vendredi 21 avril 2023

La bibliothèque 5

La maman d'Olga



 

Olga en arrivant chez elle pensait encore aux paroles d’Ingrid. Ses fesses endolories sous la sage petite culotte blanche qu’elle portait désormais, lui rappelait sa condition. Elle avait fait un saut en arrière brutal, elle avait 50 ans mais elle recevait à nouveau la fessée déculottée comme quand elle avait…. 

Elle réfléchit rapidement en voyant sa mère assise dans le salon. La dernière fessée que lui avait administré sa mère, c’était quand ?

Elle avait 17 ans, oui c’était cela, elle rougit au souvenir de ce jour où elle avait mal répondu à Brigitte sa maman, celle-ci lui reprochait un coucher trop tardif. La réponse de Brigitte ne s’était pas faite attendre et malgré son âge elle s’était retrouvée coincée sous le bras de sa mère, les fesses bien tendues, la jupe rapidement troussée, la culotte descendue sous les fesses, elle avait reçu une courte mais magistrale fessée qui l’avait fait trépigner sur place et pleurer de honte et de douleur.

Brigitte Dubout était veuve et elle avait des principes, elle était institutrice et dans sa classe les jupes étaient souvent retroussées et les culottes baissées. Même si ce n’était plus autorisé, c’était largement toléré et même encouragé par les familles dans ces années là. Olga avait donc été élevée selon les principes d’une éducation rigoureuse et jusqu’à 14 ans, elle recevait encore régulièrement la fessée et toujours sur ses fesses nues. 



A partir de cet âge cette punition était devenue exceptionnelle et après cette mémorable déculottée reçue à 17 ans, jamais plus elle n’avait montré ses fesses nues à sa maman. 

Et maintenant ? Elle repensait aux dernières paroles d'Ingrid, "que penserait ta maman de ton comportement, si elle savait que j'ai été obligée de te flanquer une bonne fessée déculottée". Elle venait de poser sa veste dans l'entrée et elle fut un peu surprise par la réflexion de sa mère.

- tu pourrais quand même accrocher  ta veste sur le porte-manteau, ce n'est quand même pas difficile !

Elle rougit violemment et la cuisson sur ses fesses fut plus sensible, elle s'excusa et repris sa veste.

- euh, oui pardon maman, je n'y ai pas pensé.

Brigitte sourit discrètement à la réaction de sa fille. C'est vrai qu'elle avait accepté avec plaisir d'héberger sa fille après son divorce mais son désordre l'agaçait quelque fois. Elle fut un peu surprise de la réaction de sa fille qui était habituellement prompte à lui répondre parfois avec une pointe d’insolence.

‘’Tiens, tiens ma petite Olga devient mignonne, pourvu que ça dure’’

Elle proposa un thé à sa fille qui l’accepta avec empressement, proposant même de le préparer. Brigitte était de plus en plus surprise du comportement de jeune fille d’Olga qui avait tout de même 50 ans. Quand elle s'assit sur le fauteuil en face de Brigitte, Olga ne put retenir une petite grimace, la douleur sur ses fesses étaient encore présente. Sa mère le remarqua.

- tu as mal ma chérie ?

Olga rougit légèrement mais elle essaya quand même de faire bonne figure.

- non, non ce n'est rien, tu sais après une journée assise au bureau, j'ai un peu mal au dos.

- ma pauvre chérie, si tu veux je peux te faire un massage.

Olga protesta immédiatement

 - non, non ce n'est pas la peine je t'assure, ça va passer.

Elle avait vraiment du mal à rester immobile sur le fauteuil mais elle s'efforçait de ne pas bouger pour que sa mère change de conversation. Si Brigitte avait put voir la couleur des fesses de sa fille, elle aurait tout de suite compris, mais elle repris la parole.

- au fait j'ai été à la bibliothèque aujourd'hui, cette jeune bibliothécaire, comment s'appelle-t-elle déjà?

