vendredi 31 mars 2023

La bibliothèque 2

 Marie change de statut



Marie avait les fesses en feu en sortant de la bibliothèque, Ingrid ne l'avait pas ménagée et la dernière fessée avec la brosse à cheveux bien que courte lui avait rougi sérieusement les fesses. Elle regarda sa montre, il lui fallait se dépêcher pour ne pas être en retard à son rendez-vous avec sa gynécologue, en passant devant une vitrine elle constata que sa tenue, une jupe bleue très courte et les socquettes blanches qu'Ingrid lui avait demandé de porter lui donnait l'air d'une jeune fille alors qu'elle avait la quarantaine, le docteur Michèle Dupuis qui la connaissait depuis longtemps serait sans doute surprise de la voir habillée comme cela. Elle entra dans la salle d'attente juste quand la gynécologue ouvrait la porte pour l'appeler. Elle eut un regard surpris en découvrant Marie et sa tenue puis un léger sourire se dessina sur ses lèvres.

Michèle Dupuis avait une quarantaine d'années, elle était brune, bien en chair toujours souriante et il se disait qu'elle préférait la compagnie des dames. Elle connaissait Marie depuis très longtemps, elle lui indiqua la porte de son bureau.

- allons y madame… Euh je voulais dire mademoiselle.

Elle avait dit ça en souriant, Marie avait rougi, l'allusion à sa tenue juvénile était très claire, le docteur Dupuis savait très bien qu'elle avait deux filles.

L'interrogatoire classique se déroula sans encombre, cependant les fesses de Marie étaient encore sensibles et elle se demandait si les traces de la fessée seraient toujours visibles quand il faudrait passer à l'examen. Michèle Dupuis lui montra le divan d'examen.

- bien, nous allons passer à l'examen, déshabillez vous.

C'était l'instant fatidique, Marie n'était pas trop pudique mais se déshabiller dans ces circonstances lui paru impossible, elle hésita un instant mais le regard bienveillant du docteur Dupuis la rassura, après tout les traces de la fessée auraient sans doute disparu. Une fois en petite culotte elle dégrafa son soutien gorge et se mit de côté afin de ne pas exposer ses fesses au moment de se déculotter. Michèle Dupuis la regardait avec attention, elle était toujours très professionnelle mais elle ne se privait jamais de regarder ses patientes se mettre nue, la découverte de leur anatomie était toujours un plaisir. Elle appréciait les dames avec des formes et Marie avait ma foi une superbe poitrine et des fesses rondes à souhait, elle remarqua immédiatement la rougeur qui empourprait encore le fessier de Marie. Elle lui indiqua le pèse personne.



- montez sur la balance pour commencer.

Marie l'estomac noué se dirigea vers la balance, elle savait qu'elle allait exposer ses fesses rougies, car la gynécologue n'avait pas bougé de son bureau et elle devait lui tourner le dos pour y aller.

Les fesses de Marie étaient encore bien colorées et on ne pouvait guère avoir de doute sur la cause de cette rougeur. Michèle Dupuis souriait au spectacle, ainsi cette petite dame à qui on aurait donné le bon dieu sans confession jouait à panpan cucul, sa tenue de collégienne ne laissait guère de doute, elle n'était pas victime de violences conjugales, elle était sans aucun doute consentante. Les jolies fesses potelées de Marie étaient très agréable à regarder, mais le docteur Dupuis fit un effort sur elle même et se leva, elle regarda le poids de Marie.

- c'est bien vous n'avez pas pris un gramme depuis l'année dernière, pas de cellulite.

En disant ces mots elle avait tapoté les fesses de Marie pour l'inciter à prendre place sur le divan d'examen. Marie avait les joues rouges, la main de la gynécologue sur ses fesses lui avait rappelé la punition d'Ingrid. L'examen ne dura pas longtemps mais à la fin au lieu de la faire se relever, Michèle le plus naturellement du monde la regarda et lui dit.

- bien, tournez-vous que j'examine vos fesses !

Surprise mais soumise par son séjour sur les genoux de la jeune bibliothécaire, Marie s'exécuta. La doctoresse passa sa main sur les fesses serrées par l'angoisse.

- dites moi Marie, vous avez été vilaine pour avoir mérité de recevoir une si bonne fessée?

Estomaquée par la question, Marie ne répondit pas. Une petite claque sur les fesses lui rappela sa position et sa tenue.

- je vous ai posé une question !

La voix de la gynécologue était devenue plus sèche, Marie était un peu surprise qu'elle l'appelle par son prénom, c'était un peu la faire retomber en enfance. Mais elle était bloquée aucun son ne sortait de sa bouche, comment expliqué qu'à 40 ans passé, elle s'était retrouvé allongée en travers des genoux d'une jeune femme, culotte baissée en train de recevoir une cuisante fessée.





- vous ne voulez pas répondre ? nous allons utiliser une autre méthode.

Marie sentit les doigts de Michèle Dupuis écarter ses fesses et un contact froid sur son anus. Elle compris avec horreur que la gynécologue était en train de lui mettre un thermomètre dans les fesses pour lui prendre la température comme sa mère le faisait quand elle était gamine. Elle serra les fesses et protesta faiblement.

- oh non, madame s'il vous plaît…

Une vigoureuse claque lui indiqua que sa condition avait changé, elle n'était plus une dame venant consulter mais une jeune fille désobéissante qui risquait une punition.

- desserrez moi ces fesses et vite, si vous ne voulez pas que je me fâche.

