dimanche 19 mars 2023

Le manoir des dames 3

 Chapitre 3. Nouvelles règles





Miss Scott retourna dans le hall, elle annonça que tout le monde pouvait maintenant retirer ses mains de la tête et se rhabiller correctement.

Puis, elle promulgua une nouvelle ordonnance. Désormais, les membres de la famille effectueraient eux-mêmes tous les travaux de la maison, du jardin et du parc, sous la direction et la surveillance de Miss Agathe et Miss Mildred.

Et bien qu'elle ne l'ait pas mentionné explicitement, il était également clair que les deux domestiques, dans leur nouveau rôle auraient également le droit de punir.

La salle s'est rapidement vidée, les nouvelles responsables du ménage ont donné des instructions. Miss Scott avait suggéré que leurs salaires devraient bien sûr être augmentés pour refléter leurs nouveaux rôles qui comportaient plus de responsabilités. La baronne avec ses fesses rouges et cuisantes n’avait pas protesté.

Puis elle se rendit dans ses appartements pour déballer ses bagages.

Entre-temps, Agathe et Mildred avaient mis certains membres de la famille au travail, en particulier pour préparer le dîner, qui traditionnellement était toujours pris ensemble. La grande table de la salle à manger pouvait accueillir encore plus de personnes que les seize qu'elles seraient ce soir. Mais elles étaient rarement plus, les visiteurs étant très rare.

La baronne, qui se dirigeait déjà vers ses appartements, fut arrêtée en chemin par la cuisinière.

- Adélaïde, tu mettras le couvert

Elle avait dit ça en souriant.

Celle à qui elle s’adressait se figea. Ce matin Agathe n'aurait pas osé s'adresser à la baronne  par son prénom, et il aurait été impensable qu'elle lui donne des ordres, mais cela avait changé depuis qu'elle avait été élevée au rang de "Miss Agathe".

Malheureusement la baronne était encore loin de s'être habituée au nouveau rapport de force. Certes, elle compris rapidement et elle se tourna vers la cuisinière, mais elle ne put contrôler l’expression de son visage assez rapidement et l'agacement était écrit dans son regard.

Il était clair pour la cuisinière qu'elle devait prendre des mesures immédiates pour se faire respecter sans tarder. Sans dire un mot, elle fit un pas vers la baronne et avant que celle-ci n'ait la moindre idée de ce qui lui arrivait, elle lui avait attrapé le lobe de l'oreille droite et l'entraînait vers la cuisine.

"Aïe", gémit la dame de 75 ans, mais elle ne résistait pas vraiment, elle avait été prise par surprise. Même Miss Simpson ne l'avait jamais traitée d'une manière aussi humiliante et c’était sa cuisinière qui osait le faire, et qui plus est en lui parlant comme personne ne lui avait jamais parlé.

- dépêche-toi ! Je vais te montrer immédiatement ce qui va t’arriver à chaque fois que tu te rebelleras, ma chérie.

la cuisinière grondait et donnait à Adélaïde quelques claques magistrales sur ses fesses déjà douloureuses.

- Aïe ! Aïe ! S'il vous plaît ! Aïe !

chaque claque faisait bondir la baronne en avant, si quelqu'un avait observé cela, il aurait peut être trouvé ces sauts assez amusants

Elles sont arrivées dans la cuisine très rapidement, Il était vrai que la baronne ne pouvait pas opposer une réelle résistance, la cuisinière en raison de son travail physique régulier était nettement plus forte que la vieille dame qui elle n’avait jamais travaillé, .

Dans la cuisine, elles trouvèrent les quatre petites-filles de la baronne en train de préparer le dîner,  la cuisinière cria

- Isabelle, s'il te plaît, décroche cette grande cuillère de cuisine et apporte-la-moi !

Lorsque Isabelle approcha avec la cuillère de cuisine, la cuisinière avait déjà posé son pied gauche sur un banc et la baronne était couchée sur sa cuisse. C'était un spectacle curieux que de voir cette dame mature donner des coups de pied avec ses jambes et agiter ses bras en criant

- non ! Non ! S'il vous plaît, non ! Non ! Je vais obéir.

- je n’en doute pas !

fut la réponse succincte de la cuisinière. Elle retroussa la jupe longue de la baronne sur son dos puis demanda à Isabelle de lui tendre la cuillère en bois.

