Maintenant que Julie a commencé à nous raconter sa vie, je crois que nous n'avons pas fini de découvrir des choses sur sa conception très stricte de la discipline conjugale.
Hubert découvre que la fessée n'est pas toujours discrète
Laissez moi vous raconter notre dernier week-end dans le lot. J'avais réservé une chambre dans un charmant petit hôtel, à cette saison il n'y avait presque personne à part un couple d'anglais et 2 femmes que j'identifiai comme la mère et la fille. Elles occupaient la chambre voisine de la notre. J'avais promis à Hubert une sévère déculottée pour quelques manquements à la discipline. J’avais choisis à dessein la table la plus proche de nos deux voisines. Au cours du repas je ne manquai pas de lui faire des reproches et je lui indiquai assez fort que tout cela se réglerait ce soir et qu'il pouvait s'attendre à une bonne fessée. Il devint rouge comme ses fesses après une bonne correction et il piqua du nez dans son assiette. Je faisais face à la table occupée par les deux dames, je remarquai que leur conversation s'était interrompue brièvement à l'évocation de ce châtiment destiné à un homme mûr. Le repas terminé je dis d'un ton sans réplique à monsieur
- tu montes dans la chambre et tu peux préparer tes fesses!!
J'avais prononcé ses paroles dans le silence relatif du restaurant et tout le monde l'avait entendu mais seul nos deux voisines en avait perçu la signification, ce monsieur qui traversait la salle les joues rouges allait dans quelques temps recevoir une bonne fessée. La plus âgée me sourit je lui rendis la pareille tout en tapotant le dos de ma main avec l'autre, petit geste qui mimait la fessée aux yeux des initiés. Je me fis servir un café et quand mes voisines quittèrent leur table je les suivis, elles entrèrent dans leur chambre et quand j'ouvris la mienne le spectacle prévu m'attendait. Monsieur avait déposé son pantalon sur le lit et comme je lui avait appris il avait baissé la petite culotte blanche de jeune fille qu’il doit porter sous son pantalon. Elle était sous ses fesses et il se tenait nez au mur les mains sur la tête. Je le félicitai pour son obéissance et le fit se reculotter. J'ouvris légèrement la fenêtre et je m'installai confortablement sur le fauteuil, un petit signe du doigt et mon petit mari savait que c'était l'heure de sa punition ou comme je lui répétais souvent le moment de me montrer ses fesses. Il s'approcha mais son regard fixait la fenêtre, il n'osait pas me demander si elle allait rester ouverte, devinant ses pensées je lui répondis en riant.
- tu as peur que tout le monde entendent que tu reçois encore panpan cucul.
Puis sans attendre je l’ai basculé en travers de mes cuisses. Je commence toujours par une fessée d'échauffement sur la culotte, celle ci fut courte, Il me tardait d'entendre le claquement caractéristique de la fessée sur la peau nue. J’ai baissé rapidement la culotte à mi cuisses et j’ai administré à mon petit Hubert une magistrale correction.
Au bout de quelques temps il ne put retenir ses supplications et bientôt ses pleurs. Satisfaite du résultat de la couleur des fesses et de ses gémissements, je le fis se relever et comme d'habitude, tenu par l'oreille il dut se mettre au coin de la pièce avec les recommandations d'usage.
- nez au mur, mains sur la tête et on ne bouge pas!
Je me dirigeais vers la fenêtre quand j'aperçus une silhouette sur le balcon voisin, elle rentra rapidement.
- mon petit chéri, nos voisines n'ont rien manqué de ta fessée!
Je suis restée un moment sur le balcon et en tendant l'oreille j’ai surpris la conversation entre la mère et la fille.
-Tu te rends compte, elle lui a donné une fessée déculottée!
Tu sais je pense qu'elle a eu raison, je pense qu'il leur faut ça, si j'avais fait pareil avec ton père il n'aurait peut être pas fini alcoolique.
- oui mais quand même à son âge, une fessée cul nu!
