vendredi 31 mars 2023

La bibliothèque 2

 Marie change de statut



Marie avait les fesses en feu en sortant de la bibliothèque, Ingrid ne l'avait pas ménagée et la dernière fessée avec la brosse à cheveux bien que courte lui avait rougi sérieusement les fesses. Elle regarda sa montre, il lui fallait se dépêcher pour ne pas être en retard à son rendez-vous avec sa gynécologue, en passant devant une vitrine elle constata que sa tenue, une jupe bleue très courte et les socquettes blanches qu'Ingrid lui avait demandé de porter lui donnait l'air d'une jeune fille alors qu'elle avait la quarantaine, le docteur Michèle Dupuis qui la connaissait depuis longtemps serait sans doute surprise de la voir habillée comme cela. Elle entra dans la salle d'attente juste quand la gynécologue ouvrait la porte pour l'appeler. Elle eut un regard surpris en découvrant Marie et sa tenue puis un léger sourire se dessina sur ses lèvres.

Michèle Dupuis avait une quarantaine d'années, elle était brune, bien en chair toujours souriante et il se disait qu'elle préférait la compagnie des dames. Elle connaissait Marie depuis très longtemps, elle lui indiqua la porte de son bureau.

- allons y madame… Euh je voulais dire mademoiselle.

Elle avait dit ça en souriant, Marie avait rougi, l'allusion à sa tenue juvénile était très claire, le docteur Dupuis savait très bien qu'elle avait deux filles.

L'interrogatoire classique se déroula sans encombre, cependant les fesses de Marie étaient encore sensibles et elle se demandait si les traces de la fessée seraient toujours visibles quand il faudrait passer à l'examen. Michèle Dupuis lui montra le divan d'examen.

- bien, nous allons passer à l'examen, déshabillez vous.

C'était l'instant fatidique, Marie n'était pas trop pudique mais se déshabiller dans ces circonstances lui paru impossible, elle hésita un instant mais le regard bienveillant du docteur Dupuis la rassura, après tout les traces de la fessée auraient sans doute disparu. Une fois en petite culotte elle dégrafa son soutien gorge et se mit de côté afin de ne pas exposer ses fesses au moment de se déculotter. Michèle Dupuis la regardait avec attention, elle était toujours très professionnelle mais elle ne se privait jamais de regarder ses patientes se mettre nue, la découverte de leur anatomie était toujours un plaisir. Elle appréciait les dames avec des formes et Marie avait ma foi une superbe poitrine et des fesses rondes à souhait, elle remarqua immédiatement la rougeur qui empourprait encore le fessier de Marie. Elle lui indiqua le pèse personne.



- montez sur la balance pour commencer.

Marie l'estomac noué se dirigea vers la balance, elle savait qu'elle allait exposer ses fesses rougies, car la gynécologue n'avait pas bougé de son bureau et elle devait lui tourner le dos pour y aller.

Les fesses de Marie étaient encore bien colorées et on ne pouvait guère avoir de doute sur la cause de cette rougeur. Michèle Dupuis souriait au spectacle, ainsi cette petite dame à qui on aurait donné le bon dieu sans confession jouait à panpan cucul, sa tenue de collégienne ne laissait guère de doute, elle n'était pas victime de violences conjugales, elle était sans aucun doute consentante. Les jolies fesses potelées de Marie étaient très agréable à regarder, mais le docteur Dupuis fit un effort sur elle même et se leva, elle regarda le poids de Marie.

- c'est bien vous n'avez pas pris un gramme depuis l'année dernière, pas de cellulite.

En disant ces mots elle avait tapoté les fesses de Marie pour l'inciter à prendre place sur le divan d'examen. Marie avait les joues rouges, la main de la gynécologue sur ses fesses lui avait rappelé la punition d'Ingrid. L'examen ne dura pas longtemps mais à la fin au lieu de la faire se relever, Michèle le plus naturellement du monde la regarda et lui dit.

- bien, tournez-vous que j'examine vos fesses !

Surprise mais soumise par son séjour sur les genoux de la jeune bibliothécaire, Marie s'exécuta. La doctoresse passa sa main sur les fesses serrées par l'angoisse.

- dites moi Marie, vous avez été vilaine pour avoir mérité de recevoir une si bonne fessée?

Estomaquée par la question, Marie ne répondit pas. Une petite claque sur les fesses lui rappela sa position et sa tenue.

- je vous ai posé une question !

