La vie cuisante du bureau
Lucie était devenue une redoutable fesseuse à la maison mais au bureau elle redevenait tous les matins une gamine qui reçoit encore la fessée déculottée.
C’était devenu désormais une habitude bien ancrée, dès leur arrivée, elle et Alice devait se rendre immédiatement dans le bureau de Claire Dugou qui systématiquement les couchaient sur ses genoux l’une après l’autre et leurs administraient une magistrale fessée après les avoir soigneusement déculottées comme si elles étaient encore des petites filles.
Elles entraient dans le bureau après avoir frappé, Alice qui était habituée depuis l'enfance à recevoir de solides corrections n'était pas particulièrement troublée, elle s'était fait une raison, sa tante la corrigeait pendant les vacances et maintenant au bureau elle était soumise à la stricte discipline de Mme Dugou. Pour Lucie c'était un peu plus difficile, en effet à la maison c'est elle qui portait la culotte si on peut dire et au bureau elle se la faisait baisser. Elle enrageait tous les matins mais impossible d'échapper à l'humiliante séance de déculottage couchée sur les genoux de sa cheffe de service.
Ce matin là elle avait accueilli ses deux subordonnées avec un grand sourire :
- Bonjour mes petites chéries, qui va me montrer ses fesses en premier aujourd'hui ?
Alice et Lucie ne répondirent pas, ce qui eut le don d'agacer Claire Dugou :
- Bon, qui a reçu la fessée en premier hier ?
Elle s'en souvenait parfaitement, mais ça l'amusait de voir la gêne des deux jeunes femmes. Alice répondit doucement :
- C'est moi madame.
Claire regarda Lucie avec un petit sourire gourmand :
- Eh bien aujourd'hui c'est donc toi ma petite Lucie qui va me présenter ton joli petit derrière en premier. Allez en piste !
Dès que la jeune femme fut en position, elle retroussa rapidement la jupe. La petite culotte blanche moulait parfaitement le derrière bien rond de sa subordonnée. Elle tapota la croupe :
- Vous le savez bien pourtant que c'est chacune votre tour. Puisque c’est ça, ma petite chérie, tu as gagné une fessée supplémentaire, la prochaine fois, tu viendras toute seule sur mes genoux pour te faire déculotter. Voyons un peu si ton petit derrière a retrouvé sa blancheur.
Elle glissa ses doigts sous l’élastique de la lingerie et la baissa sous les fesses, même si elle commençait à en avoir l’habitude, Lucie n’arrivait pas à supporter calmement l’humiliation de devoir exposer ses fesses nues, elle les serra instinctivement ce qui fit sourire Claire :
- Madame serre ses fesses, madame a peur pour son derrière... Eh bien tu as raison, tu vas voir la bonne déculottée que je vais te flanquer. En attendant tu écartes un peu mieux tes cuisses tu sais bien que je n'aime pas les culs serrés.
Elle avait claqué sèchement la jolie croupe de Lucie. Celle-ci rouge de honte s'exécuta, elle savait que cette vicieuse allait se délecter de son intimité si bien exposée. Elle sentit les doigts de Claire Dugou s'immiscer entre ses fesses :
- Allez écarte encore un peu, voilà c'est bien, te voilà prête pour le panpan cucul du matin.
Alice souriait en voyant sa copine se faire traiter ainsi. Bien sûr, elle savait que dans quelques instants ce serait son tour mais en attendant elle profitait du spectacle et c'est vrai que Lucie avait vraiment un très joli derrière. Elle trouvait le sien un peu trop gros, ce n’était pas un avantage car ça avait le don d'attirer la main des fesseuses.
La fessée ne tarda pas à retentir dans le bureau, accompagné des gémissements de la punie puis bientôt de ses pleurs. Mme Dugou n'arrêtait pas la fessée avant que la dame couchée sur ses genoux ne soit en larmes.
