samedi 12 août 2023

Caroline fesseuse de dame 8

Une leçon particulière pour Sylvie

 


Il était l’heure d’aller chez Daisy, j’étais inquiète, la matinée s’était mal passée pour mes fesses, elles étaient encore sensible surtout après la fessée au martinet administrée par la jeune factrice.

J’étais restée très longtemps au coin exposant mes fesses nues et j'étais persuadée que ma culotte ne resterait pas sur mes fesses cet après-midi.

Huguette se comporta comme une maman attentionnée, juste avant de quitter la maison je dus me soumettre à l’humiliante inspection de ma culotte.

 

Huguette arrêta Sylvie dans le hall.

- j’espère que ta culotte est propre, si jamais Daisy était obligée de te déculotter, je ne voudrais pas que tu me fasse honte.

Sylvie la regarda en rougissant, mais elle n’osa pas protester. Huguette lui avait pris la main et l’avait fait pivoter, puis sans se préoccuper de savoir ce qu’elle en pensait, elle courba sa grande fille sous son bras, retroussa sa jupe et baissa sa culotte, elle le complètement retourna pour pouvoir en examiner le fond.

C’était assez surréaliste de voir cette dame de 70 ans, courbée en avant, les fesses nues bien exposées pendant que sa «maman» inspectait sa culotte et la grondait comme si elle était une adolescente.

- bon, quelques traces mais ça va aller, enfin j’espère que Daisy sera aussi indulgente que moi.

Elle lui donna une claque sur les fesses tendues et lui remonta la culotte.

- en route !

Le trajet fut court, Sylvie était dans ses petits souliers en sonnant à la porte de Daisy.

Celle-ci l’acceuilli avec joie et marqua un temps d’arrêt en voyant Huguette, celle-ci prit l’initiative de se présenter elle même.

- bonjour madame, je suis Huguette, j’ai pris en charge depuis hier l’éducation de Sylvie, je pense que vous aviez remarqué qu’elle avait quelques lacunes.

Daisy se mit à sourire, décidément ce séjour en France était plein de surprises. Elle tendit la main à Huguette.

- oh mais c’est une très bonne nouvelle.

Puis s’adressant à Sylvie qui baissait la tête.

- tu en as de la chance ma chérie d’avoir quelqu’un qui s’occupe de toi, tu es contente ?

Sylvie ne répondit pas immédiatement, ce qui entraîna immédiatement une réaction de la sévère Huguette. Elle lui claqua sèchement le derrière par dessus la jupe.

- quand on es polie on répond ! faut-il que j’utilise une autre méthode ?

Sylvie paniquée avait poussé un petit cri.

- non, non maman pardon. Euh oui Miss je suis contente.

Daisy avait sourit en entendant Sylvie appeler Huguette maman. C’était vraiment un scénario charmant, elle avait bien sûr prévu de se livrer à son activité favorite cet après-midi, à savoir la mise à nu d’une belle paire de fesses et son rougissement. En gros elle avait prévu d’administrer une magistrale fessée déculottée à Sylvie, mais elle n’avait pas prévu que son élève serait accompagnée par sa «maman». Elle s’adressa à Huguette.

- j’ai prévu de donner un petit cours d’anglais à Sylvie, je pense qu’elle en a besoin, vous ne voyez pas d’inconvénient si j’utilise les méthodes anglaises traditionnelles.

- oh certainement pas, cette vilaine m’a forcé à la déculotter plusieurs fois depuis ce matin. D’ailleurs si vous voulez on va pouvoir vérifier si ses fesses sont en état pour suivre votre cours.

 

 En un instant Huguette m’avait fait pivoter pour que je présente mes fesses à Daisy, elle m’avait coincée sous son bras et retroussé la jupe.Je tendais bien malgré moi mon derrière à Daisy qui n’en demandait pas temps, en levant les yeux je vis dans la glace le spectacle que j’offrais. Une bonne paire de fesses moulée dans ma petite culotte qui rentrait dans ma raie fessière. Daisy souriait tranquillement, elle semblait vraiment apprécier ce spectacle, surtout que Huguette n'en restait pas là. Je sentis ses doigts se glisser sous la ceinture de ma culotte et à ma grande honte, elle glissa doucement sur mon derrière. Je commençais pourtant à avoir l’habitude de me faire déculotter et même en public mais je ressentais malgré tout une intense humiliation au moment où je sentais l’air frais caresser mes fesses.