La voix de la gynécologue était devenue plus sèche, Marie était un peu surprise qu'elle l'appelle par son prénom, c'était un peu la faire retomber en enfance. Mais elle était bloquée aucun son ne sortait de sa bouche, comment expliqué qu'à 40 ans passé, elle s'était retrouvé allongée en travers des genoux d'une jeune femme, culotte baissée en train de recevoir une cuisante fessée.





- vous ne voulez pas répondre ? nous allons utiliser une autre méthode.

Marie sentit les doigts de Michèle Dupuis écarter ses fesses et un contact froid sur son anus. Elle compris avec horreur que la gynécologue était en train de lui mettre un thermomètre dans les fesses pour lui prendre la température comme sa mère le faisait quand elle était gamine. Elle serra les fesses et protesta faiblement.

- oh non, madame s'il vous plaît…

Une vigoureuse claque lui indiqua que sa condition avait changé, elle n'était plus une dame venant consulter mais une jeune fille désobéissante qui risquait une punition.

- desserrez moi ces fesses et vite, si vous ne voulez pas que je me fâche.

Le thermomètre pénétrait doucement dans le fondement de Marie, son humiliation était totale, elle gémissait doucement.



- alors Marie ? Vous ne voulez toujours pas me dire ce qui vous a valu cette bonne fessée déculottée?

Marie garda le silence. Michèle relâcha les fesses qui se refermèrent sur le thermomètre, seul un petit bout dépassait maintenant au milieu des fesses rouges.

- j'ai tout mon temps, vous garderez ce thermomètre aussi longtemps qu'il le faudra.

Elle se dirigea vers son bureau et commença à donner quelques coups de téléphone. Marie était au comble de la confusion, elle était allongée sur le ventre toute nue sur ce lit d'examen, un thermomètre planté bien profondément au milieu de ses fesses et Michèle n'avait pas l'air de vouloir céder, comment se sortir de cette situation, elle remarqua le petit sourire moqueur de la gynécologue qui croisa son regard. Il lui fallait passer aux aveux. Avec difficulté, en butant un peu sur les mots, elle raconta comment Ingrid l'avait forcée à accepter de recevoir une fessée déculottée. Michèle l'écoutait attentivement, elle ne lui avait pas retiré le thermomètre malgré sa confession. Elle se leva et elle examina à nouveau le joli fessier de sa patiente, elle fit coulisser le thermomètre.

- quand on a désobéi, c'est normal que l'on soit punie et la fessée déculottée est très efficace.

Elle ramassa la culotte posée sur la chaise et la mit sous le nez de Marie.

- apparemment, ça ne vous a pas déplu, si j'en juge par l'état de votre culotte.

Marie devint écarlate, c'est vrai que malgré la cuisson de ses fesses, elle avait ressenti un certain plaisir à se retrouver dans cette position humiliante exposant son intimité. Michèle avait percé à jour son fantasme, d'une main distraite elle continuait à faire coulisser le thermomètre, le sortant puis l'introduisant très profondément. Marie sentait un désir monter. Le docteur Dupuis repris soudain un ton professionnel et retira le thermomètre.

- je vois ce qu'il vous faut comme traitement madame. Levez-vous.

Un peu surprise Marie s'exécuta, dès qu'elle fut debout Michèle Dupuis posa son pied sur un petit marche pied et la saisissant par la taille elle la coucha en équilibre sur sa cuisse horizontale et immédiatement elle commença à lui administrer une vigoureuse fessée, 



cette position incongrue, la tête en bas, les pieds décollés du sol et les fesses offertes à la main de sa nouvelle maîtresse mirent Marie dans un état de détresse, elle se mit rapidement à pleurer sous la brûlure, ses pieds battaient l'air mais curieusement elle sentait également une chaleur envahir sa vulve, la fessée se ralentit et la main experte de Michèle descendit entre ses fesses puis ses cuisses.

- c'est bien ce que je vous disais ma chère, la fessée vous fait de l'effet.

Elle se mit à rire et recommença à claquer les jolies rondeurs de Marie qui repris immédiatement sa danse des fesses en gémissant. La croupe était maintenant écarlate, Michèle savourait le spectacle, administrer une fessée déculottée dans son cabinet ne lui était jamais arrivé mais c'était vraiment délicieux. Elle relâcha sa victime, dès qu'elle fut au sol, Marie porta les mains à ses fesses pour les frotter énergiquement, ce qui fit bien rire Michèle.

- alors ? Ça brûle ? C'est bien, ça fait circuler le sang, vous n'aurez pas froid aux fesses.

Marie baissait les yeux, confuse d'être dans cette tenue, les fesses brûlantes. Michèle lui entoura les épaules puis descendit sa main sur les fesses enflammées.

