Quand Christian devient Christine
Les deux tourtereaux avec leurs fesses bien rouges avait regagné leur domicile. Contrairement à Christian qui n’avait goûté que moyennement cette expérience, Lucie était guillerette.
Bien sûr ses fesses étaient encore sensibles sous sa jupe et sa petite culotte mais elle était excitée en pensant au derrière de son mari moulé dans l'une de ses culottes blanches. Elle avait reçu l’autorisation ou plutôt l’ordre de fesser Christian tous les jours et ça la mettait en joie, elle décida de profiter immédiatement de la situation, elle regarda son mari avec un sourire coquin.
- alors mon petit chéri, tu as encore mal à ton petit cucul ?
Comme Christian faisait la moue et ne répondait pas, elle s’approcha de lui et lui donna une claque sur le pantalon.
- tu fais la tête ? tu sais ce que Sylvie a dit, je dois te donner une bonne fessée déculottée tous les soirs. Tu veux qu’on commence maintenant ?
Christian un peu surpris se mit à rougir, il était un peu surpris et déstabilisé par le tour que prenait la conversation. Il répondit en bégayant un peu.
- euh, non, non, pardon Lucie mais tu vois, enfin euh ...
Lucie se mit à rire.
- oui, en effet je vois que mon petit Christian n’a pas tout à fait compris que les choses allaient changer dans cette maison.
Elle avait pris volontairement un air plus sévère et avait parlé un peu sèchement. Christian était de plus en plus surpris, surtout que Lucie continuait.
- pour commencer, tu vas enlever ton pantalon, je t’ai trouvé très bien habillé en gamine chez Sylvie et je crois qu’à partir de maintenant ce sera ta tenue à la maison.
- mais enfin Lucie.
Christian essayait de protester mais Lucie devinait au ton de sa voix qu’il n’allait pas résister longtemps.
- il n’y a pas de mais ! je te veux en petite culotte ! dépêche toi si tu ne veux pas que je me fâche ! Je peux également téléphoner à Sylvie, elle sera très contente de te reprendre pour une autre séance.
Christian avait les fesses encore douloureuses et le souvenir du passage sur les genoux de la fessothérapeute était encore cuisant. Il déboutonna son pantalon et le fit glisser. Quelques instants plus tard il exposait son derrière moulé dans la petite culotte de Lucie, ses fesses débordaient et la rougeur de son fessier était encore visible. Lucie l’avait fait pivoter, elle avait glissé ses doigts sous la culotte pour lui palper la croupe.
- tu as été désobéissant mon petit chéri. Tu sais que je ne suis pas du tout contente de ton comportement.
Christian avait les joues écarlates, c’était surprenant comme la séance chez Sylvie l’avait transformé, il ne protestait pas et Lucie poussait son avantage.
- tu sais ce que tu mérites ?
Comme Christian baissait la tête et ne répondait pas, elle lui administra une vigoureuse claque sur le haut de la cuisse, juste sous la culotte.
- je t’ai posé une question !
- aïe, aïe, non, non pardon Lucie, Aïe.
La main de Lucie avait claqué plusieurs fois au même endroit et la cuisse de Christian était rouge.
- alors ? qu’est ce que tu mérites ? J’attends !
- Aïe, Aïe, Aïe .... non, non arrêtes, oui je ... Aïe ... je mérites une punition.
Lucie était satisfaite, sa main avait continué à claquer la cuisse droite de Christian, elle arrêta et posant son doigt sous son menton, elle le força à lever la tête pour la regarder.
- exactement, une punition. Mais quel genre de punition à ton avis ?
Christian était rouge comme une pivoine, le doigt de Lucie lui maintenait la tête droite, elle fit mine de relever la main.
- tu veux que je continue ?
- non, non ... euh ... Aïe.
La main de Lucie avait à nouveau claqué.
- alors ? je claque encore ?
- non, non, je mérites une fessée.
Christian avait parlé très vite comme si ces mots lui brûlait la bouche.
Lucie souriait, satisfaite et un peu surprise de la soumission de son mari.
- oui c'est ça, une bonne fessée...et tu sais comment ça se donne une bonne fessée ?
Christian était aux abois, la main de Lucie claqua la cuisse à nouveau.
- et bien moi je vais te le dire, ça se donne cul nu mon petit chéri. C'est même pour ça que ça s'appelle une fessée déculottée.
Christian aurait bien regardé ailleurs mais le doigt de Lucie sous son menton le forçait à la regarder.