 Huguette prenait son temps pour dénuder le fessier de sa grande fille, outre que c’est toujours agréable de déculotter une dame, elle prenait beaucoup de plaisir à montrer son autorité à Daisy. La culotte de Sylvie était maintenant descendue sous ses fesses, Huguette les tapota.

- regardez moi ça cette bonne paire de fesses, elles sont encore un peu rosées, c’est les restes de sa dernière fessée mais croyez moi un bon gros derrière comme ça, c’est fait pour recevoir la fessée n’est-ce pas.

Daisy s’approcha et posa sa main sur les fesses, Huguette força Sylvie à se courber un peu plus pour que les fesses soient encore mieux tendues.

- c’est vrai ma chère, vous avez raison, quelle joli derrière, comment dites vous en France. Un joli popotin je crois.

Huguette se mit à rire, elle tapota à nouveau les fesses bien tendues de Sylvie.

- oui, oui c’est tout à fait ça, notre petite Sylvie a vraiment un joli popotin.

 

 Ces commentaires élogieux sur mon anatomie fessière ne compensait pas ma honte d’être ainsi exposée, les fesses à l’air. Mes deux maîtresses n’avait pas l’air pressée et elle profitait du spectacle que je leur offrais bien malgré moi. Je jetais un oeil dans la glace pour voir mes fesses que je trouvais bien trop grosses mais qui semblait ravir mes deux fesseuses, enfin Huguette se décida à remonter ma culotte. Ce fut un soulagement pour moi, même si c’était également un peu gênant à mon âge de me faire reculotter comme si j’étais une gamine.

 

 Huguette s’était maintenant tournée vers Daisy, elle s’adressait vraiment à elle comme une maman à l’institutrice de sa fille et que la fille en question soit âgée de 70 ans n’avait pas la moindre importance.

- bien je vous laisse et je vous confie Sylvie. Je pense qu’elle est en de bonnes mains. Je n’ai pas besoin de vous préciser que si c’est nécessaire vous pouvez la déculotter pour lui flanquer une bonne fessée.

Elle prit son sac et sortit de la maison. Daisy était tout sourire, ce séjour en France était vraiment un succès. Elle qui craignait de s’ennuyer loin de ces grandes élèves et de leurs fesses dodues. Celle des françaises qu’elle avait eu l’occasion de découvrir n’avait vraiment rien à leur envier.

Elle se tourna vers Sylvie et lui montra la table.

- assieds toi ma petite chérie, nous allons commencer par une dictée pour que je juge de ton niveau et de tes lacunes.

 

 La dictée en français ce n’était déjà pas mon fort alors en anglais!! Je m’attendais au pire. Et ce fut au delà des espérances de Daisy qui je m’en doutais avait vraiment envie de s’occuper de mon bon gros derrière comme disait Huguette.

Au fur et à mesure qu’elle lisait ma copie je voyais ses yeux se plisser, elle avait pris un stylo rouge et elle raturait sèchement ma prose. Enfin elle posa la feuille devant moi et de sa voix sévère avec cet accent anglais qui faisait son charme elle m’annonça.

- c’est pire que ce que je pensais. Mais au moins tu as écris «spanking» sans faute, si je compte bien sur une seule page tu as fait 10 fautes. Et bien le mot spanking va devoir s’appliquer sur ton popotin ma chérie. Lève toi !!!

Elle avait dit ça en souriant, assez contente d’avoir pu placer dans la même phrase deux mots très évocateur de ce qui allait m’arriver, j’étais à vrai dire assez peu sensible à ce genre d’humour. Je me levai de ma chaise en rougissant, Daisy la déplaça légèrement et s’y installa.

 

 Daisy avait prévu de s’occuper tranquillement du derrière si dodu de Sylvie cet après-midi mais son sens de l’équité lui interdisait de donner une fessée sans raison. Il fallait toujours une cause, si futile soit-elle qui justifie de trousser la jupe puis de baisser la culotte d’une dame où d’une jeune fille. Sylvie par ses multiples fautes lui offrait l’occasion de satisfaire sa perversité et elle pouvait se donner bonne conscience en se disant qu’elle faisait oeuvre pédagogique.