Dès qu'elle fut debout, Lucie souleva sa jupe qui était retombée, elle devait rester fesses à l'air pendant la punition de sa collègue. Quand Alice se releva à son tour des genoux de la sévère cheffe de service, la couleur de sa croupe n'avait rien à envier à celle de Lucie. Elles durent comme d'habitude se tourner en tenant leurs jupes pour présenter leurs fesses écarlates :
- C'est parfait, je pense qu'avec ces fesses bien rouges vous allez vous mettre au travail rapidement. Vous enlevez vos culottes et vous les suspendez à leur place.
Sans discuter les deux secrétaires enjambèrent leurs sous-vêtement et le suspendirent à la patère où étaient inscrits leur nom.
- Bon maintenant, vous filez vous mettre au travail et que je ne vous entende pas papoter, vos fesses sont prêtes si nécessaire.
Les deux punies ne demandèrent pas leur reste, les jupes étaient retombées masquant leur derrière écarlate, arrivées dans le bureau avant de s’asseoir, elles prirent soin de retrousser leur jupe, Mme Dugou exigeait qu’elle soit cul nu sur leur chaise après la fessée.
Dans le couloir elles avaient croisé Clotilde Berteau la responsable de la comptabilité, celle-ci avait rougi et baissé la tête sans les saluer comme elle en avait l’habitude. Alice donna un coup de coude à sa copine :
- Il y a du panpan cucul dans l’air.
Lucie la regarda, incrédule :
- Tu crois ? Non ce n’est pas possible, la mère Berteau à 50 ans, elle n’a plus l’âge de la fessée déculottée et puis ce n’est pas parce qu’on se fait traiter comme des gamines que ça va être le cas de tout le monde. Arrête de prendre tes désirs pour des réalités.
Alice la regardait le sourire aux lèvres :
- Tu as raison, ce n’est pas sûr mais je crois que notre chère madame Dugou commence à prendre goût à nos déculottages matinaux et je ne serais pas surprise qu’elle désire découvrir de nouvelles paires de fesses. Ne me dit pas le contraire, je sais que toi aussi tu ne peux pas résister.
Lucie l’avait mis dans la confidence et Alice savait que sa copine avait plusieurs derrières à sa disposition. La jeune femme mis son doigt sur la bouche et elle sortit discrètement, elle s’approcha de la porte du bureau de la cheffe de service, ce qu’elle entendit confirma ses soupçons. Quelques instants plus tard elle était assise et racontait à Lucie :
- Je peux te dire qu’à l’heure qu’il est notre bonne Clotilde à la culotte aux chevilles et les fesses bien rouges. La mère Dugou n’y va pas de main morte, ça claque sévère sur son gros derrière et elle couine comme une gamine.
Lucie avait les yeux brillant :
- C’est vrai ? Olala je voudrais être une petite souris pour la voir gigoter sur les genoux de notre chère Claire Dugou. Si j’en juge à ce qu’on voit quand elle est habillée, elle est bien pourvue du côté pile, c’est vrai qu’elle a vraiment une bonne paire de fesses, elle doit se régaler la cheffe.
Elles avaient laissé entrouverte la porte de leur bureau pour surveiller le couloir, Clotilde ne réapparu pas mais madame Dugou vint leur rendre visite, elle était souriante, visiblement l’administration d’une fessée déculottée à la responsable de la comptabilité l’avait mise de bonne humeur :
- Alors mes chéries on a bien travaillé avec ces derrières bien rouges ? Vous allez me montrer vos fesses que je voies si tout va bien.
Les deux secrétaires commençaient à avoir l’habitude de ces petites humiliations, elles se levèrent et se retournèrent en retroussant leur jupe pour présenter leur croupe à Claire.
Celle-ci était encore toute excitée par le spectacle du gros derrière de madame Berteau sautant sous ses claques, elle passa sa main sur les fesses tendues, ses doigts s’immisçant même entre les cuisses :
- C’est parfait, vous pouvez vous rasseoir sans retrousser vos jupes, Lucie tu viendras à 11 heure prendre la fessée supplémentaire que je t’ai promis ce matin. Je suis en réunion vidéo, soyez sage sinon gare à vos fesses.
