Lucie et Christian 5

Une après-midi cuisante

 

Lucie était en retard au retour de sa pause déjeuner, elle essaya de se glisser dans son bureau discrètement. Alice était déjà à son poste de travail. Elle leva la tête et fit un petit signe avec la main à sa copine.

- tu es en retard ma petite cocotte, gare à tes fesses si la mère Dugou s’en aperçoit.

Lucie ne répondit pas, elle s’assit avec précaution sur sa chaise, ses fesses étaient sensibles et associé au plug qui lui garnissait le derrière, la position assise n’était pas des plus confortable. La porte du bureau s’ouvrit sur la cheffe de service, elle avait le regard sévère.

- Lucie, je vous attends dans mon bureau dans 5 minutes, ne soyez pas en retard cette fois !!

Lucie était devenue soudainement très pâle, Alice leva le nez de son ordinateur, elle pouffait.

- ce coup ci, je crois que tu vas y avoir droit. Faut dire qu’on dirait que tu la cherches, tu l’as fait exprès d’arriver en retard ?

La jeune femme ne répondit pas, pour l’heure elle n’était plus la sévère épouse qui couchait son mari sur ses genoux pour lui baisser la culotte et la fesser comme une gamine. Elle était plutôt redevenue une collégienne convoquée chez la directrice. Comme un automate, elle se leva et se dirigea vers le bureau de Mme Dugou. Elle frappa, la voix de sa supérieure était vraiment très sèche.

- entrez !!!

Mme Dugou était assise à son bureau, elle ne proposa pas à Lucie de s'asseoir, son regard était glaçant, Lucie se sentait fondre sur place, elle avait oublié d'un seul coup la brûlure de ses fesses et le plug bien inséré dans son derrière.

- vous le faites exprès ma petite Lucie ?

La jeune femme sentit la rougeur envahir ses joues, elle bredouilla.

- non, non, madame, excusez-moi ... mais... je...

- je, quoi ?? Lucie, je vous ai prévenue ce matin !! Je vous ai dit que je ne tolérerais plus de retard, vous le faites exprès ? 

- non, non madame...

La sévère cheffe de service regardait fixement Lucie, celle-ci baissa les yeux.

- regardez moi quand je vous parle !! Moi je pense que vous vous moquez de moi et de ce que je vous ai dit ce matin.

Lucie sentait ses joues devenir brûlantes, comme ses fesses. Elle ne répondit pas.

- puisque mes remarques vous passe par dessus la tête, je vais employer une autre méthode. Une méthode qui a fait ses preuves et que j'utilise encore avec mes filles.

Lucie sentit que les prédictions d'Alice risquaient de se réaliser, elle n’osait rien dire.

Claire Dugou était stricte et exigeante, elle élevait ses filles avec des méthodes d’un autre temps, les deux jeunes filles qui étaient presque des adultes étaient soumise au régime de la fessée déculottée malgré leur âge. Comme leur mère n’avait jamais cessé de leur baisser la culotte en cas de fautes, de désobéissances ou de mauvais résultats à l'école, elle n’y trouvait rien à redire, bien sûr, elle ne se vantait pas de ça auprès de leurs copines mais bien souvent elles partaient au lycée pour la plus jeune et à l’université pour l’aînée avec une paire de fesses bien rouges sous leur sage culotte blanche de jeunes femmes bien élevée.

En fait leur mère aimait donner la fessée, elle avait découvert ça à 20 ans lors d’un séjour comme jeune fille au pair en Angleterre dans une famille de la noblesse où la stricte éducation anglaise était encore en vigueur. Les filles de la maison recevaient régulièrement la fessée déculottée et pour les cas plus graves, la tawse ou même la canne. Elle même y avait goûté d'ailleurs et elle en gardait un souvenir cuisant.

Mais ce qui l'avait le plus troublée c'est d'assister en cachette à la fessée de la maîtresse de maison qui avait une cinquantaine d'années, elle avait reçu sa punition des mains de sa bonne sur ordre de sa mère qui assistait à la fessée.

La mère de famille avait d'abord reçu une bonne fessée déculottée dans la position traditionnelle, couchée sur les genoux de la domestique puis celle-ci lui avait administré 6 coups de canne sur son fessier écarlate.