Le thermomètre pénétrait doucement dans le fondement de Marie, son humiliation était totale, elle gémissait doucement.



- alors Marie ? Vous ne voulez toujours pas me dire ce qui vous a valu cette bonne fessée déculottée?

Marie garda le silence. Michèle relâcha les fesses qui se refermèrent sur le thermomètre, seul un petit bout dépassait maintenant au milieu des fesses rouges.

- j'ai tout mon temps, vous garderez ce thermomètre aussi longtemps qu'il le faudra.

Elle se dirigea vers son bureau et commença à donner quelques coups de téléphone. Marie était au comble de la confusion, elle était allongée sur le ventre toute nue sur ce lit d'examen, un thermomètre planté bien profondément au milieu de ses fesses et Michèle n'avait pas l'air de vouloir céder, comment se sortir de cette situation, elle remarqua le petit sourire moqueur de la gynécologue qui croisa son regard. Il lui fallait passer aux aveux. Avec difficulté, en butant un peu sur les mots, elle raconta comment Ingrid l'avait forcée à accepter de recevoir une fessée déculottée. Michèle l'écoutait attentivement, elle ne lui avait pas retiré le thermomètre malgré sa confession. Elle se leva et elle examina à nouveau le joli fessier de sa patiente, elle fit coulisser le thermomètre.

- quand on a désobéi, c'est normal que l'on soit punie et la fessée déculottée est très efficace.

Elle ramassa la culotte posée sur la chaise et la mit sous le nez de Marie.

- apparemment, ça ne vous a pas déplu, si j'en juge par l'état de votre culotte.

Marie devint écarlate, c'est vrai que malgré la cuisson de ses fesses, elle avait ressenti un certain plaisir à se retrouver dans cette position humiliante exposant son intimité. Michèle avait percé à jour son fantasme, d'une main distraite elle continuait à faire coulisser le thermomètre, le sortant puis l'introduisant très profondément. Marie sentait un désir monter. Le docteur Dupuis repris soudain un ton professionnel et retira le thermomètre.

- je vois ce qu'il vous faut comme traitement madame. Levez-vous.

Un peu surprise Marie s'exécuta, dès qu'elle fut debout Michèle Dupuis posa son pied sur un petit marche pied et la saisissant par la taille elle la coucha en équilibre sur sa cuisse horizontale et immédiatement elle commença à lui administrer une vigoureuse fessée, 



cette position incongrue, la tête en bas, les pieds décollés du sol et les fesses offertes à la main de sa nouvelle maîtresse mirent Marie dans un état de détresse, elle se mit rapidement à pleurer sous la brûlure, ses pieds battaient l'air mais curieusement elle sentait également une chaleur envahir sa vulve, la fessée se ralentit et la main experte de Michèle descendit entre ses fesses puis ses cuisses.

- c'est bien ce que je vous disais ma chère, la fessée vous fait de l'effet.

Elle se mit à rire et recommença à claquer les jolies rondeurs de Marie qui repris immédiatement sa danse des fesses en gémissant. La croupe était maintenant écarlate, Michèle savourait le spectacle, administrer une fessée déculottée dans son cabinet ne lui était jamais arrivé mais c'était vraiment délicieux. Elle relâcha sa victime, dès qu'elle fut au sol, Marie porta les mains à ses fesses pour les frotter énergiquement, ce qui fit bien rire Michèle.

- alors ? Ça brûle ? C'est bien, ça fait circuler le sang, vous n'aurez pas froid aux fesses.

Marie baissait les yeux, confuse d'être dans cette tenue, les fesses brûlantes. Michèle lui entoura les épaules puis descendit sa main sur les fesses enflammées.

- voilà c'est fini, on a eu panpan cucul, mais avouez que c'était bien mérité. Je pense que vous avez besoin qu'on s'occupe de vous, si vous voulez je peux m'en charger. En attendant rhabillez vous.

Troublée Marie s'exécuta, Michèle avait regagné son bureau et elle écrivait une ordonnance, elle leva les yeux et regarda en souriant Marie s'asseoir délicatement sur la chaise.

- ça fait un peu mal ? C'était une bonne fessée.

Elle tendit l'ordonnance à Marie. Celle ci la parcouru rapidement. Sous son nom était écrit

" une fessée déculottée par jour tous les soirs pendant 15 jours.

A administrer par le docteur Dupuis."



Elle lui tendit également une carte de rendez-vous.

- à 18 h précise dans mon cabinet, soyez à l'heure !

Marie avait maintenant les joues aussi rouges que ses fesses. Elle acquiesça, puis en réfléchissant rapidement elle se rappela qu'Ingrid l'avait également convoquée tout les midis pour recevoir une fessée, elle serra les fesses sous sa culotte, elle allait donc recevoir deux fessées par jour pendant une semaine.

C'est ainsi que tous les midis, Marie habillée comme une gamine se rendaient à la bibliothèque où l'attendait Ingrid pendant sa pause puis le soir à 18 h, au cabinet de Michèle qui la recevait à la fin de ses consultations.

Le midi le scénario était immuable, Ingrid lui faisait une bise en lui palpant les fesses par dessus sa jupe comme pour en prendre possession, puis elle s'asseyait sur une chaise et basculait Marie en travers de ses cuisses. La jupe était rapidement retroussée pour mettre à jour la sage petite culotte blanche, elle prenait plaisir ensuite à glisser ses doigts sous la culotte à pincer les fesses puis à tirer sur la culotte pour la faire rentrer dans la raie.