- répète après moi. Je mérite une bonne fessée déculottée.
- aïe aïe aïe, oui. Je mérite une bonne fessée déculottée.
La main de Lucie avait encore œuvré, le haut de la cuisse droite de Christian juste sous la culotte et le pli fessier était rouge vermillon.
- c'est parfait puisque nous sommes d'accord, allons-y. Je crois que tu connais ma position.
Lucie s'était confortablement installée sur le canapé et elle lissait sa jupe, pour signifier à son petit mari que c'était l'endroit où il devait se coucher. Docilement Christian se coucha en travers des cuisses de sa jeune épouse. Sa culotte maintenant rentrait dans la raie fessière découvrant à moitié son fessier rebondi.
C'était la première fois que Lucie pouvait le contempler ainsi. C'est vrai que tu as un joli petit cul mon chéri pensa-t-elle. Un derrière presque féminin par sa forme bien ronde, un derrière qui attire la fessée, la bonne fessée déculottée bien cuisante, tu vas voir mon chéri comment je vais te gâter.
Elle pensait à tout cela tout en caressant la culotte de Christian.
Sylvie avait dit quinze jours de culotte de fille et bien non, ce serait définitif, désormais Christian serait en petite culotte en permanence et le pantalon disparaîtrait de sa garde robe à la maison.
Mais il fallait d'abord lui administrer cette bonne fessée déculottée avant de lui annoncer tout ça. Elle saisit la ceinture de la culotte et la baissa à mi cuisses.
Le beau fessier bien rond de son mari s’étalait devant ses yeux, c’était vraiment une découverte, dans cette position, il prenait de l’ampleur. Les deux fesses encore rosées des fessées de l’après-midi étaient serrées par l’angoisse. Christian en une journée était passé du statut de mâle dominateur rêvant de sodomiser sa femme à petit mari soumis à son épouse et dans la position traditionnelle de la fessée déculottée.
Les doigts de la jeune épouse s’introduisirent entre les deux hémisphères pour les forcer à s’écarter.
- allez mon petit monsieur, il va falloir desserrer ces fesses. De toute façon tu vas l’avoir ta bonne déculottée, tu sais bien que tu l’as amplement méritée. Et puis ce soir tu vas goûter à mon nouveau petit joujou, tu sais le joli gode ceinture que m’a donné Chloé.
Christian gémissait doucement mais il se laissait faire, la séance chez Sylvie avait rempli son rôle, il était désormais devenu très obéissant surtout quand c’était une dame qui lui donnait des ordres. Il était passé sur les genoux de Sylvie puis de Chloé et maintenant il était couché sur ceux de son épouse.
Lucie caressait le derrière de son mari, les fesses étaient maintenant desserrées et ses doigts en les écartant mettait à jour la petite rondelle brune que ce soir elle allait déflorer. Elle sentit une douce excitation se répandre entre ses cuisses. Elle leva la main et commença à claquer ces fesses si bien présentées, immédiatement Christian se mit à crier et à supplier.
- non, non, aïe, aïe noon ça brûle, aïe arrête s’il te plaît.
Lucie n’avait pas l’intention d’arrêter et elle s’appliquait à bien rougir le derrière sur toute sa surface, elle était concentrée sur son travail mais elle répondit quand même aux plaintes de son mari.
- mais je sais bien que ça brûle mon petit chéri, figure toi que c’est même fait pour ça la fessée. Il faut que ton derrière te cuise vraiment pour que tu ne recommences plus et je vais continuer jusqu'à ce que que tes bonnes grosses fesses soient bien rouges.
Et Lucie continuait de claquer joyeusement la croupe rebondie, les fesses de Christian ressemblaient maintenant à deux belles tomates bien mûres. Il suppliait toujours sa femme d’arrêter la punition, ses jambes battaient l’air comme si il était un gamin ou plutôt une gamine gigotant sur les genoux de sa mère, il n’avait pas pu retenir ses larmes tellement la cuisson était intense. C’était la première fois que Lucie lui administrait une fessée, ce ne serait pas la dernière et elle avait l’intention qu’il s’en souvienne.
Enfin, elle cessa la correction, sa main tranquillement posée sur les fesses brûlantes de son mari elle lui expliqua sa nouvelle condition.
