Chapitre 6. Première nuit aux dortoirs
Le lendemain matin, il s'est avéré être un avantage que tant de personnes aient subi la rémanence du soir. Même les quatre chanceuses qui y avaient échappées étaient très intimidées. En plus, il y avait les sanglots d'Isabelle et Virginie, pour qui Miss Agathe avait programmé une fessée ce matin,
et même si Miss Agathe ne leur avait donné qu'une fessée à la main, elles étaient quand même venus déjeuner en sanglotant.
Sans toutes ces intimidations, l'annonce de la mise en place des dortoirs aurait sûrement attiré plus qu'un petit gémissement et des larmes,, mais en définitive personne n'osa se plaindre.
Pendant tout le reste de la journée, il s'est agit de déplacer des meubles et d'installer les dortoirs à l'étage sous les toits. À la consternation de la baronne, les trois dortoirs étaient au même étage. Elle doutait que les murs soient assez épais pour qu'on ne s'entende pas crier et pleurer quand il y aurait des rémanences.
Toutes se sont efforcées de ne fournir aucun motif de fessée. Cela n'est donc arrivé qu'à une seule des dames à savoir Sophie.
Et le soir les cris de la malchanceuse, la petite et menue Sophie, celle avec son petit derrière bien rond et bien ferme, montrèrent clairement que les murs entre les dortoirs n'étaient pas du tout insonorisés. Étonnamment, Sophie était l'une des quatre qui n'avaient pas été soumises à la rémanence la veille au soir.
Trois paires d'oreilles purent entendre le claquement de la brosse à cheveux, tandis que toutes les autres entendaient seulement les gémissements et les pleurs, certes quelque peu étouffés. C'était la dernière fois que la brosse à cheveux serait utilisée pour la rémanence, car Mélanie avait déjà commandé chez le sellier un certain nombre de tapettes en cuir de la taille d'une paume.
La plupart pensaient la même chose.
- désolée ma pauvre Sophie ! Mais je suis tellement contente que ce ne soit pas mon derrière qui brûle en ce moment.
Tant pis pour la solidarité entre compagnes d'infortune !
L'équipe disciplinaire s'était mise d'accord pour qu'elles « s'occupent » à tour de rôle des trois dortoirs, lors de cette première nuit où toutes les dames ont inauguré les dortoirs, c'est Mélanie qui fut responsable du dortoir à quatre lits celui ou dormait Sophie.
Sophie avait déjà été punie par elle dans la journée, ce qui était bien sûr la cause de la rémanence. Sophie avait trouvé trop fatigant de trimballer des meubles et elle s'était esquivée sous prétexte d'aller aux toilettes. Bien sûr, Mélanie s'en était aperçue très vite et elle avait cherché la paresseuse, elle l'a retrouvée dans la petite maison tropicale.
Mélanie mit son doigt sur ses lèvres quand Sophie essaya de trouver une explication.
- tais-toi, ma chérie, et n'empire pas les choses. Tu ferais mieux de te déculotter pour mettre à nu ton petit derrière et vite !
Sophie se rendit compte immédiatement qu'elle ne pourrait pas éviter la punition, elle obéit, mais quand sa culotte se retrouva autour de ses genoux, elle se mit à supplier
- non, s'il vous plaît, ne le faites pas ! Miss Mélanie, s'il vous plaît, n'utilisez pas de canne !
Elle s'était soudain rendu compte qu'elle s'était cachée dans le pire endroit possible.
La maison tropicale était l'endroit où poussait le bambou, qui était la source des cannes de la maison.
- et oui, c'est pas de chance, Sophie ! Mais malheureusement, je n'ai rien avec moi pour te punir !
Elle prit un couteau sur la table du jardin, se dirigea vers les bambous et coupa une longue tige fine et parfaitement droite.
- mais je te promets que tes jolies fesses resteront intactes. Je vais juste dessiner quelques jolies zébrures dessus. Tu peux faire confiance à ta chère Miss Mélanie !
Sophie se mordit les lèvres et des larmes coulèrent alors qu'elle regardait la gouvernante dépouiller la canne de ses feuilles et en couper le haut avec le couteau, sans laisser de bords tranchants.
Mélanie a fait sifflé la canne dans l'air à quelques reprises et a souri contente d'elle.
- regarde, c'est encore frais et vert et ça a l'air très élastique et malléable. Je pense que ça va faire de très, très belles zébrures, ma petite chérie.
Sophie sanglotait
- oui, mais chère Miss Mélanie, est-ce vraiment nécessaire que vous utilisiez la canne ?
La gouvernante sourit.
- non, ce n'est pas absolument nécessaire. Mais je pense que c'est une bonne occasion de te familiariser avec la canne. On ne t'en a jamais donné sur ton joli derrière n'est-ce pas ?