- voilà c'est fini, on a eu panpan cucul, mais avouez que c'était bien mérité. Je pense que vous avez besoin qu'on s'occupe de vous, si vous voulez je peux m'en charger. En attendant rhabillez vous.

Troublée Marie s'exécuta, Michèle avait regagné son bureau et elle écrivait une ordonnance, elle leva les yeux et regarda en souriant Marie s'asseoir délicatement sur la chaise.

- ça fait un peu mal ? C'était une bonne fessée.

Elle tendit l'ordonnance à Marie. Celle ci la parcouru rapidement. Sous son nom était écrit

" une fessée déculottée par jour tous les soirs pendant 15 jours.

A administrer par le docteur Dupuis."



Elle lui tendit également une carte de rendez-vous.

- à 18 h précise dans mon cabinet, soyez à l'heure !

Marie avait maintenant les joues aussi rouges que ses fesses. Elle acquiesça, puis en réfléchissant rapidement elle se rappela qu'Ingrid l'avait également convoquée tout les midis pour recevoir une fessée, elle serra les fesses sous sa culotte, elle allait donc recevoir deux fessées par jour pendant une semaine.

C'est ainsi que tous les midis, Marie habillée comme une gamine se rendaient à la bibliothèque où l'attendait Ingrid pendant sa pause puis le soir à 18 h, au cabinet de Michèle qui la recevait à la fin de ses consultations.

Le midi le scénario était immuable, Ingrid lui faisait une bise en lui palpant les fesses par dessus sa jupe comme pour en prendre possession, puis elle s'asseyait sur une chaise et basculait Marie en travers de ses cuisses. La jupe était rapidement retroussée pour mettre à jour la sage petite culotte blanche, elle prenait plaisir ensuite à glisser ses doigts sous la culotte à pincer les fesses puis à tirer sur la culotte pour la faire rentrer dans la raie.

- alors ma petite Marie, on est prête pour sa petite fessée déculottée, on va montrer ses fesses, tu vas voir comme c'est bon



Marie sans l'avouer ouvertement prenait plaisir à se retrouver dans cette position humiliante, Ingrid le vérifiait d'ailleurs en glissant ses doigts sur la vulve humide. Puis venait le moment préféré d'Ingrid et celui tant redouté par Marie, le déculottage. Lentement la culotte glissait sur les fesses tendues et serrées, pour commencer Ingrid la baissait juste sous les fesses et administrait une rapide et forte fessée à son amie. Marie bien que honteuse d'exposer ses fesses, sentait son sexe se gonfler mais rapidement la brûlure de la fessée la ramenait à la réalité, elle était punie comme une gamine alors qu'elle avait 40 ans, elle gémissait sous la cuisson ce qui faisait sourire Ingrid, c'était un plaisir pour elle mais Marie avant de goûter au plaisir devait sentir la rigueur de la punition.

Elle s'arrêtait et baissait un peu plus la culotte, sa main experte s'immisçait entre les cuisses de Marie pour les écarter et pour vérifier que son traitement faisait de l'effet

- tu es une vilaine petite vicieuse, mais je vais guérir tes mauvaises pensées, tu vas voir avec les fesses brûlantes on va beaucoup mieux.

La fessée reprenait de plus belle, maintenant Marie ne pensait plus qu'à essayer de calmer la brûlure, ses fesses s'ouvraient et se refermaient, elle battait l'air avec ses pieds mais Ingrid la tenait fermement par la taille. La première fessée ne prenait fin que quand les fesses étaient écarlates. La suite était écrite, Marie comme une mauvaise élève était conduite, tenue par l'oreille au coin, sa jupe coincée dans la ceinture elle exposait son fessier rougeoyant pendant qu'Ingrid assise à son bureau passait des coups de téléphone. Elle laissait Marie pendant 1/4 d'heure en pénitence, se régalant du spectacle de cette mère de famille cul nu devant elle comme une gamine désobéissante. 



La deuxième partie était encore plus cuisante pour les fesses de Marie. Pendant la semaine de punition Ingrid lui fit goûter de nombreux instruments, il y eu bien sûr la brosse à cheveux qui la fit trépigner, courbée sous le bras de sa jeune maîtresse, la règle plate administrée dans la position si humiliante, perchée sur la cuisse horizontale d'Ingrid les pieds décollé du sol, elle dut aussi tendre ses fesses au devant des lanières du martinet, agenouillé sur une chaise, le buste courbé sur le dossier et comme une collégienne anglaise sa croupe subit également la caresse brûlante de la sandale d'Ingrid. Après ce traitement des plus cuisant, elle regagnait à nouveau le coin pour une petite pénitence. Ensuite seulement venait l'heure de la récompense, Ingrid appelait Marie et la faisait asseoir sur ses genoux sa main se glissait sous les fesses brûlantes pour les caresser, puis venait les attouchements plus intimes qui amenait souvent Marie au septième ciel.

