Fesses rouges pour tout le monde.
Sophie m’avait annoncé quelque chose qui ne me disait rien de bon avant de me quitter hier soir.
- demain matin tu viens me voir dans ma chambre avant de descendre déjeuner, ce n’est pas la peine de t’habiller, tu restes en pyjama.
Un peu inquiète et penaude, je toquai à sa porte à 8 h, il n’y avait encore personne de levé. De toute façon Berthe devait attendre mon autorisation avant de quitter la chambre.
Elle m’ouvrit la porte et m’embrassa sur les deux joues tandis que sa main droite sans aucune gêne me palpait les fesses.
- alors ma petite Julie tu as bien dormi ? Comment vont tes jolies fesses.
J’étais gênée mais je me laissais faire, la fessée d’hier soir était encore imprégnée dans mon cerveau et accessoirement sur mes fesses qui étaient encore sensible.
- on va les examiner, qu’en penses tu ?
Je ne répondais pas, mais elle n'avait pas prévu d'attendre ma réponse, elle s'était assise au bout de son lit et me tirant par la main elle me fit basculer en travers de ses cuisses. Je devinais malheureusement la suite, ma culotte de pyjama descendit rapidement jusqu'à mes genoux. Comme hier soir j'étais déculottée en position disciplinaire, et sa main me caressait les fesses. J'avais retenu la leçon je savais que j'allais recevoir une bonne fessée mais je n'avais pas l'intention de lui donner l'occasion de doubler la dose.
- alors ma petite chérie, ça fait du bien de recevoir une bonne fessée déculottée n'est ce pas?
Son ton ironique m'exaspérait mais je n'étais pas en position de protester. Une magistrale claque atterri sur mon derrière, j'avais oublié que Sophie détestait quand on ne répondait pas immédiatement à ses questions.
- aïe, euh...oui, aïe aïe aïe
J'avais vraiment trop hésité et j'étais en train de recevoir une petite fessée d'échauffement.
- aïe, oui, oui tatie Sophie …
- oui quoi ?
Et sa main continuait de claquer mes fesses qui commençait à me brûler.
- oui, ça fait du bien…
La fessée s'arrêta, j'étais mortifiée, c'est déjà douloureux et humiliant de recevoir une fessée déculottée à 45 ans mais être en plus obligée de dire qu'elle vous a fait du bien c'était le summum. Sophie souriait, en tournant la tête Je pouvais la voir dans la grande glace, elle était perverse et adorait donner la fessée, ça se voyait sur son visage.
- mais oui ma chérie, je sais que c'est un peu dur à avouer quand on est une fesseuse mais un petit rappel à l'humilité n'a jamais fait de mal. Et comme tu es sur la bonne voie, tu vas me réclamer ta fessée de ce matin…
J'étais littéralement abasourdie, je restais sans voix, mais la fessée reprit, magistrale comme il se doit.
- aie aie aie, non tatie Sophie arrête, plus la fessée, s'il te plaît.
- il ne tient qu'à toi ma petite chérie, je t'ai demandé une chose, j'attends !
Toute honte bue, je pris ma respiration et je prononçai ces paroles encore incroyable la veille.
- s'il te plaît tatie Sophie donne moi la fessée déculottée que je mérite....
Je la regardais dans la glace, elle souriait en tapotant distraitement mes fesses bien rouges.
- mais avec plaisir ma petite chérie, c'est si gentiment demandé que je ne peux pas te refuser ce plaisir et puisque tu dis que tu la mérite, ça doit être vrai. Et avec la bonne paire de fesses que tu as, c'est une bonne fessée déculottée que tu vas recevoir, je te le promets.
Je la vis se pencher en avant tout en me tenant toujours en travers de ses genoux, puis elle saisit une de ses mules avec la semelle en cuir.
- comme je vais avoir pas mal de fessée à distribuer aujourd'hui, je vais épargner mes mains, c'était la méthode qu'utilisait maman quand elle était en colère et qu'elle devait nous fesser toutes les deux, Daisy et moi. Tu vas voir comme ça claque bien sur les fesses des vilaines dames.