- oh ça c'est pas un problème, je pense même que si c'est inutile chez les enfants, c'est bougrement efficace chez un adulte, crois moi il n'y a pas d'âge pour recevoir la fessée, d'ailleurs je me demande si de temps en temps ça ne te ferait pas de mal à toi aussi.
Elle avait dit ça en riant mais sa fille ne devait pas rire.
- oh maman quand même! Je suis trop grande!
- Je viens justement de te dire qu'il n'y a pas d'âge.
Il me fallait rentrer dans la chambre, la soirée n'était pas finie pour monsieur. Je me suis installée à nouveau bien confortablement sur le fauteuil, il savait ce qui l'attendait. Quelques secondes plus tard il était en bonne position, les fesses bien présentées. Elles étaient encore rouges je les ai palpées puis écartées. Il se laissait faire, je l’ai grondé et lui ai expliqué qu'il allait recevoir une correction dont il se souviendrait et j’ai ajouté en riant,
- si nos deux voisines n'ont pas l'image au moins elles auront le son!
Ma brosse à cheveux est entrée en action, au bout de quelques secondes la brûlure devait être intense car sans soucis des voisines il se mit à supplier et à pleurer, j’ai quand même finis la punition sans me laisser attendrir.
- à tu devrais avoir honte de recevoir la fessée cul nu à ton âge . Tu as de la chance personne ne te voies avec ton derrière tout rouge allongé sur mes genoux, mais je pense que nos deux voisines sont parfaitement au courant maintenant de ce qui vient de t'arriver.
Puis il regagna son coin pour le reste de la soirée.
Le lendemain matin vous pensez bien qu'il n'avait pas envie de descendre déjeuner avec la perspective de se retrouver face à nos deux voisines. Une fessée déculottée courbé sous mon bras eût tôt fait de le décider. Et c'est un monsieur aux joues aussi rouges que ses fesses qui dut répondre à notre voisine de chambre.
- bonjour, vous avez bien dormi.
J’avais remarqué le petit sourire moqueur de la maman et Hubert également. Elles quittèrent la salle avant nous pour se rendre à la piscine qui était juste sous notre chambre. J'avais annoncé à Hubert que sa petite rébellion du matin allait lui valoir une bonne fessée et une privation de piscine.
Quelques minutes plus tard il était en position disciplinaire les fesses à l'air et il gémissait sous les claques sonores. J'avais bien sûr ouvert la fenêtre en grand pour que les deux dames ne perdent rien du spectacle audio. Je le laissai au coin, culotte descendue à mi cuisses et mains sur la tête et je descendis à la piscine. La maman me demanda d'un air un peu coquin.
- votre mari ne vient pas?
je lui répondis en souriant
- non, il est puni!
- c'est bien ce qui m'avait semblé
- Il n'y a rien de mieux qu'une bonne fessée déculottée pour faire obéir les messieurs.
J'avais décidé de répondre le plus naturellement du monde, de toute façon c'était une inconnue et il y avait peu de chance qu'on la rencontre un jour . Je ne fut pas déçue, c'était une fesseuse potentielle.
- c'est juste ce que je disais à ma fille hier soir quand on a entendu la fessée que vous lui avez administré.
Sandra la demoiselle a qui elle s'adressait était allongée sur le ventre. Son maillot de bain moulait parfaitement un petit derrière ravissant, il était juste assez ajusté pour découvrir la base de ses fesses. Celle ci s'était imperceptiblement contractée aux mots de sa mère. Je me surpris à penser que ça serait très agréable de baisser cette culotte pour lui donner la fessée.
Mais nous en restâmes la et quand je racontai cet épisode à mon mari vous vous doutez bien qu'il fut mort de honte.
Il était encore cul nu, je l’ai remis en position pour une dernière fessée avant notre retour à la maison.
il fallait qu'il sente mon autorité pendant tout le voyage et rien de mieux qu'une paire de fesses bien chaudes et douloureuses quand on doit rester assis sur le siège de la voiture pendant deux heures.
Une prochaine fessee sur un derrière féminin?pourquoi pas au bord de la picine ?...
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