Sylvie était encore une fois en position disciplinaire, nous étions lundi et depuis Samedi, le jour où Caroline était arrivé chez elle, le nombre de fois où elle s’était retrouvée couchée sur les genoux d’une dame, les fesses pointées vers le ciel, était incalculable.

C’était maintenant sa condition, ses belles et larges fesses étaient destinées à être mise à nu et à rougir suivant le bon vouloir de ses fesseuses.

Daisy prenait son temps, elle avait retroussé bien haut sur les reins la courte jupe de son élève. Elle passa sa main sur la petite culotte blanche qui avait bien du mal à cacher les larges fesses, ses doigts glissèrent dessous au niveau des cuisses pour découvrir un peu plus la base des fesses.

- ta nouvelle maman a vraiment raison ma chérie, tu as une bonne paire de fesses, ta culotte est trop petite, regarde moi ça, je pourrais te fesser sans même la baisser.

En disant ces mots elle avait claqué sèchement la zone découverte qui était si sensible. Sylvie poussa un petit cri.




- Aïe, Aïe, noon.... pardon Miss.

Daisy se mit à rire.

- oh que tu es douillette, mais ce n’est rien ma petite chérie, tu vas voir la bonne fessée déculottée que je vais t’administrer, ça va être autre chose.

 

Je me doutais bien que ces quelques claques sur la base de mes fesses n'étaient qu'un petit aperçu de son talent, mais j'avais été surprise, en général la fessée venait après le déculottage et puis cette zone est vraiment sensible et j'avais oublié comment la main de Daisy claquait. Je sentais ses doigts s'insinuer sous ma culotte et se glisser entre mes fesses, c'était excitant mais très humiliant, j'aurais finalement préférée être déculottée immédiatement, mais Daisy savait y faire.

- alors Sylvie, tu es une très mauvaise élève, tu le sais ?

Ses doigts écartaient mes deux globes et forçaient légèrement mon anus. Je savais qu'elle attendait une réponse, je bredouillai confuse.

- euh...oui miss.

- et tu sais ce qui arrive aux mauvaises élèves ?

J'étais au supplice, je sentais une excitation poindre entre mes cuisses.

- oui miss, elles reçoivent la fessée.

J'avais répondu rapidement et sans réfléchir, je voulais qu'elle me déculotte et qu'on en finisse.

Elle se mit à rire.

- c'est parfait ma chérie, c'est tout à fait ça. Elles reçoivent une bonne fessée déculottée. A bare bottom spanking. Tu vas me le demander. Répète après moi ! " please miss Daisy, give me à good bare bottom spanking "

C'était surréaliste, elle me donnait en plus un cours d'anglais. Sa main continuait de palper mes fesses sous ma petite culotte. Je fis un effort et je répétai.

- please miss Daisy give me a good bare bottom spanking.

Elle semblait ravie et pour moi c'était quand même plus facile de le dire en anglais, mais ma satisfaction fut de courte durée.

- c'est très bien ma petite chérie, maintenant tu vas me traduire ça en bon français.

Comme j'hésitais, elle sorti sa main de sous ma culotte et m'administra une dizaine de claques sur la base des fesses.

- aïe aïe aïe, pardon,  oui miss....s'il vous plaît mademoiselle pouvez-vous me donner une bonne fessée déculottée.

En tournant la tête je la voyais sourire en regardant mon fessier tendu sous la culotte.

- c’est parfait, il n’y a pas à dire mais les méthodes traditionnelles on fait leurs preuves pour l’apprentissage de l’anglais. Tu vas voir après une bonne fessée déculottée tu vas comprendre encore mieux notre belle langue.

 

 Daisy appréciait beaucoup les expressions françaises concernant sa passion, certes le mot spanking était agréable à son oreille mais il n’y avait pas en anglais d’équivalent au terme «fessée déculottée», c’était tellement charmant de dire «ma petite Sylvie tu vas recevoir une bonne fessée déculottée», c’est à dire la culotte baissée. C’était beaucoup plus expressif que Bare bottom spanking, qu’on pouvait traduire bien sûr par fessée cul nu. Non décidément elle préférait le charmant «fessée déculottée».

Elle lissait la petite culotte blanche de Sylvie, savourant cette instant où elle allait à nouveau mettre à nu ce postérieur.

- comme tu me l’as si gentiment demandé, je vais te la donner cette fessée, voyons un peu ces jolies fesses.

