jeudi 21 septembre 2023

Lucie et Christian 4

Lucie aussi reçoit la fessée

 


Quand Christian se réveilla le lendemain, ses fesses étaient encore sensibles, il passa sa main dessus et se rendit compte qu’il avait dormi en chemise de nuit. C’était certes plus facile pour frotter ses fesses après une correction mais ça lui rappelait sa nouvelle condition, il était désormais Christine et la sensation de cuisson encore présente sur son derrière lui rappelait également qu’il était soumis à la stricte discipline d’une jeune femme par sa sévère épouse.

Il avait reçu trois fessées hier soir, son postérieur s’en souvenait parfaitement, il songea immédiatement à la quatrième que lui avait promis Lucie pour ce matin. Allait-elle l’oublier ? Cette question trouva rapidement sa solution, Lucie était déjà levée et elle entra dans la chambre en souriant.

- coucou ma petite chérie comment vas tu ?

Christine se senti rougir, il avait définitivement changé de genre pour son épouse, celle-ci s'était approchée et sa main avait glissé sous la nuisette pour atteindre le fessier rebondi.

- et tes jolies petites fesses ? Tu les sens encore ?

Christine avait les joues écarlates, la main de son épouse palpait sans vergogne son derrière, ses doigts s’immisçant même entre ses fesses.

- on va les examiner de plus près, tu sais que je te dois encore une bonne fessée déculottée, il faut que je vérifie si elles sont en état.

Lucie s'était assise sur le lit et  elle attira Christine contre sa cuisse. La suite était connue en un instant son mari se retrouva allongé en travers de ses genoux, la courte chemise de nuit ne cachait pas grand chose de l’intimité de Christine, remontée par la position elle arrivait juste sous les fesses de la punie. Lucie saisit l’ourlet et la retroussa bien haut sur les reins pour mettre à nu le fessier de son mari. Il était encore rosé des fessées de la veille, la position disciplinaire le mettait bien en valeur, il était bombé et rebondi à souhait. Lucie passa sa main sur l’épiderme.



- tu as vraiment un joli derrière ma petite chérie, il est encore plus mignon avec sa jolie couleur rose. Mais tu sais que je préfère les derrières bien rouges.

Christine ne répondait pas, il savait qu'il allait à nouveau ressentir la douleur et l'humiliation d'une bonne fessée déculottée. Ses fesses étaient parfaitement exposées, il les contracta légèrement ce qui fit sourire Lucie.

- je vois que ma petite chérie commence à craindre les fessées cul nu de maman Lucie. Tu as bien raison, je compte bien te flanquer une bonne fessée déculottée qui va te cuire toute la matinée, tu pourras penser à moi comme ça.

Elle passa sa main sur les fesses nues,  c'était un nouveau plaisir qu'elle avait découvert depuis hier et elle y prenait vraiment du plaisir, sa nouvelle petite chérie allait y goûter très souvent. "Tu vas avoir les fesses rouges tous les jours, tu vas voir comment Lucie va s'occuper de ton bon gros derrière"

Elle leva la main.

- et bien allons-y ma chérie, on dirait que tes fesses n'attendent que ça.

La main s'abattit sèchement sur la fesse droite puis la gauche et ainsi de suite avec une régularité de métronome, Lucie s'appliquait à rougir uniformément la croupe de sa nouvelle grande fille.

Au début Christine avait serré les dents en même temps que les fesses, la cuisson était intense mais elle essayait de rester stoïque, elle ne voulait pas donner le plaisir à Lucie de se comporter comme une gamine punie par sa maman qui crie et supplie, mais Lucie augmenta la force et la rapidité des claques et bientôt il fut impossible à la pauvre Christine de ne pas supplier en même temps que ses jambes battaient l'air désespérément et que ses fesses s'ouvraient largement à chaque série de claques de plus en plus sonores. Les pleurs vinrent rapidement se mêler à la musique de la fessée. C'était ce qu'attendait Lucie.

- voilà c'est ça, tu peux pleurer ma petite chérie, c'est ce qui arrive quand on est vilaine, allez encore quelques claques et tes fesses seront à point.



