte, ça présageait d’une magistrale fessée. Effectivement la fessée déculottée fut au delà de ses espérances, Odile était vraiment en colère, Clara avait désobéi malgré les avertissements et les corrections qu’elle lui avait administrées depuis une semaine, cette petite chipie allait le regretter. Elle leva les yeux vers Clémence :

— va me chercher une brosse à cheveux, il doit bien y en avoir une dans la salle de bain.

Clémence acquiesça, sa copine allait vraiment dérouiller, ses fesses étaient déjà écarlates avec la fessée à la main. La seule brosse qu’elle trouva malheureusement pour le derrière de Clara était celle que la mère de celle-ci avait laissé pour l’avoir à disposition quand elle reviendrait. C’était une brosse large et lourde en bois foncé. Clémence la soupesa et eu des frissons rien que de penser qu’un jour ce redoutable instrument claquerait ses propres fesses. En attendant c’était celle de Clara qui allait brûler, au milieu de ses pleurs, la jeune étudiante vit son amie revenir avec la brosse, elle la reconnut immédiatement.

— non, non madame, s’il vous plaît pas la brosse, je…je suis désolée…c’est vrai que j’ai manqué mon bus… Aïe, Aïe, Noon.

La brosse venait de claquer fortement ses fesses déjà endolories, Odile s’appliquait à claquer toute la surface du derrière de la jeune étudiante, elle alternait la fesse droite puis la gauche, le centre du fessier puis la base et enfin la zone si sensible sur le pli qui séparait la croupe des cuisses. Clara pleurait maintenant, la danse de ses fesses était impressionnante. Odile cessa un instant la punition.

— ma petite Clara, ce n’est pas la peine d’être désolée, je sais que la brosse ça brûle beaucoup tes petites fesses mais c’est fait pour ça. Tu devais être rentrée à 21 h, tu n’avais qu’a prendre tes précautions pour ne pas manquer le bus. Je pense que quand j’en aurai fini avec ton petit derrière tu vas t’en souvenir pour la prochaine fois.

Puis elle se tourna vers Clémence :

— ma petite chérie, prend ton téléphone et fait quelques photos de cette chipie en train de recevoir sa fessée, je vais les envoyer à sa maman. Je pense qu’elle va beaucoup apprécier le comportement de sa petite fille, n’est-ce pas Clara ?

Clara bien sûr ne répondit pas, elle pleurait comme une gamine punie sur les genoux de sa nouvelle maman. Elle savait que sa mère ne laisserait pas passer ça, elle pouvait s’attendre à passer un week-end avec les fesses bien rouges à sa prochaine visite. Mais pour le moment c’était la cuisson intolérable qui lui embrasait le derrière qui était sa priorité.

Odile avait repris la fessée, elle détestait la désobéissance et la punition serait exemplaire. Le fessier de la pauvre Clara était maintenant rouge brique, la sévère maman eut un petit sourire “toi ma jolie, tu vas avoir du mal à t’asseoir demain”. Elle administra encre une vingtaine de coups de brosse puis elle la reposa sur la table. Elle posa sa main sur les fesses de la jeune étudiante pour en apprécier la chaleur, c’était vraiment brûlant, elle était satisfaite de son travail :

— voilà ce que j’appelle une bonne fessée déculottée ma petite chérie. Vas-tu encore désobéir ?

Clara sanglotait doucement, ses fesses se serraient et s’ouvraient pour essayer d’atténuer la brûlure. Une nouvelle claque retentit dans la pièce.

— Aïe, Aïe…

— Je t’ai posé une question !! tu veux encore la fessée ?

— non, non madame… Aïe, Aïe, Aïe…

La main d’Odile claquait imperturbablement le fessier incandescent :

— non, quoi ? tant que tu ne m’auras pas répondu correctement je vais continuer la fessée, c’est toi qui choisit.

— oui, madame, non je ne désobéirai plus promis, Aïe, Aïe, plus la fessée s’il vous plaît.

Odile eut un petit sourire satisfait, cette petite était matée, et en plus elle avait vraiment une ravissante paire de fesses. Si la sévère maman fessait toujours à bon escient, il n’y avait aucun doute qu’elle aimait jouer le rôle de mère fouettarde, trousser et déculotter des jolis derrières lui plaisait énormément. Elle en avait maintenant quatre à sa disposition et ces deux jeunes étudiantes avait des fesses à fessées.