Comme elle était pressée, elle ne baissa pas la culotte de la baronne. Celle-ci n'offrait de toute façon aucune protection contre les claquements de la cuillère en bois. De plus, elle avait prévu de fesser la zone visible sous l'ourlet de la culotte, qui était d'ailleurs encore un peu rouge et présentait des traces plus foncées reste de la punition à la canne.

Rapidement des claquements sonores résonnèrent dans la cuisine. Les quatre petites-filles regardaient avec un mélange d'horreur et de fascination. Jamais jusqu’à présent, aucune d'elle n'avait vu la baronne se faire punir, la fessée à la main il y a environ une heure était la seule exception. Bien sûr, elles avaient souvent entendu des bruits de fessée dans le passé et elle savaient que ça lui arrivait également. Mais Miss Simpson avait toujours puni la baronne dans l'isolement de ses appartements.

Bien qu'elle soit concentrée sur les fesses qui étaient si bien présentées, Agathe remarqua que les dames regardaient la fessée.

- continuez à travailler, et vite ! 

Ce n’était pas juste mais ce ne furent pas les quatre dames mais les fesses d’Adélaïde qui souffrirent de cette colère.

Les petites-filles s’attelèrent immédiatement à la préparation du dîner, tandis qu'Adélaïde faisait les contorsions les plus folles sur le genou de la cuisinière, sans succès aucun, elle ne réussi pas à esquiver la moindre des cuisantes claques.

Quand ce fut fini, la cuisinière reposa si brusquement la baronne à terre que la pauvre faillit tomber.

- maintenant, tu files dans la salle à manger et tu mets la table,

La baronne s’exécuta, sa jupe était  retombée toute seule. Et même si elle trouvait cela embarrassant, elle ne put s'empêcher de se frotter les fesses. Puis en sanglotant, elle s'approcha de l'armoire, maintenant prête à faire cette tâche si ordinaire que la cuisinière lui avait confié avant la fessée.

A cet instant, elle avait oublié que c'était un travail dégradant pour une noble

Le lendemain matin Mildred passa dans toutes les chambres pour donner les nouvelles instructions concernant la tenue exigée par Miss Mélanie. Les pantalons étaient interdits ainsi que les collants. Cela ne posa pas de problème pour Adélaïde et ses deux filles, elle ne portait jamais de pantalon et même si elle trouvait plus pratique de mettre des collants, elles avaient des bas dans leur armoire. Pour les quatre maman ce fut un peu plus difficile, seule Isabelle avait des bas autofixants, elle en prêta une paire à sa soeur. Sophie et Elodie demandèrent si pour la journée elle pouvait avoir une dérogation et si elle pouvait mettre des collants. La jeune bonne se fit un plaisir de refuser.

- mais miss Mildred, il fait froid !

C'était Sophie qui avait protesté bruyamment. La réponse de miss Mildred ne se fit pas attendre, elle saisit la jeune femme par l'oreille s'assit sur une chaise et la coucha en travers de ses genoux. Sophie se rendit compte de ce qui allait lui arriver elle essaya d'amadouer la jeune bonne. 

- non, non pardon miss, ce n'est pas ce que je voulais dire...noon pardon !

Elle était encore en pyjama, Mildred avait saisi l'élastique de la culotte du pyjama et l'avait baissé juste sous les fesses. La fessée fut rapide mais sévère, Sophie pleurait et criait, dans les autres chambres sa soeur et ses cousines étaient déjà au courant que la première fessée déculottée de la journée avait commencé. Les plus jeunes étaient logées à l'étage au dessus, peut-être que le bruit de la fessée ne leur était pas parvenu.



Mildred avait remis la punie sur ses pieds, ses fesses étaient bien rouges.

- voilà, comme ça vous n'aurez pas froid aux fesses ma petite Sophie, dépêchez vous de vous habiller.

A l'étage du dessus, elle eu également à sévir, Margot, Emilie et Louison partageait la même chambre. Quand Mildred leur annonça qu'elles étaient privées de jean,  elles se mirent à protester, surtout Margot et Louison, cette dernière avait sans doute oublié le scénario de la veille, elle apostropha la jeune bonne.

- non mais ça va pas, il fait trop froid pour se mettre en jupe.

Mildred s'approcha en souriant, elle la saisi par l'oreille.

- ma petite Louison, tu as sans doute du oublier comment je m'appelle. Miss Mildred !!!

Sa main venait de claquer fortement les fesses de la jeune fille.

- répète après moi !! Miss Mildred !!

