Judith et Marie
Marie était une dame de 45 ans mère de deux filles mais également une lectrice boulimique pour satisfaire ses gros besoins de livre elle fréquentait régulièrement la bibliothèque municipale, elle était devenue amie avec Ingrid la jeune bibliothécaire âgée d'une trentaine d'années.
Mais Marie avait un gros défaut elle était toujours en retard pour rendre les livres empruntés, Ingrid la grondait gentiment à chaque fois mais ce jour là, elle avait un regard sombre quand Marie entra dans la bibliothèque. Celle-ci toujours enjouée lui adressa un grand sourire.
- coucou Ingrid, vous en faites une tête, qu'est-ce qui ne va pas ?
- Marie, ce n'est pas possible, vous êtes encore en retard pour rendre les livres ! Je vous avais pourtant prévenue la semaine dernière.
- olala vous n'allez pas me faire tout une histoire pour 2 jours de retard.
- si justement, j'ai un gros problème, ma responsable a regardé le fichier et je me suis pris une remarque car j'étais trop laxiste, elle m'a dit que je devais appliquer le règlement.
- c'est à dire ?
- en cas de retard je dois vous exclure pendant 15 jours la première fois et si vous récidivez c'est pour 3 mois et elle a remarqué vos retards répétés, je vais être obligée de vous rayer des listes pendant 3 mois.
A ces mots, le visage de Marie se décomposa.
- mais enfin Ingrid, ce n'est pas possible, vous ne pouvez pas faire ça, vous savez comment la lecture est vitale pour moi.
- je le sais et croyez que j'en suis désolée mais je n'ai vraiment pas le choix.
Marie avait les larmes aux yeux.
- s'il vous plaît, Ingrid je vous en supplie, ne faites pas ça.
Ingrid la regarda, son regard un peu sévère s'éclaircit légèrement.
- vous me mettez dans une situation compliquée Marie mais j'ai peut-être une solution. Si je ne vous efface pas du fichier je prends un risque et vous vous ne risquez rien, ce n'est pas très juste…
Marie l'écoutait intriguée.
- par amitié pour vous je veux bien essayer mais avouez que votre comportement est infantile et que ça mérite une petite sanction quand même.
Marie eut un petit sourire coquin.
- vous allez me faire panpan cucul ?
Ingrid lui rendit son sourire.
- vous ne croyez pas si bien dire, c'est exactement ce que je pensais vous proposer.
Marie la regarda ébahie.
- euh...c'est à dire je plaisantais bien sûr…
- moi pas !
Ingrid avait repris son regard sévère.
- ou vous acceptez de recevoir une fessée ou je vous raye des listes pour 3 mois.
- mais enfin Ingrid, vous n'êtes pas sérieuse, j'ai 45 ans….
- je le sais… Mais des fois je me demande si c'est vrai, vu votre comportement insouciant.
Marie rougit sous la remarque. Ingrid enchaîna.
- de toutes façons vous n'avez pas le choix, c'est à prendre ou à laisser.
Marie maintenant baissait les yeux, elle ne savait que répondre. Ingrid la regardait intensément, elle se sentit rougir, elle redevenait une gamine grondée par sa maîtresse d'école.
- alors ?
- euh… C'est à dire… Si vous dites que je n'ai pas le choix mais que voulez vous faire?
- oh c'est bien simple, si vous acceptez, nous réglerons ça rapidement, bien sûr pas maintenant, je vous propose de revenir à midi à la fermeture, d'ici là je vais m'arranger avec l'informatique pour que vos retards n'apparaissent plus.
Marie un peu soulagée acquiesça.
- d'accord Ingrid, à midi donc, je vous remercie.
- à au fait, une petite précision, je souhaite que vous mettiez une jupe un peu courte et des chaussettes blanches… Punition de gamine, tenue de gamine.
Marie un peu surprise acquiesça et prit congé. Une fois arrivée à la maison, elle réfléchi à la situation, c'était un peu curieux cette proposition mais après tout ce n'était pas la mer à boire. Il lui restait 1h avant de retrouver Ingrid, elle alla dans sa chambre pour se mettre en tenue de gamine comme lui avait dit la jeune bibliothécaire. Elle mis une jupe d'été assez courte et trouva des chaussettes blanches qu'elle mettait pour le sport, Ingrid ne lui avait pas parlé de ses sous vêtements mais elle opta pour une culotte sage, blanche en coton.
