mercredi 30 août 2023

Caroline fesseuse de dames 9

 Suite de l'éducation de Sylvie



C'était la deuxième fois que Sylvie rentrait à la maison les fesses nues sous sa jupe, elle était encore privée de culotte. Sans se concerter Huguette avait eu la même idée que Caroline.

C'est vrai que si c'est agréable de baisser une culotte, c'est aussi très pratique d'avoir les fesses de la punie directement à sa disposition quand on retrousse la jupe.

 

Ma crainte c'était de rencontrer Pauline en rentrant à la maison, je me doutais bien que Huguette ne se gênerait pas pour la mettre au courant de ma nouvelle situation. Il était certain que ma condition de grande fille encore soumise à l'éducation anglaise traditionnelle, incluant bien sûr la fessée déculottée, ne resterait pas inconnu de ma voisine mais le plus tard serait le mieux.

Heureusement personne à l'horizon quand nous sommes sorti de la voiture.

Dès que la porte fut refermée, elle me désigna la table.

- tu vas t'asseoir et commencer ta punition, tu as dix copies à faire autant ne pas perdre de temps.

Comme je m'asseyais elle m'indiqua que comme je l'avais fait chez Daisy je devais retrousser ma jupe pour être assise les fesses nues directement sur la chaise. Je m'appliquais car je me doutais bien que la moindre faute serait sanctionnée. Avant le dîner j'eu le temps de copier 4 fois ma dictée, j'avais mal aux fesses et à la main mais j'étais contente.

Huguette avait décidé que je serais privée de télé et que je devrais être couchée très tôt, je dus monter me préparer dès la table débarrassée.

- tu vas te mettre en pyjama et tu m'attends dans ta chambre, tu te mettras au coin fesses à l'air et les mains sur la tête.

Cet ordre annonçait une soirée cuisante.

 

Huguette prenait vraiment goût à son nouveau rôle de maman sévère, avant de monter rejoindre Sylvie dans sa chambre elle était passée dans la sienne prendre sa brosse à cheveux. Quand elle rentra dans la pièce, elle ne put contenir une légère sensation d’excitation entre ses cuisses, le spectacle était parfait, les deux belles fesses de Sylvie, à peine colorées des fessées précédentes, encadrées par la culotte du pyjama baissée sous les fesses. Sa grande fille avait posé ses mains sur la tête ce qui accentuait la cambrure de ses reins et rendait son derrière encore plus attirant.

Elle s’approcha et posa sa main sur la croupe de Sylvie.

- tu sais que maman n’est pas contente du tout.

Elle employait volontairement ce langage enfantin pour mieux ramener Sylvie à sa nouvelle condition.

- un zéro en dictée ! tu crois que ça va passer comme çà ?

Elle avait saisi Sylvie par l’oreille et s’était assise au bout du lit. Sylvie savait ce qui allait lui arriver.

 

J’étais bonne pour une nouvelle fessée déculottée. Mes fesses étaient déjà prêtes, le petit sourire d’Huguette était édifiant, me rougir les fesses lui procurait manifestement du plaisir et mon zéro en dictée lui donnait l'occasion rêvée pour satisfaire ses pulsions. 

J’étais à nouveau couchée en travers de ses cuisses, cette position m’étais devenue familière depuis trois jours. Au point que je commençais à avoir mes repères, poser mes mains par terre, ne pas trop écarter mes cuisses pour protéger autant que faire se peu ma pudeur, ne pas serrer les fesses car les claques son plus douloureuses. J’avais fait tout cela machinalement, mais c’était peine perdue, la honte de se retrouver dans cette position était toujours là. Surtout que je sentais la main et les doigts de ma nouvelle maman explorer mon bon gros derrière comme elle disait.

- Daisy a raison, tu as un  bon gros popotin ma chérie. Tu vas voir maman va s’en occuper.

Et pour s'en occuper, elle s'y entendait, elle avait commencé classiquement avec sa main, mes fesses étaient encore sensibles des fessées de Daisy et la brûlure fut rapide. Mais ce n'était rien à côté de la brosse qui prit rapidement le relais, c'était horrible et malgré mon désir de rester stoïque, je ne pus retenir longtemps mes cris et les pleurs.