- alors ma petite Marie, on est prête pour sa petite fessée déculottée, on va montrer ses fesses, tu vas voir comme c'est bon



Marie sans l'avouer ouvertement prenait plaisir à se retrouver dans cette position humiliante, Ingrid le vérifiait d'ailleurs en glissant ses doigts sur la vulve humide. Puis venait le moment préféré d'Ingrid et celui tant redouté par Marie, le déculottage. Lentement la culotte glissait sur les fesses tendues et serrées, pour commencer Ingrid la baissait juste sous les fesses et administrait une rapide et forte fessée à son amie. Marie bien que honteuse d'exposer ses fesses, sentait son sexe se gonfler mais rapidement la brûlure de la fessée la ramenait à la réalité, elle était punie comme une gamine alors qu'elle avait 40 ans, elle gémissait sous la cuisson ce qui faisait sourire Ingrid, c'était un plaisir pour elle mais Marie avant de goûter au plaisir devait sentir la rigueur de la punition.

Elle s'arrêtait et baissait un peu plus la culotte, sa main experte s'immisçait entre les cuisses de Marie pour les écarter et pour vérifier que son traitement faisait de l'effet

- tu es une vilaine petite vicieuse, mais je vais guérir tes mauvaises pensées, tu vas voir avec les fesses brûlantes on va beaucoup mieux.

La fessée reprenait de plus belle, maintenant Marie ne pensait plus qu'à essayer de calmer la brûlure, ses fesses s'ouvraient et se refermaient, elle battait l'air avec ses pieds mais Ingrid la tenait fermement par la taille. La première fessée ne prenait fin que quand les fesses étaient écarlates. La suite était écrite, Marie comme une mauvaise élève était conduite, tenue par l'oreille au coin, sa jupe coincée dans la ceinture elle exposait son fessier rougeoyant pendant qu'Ingrid assise à son bureau passait des coups de téléphone. Elle laissait Marie pendant 1/4 d'heure en pénitence, se régalant du spectacle de cette mère de famille cul nu devant elle comme une gamine désobéissante. 



La deuxième partie était encore plus cuisante pour les fesses de Marie. Pendant la semaine de punition Ingrid lui fit goûter de nombreux instruments, il y eu bien sûr la brosse à cheveux qui la fit trépigner, courbée sous le bras de sa jeune maîtresse, la règle plate administrée dans la position si humiliante, perchée sur la cuisse horizontale d'Ingrid les pieds décollé du sol, elle dut aussi tendre ses fesses au devant des lanières du martinet, agenouillé sur une chaise, le buste courbé sur le dossier et comme une collégienne anglaise sa croupe subit également la caresse brûlante de la sandale d'Ingrid. Après ce traitement des plus cuisant, elle regagnait à nouveau le coin pour une petite pénitence. Ensuite seulement venait l'heure de la récompense, Ingrid appelait Marie et la faisait asseoir sur ses genoux sa main se glissait sous les fesses brûlantes pour les caresser, puis venait les attouchements plus intimes qui amenait souvent Marie au septième ciel.

Elle passait un après-midi entre souvenirs de ce plaisir et inconfort d'être assise sur un fessier douloureux.

En quittant son bureau elle ne rentrait pas chez elle, un nouveau rendez-vous cuisant l'attendait. La docteure Michèle Dupuis l'attendait pour l'administration de son traitement. Marie avait été obligée de lui avouer son rendez-vous du midi avec Ingrid ce qui avait fait sourire Michèle.

- et bien, dites moi vos fesses vont être bien entretenues, vous allez voir, elles vont être rondes et musclées.

Sans faire de manière, elle couchait immédiatement sa patiente en travers de ses cuisses, la troussait et la déculottait prestement. Les fesses de Marie gardait encore des traces de sa correction de midi, sous la forme d'une couleur rose plus ou moins soutenue en fonction de l'instrument utilisé par Ingrid. Dans cette position humiliante, Marie devait raconter en détail sa fessée, Michèle lui palpait les fesses avec sa main experte, s'immisçant entre les cuisses.

- décidément madame, il vous faut des fessées, on dirait que ça vous fait du bien.

Marie honteuse d'être percée à jour était bien obligée d'avouer que malgré l'humiliation et la douleur elle jouissait d'être traitée comme une collégienne. La brûlure de la fessée la ramenait vite à la réalité, et les pleurs succédaient aux soupirs du plaisir d'être caressée. La gynécologue prenait maintenant réellement goût à administrer une bonne fessée déculottée à sa patiente, elle la faisait durer le plus longtemps possible, alternant les séries douces avec une avalanche de claques très fortes qui faisait bondir Marie, bien maintenue par la taille et qui au milieu des pleurs implorait la clémence de sa maîtresse. Mais rien n'y faisait, la fessée ne s'arrêtait que quand les fesses étaient écarlates et fumantes, la rougeur descendant sur le haut des cuisses.

- voilà, je crois que le traitement va être efficace, vous allez voir, vous passerez une bonne soirée. Pour le coucher, bien sûr pas de culotte et dodo sur le ventre.

Elle finissait de caresser les fesses tout en lui prodiguant ses conseils, Marie sanglotait doucement tout en appréciant la main experte se glisser entre ses fesses, les écarter et même poser son doigt sur son anus. C'était toujours ainsi que se terminait le traitement de Michèle, elle saisissait un thermomètre traditionnel en verre et comme si Marie était une gamine elle lui introduisait l'instrument profondément tout en maintenant les fesses bien écartées. Marie était au comble de l'humiliation, les fesses brûlantes et son intimité violée par le thermomètre. Mais Michèle savait s'y prendre, elle faisait coulisser l'instrument, le ressortant puis l'enfilant encore plus profondément, Marie passait ainsi de la douleur au plaisir.