- Ingrid…

- à oui, c'est ça, elle est charmante et compétente, on a parlé de toi.

Olga avait l'impression que la terre s'ouvrait sous ses pieds, elle baissa les yeux. Elle s'attendait au pire, mais Brigitte continuait.

- oui, elle t'apprécie beaucoup, elle m'a fait des compliments sur toi, c'est toujours agréable pour une maman.

Olga était sidérée, sa mère s'adressait à elle comme si elle avait rencontré sa maîtresse à la sortie de l'école.

- tu devrais l'inviter à boire le thé,  elle est vraiment mignonne.

Olga acquiesça, tout en disant à sa mère qu'elle ne savait pas si Ingrid serait d'accord.

- détrompe toi, je lui en ai parlé, elle serait ravie, je t'attendais pour qu'on fixe un jour.

C'était donc pour ça qu'Ingrid lui avait parlé de sa mère ce soir après la fessée,  Olga sentit le piège se refermer.

Elle passa une nuit affreuse, elle recevait la fessée déculottée par Ingrid devant sa mère, celle-ci la déculottait devant la voisine, elle se réveilla complètement abasourdie par ces rêves ou plutôt ces cauchemars.

En arrivant à la bibliothèque, elle se dirigea vers le bureau d'Ingrid, celle-ci était déjà là. Elle lui désigna la chaise.

- met la chaise à fessée à sa place et ensuite va te mettre au coin, tu baisses ta culotte et tu tiens ta jupe levée. Je reviens.



Elle quitta le bureau, laissant Olga désemparée, mais le souvenir des fessées reçues depuis 2 jours, l'incita à obéir. Ingrid la laissa mijoter 10 minutes, les fesses à l'air. Olga était angoissée, elle sursautait à chaque bruit de pas, mais elle n'osait pas bouger. Enfin Ingrid revint, elle esquissa un sourire en voyant Olga ses bonnes grosses fesses si bien présentées, elle s'approcha et passa sa main sur le large fessier.

- alors ma petite Olga, on va commencer sa journée par une petite fessée cul nu ? Tes fesses sont en parfait état, elles sont prêtes pour la bonne déculottée de tatie Ingrid. Reculotte toi et viens me voir.

La jeune femme s’était assise sur la chaise et elle regardait amusée la dame de 50 ans remontant sa culotte. Bien sûr elle allait lui baisser la culotte pour lui administrer sa correction mais elle ne voulait surtout pas se priver de ce moment si agréable du déculottage. Elle tapota sur ses cuisses pour indiquer à Olga qu’il était temps de lui présenter ses fesses. Docilement la directrice de la bibliothèque se coucha en travers de ses genoux. Ingrid retroussa immédiatement la jupe et tira sur la culotte pour qu’elle soit bien en place sur le plantureux derrière qui avait du mal à contenir dans cette sage petite culotte blanche en coton. 



Avant de commencer la fessée il fallait mettre la punie dans l’ambiance, se retrouver allongée sur les genoux de sa jeune maîtresse la jupe retroussée n’était pas suffisant. Ingrid caressait la culotte.

- alors, vilaine fille on va avoir panpan cucul ? Dis moi tu lui as dit à ta maman que tu avais été punie par tatie Ingrid ?

Comme Olga rouge de honte ne répondait pas elle lui administra une dizaine de claques bien forte sur la culotte. Celle-ci se mit à gémir.

- aïe, Aïe, non Mlle Ingrid, Aïe, Aïe…. pardon…

- quand je te pose une question, j’aimerais bien que tu me répondes, alors tu lui as dit ?

- aïe, aïe, non Mlle Ingrid.

- je m’en doutais, tu as honte de lui raconter qu’a ton âge je suis encore obligée de te flanquer la fessée déculottée ? Mais ne t’inquiète pas, c’est moi qui vais lui dire, je pense qu’elle va être très intéressée que je lui décrive le comportement de sa fille, je pense que tu peux préparer tes fesses ma jolie.

