vendredi 10 mars 2023

Le manoir des dames 1

Voici la première partie d'un nouveau très long récit que j'ai divisé en plusieurs chapitres. Comme pour " A 70 ans il n'est pas trop tard" il a été écris à 2 mains avec mon amie Agnès qui va publier la version en anglais sur son site. 

C'est une histoire avec de nombreux personnage, je vous ai donc mis le casting pour que vous puissiez vous y retrouver dans les nombreux fessiers mis à nu et fessés.





Casting :

La Baronne Adélaïde de Bois Blanc âgée de 75 ans

 

Irène sa fille âgée de 55 ans              Virginie sa fille 35 ans      Lola sa fille 18 ans

                                                                                                             Marion sa fille 16 ans

                                                                Isabelle sa fille 33 ans      Camille sa fille 14 ans

 

Christine sa fille âgée de 53 ans        Sophie sa fille 34 ans       Louison sa fille 15 ans

                                                                                                             Emilie sa fille 14 ans

                                                                Elodie sa fille 33 ans         Margot sa fille 15 ans

 

 

Le personnel :

Miss Simpson gouvernante âgée de 70 ans vient de prendre sa retraite.

Miss Mélanie Scott nouvelle gouvernante âgée de 30 ans

Agathe la cuisinière âgée de 45 ans

Mildred la femme de chambre âgée de 19 ans

 

Chapitre 1.  Passation de pouvoir

La baronne Adélaïde de Bois Blanc était contrariée, Miss Simpson prenait sa retraite, elle lui avait promis de trouver une remplaçante et voilà qu'elle lui envoyait cette jeune femme Mélanie Scott.

Elle avait bien essayé de protester en arguant du fait qu'elle était trop jeune pour ce poste, mais Miss Simpson était restée inflexible, les protestations de la baronne de Bois Blanc avait fortement agacée Miss Simpson et malgré ses 75 ans, Adélaïde avait fini la soirée avec une paire de fesses bien rouges et cuisantes sous sa jupe, 



preuve que Miss Simpson tenait à montrer son autorité jusqu'au bout. Quand Adélaïde avait été autorisée à quitter son coin, s'était pour entendre les explications de Miss Simpson.

- Je suis très confiante dans les qualités de Mélanie, ma chère. Elle est diplômée de la même école de gouvernante que moi et croyez-moi elle sera à la hauteur. Je lui ai donné les consignes.

Elle avait ajouté en souriant,

- elle saura vous fesser si nécessaire aussi bien que moi.

Adélaïde de Bois Blanc avait rougi, elle était devant sa gouvernante, la jupe épinglée dans le dos, la culotte baissée et les fesses bien rouges. Elle ne pouvait protester, elle pensa avec horreur au moment où elle serait dans la même tenue devant cette jeune femme de 30 ans.

Se faire fesser par Miss Simpson était dans l'ordre des choses, depuis 40 ans qu'elle travaillait au château, elle en avait baissé des culottes et claquer des derrières y compris celui de la baronne Adélaïde. 

Elle avait 5 ans de moins qu’elle et avait été embauchée par sa mère pour s’occuper de la maison. Dans cette famille il n’y avait que des femmes, les hommes n’étaient là que pour la fonction de reproduction, une fois leur devoir accompli, ils devaient disparaître. Les hasards de la génétique avait fait que seule des filles étaient nées au sein de cette famille aisée qui vivaient dans ce grand château du sud de la France.

Une des autres particularités de cette famille c’était que l’éducation stricte y était de rigueur. Cela incluait donc les châtiments corporels et particulièrement l’usage de la fessée. L’âge des filles où des dames n’avaient strictement aucune importance puisque toutes les générations étaient soumises au même régime, les grand mères,  les mères et tantes fessant leurs filles, leurs nièces et même les petites filles quelque soit leur âge si le besoin s’en faisait sentir.

Miss Simpson était la garante de la bonne marche de la vie de la maison et à ce titre elle pouvait être amenée à sévir et à administrer la fessée aux jeunes comme aux plus âgées. Adélaïde qui était l’aïeule depuis le décès de sa mère, menait tout ce petit monde à la baguette, corrigeant si nécessaire les jeunes et les moins jeunes. Mais elle pouvait elle aussi être soumise à ce châtiment enfantin, son seul privilège était de ne pas recevoir la fessée déculottée administrée par Miss Simpson en public mais toujours dans l’intimité de ses appartements.

