lundi 4 mars 2024

Deux étudiantes 4

 Quatre demoiselles fessées



La semaine s’était correctement déroulée, après sa première sévère fessée, Clémence n’avait plus eu à présenter ses fesses à Odile, ce n’avait pas été le cas de Clara qui pour avoir répondu un peu sèchement à une question sur son emploi du temps avait connu l’humiliation de la fessée déculottée. Odile ne lui avait pas laissé le temps de réfléchir, elle avait posé son pied sur un tabouret et avait basculé la jeune femme sur sa cuisse horizontale, les pieds de Clara avaient quitté le sol, elle s’était accrochée au tabouret pour garder son équilibre, l’air frais sur ses cuisses lors du retroussage puis sur ses fesses signe que sa culotte avait cessé de les protéger et enfin la douleur habituelle et si bien connue de la première claque. Odile était une fesseuse expérimentée et redoutable en quelques instants elle faisait passer un fessier du blanc au rouge pourpre et la punie redevenait docile instantanément, se mettant à pleurer et à supplier pour faire cesser la cuisson de ses fesses. Clara bien qu’habituée aux sévères fessées de sa maman avait été surprise par la rapidité de la punition, la position adoptée par Odile était très humiliante, la punie était entièrement à sa merci, ne pouvant que bouger le bas de son corps, les jambes de Clara battaient l’air au rythme des claques, sa culotte était descendue jusqu’aux chevilles et elle offrait à Odile un très joli spectacle pour une amatrice d’anatomie féminine. Clémence était rentrée dans la pièce juste au début de la fessée, attirée par les éclats de voix, elle assistait sidérée à la correction de son amie. Décidément il ne fallait vraiment pas contrarier Odile, elle se jura de se tenir à carreaux, elle n’avait pas envie de se retrouver dans la même position avec les fesses aussi rouges. La fessée finie Odile reposa Clara à terre, celle-ci les yeux rougis, sautillait sur place pour atténuer la cuisson, elle se gardait bien de frotter ses fesses, instruite par sa mère, sa culotte était enroulée autour de ses chevilles et sa jupe retombée cachait sa croupe écarlate.

— Donne-moi ta culotte ! Tu en es privée pour le reste de la soirée, je n’aurai pas à te la baisser si tu es à nouveau impolie.

Clara s’exécuta, elle tendit penaude sa petite culotte blanche à Odile, celle-ci la posa sur la table, elle fit ensuite pivoter la jeune femme, lui retroussa la jupe et la coinça dans la ceinture pour dégager les fesses :

— Tu files au coin et je ne veux plus t’entendre, quant à toi Clémence, tu ferais mieux de te mettre au travail, si tu ne veux pas que je te réchauffe les fesses.



Clémence rougit et sans un mot retourna dans sa chambre pour travailler. Odile quitta l’appartement en laissant Clara en pénitence fesses à l’air, elle savait qu’elle ne broncherait pas, elle avait raison la jeune femme éduquée par les sévères déculottées de sa maman savait qu’il était très risqué pour ses fesses de quitter son coin sans autorisation et même de bouger, quand Odile revint au bout d’une demi-heure, Clara exposait toujours ses magnifiques fesses écarlates, mains sur la tête et le nez collé au mur.

— C’est bien, tu as été sage, j’espère que ça te servira de leçon, viens ici.

Clara tout en gardant ses mains quitta son coin, Odile était satisfaite, son autorité n’était plus mise en question par ces deux péronnelles, elle fit pivoter la jeune femme pour lui examiner les fesses :

— Tes fesses ne sont plus très rouges, la prochaine fois que tu seras impolie, je te garantis que je m’arrangerai pour que tu gardes des fesses bien rouges et bien chaudes toute la soirée, tu peux me cacher ses fesses, mais ne t’avise pas de remettre une culotte. Je pense que ta maman sera contente d’apprendre la façon dont tu m’as parlé, tu peux préparer tes fesses quand elle reviendra !

Clara le savait malheureusement, Laurence serait sans doute très en colère et elle pouvait s’attendre à passer une journée avec les fesses brûlantes à la prochaine visite de sa mère.

Quand Odile quitta l’appartement, Clémence vint rejoindre son amie et la consola, de la même façon que Clara l’avait consolée la dernière fois, elle se retrouva allongée sur les genoux de son amie, celle-ci n’eut pas besoin de lui baisser la culotte et sa main massa doucement les rondeurs encore rouges, la crème pénétra doucement et les doigts experts de la jeune femme s’insinuèrent dans la raie fessière et entre les cuisses. Clara se laissait faire, s’abandonnant à ses plaisirs nouveaux pour elle, finalement la fessée avait du bon.