Les fesses en question étaient maintenant écarlates sur toute leur surface, c'était vraiment magnifique.  Lucie garda un peu son mari transformé en grande fille punie sur les genoux de sa maman, Christine continuait de sangloter. Enfin elle la fit se relever.

- voilà c'est parfait pour commencer la journée, ça réveille n'est ce pas? On va aller prendre notre petit déjeuner, tu tiens ta nuisette retroussée que je vois bien tes fesses. Allez en route !

Elle avait claqué sèchement le derrière rebondi pour accompagner ces derniers mots.

Christine fut forcée de s'asseoir en relevant sa chemise de nuit, son derrière nu reposait directement sur la paille de la chaise. C'était inconfortable mais quand même moins douloureux que cette fessée matinale.

Ensuite il passa à la salle de bain, en se tournant il vit dans la glace ses fesses bien rouges, décidément quelque chose avait changé dans cette maison. Quand il revint dans sa chambre, il trouva une petite culotte de Lucie posée sur son lit.

Son épouse le suivait.

- tu mets cette culotte sous ton costume, ça te rappellera ta condition ma petite chérie. Je me demande ce que va penser ta cheffe de service si jamais elle l'apprend.

Elle avait dit ça avec un sourire gourmand. Christine frissonna en imaginant la scène, un rêve éveillé, il se vit couchée sur les genoux de Mme Vigron, le pantalon baissé et celle ci en train de la déculotter.

- quelle ravissante petite culotte. Alors comme ça votre femme vous donne encore la fessée déculottée à votre âge ma petite Christine.

Elle essaya de chasser cette image, Lucie venait de la rappeler à la réalité en lui claquant à nouveau les fesses.

- dépêche toi un peu, au lieu de bailler aux corneilles. Pour le coup si tu es en retard Mme Vigron aurait une bonne raison de te flanquer une bonne fessée déculottée.

La petite culotte avait du mal à cacher le bon derrière bien joufflu de la pauvre Christine.

- il faudra que je t'achète des culottes, tu as vraiment un bon gros derrière ma chérie.

Christine était maintenant habillée en monsieur, elle quitta la maison avec une bonne claque sur les fesses pour l'accompagner et l'inciter à se presser.

- à ce soir ma petite chérie, soit bien sage.

Quelques instants plus tard, Lucie recevait sur son téléphone un message, c'était Chloé l'assistante de madame Sylvie qui lui rappelait son rendez-vous du midi. Elle avait quasiment oublié tout à son plaisir de donner la fessée déculottée à son mari, qu'elle aussi était soumise à ce genre de discipline. Elle se doutait bien que cette petite peste de Chloé allait s'en donner à coeur joie sur ses fesses dénudées.

Le message était explicite, il lui était précisé qu’elle devait être à l’heure et que la tenue requise était celle d’une jeune fille,  jupe courte, chemisier blanc, culotte en coton blanche, soulier plat type ballerine et socquette.

Lucie fit la grimace, aller au travail dans cette tenue ne manquerait pas de lui attirer des remarques et des sourires de ses collègues. Heureusement  son entourage au travail était exclusivement féminin. Mais tout de même, être habillée en lolita était un peu gênant.

Elle obéit malgré tout aux consignes de Chloé, en la voyant ainsi habillée, Alice sa copine de bureau ne put s’empêcher de pouffer.

- et bien mazette, tu veux rajeunir. On te donne à peine 18 ans accoutrée comme ça. Méfie toi ça pourrait donner des idées à la mère Dugou, si tu fais des bêtises elle pourrait te faire panpan cucul.

Lucie piqua un énorme fard, Alice ne pouvait pas mieux dire, mais ce n’était pas leur cheffe de service Mme Dugou qui allait lui administrer une bonne fessée déculottée mais une jeune femme beaucoup plus jeune. Alice continuait.

- tu sais je plaisante à peine, l’autre jour elle passait un savon à la stagiaire et elle lui a dit sans rire. Si je ne me retenais pas je ferais comme avec mes filles, vous méritez vraiment une bonne fessée déculottée.

Lucie était bouche bée.

- ah oui ? et alors ?

- alors rien, la stagiaire est sortie du bureau avec les larmes aux yeux. Mais ça veut dire que ses filles reçoivent encore la fessée cul nu et vu son âge, elles ne doivent plus être des gamines ses filles.