Elle cessa de caresser les fesses brûlantes de Clara et la fit se relever :

— bien maintenant en pyjama et au lit ! toi aussi Clémence, ça te fera le plus grand bien. Vous me donnez vos téléphones, quand je dis au lit, c’est lumière éteinte et dodo. C’est bien compris. A j’oubliais, vous êtes privée de sortie pendant un mois, Clémence tu peux remercier ta copine.

La culotte de Clara était enroulée autour de ses chevilles, Odile la regarda en souriant.

— enlève-moi complètement ta culotte et donne-moi là, tu n’en as plus besoin.

Clara fit ce qu’on lui demandait, elle était un peu gênée de devoir donner sa culotte à Odile mais la brûlure qui envahissait son fessier l’empêchait de protester. Elle tendit sa petite culotte en coton à sa nouvelle maman. Celle-ci sans aucune gêne la retourna pour en examiner le fond. Elle fit une petite moue.

— ce n’est pas très net ça ma petite Clara, nous en discuterons demain.

Clara avait tellement mal aux fesses qu’elle ne releva pas cette petite phrase mais Clémence en eu le sang glacé. Après la menace à peine voilée de prise de température rectal voilà que Odile avait l’intention de vérifier leur hygiène intime. La confirmation arriva quelques minutes plus tard quand Odile rentra dans sa chambre au moment où elle se déshabillait.

— montre-moi ta culotte ma petite Clémence, je pense que tu dois être comme ta copine.

Clémence rougit violemment, depuis qu’elle avait douze ans jamais personne n’avait osé lui parler comme ça, mais le souvenir très récent des deux fessées auxquelles elle venait d’assister, l’incita à la prudence. Elle se déculotta et rouge de honte tendit sa petite culotte à Odile. Elle savait qu’elle devait garder les traces de ses émois intimes pendant qu’elle assistait aux punitions d’Amélie et de Clara.

Odile avait retourné complètement la culotte pour en examiner le fond, la moue fut encore plus explicite que pour celle de Clara. Elle posa la culotte sur le lit s’y assit et fit un signe à Clémence.

— viens un peu ici !!

Clémence était pétrifiée mais comme un automate elle s’approcha des genoux d’Odile, en un clin d’œil celle-ci la bascula en travers de ses cuisses comme si elle allait lui administrer une fessée, c’est d’ailleurs ce que pensait Clémence, car elle se mit à protester :

— non, non, s’il vous plaît madame pas la fessée, je n’ai rien fait.

Odile se mit à rire :

— mais qui t’a dit que j’allais te donner la fessée, ce n’est pas mon intention, enfin pas tout de suite. Je vais juste vérifier quelque chose.

Elle avait pris un kleenex et elle écarta les fesses de la jeune étudiante puis elle passa soigneusement le mouchoir le long de la raie fessière puis descendit jusqu’à la vulve en la forçant à écarter ses cuisses. Elle regarda ensuite le mouchoir blanc qui bien sûr en fin de journée ne pouvait pas être nickel. Elle fit une grimace et passa le mouchoir sous le nez de Clémence :

— à ton âge, tu pourrais quand même faire un peu attention à ta toilette intime ma petite. C’est incroyable !!

Elle leva la main et administra une cinquantaine de claques sur les fesses si bien présentées.



— j’aurai une petite conversation avec vous deux dès demain, je n’aime pas les filles négligées.

Elle fit relever Clémence qui avait les joues écarlates de honte. Elle lui désigna la salle de bains :

— file te laver les fesses et applique-toi !

Clémence s’exécuta sans un mot, elle se rendit compte qu’elle venait de recevoir sa quatrième fessée, est-ce-que Odile comptait également. Elle repensa à Amélie et à la punition au thermomètre, ses fesses se serrèrent d’angoisse.

Elle sentait quasiment le thermomètre pénétrer dans son derrière.










1 commentaire:

  1. Magnifique histoire, je pense qu'il y aura des petits jeux coquins entre Amelie et Clémence, mais attention de ne pas ce faire surprendre par Odile, car les fessées déculottées pourraient tomber, pour nôtre plaisir 🍑🔥🍑

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