Tous les autres membres de la famille ne bénéficiait pas de ce privilège Par conséquent, si c’était nécessaire les femmes adultes pouvaient se retrouver couchée sur les genoux d’une mère ou d’une tante ou de miss Simpson, cela pouvait se passer dans le jardin par exemple et même devant une de leurs filles. Bien sûr, les filles ne s'en tiraient pas mieux non plus et très souvent, des claquements, des cris et des pleurs pouvaient être entendus dans le château ou le domaine. Il n'y avait pas un coin de la maison où des fesses rouges et même souvent exposées à la vue de tout le monde ne pouvaient être admirées.

Une tradition bien ancrée depuis de très longues années et qui remontait même à l’époque de la mère d’Adélaïde était la fessée rituelle du premier vendredi après midi de chaque mois.

Ce jour là tout les membres de la famille et le personnel étaient rassemblées dans la grande salle du château et toutes les générations recevaient une fessée par leurs mères ou leurs tantes respectives en commençant par les plus jeunes, puis elles se retrouvaient toutes nez contre le mur sur lequel étaient accrochées les tableaux des ancêtres. Elles exposaient ainsi leurs fesses fraîchement fessées, nues et rouges, leurs mains étaient sur leurs têtes, des pleurs et des sanglots retentissaient dans la salle plus ou moins fort selon le temps écoulé depuis la fessée individuelle, bien sûr l'âge et la résistance jouaient également un rôle dans tout cela.

La cuisinière Agathe et la jeune bonne  Mildred surveillaient alors les punies qui se tenaient côte à côte.

 Enfin, venait le tour de la baronne, c'était miss Simpson qui se chargeait de sa punition, mais avant cela, elle devait fesser ses deux filles l'une après l'autre et peu importait qu'Irène et Christine aient déjà la cinquantaine. En général les deux, comme elles avaient été les dernières à être fessées, sanglotaient encore souvent quand Adélaïde et Miss Simpson se retiraient dans les appartements de la baronne, bien sûr, tout le monde savait pourquoi.

Adélaïde pleurait doucement chaque fois qu'elles  arrivaient dans son bureau, car le vendredi ses fesses rondes et encore bien potelées malgré son âge étaient vouées à la longue et fine canne.

En effet pour chaque générations il y avait un instrument différent de punition. La baronne punissait ses filles avec la tawse écossaise qui leur étaient réservée. Celles-ci utilisaient des paddles en bois bien épaisses pour rougir les fesses de leurs propres filles et avant cela les six filles les plus jeunes avait senti la brûlure des brosses à cheveux sur leurs fesses nues.

Le privilège d'Adélaïde ne l'aidait pas beaucoup lorsqu'elle était cannée. Bien sûr elle essayait de supporter sa punition aussi discrètement que possible. Mais au plus tard après la première demi-douzaine de coups bien appliqués, même la lourde porte de son bureau ne pouvait empêcher ses cris de douleur d'atteindre les oreilles de celles qui fixaient encore le mur de la grande salle. La seule chose qui atténuait sa honte était que, ces vendredis-là, elle était autorisée à souper seule dans sa chambre.

Mais cela ne se faisait pas non plus sans une humiliation supplémentaire, car quand la jeune Mildred lui apportait  le souper, c'était elle qui lui permettait de quitter le coin où elle se tenait. Ce qui, bien sûr, permettait à la jeune bonne de voir les marques qui couvraient ses fesses et ses cuisses.

La jeune fille avait également pour consigne de veiller à ce qu'Adélaïde soit assise sur une chaise non rembourrée avec ses fesses toujours nues et cuisantes pendant tout le repas.

C'était un destin qu'elle partageait avec les autres dames du manoir, car elles aussi devaient s'asseoir sur des bancs de bois tout aussi durs dans la grande salle à manger avec leurs fesses encore nues et douloureuses.

Cette fessée était destinée à solder les mauvais comportements passés inaperçus du mois précédent et à démarrer le mois à venir avec de bonnes résolutions.

