Inversion des rôles
J'avais passé une quinzaine cuisante chez Huguette, tous les après-midi j'avais mon cours particulier d'anglais avec Daisy qui s'adressait le plus souvent à mes fesses. Il n'est pas arrivé un jour où je ne suis pas rentrée chez Huguette avec ma paire de fesses bien rouges sous ma petite culotte. Bien souvent d'ailleurs j'étais privée de culotte pour le trajet du retour.
Mais ce soir là, Huguette m'annonça qu'elle m'autorisait à rentrer chez moi pendant 3 jours puisque Virginie ma fille devait venir me voir. J'ai prévenu Daisy, tu n'iras pas en cours non plus mais tu auras des devoirs à faire.
J'étais contente mais un peu intriguée que Huguette abandonne si facilement ses prérogatives. J'avais donc regagné ma maison Virginie devait arriver en fin de matinée je guettais sa voiture, je la vis se garer devant chez Huguette et rentrer dans la maison de ma voisine. C'était curieux et inquiétant, au bout d'un quart d'heure elle ressorti et gara sa voiture devant la maison. J'étais contente de la revoir, Virginie habite en Angleterre et je ne la vois pas souvent, elle est célibataire et je la soupçonne de penchants lesbiens. Elle est grande et mince, des cheveux blonds assez longs, tiré en arrière avec une queue de cheval. Je lui fis la bise, elle se recula pour me regarder.
- mais tu rajeunis maman, c'est exactement ce que me disait Huguette.
Je rougis en entendant le nom de ma voisine, j'étais presque sûr qu'elle lui avait parlé de notre nouvelle relation.
J'avais mis un pantalon, Virginie me le montra du doigt.
- je croyais que tu ne devais porter que des jupes ?
Je me mis à bégayer et je sentis une intense rougeur gagner mes joues et même mes oreilles.
- euh, oui enfin non...mais...C'est à dire....
Virginie avait pris un air moqueur, elle souriait.
- ma petite maman à désobéi.
Elle avait levé un doigt et l'agitait.
- tu sais ce qui arrive aux petites désobéissantes.
Je n'en croyais pas mes oreilles, ma fille me grondait comme si j'étais une gamine et le pire c'est que je ne protestais pas.
Bien sûr que Huguette avait dût la mettre au courant de ses exigences vestimentaires, et encore Virginie ne voyait pas la culotte sage toute blanche en coton que je portais sous mon pantalon, une petite culotte de jeune fille obéissante.
Je savais bien pourquoi je n'avais pas mis de jupe aujourd'hui, Huguette avait supprimé de ma garde robe toutes les jupes de dame et elle avait raccourci toutes les autres de façon à ce qu'elle m'arrive 10 cm au dessus du genou, il y en avait même quelques unes qu'elle appelait jupe de punition qui était si courte qu'elles dévoilaient ma culotte dès que je me penchais. Elle m'en avait fait porter une la veille pour aller chez Daisy et nous avions croisé Pauline qui avait bien rit en me voyant habillée comme une gamine.
Virginie me regardait fixement, j'étais intimidée.
- tu ne crois pas que tu devrais te changer, sinon Huguette va l'apprendre et à ce que j'ai compris ça pourrait chauffer pour toi.
Elle n'avait pas dit que ça allait chauffer pour mes fesses, mais c'était tout comme. De plus en plus rouge, je me dirigeai vers ma chambre, Virginie me suivit.
Virginie suivait sa mère en souriant, son derrière rebondi moulé dans son pantalon et se balançant au rythme de ses pas, étaient assez suggestif. Elle se rendit compte qu'elle n'avait jamais prêté attention à l'anatomie de Sylvie. C'est vrai que malgré son âge elle avait encore des formes et même un sacré popotin pensa la jeune femme.
Virginie appréciait le sexe féminin depuis son adolescence. Arrivé dans la chambre, elle ouvrit la penderie et regarda toute les jupes suspendues.
- et bien tu as le choix, dépêche toi de m'enlever ce pantalon, regarde celle-ci comme elle est mignonne.
