Chapitre 4. Une nouvelle vie pour les dames
Mildred savait manifestement où Mélanie était allée, ou peut-être a-t-elle juste suivi les pleurs. En tout cas, alors qu'elles arrivaient sur la terrasse, Émilie couchée sur les genoux de Miss Mélanie, battait l’air avec ses pieds tandis qu'une main corrigeait ses petites fesses nues avec des claques rapides et sévères.
Christine remarqua immédiatement le petit short vert descendu autour des genoux d’Émilie. Il s'agissait certainement de la nouvelle tenue de jardinage mise en place par la gouvernante.
La raison de la fessée n'était pas claire, Mildred et la grand-mère d’Émilie regardait en silence en attendant la fin de la punition. Le bras de Mildred s'enroulait toujours autour des épaules de Christine.
Aucun temps de coin ne fut prescrit, mais le short resta baissé tandis que la la jeune fille en pleurs s'était agenouillée près d'un parterre de fleurs et avait rapidement recommencé à désherber. Un travail pour lequel elle n'avait manifestement pas été assez attentive ou assez rapide. Agenouillées devant deux autres parterres, Louison, la sœur aînée d'Emilie, et Sophie, sa mère, avaient toujours leur short sur leurs fesses, apparemment, elles n'avaient donné aucune raison d'être punie jusqu'à présent. Cependant elles n'avaient pas l'air très heureuses non plus, le jardinage était une découverte difficile pour elles.
La gouvernante se tourna alors vers les deux nouvelles venues.
- a-t-elle été courageuse ?
demanda-t-elle en souriant. Mildred hocha la tête et sourit également.
- oh, oui, très ! Seuls les neuf coups prévus ont été nécessaires !
- très bien ! Montre-moi tes fesses s'il te plaît, Christine ?
Miss Mélanie avait demandé ça comme si c'était la chose la plus normale du monde et juste par pure curiosité.
Et cette normalité rejaillit sur Christine, elle ne rougit pas. Et tandis que Mildred retirait son bras de ses épaules, elle se tourna et se pencha en avant, les mains posées sur ses genoux.
- c'est vraiment très bien ! Vraiment.
Miss Mélanie, ajouta également.
- tu es vraiment douée avec la canne, Mildred !
Maintenant c'était Mildred qui rougissait, elle répondit doucement
- oh ! Merci Miss Mélanie !
La gouvernante hocha simplement la tête puis continua d'un ton léger
- maintenant, Christine, s'il te plaît, rejoins ta fille et tes petites-filles !
Elle désigna un autre parterre de fleurs. Elle ne regarda même pas si Christine obéissait, elle était tellement sûre que ses instructions seraient suivies. Elle se leva, puis ce fut elle qui passa son bras autour des épaules de Mildred.
- allons voir comment vont les deux que j'ai envoyées dans la cuisine !
Et comme de bonnes amies, elles quittèrent la véranda.
Arrivée dans la cuisine un bruit caractéristique attira leurs oreilles. Un bruit de claquement sur la peau nue, accompagné de cris et de pleurs, c'était Virginie qui recevait une fessée avec la cuillère en bois. Miss Agathe fidèle à sa technique avait posé son pied sur le banc et avait couchée la dame de 35 ans sur sa cuisse horizontale comme une écolière fessée par son institutrice. Sa jupe était retroussée haut sur son dos, elle avait été privée de culotte le matin même par miss Mélanie donc elle exposait sa belle paire de fesses déjà rouge. Ses pieds étaient décollés du sol et battaient l'air désespérément, ses cuisses s'ouvraient de manière indécente mais elle ne s'en souciait pas, elle était trop occupée par la brûlure de ses fesses.
C’était un spectacle curieux mais très suggestif que de voir une dame vêtue seulement de ses bas à partir de la taille, qui battait l’air avec ses pieds au rythme d’une magistrale fessée.
Quand la solide cuisinière la reposa par terre son visage était inondé de larmes et ses fesses cramoisies. On devinait qu’elle mourrait d’envie de frotter ses fesses brûlantes. Agathe la fit se tourner pour présenter ses fesses à Mélanie et Mildred puis elle lui épingla la jupe dans le dos.
- voilà, tes fesses restent à ma portée si tu recommences, allez file te remettre au travail !
Elle avait accompagné ces derniers mots d’une magistrale claque sur le derrière de Virginie qui ne demanda pas son reste et rejoignit les fourneaux.
- bravo une bien belle fessée, je crois que Virginie va s’en souvenir, qu’avait fait cette coquine?
Miss Mélanie avait un ton enjoué, décidément ce nouveau poste lui convenait à merveille et ces deux assistantes remplissaient leurs rôles à la perfection.
- cette étourdie à laisser brûler la crème qu’elle devait surveiller et bien maintenant c’est son derrière qui brûle.
