jeudi 13 avril 2023

La bibliothèque 4

Double fessée pour Marie et Olga



Maintenant que Olga pleurait à chaudes larmes dans son coin, ses belles et larges fesses écarlates contractées par la douleur,  Marie se rendit compte que ça allait être son tour. Elle allait bientôt être déculottée comme une gamine et horreur, sa fessée serait publique. Elle s'était régalée en regardant la correction d'Olga et son derrière bien rebondi danser sous les claques d'Ingrid maintenant celle-ci lui adressait un petit sourire gourmand.

- à nous deux ma petite chérie, ma main n'est pas fatiguée.

Elle s'était assise à nouveau sur la chaise à fessée, c'était ainsi qu'elle la désignait depuis que Marie venait régulièrement lui présenter ses fesses nues. Ce jour là elle était en place mais en général quand elle arrivait Ingrid lui donnait des consignes.

- tu mets la chaise à fessée au milieu du bureau et tu vas te mettre au coin fesses à l'air pendant que je finis. Je suis à toi très bientôt ma chérie, j'espère que tes fesses sont prêtes, aujourd'hui j'ai la main qui me démange.

Marie un peu honteuse de devoir préparer sa propre punition s'exécutait. Elle plaçait la chaise à fessée devant le bureau puis elle retroussait sa jupe, se déculottait et en tenant sa jupe relevée avec ses mains croisées dans le dos elle allait se mettre au coin en prenant bien soin de poser son nez contre le mur comme Ingrid lui avait appris. La durée de la pénitence variait selon les jours, c'était toujours un moment pénible. Elle ne s'habituait pas au fait de présenter son derrière dénudé en attendant sa punition.

Mais aujourd'hui c'était différent, la chaise à fessée était déjà en place et Ingrid était assise dessus, le petit signe du doigt était explicite, il lui fallait prendre la place d'Olga, c'était son tour de montrer ses fesses à la sévère jeune femme.

En un instant elle fut en position, l'air sur ses cuisses lui indiqua que sa jupe était troussée haut sur ses reins. Elle sentit la main d'Ingrid se glisser sous sa culotte.

- alors comment va ce petit derrière,  le docteur Dupuis s'en est bien occupée hier soir.

Sans baisser la culotte, elle continua à inspecter le derrière de Marie, ses doigts descendirent entre les cuisses.

- et bien petite coquine, on dirait que ça t'a fait plaisir de voir les fesses d'Olga danser.

Marie se mit à rougir, elle serra ses cuisses et ses fesses, ce qui fit rire Ingrid.

- oh ce n'est pas la peine de serrer tes petites fesses ma chérie quand je vais t'administrer la fessée que tu mérites tu vas me montrer tout ce que tu veux cacher.

Elle avait saisi l'élastique de la culotte et la faisait descendre jusqu'à mi cuisses. Depuis une semaine qu’elle lui administrait tout les jours de magistrales fessées, elle connaissait parfaitement le derrière de Marie et c’était toujours un plaisir de le retrouver après avoir déculotté comme si elle était sa fille cette dame de 45 ans.

Les fesses de Marie était contractée par l’angoisse, elle savait qu’elle allait gémir, supplier puis pleurer pendant sa punition mais habituellement il n’y avait que Ingrid pour assister à cette humiliation, aujourd’hui Olga allait l’entendre redevenir une collégienne recevant une sévère correction.

- Aïe, Aïe....noon, non pardon Mlle Ingrid, Aïe, Aïe,

La fessée avait commencé sur le fessier tendu, la jeune femme savait donner des fessées aussi sévère qu’humiliante, elle accompagnait ses claques de commentaires.

- et oui, ma petite Marie, ça brûle, je le sais, c’est fait pour ça figure toi, mais avec une belle paire de fesses comme ça tu peux en recevoir des fessées, je te garantis que tu auras chaud aux fesses tout l’après-midi. Oh tu peux les serrer tes fesses, ça ne t’évitera pas la bonne déculottée que tu mérites. Tu sais que tes fesses sont ravissantes quand elles sont bien rouges. Allez on va leur donner encore meilleure mine.

