vendredi 24 mars 2023

Le manoir des dames 5

 Chapitre 5. La rémanence



Mildred alla d'abord voir Christine, la baronne devrait l'attendre, inquiète pour ses fesses. Elle aimait garder le meilleur pour la fin. Et claquer les fesses amples et bien rebondies d'une baronne lui paraissait extrêmement excitant.  Cela augmenterait également énormément son estime de soi. Elle était tellement heureuse de la façon dont les choses venaient de changer dans le château.

Mais prodiguer des soins sévères aux fesses de Christine lui semblait également très satisfaisant. Rien que de voir avec quelle obéissance cette dame noble et plus âgée qu'elle, l'attendait là avec son derrière nu et de remarquer le regard anxieux avec lequel elle fixait la brosse à cheveux était excitant. En souriant, elle lui dit

- oh, ce n'est qu'une simple brosse à cheveux, ma chère Christine. Tu vas facilement la supporter, il faut juste que tu sois un peu courageuse.

Elle ferma la porte derrière elle et s'assit sur le lit et posa la brosse à côté d'elle. Puis elle lissa sa jupe et regarda la dame.

- viens vite, sur mes genoux ! Il ne faut pas perdre de temps et faire attendre ta mère trop longtemps ! Elle tapotait ses genoux d'un air insistant.

Les yeux de Christine brillaient d'une lueur inquiète alors qu'elle confirmait l'ordre de sa…. non il fallait dire maintenant ancienne soubrette d'une voix rauque.

- oui, Miss Mildred !

D'une certaine manière, elles  avaient des intérêts similaires en ce moment car elle voulait en finir au plus vite. Elle s'empressa de s'allonger sur les genoux de Mildred, qui baissa la culotte du pyjama un peu plus bas et remonta un peu plus le haut, les fesses volumineuses et douces étaient maintenant devant elle, totalement à sa merci.

- tu es une gentille fille,

elle souriait en attrapant la brosse à cheveux,

- et bien allons-y !

 Elle se mit à claquer le derrière de Christine avec des coups très rapides et sévères. Peut-être que Christine aurait aimé garder un peu de dignité, mais les claques sur ses fesses qui étaient déjà très rouges, arrivaient avec un tel élan et un rythme si rapide qu'elle s'est immédiatement mise à crier et à se tortiller comme une folle. Comme Mildred s'était assise sur le lit de façon à ce que le haut du corps et les jambes de Christine reposent sur le lit, ses jambes frappaient violemment le matelas et ses poings tambourinaient également de l'autre côté.



Les claquements cessèrent aussi brusquement qu'ils avaient commencé.  Mildred remonta le bas de pyjama, remis le haut en place et fit ramper Christine vers l'avant de ses genoux pour qu'elle s'allonge. Puis elle se leva, recouvrit avec la couverture, la dame de 53 ans, qui sanglotait toujours de façon incontrôlable, puis elle se pencha sur elle et l'embrassa sur le front dans un geste très maternel.  

- dors bien, ma chérie,  

puis elle quitta la pièce en éteignant la lumière.  

- bonne nuit, Miss Mildred,

entendit-elle avant de refermer la porte derrière elle.

 Entre-temps…

Agathe était entrée dans la chambre de Virginie, celle-ci portait une chemise de nuit, elle se tenait devant son lit, les mains croisées derrière le dos pour tenir son vêtement de nuit retroussé et faire apparaître ses belles fesses bien larges d'un blanc laiteux, elles étaient serrées par l'angoisse.

Agathe fronça les sourcils, elle s'approcha de Virginie et la saisit par l'oreille.

- miss Mélanie à dit les mains sur la tête, elle claqua les fesses rapidement avec la brosse à cheveux.

- aïe aïe aïe pardon miss Agathe, je n'avais pas de pinces à linge pour tenir relevée ma chemise de nuit...aie aie.

La brosse avait claqué un dizaine de fois le fessier joufflu qui reprenait déjà des couleurs.





- il te fallait en demander, je viendrai te redonner une fessée demain matin pour ta désobéissance. Maintenant viens ici !!

Agathe s'était assise au bout du lit et Virginie en pleurnichant se coucha en travers de ses genoux, la cuisinière retroussa bien haut sur les reins la chemise de nuit. Elle admira les fesses déjà rosées, cette dame avait vraiment des fesses faites pour la fessée, elle ne l'avait pas remarqué cet après midi. Puis elle leva la brosse et commença la fessée. Virginie se mit à hurler immédiatement, les quelques claques que Agathe lui avait administrée avant n'était rien à côté de la brûlure qui envahissait ses fesses. Elle se débattait, ses jambes battaient l'air, ses fesses s'ouvraient largement mais Agathe la maintenait fermement et en quelques minutes les fesses furent d'un rouge éclatant.