Pendant qu’elle parlait elle avait continué à claquer calmement les fesses par dessus la culotte.

- bon maintenant ce n’est pas tout ça, il va falloir passer à la fessée, tu vas avoir les fesses bien chaudes toute la matinée pour bien travailler et penser à moi.

Elle introduisit ses doigts dan la culotte et la fit descendre jusqu’à mi-cuisse. Les fesses étaient déjà bien colorée par la petite fessée d’échauffement. La main sévère de la jeune bibliothécaire se mit à claquer alternativement le large derrière d’Olga. C’était une fessée magistrale et rapidement celle-ci ne put retenir ses cris puis ses pleurs. Ingrid était satisfaite, elle adorait ce moment où la dame adulte qu’elle tenait couchée sur ses genoux lâchait prise et se comportait comme une gamine punie, pleurant et suppliant sous la cuisson de son derrière. 



Elle avait décidé que pour la déculottée matinale elle se contenterait d’une bonne fessée à la main, elle réservait les instruments pour la fessée du midi, elle avait plus de temps disponible et Olga passait un petit moment au coin ensuite.

Pour le moment la directrice de la bibliothèque n’était plus qu’un gamine punie pleurant sur les genoux de sa jeune maîtresse, les fesses écarlates étaient brûlantes, la fessée avait cessé mais Ingrid prenait plaisir à garder la punie un moment en travers de ses genoux, elle caressait doucement les deux globes incandescents pour en apprécier la douceur, après une bonne fessée la peau des fesses devenaient très agréable au toucher et Ingrid ne s’en lassait pas.

Mais toutes les bonnes choses on une fin, elle fit relever Olga qui avait les joues aussi rouges que ses fesses, sa culotte était entortillée autour de ses chevilles, sa jupe était retombée masquant son large fessier. Ingrid la fit se retourner et coinça la jupe dans la ceinture.

- je veux que tes fesses soient toujours disponible quand tu es dans mon bureau. Nous avons à parler.

Olga se doutait de la suite.

- ta maman m’a gentiment invitée à boire le thé, tu es au courant ?

- euh oui, elle m’en a parlé hier soir.

- c’est parfait, tu vas lui dire que je suis disponible ce soir, ça tombe bien je dois lui parler de ton joli derrière.

Ingrid souriait, elle jouissait de la gêne de sa cheffe de service, la soirée allait être amusante.

- bien tu peux te reculotter et remettre ta jupe en place, ce n’est pas la peine de ranger la chaise à fessée, elle va servir juste après toi.

Olga avait les fesses en feu en quittant le bureau, dans le couloir elle croisa Lucie la jeune stagiaire, elle se retourna et vit qu’elle frappait à la porte du bureau d’Ingrid. C’était donc pour elle que la chaise à fessée était restée à sa place, Olga voulu en avoir le coeur net, elle s’approcha doucement de la porte. Elle reconnu la voix d’Ingrid.

- ma petite Lucie va recevoir sa bonne petite fessée cul nu pour bien démarrer sa journée ?

Elle n’entendit pas la réponse mais les gémissements étaient assez explicite, la jeune fille devait être mise en position. Puis soudain les claquements retentirent distinctement à travers la porte, Lucie recevait elle aussi une bonne fessée déculottée. La cuisson de son fessier lui parut immédiatement plus supportable, elle n’était donc pas la seule à recevoir ce châtiment humiliant. Elle resta contre la porte pour assister par l'oreille à cette correction. Les cris de Lucie étaient maintenant bien distincts et rapidement les pleurs se mêlèrent aux gémissements. Les claques cessèrent et Ingrid repris la parole.

- oh tu peux pleurer ma petite chérie, ton joli derrière n'est pas encore assez rouge, avec une bonne paire de fesses comme tu as, la fessée à la main n'est pas suffisante.