Et la fessée se poursuivait inlassablement, les claques atterrissaient sur la fesse droite puis la gauche, les fesses rebondies étaient maintenant écarlates sur toute leur surface, de temps en temps pour surprendre la punie, elle administrait une série de claques sur la même fesse puis elle claquait la base des fesses et le haut des cuisses. Marie se tortillait sur les genoux de sa nouvelle maîtresse mais elle ne pouvait échapper à sa punition. Ses fesses étaient de la même couleur que celle d'Olga, Ingrid levait de temps en temps les yeux pour comparer la teinte des deux fessiers. Les pleurs et les gémissements étaient équivalents. Les deux dames matures avaient réagi toutes les deux comme deux gamines punies par leur maman.

La fessée à la main était maintenant terminée, Marie venait chaque midi se faire rougir les fesses, mais aujourd'hui c'était vraiment spécial, elle avait l'impression que la présence d'Olga avait stimulé Ingrid, ses fesses étaient brûlantes, elle savait que malheureusement ce n'était pas fini. Ingrid la fit se relever et lui montra le mur à côté d'Olga. Elle n'eut pas besoin de lui claquer les fesses pour qu'elle prenne la position requise. Marie posa son nez contre le mur et mis ses mains sur la tête, la jupe coincée dans la ceinture dégageait bien les fesses. Ingrid se recula pour juger du résultat. Les deux fessiers étaient vraiment magnifique, rubicond sur toute leur surface. Celui d'Olga était plus volumineux que celui de Marie qui était plus rebondi et ferme, mais c'était deux belles paires de fesses de dames matures qu'Ingrid avait à sa disposition.



Elle regarda sa montre, elle avait encore une heure devant elle pour satisfaire sa passion de la fessée. Elle décida de les faire laisser un quart d'heure au coin. Ensuite il serait temps de leur faire goûter à l'un ou l'autre des instruments de sa panoplie punitive. Les fesses de Marie les connaissaient tous mais Olga n'avait expérimenté que le martinet.

Tout à la cuisson de leurs derrières, Marie et Olga n'avait pas vu le temps passer, surtout elle n'était pas très pressée de revenir sur les genoux d'Ingrid pour une nouvelle correction. Celle-ci tapa dans ses mains.

- allez mes deux chipies, venez un peu voir tatie Ingrid. Je dois continuer à m'occuper de vos derrières.

Les deux dames se retournèrent un peu gênée de se retrouver face à leur jeune maîtresse, elles avaient gardé leurs mains sur la tête, les jupes troussée par derrière masquaient quand même leurs intimité, par contre la culotte baissée aux genoux les rendaient un peu ridicule surtout vu leur âge respectifs. Ingrid était satisfaite de leur obéissance.

- c'est très bien, vous êtes mignonnes, tournez vous et penchez vous un peu que j'examine vos jolies fesses.

Les deux fessiers rouges apparurent dans toute leurs splendeurs, ils étaient encore bien colorés par la sévère fessée à la main mais ils n'étaient plus écarlates. Pour que la couleur persiste, il fallait utiliser un instrument, elle passa sa main sur les fesses nues qui se crispèrent légèrement. Puis elle se dirigea vers l'armoire qui contenait sa panoplie punitive, elle prit une grosse brosse à cheveux avec un manche en ébène bien lourd, elle le destinait aux larges fesses d'Olga, puis elle prit une claquette en cuir épais qui correspondait exactement à la taille d'une fesse de Marie. Elle avait essayé chaque instrument sur sa main, en souriant elle regarda les deux belles paires de fesses tendues vers elle. Ni Olga ni Marie n'avait bougé, décidément, la bonne vieille fessée déculottée faisait des miracles.

- c'est bien, vous pouvez vous retourner, je vais commencer par toi ma petite Olga. Marie tu vas pouvoir regarder, tu vas voir ce qui arrive quand on est vilaine, après ça sera ton tour et Olga aura le loisir de voir danser tes jolies fesses. Tu gardes les mains sur la tête.

