vendredi 7 avril 2023

La bibliothèque 3

Olga reçoit aussi la fessée



Marie arrivait à la bibliothèque, il était midi, la porte du bureau d'Ingrid était fermée, elle s'approcha et reconnu immédiatement un bruit caractéristique qui commençait à lui devenir familier. Le claquement d'une main sur la peau nue des fesses et les gémissements de la punie. Elle n'était donc pas la seule à recevoir ce châtiment enfantin, elle hésita quelques instants puis curieuse elle frappa à la porte. La fessée cessa et Ingrid lui dit d'entrer.

- à c'est toi, tu es en avance, tu es pressée de recevoir ta fessée ?

Ingrid souriait, elle était assise sur une chaise au milieu de son bureau et tenait couchée sur ses genoux une dame d'un certain âge, bien dotée au niveau fessier. Cette belle paire de fesses bien rebondie était déjà très rouge, signe que la fessée était déjà bien avancée. La dame en position disciplinaire pleurait et suppliait.

- oh non Mlle Ingrid, s'il vous plaît pourquoi lui avez-vous vous dit d'entrer. Aïe, aïe aïe aïe,  non, non pardon mademoiselle.

Ingrid venait de claquer les fesses tendues devant elle.

- je  ne veux plus t’entendre Olga ! Ce n'est pas à toi de décider de ta punition.

Olga se remit à pleurer mais cessa de se plaindre. Ingrid posa sa main sur les fesses brûlantes et regarda Marie.

- je te présente Olga, la directrice de la bibliothèque. Cette dame a besoin d'être reprise en main et je me suis dévouée pour lui venir en aide. Je finis avec elle et je suis à toi, tes petites fesses sont prêtes ?

Ingrid était souriante, on aurait dit que c'était normal d'administrer une fessée déculottée à sa directrice et d'annoncer à une autre dame de 40 ans qu'elle allait bientôt en recevoir une.

La fessée se poursuivait au milieu des supplications et des pleurs, les fesses étaient écarlates maintenant, le haut des cuisses était également rouge. Marie était fascinée,  c'était elle qui d'habitude était dans cette position humiliante. Elle n'avait jamais assisté à une fessée déculottée et malgré l'angoisse de sa future punition elle profitait du spectacle. Et Olga offrait vraiment un très joli tableau, une vraie danse des fesses, celle-ci s'ouvraient, se serraient pour ne former qu'une boule écarlate. La fessée ne semblait pas vouloir s'arrêter.



Quand enfin Ingrid cessa de claquer le plantureux fessier, ce n’était plus deux fesses que montrait Olga mais deux tomates bien mûres, elle pleurait et continuait à les serrer convulsivement pour essayer d'atténuer la cuisson. Ingrid souriait satisfaite du résultat.

- voilà ce qu’on appelle une bonne déculottée, n’est ce pas ma chère Olga ?

Elle caressait le fessier rubicond comme pour en apprécier la chaleur, puis jugeant la pause suffisante, elle fit relever Olga. Marie découvrit la directrice de la bibliothèque, c’était une dame d’une cinquantaine d’année assez petite, avec les cheveux courts, elle était un peu ronde et dotée d’une magnifique paire de fesses bien rebondie. Elle détourna le regard confuse de se retrouver dans cette situation devant une étrangère,  sa petite culotte blanche  était enroulée autour de ses chevilles, sa jupe était retombée elle glissa ses mains dessous pour frotter ses fesses brûlantes. Ingrid l’arrêta immédiatement.

- on ne frotte pas ses fesses Olga, je te l’ai déjà dit !! Tourne toi !!

La jeune bibliothécaire retroussa la jupe et la coinça dans la ceinture puis elle remonta la culotte jusqu’aux genoux et d’une claque bien forte sur les fesses dénudées elle indiqua à sa directrice qu’elle n’avait pas fini sa punition.

- maintenant tu files te mettre au coin avec les mains sur la tête qu’on puisse bien voir tes jolies fesses.

Olga malgré son statut de directrice et son âge obéit immédiatement et telle une gamine punie alla mettre son nez contre le mur et ses mains sur la tête. 