Ce spectacle avait émoustillé Claire et influé sa sexualité future. Les trois filles de la maison en avait fait les frais car comme elle avait été autorisée à utiliser la fessée sur elle si nécessaire, elle en avait usé et abusé

À partir de ce moment là, les jeunes filles eurent les fesses bien rouges très régulièrement, elles étaient âgées de 15 à 18 ans et Claire leur avait fait découvrir les plaisirs saphiques qui compensaient un peu la brûlure de leurs derrières.

Rentrée en France, elle n'avait eu de cesse que de retrouver cette sensation grisante de coucher une dame sur ses genoux pour lui baisser la culotte et ensuite lui administrer une bonne fessée.

La vie avait suivi son cours et elle n'avait plus eu l'occasion de se livrer à son activité préférée hormis sur les fesses de son mari qui avait dut se soumettre à son autorité et à l'administration régulière de bonnes fessées déculottées jusqu'à sa disparition brutale dans un accident. Heureusement les fesses de ses deux filles avaient pourvu à son manque.

Claire Dugou regardait fixement Lucie, déjà hier, la jeune stagiaire avec son air de sainte nitouche avait réveillé ses pulsions fesseuses mais cette jeune femme habillée en lolita avait vraiment un derrière adorable et on aurait dit qu'elle lui tendait la perche avec ses bêtises à répétition.

Elle se leva et alla fermer à clé la porte de son bureau. En revenant son regard fut attiré par le fessier rebondi de Lucie. Décidément c'était trop tentant, elle décida de voir jusqu'où elle pouvait aller.

- vous savez ce qui arrive à mes filles quand elles sont désobéissantes ?

Lucie se sentait de plus en plus mal à l'aise.

- et bien je vais vous le dire, elles reçoivent une bonne fessée déculottée.

Elle avait insisté sur les deux derniers mots en les prononçant lentement, son regard ne quittait pas Lucie. En d'autres circonstances celle-ci aurait protesté, mais ses fesses encore sensibles et le plug dans son derrière lui rappelait qu'à peine une heure auparavant elle pleurait couchée sur les genoux de Chloé avec la culotte baissée. Elle baissa la tête et prononça les mots que Claire n'osait espérer.

- oui madame, pardon, je suis désolée.

Cette petite ne se rebellait pas, elle semblait accepter la sanction.

- oh vous allez être vraiment désolée dans quelques instants ma petite Lucie.

Mme Dugou s'était levée et avait pris une chaise pour la disposer au milieu du bureau. Elle prit la main de Lucie en même temps qu'elle s'asseyait et elle l'attira contre sa cuisse. Celle-ci était dans un état second, elle allait à nouveau recevoir la fessée et elle se laissait faire. Claire Dugou l'avait fait basculer en travers de ses genoux, dans cette position sa jupette remonta légèrement, elle sentit que sa cheffe de service la retroussait, elle poussa un petit cri.

- non, non madame, s'il vous plaît.

Mais c'était déjà trop tard, Claire avait une vue parfaite sur son fessier moulé dans sa petite culotte blanche, le regard de la sévère maîtresse fut immédiatement attiré par la rougeur qui dépassait de la culotte au niveau du pli fessier, elle glissa ses doigts sous la culotte au niveau des cuisses et la tira vers le haut.

- mais qu'est ce que c'est que ça ? Vous avez déjà été fessée ?

Lucie fit une tentative pour se relever mais Mme Dugou la tenait solidement par la taille. Elle glissa ses doigts sous la ceinture de la culotte et la fit glisser sur le derrière rebondi de Lucie.

- non, non, madame pas la culotte, s'il vous plaît, noon...

Elle avait essayé d'agripper sa culotte pour l'empêcher de descendre, mais Claire Dugou était quasiment une professionnelle de la fessée, elle coinça la main de Lucie dans son dos et lui claqua sèchement l'arrière des cuisses.

- pas de ça ma petite, chez moi la fessée c'est toujours cul nu et il me semble que tu sais déjà ce que ça veut dire si j'en juge par la couleur de tes fesses.

Claire n'était pas au bout de ses surprises, la couleur des fesses de sa subordonnée ne laissait pas de place au doute, mais au milieu de son mignon petit derrière, une rondelle rose plaquée sur la raie fessière attira son attention.

- qu'est ce que c'est que ça ? Un plug !! Et bien dis donc ma petite tu as dut en faire des bêtises.

Claire était naturellement passé au tutoiement, c’est vrai que Lucie était plus dans une position et une tenue de grande fille punie que d’une jeune femme employée au service comptabilité.

Elle écarta les fesses pour examiner le plug.