Mlle Simpson avait spécialement organisé l'intronisation de sa remplaçante un premier vendredi après-midi du mois. Adélaïde avait trouvé cela un peu injuste, mais elle n'avait pas osé le dire. Elle était bien sûr consciente que cela étouffait toute possibilité de laisser la nouvelle gouvernante dans l'ignorance de quoi que ce soit. Secrètement la baronne avait espéré au moins améliorer un peu sa propre situation. Mais comme Miss Simpson l'avait organisé, la jeune Miss Mélanie Scott, c'était le nom de la nouvelle gouvernante, était sur le point de découvrir le pouvoir qu’elle détenait sur toute la famille. Mais ce fut encore pire quand Miss Simpson expliqua en détail et devant tout le monde, le déroulement du rituel du vendredi et comment elle l'avait géré jusqu’à présent. Puis elle a expliqué à la nouvelle gouvernante que ce serait désormais à elle d'adapter le rituel selon ses propres idées.

Elle est allée encore un plus loin et a proposé que Miss Mélanie commence tout de suite sa mission puisqu’après tout,  il fallait battre le fer pendant qu'il était encore chaud.

Sur ce, elle a cérémonieusement remis le pouvoir à son successeur, qui l'en a remerciée, elle a également salué les personnes présentes, qui ont toutes fait une révérence parfaite et ont salué à l'unisson. "Bonjour, Miss  Scott. Bienvenue à la maison de Bois Blanc !" Miss Simpson s'était entraînée avec elles ces derniers jours, elle était ravie du résultat et elle souriait.

Miss Mélanie souriait aussi,  elle leur a ensuite expliqué qu'elle s'adresserait à elles plus précisément le lendemain matin. Mais qu'elle allait se consacrer dès maintenant au rituel comme Miss Simpson le lui avait demandé

Pour commencer, elle signifia à tout le monde qu'elle était devait l'appeler Miss Mélanie et qu'elle appellerait tout le monde par son prénom.

Ce premier changement devait rester le seul bien accueilli par tous.

Parce qu' ensuite, elle introduisit le préchauffage dans le rituel qui se composerait donc désormais de deux parties, tout le monde serait d'abord fessé à la main sur ses fesses nues.

A cette annonce, un gémissement sourd s'est fait entendre, en particulier de la part des personnes les plus âgées. Miss Mélanie a sévèrement demandé si quelqu'un s'y opposait.

- la fessée d'échauffement  est un excellent moyen d'intensifier les effets ultérieurs de tout outil de punition, 

 elle a également ajouté, d'un ton neutre.

- je suis consciente que les plus âgées d'entre vous trouveront très embarrassant un traitement comme celui ci, généralement réservé aux petites filles !

Elle expliqua que cet embarras était bien sûr son intention. Après ces précisions, personne n'a  plus osé commenter le sujet.

En conséquence les mères de chaque génération devraient désormais donner à leurs filles une fessée traditionnelle à la main, allongées sur leurs genoux et sur les fesses nues.

Elle a ensuite décrété un autre changement au rituel, tout le monde devrait maintenant exposer ses fesses. Cela signifiait enlever tous vêtements qui cachaient quoi que ce soit sous la taille. Étaient exclues les chaussettes, les bas et les chaussures.

Cette fois, on n'entendit aucun gémissement, même si bien sûr tout le monde était choqué par cette humiliation supplémentaire. Sans hésitation, toutes se mirent à se déshabiller selon les instructions, seule la baronne, consciente de son privilège, ne participait pas. Miss Mélanie lui lança  immédiatement

- et vous, Adélaïde ? Avez-vous besoin d'une invitation supplémentaire ?

La baronne se figea comme si elle était une statue de sel, sa bouche était grande ouverte, mais pas un mot ne franchissait ses lèvres. Allait on lui retirer son privilège ? Elle lança à Miss Simpson un regard suppliant. Mais celle-ci a juste haussé les épaules, signalant qu'elle n'était pas prête à exercer la moindre influence.

Au contraire, elle était très impressionnée par sa jeune collègue et la façon dont elle avait si facilement supprimé le privilège d'Adélaïde.

Miss Mélanie parla soudain d'une manière très douce, presque maternelle.

- je comprends que c'est très embarrassant pour toi à ton âge, ma chérie. Et aujourd'hui, parce que c'est la première fois, je vais t'aider.