Marie ne put s’empêcher de penser à sa propre condition, décidément la fessée déculottée était miraculeuse pour transformer des dames en collégiennes obéissantes et Ingrid s’y entendait pour trousser et déculotter les dames quelque soit leur âge.

Mais revenons un peu en arrière pour comprendre ce qui avait amené Olga à se retrouver couchée sur les genoux de sa subordonnée, la jupe retroussée et la culotte baissée.

La veille, le matin quand Ingrid était rentrée dans son bureau elle y avait trouvé Olga qui avait ouvert le placard où elle rangeait ses instruments de punition, elle tenait le martinet à la main est semblait songeuse. Quand elle entendit Ingrid rentrer elle se retourna et brandissant le martinet sur un ton sévère elle s’adressa à la jeune femme.

- Ingrid pouvez-vous m’expliquer ce que c’est que ça ?



Ingrid la regarda droit dans les yeux en souriant et lui répondit.

- c’est un martinet, Olga vous ne savez pas ce que c’est. On s’en sert pour punir les vilaines curieuses.

La directrice resta interdite, non seulement cette petite peste n’était pas déstabilisée mais en plus elle se permettait de l’appeler par son prénom.

Ingrid constatant que Olga était perturbée, poussa son avantage.

- surtout quand les vilaines curieuses on été malhonnête.

- mais que voulez vous dire ?

Ingrid souriait toujours, Olga était prise à  l’hameçon, il ne restait plus qu’a tirer. Elle avait accepté sans broncher d’être traitée de vilaine curieuse.

Ingrid était une as de l’informatique et elle aimait fouiner. Pendant ses recherches sur le fichier de la bibliothèque, elle avait découvert de nombreuses anomalies comptable et elle soupçonnait la directrice de se servir dans la caisse.

- que voulez-vous dire, Ingrid ?

- Mlle Ingrid, s'il vous plaît !

La jeune femme avait interpellé autoritairement sa supérieure, Olga surprise, commençait à la regarder d'un autre oeil. Calmement Ingrid expliqua ses découvertes et ses soupçons. Olga blêmissait au fur et à mesure, elle commença à bégayer.

- mais, mais, je je....que voulez-vous dire ?

- que vais faire, plutôt ?

- euh oui ?

- oh c'est très simple, je vais alerter la direction générale.

- non, non s'il vous plaît Mlle Ingrid.

- ah bon ? Et pourquoi donc ?

Elle savait que Olga était piégée, elle serait licenciée et retrouver du travail à 50 ans avec un tel dossier, sans compter les éventuelles poursuites judiciaires. Elle la regarda sévèrement. Olga avait les larmes aux yeux.

- je veux bien essayer de faire quelque chose pour vous. D'abord vous rendrez l'argent.

- oui, oui, bien sûr,  merci Mlle Ingrid.

- ne me remerciez pas trop vite.

Ingrid souriait, elle regarda sa supérieure, en s'attardant sur son fessier rebondi, elle allait pouvoir découvrir une nouvelle paire de fesses. Puis son regard se dirigea vers le martinet que Olga tenait toujours à la main.

- bien sûr, ce ne sera pas suffisant.  Convenez que votre comportement mérite une sanction.

- que...que voulez-vous dire ?

- oh c'est très simple, je vais me charger moi même de vous punir.

Olga se mit à rougir, elle venait de voir que Ingrid fixait le martinet qu'elle tenait à la main.

- euh...oui, que voulez vous faire ?

- je vais vous administrer une bonne fessée Olga, comme votre maman l'aurait fait si elle avait appris ce que vous avez fait.

- une...une fessée, mais vous n'y pensez pas. Ingrid, j'ai 50 ans.

- Mlle Ingrid ! C'est la dernière fois que je vous le dit ! Si j'y pense sérieusement, vous n'avez pas le choix ma chère. Quant à votre âge, ça n'a aucune importance. Au contraire la fessée est interdite pour les enfants mais elle est très efficace chez les adultes. D'ailleurs ces instruments ne servent que sur des fesses de dames.