- voilà ce qu’on peut appeler une bonne déculottée, n’est-ce-pas mon chéri. Et je te rassure ce ne sera pas la dernière, à chaque fois que tu désobéiras ou que tu te comporteras mal, tu viendras faire un petit séjour sur mes genoux pour recevoir ta fessée. A partir d’aujourd’hui tu ne porteras plus que des petites culottes de gamines sous ton pantalon et dès que tu seras à la maison tu iras te mettre en jupe, j’ai trouvé que cette tenue t’allait très bien cet après-midi.
Pour faire bonne mesure elle lui annonça que dorénavant il s’appellerait Christine et qu’il irait une fois par semaine chez Sylvie pour une séance de Fessothérapie.
- en attendant tu files te mettre au coin, tu mets ton nez contre le mur et je ne veux plus t’entendre.
En voyant le derrière écarlate de son mari exposé dans le coin de la pièce, Lucie sentit l’excitation la gagner, elle n’aurait jamais pensé qu’administrer une fessée déculottée la mettrait dans un tel état. Elle glissa sa main sous sa jupe puis dans sa culotte et commença à se caresser.
Christine le nouveau nom de Christian resta un long moment au coin fesses à l'air.
Lucie n'était pas restée inactive. Elle avait fouillé dans son armoire à la recherche de vêtements pouvant convenir à la féminisation de son petit mari. Christian ou plutôt Christine avait sensiblement sa taille mais il avait un postérieur un peu plus développé, bien rebondi qui lui donnait un air féminin. Elle trouva un kilt qui datait de sa jeunesse, l'intérêt de cette jupe était que l'on pouvait régler la taille en croisant plus ou moins les pans, il était court, ce qui n'était pas pour déplaire à la perverse épouse.
Dès que Christine eu quitté son coin, il dut mettre sa nouvelle tenue, la jupette lui arrivait à mi cuisses et son derrière était bien mis en valeur, Lucie le fit pivoter et retroussa le kilt.
- comme tu es mignonne ma chérie, ça te vas très bien, il faudra que je te fasse épiler, je vais demander à Sylvie, elle doit bien connaître un institut qui s'occupe de ça. Et puis tu vois c'est très pratique si tu n'es pas sage, tes fesses seront vite à ma disposition.
Elle remonta la culotte sur les fesses bien rouges et d'une bonne claque sur les fesses, elle lui indiqua la direction de la cuisine.
- allez au travail mademoiselle, tu vas me préparer un petit repas comme tu sais si bien le faire.
Ce n'était pas difficile pour Christian, c'était lui qui faisait la cuisine la plupart du temps mais, aujourd'hui il était habillé en fille, Lucie l'avait appelé mademoiselle et lui avait claqué les fesses pour lui rappeler sa nouvelle condition, c'était très troublant. Il se mit au travail, il se demandait si la fessée déculottée du soir prescrite par madame Sylvie aurait bien lieu puisqu'il en avait déjà reçu une.
Il fut vite mis au courant, car dès le repas terminé, Lucie lui annonça le programme de la soirée.
- tu ranges vite la cuisine, tu sais ce que madame Sylvie m'a dit de faire tous les soirs.
Christine essaya de négocier.
- mais Lucie, j'ai déjà reçu une bonne fessée déculottée tout à l'heure.
Sa femme se mit à rire.
- ça je le sais ma petite chérie, mais c'était pour punir ta désobéissance. Ce soir c'est la punition décidée par madame Sylvie et puis il va falloir que tu cesses de discuter quand je t'annonce une punition pour t'apprendre je vais doubler la fessée.
Christine se mit à gémir.
- oh, non.....
Lucie le regardait en souriant.
- je crois que tu n'as pas bien compris. Tu devais recevoir deux fessées, maintenant nous en sommes à quatre et on peut continuer aussi longtemps que nécessaire, tes bonnes grosses fesses vont le supporter mais tu vas avoir du mal à t’asseoir pendant un moment.
Christine était matée, elle ne disait plus rien. Elle se dirigea vers la cuisine pour ranger. Lucie l’interpella.
- ma chérie, tu me ramèneras une grosse cuillère en bois quand tu reviendras.
Christine revint un instant plus tard avec l’objet demandé, il se doutait bien un peu de son usage et Lucie le confirma.
- quatre fessées ça va être cuisant pour ton derrière ma chérie mais je ne compte pas m’abimer la main sur tes fesses.
Elle avait pris la cuillère tendue par Christine et elle frappa la paume de sa main avec.
- je crois que ça va être très efficace sur ton joli fessier. Bon, on a pas de temps à perdre, en piste ma jolie.