Quand elle sentait sa patiente sur le point de succomber, Michèle en praticienne expérimentée, cessait de faire bouger le thermomètre et elle administrait une dernière salve de claques à sa patiente qui râlait de plaisir et de douleur mêlés.

Elle faisait ensuite relever Marie, des larmes coulaient sur ses joues aussi rouges que son fessier. Puis elle lui indiquait le coin de la pièce.

- allez vous mettre au coin, pour que vos petites fesses refroidissent un peu, vous tenez votre jupe bien relevée que je juge du résultat de mon traitement.

Et c'est ainsi que pendant une semaine Marie fut fessée midi et soir, qu'elle garda tous les après-midi les fesses bien rouges et dormit sans culotte allongée sur le ventre. 



mercredi 29 mars 2023

La bibliothèque 1

 Judith et Marie



Marie était une dame de 45 ans mère de deux filles mais également une lectrice boulimique pour satisfaire ses gros besoins de livre elle fréquentait régulièrement la bibliothèque municipale, elle était devenue amie avec Ingrid la jeune bibliothécaire âgée d'une trentaine d'années.

Mais Marie avait un gros défaut elle était toujours en retard pour rendre les livres empruntés, Ingrid la grondait gentiment à chaque fois mais ce jour là, elle avait un regard sombre quand Marie entra dans la bibliothèque. Celle-ci toujours enjouée lui adressa un grand sourire.

- coucou Ingrid, vous en faites une tête, qu'est-ce qui ne va pas ?

- Marie, ce n'est pas possible, vous êtes encore en retard pour rendre les livres ! Je vous avais pourtant prévenue la semaine dernière.

- olala vous n'allez pas me faire tout une histoire pour 2 jours de retard.

- si justement, j'ai un gros problème, ma responsable a regardé le fichier et je me suis pris une remarque car j'étais trop laxiste, elle m'a dit que je devais appliquer le règlement.

- c'est à dire ?

- en cas de retard je dois vous exclure pendant 15 jours la première fois et si vous récidivez c'est pour 3 mois et elle a remarqué vos retards répétés, je vais être obligée de vous rayer des listes pendant 3 mois.

A ces mots, le visage de Marie se décomposa.

- mais enfin Ingrid, ce n'est pas possible, vous ne pouvez pas faire ça, vous savez comment la lecture est vitale pour moi.

- je le sais et croyez que j'en suis désolée mais je n'ai vraiment pas le choix.

Marie avait les larmes aux yeux.

- s'il vous plaît, Ingrid je vous en supplie, ne faites pas ça.

Ingrid la regarda, son regard un peu sévère s'éclaircit légèrement.

- vous me mettez dans une situation compliquée Marie mais j'ai peut-être une solution. Si je ne vous efface pas du fichier je prends un risque et vous vous ne risquez rien, ce n'est pas très juste…

Marie l'écoutait intriguée.

- par amitié pour vous je veux bien essayer mais avouez que votre comportement est infantile et que ça mérite une petite sanction quand même.

Marie eut un petit sourire coquin.

- vous allez me faire panpan cucul ?

Ingrid lui rendit son sourire.

- vous ne croyez pas si bien dire, c'est exactement ce que je pensais vous proposer.

Marie la regarda ébahie.

- euh...c'est à dire je plaisantais bien sûr…

- moi pas !

Ingrid avait repris son regard sévère.

- ou vous acceptez de recevoir une fessée ou je vous raye des listes pour 3 mois.

- mais enfin Ingrid, vous n'êtes pas sérieuse, j'ai 45 ans….

- je le sais… Mais des fois je me demande si c'est vrai, vu votre comportement insouciant.

Marie rougit sous la remarque. Ingrid enchaîna.

- de toutes façons vous n'avez pas le choix, c'est à prendre ou à laisser.

Marie maintenant baissait les yeux, elle ne savait que répondre. Ingrid la regardait intensément, elle se sentit rougir, elle redevenait une gamine grondée par sa maîtresse d'école.

- alors ?

- euh… C'est à dire… Si vous dites que je n'ai pas le choix mais que voulez vous faire?

- oh c'est bien simple, si vous acceptez, nous réglerons ça rapidement, bien sûr pas maintenant, je vous propose de revenir à midi à la fermeture, d'ici là je vais m'arranger avec l'informatique pour que vos retards n'apparaissent plus.

Marie un peu soulagée acquiesça.

- d'accord Ingrid, à midi donc, je vous remercie.

- à au fait, une petite précision, je souhaite que vous mettiez une jupe un peu courte et des chaussettes blanches… Punition de gamine, tenue de gamine.

Marie un peu surprise acquiesça et prit congé. Une fois arrivée à la maison, elle réfléchi à la situation, c'était un peu curieux cette proposition mais après tout ce n'était pas la mer à boire. Il lui restait 1h avant de retrouver Ingrid, elle alla dans sa chambre pour se mettre en tenue de gamine comme lui avait dit la jeune bibliothécaire. Elle mis une jupe d'été assez courte et trouva des chaussettes blanches qu'elle mettait pour le sport, Ingrid ne lui avait pas parlé de ses sous vêtements mais elle opta pour une culotte sage, blanche en coton.