La fessée repris et les cris de Lucie redoublèrent, le bruit était différent, Ingrid devait utiliser un de ces instruments, c'était un bruit plus sec, peut-être la brosse à cheveux. Olga fut vite renseignée.

- la règle plate sur ton petit cul fait des merveilles ma chérie, oh oui comme elles vont être jolies tes fesses, allez encore un peu et tu vas pouvoir retourner travailler.

Effectivement la règle plate claqua encore quelques instants. Dès que la fessée cessa, Olga s'éloigna rapidement mais elle resta dans la salle de lecture pour surveiller la sortie de Lucie.

La jeune fille sorti du bureau, elle s'essuyait les yeux puis discrètement elle frotta son fessier par dessus sa minijupe. Olga fit semblant d'arriver, elle interpella Lucie.

- à tu es là ? J'ai besoin de te parler, vient dans mon bureau.

Un peu surprise celle-ci suivit la directrice, dès qu'elle furent arrivées  Olga referma la porte et attaqua directement.

- pourquoi donc étais tu dans le bureau d'Ingrid ce matin ? Et pourquoi as tu pleuré ?

Lucie se mit à rougir et baissa les yeux.

- je te parle Lucie !

Olga avait pris un air sévère, ses fesses étaient douloureuses mais reprendre son rôle de directrice autoritaire lui permettait de les oublier un peu.

- euh, oui pardon madame, je n'ai pas pleuré, je vous assure.

- tu te moques de moi ! Viens ici. Je n'aime pas les petites menteuses.

Lucie se mit à bégayer.

- non, non madame... pardon. Je vous promets de ne plus recommencer Mlle Ingrid m'a déjà punie.

Olga se mit à sourire.

- ah oui ? Et comment ça ?

Lucie était de plus en plus rouge.

- madame, s'il vous plaît, j'ai trop honte.

Olga était ravie, ce n'était plus elle qui était traitée comme une gamine. Elle prit la main de Lucie et la fit pivoter.

 - voyons un peu comment Ingrid t'a corrigée.

Elle avait retroussé la minijupe, elle baissa rapidement la culotte de Lucie  sous ses fesses. Celle-ci étaient écarlates. Lucie poussa un petit cri mais se laissa faire.

- et bien c'est ce qui s'appelle une bonne fessée déculottée à ce que je vois.

Lucie était pétrifiée, elle venait de recevoir une magistrale fessée déculottée dans le bureau d'Ingrid et maintenant elle était à nouveau fesses à l'air dans le bureau de la directrice.

Olga coinça la jupe dans la ceinture puis elle prit la jeune fille par l'oreille et la conduisit dans le coin.

- après une bonne fessée déculottée on va au coin pour réfléchir, comme Ingrid n'a pas eu le temps, tu vas faire ta pénitence ici. Mets tes mains sur la tête !



Le spectacle était ravissant, cette petite avait vraiment un joli derrière. Elle posa délicatement ses fesses douloureuses sur son fauteuil et contempla le fessier rubicond de Lucie, elle sentit une petite chaleur dans son entrejambe et une légère humidité envahir sa culotte, elle commençait à comprendre Ingrid.

Elle laissa Lucie au coin fesses à l'air pendant un quart d'heure puis elle l'autorisa à se reculotter.

- allez maintenant tu files travailler. Tu sais ce qui va t'arriver si je suis mécontente de toi.

Elle ne pensait pas vraiment mettre sa menace à exécution mais le simple fait de l'évoquer lui permettait d'oublier sa propre condition.

Le téléphone sonna, c'était Brigitte, elle voulait savoir quand Ingrid venait prendre le thé. Avec une petite boule au ventre, Olga lui annonça que c'était pour ce soir.