 Sylvie battait des jambes au rythme de la fessée, Huguette ne fessait que depuis la veille mais elle y prenait vraiment du plaisir. Le magnifique derrière de sa voisine était à sa disposition en permanence et elle se rendait compte maintenant que c'était un privilège rare. Son caractère autoritaire se satisfaisait pleinement d'avoir transformé Sylvie en une grande fille obéissante.

Maintenant que la fessée déculottée était terminée la croupe cramoisie se serrait convulsivement, elle garda Sylvie un moment dans cette position humiliante puis elle la fit se relever.

- voilà, j'espère que demain tu seras plus attentive et que je n'aurai pas à recommencer.

Elle avait déposé deux oreillers l'un sur l'autre au milieu du lit,  elle les montra à Sylvie.

- tu t'allonges sur les oreillers pour que ton derrière soit bien présenté. Comme hier et pendant tout le temps où tu resteras ici tu vas avoir droit à la pénitence au thermomètre.

Sylvie s'était docilement mis en place, ses fesses écarlates, surélevées par les coussins étaient parfaitement mise en valeur. Huguette écarta largement les deux globes et mis le thermomètre en place, puis elle tapota les deux fesses.

- c'est parfait, comme tu as été vilaine aujourd'hui tu vas le garder un heure. Je sais que c'est long, mais tant pis pour toi,  demain tu n'auras qu'à être une mignonne grande fille. Et ne t'avise pas de bouger, tes fesses pourraient être encore plus rouges.



Elle sortit de la chambre et laissa la porte ouverte, elle était assise dans le salon, son ordinateur portable sur la table, elle l’alluma et put vérifier par l’intermédiaire de la webcam que sa grande fille était bien sage. Les fesses écarlates étaient parfaitement visibles sur l’écran, le thermomètre pointait au milieu des deux hémisphères, la croupe se contractait convulsivement nul doute que le thermomètre aurait bien voulu ressortir mais il était bien en place et il ne bougeait pas. Soudain les mains de la punie se dirigèrent vers le derrière brûlant pour le frotter, Huguette esquissa un sourire, décidément Sylvie lui permettait de satisfaire toutes ses pulsions dominatrices. Elle se leva doucement, passa dans la cuisine pour prendre le martinet et monta l'escalier sans faire de bruit. La porte de la chambre était restée grande ouverte et elle distingua immédiatement le large fessier bien rouge de sa grande fille avec le thermomètre planté au milieu. Sylvie se frottait énergiquement les fesses quand Huguette rentra.

- tu le sais pourtant que je t’interdis de frotter ton derrière après la fessée !! Tu vas voir, Monsieur martinet va te guérir de cette mauvaise habitude. Mets tes mains sur ta tête !

Huguette leva le martinet et commença à cingler les fesses écarlates de la pauvre Sylvie.

 

Je le savais pourtant qu’il ne faut pas se frotter les fesses sans autorisation après une fessée, mais elles me cuisaient vraiment trop. Du coup, pour la cuisson j’étais servie, j’avais oublié combien ce martinet faisait mal, en plus le thermomètre enfoncé dans mes fesses se rappelait à mon souvenir. Je croyais que ça n’allait jamais finir, enfin Huguette m’annonça.

- voilà 30 coups pour ta désobéissance, maintenant chaque fois que je te surprendrai à te frotter les fesses je doublerai la dose, tu vas rapidement comprendre.

Huguette devenait vraiment une maman très sévère et je ne doutais pas qu’elle mettrait sa menace à exécution, 60 coups de martinet puis 120 en cas de récidive, je pleurais abondement en promettant de ne plus recommencer.

- j’espère bien que tu ne recommencera plus, de toute façon tu es prévenue. Monsieur martinet est prêt à s’occuper de tes jolies fesses, ça va te cuire longtemps et demain si c’est nécessaire on pourra recommencer.

Je songeais au milieu de mes pleurs aux réflexions de Daisy sur les avantages du martinet et de la tawse. ‘’ on peut fesser longtemps et souvent, ça n’endommage pas la peau des fesses et on peut recommencer autant de fois que nécessaire’’ Huguette n’allait pas se priver d’utiliser le martinet et mon derrière risquait de me brûler souvent. Elle avait ajouté avant de quitter la chambre.

- tu as gagné de garder un peu plus le thermomètre, on recommence le décompte à partir de maintenant.