- aïe aïe aïe, pardon oui…. Miss Mildred.

Tenant toujours Louison par l'oreille elle s'assit sur une chaise et la coucha en travers de ses genoux. En un clin d'oeil la culotte du pyjama arriva sur les genoux et la fessée crépita dans la pièce. Mildred voulait marquer son autorité aussi elle claquait sévèrement ce fessier juvénile, la jeune fille regrettait déjà amèrement ses paroles mais c'était trop tard, ses fesses étaient brûlantes, ses pieds battaient l'air, la jeune bonne s'appliquait à rougir parfaitement ce derrière. Quand elle relâcha enfin Louison, celle-ci pleurait à chaudes larmes.

- mains sur la tête, vite !! Margot, approche !!

Celle-ci était pétrifiée mais elle s’avança quand même vers Mildred, dès qu’elle fut à sa portée, elle lui prit la main et Margot bascula à son tour sur les genoux de miss Mildred, la culotte du pyjama descendit rapidement jusqu’aux genoux et à nouveau le bruit caractéristique du claquement d’une main sur la peau nue retenti dans la pièce. Quelques instants c’étaient deux jeunes filles en pleurs et les fesses écarlates qui se tenaient au milieu de la pièce. Mildred les saisit par l’oreille et lança.

- Emilie tu t’habilles et vite ! quant à vous, vous venez avec moi !

Elle sorti de la chambre en tenant toujours les deux cousines par l’oreille, la culotte du  pyjama toujours au niveau des genoux et elle les conduisit dans le hall.

- le nez contre le mur, les mains sur la tête et vous ne bougez pas de là. Que tout le monde puissent voir vos jolies fesses bien rouges.

Elles avaient l’habitude d’être mise au coin après une bonne fessée, mais habituellement c’était leur mère où leur tantes qui les punissaient, cette fois elles avaient été fessée par la bonne qui étaient à peine plus âgée qu’elle.

Les trois autres cousines qui occupaient la chambre voisine avaient tout entendu, elles ne firent aucune difficulté pour mettre une jupe.

Un peu plus tard toutes la famille fut rassemblée dans le salon, les punies avaient eu l’autorisation de se rhabiller. Miss Mélanie entra dans la pièce, les dames la saluèrent respectueusement par un ‘’bonjour miss Mélanie’’, ce qui fit sourire la jeune gouvernante.

- merci mesdames, je vois que tout le monde est en jupe, c’est parfait. J’aimerais maintenant vérifier ce qu’il y a dessous. Vous allez vous tourner et retrousser vos jupes que je voies vos culottes.

Un léger murmure parcouru l’assemblée mais personne n’osa protester et rapidement on put voir treize dames tenant leurs jupes relevées et exposant leurs fesses et leurs culottes. Miss Mélanie passa lentement en revue les derrières tendus vers elle. Elle tapotait les fessiers pour montrer sa satisfaction. Adélaïde et ses filles portaient de sages culottes blanches, la baronne des bas avec des porte-jarretelles Irène et Christine des bas autofixants. Quand elle arriva aux mamans, Virginie portait un tanga rose très échancré, découvrant ses fesses. 



La gouvernante claqua les fesses tendues et descendit la culotte.

- c’est indécent ma petite Virginie, ce n’est pas la peine de mettre une culotte ! enlevez là et donnez la à Mildred, vous êtes privée de culotte jusqu’à midi.

Rouge de honte la jeune femme s’exécuta, elle tendit sa fine lingerie à la jeune bonne puis elle se retourna à nouveau pour présenter ses fesses nues désormais. Miss Mélanie était maintenant derrière Sophie, la rougeur de la fessée matinale dépassait  de la culotte, elle la baissa pour examiner les fesses.

- vous avez été fessée ce matin ?

Une claque avait accompagné l’interrogation.

- euh… oui, aïe, par miss Mildred.

La main avait claqué à nouveau les fesses tendues. La jeune gouvernante se tourna vers Mildred qui lui expliqua pourquoi elle avait été obligée de punir Sophie. La sanction tomba.

- enlevez votre culotte et donnez la à Mildred, vous êtes privée de culotte jusqu'à midi et quand l'inspection sera finie vous irez 1 h au coin dans le hall.

Elle inspecta soigneusement tous les derrières culottés. Louison et Margot furent aussi privées de culotte pour le restant de la matinée et retournèrent exposer leurs fesses nues dans le hall comme leur tante et mère.