Daisy avait glissée ses doigts sous la ceinture élastique et elle faisait descendre doucement la lingerie sur les fesses de Sylvie. Une légère chair de poule recouvrait le derrière rosé, les fesses étaient serrées par l’appréhension. C’était charmant, Daisy se revoyait dans le collège où elle était professeur, quand elle déculottait une grande jeune fille pour la première fois dans son bureau où plus rarement devant toute la classe.



Aujourd’hui la grande jeune fille en question était beaucoup plus âgée mais ses fesses étaient encore bien rebondies et pour tout dire fessable. Elle se mit à les caresser et glissa à nouveau ses doigts entre les deux globes jumeaux, la veille elle avait déjà pu apprécier le derrière de Sylvie mais aujourd'hui, elle était seule et elle avait tout son temps. Avant ce séjour en France, elle n’avait jamais fessé de dames aussi âgée; l’adage selon lequel il n’y a pas d’âge pour recevoir une bonne fessée déculottée s’appliquait à merveille à Sylvie.

- tu vois ma petite chérie, on va continuer mon cours d’anglais tu es en parfaite position pour cela. "You made 10 spelling mistakes, you will receive 10 slaps per mistake".

Elle avait volontairement parlé en anglais en tapotant distraitement le fessier tendu devant elle.

- peux tu me traduire ce que je viens de dire ?

 

Même si mon anglais était scolaire, j’avais compris que j’allais recevoir une bonne déculottée à la suite de mes fautes. La main de Daisy sur ma croupe se faisait plus insistante.

- oui miss, j'ai fait 10 fautes et je vais recevoir 10 claques par faute.

- Perfect, How many slaps ?

- euh...100 claques miss.

En tournant la tête je pouvais voir le sourire de Daisy.

- That's fine, honey, but it's on each buttock.

J'avais compris que j'allais en recevoir une bonne, surtout que je me souvenais de la force avec laquelle Daisy claquait. D'ailleurs elle m'administra une claque sur chacune de mes fesses pour m'inviter à traduire.

- euh, oui miss, 100 claques sur chaque fesse...

 

 Sylvie pleurait à moitié et ses fesses s'étaient contractées à l'annonce de sa punition.

- bien, allons y ma chérie, je sents que tes jolies petites fesses n'attendent que ça.

Daisy leva la main et commença à claquer joyeusement le large derrière de Sylvie. Elle adorait ces fessiers plantureux mais fermes malgré tout. Comme l'avait fait remarquer malicieusement Caroline, il y avait de la place pour claquer. Daisy avait remarqué au cours de sa carrière que les jeunes filles dotées d'un beau derrière bien rebondi se retrouvaient beaucoup plus souvent en travers de ses genoux avec la culotte baissée que leurs camarades avec des fesses plus plates. C'était sans doute un peu injuste mais c'était ainsi.

Sylvie en plus d'avoir un postérieur fait pour la fessée, avait une peau blanche qui rougissait vite, le contraste entre la couleur laiteuse des cuisses et le carmin des fesses était un régal.

 

C'était encore pire que ce que j'avais imaginé, Daisy s'en donnait à coeur joie, mes fesses étaient brûlantes, je gigotais comme une folle sur ses genoux mais la professeur anglaise était une véritable professionnelle et elle me tenait solidement par la taille, seules mes jambes pouvait bouger et j'imagine que je devais lui offrir un joli spectacle.

 

Daisy appréciait la danse des fesses de Sylvie. Finalement quelque soit l'âge de celle qui recevait la fessée, le résultat était le même pensa-t-elle, une paire de fesses bien rouges, des cuisses qui s'écartaient de manière indécente et pour finir une punie en pleurs étalée au travers de ses genoux.

Sylvie n'avait pas fait exception à la règle. Son derrière écarlate était luisant, Daisy la laissa se calmer puis elle la fit se relever.

- allez vilaine fille, au coin mains sur la tête et le nez contre le mur.

 

J'avais l'habitude de ça et malgré la honte de retourner à nouveau au coin fesses à l'air, j'étais contente que la fessée fut terminée. Ma culotte était entortillée autour de mes chevilles, signe que j'avais du bien gigoter , Daisy s’était approchée de moi par derrière, j’avais collé mon nez contre le mur comme Caroline me l’avait appris, je sentis qu’elle retroussait à nouveau ma jupe et la coinçait dans ma ceinture.