Elle se retourna devant sa glace tenant sa jupe retroussée elle baissa sa culotte, elle passa sa main dessus, elle remarqua un petit bouton sur la fesse droite qui la chagrina un peu mais ce n'était pas très gênant quand même. Elle se souvint brusquement qu'elle avait rendez-vous avec sa gynécologue en début d'après-midi, elle n'y avait pas pensé quand elle avait accepté de recevoir une fessée par Ingrid. Bon elle n'allait quand même pas la fesser au point de lui laisser des traces.
A 12 heure précise elle se présenta à la bibliothèque, Ingrid l'accueilli avec un grand sourire.
- c'est bien, vous n'êtes pas en retard cette fois… Prête pour la fessée ?
Marie rougi et regarda autour d'elle, une dame feuilletait un livre mais elle n'avait pas entendu la fin de la phrase. Ingrid lui montra la porte de son bureau.
- allez m'attendre la, je finis avec cette dame et je suis à vous.
Marie un peu inquiète s'exécuta, elle entendit Ingrid signifier à la lectrice que la bibliothèque allait fermer puis la jeune bibliothécaire entra dans le bureau, elle avait un regard plus sévère que précédemment, Marie inconsciemment serra ses fesses sous sa jupe, elle se revoyait de nombreuses années avant convoquée dans le bureau de la directrice, elle baissa les yeux. Il y avait une grande différence cependant elle avait 45 ans et la jeune personne qui lui faisait face pas plus de 30... Elle allait se rendre compte que cette différence d'âge avait peu d'importance. Ingrid lui tendit une feuille de papier.
- vous lisez et vous me signez ce papier.
Marie le parcouru rapidement, il y était écrit qu'elle reconnaissait sa faute et que c'était en connaissance de cause qu'elle acceptait la punition d'Ingrid et même la fessée si elle la jugeait nécessaire. Cette dernière phrase la fit rougir, elle jeta un œil à la jeune femme, elle avait un petit sourire moqueur. Puis elle prit un stylo et signa. Ingrid avait pris une chaise et l'avait disposée au milieu de la pièce. Elle s'assit et du doigt fit un petit signe à Marie. Celle ci se rendit compte brusquement de la situation, Ingrid n'allait pas se contenter de quelques claques mais elle se préparait à lui administrer une vraie fessée dans une position très humiliante. Elle s'approcha et dès qu'elle fut contre les genoux de la jeune femme celle ci la tira par le bras pour la basculer en travers de ses genoux. Cette fois ci on y était. Marie poussa un petit cri en sentant sa jupe se retrousser.
- oh non, Ingrid, s'il vous plaît, noon pas ça.
- comment ? Vous ne pensez tout de même pas que je vais me contenter de vous donner une fessée sur la jupe… Elle est très mignonne votre culotte Marie, une vraie culotte de petite fille !
Elle leva la main et commença à claquer la croupe tendue de la dame redevenue une gamine. La culotte amortissait le bruit des claques mais Marie trouvait que c'était quand même une bonne fessée et son derrière commençait à lui cuire. Soudain elle sentit les doigts d'Ingrid s'insinuer dans la ceinture de sa culotte et celle ci glisser sur ses fesses, elle protesta et d'une main essaya de la retenir.
- noon, Ingrid pas la culotte, mais enfin vous n'y pensez pas !
Ingrid se mit à rire..
- vous ne pensez tout de même pas vous en sortir avec juste une petite fessée sur la culotte, non madame vos retards répétés méritent une punition et la seule efficace c'est la fessée déculottée.
Elle avait repoussé la main de Marie et descendu la culotte à mi cuisse. Vaincue et redevenue vraiment une gamine Marie se mit à gémir.
- oh, non pardon Ingrid, je vous promet que je ne serai plus jamais en retard, oui j'ai compris.. Pardon.