Huguette était redescendue au salon, elle avait remis le martinet à son crochet, elle était sûr de ne pas avoir à s’en resservir ce soir, sur l’écran de son ordinateur la webcam affichait les larges fesses de Sylvie, elles étaient d’un beau rouge profond sur toute leur surface.

Décidément ce rôle de fesseuse lui plaisait de plus en plus, elle songea à Caroline, cette petite était une coquine et elle avait un beau derrière bien rebondi, elle trouverait bien le moyen de la déculotter et de lui rougir les fesses. Son esprit pervers se tourna ensuite  vers son autre voisine, Pauline qui avait une trentaine d’année, elle était petite et un peu ronde, Huguette se rendit compte qu’elle n’avait jamais regardé son anatomie postérieure mais vu sa morphologie, elle devait avoir un fessier ‘’confortable’’.

C’était sûr dans quelques jours elle aurait d’autres paires  de fesses à sa disposition.

Le téléphone de Sylvie vibra, c’était un message de Virginie sa fille qui lui annonçait sa visite dans quinze jours. Huguette eut un petit sourire comment la jeune femme de 40 ans allait prendre la nouvelle condition de sa mère. Elle décida de la prévenir un peu avant.

 

Une heure de pénitence avec un thermomètre bien enfoncé entre ses fesses je peux vous dire que c’est très long, je m’étais presque assoupie quand Huguette vint me le retirer.

- bien j’espère que la journée de demain sera meilleure pour tes fesses. Tu vas bien dormir, ma maman disait toujours ça quand j’allais au lit après une fessée.

Effectivement la prévision d’Huguette était exacte, je me réveillai reposée, mes fesses étaient encore légèrement sensibles et rosées. Huguette m’embrassa et comme à son habitude elle me déculotta pour vérifier l’état de mon postérieur.

- voilà une bien jolie paire de fesses, il ne tient qu’à toi qu’elles restent blanches.

Dès que je fus douchée je dus me remettre à ma punition, Huguette avait veillé à ce que ma culotte soit baissée et que mes fesses nues reposent sur la paille rugueuse de la chaise. Il me restait 6 dictées à copier j’en avais pour un moment.

La matinée fut remarquablement calme pour mon derrière et je pus déjeuner en ayant remonter ma culotte sur des fesses toujours intactes.

Comme vous pouvez vous en douter Daisy n’avait pas l’intention de me laisser repartir de chez elle sans m’avoir copieusement rougi les fesses. Elle le fit avec toute la rigueur d’une ancienne professeure. Quand Huguette revint me chercher je sanglotais dans mon coin les fesses écarlates et la culotte entortillée autour des chevilles.



 Huguette était entrée dans la pièce principale ou Daisy donnait ses cours particuliers à notre pauvre Sylvie. Son derrière  bien rouge exposé dans le coin de la pièce était ravissant. La sévère maman n’en attendait pas moins de l’anglaise en vacances. Elle jugea qu’il était bon pour elle de lui montrer ses capacités. Certes Sylvie avait vraiment des fesses très rouges, signe d’une sévère déculottée mais son large derrière pouvait supporter largement plus d’une fessée.

Elle prit son ton le plus sévère.

- et bien ! Tu as encore été punie ! Qu’as donc fait cette chipie ?

Daisy souriait, ravie. Elle adorait la façon qu’avait Huguette de traiter Sylvie comme si elle était une adolescente désobéissante. Elle eu vite fait de mettre au courant la sévère maman des difficultés à inculquer à Sylvie les principes de la langue anglaise, elle conclu en riant.

- et vous savez comme disait une de mes institutrices, si ça ne rentre pas par les oreilles, ça doit mieux rentrer par les fesses.

Huguette trouva la phrase particulièrement à propos.

- c’est vrai et je crois que je vais appliquer ce précepte immédiatement, si vous le permettez bien sûr.

Daisy en souriant, montra du doigt le derrière écarlate de Sylvie.

- mais ma chère, vous avez tout les droits, les fesses de Sylvie vous appartiennent, elles sont à votre disposition, elles sont déjà chaudes et bien préparées pour la suite.

Huguette s’approcha de sa grande fille et lui saisi l’oreille.

- viens un peu ici ma belle.