- il faut que tu nous montre tes jolies fesses, elles sont ravissantes.

Puis elle me fit enjamber ma culotte pour me la retirer complètement.

- tu n’en auras plus besoin pour le moment.

 

 Daisy retourna s’asseoir sur son canapé pour jouir de ce spectacle ravissant, elle avait posé la culotte blanche de Sylvie sur la table basse. Sylvie serrait convulsivement ses fesses pour essayer d’atténuer la cuisson. Le large derrière de la dame d’âge mûre redevenue une adolescente punie était d’un beau rouge profond.

C’est un bon début pensa l’ancienne professeure de français. Heureusement que Sylvie ne lisait pas dans ses pensées.

Après un bon quart d’heure de pénitence, elle appela Sylvie.

- viens ici.

Elle lui désigna la chaise.

- tu vas t’asseoir et me recopier correctement ta dictée sans les fautes.



Sylvie posa délicatement ses fesses nues sur la chaise en paille, c’était sans aucun doute très inconfortable, elle fit une petite grimace qui fit sourire Daisy.

- ça brûle ? c’est très bien, la prochaine fois tu feras plus attention.

 

 Être assise cul nu sur cette chaise était nouveau pour moi et la dictée me parut très longue à recopier. En levant la tête je vis que Daisy avait posé la tawse sur la table basse à côté de ma culotte, c’était un peu inquiétant.

 

Quand Sylvie eut enfin fini sa copie, Daisy l'a relu en souriant.

- it’s perfect honey.

Elle continuait de mélanger un peu d’anglais pour bien faire rentrer Sylvie dans la peau d’une élève anglaise.

- pour demain tu me copieras dix fois cette dictée, en attendant je n’en ai pas fini avec ton joli fessier. Dans ma classe quand une élève avait eu un zéro, ce qui est ton cas elle avait droit à la tawse devant toute la classe à la fin du cours. Tu as de la chance, il n’y a pas d’autres élèves pour voir ton bon gros derrière danser.

Sylvie essaya de protester qu’elle avait déjà été bien punie par une fessée déculottée, mai Daisy la coupa immédiatement.

- et bien ma petite chérie je crois que tu as encore quelques règles à apprendre, une élève ne doit jamais protester contre la punition décidée par sa professeure. Tu devais recevoir 10 coups de tawse un pour chacune de tes fautes, tu viens d’en gagner 10 de plus pour ta récrimination et je peux continuer à doubler ta punition si tu décides de protester à nouveau.

Daisy avait dit ça d’un ton très calme en regardant sévèrement Sylvie comme si elle était vraiment son élève.

 

 J’étais abasourdie, ce n’était pas vraiment ce à quoi je m’attendais, Daisy me traitait vraiment comme une mauvaise élève récalcitrante, la veille les 6 coups de tawse m’avait vraiment fait mal aux fesses et elle venait de m’annoncer que j’allais en recevoir 20, elle ne semblait pas vouloir plaisanter et j’étais sûr que la moindre plainte de ma part signifierait 40 coups sur mon pauvre derrière. J’avalai ma salive et je me dirigeai vers la chaise qu’elle avait posé au milieu de la pièce.

- tu te rappelles de la position ? Tu tends bien tes fesses et tu ne bouges pas !



 Daisy appréciait vraiment la docilité de Sylvie, malgré son âge, elle se comportait comme ses grandes élèves en Angleterre. Maintenant elle était penchée en avant, présentant son large fessier encore bien rouge de la fessée, la marque de la paille restait également imprimée sur la peau rougie.

Elle tapota l’intérieur des cuisses avec le redoutable instrument de punition.

- écartes un peu tes pieds ma chérie et ne serre pas les fesses, c’est inutile et ça rend la fessée encore plus douloureuse.

Sylvie n’était plus en mesure de discuter ou de refuser quoi que ce soit, elle écarta ses pieds ce qui eu pour effet de rendre sa position encore plus humiliante, Daisy pouvait se régaler de voir ses fesses bien écartées dévoilant son intimité. Elle se plaça de côté et leva la lanière de cuir, le claquement sec sur la peau nue retenti en même temps que le cri de douleur de la pauvre Sylvie. Celle-ci instruite des méthodes de la sévère anglaise ne se releva pas et garda ses mains sur la chaise, elle se contenta de sautiller sur place à chaque coup et bientôt ses pleurs se mêlèrent aux cris.