Je ne sais pas si elle l'avait fait exprès mais elle avait prit justement une jupe de punition, c'était plutôt une jupette d'ailleurs. Elle était à carreaux rouges et noirs et elle m'arrivait 15 cm à peine sous les fesses.
Je fis la moue ce qu'elle remarqua.
- Huguette à raison tu as besoin d'être tenue. Je te rappelle que tu as désobéi, alors estime toi heureuse que je ne t'aie pas conduit immédiatement chez Huguette pour qu'elle te voie en pantalon.
Je frémis en pensant à la réaction de ma nouvelle maman. Elle aurait bien été capable de me l'enlever illico et de me faire traverser la rue en culotte pour venir chercher une tenue adaptée à ma condition.
Sylvie venait de comprendre que les 3 jours de vacances avec sa fille risquait de ne pas trop changer sa situation. Elle enleva son pantalon, elle portait des socquettes blanches et sa petite culotte bien sage. Virginie lui prit la main et la fit pivoter, elle voulait profiter de la tenue légère de sa mère pour mieux l'examiner. Elle avait déjà prévu de le faire plus en détail très bientôt mais c'était un début.
- mais que tu es mignonne avec cette petite culotte et ces socquettes, une vraie collégienne.
Sylvie était écarlate, elle ne savait que répondre. Virginie lui tendit la jupette.
- allez mets moi ça.
C'est vrai qu'ainsi habillée, Sylvie n'était plus une dame d'âge mûr, mais elle ressemblait fortement à une collégienne anglaise, Virginie lui prit la main.
- bien, vient avec moi, nous avons à parler.
Sylvie tenue fermement par la main par sa fille se retrouva au salon. Virginie s’assit sur le canapé et laissa sa mère debout.
- Huguette m’a informée des nouvelles dispositions qu’elle a été obligée de prendre à ton égard. Je m’aperçois qu’elle a raison. Tu as profité de ton retour à la maison pour désobéir immédiatement, tu pensais peut-être qu’avec moi ça allait passer ?
Sylvie ne répondait pas elle était sidérée par cette tirade, Virginie était sa fille mais elle s’adressait à elle comme si elle était une gamine, surtout que Virginie continuait.
- Huguette t’a flanqué une fessée déculottée pas plus tard qu’hier soir et toi dès le le lendemain tu ne trouves rien de mieux à faire que de désobéir. Apparemment ça ne t’a pas suffit et bien je vais suivre les conseils de ta nouvelle maman.
Devant l’air surpris de Sylvie elle ajouta en souriant.
- à oui tu ne le savais pas mais Huguette m’a dit que tu devais l’appeler maman et qu’elle te traitait comme si tu étais sa fille.
J’étais consternée, même si je m’en doutais un peu, maintenant Virginie venait de me prévenir que toutes mes tentatives pour cacher ma nouvelle vie serait vaine. Je tentai de l’amadouer car je sentais que nous étions sur une pente glissante, elle avait déjà évoquée ma dernière punition. Entendre le mot fessée déculottée dans la bouche de ma fille m’avait fait tout drôle.
- écoute Virginie, je reconnais que j’ai désobéi à Huguette mais c’était pour te recevoir correctement, je comptais t’en parler un peu plus tard.
Virginie plissa les yeux et fit une petite moue dubitative qui ne me disait rien qui vaille.
- j’aimerais bien ma petite maman que tu ne te moque pas de moi, je déteste ça et en plus ça aggrave ton cas.
Sylvie se rendit compte qu’elle n’avait plus vraiment devant elle sa petite fille mais une jeune femme autoritaire qui la regardait d’un air sévère, elle baissa la tête et ne répondit pas. Virginie souriait toujours, elle continua.
- comme la fessée déculottée d'hier soir n'a pas suffit, je ne vois qu'une seule solution.
Elle laissa sa phrase en suspens pour guetter la réaction de sa mère. Celle-ci ne tarda pas, Sylvie venait de comprendre où tout ceci l'entraînait. Elle fit une dernière tentative.