L'inspection était terminée, miss Mélanie frappa dans ses mains, miss Agathe et miss Mildred vont vous donner les instructions pour la matinée. J'attends dans mon bureau, Christine, Elodie, Isabelle et Lola nous avons à discuter de vos désobéissances d'hier.

Les quatre dames suivirent la nouvelle gouvernante tête basse, la suite s'annonçait certainement cuisante pour leurs fesses.

Dès qu'elles furent arrivées dans le bureau de miss Mélanie, celle-ci prit la parole.

- à partir de maintenant toute désobéissance ou refus de se soumettre à une punition sera sévèrement punie, toutes les quatre vous vous êtes mal comportées hier, je vais donc devoir m'occuper de vos petits derrières. Tournez vous face au mur et mettez vos mains sur la tête !!

Les dames s'exécutèrent sans protester. Mélanie passa derrière chacune d'elles pour retrousser la  jupe qu'elle épingla dans le dos puis baisser la culotte jusqu'au genoux. Elle avait maintenant devant elle quatre paires de fesses blanches bien différentes par leurs formes, des petites fesses rondes de Lola aux volumineuses fesses de sa grand-tante Christine en passant par les fesses de femmes, large et bien fermes des deux mamans. C'était un spectacle ravissant, vraiment ce nouvel emploi était enthousiasmant.

- retournez vous, vous allez recevoir la canne ce matin, 6 coups pour Lola, 12 coups pour Isabelle et Elodie et 18 coups pour Christine. Avant cela je vais vous échauffer les fesses, Christine venez ici.

Elle s'était assise sur une chaise, la grand-mère redevenue une collégienne punie s'approcha les larmes aux yeux. Rapidement miss Mélanie la coucha en travers de ses genoux. A 53 ans elle allait recevoir une fessée déculottée comme une gamine, devant sa fille et sa nièce et pire encore sa petite nièce.

Comme elle aurait aimé être courageuse, surtout, elle ne voulait pas pleurnicher et pleurer devant sa petite-nièce et qui plus est ne pas battre des jambes ni écarter ses fesses. En fait elle n'aurait pas dû avoir honte à cause de Lola, en effet celle-ci était la seule à avoir pitié de sa grand-tante. C'était sûrement parce qu'elle n'avait jamais senti sa main sévère sur ses fesses à la différence de sa mère et de sa tante.

Pour ces deux dernières, même si elles allaient connaître très bientôt le même sort, c'était vraiment une grande joie de voir avec quelle puérilité leur mère et leur tante réagissait à la simple fessée d’échauffement. Car Christine eu vite fait de faire tout ce qu'elle aurait voulu éviter, ses fesses se serraient et s’ouvraient à chacune des claques magistrales.

Quand elle fut autorisée à descendre des genoux de Miss Mélanie, elle pleurait à chaudes larmes, elle dut aller exposer ses fesses rouges le nez contre le mur.

La jeune gouvernante se tourna ensuite vers Isabelle et lui fit signe avec le doigt. Elle n’eut pas  besoin de dire un mot pour que la jeune femme de 33 ans se couche sans hésiter sur ses genoux. Elle lui fit rapidement rougir ses fesses déjà nues et si bien présentées.



Lola était un peu désolée pour elle aussi, mais pas autant qu'avant avec sa grand-tante, en fait elle attendait plus de courage d'une plus jeune, et le courage était ce qui faisait défaut à sa tante. Dès le premier coup, elle cria et hurla, ses battements de jambes furent encore plus impressionnant que ceux de Christine, la punition fut courte puis elle alla elle aussi présenter le résultat de sa fessée devant le mur.

Élodie, qui avait déjà été contrainte de regarder deux fessées d’échauffements, ne put s’empêcher de pleurer et de demander grâce avant même la première claque. C’était embarrassant pour elle, mais aussi pour Lola, c'est pourquoi la jeune fille ne montra pas la moindre commisération pour sa tante.

Du coup Lola pensa qu’elle devait surpasser ses tantes en courage. Tandis que Élodie pleurait à côté de sa mère et de sa cousine, Lola se dirigea directement vers la gouvernante, la tête haute et sans qu'on le lui demande, elle se coucha sur ses genoux. Cela impressionna Mélanie, mais elle avait deviné les motivations de Lola et elle décida d'être un peu plus douce avec elle, afin de faire honte à ses tantes.