Agathe la fit se relever, son visage était inondé de larmes, la solide cuisinière tira la couverture et l'aida se coucher. Elle l'embrassa sur le front et passa sa main sur les fesses recouverte par la chemise de nuit.

- dors bien ma chérie, à demain matin.

La porte de la chambre était restée ouverte, sa soeur et ses cousines avaient tout entendu…

À l'étage supérieur, Mildred continuait son travail....elle marchait tranquillement dans le couloir, elle n'était pas pressée car contrairement à la gouvernante et à la cuisinière, elle n'avait plus qu'un derrière à s'occuper.  Ce n'est qu'au moment où elle monta  l'escalier que les sanglots de Christine, qu'on entendait même à travers la porte fermée, s'éteignirent.

Alors qu'elle traversait le petit couloir qui conduisait à la chambre de la baronne, elle songeait que c'était surréaliste, elle allait donner une fessée aux fesses bien rondes, potelées et même nues d'une baronne de 75 ans.  Et ce qui  rendait la chose encore plus étrange, mais aussi plus excitante, c'était qu'il n'y aurait qu'elle et la baronne qui seraient présentes, et elle serait la maîtresse. Bien sûr  la gouvernante avait décidé  que ça se passerait avec la brosse à cheveux.  Mais tout le reste était entre ses mains.  Combien de coups, que ce soit sur les fesses puis les cuisses, en claques  rapides ou lentes, etc., etc.

Son cœur se gonfla lorsqu'elle réalisa à quel point les conditions dans le château venaient de changer et continueraient certainement à changer.  Mélanie avait déjà mentionné qu'elle et Agathe devaient se voir accorder des salaires plus élevés en raison de leurs nouvelles compétences.

Et il était déjà clair que cela se produirait parce que de telles choses relevaient du domaine décisionnel de la gouvernante.

Mais elle ne s'était toujours pas habituée à sa nouvelle condition,  elle frappa donc à la porte de la baronne Adélaïde De Bois Blanc.  Ce n'est que lorsqu'elle entendit de l'intérieur "Entrez !" qu'elle se rendit compte qu'elle n'avait pas du tout besoin de frapper.  De plus, cela ne convenait plus à son nouveau rôle, elle décida de ne plus jamais faire une chose pareille, elle était désormais de haut rang et pouvait s'attendre à du respect.

Et la baronne était vraiment respectueuse quand Mildred entra dans la chambre, elle se tenait très droite, ses mains étaient sur sa tête et l'ourlet de sa chemise de nuit blanche bordée de dentelle était épinglé dans le dos.  Pour le moment, Mildred ne voyait pas comment l'ourlet était maintenu, car Adélaïde lui faisait face.  Mais il était déjà clair que son derrière nu était prêt pour la fessée.

 - miss Mildred,

Avait dit la baronne d'un ton très poli, faisant presque une révérence. Apparemment, elle s'était déjà résignée à la perte de tout ses privilèges et pour elle, en tant que chef de famille officiel, le traitement uniforme de tout le monde était la pire des choses. Mildred répondit sur le même ton

- baronne !

Adélaïde trouva encore plus humiliant d'entendre son titre dans cette situation, mais elle ne savait pas si c'était l'intention de Mildred de l’humilier.

La jeune bonne fit donc comme elle l'avait fait avec Christine auparavant, elle était assise si loin sur le grand lit à baldaquin que la baronne pouvait complètement s'allonger sur les genoux face contre la couverture et les jambes également sur  le lit, Il n'avait pas été nécessaire de lui demander de le faire, un simple contact de la brosse à cheveux sur son derrière avait été suffisant et maintenant les fesses matures mais encore pulpeuses s'offraient à ce châtiment douloureux et honteux. Mildred ne pouvait pas commencer la fessée sans passer à nouveau une main sur les fesses encore rouges. Elle souri et chuchota en riant à moitié.

- maintenant, rendons ton derrière vraiment joli, il faut qu'il soit bien rouge, d'accord ?

La baronne avait enfoui son visage dans l'oreiller qu'elle serrait très fort sa réponse fut donc relativement étouffée. Pourtant, Mildred l’entendit quand même et elle fut vraiment impressionnée par ce

- oui, Miss Mildred, bien rouge, si vous le voulez Miss Mildred.