Sophie ne pouvait pas prononcer un mot, elle ne pouvait pas non plus détacher ses yeux de l'horrible instrument de punition.
Mélanie retourna à la table du jardin et repoussa quelques affaires. Puis elle dit d'un ton très doux
- maintenant, viens ici, ma petite. Penche-toi sur la table et mets tes mains derrière ton dos. Puisque la canne c'est nouveau pour toi je ne pense pas que tu seras capable de tendre ton petit derrière vers la canne sans bouger.
Elle poussa doucement l'épaule de Sophie avec son index, la jeune femme se pencha aussitôt sur la table et elle mit ses mains dans son dos. Mélanie saisit les deux poignets très fins avec sa main gauche. Elle prit conscience de la délicatesse des formes de la jeune femme de 34 ans.
Et puis elle baissa les yeux. Quel petit derrière si rond, si potelé.
Elle était sur le point de prendre la canne quand une bouffée de désir l'envahi "Depuis combien de temps n'avait-elle pas fessé le cul d'une jeune fille ?" pensa-t-elle et elle continua, "et comme il va sauter et se tortiller quand ma main va le claquer. Sans parler des coups de pied!"
Non! Elle devait d'abord claquer ce petit bijou avec sa main pour commencer, elle lâcha les poignets et tira la jeune femme de la table.
- je suis désolée, Sophie, ma chérie. Mais ton derrière est si petit et si tendre qu'il faut d'abord le réchauffer un peu pour que la canne ne le blesse pas.
Elle s'assit rapidement sur le tabouret qui se tenait à côté de la table et elle allongea Sophie sur ses genoux, l'objet de son désir était maintenant exposé nu devant elle, prêt à être fessé.
Mélanie prenait son temps, après chaque claque de sa main sévère elle la laissait un instant sur la petite fesse qui venait d'être claquée et elle sentait le tremblement qui la parcourait et la crispation saccadée du petit derrière.
Chaque coup était suivi d'un "Aïe" ou "Ouille". Le pauvre derrière essayait d'esquiver à gauche ou à droite, mais sans succès, bientôt elle ajouta des coups de pied. Cela rappelait à Mélanie son premier emploi après avoir été diplômée de l'école des gouvernantes, elle avait travaillé pour une famille qui avait trois filles avec des fesses tout aussi petites et mignonnes. Cela avait été comme le paradis pour elle, sauf qu'elle n'avait malheureusement pas put prendre en charge les fesses de la maman.
Ces pensées et envies avaient un peu distrait Mélanie alors qu'elle continuait machinalement la fessée. Elle fut quelque peu surprise de constater qu’entre temps les fesses de Sophie étaient devenues très, très rouges, néanmoins, elle ne pouvait pas encore se détourner des petites fesses. Elle se mit donc à claquer maintenant l’arrière des cuisses de Sophie, elle fut récompensée par une réaction vraiment enfantine, des coups de pied puis des mouvements de nage en forme de grenouille, c’était vraiment mignon. Enfin elle s'arrêta et se senti quelque peu coupable, devait-elle encore utiliser la canne ? Malheureusement elle ne pouvait enfreindre la règle importante selon laquelle une fois qu'une punition avait été annoncée, on ne pouvait s'abstenir de l’administrer. Elle se promit mentalement d'utiliser la canne très doucement, de toute façon cela causerait encore une cuisson insupportable sur les fesses déjà douloureuses.
Elle replaça Sophie qui sanglotait sur la table, saisit à nouveau ses poignets avec sa main gauche et prit la canne avec sa droite. Mais elle tint la longue et fine canne par le milieu, pour réduire l'élan et ne pas frapper trop fort
- juste quatre, ma petite chérie. Juste quatre coups de canne et c'est fini. Essaie d'être un peu courageuse !
Mais bien sûr, Sophie ne le fut pas. Elle ne réalisait pas à quel point Mélanie agissait avec beaucoup d'indulgence. Et elle n'en comprendrait certainement pas la raison, ce qui bien sûr était bon pour protéger la réputation de Mélanie.
Après chacun des quatre coups, des cris s’élevaient dans la maison tropicale, les jambes se levèrent si haut qu'elles étaient au-dessus du niveau des fesses , elles y sont restées jusqu'à ce que Mélanie les pousse doucement vers le bas après le quatrième coup.
Elle caressa amoureusement les petites fesses écarlates et lui dit d'une manière très maternelle
- et oui, malheureusement, tu l'avais bien méritée Sophie. Il faudra simplement que tu sois exemplaire à l'avenir. Le promets tu à ta chère gouvernante ?