- et bien mazette, c’est un joli instrument que tu as dans les fesses. On va commencer à s’occuper de ton problème de retard et ensuite tu vas m’expliquer tout ça.

Elle leva la main et commença la punition. Claire Dugou était une fesseuse avertie, sa technique était éprouvée, elle claquait la fesse droite au centre puis plus bas, ensuite elle reclaquait la partie la plus joufflue de la fesse pour terminer sur le pli fessier en haut de la cuisse. Puis elle faisait de même avec la fesse gauche et ainsi de suite. Rapidement le fessier rebondi repris une jolie couleur rouge et la jeune femme ne put retenir ses larmes au milieu des claquements et des gémissements.

C’était la première fessée qu’elle administrait à Lucie, elle voulait qu’elle s’en souvienne mais en même temps il ne fallait pas trop l’effrayer par une extrême sévérité. C’était juste une bonne fessée déculottée de maman pour punir un retard injustifié.

La fessé cessa mais Claire garda Lucie en travers de ses genoux, elle caressait les fesses bien chaudes.

- bien maintenant que ce problème est réglé, tu vas m’expliquer qui t’a donné la fessée et pourquoi tu as été punie avec un plug en complément.

Lucie était abasourdie, elle n’était pas dans une position où elle pouvait discuter et refuser quoi que ce soit à sa cheffe de service, mais en même temps comment expliquer que Chloé lui avait administré cette sévère fessée cul nu et lui avait placé ce plug sur ordre de madame Sylvie. Elle eu vite fait de se décider car devant son silence Claire avait repris la fessée toujours sur le même rythme. Lucie se mit à crier.

- non, non, madame arrêtez pardon, oui, oui je vais vous le dire.

Claire Dugou continua de claquer un peu le superbe fessier puis elle reposa sa main sur la fesse droite.

- et bien j’attends mais si jamais tu me racontes des histoires ton petit derrière est tout à fait bien présenté pour que je m’en occupe.

Lucie en pleurant se mit à raconter la séance chez Mme Sylvie, elle n’omit aucun détail car de temps en temps pour la stimuler quand elle s’arrêtait, Claire l'encoirageait en recommençant la fessée.

Au bout de 10’ de confession alternant avec de vigoureuses claques bien réparties sur toute la surface de son derrière, Mme Dugou n’ignorait plus rien de la nouvelle vie de Lucie et Christine depuis leur séance de fessothérapie chez Mme Sylvie.

Elle caressait maintenant les fesses brûlantes en souriant.

- et bien c’est parfait, je vois que tu es en de bonnes mains, je suis sûr que tu vas faire rapidement des progrès. J’avais entendu parler de ce cabinet de fessothérapie, je pense que ses méthodes sont très efficaces. Et ta petite Christine elle est contente de sa nouvelle condition ? Il faudra que tu me la présente.

Elle fit relever Lucie qui était rouge de confusion d’avoir été obligée de raconter des choses aussi intime. Claire Dugou la regardait en souriant se régalant de sa confusion, la jupette était retombée masquant le fessier écarlate, la petite culotte était entortillée autour de ses genoux.

- tourne toi un peu et retrousse ta jupe que j’examine tes fesses.

Lucie s’empressa de s’executer. La fessée déculottée fait des miracles à tout âge pensa la sévère maîtresse. Elle posa sa main sur le dos de sa subordonnée pour qu’elle se penche légèrement puis passa sa main sur l’épiderme brûlant.

- voilà ce qu’on appelle une bonne fessée déculottée, ton derrière est cuit à point ma petite Lucie. Bon tu peux te reculotter et retourner au travail, j’espère ne pas avoir à te baisser à nouveau la culotte cet après-midi.

Lucie remis sa culotte en place et lissa sa jupe, puis sans un mot elle quitta le bureau.

Avant de regagner le sien, elle fit une pause aux toilettes pour vérifier sa tenue, elle ferma la porte et se déculotta pour examiner ses fesses dans la glace, elles étaient d’un rouge profond de la partie la plus charnue jusqu’en haut des cuisses. Elle les frotta énergiquement pour atténuer la brûlure mais c’était peine perdue, elle allait ressentir les effets de sa punition pendant tout l’après-midi.

Ses yeux étaient rougi, elle baigna son visage avec un peu d’eau, Alice allait se rendre compte à coup sûr qu’elle avait pleuré. Elle ne pourrait sans doute pas lui cacher longtemps qu’elle venait de recevoir ce châtiment humiliant habituellement réservé aux gamines désobéissantes.