Dès qu'elle furent seules, Alice eut un petit rire malicieux :
- À mon avis Clotilde expose en ce moment ses fesses bien rouges au coin dans le bureau de madame Dugou, on va surveiller sa sortie.
Un quart d'heure plus tard, la responsable de la comptabilité sortait du bureau, elle baissait la tête et passa rapidement dans le couloir sans regarder les deux amies qui riaient sous cap. Lucie donna un petit coup de coude à Alice :
- Notre chère Clotilde doit avoir chaud aux fesses, tu crois qu'elle a encore sa culotte ?
Alice se mit à rire :
- Je ne crois pas, tu sais bien que madame Dugou aime bien garder nos culottes. De toute façon tu verras bien si elle est suspendue au crochet quand tu vas aller lui montrer tes fesses.
Lucie fit une petite grimace, elle avait oublié que bientôt ce serait à elle de couiner sous les claques de la sévère cheffe de service. Elle regarda la pendule, il lui restait une demi-heure de tranquillité.
À 11 h pile elle frappa au bureau de Claire Dugou, il ne fallait surtout pas être en retard. Dès qu'elle fut dans la pièce son regard se dirigea vers les patères, Alice avait vu juste, un culotte en dentelle noire était suspendue à côté des leurs, au dessus il y avait une étiquette avec le nom de Clotilde Berteau. Claire avait remarqué le regard de Lucie, elle lui adressa un petit sourire :
- Il n'y a pas d'âge pour recevoir une bonne fessée n'est ce pas ma petite Lucie.
Elle prit une règle plate sur son bureau, recula sa chaise et tapota ses cuisses :
- En piste ma petite chérie, tes fesses ont dû refroidir depuis ce matin.
Quelque instants plus tard la sévère maman de Christine et Aurore pleurait comme une gamine sous les claquements de la règle plate. Claire souriait en admirant la magnifique danse des fesses de la jeune femme, les pieds battaient l’air frénétiquement. Madame Dugou ne savait pas donner une petite fessée, la punie se relevait systématiquement de ses genoux avec un derrière cramoisi et brûlant.
- Voilà ce que j’appelle une bonne déculottée, j’espère que la prochaine fois tu viendras gentiment sur mes cuisses sans que j’aie à te le demander.
Lucie sanglotait toujours couchée en travers de ses genoux, elle lui écarta sans vergogne les deux hémisphères écarlates :
- Je pense qu’un petit plug te ferais du bien, tu ne vas plus voir Chloé à ta pause déjeuner, on va remédier à ça.
Elle ouvrit le tiroir de son bureau et en sorti un plug rose de bonne taille, elle m'humidifia en le suçant d'un air gourmand puis titilla l'anus de Lucie avec son doigt :
- Il va falloir détendre ton joli derrière ma jolie.
Elle mit le plug sous les yeux de sa victime :
- Regarde moi ce joli plug qui va garnir ton derrière.
Lucie fit une petite grimace, en effet elle n'avait plus goûté à l'humiliation de la mise en place de cet instrument dans ses fesses depuis un moment. Elle gémit doucement quand le plug pénétra doucement. Claire prenait son temps, c'était particulièrement excitant de voir l'engin disparaître doucement au milieu de la croupe écarlate. Quand la rondelle fut bien calée au fond du sillon fessier, elle relâcha les fesses.
- Voilà ton joli petit cul est bien garni, tu es bien sûr toujours privée de culotte et tu posera bien tes fesses nues sur la chaise, gare à toi si tu désobéi.
Lucie n'en avait nullement l'intention, son derrière brûlant et le plug qui lui garnissait l'anus la rappelait à sa condition de soumise.
Elle regagna son bureau, Alice l'attendait en souriant :
- Alors ma chérie ? Elle est en forme la mère Dugou ?