Elle se dirigea vers la baronne désemparée et commença à la déshabiller selon le rituel modifié. Une petite difficulté survint, contrairement aux autres, elle ne portait ni jupe ni jeans. Miss Mélanie lui demanda de lever les bras, et en un rien de temps, elle lui avait enlevé la robe, vint ensuite la culotte. Adélaïde, qui se tenait toujours là, les mains levées, a simplement levé le pied pour quitter sa culotte qui gisait maintenant par terre. Heureusement pour elle, elle portait un caraco en soie sous sa robe. Cela lui évitait d'être uniquement vêtue d'un soutien-gorge.

Miss Mélanie secoua la tête insatisfaite, elle claqua avec sa main les fesses nues de la baronne et pointant la culotte elle lui demanda si se vêtement devait rester sur le sol.

Adélaïde baissa immédiatement ses bras et s'empressa, en s'excusant de ramasser sa culotte et de la ranger proprement avec sa robe.

Maintenant, l'échauffement des plus jeunes allait pouvoir commencer. Mais comme deux des quatre mères avaient deux filles, Miss Mélanie demanda à la cuisinière et à la femme de chambre de prendre chacune l'une des filles supplémentaires sur leurs genoux.

Deux autres chaises furent rapidement récupérées, plus rien ne s'opposait à la fessée d'échauffement des fesses de six filles âgées de 14 à 18 ans. Même pour ces filles, la fessée à la main n'était pas nécessairement un traitement adapté à leur âge.

Mais surtout les plus âgées des dames présentes étaient horrifiées en voyant ce traitement humiliant, même la baronne en avait les joues rouges. Elle décida qu'elle n'offrirait pas un spectacle aussi embarrassant que les six filles, qui au bout d'un moment ont toutes cédées à la douleur en battant des jambes et en lançant des coups de pied.

C'était vraiment un spectacle ravissant que ces six paires de fesses, s'ouvrant et se se serrant aux rythmes des claques sévères des fesseuses. Les cris remplissaient la pièce bientôt suivi par des pleurs, Miss Mélanie surveillait l'administration de la punition et le rougissement des fessiers, elle encourageait surtout la jeune Mildred pour qui c'était la première fessée. Elle fessait avec enthousiasme la jeune Margot âgée de 15 ans qui avait maintenant une très jolie paire de fesses bien rouges et qui se tortillait sur ses genoux, c'était un travail beaucoup plus agréable que de faire le ménage. Agathe la cuisinière avait l'habitude de flanquer des fessées à ses propres filles mais avoir cette petite peste de Lola couchée sur ses genoux malgré ses 18 ans était très agréable. Lola n'était pas de cet avis et son derrière brûlant non plus.

Le spectacle avait quelque chose de curieux, c'était la tenue de  quatre des fesseuses, en effet si Mildred et Agathe était normalement vêtue, les mamans qui donnaient la fessée étaient également fesses nues, comme les punies. Leurs derrières étaient encore blancs mais ça n'allait pas durer.

Jugeant la couleur des fesses satisfaisantes, Miss Mélanie tapa dans ses mains.

- c'est parfait mesdames, ces petites fesses sont bien échauffées. Mesdemoiselles vous allez vous mettre contre le mur, le nez bien collé et les mains sur la tête.



Les six jeunes filles s’exécutèrent sans protester, les pleurs avaient succédé aux cris.

Virginie, Isabelle, Sophie et Elodie s'étaient levées de leurs chaises, elles étaient inquiètes, c'était maintenant leur tour.

Miss Mélanie Scott repris la parole.

- Irène et Christine prenez place sur les chaises, Agathe et Mildred vous restez assise.

Un frisson parcouru les quatre jeunes mamans, il y avait quatre personnes assises, elles étaient quatre, donc Agathe et Mildred allaient participer à leur punition. Agathe était plus âgée qu'elle mais c'était la cuisinière quand même ! Quand à Mildred la petite bonne elle avait 15 ans de moins qu'elle, c'était intolérable…. Malheureusement pour elle l'inconcevable se produisit, Miss Mélanie continuait de parler.

- Irène vous vous occuperez de Virginie, Agathe de Isabelle, Christine de Sophie et Mildred de Elodie.