 

Elle se retourna devant sa glace tenant sa jupe retroussée elle baissa sa culotte, elle passa sa main dessus, elle remarqua un petit bouton sur la fesse droite qui la chagrina un peu mais ce n'était pas très gênant quand même. Elle se souvint brusquement qu'elle avait rendez-vous avec sa gynécologue en début d'après-midi, elle n'y avait pas pensé quand elle avait accepté de recevoir une fessée par Ingrid. Bon elle n'allait quand même pas la fesser au point de lui laisser des traces.

A 12 heure précise elle se présenta à la bibliothèque, Ingrid l'accueilli avec un grand sourire.

- c'est bien, vous n'êtes pas en retard cette fois… Prête pour la fessée ?

Marie rougi et regarda autour d'elle, une dame feuilletait un livre mais elle n'avait pas entendu la fin de la phrase. Ingrid lui montra la porte de son bureau.

- allez m'attendre la, je finis avec cette dame et je suis à vous.

Marie un peu inquiète s'exécuta, elle entendit Ingrid signifier à la lectrice que la bibliothèque allait fermer puis la jeune bibliothécaire entra dans le bureau, elle avait un regard plus sévère que précédemment, Marie inconsciemment serra ses fesses sous sa jupe, elle se revoyait de nombreuses années avant convoquée dans le bureau de la directrice, elle baissa les yeux. Il y avait une grande différence cependant elle avait 45 ans et la jeune personne qui lui faisait face pas plus de 30... Elle allait se rendre compte que cette différence d'âge avait peu d'importance. Ingrid lui tendit une feuille de papier.

- vous lisez et vous me signez ce papier.

Marie le parcouru rapidement, il y était écrit qu'elle reconnaissait sa faute et que c'était en connaissance de cause qu'elle acceptait la punition d'Ingrid et même la fessée si elle la jugeait nécessaire. Cette dernière phrase la fit rougir, elle jeta un œil à la jeune femme, elle avait un petit sourire moqueur. Puis elle prit un stylo et signa. Ingrid avait pris une chaise et l'avait disposée au milieu de la pièce. Elle s'assit et du doigt fit un petit signe à Marie. Celle ci se rendit compte brusquement de la situation, Ingrid n'allait pas se contenter de quelques claques mais elle se préparait à lui administrer une vraie fessée dans une position très humiliante. Elle s'approcha et dès qu'elle fut contre les genoux de la jeune femme celle ci la tira par le bras pour la basculer en travers de ses genoux. Cette fois ci on y était. Marie poussa un petit cri en sentant sa jupe se retrousser.

- oh non, Ingrid, s'il vous plaît, noon pas ça.

- comment ? Vous ne pensez tout de même pas que je vais me contenter de vous donner une fessée sur la jupe… Elle est très mignonne votre culotte Marie, une vraie culotte de petite fille !

Elle leva la main et commença à claquer la croupe tendue de la dame redevenue une gamine. La culotte amortissait le bruit des claques mais Marie trouvait que c'était quand même une bonne fessée et son derrière commençait à lui cuire. Soudain elle sentit les doigts d'Ingrid s'insinuer dans la ceinture de sa culotte et celle ci glisser sur ses fesses, elle protesta et d'une main essaya de la retenir.



- noon, Ingrid pas la culotte, mais enfin vous n'y pensez pas !

Ingrid se mit à rire..

- vous ne pensez tout de même pas vous en sortir avec juste une petite fessée sur la culotte, non madame vos retards répétés méritent une punition et la seule efficace c'est la fessée déculottée.

Elle avait repoussé la main de Marie et descendu la culotte à mi cuisse. Vaincue et redevenue vraiment une gamine Marie se mit à gémir.

- oh, non pardon Ingrid, je vous promet que je ne serai plus jamais en retard, oui j'ai compris.. Pardon.

Elle poussa un cri, Ingrid venait de lui administrer une claque sur la fesse droite puis immédiatement sur la gauche et ainsi de suite sans discontinuer. La brûlure était intense, Marie n'avait pas reçu la fessée depuis l'âge de douze ans, elle ne se rappelait pas que ce fut si douloureux. Elle battait des jambes, sa culotte descendit jusqu'à ses genoux, sans soucis de pudeur elle ouvrait largement ses fesses exposant sa pilosité intime puis les serraient pour essayer d'atténuer la cuisson. Ingrid était ravie, elle adorait administrer la fessée à une dame, ses pulsions dominantes et ses penchants saphiques y trouvaient une grande satisfaction. Marie l'attirait depuis longtemps et la découverte de son fessier rebondi la comblait, sous la douleur celle ci se mit à pleurer, c'était l'instant attendu par la fesseuse, le moment où la punie lâche prise et où elle sait que la correction a atteint son but. La croupe de Marie était maintenant d'un rouge uniforme, Ingrid cessa la fessée et caressa la belle paire de fesses qui la faisait rêver depuis si longtemps, maintenant elle était à sa disposition si bien présentée par cette position humiliante. Ses doigts s'insinuèrent dans la raie fessière provoquant une contraction des deux hémisphères, une petite claque ramena Marie à la raison.

- on ne serre pas les fesses madame, quand on est cul nu et qu'on vient de recevoir la fessée déculottée comme une gamine, on se laisse faire. Vous avez un très joli derrière Marie. Oui, je sais ça brûle, mais c'est fait pour ça la fessée… Vous l'aviez bien méritée n'est ce pas. Bon vous allez vous mettre au coin pour réfléchir.

Elle fit relever sa victime et la prenant par l'oreille elle la conduisit au coin de la pièce. Elle coinça la jupe dans la ceinture.