Lucie avait les yeux rouges, elle savait que son amie ne se moquait pas. Elle-même pouvait subir très rapidement les foudres de leur sévère cheffe de service. Elle fit une grimace :
- Ça tu peux le dire elle ne m'a pas loupée, mais tu avais raison pour Clotilde, sa culotte est suspendue à côté des nôtres.
Alice avait le regard triomphant :
- Qu'est-ce que je t'avais dit ? J'en étais sûre. Tu me montres tes fesses, j'aimerais bien voir le résultat ?
Lucie fit une petite moue, elle était un peu honteuse de devoir montrer ses fesses, pas par pudeur, Alice les voyait très souvent quand Mme Dugou la corrigeait mais aujourd'hui elles étaient garnies d'un plug, c'était plus humiliant. Alice la regarda avec un petit air vicieux :
- Allez, montre... fais pas ta chochotte.
- ...
Lucie se sentit rougir, elle ne répondit pas. Alice s’impatientait :
- Tu veux que je m’arrange pour que la mère Dugou t’en remette une ? Tu sais c’est pas compliqué !
- Tu en serais capable ?
- Bien sûr ma chérie, en plus comme ça je serais sûre de voir tes jolies fesses.
Lucie abdiqua, elle se tourna et retroussa sa jupe.
Alice s’approcha et se pencha pour voir de plus près la croupe de son amie.
- Olala, elle t’a bien soigné dis-moi ! Mais c’est quoi ça ?
Elle avait posé son doigt sur la rondelle rose au centre des fesses.
Lucie serra un peu ses deux hémisphères et chercha à se relever :
- Euh, euh, c’est un plug, c’est un complément de punition.
Alice avait posé sa main sur le dos de son amie pour la forcer à garder sa position :
- Non, non ma petite chérie, tu restes là. C’est trop mignon ce truc. Et puis tu l’as dit c’est une punition donc tu dois le montrer.
Elle tapotait le derrière écarlate de pauvre Lucie, ses joues du haut étaient aussi rouge que celles du bas.
- Dis-donc, ça doit être gênant quand on s’assoit.
Lucie se détendait peu à peu, après tout, Alice risquait bien un jour de goûter à cette nouvelle lubie de leur cheffe de service. Elle se releva et se tourna vers son amie :
- C’est pas très agréable au début, mais on s’y habitue.
Comme Alice faisait des yeux ronds, elle lui raconta ses séjours chez Mme Sylvie et les fessées déculottées que lui administrait Chloé pendant sa pause déjeuner ainsi que les après-midis passé avec un plug dans le derrière.
Sa collègue la fit pivoter et la saisissant par la taille elle la força à nouveau à se pencher courbée sous son bras. Lucie avait poussé un petit cri mais s’était laissée faire. La jupe retroussée bien haut sur ses reins, ses fesses étaient tendues vers Alice, celle-ci les écarta :
- C’est vraiment trop excitant de voir ton petit trou comme ça.
Lucie se dégagea en riant :
- Tu es une coquine ma chérie, rassure-toi tu y goûtera un jour, si ce n’est pas au bureau ce sera chez moi.
Pendant ce temps dans son bureau Claire contemplait les trois culottes suspendues. Comme ça avait été facile de flanquer une fessée déculottée à Clotilde Berteau, elle en était encore tout excitée. Il faut dire que celle-ci lui avait tendu la perche.
A suivre
Alice et Lucie ont de la chance d’avoir Claire comme patronne, pour s’occupées de leurs petites fesses !!
RépondreSupprimerUn désir pour moi d'avoir une patronne comme cela 🍑 🔥 🍑
salut Sylvie, tes histoires attirent toujours l'attention. les concepts sont différents. Je parie que maman Lucie est plus expérimentée que Miss Dugou. À un moment donné, elle pourrait prendre le relais de Miss Dugou par-dessus son genou.
RépondreSupprimerChinmay