- mais enfin Virginie, tu ne vas quand même pas me donner une fessée, je suis ta mère tout de même.
C'était la réponse qu'attendait Virginie, son sourire se transforma, son regard était plus strict.
- oh bien sûr que si je vais te donner une fessée et même une bonne fessée si tu veux le savoir.
- mais Virginie....
Sylvie était devenue rouge, elle sentait le sol se dérober sous ses pieds.
- Il n'y a pas de mais ! Huguette m'a bien expliqué que j'aurais certainement à y recourir, elle avait raison. Et oui je suis ta fille, mais outre qu'il n'y a pas d'âge pour recevoir une bonne fessée, ton comportement nécessite une sanction, estime toi heureuse qu'Huguette ne soit pas là. Je pense qu'en plus de la mienne, tu aurais eu droit également à un passage sur ses genoux.
Sylvie baissait la tête, elle savait que Virginie avait raison, elle savait également que la deuxième fessée donnée par Huguette arriverait certainement mais plus tard.
Virginie lui fit un petit signe du doigt.
- je suppose que tu connais la position. La dernière fois que tu m'as donné la fessée je devais avoir 12 ans, mais je me souviens comment tu faisais.
Sylvie s'était approchée des genoux de la jeune femme. Ce n'était plus sa fille mais une dame sévère qui s'apprêtait à la punir pour sa désobéissance. Virginie lui prit la main et la guida pour qu’elle se couche en travers de ses cuisses.
- voilà tu es bien installée ? je pense que nous en avons pour un moment.
Sylvie ne put retenir quelques gémissements, sa honte était trop forte.
C’était horrible, je n’avais jamais subi une telle humiliation, bien sûr j’avais été fessée par Caroline qui était plus jeune que Virginie mais ce n’était pas la même chose que de se retrouver couchée sur les genoux de sa fille, les fesses tendues vers elle. Je sentais l’air sur mes cuisses, je me doutais que vu la taille de ma jupe, ma culotte devait déjà être visible. Virginie me tapotait l’arrière des cuisses juste sous le pli fessier. J’aurais préféré qu’elle fasse vite mais elle semblait vouloir profiter de la situation.
- cette jupe est parfaite pour donner la fessée, tu montre tout de suite ta culotte ma petite maman.
Je sentis qu’elle retroussait ma jupe sur mes reins, je ne put retenir quelques sanglots
- tu devrais garder tes larmes pour tout à l'heure, je n'ai pas encore commencé. Oui, je sais que ce n'est pas une position très agréable, je me souviens très bien, que même à 12 ans j'avais trouvé très humiliant que tu me retrousse ma jupe après m'avoir mis sur tes genoux. Ta culotte est vraiment très mignonne, une vraie culotte de gamine qui reçoit encore la fessée.
Elle caressait ma culotte doucement, oui moi aussi soudain je me rappelais de la dernière fessée que je lui avais administrée, pourquoi m'étais-je arrêtée de la punir comme ça, j'aurais dû continuer jusqu'à ce qu'elle quitte la maison, peut-être qu'elle n'aurait pas osé me donner la fessée aujourd'hui.
- tu te souviens que tu me baissais toujours la culotte, tu n'appelais d'ailleurs pas ça une fessée mais une déculottée. Tu t'en rappelle ?
Elle avait accompagné sa phrase par une claque un peu sèche sur mes fesses tendues. Bien sûr que je m'en souvenais, c'était l'expression favorite de ma mère, elle ne disait pas fessée déculottée mais simplement, "tu vas voir la bonne déculottée que je vais te flanquer "
En attendant c'était moi qui aujourd'hui présentait mes fesses et je peux vous dire qu'elles étaient bien serrées sous ma culotte. De toutes les fessées que j'avais reçu depuis quelques jours, c'était celle qui m'angoissait le plus. Allait-elle me déculotter ? La réponse ne tarda pas.
- bien voyons donc un peu ce que cache cette petite culotte. Tu n'as certainement pas oublié qu'une fessée c'est toujours cul nu n'est ce pas ?