Elle était ravie de s’adresser à son mari au féminin, c’était très excitant, et celui-ci ne protestait pas et se comportait vraiment comme une jeune femme soumise. Il baissait les yeux et s’était approché des genoux de son épouse. En un instant il se retrouva en position disciplinaire, les fesses pointant vers le ciel, la jupette remontée par la position découvrait déjà le bas de la culotte, Lucie la retroussa haut sur les reins. La petite culotte blanche ornée de dentelle rentrait légèrement dans la raie fessière découvrant à moitié le fessier presque féminin de son mari devenu une jeune femme soumise à la stricte discipline d'une sévère maîtresse, la partie mise à nu portait encore les traces de la fessée précédente.
Lucie souriait, ravie de son nouveau pouvoir. Son esprit vagabondait, " Tu vas voir mon petit chéri comme je vais bien corriger ton petit derrière, après mes quatre fessées, je pense que tu vas avoir du mal à t'asseoir, ça va te cuire longtemps et tu vas devenir très obéissante"
Elle caressait les fesses de Christine par dessus la culotte, ses doigts s'égaraient entre ses cuisses, elle savourait l'instant, pas pressée de commencer. La pauvre Christine attendait sans savoir quand sa punition allait démarrer, puis soudain une avalanche de claques tomba sur son derrière culotté, la brûlure fut intense et elle se mit à se tortiller, à battre des jambes, Lucie la tenait fermement, elle se concentrait sur la base des fesses et le haut des cuisses qui n'étaient pas protégées par la culotte. Rapidement une belle couleur rouge apparu avec les premiers pleurs de Christine.
- tu pleures déjà ma petite chérie, mais c'est juste une petite fessée d'échauffement, attend que je te baisse la culotte, tu vas voir comment maman Lucie sait bien punir les vilaines.
Elle continua encore un moment à claquer le fessier, puis elle s'arrêta et glissant ses doigts sous la ceinture de la culotte elle la baissa jusqu'à mi cuisses.
Le contraste de couleurs entre la partie la plus charnue des fesses à peine rosée et la base qui était déjà écarlate était impressionnant. Lucie caressa à nouveau les fesses de la jeune femme soumise exposant son derrière dénudé. Elle avait complètement oublié son genre, Christian était définitivement devenu Christine.
- bien maintenant que tu es déculottée, tu vas voir ce que j'appelle une bonne fessée.
Effectivement elle ne retenait pas ses claques et rapidement toute la surface du postérieur de Christine fut d'un beau rouge éclatant. Évidemment la punie criait, se tortillait sur ses genoux, mais rien n'y faisait la correction ne s'arrêtait pas.
Quand enfin elle jugea que la première des quatre fessées était suffisante, elle arrêta les claquements mais garda Christine sur ses genoux.
- voilà pour ta première fessée, tu vas aller au coin, pour faire refroidir ton joli derrière et ensuite tu recevras la deuxième avant de te préparer pour aller au lit.
Christine découvrit pour la première fois le passage au coin fesses à l'air après la fessée, ce ne serait pas la dernière fois, elle allait y passer de nombreuses heures mais elle ne le savait pas encore.
Lucie avait coincé la jupette dans la ceinture pour laisser bien visible les fesses rouges, elle lui fit également mettre les mains sur la tête, puis elle s'installa dans son canapé et alluma la télé pour regarder une série. De temps en temps elle jetait un oeil sur son mari exposant ses fesses écarlates dans le coin et elle se caressait discrètement.
Cinquante minutes c'était la durée de l'épisode, ce fut le temps que Christine passa au coin. Ensuite elle dut revenir se coucher sur les genoux de Lucie pour sa deuxième fessée. Cette fois-ci la sévère maîtresse utilisa la cuillère en bois et la pauvre Christine hurla de plus belle, c'était une brûlure plus intense que celle de la fessée manuelle, les fesses étaient d'un rouge très profond quand elle put enfin se relever.
- j'espère que tu commences à comprendre que je ne veux plus entendre la moindre protestation quand je t'annonce une punition. Il te reste encore deux fessées, je vais te donner la troisième dans la chambre et tu recevras la dernière demain matin au réveil.
Christine était debout devant elle, les larmes coulaient sur ses joues, sa culotte était descendue autour de ses chevilles. Lucie la prit par l'oreille et se dirigea vers la chambre.
- tu te déshabilles, tu passes à la salle de bain et aux toilettes et tu m'attends, mains sur la tête devant le lit. Tu as cinq minutes.