Bien sûr, son petit derrière devait être rougi de façon appropriée, mais en raison de son plus grand courage et de la relative clémence de Mélanie, Lola ne termina la fessée qu'en pleurant,  les tantes et la grand-mère ne pouvaient pas voir qu'elle aussi avait battu des pieds, ces battements de jambes étaient très mignons à regarder, c'est du moins ce que pensait Mélanie.

Bien que Lola soit l'aînée des six arrière-petites-filles, elle était la plus menue et surtout, elle avait un tout petit derrière ferme mais bien rond.

Alors que Lola en pleurs rejoignait la ligne de ses aînées debout devant le mur, la gouvernante leur annonça que la fessée à la canne commencerait dans dix minutes. Elle quitta le bureau, non sans avoir demandé à la jeune bonne de les surveiller.

Dès qu’elle fut seule, Mildred se sentit obligée de donner à Christine et Isabelle quelques claques bien appliquées sur les fesses déjà douloureuses parce qu'elles ne s'étaient pas tenues bien droite ou n'avaient pas gardé leurs coudes assez hauts.

Bien sûr, Mildred l'a signalé à la jeune gouvernante, Miss Mélanie la remercia mais lui dit que dans des cas aussi insignifiants ce n'était pas nécessaire qu’elle lui en parle car en tant que gouvernante auxiliaire elle pouvait prendre ses propres décisions, ensuite elle s'adressa aux punies.

- maintenant, mes quatre petites chéries tournez-vous et faites un pas vers moi, ensuite, vous vous penchez en avant aussi loin que vous le pouvez avec les jambes droites.

Bien sûr, les quatre différaient considérablement dans leur souplesse. Lola, qui fréquentait régulièrement son club de gym, réussi même à poser ses mains à plat sur le sol, Isabelle réussi quant à elle à saisir ses chevilles, la rondelette Élodie put à peine amener ses mains sur ses genoux, Christine fit de même mais en pliant ses genoux.

Mélanie marchait lentement derrière elles et laissait sa main caresser les fesses tendues vers elle.

Elle commença par Lola et la félicita pour sa position parfaite, celle d'Isabelle rencontra également son approbation. Puis ce fut Élodie, elle lui dit que sa position ferait l'affaire pour aujourd'hui. Mais elle demanda à Mildred de l'entraîner à prendre cette position tous les jours à partir de demain et jusqu'à ce qu'elle descende aussi bas que sa sœur, Il ne semblait pas nécessaire de mentionner que ces exercices demanderaient une rigueur sévère. .

Élodie eut le souffle coupé en entendant cela, mais n'osa pas répondre, elle se prépara mentalement à de nombreuses séances très douloureuses.

La grand-tante de Lola fut également condamnée à des exercices quotidiens, cependant, l'objectif que Mélanie lui donna fut d'amener ses mains légèrement sous ses genoux avec ses jambes tendues. Puis la gouvernante pris la chaise qui lui avait servi de siège pendant l'échauffement et la plaça devant Christine.

- aujourd'hui, je vais vous permettre de vous soutenir avec vos mains sur cette chaise. Mais je veux voir vos jambes droites.

Ensuite elle leur annonça que la procédure prévue avait changé,  le nombre de coups de canne était réduit de moitié pour chacune. Cela signifiait donc trois pour Lola, six pour chacune de ses tantes et neuf pour sa grand-tante.

Mais il y avait une condition à cette diminution, chacune devrait compter les coups haut et fort et en cas d’oubli ou si cela prenait trop de temps, ce coup ne comptait pas. Il en irait de même si elle ne reprenait pas à la position prescrite dans un délai très court.

Comme n'y eut aucune réaction de la part des dames qui étaient penchées en avant, elle demanda fermement si tout le monde avait bien compris cela.

- oui, Miss Scott, c’est bien compris !

répondirent en chœur les malheureuses présentant leurs fesses.

- c'est parfait

Elle prit la canne et annonça que cette fois l'ordre était inversé, elle se plaça à bonne distance du petit derrière de Lola.

- tiens bon,  ma chérie

avertit-elle en tapotant légèrement les fesses rouges de Lola avec la canne

- oui, Miss Scott,

répondit Lola d'une voix rauque.

Un instant plus tard, elle poussait un cri. Comme ça brûlait !  C'était vraiment une nouvelle expérience pour la jeune fille de 18 ans. Elle n'avait jamais reçu la canne auparavant, c'était toujours réservé à la maîtresse de maison.