Il ne fallait pas trop qu'elle traîne, elle se décida enfin. Alice leva les yeux vers elle.

- olala ma petite Lucie, à pleuré, je crois bien que cette fois-ci elle a eu vraiment panpan cucul.

Lucie baissa la tête et ne répondit pas, elle s'assit devant son ordinateur et commença à pianoter. Ses fesses lui faisait très mal et elle ne pouvait s'empêcher de se tortiller sur sa chaise. Alice revint à la charge.

- on dirait que madame a mal à son petit cucul.

Juste à ce moment, la porte s'ouvrit sur Mme Dugou.

- Alice ! Vous feriez mieux de travailler ! À moins que vous ne vouliez faire un tour dans mon bureau, j'ai une très bonne méthode pour remettre au travail les effrontées.

La jeune femme piqua un fard et se remit immédiatement au travail,  la cheffe de service se tourna vers Lucie.

- Lucie vous passerez dans mon bureau avant de partir.

Le silence était total dans le bureau désormais. A 16h, elles rangèrent leurs affaires. Alice s'approcha de sa copine, lui fit une bise et passa sa main sur ses fesses.

- je suis désolée pour toi ma chérie, excuse moi pour tout à l'heure. Mais je ne te félicite quand même pas d'avoir donné cette idée de fessée à ce vieux chameau de Dugou.

Lucie lui fit un petit sourire et se dirigea vers le bureau de sa cheffe de service. Claire l'accueilli avec un grand sourire, elle fit pivoter son fauteuil et lui fit signe d'approcher.

- alors ma petite Lucie, j'espère que la leçon va porter ses fruits. Viens un peu là que j'examine ton derrière.

Elle fit pivoter la jeune femme, retroussa sa jupe et baissa sa culotte juste sous les fesses. Elles étaient encore bien colorées.

- c'est parfait, tes fesses sont en parfait état si Chloé décide de te flanquer une autre fessée.

Elle remonta la culotte et claqua le fessier tendu devant elle.

- tu peux y aller, tâche d'être à l'heure demain matin,  sinon tu sais ce qui t'attends.

Elle lui tendit une enveloppe.

- tu donneras ce petit mot à Mlle Chloé et pour que je sois sûr que tu n'oublies pas, tu me le ramène demain signé.

Lucie quitta le bureau avec le rouge aux joues. Sa cheffe l'a traitait vraiment comme une gamine et elle ne pouvait rien dire.

Elle arriva chez Mme Sylvie, Chloé l'attendait avec un sourire gourmand.

- alors ma petite, c'était comment cet après midi avec un plug bien enfoncé dans ton petit derrière ?

Lucie piqua à nouveau un fard, surtout qu'une patiente attendait en salle d'attente, Chloé avait parlé assez fort et la dame avait dut entendre.

Mme Sylvie ouvrit la porte de son bureau et appela sa patiente.

- Mlle Philea, c'est à nous.

La demoiselle d'une cinquantaine d'années se leva. Quand elle passa devant Sylvie, celle-ci lui claqua familièrement les fesses.

- allez on va s'occuper de ce derrière.

Avant de refermer la porte elle s'adressa à Chloé.

- pour Lucie, faites ce que je vous ai dit, ça lui fera le plus grand bien.

Chloé adressa un sourire coquin à Lucie.

- allez viens avec moi ma petite chérie, tu vas voir ce qu’on t’a réservé.

Elle avait ouvert la porte d’une petite salle de soins et claqua les fesses de Lucie pour la faire avancer. Elle s’assit sur une chaise et fit un petit signe du doigt à la jeune femme.

- en position ma petite dame.

Lucie se retrouva à nouveau couchée en travers des genoux d’une dame, ce n’était pas la première fois de la journée mais c’était toujours aussi humiliant.

La jupe retroussée rapidement sur ses reins, elle sentit sa culotte retrouver sa position habituelle à savoir au niveau de ses genoux. Les fesses de Lucie étaient encore bien colorées, Chloé était habituée à rougir des fessiers, la fessée qu’elle avait donné à Lucie avait été sévère mais depuis 3 heures ces fesses n’auraient pas du être encore aussi rouges. Elle tapota les fesses de sa patiente.

- dis moi, ma petite qui donc s’est occupé de ton joli derrière cet après-midi ?

Lucie était affolée, elle répondit rapidement.

- mais personne mademoiselle, personne ... Aïe, Aïe ...

La main de Chloé venait de claquer sèchement les fesses tendues.