Christine était matée, elle ne dit rien et exécuta le programme à la lettre.
Quand Lucie revint, elle se tenait toute nue au pied de son lit, les mains posées sur la tête, ses fesses étaient très rouges, comme deux tomates bien mûres, elles se serraient convulsivement, signe de la cuisson qui devait les envahir. Lucie tenait à la main une de ses nuisettes, elle lui tendit.
- tiens tu mets ça, ce sera ta tenue de nuit dorénavant, j'aurai toujours tes petites fesses à ma disposition.
Un peu surprise mais obéissante Christine s'exécuta, la chemise de nuit était assez courte, elle lui arrivait à peine à mi-cuisses, c'était une tenue un peu humiliante mais ce n'était pas grand chose par rapport à la suite.
Lucie avait commencé à se déshabiller, elle était en culotte, elle la quitta et fixa le god ceinture comme Chloé lui avait montré. Christine regardait son épouse un peu inquiète.
- allez ma petite chérie, en position, tu vas voir comment ta petite Lucie va te gâter.
Christine ne savait pas dans quelle position Lucie la voulait, elle ne bougeait pas et regardait sa femme d’un air interrogateur.
Celle-ci se mit à rire.
- et bien qu’est-ce que tu attends ? Je t’ai dit en position, tu ne sais pas ce que ça veut dire ?
Comme Christine ne bougeait toujours pas, elle s’approcha la fit pivoter et après lui avoir troussé la nuisette elle lui claqua rapidement les fesses.
- c’est ton petit cul que je veux ! alors tu vas me le présenter correctement et vite ! Tu te penches sur le lit et tu me présentes bien ton derrière que je m’en occupe.
Christine était mortifiée d’être traitée ainsi mais elle n’osa pas protester, elle posa ses mains sur le lit et se pencha en avant.
Lucie souriait de la soumission totale de son mari, elle retroussa haut sur les reins la nuisette mettant à nu le fessier bien rebondi de son mari, elle lui fit écarter les jambes pour que les fesses s’écartent et que le petit trou soit bien visible.
- tu sais que tu es très mignonne comme ça avec ton bon gros derrière bien rouge et grand ouvert.
Elle passait son doigt dans la raie fessière et sur la rondelle brune.
- Chloé t’a déflorée cet après-midi, le passage est déjà fait, tu vas voir comme ça fait du bien de se faire sodomiser avec les fesses bien rouges.
Christine ne répondait pas, ce silence ne convenait pas à Lucie, elle lui claqua à nouveau les fesses tendues.
- dis moi que ça te plaît que je te prenne par derrière.
Après quelques claques sonores, Christine se décida.
- euh ... oui, ça me plaît.
- parfait, et bien tu vas me le demander.
- oh, Lucie, s’il te plaît.
Lucie claqua de nouveau le fessier de son mari.
- comment ? tu n’as pas encore compris qu’il te faut obéir !! Il te faut une fessée supplémentaire ?
Christine se mit à gémir.
- non, non, pardon madame.... plus la fessée.
Il était tellement terrorisé à l’idée d’une punition supplémentaire qu’il avait appelé Lucie madame.
- et bien c’est simple si tu ne veux pas une fessée en plus des deux qui sont déjà prévues tu vas répéter après moi. ‘’S’il vous plaît madame Lucie pouvez vous me prendre par derrière pour m’apprendre à obéir sans discuter et à devenir votre gentille petite femme’’
Lucie jouissait littéralement de son nouveau pouvoir, elle se sentait mouiller, c'était vraiment une sensation agréable, il lui tardait vraiment de sodomiser Christine.
Celle-ci vivait vraiment une nouvelle expérience, l’humiliation de sa tenue et de sa position mêlée à la cuisson de ses fesses, tout cela formait un curieux mélange de sentiments et malgré son embarras elle ressentait une certaine excitation, elle avala sa salive et prononça cette phrase si humiliante.
- s'il vous plaît madame Lucie pouvez-vous me prendre par derrière pour m'apprendre à obéir sans discuter et ...
La fin avait vraiment du mal à sortir, Lucie souriait de la gêne de son mari et de son humiliation à reconnaître qu'il était maintenant devenue une jeune femme soumise au bon plaisir de Lucie, elle leva la main et se mit à fesser à nouveau son mari.
- puisque c'est si dur à sortir, je vais t'aider un peu, je crois que tes fesses ne sont pas assez chaudes.