Lucie passa une matinée inconfortable, elle angoissait de devoir aller dans le bureau de Mme Dugou après ce que lui avait dit Alice. A 11 h, le téléphone sonna , c’était sa stricte cheffe de service. Elle se leva, Alice lui fit un clin d’oeil et un petit sourire coquin. Elle frappa le dos de sa main avec la paume de l’autre dans un signe tout à fait explicite. Quand Lucie passa à côté d’elle, elle lui claqua gentiment les fesses par dessus sa jupette.

- allez courage ma petite chérie, ce n’est qu’un mauvais moment à passer, on ne meurt pas d’une petite fessée.

Elle se mit à rire pendant que Lucie quittait le bureau. Celle-ci ne trouvait pas ça drôle du tout, même si elle n’avait rien à se reprocher et si l’éventualité que Mme Dugou lui flanque une fessée déculottée était inexistante, elle était mal à l’aise.

Mme Dugou était une femme d'une cinquantaine d'années, de taille moyenne, un peu ronde, avec des cheveux blonds et une coupe au carré. Elle était réputée pour son intransigeance, elle détestait les chichis et les gens qui arrivaient en retard. Elle inspecta Lucie de la tête aux pieds et esquissa un petit sourire devant sa tenue juvénile.

- Lucie, j’ai bien lu votre rapport, c’est correct mais le nombre de fautes d’orthographe est ahurissant. Vous allez me corriger ça immédiatement. A l’école vous auriez hérité d’un zéro.

Lucie avait rougi et elle regardait ses pieds, elle se retrouvait une quinzaine d’années auparavant devant son institutrice. La phrase «vous mériteriez un zéro» lui rappelait de mauvais souvenir. Sa mère était très sourcilleuse sur ses notes à l’école et un zéro lui valait à coup sûr une punition et jusqu’à ses 12 ans, la punition c’était classiquement une bonne fessée déculottée. Elle n'osait pas regarder Mme Dugou, celle-ci continuait.

- par ailleurs ma petite Lucie je vous rappelle que vous devez être à votre poste de travail à 8h30 et pas à 8h35. C'est le dernier avertissement.

La jeune femme était de plus en plus rouge et mal à l'aise, elle l'avait appelé "ma petite Lucie", comme si elle était une gamine, elle tira machinalement sur sa jupe trop courte, Claire Dugou esquissa un sourire, c'est vrai que cette petite était ravissante avec sa tenue de lolita. Un zéro plus un retard, ça aurait mérité une fessée déculottée, comme celle qu'elle administrait encore à ses deux grandes filles de 18 et 20 ans.

- vous pouvez disposer Lucie, mais ne m'obligez pas à sévir.

Au dernier moment Claire s'était retenue, Lucie l'avait échappé belle. Elle se retourna et quitta le bureau précipitamment. Le regard de Mme Dugou suivi le joli fessier qui se trémoussait sous la courte jupette.

Lucie revint dans son bureau, elle avait les joues rouges, elle sentait qu'elle venait d'échapper à une honteuse punition. Alice l'attendait impatiemment.

- alors ? Elle t'a déculottée ?



Elle riait et regardait ironiquement sa copine qui était de plus en plus rouge.

- oh arrêtes avec ça, je ne suis plus une gamine et puis je ne pense pas que Mme Dugou ait les mêmes idées perverses que toi.

Alice lui mit un doigt sous le menton pour que Lucie relève la tête.

- ah oui ? Et bien moi je pense qu'a t'habiller comme ça, si j'étais Mme Dugou et bien je t'aurais flanqué la fessée déculottée que tu mérites. Je suis sûr qu'elle y a pensé d'ailleurs, je pense que tu peux préparer tes fesses.

Elle avait tapoté les fesses de Lucie et s'était rassise en souriant. Lucie était très mal à l'aise, elle entrepris de corriger les fautes d'orthographe sur son rapport, c'est vrai qu'elles étaient nombreuses, heureusement le correcteur d'orthographe l'aida bien.

Un peu avant midi, elle se rendit à nouveau dans le bureau de sa cheffe de service pour lui remettre le rapport corrigé. Mme Dugou l'accueilli avec un grand sourire.