Elle poussa un cri, Ingrid venait de lui administrer une claque sur la fesse droite puis immédiatement sur la gauche et ainsi de suite sans discontinuer. La brûlure était intense, Marie n'avait pas reçu la fessée depuis l'âge de douze ans, elle ne se rappelait pas que ce fut si douloureux. Elle battait des jambes, sa culotte descendit jusqu'à ses genoux, sans soucis de pudeur elle ouvrait largement ses fesses exposant sa pilosité intime puis les serraient pour essayer d'atténuer la cuisson. Ingrid était ravie, elle adorait administrer la fessée à une dame, ses pulsions dominantes et ses penchants saphiques y trouvaient une grande satisfaction. Marie l'attirait depuis longtemps et la découverte de son fessier rebondi la comblait, sous la douleur celle ci se mit à pleurer, c'était l'instant attendu par la fesseuse, le moment où la punie lâche prise et où elle sait que la correction a atteint son but. La croupe de Marie était maintenant d'un rouge uniforme, Ingrid cessa la fessée et caressa la belle paire de fesses qui la faisait rêver depuis si longtemps, maintenant elle était à sa disposition si bien présentée par cette position humiliante. Ses doigts s'insinuèrent dans la raie fessière provoquant une contraction des deux hémisphères, une petite claque ramena Marie à la raison.
- on ne serre pas les fesses madame, quand on est cul nu et qu'on vient de recevoir la fessée déculottée comme une gamine, on se laisse faire. Vous avez un très joli derrière Marie. Oui, je sais ça brûle, mais c'est fait pour ça la fessée… Vous l'aviez bien méritée n'est ce pas. Bon vous allez vous mettre au coin pour réfléchir.
Elle fit relever sa victime et la prenant par l'oreille elle la conduisit au coin de la pièce. Elle coinça la jupe dans la ceinture.
- mettez vos mains sur la tête et ne bougez plus !
Marie abasourdie s'exécuta sans un mot, elle aurait voulu frotter ses fesses brûlantes, mais d'un seul coup en quelques minutes elle avait changé de statut. Elle n'était plus une mère de famille mais seulement une élève désobéissante dans le bureau de la directrice. Ingrid la laissa dans cette position humiliante pendant 10 minutes elle jouissait du spectacle ravissant que lui offrait bien malgré elle Marie.
- voilà c'est fini, vous pouvez vous reculotter.
Marie s'empressa de cacher ses fesses, Ingrid se dirigea vers un placard et alluma une lampe.
- pour aujourd'hui je me suis contentée d'une petite fessée à la main mais la prochaine fois, voilà ce qui vous attend ma chère Marie.
Elle avait pris un martinet et en caressait les lanières. Marie avait connu cet instrument de punition traditionnel chez sa grand-mère mais elle croyait qu'il avait disparu, elle frissonna en pensant à la cuisson de ses fesses. Elle appelait ça une petite fessée… Maintenant Ingrid avait saisi une brosse à cheveux.
- en cas de récidive ou de désobéissance, vous reviendrez sur mes genoux culotte baissée et vous goûterez à ça, j'espère que vous avez compris.
Marie pensa à son rendez-vous chez sa gynécologue, heureusement qu'elle n'avait pas utilisé le martinet ou la brosse, elle aurait eu un peu de mal à expliquer les traces sur ses fesses. Elle sursauta quand Ingrid l'interpella.
- bien, venez un peu là que j'examine vos fesses.
Sans lui laisser le temps de réagir elle la courba sous son bras, la troussa et la déculotta.
- mais il n'y paraît déjà plus ! Je ne voudrais surtout pas que vous attrapiez froid aux fesses.
Elle avait saisi sa brosse à cheveux et elle appliqua une cinquantaine de claques sur le fessier bien tendu. Marie trépigna sur place et se remit à pleurer… Cette fois ci elle était bonne pour des explications compliquées à donner à sa gynécologue. Ingrid satisfaite la relâcha.
- voilà j'espère que la leçon sera salutaire. Pour être sûr que vous l'avez bien comprise je pense que vous viendrez tout les midis pendant une semaine dans mon bureau.
Ce n'était pas prévu au programme mais la vue excitante de la paire de fesses écarlate de Marie lui faisait trop envie et l'absence de réaction de celle ci l'incitait à penser qu'elle ne serait pas insensible au charme de fessée plus sensuelle.
Merci un très bon début la visite chez la gyneco sera sûrement très croustillant....
RépondreSupprimerquel beau début d'histoire. est-ce que Marie est la première personne à qui Ingrid a donné une fessée ou a-t-elle une liste de tels clients et tous ont été pris sur ses genoux.
RépondreSupprimerChinmay
C'est certainement à découvrir dans la suite mon cher Chinmay. Mais Ingrid a toute une panoplie d'instrument dans son placard, ils ont déjà du servir sur d'autres paires de fesses.
SupprimerOn verra....
Sylvie