Mais malgré cette douleur et son cri, elle réussi à tenir sa position. Et elle cria  ‘’Un !’’

Mélanie était impressionnée, elle se demanda si elle ne devrait pas frapper un peu plus fort au prochain coup. Mais finalement elle décida de ne pas le faire, elle voulait que Lola soit fière d'elle.

Les deux autres coups ont donné le même résultat avec des cris un peu plus aigus à chaque fois, et l'annonce des chiffres quelque peu retardée. Mais Lola ne plia jamais les genoux  même une fraction de seconde.



Lola fut autorisée à se relever et Mélanie la félicita chaleureusement pour son courage. À travers ses larmes, Lola sourit fièrement. Et quand Miss Mélanie l’autorisa à se frotter un peu les fesses, elle la remercia avec joie.

Peut-être ne l'aurait-elle pas fait si elle avait su le mobile secret de Miss Mélanie. Elle adorait regarder les filles frotter leurs petites fesses rougies et cannées. Elle ne laisserait certainement pas les trois autres le faire, même si elles se révélaient courageuses sous la canne.

Puis Lola fut autorisée à rajuster ses vêtements et à quitter la pièce

C’était maintenant aux deux mamans de montrer leur courage, leurs fesses étaient serrées par l’angoisse. Mélanie approcha d’isabelle et tapota négligemment les fesses tendues, la dame de 33 ans avait vraiment une belle paire de fesses, bien rondes et ferme à souhait, le rouge les mettaient encore plus en valeur. Si Mélanie aimait donner la fessée, elle le faisait toujours de façon juste, mais elle appréciait les beaux derrières.

- desserre un peu les fesses ma petite Isabelle, la canne te fera moins mal si ton joli derrière est bien détendu.

Elle leva la canne et Isabelle hurla, un trait rouge barrait ses fesses, elle s’était relevée.

- reprends la position, vite!!

- pardon miss, mais ça fait mal.

Isabelle sanglotait, elle se pencha en avant.

- une fessée à la canne est censée faire mal ma chérie, c’est même le but de la punition. Je n’ai pas entendu le nombre, ce coup ne compte donc pas, encore six ma petite Isabelle.

La dame redevenue une collégienne punie se mit à pleurer.

- oui, pardon miss Mélanie.

Le deuxième coup qui n'était donc que le premier laissa une trace parallèle au précédent. Isabelle cria à nouveau et fléchi les jambes, elle compta "un", les coups se succédèrent au milieu des cris, au cinquième Isabelle se redressa et frotta ses fesses.

- aïe, aïe, non pardon miss, ça fait trop mal.

Mélanie la regarda sévèrement.

- reprend la position immédiatement, ce coup ne compte pas, encore deux. Si jamais tu recommence à frotter tes fesses, je rajoute trois coups.

Isabelle pleurait maintenant, elle compta "cinq", puis "six" en criant cette fois, ses fesses étaient marquées par huit traits rouges plus foncé.

- tu vas te mettre le nez contre le mur et les mains sur la tête pendant la fessée d’Élodie.

Celle-ci sanglotait déjà par crainte de la fessée à la canne, elle avait entendu, sa nièce et sa cousine crier et pleurer, le sifflement de la canne était très impressionnant.

Elodie était beaucoup plus ronde que Isabelle, son fessier était aussi plus rebondi, Mélanie avait devant les yeux un beau derrière de femme, avec un large et profond sillon qui séparait les deux fesses écarlates. Elle tapota le derrière avec la canne.

- tu es prête ma petite Elodie, sois courageuse.



Le premier coup surpris, Elodie qui hurla comme sa cousine et plia les jambes.  Évidemment elle oublia de compter, le deuxième coup également, elle pleurait à chaudes larmes.

- ma chérie, si tu ne compte pas les coups tu vas avoir très mal aux fesses, il te reste encore six coups...

- oh, non miss Mélanie, s'il vous plaît.

- cesse de pleurnicher et tends bien tes fesses.

- Aïe, aïe... un...

Elodie compta trois coups, puis elle plia les genoux et s’accroupit en pleurs.

- ce quatrième coup ne compte pas ma chérie, relève toi vite, ou je vais chercher Mildred pour qu'elle te tienne. Encore trois coups !

En pleurant Elodie repris la position, ses fesses bien tendues, rouges écarlates et barrées par déjà cinq traits plus foncé.

- "quatre", "cinq"....