- c'est très bien ma petite Lucie, vous voyez que quand vous voulez vous appliquer c'est parfait. J'aimerais bien ne pas avoir à vous faire ce genre de remarque tous les jours. A au fait, vous mangez où à midi ? On pourrait déjeuner ensemble.

Lucie piqua à nouveau un fard, sa cheffe l'avait à nouveau appelé "ma petite Lucie", c'était un peu humiliant et elle l'avait implicitement menacée. Elle repensait aux paroles d'Alice, c'était certainement vrai qu'elle donnait encore la fessée déculottée à ses grandes filles.

Mme Dugou l'a sorti de  ses pensées.

- vous rêvez Lucie ? Je vous ai posé une question ?

- oh oui, pardon madame, c'est gentil mais je suis désolée, j'ai un rendez-vous pendant ma pause déjeuner.

Elle espérait que sa cheffe n'allait pas lui poser des questions sur son rendez-vous. Elle aurait sans doute bafouillé pour éviter de parler de la fessée déculottée qui l'attendait chez Mme Sylvie.  Heureusement Claire Dugou n’insista pas.

- ce sera pour une autre fois. Dites moi, vous êtes ravissante avec cette mini jupe, c’est votre mari qui veut que vous soyez habillée comme ça ?

Lucie se senti à nouveau rougir, mais elle se mit à sourire, si Mme Dugou savait que Christian son mari devenait Christine tous les soirs et qu’il recevait une magistrale fessée déculottée avant de se faire prendre par derrière comme une petite femme soumise.

- oh non, mon mari ne choisis pas mes vêtements, c’est plutôt moi qui choisis les siens.

Mme Dugou se mit à rire.

- ah bon ? c’est vous qui portez la culotte à la maison si je comprends bien.

Lucie se mit à sourire plus franchement.

- en quelque sorte. Euh madame si vous vouez bien m’excuser, je ne voudrais pas être en retard à mon rendez- vous.

Chloé lui avait juste laissé 1/4 h pour manger un sandwich avant son rendez-vous.

A 12h15 elle sonnait à la porte de madame Sylvie, Celle-ci n’était pas là, c’était Chloé qui devait s’occuper de Lucie ou plutôt des fesses de Lucie.

Elle l’accueilli avec un grand sourire.

- alors Lucie, comment allez-vous depuis hier ? vous êtes ravissante, je vous félicite vous avez bien respecté les consignes. C’est les fessées de madame Sylvie qui vous ont rendu obéissante?

Lucie avait été traitée plus ou moins en gamine toute la matinée, cette petite pique ne la troubla qu'à moitié. Chloé continuait.

- bon, nous n'avons pas de temps à perdre, nous aurons le temps de discuter quand je vous aurez donné la fessée prévue. En piste madame.

La jeune assistante s'était assise sur une chaise et elle avait fait un petit signe explicite à Lucie. Même si c'était elle qui administrait les fessées depuis hier, elle n'avait pas oublié comment se positionner pour en recevoir une. Elle se coucha en travers des genoux de Chloé, dans cette position, la courte jupette dévoilait déjà le haut des cuisses et presque la culotte, Chloé la retroussa bien haut sur les reins. La petite culotte blanche moulait parfaitement le fessier bien rebondi de Lucie. Chloé tapota les fesses.

- alors ma petite Lucie, prête pour la bonne fessée de maman Chloé ?

La situation était originale mais très humiliante pour la jeune femme, outre qu'elle se trouvait dans une position peu en accord avec son âge, Chloé l'avait elle aussi appelé ma petite Lucie et alors qu'elle avait bien 10 ans de moins qu'elle, elle s'apprêtait d'après ses dires à officier comme si elle était une maman sévère et Lucie une adolescente qui méritait une bonne correction.

Lucie avait les larmes aux yeux mais elle essayait de faire bonne figure, elle sentit les doigts de la jeune femme s'immiscer dans sa culotte et celle ci descendre doucement sur ses fesses.

- voyons un peu ce que cache cette petite culotte. Et oui Lucie, madame Sylvie a bien précisé une bonne fessée déculottée.



Lucie avait reçu effectivement une bonne fessée déculottée la veille mais on ne peut pas dire qu'elle était déjà habituée à cette situation, se faire baisser la culotte est toujours une situation embarrassante, surtout que dans cette position, sa croupe était parfaitement exposée au regard pervers de Chloé. La culotte s'était arrêtée à mi-cuisses, maintenant la jeune femme caressait le joli derrière bien rebondi.