Elle s'était à nouveau assise sur la chaise à fessée et faisait un petit signe du doigt à Olga,  celle-ci se mit à pleurnicher.

- pardon, Mlle Ingrid, s'il vous plaît plus la fessée, non….

Ce qui fit bien rire la jeune bibliothécaire.

- et pourquoi donc, viens ici et vite, tu sais très bien pourquoi tu vas recevoir la fessée déculottée aujourd'hui et les jours suivants. Je ne vais pas le répéter, tu sais ce qui va t'arriver si tu désobéis !

Olga maintenant pleurait, elle savait pourtant qu'elle n'allait pas échapper à sa punition mais la présence de Marie la paralysait. Ingrid se leva brusquement et la tira par l'oreille, en un clin d'oeil la directrice de la bibliothèque se retrouva couchée en travers des genoux de la jeune femme.

- et bien puisque tu as décidé de faire la maline, je pense que tu vas le regretter !!

La brosse se mit immédiatement à claquer le plantureux postérieur et Olga se mit à crier aussitôt puis les pleurs suivirent rapidement. La fessée étaient magistrale et bien qu’habituée depuis une semaine aux sévères fessées d’Ingrid, Marie était très impressionnée. La jeune femme s’arrêta quelques instants.

- je te promets ma petite chérie que tu vas avoir du mal à t’asseoir cet après-midi et pour être sûr que tu te rappelles qu'il ne faut jamais me désobéir et refuser une correction tu reviendras ce soir me montrer tes fesses avant de rentrer chez toi.

Puis la fessée repris, Olga hoquetait, les fessées qu'elle avait reçu jusqu'à présent n'avait rien à voir avec celle-ci. 



Son bon gros derrière ballotait sous l'avalanche de coups de brosse, ces fesses ressemblaient maintenant à deux belles tomates bien mûres qui fascinait Marie. Si elle n'avait pas du tenir ses mains sur la tête elle se serait certainement caressée.

Une fois remise sur ses pieds, Olga pleurait à chaudes larmes, sa culotte était descendue jusqu'à ses chevilles, Ingrid lui enleva complètement.

- tu es privée de culotte cet après midi ma petite chérie. Tes fesses seront toujours disponible si jamais tu étais à nouveau vilaine. Remet tes mains sur la tête tu vas pouvoir regarder la fessée déculottée de Marie maintenant.

Celle-ci n'hésita pas un instant, dès qu'Ingrid lui fit un petit signe, elle se précipita sur les genoux de la jeune femme, ce qui lui attira une petite réflexion.

- et bien ma petite Marie, tu es bien pressée de recevoir ta fessée, ou alors c'est la déculottée que vient de recevoir Olga qui t'a servi de leçon ?

C'était la deuxième proposition qui était exacte, car Marie ne s'habituait pas à l'humiliation de la fessée cul nu et surtout à la cuisson qu'elle engendrait. La paddle  en cuir commença son oeuvre et le spectacle offert par Marie consola un peu Olga et lui fit mieux supporter la brûlure de son propre derrière.



Après cette double fessée, Ingrid les renvoya toutes les deux aux coins comme deux collégiennes punies. À 14h, Marie put se reculotter et remettre sa jupe en place, Olga quand à elle rejoignit son bureau les fesses bien rouges et nues sous sa jupe. Elle passa aux toilettes afin d'arranger un peu son maquillage, elle avait une réunion prévue, la position assise serait certainement très inconfortable. Dans l'après-midi Ingrid passa dans son bureau.

- alors comment vont tes jolies fesses ? Tu vas me les montrer.

Olga rougit violemment, elle s'apprêtait à protester mais le souvenir de la formidable fessée à la brosse à cheveux la fit se lever. Ingrid la fit pivoter et sans gêne lui retroussa la jupe. Les fesses nues apparurent dans toute leurs splendeurs, elles étaient encore bien rouges, la jeune femme les palpa.