Elle songea "Eh bien, elle a passé des décennies à apprendre à se soumettre."

En fait ce n'était pas si facile pour la baronne, elle aurait pu le voir sur son visage, qui était devenu très rouge.

Mildred glissa sa main gauche sous la chemise de nuit retroussée, qui était épinglée par de petites pinces à linge en laiton, et la retroussa un peu plus. Puis elle leva la brosse à cheveux et vit les fesses exposées se serrer et se contracter de peur.

Un instant, elle laissa la brosse en l’air immobile, pour savourer le sentiment de triomphe. Elle n'aurait jamais imaginé que quelque chose comme ça lui aurait été accordé,  elle n'avait même jamais osé en rêver.

Mais ensuite l'étourdissement et le léger vertige disparurent et la brosse à cheveux s'abattit. Contrairement à la fessée de la fille d'Adélaïde, Mildred espaçait les coups de brosse. Elle n'était pas pressée et voulait que la baronne profite pleinement de chaque coup. Et c’était le cas, au final ses réactions étaient comparable à celles de Christine. Elle lui a tout offert ! Coups de pied, cris, tortillements et comme les coups lui donnaient du temps, Mildred entendit bientôt les supplications et surtout des promesses répétées d'être toujours gentille et de ne plus offrir de motif de punition etc...

Mais cela ne suffisait pas à Mildred, elle n'a cessé de donner la fessée que lorsque les larges fesses furent d'un rouge aussi intense que la croupe bien rebondie et dodue de Christine quelques instants auparavant.

Lorsque la baronne s'est glissée dans son lit, Mildred comme pour  Christine auparavant, a tiré la couverture  et lui a donné un chaleureux baiser sur la tempe.

- dors bien, ma chérie !

Adélaïde sanglotait

- vous aussi Miss Mildred ! Merci Miss Mildred !

Elle n'avait même pas remarqué que l'ancienne femme de chambre lui avait dit à elle une femme noble, "chérie".

Mildred vit quelque chose sous les couvertures se diriger vers ses fesses, qui devaient être très douloureuses. Elle sourit et décida de laisser sa chérie se soulager en se frottant les fesses pour cette fois. Après tout, pardonner de temps en temps était aussi une expression de pouvoir.

Elle éteignit la lumière et referma doucement la porte derrière elle, puis elle s'éloigna vers la cuisine. Elles devaient s'y retrouver une fois leur travail terminé, la cuisinière  l'avait invitée, ainsi que la gouvernante, à boire un verre de vin. En descendant l'escalier, elle entendit de grands cris, mais elle ne put pas dire si une ou deux punitions avaient lieu en ce moment.

Agathe était maintenant dans la chambre d'Isabelle, le spectacle était magnifique. La dame de 33 ans se tenait bien droite au pied de son lit, elle avait baissé la culotte de son pyjama sous ses fesses magnifiques, rondes et fermes. Elles étaient encore marquées par les traces de la canne reçue le matin. Ses mains étaient posées sur sa tête. Agathe s'approcha et caressa les fesses, elle prenait vraiment goût à ce travail et cette arrogante maîtresse était maintenant à sa merci. Isabelle avait serré ses fesses mais n'avait pas bougé, la sévère fessée à la canne reçue ce matin l'avait rendue docile.

 - détends toi ma chérie, miss Agathe va te donner la bonne fessée que tu as méritée et ensuite tu pourras aller au lit.

Elle s'était assise sur le bout du lit et tapotait ses cuisses.

- en position ma petite !

Isabelle avait les larmes aux yeux d'être traitée à son âge comme une gamine mais elle s'exécuta. Son buste reposait sur le lit et ses pieds touchaient encore le sol. Agathe la ceintura fermement, la fessée à la brosse était douloureuse, Isabelle allait certainement tortiller son derrière et battre les jambes. La fessée débuta, comme sa soeur avant elle, la jeune femme se mit à crier et à frapper ses pieds par terre. La brûlure était intense, Agathe se concentrait sur ces magnifiques fesses. En quelques instants elles étaient devenues écarlates, Isabelle pleurait et suppliait mais la sévère cuisinière continua la fessée sans se soucier des cris. Puis satisfaite de la couleur du fessier, elle remonta la culotte du pyjama et fit relever Isabelle.

Comme pour Virginie elle tira la couverture et l'aida à se coucher. Puis elle lui fit une bise sur le front tout en lui caressant les fesses.