Même si Mélanie ne compris pas les paroles de Sophie à cause de ses sanglots, il était clair qu'elle avait promis.
Dans cette situation, Mélanie n'osa pas signifier à la petite Sophie en pleurs que cette punition lui avait bien sûr apporté une rémanence avant le coucher.
Mais elle ne pouvait y échapper, la règle était la règle. En plus, c'était elle qui s'occupait du nouveau dortoir de Sophie ce soir. Peut-être qu'elle pourrait être à nouveau un peu indulgente.
Comme nous l’avions signalé plus avant mentionné, Sophie était donc la seule candidate à une rémanence ce soir-là.
Miss Mélanie entra dans la chambre, le spectacle était émouvant, les petites fesses de Sophie étaient contractées par l'angoisse, elles étaient redevenues blanches, seul restait quatre petites lignes rosées qu'avait laissé la canne. Elle était au pied de son lit, les fesses tournées vers la porte, c'est la première chose qu'on voyait en entrant. La culotte du pyjama était autour des genoux, ses mains sagement posée sur sa tête, hier elle avait entendu les cris et les pleurs de sa soeur et de ses cousines, ce soir c’est elles qui allaient assister à sa fessée, elles étaient toutes les trois dans leur lit. Miss Mélanie laissa la porte ouverte, c'était mieux pour que la leçon profite à tout le monde. Elle s'assit sur le bout du lit et fit un petit signe à Sophie.
- il est temps ma chérie, vient me présenter ton petit derrière.
Sophie le visage rouge de honte et d'angoisse se coucha sur ses genoux. Mélanie put à nouveau se régaler du spectacle de cette mignonne paire de fesses, elle les caressa doucement.
- tu sais ma chérie pourquoi je vais te fesser? Tu as été paresseuse ce matin, j'espère que cette fessée va te faire bien réfléchir aux conséquences de ta paresse.
Elle leva la brosse à cheveux, elle tenait fermement la jeune femme par la taille, elle savait qu'une fessée à la brosse est toujours douloureuse surtout sur un fessier déjà puni. Elle dosa la force de ses coups, elle ne voulait pas être trop sévère avec ce joli derrière.
Mais une fessée doit rougir parfaitement les fesses et rapidement celle-ci devinrent écarlates. Sophie cria suffisamment pour que tout l'étage sache qu'elle recevait sa rémanence. La baronne et ses filles couchées au fond de leur lit constatèrent avec effroi que lors de leur prochaine rémanence, les plus jeunes entendraient, leurs cris et leurs supplications. La fessée était maintenant terminée, Mélanie caressait maternellement les fesses brûlantes.
- voilà c'est fini ma petite chérie, tu vas dormir maintenant, j'espère ne pas avoir à recommencer bientôt.
Elle remonta la culotte du pyjama et fit relever Sophie. Celle-ci en pleurnichant se coucha sous les couvertures. Mélanie l'embrassa sur le front et quitta la pièce après avoir éteint la lumière. Elle n'avait pas donné l'ordre de ne pas frotter, elle réfléchi un instant puis elle se mit à sourire et décida de rejoindre Mildred et Agathe à la cuisine. Décidément cette petite avait vraiment un derrière très mignon.
Rayonnante de joie, elle entra dans la cuisine. Agathe éclata de rire.
- puis-je dire que tu aimes le joli petit derrière si croustillant de Sophie, ma chère Mélanie ?"
Mélanie rougit un peu , hocha la tête et ajouta presque s'excusant,
- honnêtement elle la méritait !
- oui, bien sûr
répondit la cuisinière en servant du vin à Mélanie,
- heureusement, elles le méritent toujours, nos petites chéries!
Ce "nos" fit comprendre à Mélanie que ces deux là s'étaient très vite adaptées à leurs nouveaux rôles et qu’elles étaient devenues des collègues, elles allaient partager son nouveau pouvoir avec elles deux. L'éducation conjointes des membres de la famille promettaient beaucoup de plaisir pour l'avenir et elle avait encore beaucoup de nouvelles idées sur la façon de le faire.
Fin de la première partie du Manoir des dames. La suite est en cours d'écriture et ne devrait pas tarder. Soyez patient(e) les fesses de toutes les dames du manoir des plus jeunes aux plus âgées n'ont pas fini de prendre l'air et de rougir sous les efforts conjoint de Mélanie, Agathe et Mildred.
Mélanie agathe et mildfed non pas reçu de fessee depuis le début de ce long récit et pourtant cela ne serait que justice que les fesseuses soit aussi fessee avec autant d'énergie..en public le soir avant de dormir
RépondreSupprimerUn contrôle des toilettes pourrait aussi s'avérait nécessaire pour une ou plusieurs perssonnes