Virginie se régalait de la honte de sa mère et de la facilité avec laquelle elle l'avait transformée en gamine obéissante. Le derrière bien rebondi de Sylvie garnissait bien la culotte tendue qui laissait même voir un peu la racine des fesses. Il était temps d'examiner ce fessier de plus prêt. Elle glissa ses doigts sous la ceinture de la culotte et la fit glisser sur les rondeurs de sa mère. Elle était émue, déculotter une dame de cet âge n'était pas courant mais découvrir les fesses nues de sa mère dans cette position humiliante était pour le moins original.
Elle put constater ce qu'elle avait deviné dans la chambre, Sylvie avait malgré son âge un magnifique derrière, bien dodu mais ferme, les deux fesses étaient séparées par un large et profond sillon. Elle tapota les fesses.
- et bien nous y voilà ma vilaine maman désobéissante, prête à recevoir la bonne fessée déculottée de Virginie. Et oui tu peux pleurer, mais il fallait réfléchir avant, ta fille va te donner la fessée déculottée que tu as méritée.
Elle leva la main et commença à claquer les fesses tendues de Sylvie, immédiatement celle-ci se mit à gémir puis à supplier et ensuite à battre des pieds. Virginie n'avait pas une grande habitude pour donner la fessée, c'était même la première fessée punitive qu'elle administrait. Bien sûr elle jouait de temps en temps à panpan cucul avec ses petites amies, mais aujourd'hui c'était complètement différent, la dame qui se tortillait sur ses genoux et dont les fesses commençaient à prendre une jolie couleur rouge avait près de 70 ans et c'était sa mère. Et elle lui administrait une fessée déculottée pour la punir de sa désobéissance.
Tout cela défilait à toute vitesse dans son cerveau, elle se rendit compte qu'elle appréciait cette situation et même qu'elle aimait donner la fessée.
Sa main claquait joyeusement le large derrière de Sylvie, les fesses s'ouvraient maintenant largement, la fière maman avait perdu toute pudeur et elle exposait son intimité, elle pleurait comme une gamine et suppliait sa fille.
- non, non, aïe, aïe aïe aïe, pardon, non plus la fessée. Pardon maman....
Virginie se mit à rire,
- et oui ça brûle la bonne fessée déculottée de Virginie, mais je ne suis pas ta maman ma chérie. Mais tu as raison, tu vas m'appeler momy, maman c'est réservé à Huguette.
Elle continuait à claquer la croupe désormais écarlate.
- tu désobéiras encore ?
Sylvie était vaincue, ses jambes battaient l'air désespérément.
- non, non promis momy, promis, plus la fessée.
Virginie souriait, elle continua la fessée encore pendant quelques instants puis elle s'arrêta mais garda Sylvie étalée en pleurs sur ses genoux.
- tu es sûr que tu ne désobéiras plus ?
- oui, oui, oui momy promis.
Virginie avait vraiment pris goût à la fessée, elle se mit à rire.
- c'est bizarre comme après une bonne fessée déculottée on est capable de tout promettre. Mais moi je ne suis pas sûre que tu aies vraiment compris. Tu vas aller au coin faire refroidir tes jolies fesses et ensuite je vais poursuivre leçon.
Pour une première fessée, Virginie m'avait gâtée, ce n'était pas la plus sévère fessée que j'avais reçue durant cette quinzaine mais pour n'avoir utilisé que sa main c'était quand même très efficace, j'avais les fesses brûlantes. Quand elle me fit relever je n'osais pas la regarder, j'étais trop honteuse, elle me força à lever la tête en mettant son doigt sous mon menton.
- regarde moi un peu vilaine fille désobéissante, oui je sais que tu as honte que je t'aies baissé la culotte pour te flanquer la fessée mais tu n'avais qu'à pas désobéir. J'espère que tu vas t'en souvenir longtemps de cette première fessée déculottée et je te garantis que ce ne sera pas la dernière .
Ma culotte était entortillée autour de mes chevilles elle me la fit enjamber.
- donne moi ta culotte, pour le moment tu n'en as pas besoin. Va te mettre au coin et tu tiens ta jupe retroussée que je vois bien tes fesses.