Mélanie appliquait la canne sans  faiblir, il fallait marquer son autorité, même si Elodie aurait certainement du mal à s'asseoir aujourd'hui. Elle se releva pour le sixième coup qui ne compta pas... la pauvre Elodie avait donc reçu dix coups de canne quand Mélanie l'autorisa enfin à se relever.

Les deux cousines durent ensuite présenter leurs fesses à la jeune gouvernante. Celle-ci passa une main sur la peau brûlante.

- c'est bien, la fessée est terminée. Maintenant vous allez voir Agathe, elle aura sûrement du travail pour vous.

Les deux mamans en pleurs, remontèrent leur culotte, remirent leur jupe en place et sortirent du bureau.

Bien qu’elles n'aient rencontré personne en marchant dans le couloir, aucune d'elle n'osa se frotter les fesses, même si toutes les deux en avaient vraiment envie.

Arrivées dans la cuisine, la cuisinière n'avait rien à leur donner à faire pour le moment. Mais elles durent raconter exactement ce qui leur était arrivé. Agathe leur fit remarquer qu'il lui semblait qu'elles n'étaient pas restées assez longtemps au coin. Elle retroussa leurs jupes et les agrafa avec des pinces à linge dans le dos puis elle baissa leurs culottes jusqu’aux genoux et les installa le nez bien collé contre le mur et les mains sur la tête pour que toutes celles qui travaillaient dans la cuisine puissent voir les jolies marques sur les fesses comme un avertissement.

Christine aurait bien aimé présenter ses fesses nues à tout le monde dans un coin. Depuis que la canne était entrée en action, elle se tenait penchée en avant, les mains sur le siège de la chaise.

Mélanie avait remarqué avec une certaine satisfaction que ses larges fesses nues tressaillaient à chaque coup de canne qui atterrissait sur l'une des fesses de ses  jeunes compagnes d'infortune.

La pauvre Christine avait également remarqué que ses deux nièces n'avaient pas été très courageuses, ce qui les avait amenées à prendre beaucoup plus de coups qu'annoncé au départ. Et elle ne se faisait aucune illusion sur le fait qu'elle s'en tirerait mieux, d'autant plus qu'on lui avait dit qu’elle recevrait un minimum de neuf coups de canne.

Mais ce fut encore plus terrible, peu de temps après qu'Isabelle et Élodie eurent quitté la pièce, Miss Mélanie annonça à Mildred qu’elle avait autre chose à faire qui ne pouvait attendre et elle lui demanda d’administrer la canne à sa place.

Pour Christine, ce fut l'ultime humiliation, mais elle n'osa pas supplier Miss Mélanie de lui administrer elle même sa punition.

Maintenant elle était seule avec Mildred, totalement à la merci d'une simple bonne, qui était pressée de passer à l’action.

- et  bien, allons y !

Elle fit un pas en pour se rapprocher de la dame penchée en avant puis avec la canne que Miss Mélanie lui avait donnée, elle frotta les fesses tendues.

- tu sais ce qu'on attend de toi maintenant, ma chère Christine ?

Elle avait pris un ton presque maternel.

- oui, Miss Mildred.

la dame de 53 ans sanglotait

- pourrais tu donner plus de détails à ta chère Miss Mildred ?

Avec un peu d'impatience, elle avait frappé avec le bout de la canne les fesses rouges de Christine.

Quelle humiliation d'avoir à le dire en détail, mais Christine prit le tapotement comme un avertissement clair.

- je dois compter haut et fort et me remettre rapidement en position après chaque coup, Miss Mildred !

- exactement ! Et aurais tu la gentillesse de me remercier après chaque coup, Tina ?

C’était encore plus humiliant ! Christine était également sûre que Miss Mélanie n’aurait pas désapprouvé ce petit supplément. Il était clair qu'elle avait donné à son assistante une grande liberté de création.

- oui, Miss Mildred, si vous le souhaitez ainsi !

Le visage de Christine était rouge de honte, son maquillage avait coulé, Mildred souriait de contentement.

- alors nous allons  commencer ! Attention !



Christine était concentrée, elle voulait à tout prix éviter des coups supplémentaires. C'est la seule raison pour laquelle elle a pu crier bruyamment "Un!" alors qu'une brûlure indicible embrasait ses fesses. Elle redressa rapidement ses jambes, car elle avait légèrement fléchi les genoux. Et tandis que la canne frottait à nouveau ses fesses, elle se rappela qu'elle avait oublié quelque chose d'autre.