- mettez vos mains sur la tête et ne bougez plus !



Marie abasourdie s'exécuta sans un mot, elle aurait voulu frotter ses fesses brûlantes, mais d'un seul coup en quelques minutes elle avait changé de statut. Elle n'était plus une mère de famille mais seulement une élève désobéissante dans le bureau de la directrice. Ingrid la laissa dans cette position humiliante pendant 10 minutes elle jouissait du spectacle ravissant que lui offrait bien malgré elle Marie.

- voilà c'est fini, vous pouvez vous reculotter.

Marie s'empressa de cacher ses fesses, Ingrid se dirigea vers un placard et alluma une lampe.

- pour aujourd'hui je me suis contentée d'une petite fessée à la main mais la prochaine fois, voilà ce qui vous attend ma chère Marie.

Elle avait pris un martinet et en caressait les lanières. Marie avait connu cet instrument de punition traditionnel chez sa grand-mère mais elle croyait qu'il avait disparu, elle frissonna en pensant à la cuisson de ses fesses. Elle appelait ça une petite fessée… Maintenant Ingrid avait saisi une brosse à cheveux.

- en cas de récidive ou de désobéissance, vous reviendrez sur mes genoux culotte baissée et vous goûterez à ça, j'espère que vous avez compris.

Marie pensa à son rendez-vous chez sa gynécologue, heureusement qu'elle n'avait pas utilisé le martinet ou la brosse, elle aurait eu un peu de mal à expliquer les traces sur ses fesses. Elle sursauta quand Ingrid l'interpella.

- bien, venez un peu là que j'examine vos fesses.

Sans lui laisser le temps de réagir elle la courba sous son bras, la troussa et la déculotta.

- mais il n'y paraît déjà plus ! Je ne voudrais surtout pas que vous attrapiez froid aux fesses.



Elle avait saisi sa brosse à cheveux et elle appliqua une cinquantaine de claques sur le fessier bien tendu. Marie trépigna sur place et se remit à pleurer… Cette fois ci elle était bonne pour des explications compliquées à donner à sa gynécologue. Ingrid satisfaite la relâcha.

- voilà j'espère que la leçon sera salutaire. Pour être sûr que vous l'avez bien comprise je pense que vous viendrez tout les midis pendant une semaine dans mon bureau.

Ce n'était pas prévu au programme mais la vue excitante de la paire de fesses écarlate de Marie lui faisait trop envie et l'absence de réaction de celle ci l'incitait à penser qu'elle ne serait pas insensible au charme de fessée plus sensuelle. 



A suivre …..

lundi 27 mars 2023

Le manoir des dames 6

 Chapitre 6. Première nuit aux dortoirs

Le lendemain matin, il s'est avéré être un avantage que tant de personnes aient subi la rémanence du soir. Même les quatre chanceuses qui y avaient échappées étaient très intimidées. En plus, il y avait les sanglots d'Isabelle et Virginie, pour qui Miss Agathe avait programmé une fessée ce matin, 



et même si Miss Agathe ne leur avait donné qu'une fessée à la main, elles étaient quand même venus déjeuner en sanglotant.

Sans toutes ces intimidations, l'annonce de la mise en place des dortoirs aurait sûrement attiré plus qu'un petit gémissement et des larmes,, mais en définitive personne n'osa se plaindre.

Pendant tout le reste de la journée, il s'est agit de déplacer  des meubles et d'installer les dortoirs à l'étage sous les toits. À la consternation de la baronne, les trois dortoirs étaient au même étage. Elle doutait que les murs soient assez épais pour qu'on ne s'entende pas crier et pleurer quand il y aurait des rémanences.

Toutes se sont efforcées de ne fournir aucun motif de fessée. Cela n'est donc arrivé qu'à une seule des dames à savoir Sophie.

Et le soir les cris de la malchanceuse, la petite et menue Sophie,  celle avec son petit derrière bien rond et bien ferme, montrèrent clairement que les murs entre les dortoirs n'étaient pas du tout insonorisés. Étonnamment, Sophie était l'une des quatre qui n'avaient pas été soumises à la rémanence la veille au soir.

Trois paires d'oreilles purent entendre le claquement de la brosse à cheveux, tandis que toutes les autres entendaient seulement les gémissements et les pleurs, certes quelque peu étouffés. C'était la dernière fois que la brosse à cheveux serait utilisée pour la rémanence, car Mélanie avait déjà commandé chez le sellier un certain nombre de tapettes en cuir de la taille d'une paume.

La plupart pensaient la même chose.

- désolée ma pauvre Sophie ! Mais je suis tellement contente que ce ne soit pas mon derrière qui brûle en ce moment.

Tant pis pour la solidarité entre compagnes d'infortune !

L'équipe disciplinaire s'était mise d'accord pour qu'elles « s'occupent » à tour de rôle des trois dortoirs, lors de cette première nuit où toutes les dames ont inauguré les dortoirs, c'est Mélanie qui fut responsable du dortoir à quatre lits celui ou dormait Sophie.

Sophie avait déjà été punie par elle dans la journée, ce qui était bien sûr la cause de la rémanence. Sophie avait trouvé trop fatigant de trimballer des meubles et elle s'était esquivée sous prétexte d'aller aux toilettes. Bien sûr, Mélanie s'en était aperçue très vite et elle avait cherché la paresseuse, elle l'a retrouvée dans la petite maison tropicale.

Mélanie mit son doigt sur ses lèvres quand Sophie essaya de trouver une explication.