Agathe riait de bon coeur, pour elle aussi ce nouveau rôle était une magnifique découverte, elle aimait donner la fessée et elle était servie avec ces treize fessiers à corriger.
Mélanie tourna la tête et aperçu Elodie et Isabelle côte à côte le nez contre le mur, la jupe retroussée et la culotte baissée, elles exposaient leurs fesses rouges barrées par les traits plus foncés de la canne.
- vous les avez mis au coin ? c’est bien.
- oui, j’ai pensé que ça ne pouvait que leur faire du bien et puis ça sert d’exemple aux autres.
Les autres c’étaient Camille et Marion, la première avait pu assister à la mise au coin de sa mère pour exposer son derrière canné et la deuxième venait de voir la sienne recevoir une magistrale fessée par Agathe. Décidément il n’y avait plus aucune hiérarchie dans cette maison, tout le monde pouvait se retrouver déculottée et fessée.
- parfait laissez les là encore un moment, leurs fesses sont très jolies.
Mildred devait aller surveiller les dames qu’elle avait mis à faire le ménage, Miss Mélanie décida de l’accompagner pour voir comment cela se passait.
Dans le salon et la salle à manger, Adélaïde, Irène, Lola et Margot découvraient les joies du ménage, c’était nouveau pour elle. Mildred souriait en voyant la baronne Adélaïde avec un chiffon, elle s’approcha et passa son doigt sur le meuble qu’elle venait de nettoyer, Il y avait des traces de poussière. Elle décida qu’il était temps pour elle de faire preuve d’autorité, elle saisit Adélaïde par l’oreille comme si elle était une mauvaise élève.
- c’est comme ça que tu fais le ménage !! je vais t’apprendre !!
Malgré la différence d’âge, c’était elle la maîtresse maintenant et elle lui parlait à la manière d’une institutrice sévère. Elle s’était assise sur une chaise, l’expression horrifiée d’Adélaïde montrait qu’elle avait compris ce qui allait lui arriver. Les trois autres qui étaient en train de faire le ménage s’étaient arrêtées et regardait sans en croire leurs yeux, il y a encore quelques jours c’était elle qui étaient soumise à la stricte discipline de leur mère et arrière grand-mère et maintenant celle-ci allait recevoir ce châtiment habituellement réservé aux gamines, une fessée déculottée et qui plus est administrée par la jeune bonne. Mildred avait lâché l’oreille d’Adélaïde mais elle lui avait pris la main pour la coucher sur ses genoux, maintenant la jupe était retroussée sur les reins et la culotte blanche qui moulait bien les fesses de la baronne fut vite descendue sur les cuisses. C’était un spectacle curieux que de voir cette jeune soubrette tenant sur ses genoux cette dame d’âge mûre, les fesses nues encadrées par la culotte blanche et le porte-jarretelles. Mildred n’en croyait pas ses yeux, les fesses de la baronne Adélaïde portant encore les traces de la canne reçue hier étaient à sa disposition. Elle les caressa doucement, glissant même ses doigts entre les cuisses pour les écarter. La baronne était résignée, elle se laissait faire, elle se contentait de gémir. Ce qu’elle redoutait le plus depuis hier était arrivé, elle allait recevoir une fessée cul nu et en public par sa bonne.
- pardon miss Mildred, s’il vous plaît, je n’ai pas fait exprès...pardon
Mildred souriait et Miss Mélanie également, quel changement dans l’attitude de toutes ces dames, la fessée avait fait fait son effet, elles étaient toutes devenues obéissantes et soumises? La jeune bonne leva la main et commença à administrer la fessée, elle était devenue une experte et rapidement Adélaïde se mit à crier et à battre l’air avec ses pieds, les spectatrices pouvaient admirer son intimité car elle ouvrait largement ses fesses puis les resserraient pour essayer d’atténuer la brûlure.
C’était une magistrale fessée que recevait la baronne Adélaïde de Bois Blanc, une correction dont elle se souviendrait longtemps, sa première fessée déculottée publique administrée par sa bonne.
Miss Mélanie appréciait la qualité de la correction, toute la surface de la croupe était maintenant rouge, du bas des reins jusqu’au haut des cuisses. Mildred ne semblait pas vouloir s’arrêter, elle lui fit un petit signe et ajouta en souriant.
- c’est bien je crois que ces fesses sont bien époussetées….
Mélanie était sévère mais avait beaucoup d’humour.
Mildred fit une petite moue, elle aurait bien aimé continuer à fesser Adélaïde, mais c'est vrai qu'elle commençait à avoir un peu mal à la main. Mélanie ajouta.
- il faudra que vous ayez toujours avec vous une brosse à cheveux, c'est nécessaire pour donner la fessée longuement.
Adélaïde était toujours couchée sur les genoux de sa bonne, elle pleurait à chaudes larmes. Mildred caressait ses fesses brûlantes puis elle lui permit de se relever, elle coinça la jupe dans la ceinture pour que les fesses restent bien visible, elle remonta la culotte sous les fesses.