Le lendemain, Odile avait oublié sa colère de la veille, elle leur fit la bise, les félicita pour l’état de l’appartement et les invita à passer chez elle le soir pour prendre un thé et afin leur dit-elle de mieux faire connaissance avec ses filles.

Quand elles furent dans l’appartement, un spectacle un peu insolite les attendait, Amélie était au coin jupe troussée et culotte baissée exposant une paire de fesses encore blanches et Chloé était assise à la table semblant bien concentrée sur son travail. Odile les accueillis avec le sourire.

— Je suis désolée, je comptais vous faire connaître un peu mieux mes filles, mais ce soir vous allez surtout faire connaissance avec leurs fesses.

Devant la mine surprise de ses deux jeunes voisines elle ajouta :

— Ces deux demoiselles se permettent d’aller dans un bar à la sortie des cours sans mon autorisation et en plus elles m’ont menti. Heureusement qu’une de mes amies les a vues et m’a prévenue. Chloé vient dire bonjour.

La jeune fille se leva en rougissant et vint leur faire la bise.

— Tourne-toi que Clémence et Clara voient ce qui arrive quand on ment à sa maman.

Chloé les yeux embués de larmes, s’exécuta, les deux amies comprirent sa gêne, sa jupe était retroussée par l’arrière et sa culotte était descendue, ses fesses étaient écarlates, on y voyait aussi les traces du paillage de la chaise qui s’était incrusté dans la peau délicate du fessier juvénile. Chloé avait une jolie paire de fesses, Clémence qui était une grande amatrice de croupes féminines appréciait le spectacle. Elle tourna son regard vers Amélie qui attendait dans son coin, elle avait des fesses plus larges que sa sœur moins ferme et d’un joli blanc laiteux, elle ne bougeait pas, se contentant de serrer ses fesses en entendant sa mère parler de leurs frasques. Quand elle était rentrée, Chloé était déjà sur les genoux de sa mère, déculottée et pleurant sous l’avalanche de claques, elle lui avait enjoint de se déculotter et d’aller se mettre au coin en tenant sa jupe retroussée. Odile claqua les fesses de Chloé :

— Allez tu peux retourner te rasseoir et continue tes devoirs.

Puis s’adressant aux deux spectatrices :

— Chloé a évité la mise au coin, car elle a pas mal de devoirs pour demain, mais ce n’est que partie remise, après le repas elle ira y faire un tour au lieu de regarder la télé et si ses fesses ont perdu leurs jolies couleurs, elle aura droit à un petit complément de fessée. Amélie, tu remontes ta culotte et tu viens me voir.

L’aînée des deux filles se présenta devant sa mère, les joues empourprées, elle baissait la tête pour ne pas croiser le regard des deux jeunes femmes assises sur le canapé, celles-ci souriaient discrètement, satisfaite que ce ne soit pas elles qui exposent leurs fesses nues à la main sévère d’Odile. Elle était maintenant debout devant sa mère, les bras le long du corps.

— Tu sais ce qui arrive quand on est désobéissante et menteuse ?

Amélie tenait sa tête baissée et ne répondait pas, une claque sur sa cuisse, l’incita à articuler quelques mots :

— Euh, oui, pardon maman…

— J’attends ! Vite… Dis-moi ce qui va t’arriver.

Une deuxième claque retenti sur la cuisse d’Amélie.

— Aïe… Oui… aïe…

La main d’Odile claquait les cuisses alternativement. Elles commençaient à rougir.

— Aïe… Euh… Une fessée…

— Ah nous y voilà, ça a été un peu long, oui une bonne fessée, mais encore…

— Aie, aie… Pardon, non. Une fessée déculottée…

La main d’Odile ne s’était pas arrêté de claquer les deux cuisses de sa fille jusqu’à ce qu’elle prononce la phrase attendue. Elle prit la main d’Amélie et la tira vers ses genoux :

— puisque tu le sais, on ne va pas te faire attendre, en position mademoiselle.

Amélie était maintenant dans une position classique, Clémence appréciait la situation, elle avait été humiliée de recevoir ce châtiment enfantin dans la même position devant Amélie, chacune son tour pensa-t-elle.