Isabelle et Elodie qui allait être fessée par les domestiques se mirent à gémir et ne bougeaient pas. Miss Mélanie fronça les sourcils et s'approcha d'elles avec un regard sévère, elle claqua deux fois vigoureusement les fesses d'Isabelle puis fit de même pour Elodie.

- mesdames toutes désobéissances ou refus d'une punition sera sanctionnée par une punition supplémentaire, Isabelle et Elodie nous réglerons ça demain matin. En attendant dépêchez vous de rejoindre vos compagnes.

Des larmes coulaient sur les joues des jeunes mamans traitées comme des gamines désobéissantes, elles s’approchèrent des genoux d'Agathe et de Mildred. Non seulement elles allaient recevoir ce châtiment enfantin par des domestiques mais en plus elles avaient gagné une fessée supplémentaire par la nouvelle gouvernante. Miss Mélanie frappa dans ses mains.

- allez en position, il est temps de commencer l'échauffement de ces petits derrières.

Les quatre fesseuses prirent chacune la main de leur punie et comme dans un ballet bien réglé, les quatre jeunes femmes basculèrent en travers de leurs genoux. Quatre belles paires de fesses blanches étaient maintenant parfaitement exposées, pointant vers le ciel.

Agathe palpa les fesses d'Isabelle, c'était vraiment un plaisir pour elle de pouvoir fesser cette dame un peu prétentieuse, elle ne faisait plus la fière maintenant qu'elle lui présentait son derrière bien préparé pour la fessée. Mildred croyait vivre un rêve, bien sûr elle avait assisté aux fessées du vendredi mais elle se contentait jusqu'à présent de surveiller les temps de coin et de regarder les fesses bien rouges. Mais maintenant elle avait couchée sur ses genoux comme une gamine, madame Élodie, une de ses maîtresses, elle passa la main sur cette peau si douce.

Miss Mélanie venait de donner l'ordre de commencer la fessée. Les quatre mains se levèrent et ce fut un concert, le bruit des claques se mêlait harmonieusement aux cris et aux gémissements, puis ce fut un ballet de jambes et de pieds qui battaient l'air, de fesses qui s'ouvraient largement.

Mildred avait maintenant compris comment donner une bonne fessée et la pauvre Elodie en faisait l'expérience, c'est elle qui pleura en premier. Elle fut rapidement rejointe par sa soeur et ses cousines. Agathe avec ses larges mains faisait rebondir comme un ballon les fesses écarlates d'Isabelle. Irène et Christine songeaient que ça serait bientôt leur tour donc elles n'épargnaient pas les fesses de leurs filles.

La baronne Adélaïde prenait moins de plaisir que d'habitude au spectacle de ses petites filles recevant la fessée, la nudité de ses fesses lui rappelait sa condition. Miss Mélanie n'avait pas hésité à la déculotter devant tout le monde, son privilège d'être fessée dans l'intimité avait certainement disparu également.

Miss Mélanie donna le signal de la fin de la fessée. Les quatre paires de fesses étaient d'un joli rouge uniforme. Elles rejoignirent leurs filles en pleurant.

C'était maintenant dix paires de fesses bien rouges qui étaient exposées le long du mur. La vue des fesses fraîchement fessées et plus larges des aînées qui venaient de rejoindre les plus jeunes ravissait les quelques personnes qui n'étaient pas obligées de fixer le mur. À l'exception bien sûr de celles qui avaient encore leurs fessées devant elles.



Irène et Christine étaient maintenant très inquiètes, elles étaient restées immobiles  avec leurs fesses nues posées sur la chaise quand leurs filles avaient quitté leurs genoux.

Agathe et Mildred étaient restées assises également, mais à la différence de leurs deux camarades fesseuses, elles souriaient joyeusement. Quel merveilleux vendredi après-midi cela avait été jusqu’ici, elles imaginaient déjà que dorénavant on leur demanderaient toujours de donner la fessée les jours de punition le vendredi, quelle belle vie ça allait être pour elles dans ce château désormais. Mais c'était encore beaucoup mieux dès maintenant, car sans même pouvoir protester la baronne venait de perdre son dernier privilège. Elle vit ses deux filles horrifiées et les larmes aux yeux car en effet malgré leur cinquantaine, elles allaient devoir se coucher sur les genoux de la cuisinière et de la jeune bonne. 