- dort bien ma chérie, j'espère que demain tu seras sage et que miss Agathe n'aura pas à te donner encore la fessée.

Elle sorti de la chambre et éteignit la lumière. Isabelle se tourna sur le ventre et baissa sa culotte, elle voulait se frotter les fesses brûlantes. Soudain la lumière s'alluma brusquement, c'était Agathe qui revenait, elle tira la couverture.

- c'est interdit de se frotter les fesses ma chérie, je suis désolée.

Elle avait tiré Isabelle hors de son lit et elle la courba sous son bras, la brosse s'abattit à nouveau une cinquantaine de fois sur le derrière brûlant. La pauvre Isabelle trépignait sur place, Agathe remonta à nouveau la culotte sur les fesses de la punie et la relâcha.

- au lit, vite ! Tu reste sur le dos, je veux que tu sentes bien tes jolies fesses. Demain matin je m'en occuperai à nouveau.

Isabelle pleurait mais elle obéi et se coucha docilement comme miss Agathe lui avait demandé. Déjà la cuisinière avait quitté la chambre en éteignant la lumière.

Il lui restait une dernière fessée à administrer, elle songea que l'idée du dortoir était vraiment judicieuse, ce serait plus rapide et plus pratique de donner toutes les fessées dans la même pièce sans avoir à se déplacer.

Elodie portait une chemise de nuit blanche très jolie, elle était  ornée de dentelle et assez courte. Mais pour le moment elle était retroussée très haut, retenue par des pinces. Elodie était la plus ronde des quatre petites filles de la baronne, son fessier était vraiment joufflu mais  très ferme, une jolie paire de fesses qui allait certainement bien prendre la fessée pensa Agathe. Les traces de la canne étaient encore visible, comme pour Isabelle elle passa la main sur ce fessier. Elle avait vraiment un sentiment de puissance, toutes ces jeunes femmes nobles devaient maintenant lui présenter humblement leurs fesses pour recevoir une bonne fessée.

- alors ma petite Elodie, tu as reçu la canne ce matin, tu sais ce que miss Agathe va te faire ?

La jeune femme sanglotait déjà. Une claque sur ses fesses l'incita à répondre.

- euh...oui miss Agathe....vous allez me donner....la fessée.

Dieu que c'était dur à prononcer ces mots quand on avait 33 ans et  qu'on était fesses nues devant une domestique qui allait vous punir comme une gamine.

- exactement ma petite, une bonne fessée pour que tu ne recommence pas.

Elle avait l'habitude maintenant c'était sa troisième fessée, elle s'était assise au bout du lit et avait basculé la jeune femme en travers de ses genoux. La belle paire de fesses bien rebondie était maintenant à sa disposition.

Elodie avait entendu les cris et les pleurs de ses deux cousines, elle savait que la punition serait douloureuse mais elle n'avait pas imaginé que la brûlure de la brosse serait aussi terrible. 



Elle était douillette et la fessée cul nu était sa hantise depuis qu'elle était petite, cette fessée à la brosse était sans doute la plus sévère qu'elle ait jamais reçue car ses fesses étaient encore sensibles de la fessée à la canne reçue le matin.

Elle exécuta une magnifique danse des fesses, Agathe était ravie, pour sa dernière fessée de la journée, le spectacle était parfait. Toute la maison avait entendu les cris et les pleurs d'Elodie, maintenant elle était au lit sous les couvertures, ses fesses étaient en feu. Miss Agathe lui avait bien précisé en l'embrassant.

- tu ne frottes pas ton derrière ma petite Elodie et tu restes couchée sur le dos. Il faut que tu sentes bien tes fesses.

Agathe entra dans sa sphère d'activité, « la cuisine ». Elle souriait de contentement en s'adressant à sa jeune collègue,

- cette rémanence est une autre très bonne idée de la nouvelle gouvernante!

Mildred le confirma

- je trouve ça très satisfaisant de savoir que nos mignonnes sanglotent dans leur lit en ce moment !

Agathe lui raconta comment la petite Élodie avec son derrière grassouillet avait été extrêmement obéissante.

- je suis sûr qu'elle ne frottera pas ses fesses brûlantes  et qu'elle va rester allongée sur le dos, c'est vraiment un sentiment très agréable, elle va penser à moi et à la brosse à cheveux jusqu'à ce qu'elle s'endorme

Mildred ajouta en riant,

- peut-être qu'elle rêvera même de toi, Agathe ! Quelle pensée romantique !

Agathe riait aussi

- j'espère pour la pauvre que ce ne sera pas un cauchemar !