Odile retroussa rapidement la jupe, découvrant la culotte bleu pâle qui couvrait à peine le généreux fessier de la demoiselle. Clara comprenait pourquoi elle avait fait reculotter sa fille, le déculottage était le moment le plus humiliant de la fessée. A 20 ans, exposer son derrière juste recouvert par une petite culotte puis la sentir descendre lentement. Odile avait décidé de déculotter directement sa fille, pas de fessée préparatoire, maintenant la croupe blanche s’étalait devant les yeux très intéressés des deux jeunes femmes, instinctivement Amélie serra les fesses en attendant la première claque. Elle avait malheureusement pour elle l’habitude de recevoir la fessée déculottée et elle savait que sa mère ne donnait jamais la fessée pour rire et ce fut le cas. La main se levait et s’abaissait rapidement, claquant alternativement la fesse droite puis la gauche, la peau laiteuse de la jeune fille se mit à rougir rapidement et les gémissements se transformèrent en pleurs et en supplications, la raie fessière s’ouvrait largement découvrant l’intimité d’Amélie, ses jambes battaient l’air frénétiquement, en à peine une minute les fesses étaient devenues écarlates. Odile cessa la punition :

— J’espère que tu vas comprendre ma chérie que maman ne supporte ni les mensonges ni la désobéissance et comme tu es la plus grande tu vas être punie plus sévèrement que ta sœur.

Elle avait pris sa brosse à cheveux sur la table et la fessée reprit, cette fois-ci les pleurs et les supplications d’Amélie se firent plus bruyant, la brosse émettait un claquement sec sur la peau bien tendue par la position, la jeune femme offrait une superbe danse des fesses. 



Clara qui avait goûté souvent à la douleur de la fessée à la brosse compatissait, Clémence regardait d’un œil intéressé la superbe croupe qui avait pris une teinte rouge brique, c’est vrai que la pauvre Amélie recevait une sévère correction mais outre qu’elle aussi avait dansé sur les genoux d’Odile, son attrait pour les fessiers féminins prenait le dessus sur la pitié. Jugeant la punition suffisante, Odile posa la brosse sur la table et laissa sa fille allongée sur ses genoux en attendant qu’elle calme un peu ses pleurs, elle passa sa main sur les fesses empourprées :

— Voilà, j’espère que cela te servira de leçon ma chérie, maintenant tu vas aller te mettre au coin pour faire refroidir tes jolies fesses, ça va te permettre de réfléchir.

Amélie s’était relevée, les joues aussi rouges que ses fesses, elle évita de croiser le regard des deux jeunes femmes, l’humiliation de la fessée déculottée publique était aussi terrible que la cuisson qui lui embrasait les fesses. Habituée à la pénitence après la fessée, elle regagna le coin de la pièce qu’elle occupait à l’arrivée de Clémence et Clara, retroussa sa jupe et la tint relevée en croisant ses mains dans le dos. Sa culotte était descendue jusqu’à ses chevilles, Odile la remonta jusqu’à mi-cuisse, Clémence appréciait le désir d’esthétique de la fesseuse, en effet la rougeur du fessier était bien soulignée par la culotte barrant les cuisses.

Comme si de rien n’était Odile se rassit en face des deux invitées et repris la conversation. C’est Clara qui aborda le problème de leur sortie du vendredi soir. Odile les félicita pour leurs efforts de la semaine et leur donna son accord :

— Bien sûr, vous avez le droit de vous amuser un peu, mais je veux que vous soyez rentrée à 21 heures, je suppose que vous avez du travail et je ne veux pas que vous soyez fatiguée.

En entendant ces paroles, Clémence ne put s’empêcher de protester.

— Oh non, ça va pas la tête, c’est trop tôt… Vous n’avez pas le droit !

Elle n’avait pas fini sa phrase que Odile s’était levée et l’avait saisi par l’oreille :

— Pardon ? Mais où te crois-tu Clémence !

La jeune femme se mordit les lèvres, consciente de sa bourde, mais c’était trop tard, Odile la tenait fermement par l’oreille et de son autre main lui claquait énergiquement les fesses pour la faire avancer, en un clin d’œil Clémence se retrouva aux côtés d’Amélie, Odile lâchant l’oreille lui plaça la tête contre le mur et entrepris de retrousser sa jupe qu’elle coinça dans la ceinture, d’un geste brusque, preuve d’une grande habitude elle baissa la culotte sous les fesses et administra une dizaine de claques sur les fesses nues de la pauvre Clémence abasourdie par la situation :

— Tu mets tes mains sur la tête et tu ne bouges pas, réfléchis bien à la fessée que tu vas recevoir pour ton insolence.



Clara avait suivi la scène sans dire un mot, décidément sa copine n’avait pas compris qu’elles avaient changé de statut et que désormais il leur fallait faire profil bas. Chloé avait levé la tête et un sourire discret était apparu sur ses lèvres, sa fessée était loin maintenant, bien sûr elle était encore cul nu et son derrière était douloureux, mais elle venait d’assister à la fessée de sa sœur et la voisine exposait ses fesses déculottées dans l’attente également d’une correction ça compensait un peu sa propre punition.