Miss Mélanie n'avait même rien dit du changement et qui allait  administrer la fessée à Irène et Christine, elle avait simplement ignoré Adélaïde qui attendait les fesses nues.

La baronne savait maintenant qu'elle serait également remplacée par les domestiques pour le second tour. Ce ne serait donc pas elle qui punirait  ses filles avec la tawse écossaise.

Bien qu'elle ait toujours aimé faire danser la tawse sur les fesses de ses filles qui se tortillaient sous les claques le vendredi, ce changement  semblait mineur comparé au fait qu'elle était sur le point de recevoir une fessée déculottée en public.

Surtout, elle craignait de se retrouver sur les genoux de Mildred. Intérieurement, elle s'apprêtait à appeler désormais la femme de chambre "Miss Mildred". Et aussi de permettre à son personnel  de s'adresser à elle par son prénom au lieu de « baronne ». Impossible d'imaginer que celle qui l'avait fessée l'appellerait « baronne », cela ajouterait trop à l'humiliation déjà insupportable.

Interrogée par la nouvelle gouvernante, la cuisinière avait décidé de s'occuper des larges fesses de Christine qui avait 53 ans. Ainsi, les fesses légèrement plus petites d'Irène, qui avait deux ans de plus, étaient maintenant réservées à  Mildred et cela lui allait très bien.

Même s'il ne s'agissait que d'un échauffement, ce fut tout sauf un lit de roses pour les deux sœurs. Mildred était maintenant bien habituée, ses claques  étaient désormais presque aussi fortes que celle de la  cuisinière pourtant plus expérimentée.

Il n'y avait plus que cinq paires d'yeux qui regardaient et elles virent à quelle vitesse les fesses qui dansaient sous les claques devinrent rouges.

Mais il y avait aussi  beaucoup, beaucoup d'oreilles qui pouvaient entendre les supplications  et les gémissements initiaux se transformant en cris de plus en plus  forts et incontrôlables.

Ajoutant à l'humiliation redoutée d'être fessée par une fille de dix-neuf ans comme seules les écolières devraient être fessées, il y avait la pensée terrifiante que tout le monde l'entendrait crier et geindre de la même manière et au même volume.

La baronne se tenait là et regardait les deux paires de fesses se couvrir d'un rouge intense par la grâce des mains d'Agathe et Mildred. Des larmes coulèrent involontairement sur son visage, cette journée avait pris un tour complètement inattendu.

Elle priait intérieurement maintenant que ce soit Miss Mélanie qui lui donne la fessée, si ça devait être en public, au moins pas par Miss Mildred, même la cuisinière lui convenait maintenant.

Et sa prière fut exaucée, dès qu'Irène et Christine eurent été envoyées exposer leurs fesses rouge tomate le nez contre le mur. Miss Mélanie passa son bras autour des épaules de la baronne avec ces mots.

- et bien, finissons-en, ma chère Adélaïde.

elle conduisit la dame en pleurs vers l'une des chaises. Elle s'assit, lissa son pantalon, puis tapota ses genoux de manière explicite. 

- nous allons  voir à quel point notre petite baronne est courageuse.

ajouta-t-elle avec un sourire.

Adélaïde estima que ce n'était pas censé être ironique, mais qu'aux yeux de la nouvelle gouvernante, elle était vraiment une petite fille qui avait besoin de toute son attention et de ses soins. Pourtant, les choses allaient suivre leur cours humiliant et douloureux. Adélaïde en était absolument sûre. Tout ce qu'elle pouvait faire était de ne pas contrarier Miss Mélanie. Alors, docilement, mais très maladroitement, elle se coucha sur ses genoux. Elle avait 75 ans et n'était plus une jeune femme sportive.

Heureusement, tous les membres de la famille fixaient maintenant le mur. Mais elle avait déjà pu constater avec ses filles à quel point cela aidait peu, en effet tout le monde avait entendu leurs cris. Et à la fin, tout le monde entendraient aussi les cris de la baronne Adélaïde. Elle était tellement désespérée de perdre son privilège et d’être allongée sur les genoux comme une gamine malgré son âge avancé et en plus sur ceux de Miss Mélanie qui avait bien moins de la moitié de son âge.