- tais-toi, ma chérie, et n'empire pas les choses. Tu ferais mieux de te déculotter pour mettre à nu ton petit derrière et vite !

Sophie se rendit compte  immédiatement qu'elle ne pourrait pas éviter la punition, elle obéit, mais quand sa culotte se retrouva autour de ses genoux, elle se mit à supplier

- non, s'il vous plaît, ne le faites pas ! Miss Mélanie, s'il vous plaît, n'utilisez pas de canne !

Elle s'était soudain rendu compte qu'elle s'était cachée dans le pire endroit possible.

La maison tropicale était l'endroit où poussait le bambou, qui était la source des cannes de la maison.

- et oui, c'est pas de chance, Sophie ! Mais malheureusement, je n'ai rien avec moi pour te punir !

Elle prit un couteau sur la table du jardin, se dirigea vers les bambous et coupa une longue tige fine et parfaitement droite.

- mais je te promets que tes jolies fesses resteront intactes. Je vais juste dessiner quelques jolies zébrures dessus. Tu peux faire confiance à ta chère Miss Mélanie !

Sophie se mordit les lèvres et des larmes coulèrent alors qu'elle regardait la gouvernante dépouiller la canne de ses feuilles et en couper le haut avec le couteau, sans laisser de bords tranchants.

Mélanie a fait sifflé la canne dans l'air à quelques reprises et a souri contente d'elle.

- regarde, c'est encore frais et vert et ça a l'air très élastique et malléable. Je pense que ça va faire de très, très belles zébrures, ma petite chérie.

Sophie sanglotait 

- oui, mais chère Miss Mélanie, est-ce vraiment nécessaire que vous utilisiez la canne ?

La gouvernante sourit.

- non, ce n'est pas absolument nécessaire. Mais je pense que c'est une bonne occasion de te familiariser avec la canne. On ne t'en a jamais donné sur ton joli derrière n'est-ce pas ?

Sophie ne pouvait pas prononcer un mot, elle ne pouvait pas non plus détacher ses yeux de l'horrible instrument de punition.

Mélanie retourna à la table du jardin et repoussa quelques affaires. Puis elle dit d'un ton très doux

- maintenant, viens ici, ma petite. Penche-toi sur la table et mets tes mains derrière ton dos. Puisque la canne c'est nouveau pour toi je ne pense pas que tu seras capable de tendre ton petit derrière vers la canne sans bouger.

Elle poussa doucement l'épaule de Sophie avec son index, la jeune  femme se pencha aussitôt sur la table et elle mit ses mains dans son dos. Mélanie saisit les deux poignets très fins avec sa main gauche. Elle prit conscience de la délicatesse des formes de la jeune  femme de 34 ans.

Et puis elle baissa les yeux. Quel petit derrière si rond, si potelé.

Elle était sur le point de prendre la canne quand une bouffée de désir l'envahi "Depuis combien de temps n'avait-elle pas fessé le cul d'une jeune fille ?" pensa-t-elle et elle continua, "et comme il va sauter et se tortiller quand ma main va le claquer. Sans parler des coups de pied!"

Non! Elle devait d'abord claquer ce petit bijou avec sa main pour commencer, elle lâcha les poignets et tira la jeune femme de la table.

- je suis désolée, Sophie, ma chérie. Mais ton derrière est si petit et si tendre qu'il faut d'abord le réchauffer un peu pour que la canne ne le blesse pas.

Elle s'assit rapidement sur le tabouret qui se tenait à côté de la table et elle allongea Sophie sur ses genoux, l'objet de son désir était maintenant exposé nu devant elle, prêt à être fessé.

Mélanie prenait son temps, après chaque claque de sa main sévère elle la laissait un instant sur la petite fesse qui venait d'être claquée et elle sentait le tremblement qui la parcourait et la crispation saccadée du petit derrière.



Chaque coup était suivi d'un  "Aïe" ou "Ouille". Le pauvre derrière essayait d'esquiver à gauche ou à droite, mais sans succès, bientôt elle ajouta des coups de pied. Cela rappelait à Mélanie son premier emploi après avoir été diplômée de l'école des gouvernantes, elle avait travaillé pour une famille qui avait trois filles avec des fesses tout aussi petites et mignonnes. Cela avait été comme le paradis pour elle, sauf qu'elle n'avait malheureusement pas put prendre en charge les fesses de la maman.

Ces pensées et envies avaient un peu distrait Mélanie alors qu'elle continuait machinalement la fessée. Elle fut  quelque peu surprise de constater qu’entre temps les fesses de Sophie étaient devenues très, très rouges, néanmoins, elle ne pouvait pas encore se détourner des petites fesses. Elle se mit donc à claquer maintenant l’arrière des cuisses de Sophie, elle fut récompensée par une réaction vraiment enfantine, des  coups de pied puis des mouvements de nage en forme de grenouille, c’était vraiment mignon. Enfin elle s'arrêta et se senti quelque peu coupable, devait-elle encore utiliser la canne ? Malheureusement elle ne pouvait enfreindre la règle importante selon laquelle une fois qu'une punition avait été annoncée, on ne pouvait s'abstenir de l’administrer. Elle se promit mentalement d'utiliser la canne très doucement, de toute façon cela causerait encore une cuisson insupportable sur les fesses déjà douloureuses.

Elle replaça Sophie qui  sanglotait sur la table, saisit à nouveau ses poignets avec sa main gauche et prit la canne avec sa droite. Mais elle tint la longue  et fine canne par le milieu, pour réduire l'élan et ne pas frapper trop fort

- juste quatre,  ma petite chérie. Juste quatre coups de canne et c'est fini. Essaie d'être un peu courageuse !