 

Cette manie de me prendre par l’oreille comme si j’étais une gamine était très humiliante mais je me gardais bien de protester. Daisy m’avait déjà gratifiée d’une magistrale fessée déculottée couchée sur ses genoux et la tawse avait cinglé mes rondeurs douze fois. J’étais gênée par ma culotte enroulée autour de mes chevilles, Huguette se baissa et me la retira complètement. Puis un instant plus tard j’étais à nouveau dans la position préférée des mamans pour administrer la fessée éducative, allongée en travers des cuisses d’Huguette, les fesses à sa disposition.

 

Huguette avait disposé Sylvie de façon parfaite, sa tête était prêt du sol, ses pieds légèrement décollés et son derrière bien exposé et à portée de sa main. Que Sylvie soit une dame d’âge mûr ne changeait rien à la détermination de ses éducatrices. Pour les deux dames qui s’occupaient de son éducation, le seul moyen qui vaille était l’administration régulière d’une bonne fessée sur un derrière préalablement déculotté.

La nouvelle maman de Sylvie avait ouvert son sac à main, elle en sortit sa brosse à cheveux et tapota les fesses avec le dos en bois. Elle regardait Daisy en souriant.

- maintenant que cette chipie a les fesses bien chaudes je pense que ma brosse va être efficace, son bon gros derrière va danser.

Puis elle s’adressa à Sylvie.

- alors comme ça tu refuses de faire les efforts nécessaire ? et bien tant pis pour toi, comme la nature t’a pourvue d’une bonne paire de fesses, maman Huguette va se charger de te rappeler qu’il faut écouter les grandes personnes.

Elle leva la brosse et commença la correction. Les fesses de la pauvre Sylvie étaient déjà endolories par les précédentes fessées, elle se mit immédiatement à crier et à se débattre sur les genoux de sa fesseuse, malgré son âge, elle se comportait comme une adolescente punie par sa mère, elle battait l’air avec ses pieds, elle pleurait et suppliait Huguette.



- non, non, aïe, non, non maman arrête, aïe, aïe, Noon ça brûle, aïe ça fait trop mal arrêtes maman...

Huguette n’avait cure des supplications de sa grande fille, elle continuait consciencieusement à claquer la croupe étalée devant ses yeux, elle la tenait fermement par la taille seul le bas du corps pouvait bouger et Sylvie ne s’en privait pas, elle offrait à Daisy et à sa maman une magnifique danse des  fesses.

- oh non ma grande, je ne vais pas m’arrêter je pense même que je vais continuer longtemps, tes bonnes grosses fesses ne comprennent que la fessée et bien je vais leur en donner, je te garantis que tu vas avoir du mal à t’asseoir jusqu’à demain.

La magistrale fessée continuait au milieu des cris et des pleurs de Sylvie. Daisy était impressionnée par la sévérité d’Huguette. Au cours de sa carrière il lui était arrivé d’assister à des punitions magistrales et elle même avait souvent corrigé des derrières de façon très sévère mais la couleur des fesses de Sylvie et les battements désespérés de ses pieds traduisaient vraiment une punition exemplaire.

Maintenant les gigotements de Sylvie avait cessé elle était étalée pantelante et en pleurs sur les genoux de sa nouvelle maman, la brosse avait fait son oeuvre, Sylvie aurait vraiment mal aux fesses toute la soirée et  certainement le lendemain.

 

Cette fessée allait certainement rester dans les annales, jamais je n’avais reçu une telle correction. Ma punition était finie, mais mes fesses étaient brûlantes et Huguette ne semblait pas vouloir me faire relever, j’exposais donc toujours mon fessier écarlate, en tournant la tête je pouvais m’apercevoir dans cette position humiliante, j’aperçus ma maman qui ouvrait son sac à main et en extirpait son thermomètre favori. Oh non pas encore ça.

Mais si, je sentis les doigts experts d’Huguette qui écartaient mes deux fesses. Je voyais le sourire coquin de Daisy, elle devait avoir une vue parfaite sur mon derrière écarlate et sur ma raie fessière largement ouverte.

Je détestais toujours autant ce complément de punition qu’Huguette appréciait tellement, l’embout froid du thermomètre était maintenant posé au centre de mes fesses, il pénétrait doucement, je me concentrais pour ne pas serrer mes fesses, je savais qu’elle n’attendait qu’une occasion pour me claquer à nouveau le derrière.