Elle passait un après-midi entre souvenirs de ce plaisir et inconfort d'être assise sur un fessier douloureux.

En quittant son bureau elle ne rentrait pas chez elle, un nouveau rendez-vous cuisant l'attendait. La docteure Michèle Dupuis l'attendait pour l'administration de son traitement. Marie avait été obligée de lui avouer son rendez-vous du midi avec Ingrid ce qui avait fait sourire Michèle.

- et bien, dites moi vos fesses vont être bien entretenues, vous allez voir, elles vont être rondes et musclées.

Sans faire de manière, elle couchait immédiatement sa patiente en travers de ses cuisses, la troussait et la déculottait prestement. Les fesses de Marie gardait encore des traces de sa correction de midi, sous la forme d'une couleur rose plus ou moins soutenue en fonction de l'instrument utilisé par Ingrid. Dans cette position humiliante, Marie devait raconter en détail sa fessée, Michèle lui palpait les fesses avec sa main experte, s'immisçant entre les cuisses.

- décidément madame, il vous faut des fessées, on dirait que ça vous fait du bien.

Marie honteuse d'être percée à jour était bien obligée d'avouer que malgré l'humiliation et la douleur elle jouissait d'être traitée comme une collégienne. La brûlure de la fessée la ramenait vite à la réalité, et les pleurs succédaient aux soupirs du plaisir d'être caressée. La gynécologue prenait maintenant réellement goût à administrer une bonne fessée déculottée à sa patiente, elle la faisait durer le plus longtemps possible, alternant les séries douces avec une avalanche de claques très fortes qui faisait bondir Marie, bien maintenue par la taille et qui au milieu des pleurs implorait la clémence de sa maîtresse. Mais rien n'y faisait, la fessée ne s'arrêtait que quand les fesses étaient écarlates et fumantes, la rougeur descendant sur le haut des cuisses.

- voilà, je crois que le traitement va être efficace, vous allez voir, vous passerez une bonne soirée. Pour le coucher, bien sûr pas de culotte et dodo sur le ventre.

Elle finissait de caresser les fesses tout en lui prodiguant ses conseils, Marie sanglotait doucement tout en appréciant la main experte se glisser entre ses fesses, les écarter et même poser son doigt sur son anus. C'était toujours ainsi que se terminait le traitement de Michèle, elle saisissait un thermomètre traditionnel en verre et comme si Marie était une gamine elle lui introduisait l'instrument profondément tout en maintenant les fesses bien écartées. Marie était au comble de l'humiliation, les fesses brûlantes et son intimité violée par le thermomètre. Mais Michèle savait s'y prendre, elle faisait coulisser l'instrument, le ressortant puis l'enfilant encore plus profondément, Marie passait ainsi de la douleur au plaisir.

Quand elle sentait sa patiente sur le point de succomber, Michèle en praticienne expérimentée, cessait de faire bouger le thermomètre et elle administrait une dernière salve de claques à sa patiente qui râlait de plaisir et de douleur mêlés.

Elle faisait ensuite relever Marie, des larmes coulaient sur ses joues aussi rouges que son fessier. Puis elle lui indiquait le coin de la pièce.

- allez vous mettre au coin, pour que vos petites fesses refroidissent un peu, vous tenez votre jupe bien relevée que je juge du résultat de mon traitement.

Et c'est ainsi que pendant une semaine Marie fut fessée midi et soir, qu'elle garda tous les après-midi les fesses bien rouges et dormit sans culotte allongée sur le ventre. 



5 commentaires:

  1. Réponses
    1. Merci. Vos commentaires me pousse à continuer d'écrire.
      Sylvie

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  2. Entre le premier rendez-vous et le deuxième le soir, cette histoire est un régal pour les fesses de Marie. Comme je l'envie, ma petite culotte est tout mouillé 🍑🔥🍑

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    1. Je ne sais pas si c'est vraiment un régal pour ses fesses ma chère. Avez-vous déjà reçu une vraie bonne fessée déculottée, ça brûle beaucoup les fesses. D'ailleurs peut être que vous la méritez vu l'état de votre petite culotte. Comment vous appelez vous chère inconnue.
      Sylvie

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  3. super aller. Je pensais qu'Ingrid pourrait remarquer que quelqu'un d'autre cuisait aussi ces fesses. une réunion peut être organisée pour le médecin et le bibliothécaire
    Chinmay

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