Mais bien sûr, Sophie ne le fut pas. Elle ne réalisait pas à quel point Mélanie agissait avec beaucoup d'indulgence. Et elle n'en comprendrait certainement pas la raison, ce qui bien sûr était bon pour protéger la réputation de Mélanie.

Après chacun des quatre coups, des cris s’élevaient dans la maison tropicale, les jambes se levèrent  si haut qu'elles étaient au-dessus du niveau des fesses , elles y sont restées jusqu'à ce que Mélanie les pousse doucement vers le bas après le quatrième coup.

Elle caressa amoureusement les petites fesses écarlates et lui dit d'une manière très maternelle

- et oui, malheureusement, tu l'avais bien méritée Sophie. Il faudra simplement que tu sois exemplaire à l'avenir. Le promets tu à ta chère gouvernante ?

Même si Mélanie ne compris pas les paroles de Sophie à cause de ses sanglots, il était clair qu'elle avait promis.



Dans cette situation, Mélanie n'osa pas signifier à la petite Sophie en pleurs que cette punition lui avait bien sûr apporté une rémanence avant le coucher.

Mais elle ne pouvait y échapper, la règle était la règle. En plus, c'était elle qui s'occupait du nouveau dortoir de Sophie ce soir. Peut-être qu'elle pourrait être à nouveau un peu indulgente.

Comme nous l’avions signalé plus avant mentionné, Sophie était donc la seule candidate à une rémanence ce soir-là.

Miss Mélanie entra dans la chambre, le spectacle était émouvant, les petites fesses de Sophie étaient contractées par l'angoisse, elles étaient redevenues blanches, seul restait quatre petites lignes rosées qu'avait laissé la canne. Elle était au pied de son lit, les fesses tournées vers la porte, c'est la première chose qu'on voyait en entrant. La culotte du pyjama était autour des genoux, ses mains sagement posée sur sa tête, hier elle avait entendu les cris et les pleurs de sa soeur et de ses cousines, ce soir c’est elles qui allaient assister à sa fessée, elles étaient toutes les trois dans leur lit. Miss Mélanie laissa la porte ouverte, c'était mieux pour que la leçon profite à tout le monde. Elle s'assit sur le bout du lit et fit un petit signe à Sophie.

- il est temps ma chérie, vient me présenter ton petit derrière.

Sophie le visage rouge de honte et d'angoisse se coucha sur ses genoux. Mélanie put à nouveau se régaler du spectacle de cette mignonne paire de fesses, elle les caressa doucement.

- tu sais ma chérie pourquoi je vais te fesser? Tu as été paresseuse ce matin, j'espère que cette fessée va te faire bien réfléchir aux conséquences de ta paresse.

Elle leva la brosse à cheveux, elle tenait fermement la jeune femme par la taille, elle savait qu'une fessée à la brosse est toujours douloureuse surtout sur un fessier déjà puni. Elle dosa la force de ses coups, elle ne voulait pas être trop sévère avec ce joli derrière. 



Mais une fessée doit rougir parfaitement les fesses et rapidement celle-ci devinrent écarlates. Sophie cria suffisamment pour que tout l'étage sache qu'elle recevait sa rémanence. La baronne et ses filles couchées au fond de leur lit constatèrent avec effroi que lors de leur prochaine rémanence, les plus jeunes entendraient, leurs cris et leurs supplications. La fessée était maintenant terminée, Mélanie caressait maternellement les fesses brûlantes.

- voilà c'est fini ma petite chérie, tu vas dormir maintenant, j'espère ne pas avoir à recommencer bientôt.

Elle remonta la culotte du pyjama et fit relever Sophie.  Celle-ci en pleurnichant se coucha sous les couvertures. Mélanie l'embrassa sur le front et quitta la pièce après avoir éteint la lumière. Elle n'avait pas donné l'ordre de ne pas frotter, elle réfléchi un instant puis elle se mit à sourire et décida de rejoindre Mildred et Agathe à la cuisine. Décidément cette petite avait vraiment un derrière très mignon.

Rayonnante de joie, elle entra dans la cuisine. Agathe éclata de rire.

- puis-je dire que tu aimes le joli petit derrière si croustillant de Sophie, ma chère Mélanie ?"

Mélanie rougit un peu , hocha la tête et ajouta presque s'excusant,

- honnêtement elle la méritait !

- oui, bien sûr

répondit la cuisinière en servant du vin à Mélanie,

- heureusement, elles le méritent toujours, nos petites chéries!



Ce "nos" fit comprendre à Mélanie que ces deux là s'étaient très vite adaptées à leurs nouveaux rôles et qu’elles étaient devenues des collègues, elles allaient partager son nouveau pouvoir avec elles deux. L'éducation conjointes des membres de la famille promettaient beaucoup de plaisir pour l'avenir et elle avait encore beaucoup de nouvelles idées sur la façon de le faire.


Fin de la première partie du Manoir des dames. La suite est en cours d'écriture et ne devrait pas tarder. Soyez patient(e) les fesses de toutes les dames du manoir des plus jeunes aux plus âgées n'ont pas fini de prendre l'air et de rougir sous les efforts conjoint de Mélanie, Agathe et Mildred.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Deux étudiantes 22

Sévère Laetitia  Le lendemain Laurence se présenta chez Odile qui lui fit une bise en lui caressant la croupe : — Coucou ma chérie, tu as ...