Mais lorsque les vigoureuses et bien sonores claques commencèrent à atterrir sur ses fesses, toutes ces pensées s'estompèrent, Miss Scott était vraiment une fesseuse parfaitement formée et en plus douée. Elle corrigeait sévèrement, chaque claque était délivrée avec une pleine énergie, et rapidement au bout de quelques claques plus fortes que les autres, Adélaïde hurla de douleur. Elle ne pensait plus aux nombreuses oreilles qui l'entendaient, elle n'était tout simplement plus habituée à ce traitement, cela faisait déjà plus de soixante ans qu'elle n'avait  pas été allongée sur les genoux pour recevoir une fessée, la dernière fois c'était sur ceux de sa jeune mère d'alors.

Miss Simpson, qui partait ce jour-là, était soulagée. Cette nouvelle venue semblait vraiment parfaite pour continuer son travail. Elle ne se sentait pas non plus gênée que Miss Scott ait changé la procédure. Il n’était pas exclu que l'ajout de l'échauffement puisse améliorer l'effet disciplinaire du rituel du vendredi.

Les membres de la famille qui écoutaient avaient des sentiments et des pensées très différents en entendant la baronne recevoir sa fessée, leurs sentiments variaient entre la pitié et la joie malveillante. Ses filles en particulier, qui avaient toujours été punies par elle, trouvaient très satisfaisant d'entendre les cris et les pleurs de leur mère, car même si elles savaient qu’elle avait toujours agi au nom de Miss Simpson les vendredis de punition, elles s'étaient toujours doutées que la baronne prenait du plaisir à le faire.

Miss Scott était très contente, la future retraitée pouvait voir dans l'expression de la plus jeune qu'elle était heureuse de fesser la baronne autant qu'elle même l'était depuis bien longtemps. Lorsque leurs yeux se rencontrèrent brièvement, elles s'adressèrent un sourire complice.

Être fesseuse était un travail de rêve pour elles deux, Miss Simpson n'était pas triste de partir d'ici. Dans son environnement proche, il y avait encore assez à faire pour ne pas renoncer complètement à la pratique de la fessée.

D'un côté, il y avait cette nouvelle et jeune voisine qui avait vraiment des bêtises en tête qu'elle avait l'intention de guérir.  Et puis il y avait la direction de la maison de repos d'en face, qui avait été ravie lorsqu'elle leur avait proposé d'y faire du bénévolat.  Ils avaient des problèmes de discipline ces derniers temps, notamment avec des résidents âgés.

Quel beau rouge uniforme et luisant  couvrait maintenant ces nobles fesses et également le haut des cuisses. Miss Simpson décida qu'à l'avenir elle administrerait plus souvent des fessée à la main.  Dans le cas des punies plus âgées en particulier, cela serait très utile pour leur faire comprendre à quel point elles étaient encore extrêmement immatures.

Puis Adélaïde, pleurant toujours à chaudes larmes, fut autorisée à rejoindre la rangée de celles qui fixaient le mur.  Mais avant de l'envoyer là-bas, Miss Scott essuya la salive de son menton avec un mouchoir qu'elle avait toujours sur elle et l'a laissée se moucher. La baronne était tellement concentrée sur son derrière brûlant qu'elle n'a pas vraiment remarqué la nature humiliante de cette action.  Il lui a également fallu beaucoup d'énergie pour garder ses mains sur la tête et ne pas succomber à la tentation de faire avec elles quelque chose de strictement interdit.

 Les larmes de la baronne coulaient encore, Miss Scott ne les essuya pas, elle ne se soucia pas non plus du maquillage qui avait coulé, elle trouvait  que c'était plutôt mignon sur la baronne.


A suivre….

2 commentaires:

  1. quel beau début d'histoire. L'humiliation de la baronne et la facilité de la nouvelle gouvernante à gérer la situation. cela montre que la nouvelle gouvernante est prête à aller beaucoup plus loin et mettra en œuvre plus de changements. la fessée aux mains de la femme de chambre était également un excellent ajout à l'humiliation de la fessée. merci de continuer l'histoire

    Chinmay

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  2. Avec tout ces prénoms, je mis perd un peu !!! 🍑

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