- désolée Miss Mildred. Merci pour la canne, Miss Mildred ! Veuillez faire en sorte que le coup compte, Miss Mildred.

Elle avait dit ça d'une voix suppliante

 - je ne serai indulgente que cette fois, ma chérie, continuons !

Avant que Christine ne puisse réagir, la canne avait frappé pour la deuxième fois. Elle n'était pas tout à fait préparée cette fois, elle a d'abord hurlé, puis a dû reprendre son souffle avant de pouvoir crier "Deux !" Et cette fois, elle a immédiatement enchaîné avec "Merci, Miss Mildred". Et ses jambes sont rapidement redevenues droites.

- très, très bien, Tina ! Je peux t'appeler Tina, n'est-ce pas ?

Mildred commençait lentement à se prendre au jeu. Ce n'était pas seulement de la fierté que Miss Mélanie lui ait confié une tâche aussi importante, elle ressentait un sentiment de puissance et c'était tellement agréable.

Bien sûr, Christine fut d'accord avec le nom.

- oui, Miss Mildred. Appelez-moi Tina ! Et s'il vous plaît, Miss Mildred, ne soyez pas si sévère avec votre Tina ! S'il vous plaît !

Et bien pensa Mildred, "petite dame prétentieuse ! Je pense que maintenant, tu te sens comme une petite écolière punie ! Où est donc passée toute ta prétention ma chérie !"

Mais en même  temps elle voulait aussi un peu aider cette pauvre Christine. "Attention" annonça-t-elle très fort pour que sa Tina ne soit pas surprise par le prochain coup.

Et cela l’a vraiment aidée! Bien que le "Trois !" dû attendre un peu, car elle cria d'abord sa douleur, mais tout le reste fonctionna comme sur des roulettes. Cette fois, elle avait à peine plié les genoux et elle n'avait pas oublié de remercier sa chère Miss Mildred pour le coup.

Mildred l'a à nouveau félicitée et n'a pas manqué de l'avertir du prochain coup.

De cette façon, la petite Tina de Mildred a réussi à aller jusqu’au huitième coup sans faute. Certes, elle avait fléchi les genoux un peu plus bas à chaque fois, et ses remerciements avaient vite été incompréhensibles. Mais Mildred ne le sanctionna pas parce qu'elle savait ce que la pauvre voulait lui dire.

Au huitième coup, Christine tomba à genoux, elle mit longtemps à se relever. Elle a juste crié

- s'il vous plaît, s'il vous plaît, s'il vous plaît...!

Et sa supplication fut exaucée.

- c'est bien, Tina ! Allez, tu peux aussi faire le dernier ! tends bien tes jolies fesses rondes !

Et ça a fonctionné. Christine s’est redressée et elle n'a pas oublié de compter "neuf". Et les remerciements sont venus à temps.



Puis Christine s’est mise à danser à travers la pièce, poussant des cris désespérés et aigus. Elle ne pouvait s'empêcher de pétrir et de frotter ses fesses. Mildred regardait en souriant, elle prit sa petite Tina dans ses bras et écarta doucement ses mains de ses fesses.

- tu ne voulais pas faire ça, n'est-ce pas ?

murmura-t-elle à l'oreille de Christine.

- oh, désolée, je n’ai pas pu m’en empêcher ! Mes fesses sont tellement en feu !

Christine sanglota et posa rapidement ses mains sur sa tête. Mildred posa la sienne sur les tempes de Christine et l'embrassa sur le front.

- je n'ai rien vu, Tina, ma chérie !

Avait elle dit d'un ton sarcastique

- merci beaucoup, Miss Mildred. Merci ! Merci !

- quelle courageuse petite Tina ! Je suis si fière de toi, on va aller vite voir Mlle Mélanie et lui en parler, je suis sûr qu'elle aussi sera ravie !

Sans lui laisser le temps de remonter sa culotte et de défaire les agrafes qui tenait sa jupe, elle passa un bras autour des épaules de Christine et l'entraîna les fesses nues hors de la pièce.

Bien sûr, Christine trouvait cela extrêmement honteux, mais Mildred avait été si indulgente avec elle qu'elle ne pouvait pas se plaindre maintenant. De plus, elle avait compris que sous le régime de Miss Mélanie, les anciennes règles de pudeur ne s'appliquaient plus de toute façon.


A suivre….

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