Olga était très rouge, elle posa le martinet sur le bureau. Ingrid prit une chaise et la plaça au milieu de la pièce puis s'y assis. Elle fit un petit signe du doigt à Olga en désignant ses cuisses.

- nous n'avons pas de temps à perdre, la bibliothèque ouvre dans 35'. Venez ici !

Olga les larmes aux yeux, se mit à supplier.

- non, non Mlle Ingrid, s'il vous plaît pas ici, pas maintenant.

- je vous ai dit que je n'ai pas de temps à perdre, dépêchez vous !

Comme Olga ne bougeait pas, elle fronça les sourcils.

- je vais compter jusqu'à trois, si vous n'êtes pas sur mes genoux quand j'ai fini je préviens la direction générale. Un…

Olga affolée s'approcha.

- non, non....attendez.

- deux !

Olga se précipita et s'allongea d'elle même sur les genoux d'Ingrid. Celle-ci tapota la large croupe tendue devant ses yeux.

- et bien ça a été un peu laborieux,  maintenant je vais vous expliquer comment nous allons procéder.

Elle était ravie du dénouement, ça avait été finalement assez simple de mettre sa supérieure en position disciplinaire.

- je vais d'abord vous administrer une bonne fessée déculottée mais comme nous n'avons pas le temps vous reviendrez ce soir pour votre vraie punition.

Olga se mit à pleurer et à supplier, elle ne cherchait même pas à se relever.

- non, Mlle Ingrid, pas la fessée déculottée, je...Je suis trop grande…

Elle parlait comme une gamine couchée sur les genoux de son institutrice. Ingrid se mit à rire.

- bien sûr que si Olga, une bonne fessée cul nu, comme une vilaine fille que vous êtes.

Elle retroussa la jupe et découvrit le large derrière, moulé dans une culotte en dentelle rose qui avait du mal à cacher les fesses, il rentrait déjà largement dans la raie fessière.



Ingrid était satisfaite, elle adorait les beaux fessiers de dame mûre. C'était un début, il fallait que Olga découvre ce que c'était que de recevoir une vraie fessée déculottée. Il fallait d'abord échauffer le fessier sur la culotte. Elle leva la main et commença à claquer les fesses pas trop fort. Olga se mit à gémir et à tortiller son popotin, ce qui fit sourire la jeune bibliothécaire. Quel plaisir que de prendre possession de ce beau derrière. Les claques se firent plus fortes, les gémissements également, les fesses commençaient à rosir sous la fine lingerie, Ingrid visait également la base des fesses découvertes par la culotte. Puis jugeant l'échauffement suffisant, elle glissa ses doigts sous la ceinture de la culotte et la baissa lentement. Olga supplia doucement mais ne bougea pas.

- oh non, Mlle Ingrid pas la culotte…

Ingrid se mit à rire, Olga était vraiment charmante, avec sa culotte qui franchissait lentement ses larges fesses.

- bien sûr que si, Olga je vous déculotte, comme une sale gamine que vous êtes. Une bonne fessée cul nu, voilà ce qu'il vous faut.

Elle baissa la culotte jusqu'à mi-cuisses et passa sa main sur les fesses déjà légèrement colorées. Quel beau terrain de jeu, les deux fesses étaient serrées par l'angoisse, Ingrid insinua ses doigts entre pour humilier un peu plus sa cheffe de service. Elle la voulait complètement soumise.

- allez ma petite Olga, vous allez me desserrer ses fesses et vite sinon je vais être plus sévère.

Les doigts expert descendaient entre les cuisses. Olga se mit à pleurer, mais elle relâcha ses fesses.

- oh non, pardon Mlle Ingrid, j'ai trop honte, donnez moi la fessée si vous voulez mais...mais...

Les doigts d'Ingrid écartaient maintenant les fesses.

- mais quoi ? Ma petite Olga vous êtes maintenant fesses à l'air sur mes genoux et je vous garantit que vous n'avez pas fini de me montrer vos jolies fesses, ce n'est qu'un début. Mais comme vous avez l'air pressée de recevoir votre fessée je ne vais pas vous faire attendre.