Christine se mit à tortiller ses fesses et à supplier, son derrière était vraiment en feu.
- non, non, aïe aïe aïe, pardon, non madame plus la fessée s'il vous plaît.
Lucie arrêta la fessée.
- il ne tient qu'à toi ma petite chérie, j'attends la fin de la phrase, tu vas obéir sans discuter et....
- et je vais devenir votre gentille petite femme.
Il avait prononcé ces mots à toute vitesse, comme si ils lui brûlaient les lèvres. Mais cette fois c'était dit et inconsciemment il le savait, son changement de statut était définitif. Lui qui avait tant fantasmé sur la sodomisation de son épouse, c'était désormais lui qui devrait présenter ses fesses pour recevoir les hommages sa nouvelle maîtresse. Il se doutait bien que cela serait fréquent et que ça n'irait pas sans quelques cuisantes fessées.
Lucie s'était approchée, elle se rendit compte que cette position n'était pas adaptée à sa taille, elle décida que Christine allait se mettre dans la position classique de la femme soumise, à genoux sur le lit, la tête posée sur le matelas et les fesses pointant vers le haut, c'était encore plus suggestif et définitivement humiliant pour Christine qui présentait ses fesses grandes ouvertes.
Lucie s'agenouilla derrière elle, posa le god sur la rondelle déjà légèrement dilatée et doucement s'introduisit dans son mari. Christine gémissait, elle était à la fois humiliée et excitée par cette pénétration intime. Maintenant le god était bien en place, Lucie commença les mouvements de va et vient, elle se rendit compte que ça pouvait l'amener à la jouissance, elle continua longtemps même après que Christine ait joui également, elle était déchaînée.
- as tu le sens bien mon god dans ton petit cul ! Tu vas être sage j'espère, et tes fesses bien rouges tu les sent aussi ! Allez encore un peu, voilà on y est.... oui ma petite chérie c'est ça, jouit encore, profite en bien car après je vais te flanquer la fessée de ta vie.
Christine râlait sous les coups de boutoir de son épouse, il avait perdu toute sa superbe. Quand elle se retira, il s'affala à plat ventre sur le lit.
Lucie regardait ses belles fesses bien rouges, elle avait joui elle aussi mais ce n'était pas fini, il ne fallait pas oublier la dernière fessée déculottée, c'était impératif pour que Christine comprenne qu'elle serait toujours intransigeante. Elle ramena donc Christine à la réalité.
- bien ma petite chérie, c'est bien joli, mais je n'ai pas oublié que ton joli derrière me doit encore une fessée ce soir et une demain matin. En piste mademoiselle.
Elle s'était assise au bout du lit et tapotait ses cuisses, elle avait gardé son god ceinture, Christine se coucha en travers de ses cuisses. Lucie retroussa à nouveau la nuisette.
- tu vas voir comme c'est bon une petite fessée après une sodomisation.
Christine sanglotait doucement, ses fesses étaient brûlantes et dès les premières claques la douleur fut intense, elle se mit à pleurer vraiment comme une gamine. Lucie ne fut pas trop sévère, elle savait que sa petite chérie allait sentir cette fessée toute la nuit, c'était juste pour marquer son autorité.
Quand elle la fit relever, elle essuya les larmes qui coulaient sur ses joues.
- tu l'avais bien méritée cette fessée, j'espère que tu as compris, maintenant au dodo et tu ne frottes pas tes jolies fesses.
Comme Christine se couchait sur le ventre, elle secoua la main et la gronda.
- non, non ma petite chérie, tu dors sur le dos, il faut que tu sentes bien tes fesses.
Elle lui fit une bise et quitta la pièce sur une dernière menace.
- ne t'avise pas de te retourner ou de frotter tes fesses, sinon gare !
Notre petite Christine, Christian ne risquait pas de désobéir, la leçon avait été cuisante.
Mais ce n'était qu'un début.
A suivre ....
Bravo sylvie quel imagination un vrai régal..jimagine que lucie n'a pas fini avec les humiliations et les fesses rouge merci beaucoup
RépondreSupprimerMerci Denis vos compliments me font toujours plaisir et me pousse à continuer d'écrire. Bien sûr que notre petite Christine va continuer à nous présenter son joli derrière moulé dans sa petite culotte et ses fesses bien rouges après les fessées de Lucie.
SupprimerSylvie
Et des nouvelles fessees recue aussi par lucie ce ne serait que justice
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