 

Huguette n’avait pas pu résister au plaisir de mettre le thermomètre dans les bonnes grosses fesses écarlates de sa grande fille. Daisy était un peu jalouse, elle aurait bien aimé administrer ce petit complément de punition à cette dame d’âge mûre qui avait de si belles fesses. Elle osa en faire la demande à Huguette.

Celle-ci, ravie de pouvoir infliger une petite humiliation supplémentaire à sa grande fille, retira le thermomètre.

- ma chère Daisy, je ne vais pas vous priver de ce petit plaisir.

Une petite tape sur les fesse brûlantes de Sylvie, il lui fallait se relever.

- allez ma petite chérie tu vas aller sur les genoux de Daisy, c’est elle qui va s’occuper de toi.

 

J’étais résignée, mes deux éducatrices avaient décidé de s’amuser avec moi et je n’avais certainement pas intérêt à protester, je m’allongeai donc docilement en travers des cuisses de la sévère anglaise. Elle me tapota à nouveau les fesses.

- vous les avez parfaitement rougi ma chère Huguette, je n’aurais pas fait mieux. Il faut que vous me donniez des conseils pour la prise de température. Pour la fessée, je n’ai pas de problème mais pour mettre un thermomètre en place, j’avoue que c’est la première fois.

Les entendre discuter de ma prochaine punition au dessus de mon derrière bien présenté était très humiliant mais que pouvais-je faire. J’essayais de ne pas trop serrer les fesses.

 

Huguette tendit le thermomètre à sa nouvelle amie.

- oh ce n’est pas très compliqué surtout si la dame se laisse faire et ne serre pas les fesses. Mais je crois qu’il n’y a pas de risque avec notre petite Sylvie. N’est-ce-pas que tu vas être mignonne ma chérie ?

 

En disant ces mots, elle avait claqué mon derrière écarlate, je savais qu’il valait mieux répondre.

- oui maman.

 Je sentais les doigts de Daisy écarter mes fesses, j’imaginais bien la vue qu’elle avait, ma raie grande ouverte et ma petite rondelle exposée à la vue de mes deux éducatrices.

 

Huguette donnait ses instructions à Daisy,

- voilà c’est très bien, vous maintenez les fesses bien écartées, vous posez le thermomètre sur son petit trou et vous l’enfoncez fermement. Ne vous souciez pas de ses gémissements, le passage est déjà fait et madame fait souvent du cinéma.

Daisy avait suivi les instructions d’Huguette et le thermomètre pénétrait doucement.

- allez-y, pour que la dame le sente bien et qu’il ne ressorte pas il faut l’enfoncer très profondément. Voilà c’est bien, encore un peu.



Sylvie gémissait doucement, Huguette s’approcha et lui administra deux bonnes claques sur les fesses.

- cesse ces gamineries ! à moins que tu ne veuilles une nouvelle fessée.

La dame redevenue une adolescente punie cessa immédiatement ses gémissements, son derrière était suffisamment cuisant comme ça. Daisy tapotait négligemment la croupe brûlante.

- elle a vraiment un derrière bien mignon. Et vous lui laissez donc le thermomètre assez longtemps si j’ai bien compris ?

- oui, oui, je trouve que c’est un bon complément de punition, ça remplace le passage au coin. Enfin si je n’ai pas le temps de la garder sur mes genoux, soit madame va au coin le nez au mur, soit je l’installe sur l’accoudoir du canapé avec le thermomètre dans les fesses.

Daisy faisait tourner le thermomètre.

- alors ma petite Sylvie, j’espère que tu vas faire des efforts demain, sinon tu sais ce qui va t’arriver. Ta maman va m’indiquer où trouver un thermomètre.

 

Cette pénitence me parut interminable, Huguette et Daisy discutait comme deux vieilles amies et semblait ne plus se soucier de moi.

L’annonce de l’achat par ma professeure d’un thermomètre annonçait d’autres séances humiliantes, la suite me prouva que je ne m’étais pas trompée. Cependant j'allais faire de remarquable progrès en anglais. 

Je fus soumise à ce traitement humiliant et cuisant pendant tout le temps où Daisy fut en vacances. 

Fessée matin après midi et soir était mon quotidien avec bien sûr les traditionnelles pénitences avec le thermomètre enfoncé profondément dans mes fesses bien rouges.


À suivre...

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