Elle recommença à claquer ce fessier si bien présenté.  Cette fois-ci, elle administra immédiatement des claques très fortes, les larges fesses se mirent à ballotter dun côté puis de l'autre, Olga criait et battait des jambes, elle était bien tenue par la taille, seul le bas de son corps pouvait bouger, ses fesses dansaient sous les claques et Ingrid découvrait son intimité. Rapidement les fesses prirent une jolie couleur rouge, elle aimait ces derrières d'un blanc laiteux qui rougissait vite. Bientôt les fesses ressemblèrent à deux tomates bien mûres, Olga pleurait à chaudes larmes. Elle était loin sa dernière fessée déculottée, elle avait oublié combien ça brûlait, Ingrid ne semblait pas vouloir s'arrêter, elle s'était attaqué à l'arrière des cuisses. Olga hoquetait tout en continuant à ruer avec ses jambes. C'était une vraie bonne fessée déculottée que recevait Olga, Ingrid voulait marquer son autorité.

Enfin la punition cessa, Ingrid en fesseuse avisée la garda un moment couchée sur ses genoux pour qu'elle se calme. Puis elle lui annonça la suite.

- vous allez faire refroidir vos fesses au coin. Levez vous.

La pauvre Olga avait le visage noyé de larmes. Ingrid ne s'en souciait pas, elle lui saisit l'oreille et la conduisit contre le mur. Elle coinça sa jupe dans la ceinture, la culotte était descendue aux genoux, elle claqua les fesses écarlates.

- mettez vos mains sur la tête et le nez contre le mur et cessez de pleurnicher. Ce n'était qu'une petite fessée, une bonne paire de fesses comme les vôtres peut en recevoir des beaucoup plus sévères.

Olga s'exécuta et continua à pleurer silencieusement, seul ses épaules bougeaient. Ingrid regarda sa montre, il restait encore un quart d'heure avant l'ouverture de la bibliothèque, elle allait pouvoir jouir un peu du joli spectacle que lui offrait Olga.

Enfin à 9 h, elle l'autorisa à se reculotter et lui donna rendez-vous ici-même après la fermeture. Olga avait remonté sa culotte et remis sa jupe en place. Elle frotta discrètement ses fesses en quittant le bureau ce qui fit sourire Ingrid.

Le soir, Olga frappa à la porte du bureau. Ingrid la fit entrer. La première chose qu'elle vit sur le bureau fut le martinet. La jeune femme lui désigna le coin de la pièce.

- allez vous mettre au coin, je n'ai pas tout à fait fini. Vous baissez votre culotte et vous tenez votre jupe relevée.



Olga surprise mais désormais soumise s'exécuta et se mit dans cette position humiliante, les fesses nues bien présentées à sa nouvelle maîtresse. Ingrid la laissa mijoter 10 minutes les fesses à l'air, elles avaient retrouvé leur blancheur immaculée. Ingrid plaça une chaise devant son bureau et appela Olga.

- reculottez vous et venez ici.

Olga les yeux baissés se présenta devant elle. Ingrid ne disait pas un mot, elle désigna simplement ses genoux avec ses doigts, elle voulait savoir si Olga était définitivement domptée. Elle fut satisfaite car sa cheffe de service sans aucune récrimination se coucha docilement en travers de ses cuisses.

- c'est bien Olga, vous devenez obéissante, ça ne vous évitera pas la punition mais au moins elle ne sera pas doublée.

Elle tapotait négligemment la croupe d'Olga par dessus sa jupe.

- vous savez ce qui va vous arriver n'est ce pas ?

Olga répondit par un petit "oui" à peine audible. Ingrid claqua sèchement les fesses.

- parlez plus fort qu'on vous entende bien. Que va-t-il vous arriver?

Olga avait la tête presque au sol, ses pieds étaient décollés et ses fesses bien tendues vers Ingrid, il lui semblait vivre un cauchemar, ses joues étaient aussi rouges que ses fesses ce matin. Une vigoureuse claque la ramena à la réalité.

- euh, oui Mlle Ingrid, vous allez me donner la fessée….