Le passage au coin fesses à l'air après la fessée était devenu une habitude pour moi. Mais que ce soit ma fille qui me l'ordonne et qu'elle me regarde dans cette position rajoutait à ma gêne d'exposer mon derrière rougi.
Virginie était ravie du spectacle offert par sa mère, elle sentait une petite excitation la gagner, elle songea à sa petite amie en Angleterre, elle allait goûter à la fessée déculottée dès son retour, c'était sûr. Elle se leva et se dirigea vers la cuisine puis revint quelques instants plus tard.
- dis moi, je ne vois pas le martinet, Huguette m'a dit qu'il était toujours suspendu dans la cuisine ?
Sylvie serra légèrement les fesses, elle l'avait mis dans un placard car elle ne souhaitait pas que Virginie le voit. Elle ne répondit pas immédiatement.
Virginie s'était approchée, elle lui claqua légèrement les fesses.
- je t'ai posé une question ma chérie.
Sylvie savait qu'il lui fallait répondre même si sa situation allait s'aggraver.
- euh, je l'ai rangé.
- ah oui ? Huguette t'avait pourtant dit de le mettre au crochet ?
- ....
La main de Virginie claqua sèchement plusieurs fois les fesses de Sylvie.
- et bien tu vas aller me le chercher. Et tu tiens bien ta jupe relevée.
Sylvie quitta son coin et se dirigea vers la cuisine les fesses toujours bien exposées. Elle revint rapidement en tenant le martinet à la main. Virginie tendit la main et s'en saisit.
- encore une désobéissance ! Vas te remettre au coin, nous règlerons ça tout à l'heure.
Virginie caressait les lanières distraitement, elle se rappelait très bien de ce martinet, il n'avait pas souvent cinglé ses fesses mais plutôt ses mollets quand sa mère était en colère. Mais elle se souvenait parfaitement avoir entendu Sylvie raconter que sa propre mère donc la grand mère de Virginie l'utilisait très régulièrement sur ses fesses nues et jusqu'à l'adolescence.
Elle souriait en regardant les fesses bien rouges de sa mère. "ma petite maman ça va te rappeler ta jeunesse mais ce n'est pas mamy qui va te punir mais ta petite Virginie, tu vas voir comme je vais bien faire danser tes jolies fesses"
Le téléphone de Sylvie vibra, Virginie le consulta, c'était Caroline qui proposait de passer dans l'après-midi. Virginie eut un petit rire malicieux.
- dis moi, c'est qui cette Caroline qui veut passer te voir cet après midi ?
Je frémis en entendant Virginie me parler de Caroline, il ne fallait surtout pas que ces deux-là se rencontrent, je bredouillai.
- euh, oh c'est une jeune qui vient de temps en temps pour discuter, je vais lui répondre que je suis occupée, elle peut venir un autre jour.
Virginie tenait toujours le téléphone à la main.
- apparemment elle est intéressée par tes fesses ma chérie, c'est très bien, je vais lui répondre que tu seras dispos vers 16 h.
En effet le message de Caroline était sans ambiguïté "coucou ma petite mamie, tes fesses ont du se reposer depuis le temps, je vais passer cet après midi pour m'en occuper. Bisous"
Virginie avait répondu au message, elle s'approcha de sa mère avec le martinet à la main.
- bon tes petites fesses ont eu le temps de refroidir, on va passer à la suite. Je comptais juste te donner une deuxième fessée pour que tu retiennes bien la leçon mais ta deuxième désobéissance nécessite une sanction plus sévère. Je vais utiliser ce joli martinet, ça va te rappeler les fessées de mamy et je vais être obligée de prévenir Huguette de ton comportement, je doute que tes fesses ne reçoivent que ma fessée ma chérie.
Virginie avait saisi l'oreille de Sylvie pour l'amener au milieu de la pièce, elle lui désigna le fauteuil.
- tu te mets à genoux et tu te penches pour bien me montrer tes fesses.