- mais elles sont parfaites ces jolies fesses, aucune trace des fessées d'hier, votre derrière prends bien la fessée madame. C'est bien on n'aura pas à se poser des questions sur la fréquence des punitions.

Elle leva la main et commença à claquer les fesses tendues. Lucie poussa un petit cri, bien sûr elle savait ce qui l'attendait mais c'est toujours surprenant la première claque, ça brûle et d'un seul coup tous les souvenirs d'enfance remontent. Mais Lucie n'eu pas le loisir de réfléchir à ses souvenirs, la fessée de Chloé était immédiatement sévère, les claques se succédaient à un rythme très rapide, Lucie se mit rapidement à gémir puis à supplier et à battre des jambes désespérément, mais Chloé la tenait solidement par la taille et son derrière écarlate ne pouvait échapper à la correction. Elle fut relativement rapide car Chloé avait fessé très fermement, le fessier était parfaitement rouge sur toute sa surface, Lucie sanglotait doucement. La jeune assistante passa sa main sur l'épiderme brûlant.

- voilà un bon début, nous allons pouvoir discuter pendant que je vous mets le thermomètre.

Lucie voulu protester, la fessée déculottée c'était prévu mais pas la prise de température rectal.

- oh non, s'il vous plaît mademoiselle pas le thermomètre.

Chloé se mit à rire.

- ah oui ? Et pourquoi donc ? Vous pensez peut-être que vous êtes en position pour discuter ? Je vais vous apprendre moi !!

Elle leva la main et recommença à claquer le derrière de la pauvre Lucie. Celle-ci se mit à crier et à supplier.

- non, non, pardon mademoiselle, plus la fessée, ce n'est pas ce que je voulais dire, aïe aïe aïe, pardon.

Chloé avait claqué une cinquantaine de fois le derrière déjà bien rouge.

- c'est sûr, vous avez compris?

- oui, oui mademoiselle.

- bien, j'aime mieux ça, desserrez moi un peu ces jolies fesses.

Elle écarta avec deux doigts les fesses brûlantes.

- allez, encore un peu que je vois bien votre petit trou.

Lucie était au comble de l'humiliation mais son fessier brûlant l'incitait à l'obéissance. Elle essayait de ne pas contracter ses fesses, elle se doutait bien que Chloé n’attendait que ça pour lui redonner une nouvelle fessée. Elle senti l’embout froid du thermomètre pénétrer son anus, elle avait terriblement honte d’être traitée comme une gamine à son âge mais elle se laissa faire, se contentant de gémir doucement pour ne pas risquer une punition supplémentaire.

Chloé était ravie d’avoir cette dame à sa disposition, elle pouvait assouvir ses penchants pervers, ça la consolait des cuisantes fessées que lui administrait sa sévère patronne. Elle fit pénétrer profondément le thermomètre et le fit coulisser doucement, elle souriait et tapotait de l’autre main le fessier rougeoyant. Madame Sylvie lui avait juste demander d’administrer une bonne fessée déculottée à Lucie et de la mettre en pénitence au coin ensuite mais la jeune assistante avait pris l’initiative de lui mettre le thermomètre dans le derrière, de toute façon Madame Sylvie n’était pas là pour vérifier.

- alors ma petite Lucie maintenant nous allons pouvoir discuter, vous allez me raconter comment c’est passée la soirée avec votre mari. Vous lui avez flanqué une bonne fessée déculottée j’espère ?

Elle continuait doucement à faire coulisser le thermomètre entre les fesses de Lucie qui était troublée au plus haut point, entre la cuisson de ses fesses et ce petit viol rectal.

Se remémorer la punition de Christine lui permettait de mieux supporter la sienne, elle raconta donc en détail à Chloé leur soirée et ce qu'elle avait décidé pour la suite à savoir la féminisation de Christian,  sa transformation en Christine et son changement de statut s'accompagnant de l'administration régulière de la fessée déculottée et d'une sodomisation tous les soirs avec les fesses bien rouges.