La journée se déroula normalement si l'on peut dire. À midi elle reçut sa correction en compagnie de Marie, 



et elle passa une bonne partie de sa pause déjeuner au coin à exposer ses fesses nues et bien rouges. Et en fin d'après-midi elle se retrouva à nouveau couchée sur les genoux de sa jeune maîtresse pour une nouvelle fessée déculottée.

Quand elle se releva, les larmes aux yeux, Ingrid lui dit en souriant.

- à tout à l'heure ma chérie.

Olga en arrivant chez sa mère avait la tête en feu comme ses fesses,  elle n'osait pas imaginer ce que la perverse jeune bibliothécaire avait prévu. Sa mère était ravie.

- je suis contente qu'Ingrid ait accepté notre invitation, elle est vraiment charmante et elle a du caractère.

Olga approuva mollement, elle s’éclipsa dans sa chambre. Elle se déculotta devant la glace pour examiner ses fesses, elles étaient encore très rouges. Soudain la sonnette retentit, son coeur fit un bond dans sa poitrine, Brigitte l’appelait.

- Olga, veux tu descendre, Ingrid est arrivée.

Ça lui rappelait quand sa mère la faisait venir pour dire bonjour à la voisine. Elle descendit et sans y penser elle salua la jeune femme comme elle le faisait à la bibliothèque.

- bonsoir Mlle Ingrid.

Celle-ci, très satisfaite de la soumission d'Olga lui répondit avec un petit sourire, 

- bonsoir Olga, tu vas bien depuis tout à l'heure ?

Brigitte les regardait un peu surprise, Olga pour couper court proposa d'aller préparer le thé, comme une jeune fille de bonne famille. Quand elle revint Ingrid et Brigitte conversait comme deux amies, Ingrid leva les yeux vers sa cheffe de service et  dans un sourire elle annonça.

- au fait ma petite Olga tu as mis ta maman au courant ?

La directrice aurait voulu rentrer sous terre, Brigitte jeta un regard interrogateur aux deux dames, Ingrid repris.

- je comprends que c'est un peu gênant, je vais donc le faire à ta place.

Elle mit rapidement au courant la mère d'Olga des malversations de se fille. Brigitte avait le regard sombre, elle jetait de temps en temps un oeil sur sa fille qui baissait la tête.

- mais que comptez vous faire Ingrid, si vous prévenez la mairie Olga va être licenciée immédiatement, sans compter les poursuites judiciaires.

Ingrid souriait.

- c'est ce que j'avais prévu de faire, mais je connais la situation d'Olga, je n'ai pas voulu l'enfoncer plus.

- oh merci, Ingrid vous êtes vraiment gentille.

La jeune femme repris.

- cependant reconnaissez qu'un tel comportement mérite une sanction. Olga à accepté mes conditions.

- oui, oui je comprends, vous avez entièrement raison. Olga ton attitude est inadmissible, je ne sais pas ce qui me retiens !!

Brigitte était mûre pour entendre la suite, Olga était résignée.

- donc, Olga va rembourser toute les sommes détournées et comme sanction j'ai pensé à une méthode traditionnelle qui a fait ses preuves.

- ah oui ? Qu'entendez vous par là ?

- Oh c'est très simple, j'ai administré à Olga une bonne fessée déculottée.



Brigitte ouvrait des yeux ronds, son regard allait de sa fille à Ingrid. Une fessée déculottée ? cette petite avait corrigé sa fille de 50 ans comme elle le faisait avec ses élèves. Olga était rouge de honte.

- vous, vous avez déculotté Olga pour lui flanquer une fessée ?

- tout à fait et pas qu'une fois, vous comprendrez qu'une seule fessée ne peut pas solder cette affaire.

- oui, en effet je comprends.

- d'ailleurs Olga en à reçu une, juste avant de quitter le travail, je vais vous montrer le résultat. Olga viens ici !!

La directrice de la bibliothèque, penaude et résignée s’approcha.

- tourne toi !!

Ingrid et Brigitte était assise sur deux fauteuils côte à côte, Olga leur tournait le dos, la jeune femme retroussa sans ménagement la jupe.