- allez au travail ! Tu recommences à nettoyer ce meuble, je ne veux plus y trouver un grain de poussière. Tes petites fesses sont prêtes si je ne suis pas satisfaite de ton travail.
Adélaïde essuya ses yeux, ses joues étaient aussi rouges que ses fesses. Finalement l'humiliation n'était rien à côté de la brûlure qui envahissait son fessier.
Irène et les deux jeunes filles étaient encore sous le choc d'avoir assisté à la fessée de l'aïeule de la famille. Miss Mélanie frappa dans ses mains.
- au travail ! Si vous ne voulez pas vous aussi montrer vos petites fesses, le ménage doit être fini avant midi.
La matinée se termina sans aucun bruit de fessée dans le château,. L'après-midi les dames étaient libres de se livrer à leur activité favorite, cependant miss Mélanie leurs annonça une autre nouveauté. Les dames qui avaient été punies dans la journée recevraient une fessée au coucher, elle appelait ça la rémanence. Mildred serait chargée de la fessée du coucher des trois dames les plus âgées, Agathe s'occuperait des quatre mamans et miss Mélanie des six plus jeunes.
Plus aucune punition ne fut nécessaire jusqu'au soir. Les quatre qui avaient évité la fessée jusqu'à présent se sont comportées avec une extrême obéissance et empressement .
Ce n'est qu'après le dîner qu'une nouvelle règle fut annoncée. L'heure du coucher était la même pour tous les membres de la famille à partir d'aujourd'hui. Après le souper, elles n'auraient que le temps de débarrasser la table. Après cela, tout le monde devrait se préparer rapidement pour aller au lit.
Un gémissement remplit la pièce, mais la gouvernante l'ignora et poursuivit.
- et celles qui ont reçu une fessée pendant la journée devront se tenir à côté de leur lit avec leur bas de pyjama baissé ou leurs chemises de nuit épinglées, les fesses doivent être parfaitement exposées et bien sûr, les mains seront posées sur leurs têtes.
Tout le monde était consterné par cette heure de coucher si tôt. Plus grande encore était l'horreur des condamnées à la rémanence du soir. Bien sûr, aucune d'entre elles n'osa discuter ni même exprimer son mécontentement face à ces nouvelles règles. Les fessées reçues dans la journée leur avaient montré que cela ne ferait qu'empirer les choses.
Tout le monde avait baissé les yeux, gêné. Mélanie et ses deux adjointes avaient quitté la salle à manger et il n'y eu aucune discussion ni même de plainte concernant les ordres donnés.
Comme tout le monde participait au débarrassage, cela se fit rapidement et toutes les dames se faufilèrent dans les couloirs et les escaliers la tête baissée. Certaines avaient même les larmes aux yeux. Seule la plus jeune génération s'est sentie satisfaite de la nouvelle règle harmonisée de l'heure du coucher. Tout simplement parce que cette règle qui s'était toujours appliquée à elles, s'appliquait désormais à leurs mères, grands-mères et même arrière-grand-mère.
Si la nouvelle politique sur l'heure du coucher semblait déjà terrible à la plupart, Mélanie et ses deux assistantes discutaient dans le bureau de la gouvernante de quelque chose de bien pire.
L'objectif principal était de simplifier la rémanence à l’avenir. Mélanie trouvait gênant qu'il faille visiter autant de pièces individuelles. Elle demanda aux deux autres si les dortoirs ne seraient pas un soulagement pour elles. De plus, il serait certainement instructif que celles qui ne sont pas concernées par la rémanence soient toujours présents. Il ne manquait pas de chambres convenables pour les dortoirs. Le château avait de nombreuses pièces inutilisées car avant la famille qui y vivaient était plus nombreuse.
Mildred et Agathe appréciait l'idée et Mildred proposa qu'il y ait trois dortoirs, à savoir un pour la baronne et ses deux filles, un pour les quatre petites-filles de la baronne et un pour ses six arrière-petites-filles.
C'était exactement la répartition des groupes, que Mélanie avait mentionné précédemment pour la fessée du coucher.
Agathe ajouta qu'elles pourraient alors se consacrer chacune à un groupe différent chaque soir.
Agathe et Mildred hochèrent la tête, c'était donc chose faite.
Mais ce changement ne pouvait avoir lieu dès ce soir. C'est pourquoi elles allaient devoir faire le tour des chambres des personnes concernées.
Agathe proposa de faire la rémanence ce soir avec des brosses à cheveux pour se protéger les mains. Mélanie leur indiqua qu'elle allait demander au sellier du village de fournir des tapettes en cuir de la taille d'une paume spécialement conçue pour les rémanences.
Agathe fut envoyée chercher trois brosses à cheveux convenables. Quand elle est revenue et les distribua et elles partirent chacune de leur côté.
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