- c'est exact, mais encore.

La main sèche de la jeune femme avait encore claqué la jupe.

- aïe aïe aïe, pardon mademoiselle, oui...une fessée déculottée.

- ah, nous y voilà. Et oui ma petite Olga, maman Ingrid va te donner la fessée cul nu.

D'un geste rapide, elle retroussa la jupe, la culotte rose découvrait largement la base des fesses. Elle jugea qu'il fallait que Olga découvre le déculottage rapide, elle saisit l'élastique de la culotte et la baissa rapidement sous les fesses.

- on va chauffer ce joli derrière avant qu'il ne goûte au martinet.

La main se mit à claquer rapidement le fessier blanc qui se mit à rougir rapidement et à gigoter comme le matin même. Olga n'était pas encore habituée aux fessées, elle se mit à crier immédiatement, ce qui fit rire Ingrid.

- tout ça pour une petite fessée à la main, vous devriez garder vos gémissements et vos larmes pour le martinet ma chère.  

Olga était atterrée, elle avait déjà les fesses en feu et Ingrid voulait en plus lui administrer le martinet. La fessée fut sévère mais rapide. Les fesses écarlates, Olga put se relever. Comme le matin la jeune femme coinça la jupe dans la ceinture pour que les fesses restent visible, la culotte était enroulée autour des chevilles, elle lui lever les pieds pour la retirer complètement et posa la fine lingerie bien en évidence sur le bureau.

- vous n’avez plus besoin de votre culotte pour la suite. Filez vous mettre au coin avec les mains sur la tête !



Une magistrale claque au milieu du fessier rubicond incita Olga à se diriger vers le coin de la pièce. La jeune femme prit son téléphone et fit quelques photos. On pouvait y voir le magnifique fessier écarlate d’Olga serré par la cuisson. Elle décida de faire une photo où on reconnaîtrait Olga, elle interpella la punie.

- Olga gardez vos mains où elles sont mais tournez votre tête vers moi.

Dès que le visage de sa cheffe de service fut visible ainsi que ses fesses bien rouges, elle prit la photo.

- c’est très bien remettez votre nez contre le mur. Cette photo sera le gage de votre obéissance ma chère. Si vous ne tenez pas à ce qu’elle circule sur Facebook  ou Twitter, je vous conseille d’être obéissante.

Elle savait qu’avec la menace de tout dire à la direction elle tenait déjà Olga, mais il valait mieux prendre ses précautions. Elle la laissa au coin pendant 10’ puis elle l’appela, elle avait le martinet à la main. Olga se mit à rougir.

- Mlle Ingrid, s’il vous plaît, pas le martinet, j’ai déjà été bien punie avec vos fessées.

Ingrid se mit à rire à nouveau.

- mais ma chère Olga ce n’est pas à vous de décider si vous avez été suffisamment punie, vous n’êtes pour le moment qu’une vilaine fille qui reçoit encore la fessée déculottée, un point c’est tout. Vous sembliez très intéressée par le martinet ce matin, je m’en voudrais de ne pas vous y faire goûter.

Elle désigna la chaise.

- vous allez vous mettre à genoux là et vous vous penchez sur le dossier que vos jolies fesses soient bien présentées à Monsieur Martinet.

Olga avait les fesses en feu mais elle savait qu’elle n’était pas en mesure de protester, elle se mit dans la position prescrite. Ingrid fit glisser les lanières sur le fessier tendu.

- une bonne petite fessée au martinet pour commencer votre éducation ma petite Olga, vous allez voir ça brûle beaucoup et après on a plus du tout envie de faire des bêtises. Tâchez de ne pas trop bouger sinon la fessée sera doublée, c’est bien compris ma chère ?

Les lanières se mirent à cingler le large derrière



Olga criait et battaient des pieds sur la chaise mais elle ne cherchait pas à éviter sa punition. Ingrid pensa ‘’ toi ma petite tu es dressée maintenant, tu vas me montrer souvent tes jolies fesses’’.