Pour claquer, ça claquait, une brûlure jusque là inconnue envahissait ma croupe, c'était intolérable et malgré mon désir de rester digne et de supporter ma fessée sans broncher, je me mis à ruer sur ses genoux, mes pieds battaient l'air désespérément, c'était pire que la fessée à la brosse d'hier soir, je me mis à supplier puis finalement ni tenant plus je me mis à pleurer comme une gamine punie, c'était fini la Julie autoritaire qui déculottait et fessait sans vergogne je n'étais plus qu'une dame mature redevenue une gamine fesses à l'air sur les genoux de sa maîtresse et qui pleurait en implorant sa clémence. La fessée cessa au bout d'une éternité enfin c'est ce qui me semblait, mes fesses n'étaient plus qu'une boule de feu. Sophie me fit relever et me conduisit devant la glace.
- regarde tes fesses comme elles sont mignonnes. Tu vas penser à moi chaque fois que tu vas t'asseoir ma chérie.
Elle avait dit ça en riant, elle me prit dans ses bras et me fit un câlin tout en caressant mon derrière brûlant.
- depuis le temps que je te vois donner la fessée, il était temps que tu saches ce que tes punies ressentent vraiment.
Elle avait sans doute raison mais une pensée me vint.
- et toi Sophie qui te donne la fessée quand tu la mérites ?
Elle esquissa un sourire, mit son doigt sur la bouche.
- c'est un secret mais promis je te le raconterai quand nos chipies seront au coin en train d'exposer leurs derrières bien rouges. Maintenant file t'habiller et fait descendre tout le monde. Ta punition n'est pas tout à fait terminée, tu ne remonteras ta culotte que juste avant de rentrer dans ta chambre.
Je traversai donc la maison fesses à l'air et bien sûr je rencontrai Daisy qui prit un malin plaisir à me regarder monter les escaliers avec mes fesses écarlates bien visible. Elle ne perdait rien pour attendre j'aurais bien l'occasion dans la journée de faire danser son plantureux fessier.
En attendant j'avais une folle envie de frotter mes fesses, dès que je fus seule, je passai mes mains sur mes fesses brûlantes, c'était vraiment réconfortant.
Nos quatre chipies ne perdaient rien pour attendre, Sylvie, Elisabeth et moi avions été fessées comme des gamines, leurs fesses allaient le payer.
La piscine était le lieu idéal, assise en rond nous les regardions se baigner. Elles allaient avoir droit à la fessée mouillée, leur mignonnes petite culotte de maillots de bain moulaient parfaitement leurs derrières, ce fut Sandra qui se douta la première de ce qui allait arriver, elle avait vu la brosse à cheveux posée à côté du transat de sa mère. Mes fesses étaient douloureuses, j'étais la seule à avoir reçu une fessée ce matin, je donnai le signal.
- venez ici, on va avoir une petite conversation avec vos petites fesses.
Les trois chipies arrivèrent, elles se dirigeaient vers leurs serviettes.
- ce n'est pas la peine de vous essuyer, on va s'occuper de sécher correctement votre derrière.
Nous prîmes chacune les serviettes pour les poser sur nos cuisses et un petit signe indiqua aux punies l'endroit où elle devait se placer.
Nous avions changé par rapport à hier, Sylvie avait désiré découvrir la mignonne paire de fesses de Sandra, donc je m'occupais de celle d'Huguette et Elisabeth avait hérité du derrière bien rebondi de ma petite Berthe.
Comme Sylvie commençait à déculotter Sandra, je l'arrêtai.
- attends ma chérie, il faut commencer la fessée sur la culotte, tu vas voir, nos petites chéries vont beaucoup apprécier.
En effet pour celles et ceux qui ne l’ont pas encore expérimentée la fessée sur un tissu synthétique mouillé est très douloureuse, largement aussi cuisante que la fessée cul nu. Effectivement nos trois chipies se mirent à crier très rapidement, la fessée était semble-t-il très efficace? Elisabeth fut la première à arrêter elle voulait sans doute voir le résultat sur les fesses de ma petite chérie. Elle baissa la culotte jusqu’à mi cuisse, la croupe de Berthe était déjà écarlate.
- mais c’est vrai que ça cuit bien les fesses ! quel magnifique résultat, ce petit derrière est prêt pour la bonne fessée de tatie Elisabeth.
Sylvie avait déculotté Sandra qui avait elle aussi les fesses bien rouges, ma petite Huguette ne tarda pas à exposer ses fesses nues au soleil printanier.
Sophie et Daisy avait été attirée par le bruit de cette triple fessée et elle regardait amusée le spectacle de ces trois adultes couchées sur les genoux de trois dames, exposant leurs derrières écarlates.
Les brosses à cheveux entrèrent en piste rapidement et les cris mêlés aux pleurs retentirent dans le jardin.