Daisy avait déjà administré les dix premiers coups quand la sonnette retenti. Elle posa la tawse sur le bas du dos de la punie et se dirigea vers la porte non s’en avoir averti son élève.

- tu ne bouges pas !!

C’était Huguette qui venait récupérer sa grande fille. Le spectacle offert bien malgré elle par Sylvie était ravissant, ses fesses bien tendues vers la porte étaient magnifiquement présentées, la jupe retroussée bien haut sur les reins et l’absence de culotte laissait voir ce derrière rebondi dans toute sa splendeur la fessée avec la tawse avait fini de le colorer, il était d’un beau rouge profond sur toute sa surface. La tawse qui reposait sur les reins accentuait le caractère excitant pour une fesseuse. Huguette esquissa un sourire.

- oh pardon, je suis un peu en avance, je ne voudrais pas vous déranger.

Daisy ravie que la punition de Sylvie soit publique, lui rendit son sourire.

- mais pas du tout ma chère. J’ai expliqué à Sylvie qu’en cas de zéro mes élèves avaient droit à une fessée déculottée avec la tawse devant toutes leurs camarades et bien Sylvie aura droit elle aussi à sa fessée publique.

Huguette avait froncé les sourcils.

- un zéro !! à ça par exemple, et bien je vous donne entièrement raison et croyez moi cette petite va avoir de mes nouvelles en arrivant à la maison. Continuez  donc ma chère Daisy.

 

 Ma situation se compliquait sérieusement, je ne savais pas si la colère d’Huguette était feinte où si elle prenait réellement son nouveau rôle de maman à coeur, mais la perspective d’un nouveau séjour sur ses genoux les fesses à l’air était plus que probable.

 

 Daisy avait repris la tawse, elle expliqua à Daisy qu’il restait encore 10 coups.

- mademoiselle s’est permit de contester sa punition, elle a donc été doublée, en général ça calme les plus récalcitrantes. Un jour quand j’étais encore surveillante, une jeune fille a voulu faire la maligne mais quand les 6 coups prévu se sont transformés au fur et à mesure de ses récriminations en 48, elle a eu du mal à s’asseoir le lendemain et a du reconnaître qu’il valait mieux tenir sa langue.

Elle se recula un peu et leva la lanière. La présence d’Huguette semblait décupler son énergie et la pauvre Sylvie hurla et trépigna pendant le reste de sa fessée.

Son derrière ressemblait maintenant à deux tomates bien mûres. Huguette s’approcha et posa sa main sur l’épiderme brûlant.

- et bien ma chérie, c’est ce qu’on appelle une bonne déculottée, j’espère que ça va te servir de leçon.

Puis elle avisa la culotte posée sur la table, elle la pris et la rangea dans son sac à main.

- je pense que tu vas être privée de culotte pour le restant de la journée ma chérie, de toute façon je n’en ai pas fini avec tes fesses et comme ça elles vont refroidir plus vite pour ta prochaine fessée.

Daisy souriait.

- Tu peux te relever et aller au coin en tenant ta jupe relevée pendant que je discute avec ta maman.



Elle proposa un thé à Huguette et les deux dames se mirent à parler sans plus se soucier de la dame mature qui exposait son derrière écarlate dans le coin de la pièce.

Daisy indiqua à Huguette qu’elle avait donné à Sylvie une punition à faire à la maison, Huguette approuva la sévérité de l’ancienne professeure. Celle-ci lui posa de multiples questions sur sa conception de l’éducation, elle était curieuse de savoir comment cela se passait et comment se comportait Sylvie en tant que grande fille.

Huguette lui expliqua que bien qu’elle ait le même âge que Sylvie, tout se passait bien et celle-ci avait très bien intégré sa nouvelle condition. D’ailleurs ajouta-t-elle.

- j’ai un moyen très efficace pour faire revenir Sylvie a un peu plus d’humilité.

Elle expliqua à Daisy qui n’en croyait pas ses oreilles comment elle prenait régulièrement la température rectale à sa nouvelle fille.

- oh mais c’est très intéressant, j’avoue ne jamais avoir utilisé cet technique de punition. J’aimerais bien voir comment vous vous y prenez.

Huguette eu un petit sourire coquin.