Chloé était impressionnée mais pour le moment notre petite Lucie fesseuse de mari exposait son derrière bien corrigé et le thermomètre bien enfoncé dans ses fesses. La jeune assistante décida que la punition était insuffisante.

- ton petit trou a besoin d’être encore assoupli ma petite Lucie, on va faire un peu de gymnastique, je vais te le sortir et te l’enfoncer 30 fois et tu vas compter.

Lucie était résignée, hier elle avait déjà subi cette punition mais madame Sylvie s’était contentée de 10 aller et retour, décidément cette petite peste s’y entendait en perversité.

Elle senti le thermomètre sortir puis rentrer rapidement dans son fondement, elle compta un.



- plus fort ma chérie si je ne t’entends pas compter, je vais être obligée de recommencer.

Le thermomètre continua ses va et vient entre les fesses rouges de Lucie. Au bout d’un instant elle ne put s’empêcher de contracter son derrière, c’est ce qu’attendait Chloé. Elle enfonça profondément le thermomètre puis prenant la règle plate posée sur son bureau elle administra une cinquantaine de coups dur les fesses déjà endolories. Lucie se mit à crier puis à pleurer.

- oh tu peux pleurer ma petite, tu l’as méritée celle là, je te garantis que tu vas t’en souvenir. Vas-tu encore serrer tes fesses ?

- non, non, pardon mademoiselle, aïe, aïe, aïe, non, non promis plus la fessée s’il vous plaît.

Chloé reposa la règle.

- gare à toi si tu recommence, je te promets que tu auras du mal à t’asseoir cet après midi.

Lucie se le tint pour dit et elle se concentra pour bien détendre son fessier tout en comptant.

Quand se fut terminé, Chloé la fit relever et en la tenant par l’oreille comme une adolescente punie, elle la conduisit au coin du bureau, lui fit mettre les mains sur la tête et le nez contre le mur. Puis après avoir coincé la jupette dans la ceinture pour que les fesses restent bien exposées, elle alla s’asseoir pour contempler le spectacle offert par Lucie. Une dame d’une trentaine d’année, au coin comme une mauvaise élève exposant une paire de fesses bien rouges, avec sa culotte enroulée autour de ses chevilles.



- tu vas rester au coin jusqu’à 13h30, tâche de ne pas bouger si tu ne veux pas revenir sur mes genoux.

Elle envoya un message à madame Sylvie accompagné d’une photo des fesses de Lucie. La fessothérapeute lui répondit en la félicitant. Elle lui demanda de mettre un plug à Lucie qu’elle devrait garder tout l’après midi. C’était pour compenser le fait que Christian ne la sodomiserait plus.

Chloé appela Lucie un peu avant l’heure prévue pour la fin de sa punition, elle lui expliqua ce qu’avait prévu madame Sylvie. Lucie était résignée, les fessées reçues depuis midi avait fait leur effet, elle ne protesta pas.

Chloé la fit à nouveau se coucher en travers de ses genoux, lui écarta largement les fesses et lui mit en place le plug rose qui lui était destiné. Puis elle lui tapota les fesses pour la faire se relever.

- voilà ton petit derrière est bien garni ma petite Lucie. Tu vas le garder tout l’après midi et tu viendras à la sortie de ton travail pour que je te l’enlève. Ne t’avise pas d’y toucher, je sais comment je l’ai placé si jamais il a bougé, je te promets une fessée comme tu n’en as jamais reçue, tu auras du mal à t’asseoir pendant un moment.

Lucie ne doutait pas des capacités à sévir de la jeune assistante aussi elle se garderait bien de porter ses mains à ses fesses même si l’après midi allait s’avérer pénible.  

Elle regagna son bureau avec une paire de fesses écarlates sous sa culotte et ce plug rose qui lui rappelait à chaque mouvement sa condition.

Heureusement ce soir elle allait retrouver sa petite Christine et cette fois c’est elle qui s’occuperait de ses fesses.



 

A suivre...

3 commentaires:

  1. Bravo et merci d'avoir introduit de nouveaux perssonagz et de nouvelle perspective de fessee pour lucie. La honte si elle doit devoiller son plug au travail....

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  2. Une semaine sans nouvelle fesse rouge!!!!!

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  3. Merci Sylvie pour vos récits de fesses bien rouges !

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