Sylvie s'exécuta sans broncher, décidément Virginie apprenait vite son métier de maman sévère.
La jeune femme était étonnée malgré tout de la facilité avec laquelle elle avait soumis sa mère, celle-ci lui présentait maintenant son large fessier bien rouge, la position penchée en avant, ouvrait les fesses, la raie fessière était bien visible, ça devait être très humiliant mais pourtant elle ne protestait pas. Quinze jours d'éducation stricte chez Huguette avait eu raison de ses velléités de rébellion. Elle s'approcha et passa sa main sur les fesses tendues, elles étaient chaudes, une légère chair de poule apparu sous la caresse ce qui fit sourire la jeune femme.
- tes fesses sont magnifiques et bien échauffées pour ta fessée au martinet. Tu l'as bien méritée n'est ce pas ?
Comme sa mère ne répondait pas, elle leva le martinet et lui cingla les cuisses.
- aïe, aïe....
Sylvie avait été surprise, elle s’attendait à se faire claquer les fesses et elle les avaient un peu contractées mais la brûlure des lanières sur l’arrière de ses cuisses avait été intense.
- je t’ai posé une question, tu veux que je continue ? tes cuisses sont bien blanches.
- non, non, momy, ça brûle, AÏE, AÏE.
Les lanières avaient tracés des lignes rouges sur la partie la plus tendre, juste sous les fesses.
- alors ? j’attends.
- aïe, oui, oui momy, je mérite la fessée déculottée, mais ça brûle trop momy.
Virginie était satisfaite, elle se mit à rire.
- à nous y voilà, ça a été laborieux, mais oui je sais que ça brûle ma chérie mais c’est fait pour ça. Pour que tu t’en souvienne et que tu ne recommences pas. Allez on va s’occuper de ton bon gros derrière.
Le martinet commença sa danse cuisante sur les fesses de Sylvie, immédiatement celle-ci se mit à gémir et tortiller ses fesses. Puis rapidement malgré son désir de rester stoïque elle se mit à pleurer comme une gamine punie par sa maman. Sauf que la momy en question, c’était sa fille qui se régalait du spectacle des deux fesses rebondies désormais rouges comme des tomates.
Virginie n'avait jamais donner une fessée avec un martinet mais elle apprenait vite comme l'avait constaté Sylvie. Le bon gros derrière de Sylvie comme elle l'avait surnommé était d'un rouge profond, les lanières avaient cinglé également l'arrière des cuisses qui était rouge aussi, c'était vraiment une magistrale correction qu'avait reçu la maman redevenue une adolescente punie par sa nouvelle momy.
Virginie avait posé le martinet sur la table, elle se recula pour juger du spectacle, elle était conquise, elle allait utiliser la fessée déculottée beaucoup plus souvent. Elle fit relever sa mère qui sanglotait doucement, elle eut envie de la consoler, c'est vrai qu'elle avait été sévère. Elle la prit dans ses bras et l'enlaça, ses mains descendirent sur les fesses brûlantes.
- voilà ma chérie, c'est fini, avoue que tu l'avais bien méritée cette fessée, tes fesses vont te cuire un moment, c'est le but de la fessée. Tu vas aller te mettre au coin pendant que je prépare le repas.
Elle plaça une chaise contre le mur et la désigna à Sylvie.
- tu te mets à genoux sur la chaise avec les mains sur la tête, tu vas pouvoir réfléchir à ta conduite et ça te fera le plus grand bien.
Elle coinça la jupette dans la ceinture pour que les fesses restent bien exposées, puis elle se dirigea vers la cuisine.
Décidément Virginie ne manquait pas d'idée ,c'était la première fois que je faisais du coin dans cette position, c'était très inconfortable et encore plus humiliant, j'avais vraiment l'impression d'être en exposition avec mon derrière écarlate.
Le séjour de Virginie avait commencé chaudement la suite serait certainement très cuisante et douloureuse pour mes fesses.
Superb update I really liked it
RépondreSupprimerChinmay
Sylvie il y a du relachement et de la paresse gare a tes fesses rouge avant une nouvelle histoire....
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