La peau des fesses encore humide de nos trois punies eut vite fait de sécher et quand la punition prit fin, c’est trois derrières bien chaud qui allèrent s’exposer devant le mur, les maillots de bain étaient enroulés autour des chevilles, les mains sagement posées sur la tête, seul le mouvement des épaules montrait que les pleurs n’avaient pas cessé et que les fesses devaient être encore cuisantes.
Ma fessée du matin était encore présente dans mon esprit et la douleur qui irradiait encore mon derrière quand je m’asseyais me rappelait que Sophie m’avait traitée comme une gamine, je voulais me venger sur les fesses de mes deux amies.
- bien laissons ces fessiers refroidir et rentrons au salon.
Sylvie et Elisabeth furent un peu surprises, mais habituée à mon caractère autoritaire elles me suivirent. Arrivées dans la maison, je les regardai en souriant.
- mes petites chéries, vos fesses sont restées blanches depuis ce matin, ça ne peut pas durer. Vous allez retrousser vos jupes et baisser vos culottes pour me montrer vos jolies fesses. Vite !!
Elles essayèrent de protester.
- mais enfin, Julie ce n’est pas juste, on a rien fait, pourquoi veux tu nous donner la fessée ?
Je me mis à rire,
- parce que j’en ai envie, un point c’est tout, ça devrait te suffire ma petite Elisabeth, tu viens juste de gagner une deuxième fessée.
Je ne voulais pas leur avouer que mes fesses étaient encore rouges et sensible et que leurs administrer une fessée atténuerait l’humiliation de ce matin.
Résignée, elles s’exécutèrent, c’était toujours un spectacle excitant pour moi de voir la gêne d’une dame obligée de trousser sa jupe puis glisser ses doigts dans sa culotte pour la faire descendre.
- tournez vous que je voies bien vos fesses.
Elles étaient ravissantes toutes les deux en train de m’exposer leurs belles et larges fesses bien blanches. Je m’approchais d’elle pour les caresser quand une voix autoritaire retentis derrière moi.
- c’est vrai que ce spectacle est très mignon, mais il manque une paire de fesses pour qu’il soit parfait. Julie tu baisses ta culotte et tu trousses également ta jupe, je veux pouvoir comparer vos fessiers.
Sophie était entrée sans faire de bruit. Je poussai un petit cri de surprise.
- oh, non, s'il te plaît tatie Sophie.
- et pourquoi donc ?
- mais, mais...Je…
- comme Elisabeth tu viens de gagner une deuxième fessée ma chérie, je te conseille d'obéir rapidement si tu veux pouvoir t'asseoir tout à l'heure.
Je savais que Sophie ne plaisantait pas et m'administrer trois fessées ne l'aurait pas dérangée. Je baissai ma culotte rapidement après avoir retroussé ma robe.
Sophie se mit à rire.
- et bien voilà une jolie brochette de derrières. Mettez vos mains sur la tête.
Nos jupes retombèrent quand nos mains les lâchèrent pour se poser sur nos têtes, Sophie coinça celle de Sylvie et d'Elisabeth dans la ceinture pour moi comme c'était une robe, elle l'épingla très haut dans le dos avec une pince à linge.
- c'est parfait vous voilà prêtes pour la bonne fessée déculottée de tatie Sophie. On va commencer par toi Julie. Sylvie et Elisabeth vous pouvez vous retourner, vous allez voir comme notre petite Julie prend bien la fessée
J'étais profondément humiliée, c'était déjà dur de recevoir à nouveau une fessée déculottée alors que je comptais en administrer deux, mais en plus celle-ci allait être publique. Je discernais un léger sourire moqueur sur les lèvres de mes deux amies. Sophie s'était assise sur une chaise et lissait sa jupe en attendant que j'approche, je savais que pour mon postérieur il valait mieux ne pas la faire attendre. Je m'approchai de ses cuisses et en quelques secondes je me retrouvai dans cette position si redoutée, la tête prêt du sol, les pieds décollés et les fesses bien tendues, offertes à la main de Sophie.
Je devinais les yeux de Sylvie et Elisabeth fixés sur mon derrière, elles pouvaient certainement y voir encore les traces de ma fessée matinale. La main de Sophie se mit à claquer et je compris immédiatement pourquoi mes punies pleuraient rapidement lors d'une deuxième fessée, mon derrière était encore endolori et la simple fessée manuelle était très cuisante. Rapidement j'offris aux spectatrices un joli spectacle, c'est du moins ce qu'elles me racontèrent plus tard, pour ma part je ne m'en souciais pas. Je pleurais et suppliais Sophie de cesser la punition. Quand je fus autorisée à me relever j'avais une boule de feu à la place des fesses.