- tiens ta jupe bien relevée !!

Les ordres claquaient et Olga obéissait, elle retint sa jupe avec ses mains croisées dans le dos. Ingrid saisi la ceinture de la culotte et la descendit brusquement sous les fesses. La large croupe d’Olga apparu encore bien rouge de la dernière fessée et de celles reçue dans la journée.

- penche toi un peu plus qu’on voie bien ton derrière !



Brigitte regardait les larges fesses de sa fille. Elle fit comme Olga un compte rapide. Depuis combien de temps ne les avait elle pas vue ? 

Elle arriva au même résultat, elle se souvenait très bien de la magistrale fessée déculottée qu’elle avait administré à sa fille quand elle avait 17 ans. Donc cela faisait 33 ans qu’Olga ne lui avait pas présenté ses fesses dénudées.

Et c'était vraiment une belle découverte, Olga avait des fesses qui certes étaient un peu trop grosses selon les canons actuels mais devaient être un régal pour une fesseuse.

Brigitte n'avait fessé que des derrières juvéniles et soudain elle se rendait compte qu’une paire de fesses de dame et bien rouges qui plus est, ce n'était vraiment pas désagréable. Elle s'était levée et passait maintenant sa main sur la croupe tendue de sa fille.

- mes félicitations Ingrid, ces jolies fesses ont été bien corrigées. Mais dites moi, avez-vous mis Olga au coin ?

Ingrid était ravie, Brigitte semblait se prendre au jeu, Olga n'avait pas fini de présenter ses fesses.

- non, c'était la fin de journée, nous n'avions pas le temps.

- très bien, elle va donc faire son temps de coin maintenant. Mets tes mains sur ta tête !

Elle s'était adressée à sa fille  et son ton avait changé, Olga retrouvait la voix impérieuse de son institutrice de mère. Elle obéit immédiatement, relâchant sa jupe elle posa ses mains sur sa tête. Brigitte saisi l’ourlet de la jupe et le coinça dans la ceinture puis elle administra une magistrale claque au milieu du large fessier.

- tu files au coin et tu mets ton nez contre le mur, je pense que tu te souviens de la position !

Olga était définitivement redevenue la petite fille de Brigitte, elle se souvenait comme si c'était hier des longs moments passés à exposer ses fesses bien rouges et même en présence d'invitées.



Satisfaite, Brigitte se tourna vers Ingrid.

- c'est parfait, si nous prenions le thé maintenant.



A suivre....

5 commentaires:

  1. Magnifique histoire. Brigitte va prochainement s'occuper des fesses de sa fille, quand t'a Lucie , elle risque de recevoir une bonne fessée déculottée de la part d'olga 🍑🔥🍑 j'ai hate de lire les aventures de la petite Lucie 🍑

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. C'est sûr que Olga ne va pas tarder à se retrouver culotte baissée sur les genoux de Brigitte. Pour Lucie c'est moins sûr, Olga n'osera certainement pas la déculotter pour lui donner la fessée, c'est Ingrid qui corrige les derrières à la bibliothèque.
      Sylvie

      Supprimer
    2. Dommage, j'aurai aimé lire que Olga mettrais une fessée déculottée a la petite Lucie 🍑🔥🍑

      Supprimer
  2. quelle mise à jour ... vraiment aimer cette histoire ...... continuez à mettre à jour .....

    Chinmay

    RépondreSupprimer
  3. merci, maintenant qu'il y a plusieurs dames qui reçoivent la fessée déculottée, la suite est inévitable. Il ne faut pas que ces dames prennent froid aux fesses.
    Soyez patient
    Sylvie

    RépondreSupprimer

Discipline traditionnelle 2

 Julie découvre la fessée Depuis qu’elle avait réintroduit les bonnes vieilles méthodes d’éducation dans la maison, Julie était ravie. Après...