- ne te moque pas de moi, ton derrière est à ma disposition, n’oublie pas.

Lucie pensa au petit mot de Mme Dugou qu’elle avait dans son sac à main, elle avait prévu de le signer elle même mais la situation se compliquait. Elle réfléchissait rapidement mais Chloé s’impatientait et la fessée reprit.

- non, non, Aïe mademoiselle, arrêtez je vais vous le dire.

En pleurant, elle raconta comment sa cheffe de service l’avait punie pour son retard en lui administrant une fessée déculottée. Chloé écoutait en souriant l’humiliante confession de Lucie, elle lui tapotait les fesses pour l’inciter à continuer.

- bien, bien tu l’avais bien méritée,. Je vais être obligée de le dire à madame Sylvie, je pense que tu n’as pas fini de nous rendre visite ma chérie.

Lucie ajouta.

- j’ai un petit mot à vous faire signer.

Chloé la fit se relever.

- et bien tu vas me donner ça et vite !!

Sa main avait claqué le fessier dénudé, Lucie se dirigea vers l’accueil, sa jupe  retomba et cacha ses fesses rouges mais sa culotte était autour de ses genoux montrant qu’elle était déculottée. Elle traversa la pièce en redoutant de rencontrer quelqu’un.

Depuis le bureau de la fessothérapeute retentissait le bruit classique d’une bonne fessée déculottée accompagné des non moins classiques cris et pleurs de la punie. Mlle Philea était en train de se faire rougir les fesses.

Lucie revint vers Cloé en tenant le petit mot de Mme Dugou entre ses doigts, elle lui tendit. Avant de l’ouvrir la jeune femme lui prit la main et la bascula en travers de ses genoux et lui retroussa la jupe.

- et bien voyons un peu ce que m’a écrit ta cheffe de service.

Tout en caressant les fesses rouges de Lucie, Chloé pris son temps pour lire le petit mot de Mme Dugou qui expliquait qu’elle avait administré une fessée déculottée à Lucie pour la punir de son retard.

- c’est bien, mais j’imagine que tu devais me donner ce petit mot dès ton arrivée n’est-ce-pas ?

- euh... oui mademoiselle, mais j’avais oublié.

Lucie se sentait vraiment coincée, ses fesses dénudées étaient parfaitement exposées. La main de Chloé se remit à claquer le fessier de la jeune femme.

- décidément tu te moques encore de moi, attends un peu je vais t’en faire passer l’envie.

Lucie s’était immédiatement remise à crier et à pleurer. Chloé ne ménageait pas ses claques et sa main rebondissait sur les jolies et fermes fesses de Lucie. Elle s’ouvraient et se refermaient, semblaient danser au rythme de la punition. Le derrière de la punie était maintenant écarlate, elle cessa sa fessée et écarta les fesses.

- je vais t’enlever le plug mais demain tu y auras droit encore pour tout l’après-midi. Et ça durera aussi longtemps que nécessaire, je pense que tu n’as pas fini de venir me montrer ton joli derrière ma chérie.

Quand elle eut retiré le plug, elle fit relever Lucie et lui montra un fauteuil.

- tu te mets à genoux là et tu me présentes bien tes fesses.

Lucie n’était plus en mesure de protester, elle obéit aux instructions de la sévère assistante. Celle ci avait retiré sa jupe et sans enlever sa culotte avait fixé le gode ceinture autour de sa taille. Elle s’approcha de Lucie.

- comme ton petit mari ne vas plus t’honorer Mme Sylvie m’a demandé de le remplacer. Avec le plug que tu as eu tout l’après-midi, ton petit trou est prêt. Allez tends bien tes fesses. Tu vas voir comme c’est bon après une bonne fessée cul nu.

Elle se positionna derrière Lucie et la pénétra doucement, celle-ci gémissait, c’était humiliant mais mieux que les fessées qu’elle avait reçu depuis midi.

Chloé était une experte comme pour administrer la fessée. Elle l’amena rapidement à la jouissance puis elle se retira et regarda Lucie exposant ses fesses écarlates mais n’osant pas bouger. Elle souriait ravie de son nouveau pouvoir, le derrière de cette petite était maintenant entièrement à sa disposition.

- tu peux te reculotter. Je suppose que tu vas t’occuper des fesses de Christine en arrivant. Je n’aimerais pas être à sa place. N’oublie pas notre rendez-vous, demain à 12h30. Même tenue bien sûr.

 

A suivre....