Elle avait placé trois verres à vin sur la petite table où elle prenait parfois ses repas dans la cuisine. Puis elle sortit une bouteille de vin rouge d'un placard et la déboucha.

- attendons Mélanie. Mais le vin va s'aérer pendant ce temps.

Miss Mélanie était contente, elle aimait donner la fessée et elle avait à sa disposition ces quatre derrières juvéniles à traiter. C'était très agréable et excitant de fesser des dames matures . Elle avait pris beaucoup de plaisir à fesser la baronne sur ses fesses nues mais maintenant c'était des fessiers bien ferme qui l'attendait. En entrant dans la première chambre le spectacle était ravissant, trois paires de fesses étaient exposées, blanches et serrées par l'angoisse, les culottes de pyjama étaient baissées à mi cuisses, les mains posées sur la tête. Emilie et Louison avaient des petites fesses bien fermes et musclées comme leur mère, tandis que  Margot avait déjà une paire de fesses bien ronde et dodue qui ressemblait un peu à celle de sa maman. Mélanie décida de ne pas perdre de temps, elle saisit par l'oreille Margot et la coucha en travers de ses genoux, les fesses étaient prêtes, la brosse à cheveux fit son travail et la jeune fille se mit à crier et à battre des pieds rapidement, en quelques instants ses fesses étaient écarlates et elle pleurait, remise sur ses pieds, miss Mélanie lui fit remettre ses mains sur la tête et rester au pied de son lit  le temps de la punition de ses cousines. 



Les deux soeurs reçurent la même fessée rapide mais très sévère, leurs petits derrières musclés étaient maintenant bien rouges, ils se contractaient convulsivement pour essayer d'atténuer la brûlure. Mélanie se recula pour admirer le résultat de son travail, elle était contente, trois mignonnes paire de fesses bien rouges étaient exposées et les pleurs des punies étaient la preuve de l'efficacité de la rémanence. Elle claqua dans ses mains.

- remontez vos culottes et au lit. Pas de frottement des fesses et vous restez sur le dos. Je repasse après la fessée de Lola.

Dans la chambre voisine, les trois cousines avaient entendu les claquements et les pleurs, Lola était la seule à avoir les fesses nues et les mains sur la tête, c'était encore plus humiliant, Marion sa soeur l'avait aidé à épingler sa chemise de nuit dans son dos. Mélanie avait beaucoup apprécié ses jolies fesses quand elle lui avait administré la canne, elle était vraiment très mignonnes, bien rondes et musclées, blanches avec les traces rosées de la fessée à la canne, Lola essayait d'être courageuse, mais elle serrait quand même ses fesses, les cris de ses cousines étaient la preuve de la sévérité de la nouvelle gouvernante. Comme elle en avait l'habitude, Mélanie lui saisit l'oreille pour la coucher sur ses genoux.

- tu vas être courageuse ma chérie n'est ce pas ? Pas de battement de pied comme tes cousines sinon je serai obligée de claquer aussi tes cuisses.

La fessée commença, elle fut également courte, mais l'arrière des cuisses de Lola rougit également, c'était vraiment très difficile de garder les pieds au sol quand la brosse vous brûlait les fesses. Mélanie dégrafa les pinces et les fesses bien rouges disparurent sous la chemise de nuit. Quelques instants plus tard la lumière était éteinte et les jeunes filles ne disaient plus un mot. La gouvernante vérifia que dans l'autre chambre tout était calme et elle descendit à la cuisine rejoindre Agathe et Mildred.

Quand elle entra elle s'adressa à ses deux collègues.

- je ne comprends pas pourquoi miss Simpson n'avait pas pensé à organiser des rémanences. C'est tellement important.

Elle s'arrêta un instant puis sourit malicieusement,

- et j'aime tellement ça. C'est si merveilleusement simple.

Puis elle voulut savoir ce qu'elles en pensaient tous les deux.

Ces dernières étaient enthousiastes, elles lui ont confirmé que c'était une très bonne idée, que c'était une chose qui devrait désormais faire partie des procédures ordinaires.

Agathe demanda,

- et les dortoirs, Mélanie ?

- à oui les dortoirs pour nos petites chéries.

Mélanie souriait, elles  en discutèrent et décidèrent d'installer les dortoirs à l'étage sous le toit dès le lendemain. Mélanie ajouta en riant.



- nous passerons bien des soirées intéressantes là-haut.

Elles continuèrent de discuter, à  la fin, la bouteille était vide et elles allèrent se coucher.

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