Odile repris la conversation avec Clara comme si de rien n’était, elle venait pourtant d’administrer deux sévères fessées déculottées et s’apprêtait à en donner une troisième et sur les quatre demoiselles présentes dans le salon, trois avaient les fesses à l’air. Elle laissa Clémence mijoter 5' au coin à exposer son derrière, elle jugea que l’humiliation était suffisante, elle la fit venir non sans lui avoir dit de se reculotter. Elle avait repris place sur la chaise qui était restée au milieu de la pièce depuis la fessée d’Amélie, on aurait dit qu’elle savait qu’elle aurait à resservir dans la soirée. Clémence se présenta devant elle, sa jupe était toujours coincée dans sa ceinture laissant voir sa culotte, elle mettait dorénavant des sages culottes en coton blanc, la seule fantaisie était une petite bande de dentelle au niveau des cuisses. Chloé avait levé la tête et discrètement elle observait la superbe croupe de sa jeune voisine parfaitement moulée par la lingerie, c’est vrai que Clémence pouvait être fière de ses fesses, mais pensa Chloé « dans quelques instants ma petite tes jolies fesses vont danser, maman est une experte en chorégraphie fessière… » Odile saisit la main de Clémence et la fit basculer en travers de ses genoux, depuis maintenant une semaine la jeune femme commençait à connaître cette position peu conforme à son âge, elle avait progressivement appris les fondamentaux, poser ses mains par terre pour assurer son équilibre, ne pas trop serrer ses fesses, car la fessée est plus douloureuse et surtout n’opposer aucune résistance à l’application de la punition sous peine d’une deuxième fessée. Odile était satisfaite de la docilité de ses deux nouvelles filles, elle avait maintenant quatre paires de fesses à sa disposition, mais elle n’était ni perverse ni sadique, elle punissait toujours à bon escient, elle était sévère mais juste, bien sûr ayant elle-même été élevée avec rigueur elle n’envisageait pas d’autre punition que la fessée déculottée et il faut dire qu’elle appréciait le spectacle de ces fessiers juvéniles écarlates après un passage sur ses genoux.

Elle tapota la culotte bien tendue de la jeune femme :

— Je pense que tu as eu le temps de réfléchir, tu sais ce qui arrive aux vilaines filles mal élevées ?

Comme Clémence ne répondait pas, elle administra une dizaine de fortes claques sur les fesses encore culottées.

— Quand je pose une question, j’attends une réponse !!

Clémence avait gémis sous la brûlure, même couverte par le fin coton elle avait ressenti le début de sa punition :

— Aïe, oui madame, pardon… Une… fessée…

La main d’Odile continua de claquer :

— C’est ça, une bonne fessée, mais encore ?

— Aïe… Ouïe… Une fessée… déculottée.

— Bien, nous y voilà, oui une bonne fessée déculottée, comme une vilaine gamine et je te garantis que tu vas perdre l’habitude de me parler comme ça.

Tout en disant ces mots, elle avait baissé la culotte de Clémence jusqu’à mi-cuisse, faisant apparaître la superbe croupe musclée, elle était déjà légèrement rosée par la fessée préparatoire, les fesses se contractèrent en sentant l’air frais, signe de leurs mises à nu. Immédiatement la véritable fessée commença, une avalanche de claques réparties équitablement sur les deux hémisphères. Odile était partisane des fessées très rapides, la cuisson était intense, la peau n’avait pas le temps de monter progressivement en température et la douleur était terrible, la punition n’en était que plus efficace pensait-elle. Clémence ne s’habituait pas à ce châtiment si douloureux, elle criait et se débattait sur les genoux de sa fesseuse mais Odile la maintenait fermement et les fesses prirent rapidement la couleur désirée, à savoir un joli rouge foncé. Chloé constata que ses prévisions se réalisaient, sa voisine un peu fière exécutait une magnifique danse des fesses et elle n’était plus qu’une gamine éplorée sanglotant sur les genoux de sa mère, comme Amélie et elle-même un peu auparavant. Satisfaite du résultat la sévère maman cessa la correction, elle fit relever Clémence et la conduisit au coin à côté d’Amélie, la jupe était toujours retroussée, elle remonta légèrement la culotte.



— Tu vas rester là un moment ça te permettra de bien réfléchir, mets tes mains sur la tête !

Clara était maintenant la seule à ne pas avoir montré ses fesses, elle frissonna légèrement et rougi légèrement sous le regard perçant d’Odile :

— Eh bien, ma petite Clara, tu n’es pas jalouse d’avoir des fesses toutes blanches ?

Elle avait dit ça en riant, ce qui détendit un peu la jeune femme.

— Rassure-toi, je plaisante, je ne baisse la culotte que si on l’a mérité et ce soir tu as été très sage. Tu peux rentrer chez toi, je garde Clémence en pénitence, elle te rejoindra tout à l’heure.

A suivre…







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