- mains sur la tête et tu files au coin !
L'ordre avait claqué, je n'aurais même pas le plaisir d'assister à leurs fessées. Je savais ce qu'il me restait à faire, je rejoignis le mur et y collai mon nez.
- à toi Elisabeth, en position !
La fessée crépita bientôt sur le large fessier de la professeur de français, suivi de ses cris puis de ses pleurs. Elle vint me rejoindre rapidement en reniflant et se plaça à côté de moi.
Entre temps Daisy était arrivée de la cuisine, je devinais son regard narquois, elle qui nous avait si souvent présenté ses fesses nues et bien rouges devait se régaler. Sophie l'envoya surveiller nos trois chipies qui exposaient toujours leurs fesses rouges à la piscine.
C'était au tour de Sylvie de danser sur les genoux de tatie Sophie, elle ne fut pas en reste pour les cris et les pleurs.
Maintenant nous exposions nos trois derrières écarlates, Sophie nous expliqua la suite.
- vous allez rester là un quart d'heure ça vous permettra de réfléchir. Ensuite Julie et Elisabeth recevront leur deuxième fessée. Vous avez de la chance que je ne fasse pas venir vos trois chipies pour admirer vos jolies fesses bien rouges.
Sur ce, elle nous laissa, nous entendions des rires et des éclaboussements à la piscine, signe que Sophie avait permis aux punies de quitter le coin et de se reculotter. Pour nous la chance avait tourné.
Sophie respecta le programme à la lettre. Sylvie put se reculotter pour assister à notre punition. C'est Élisabeth qui passa la première sur les genoux de notre sévère tatie. J'eu le droit d'y assister mais toujours fesses à l'air et mains sur la tête. Je frémis en la voyant à nouveau saisir sa mule avec la semelle en cuir, mes fesses en gardaient un douloureux souvenir. La fessée fut courte mais magistrale, Elisabeth se releva les joues noyées de larme, elle dut remettre ses mains sur la tête pour assister à ma punition. J'essayai d'être courageuse mais c'était impossible, la cuisson était trop intense après les deux fessées que j'avais déjà reçue,
je me mis à pleurer immédiatement. Sophie pour mon malheur ne sais pas donner des petites fessées, comme je le craignais j'eu du mal à m'asseoir pour le reste de la journée.
Sophie nous fit tourner pour examiner nos fesses et comparer leurs couleurs, elle était très satisfaite d'elle même. Elle prit une photo en souvenir et nous pûmes nous reculotter.
Nous partions l'après-midi, il n'y eut pas d'autres fessées. Au moment du départ, Sophie nous fit une petite surprise, tout le monde était rassemblé dans la cour, elle appela Daisy.
- en cadeau de départ, Daisy va nous offrir une petite danse.
Elle s'était assise sur le banc Daisy comprenant ce qui allait lui arriver avait les joues très rouges. Nos trois chipies ravies qu'on ne s'occupe pas de leurs fesses, étaient très intéressée.
Déjà Daisy nous exposait sa petite culotte blanche moulant sa croupe plantureuse. Sophie soigna le déculottage, ni trop rapide, ni trop lent. Maintenant le large derrière bien blanc s'étalait devant nous dans toute sa splendeur. Sophie rectifia un peu la position pour que les fesses soient bien présentées elle prit sa brosse à cheveux et la magistrale fessée déculottée d'adieu commença. C'était vraiment un spectacle magnifique qui faisait presque oublier à toutes les spectatrices qu'elles avaient les fesses encore sensibles sous leurs petites culottes.
Et ce fut une Daisy, la culotte encore baissée aux genoux et les fesses écarlates qui vint nous embrasser et nous souhaiter une bonne route.
Les trois chipies auraient sans doute les fesses chaudes pour se coucher ce soir.
Quant à Sylvie et Elisabeth, je leurs avait promis discrètement qu'elles me paieraient cher d'avoir assisté à ma fessée déculottée.
Fin du week-end cuisant en famille.
aujourd'hui tu as très bien exprimé le sentiment de Julie. En tant que fessée, nous savons ce que ressent Julie, mais en tant que fessée, vous l'avez détaillé aujourd'hui. très belle histoire. merci
RépondreSupprimerChinmay