- et bien il n’y a aucun problème, cet après midi je suis passé à la pharmacie pour en avoir un deuxième, je l’ai dans mon sac à main. Après les bêtises de Sylvie un petit séjour sur mes genoux thermomètre dans les fesses va lui faire le plus grand bien. Sylvie viens un peu ici !

 

J’étais concentrée sur la cuisson qui embrasait mon postérieur et je ne prêtais pas trop d’attention à la conversation de mes deux maîtresses, mais j’en avais quand même entendu la fin, notamment quand il avait été question de thermomètre. J’étais résignée après toutes ces fessées mais malgré tout j’essayai de protester quand je vis ma nouvelle maman avec le thermomètre à la main.

- oh non maman, s’il te plait.

 

 Huguette fronça les sourcils.

- pardon ? qu’est ce que j’entends ? le doublement de ta fessée par Daisy ne t’a pas suffit ?

Sylvie rougit et baissa la tête.

- pardon maman.

Huguette se mit à sourire.

- je préfère ça, une gentille Sylvie qui va venir se coucher sur les genoux de sa maman pour lui présenter ses jolies fesses. Allez en position mademoiselle.

Sylvie avait obéi et elle était maintenant allongée en travers des cuisses d’Huguette, celle-ci lui tapota les fesses rouges.

- allez ma chérie on desserre ses fesses, tu sais que maman n’aime pas quand tu refuses le thermomètre.

Elle se tourna vers Daisy.

- notre petite Sylvie a vraiment une bonne paire de fesses, c’est quand même plus agréable que des fesses trop plate.

Daisy approuva en riant. Huguette avait écarté avec deux doigts les larges fesses bien chaudes, mettant à jour le petit trou secret que Sylvie aurait bien voulu dissimuler, elle humecta le bout du thermomètre et le posa sur l’anus puis tranquillement elle l’enfonça. Sylvie gémissait doucement plus de honte que de douleur car maintenant elle avait l’habitude de ce traitement humiliant.

Daisy était fascinée par ce spectacle.

- vous l’enfoncez vraiment beaucoup ?

-oui, il le faut pour qu’il tienne tout seul et ne sorte pas.

Le thermomètre ne dépassait presque plus du sillon fessier quand elle relâcha les deux fesses.

- vous voyez les fesses de notre Sylvie se serre et s’ouvre, elle voudrait bien le rejeter mais outre que cela lui vaudrait une correction exemplaire, c’est impossible. C’est si mignon ces fesses qui se contracte avec le thermomètre planté au milieu.



Daisy approuva.

- et vous lui laissez longtemps ?

- oh oui et je vous garantis que ça calme les plus récalcitrantes. Croyez moi, elle est tellement contente quand je lui enlève le thermomètre qu’après ça je suis tranquille, elle sait que si elle recommence elle peut rester une heure avec cet instrument dans les fesses.

Daisy se mit à rire.

- et bien puisque cette demoiselle est bien tranquille, que diriez vous d’une autre tasse de thé ?

Huguette accepta avec plaisir, elle tapotait les fesses de sa grande fille.

 

Ce fut ma première pénitence au thermomètre en public et ce ne serait pas la dernière. Huguette et Daisy avait l’air de se régaler du spectacle de mes fesses si bien présentées et je restai ainsi un temps qui me parut très long.

C’est Huguette qui m’apprit en me retirant le thermomètre que je l’avais gardé 20 minutes.

Elle m’avait fait relever, remis ma jupe en place et en m’administrant une bonne claque sur les fesses m’avait annoncé.

- bon, allons-y, on a quelques problème à régler à la maison.

La soirée s’annonçait cuisante.



 

A suivre

4 commentaires:

  1. Avec une professeur tel que Daisy, je suis certaine que Sylvie fera très vite des progrès. Mais je suis aussi certaine que ses fesses seront régulièrement bien rouge. Zoé.

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    1. Je le pense aussi malheureusement pour mes fesses. La position assise va être douloureuse.
      Sylvie

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  2. Merci Sylvie pour ce beau récit. J'espère qu'il y en aurait plein d'autres 🌸

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    1. Merci Caroline, une suite est bien sûr prévue, mais Sylvie ne restera sans doute pas la seule à présenter ses fesses déculottées. La maman de Caroline devrait bientôt reprendre du service et comme tu le sais elle a la main leste.
      Sylvie

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