- c'est très bien, pas besoin de leur redonner de la couleur, on verra ça se soir à la fermeture, à tout à l'heure ma chérie.

Elle laissa retomber la jupe après une petite claque sur le beau fessier.

À 18 heure, pendant que Marie sonnait à la porte du cabinet du docteur Dupuis pour sa fessée thérapeutique journalière, Olga se présenta au bureau d'Ingrid pour elle aussi se faire claquer les fesses. Comme à son habitude, elle lui indiqua le coin du bureau



-tu retrousses ta jupe et tu vas te mettre au coin, pendant que je range tu vas réfléchir à  ce qui t'a conduit ici ce soir.

Au bout de 5 ', elle l'appela.

- en position ma chérie !

Une fois Olga en position disciplinaire, la jupe retroussée bien haut sur les reins, elle tapota la large croupe encore bien colorée.

- alors ma petite chérie, tu as pensé à tatie Ingrid chaque fois que tu t'es assise n'est ce pas ? Tu recommenceras à me désobéir ?

- aïe aïe aïe, non, non pardon Mlle Ingrid.

La main avait claqué les fesses tendues.

- j'espère bien, mais comme tu as l'air de ne comprendre que quand je m'adresse à ton gros derrière, tu as gagné un petit supplément. Tout les matins, une fessée déculottée pour commencer la journée, à midi une autre avec Marie et le soir une dernière petite pour que tu penses à Mlle Ingrid.

Après l'annonce de ce cuisant programme, Ingrid administra à sa cheffe de service une bonne petite déculottée à la main. Puis une fois relevée elle lui tendit sa petite culotte blanche.

- tu peux cacher ton vilain derrière. Je me demande ce que va dire ta maman quand elle va apprendre que j'ai été obligée de te donner la fessée déculottée.

Olga avait commencé à se reculotter, elle s'arrêta interdite. C'est vrai que depuis son divorce elle habitait à nouveau provisoirement chez sa mère, comment Ingrid pouvait elle le savoir.

La jeune femme la regardait en souriant.

- que va dire ta maman ?

Dans la tête d'Olga les souvenirs se télescopaient,  c'était très ancien mais les fessées maternelles lui revenait et même le martinet suspendu dans la cuisine, sa mère avait la main leste. Mais bon c'était de vieux souvenirs, elle avait 50 ans et elle ne voyait pas sa mère à 75 ans lui baisser la culotte comme quand elle ramenait son carnet de l'école.

Sa culotte était encore à mi-cuisses, elle regardait toujours éberluée sa jeune maîtresse.

- vas tu enfin finir de remonter ta culotte, ou faut il que je le fasse moi même ?



Olga rougissante d'être à nouveau traitée comme une gamine s'exécuta. Ingrid s'était renseignée sur la situation de sa cheffe et l'idée  perverse de mettre la mère d'Olga au courant avait germé dans son cerveau.

- je pense que tu risquerais d'en recevoir une bonne si elle l'apprenait n'est ce pas ? Il va falloir que tu  me présentes ta maman ma petite Olga. Réfléchi bien, on en discutera demain.

Olga avait enfin retrouvé une tenue plus conforme à sa situation. Ingrid la regarda quitter son bureau, son magnifique derrière se balançant au rythme de ses pas. Elle sourit, décidément Olga avait vraiment un fessier fait pour la fessée. Il fallait absolument qu’elle reçoive à nouveau la fessée déculottée par sa mère et qu’elle y assiste. Elle se mit à réfléchir.

 

A suivre …..

 

 

 

3 commentaires:

  1. Je pense que la prochaine fessée déculottée d'olga sera administré par sa maman, comme quand elle était petite 🍑🔥🍑
    J'ai hâte de lire la suite !!!

    RépondreSupprimer
  2. Oui moi aussi j'ai hâte de lire la suite

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. et bien c'est fait mon cher Denis.
      Sylvie

      Supprimer

Deux étudiantes 22

Sévère Laetitia  Le lendemain Laurence se présenta chez Odile qui lui fit une bise en lui caressant la croupe : — Coucou ma chérie, tu as ...