L’intérêt de la fessée au martinet c’est qu’elle peut durer longtemps sans laisser de traces, la brûlure est par contre intense pour la punie. Olga pleurait et criait tout à la fois, Ingrid décida de ne pas abuser de son pouvoir, après une cinquantaine de coups, elle cessa la correction.

Elle repris une photo des magnifiques fesses écarlates de sa cheffe de service puis elle la fit se relever. La pauvre Olga porta ses mains à ses fesses pour les frotter, mais Ingrid ne lui permit pas de continuer.

- on ne frotte pas ses fesses après la fessée, il faut que tu sentes bien la brûlure pour que t'en souvenir ma petite chérie.

Elle avait changé sa façon de nommer Olga, elle l'avait tutoyé, c'était venu naturellement, depuis ce matin elle connaissait très intimement sa cheffe de service, son derrière notamment mais pas que. Son petit abricot n'avait également plus de secret pour elle.

Olga remis ses bras le long de son corps,  elle était debout devant le bureau comme une mauvaise élève devant sa professeur. Ingrid s'était assise derrière le bureau elle la regardait en souriant, c'est vrai qu'il s'était passé beaucoup de choses depuis ce matin.

- je n'en ai pas fini avec tes jolies fesses, ta punition n'est pas suffisante. Tu viendras dans mon bureau tout les midis pendant ta pause déjeuner pour recevoir une bonne fessée déculottée et ceci tant que je le jugerai utile.

Olga se mit à gémir.

- mais, Mlle Ingrid, j'ai déjà été bien punie.

La jeune bibliothécaire la regarda sévèrement.

- approche un peu ici ma petite Olga !

Elle avait reculé sa chaise du bureau et faisait un petit signe du doigt à Olga.  Celle-ci pétrifiée approcha, dès qu’elle fut à sa portée, Ingrid lui saisit la main et la fit basculer en travers de ses genoux. Immédiatement elle lui retroussa à nouveau la jupe, les fesses étaient déjà nues, prête pour la fessée. La main sévère se remit à claquer le fessier déjà écarlates. Olga se mit à crier, Ingrid ne fessait pas trop fort mais son derrière était déjà meurtri par les deux fessées précédentes. La fessée fut courte, Ingrid garda Olga couchée sur ses genoux et lui expliqua.

- ma petite chérie, il y a un mot que tu dois rayer de ton vocabulaire, je ne veux plus t’entendre dire ‘’mais’’, à chaque fois que tu le diras tu te retrouveras comme maintenant couchée sur mes genoux et déculottée. Tu as compris ?

- oui, oui Mlle Ingrid, pardon....

Olga était maintenant complètement soumise, c’était le résultat attendu par Ingrid, cette petite fessée supplémentaire était nécessaire pour asseoir complètement son autorité. Elle fit relever sa cheffe de service, les larmes coulaient sur ses joues, ses mains se dirigèrent vers ses fesses mais le regard que lui lança Ingrid suffit à lui faire remettre ses bras le long de son corps. Satisfaite Ingrid lui fit un sourire.

- c’est bien tu peux y aller maintenant, ta punition est terminée, je t’attends demain à midi, soit à l’heure, sinon...

Elle avait agité sa main de façon très explicite. Olga regardait sa culotte posée sur le bureau, la jeune femme comprit son interrogation.

- tu es privée de culotte ce soir ma chérie, tu vas rentrer chez toi cul nu sous ta jupe, comme ça tu penseras à moi. D’ailleurs à ce propos quand on reçoit encore la fessée déculottée on porte des petites culottes bien sage en coton, demain je veux voir ça sur tes fesses quand je retrousserai ta jupe et celle-ci sera courte, 10 cm au dessus du genou. C’est compris !!



Olga acquiesça et quitta la pièce.

Elle entrait dans le monde de la fessée déculottée. 



A suivre....

 

 

 

2 commentaires:

  1. Vivement demain midi pour la prochaine fessée de mademoiselle Olga !! 🔥🍑🔥

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  2. vraiment apprécié. Ingrid est donc très expérimentée pour juger les autres. Le destin d'Olgas est désormais scellé à vie.

    Chinmay

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