mardi 8 novembre 2022

Le rouge va bien aux joues et aux fesses des dames.

 Julie continue de nous livrer des secrets de sa vie conjugale, quand elle a accepté d'écrire sur sa vie et celle d'Hubert, il y avait une condition. Elle parlerait aussi de notre relation. Nous y voilà donc.

Une fessée pour Sylvie



Comme je vous l'ai dit au début de mes récits, je ne fesse que mon mari, mais en fait il y a une exception, une autre personne bénéficie de ma thérapie claquante. Il s'agit de Sylvie.

Je vous présente Sylvie, elle a vingt ans de plus que moi, nous nous connaissons depuis dix ans , c'est mon amie la plus proche, nous sommes comme deux sœurs, elle est un peu plus petite que moi mais sportive avec des fesses bien rondes et musclées entretenues par la gym qu'elle pratique assidument.

Tout a commencé il y a cinq ans, je fessais déjà mon mari depuis quelques années et comme je vous l'ai raconté dans mon article sur la fessée semi publique, un jour qu'Hubert était allongé sur mes genoux culotte baissée, je lui ai dit que je ne pouvais pas lui parler car je m'apprêtais à administrer une fessée à mon chéri.

Dès la correction finie, Hubert exposant son fessier écarlate, je l'ai rappelé et lui ai demandé de passer me voir le lendemain pour lui expliquer la situation.

Évidemment, ses yeux se sont arrondis quand assise toutes les deux sur le canapé je lui ai raconté par le menu ma façon de punir mon mari.

- mais, enfin tu le mets sur tes genoux et tu le déculotte, comme un gamin, et il ne dit rien ?

- non, il trouve ça normal depuis le temps et je crois même qu'il apprécie, ça le détend et ça le rassure aussi je pense. Même si ça fait un peu mal à son amour propre et surtout  à ses fesses, mais c'est fait pour ça !

J'avais dit ça en riant.

Sylvie était très intéressée par la fessée, elle m'avoua assez rapidement qu'elle avait reçu des fessées dans sa jeunesse et qu'à l'adolescence elle avait quelques fois fantasmé sur ce châtiment, elle ajouta également que bien des fois quand je la grondais pour ses retards répétés elle avait imaginé que j’allais lui flanquer une fessée.



Ses questions étaient de plus en plus précises, comment j’avais fait exactement pour mettre en pratique la fessée dans mon couple

Après cette conversation, Sylvie revenait de plus en plus souvent sur le sujet, je fini par lui dire en souriant qu'un jour elle assisterait certainement à une punition d’Hubert. Ses yeux brillaient, c'est à ce moment que mon chéri rentra dans la pièce, depuis l'épisode de la fessée téléphonique il était très gêné quand il rencontrait Sylvie. Il ne m'avait pas envoyé un message pour m'annoncer son arrivée comme il devait le faire tous les soirs. Je lui en fit la remarque et il bafouilla sous mes reproches, j'ai  sauté sur l'occasion.

- tu files m'attendre dans la chambre, on va régler ça immédiatement

 il a rougi mais sans un mot il a gagné notre chambre.

- tu m'excuse ma chérie, je ne vais pas être longue

Cette fois ci je n'ai pas refermé les portes, Sylvie aurait le son si ce n'est l'image. Hubert attendait résigné debout,

- tu n'as pas encore enlevé le pantalon ! Tu sais pourtant que la fessée c'est cul nu !

Je parlais assez fort volontairement, il s'est exécuté en regardant d'un air désespéré la porte ouverte, la fessée publique n'était pas loin. Il n'y a pas eu droit cette fois là mais il a reçu une magistrale correction culotte baissée à mi cuisse. 

Sylvie m'a avoué ensuite qu'elle ne pensait pas qu'une fessée puisse être aussi sonore et durer aussi longtemps, j'avoue que j'avais pris plaisir à administrer cette correction sachant que j'avais un témoin privilégié. Hubert lui ne s'était pas régalé il n'avait pas pu s'empêcher de supplier et de finir en gémissant vaincu par la cuisson de son postérieur. 



Il était maintenant au coin, mains sur la tête, nez collé au mur, la chemise épinglée dans le dos et la culotte descendue à mi cuisse.

J’avais rejoins Sylvie qui me félicita pour mon autorité et comme elle me demandait où était Hubert, je lui ai fait signe de me suivre et de ne pas faire de bruit, j'avais laissé les portes ouvertes et arrivé devant la chambre, un doigt sur la bouche pour lui signifier le silence, je lui ai laissé admirer le spectacle offert par mon petit mari. Une belle paire de fesses bien rouge.

La fessée continuait d'occuper nos conversations et je constatais son intérêt évident pour mon amie, un jour je lui ai posé carrément la question.

- et toi ma chérie qui parle si souvent de culotte baissée et de fesses rouges, tu n'aurais pas envie d'en recevoir une par hasard ?

Elle m'a regardé en souriant et en rougissant un peu.

- euh en fait, peut-être que ça me ferait du bien, de temps en temps, j'y pense.

- si il n'y a que ça pour te faire plaisir je suis disponible tu sais

Elle m’a dit qu'il fallait qu'elle réfléchisse et elle changea de conversation.

Je n'avais jamais fessé une dame mais je me disais que ça serait peut-être agréable, je voyais la croupe ronde et dodue de Sylvie. Mon attente ne dura pas, la semaine suivante Sylvie d'une petite voix me dit

- tu sais ce que tu m'as dit la dernière fois au sujet de la fessée, j'ai bien réfléchi, je pense qu'il faudrait que j'essaye, je suis trop stressée en ce moment.

Elle avait utilisée l'excuse du stress mais je crois qu'en fait elle mourait d'envie de savoir ce qu'on ressentait allongé sur les genoux d'une dame, culotte baissée exposant son derrière.



- tu sais ma chérie que je ne donne jamais une fessée pour rire, ça risque de te faire mal et tes fesses vont te cuire et ne compte pas sur moi pour m'arrêter à ta moindre pleurnicherie, j'irai au bout de ta punition.

Elle acquiesça, en riant je lui ai dit

- et bien puisque c'est ça, en position madame !

J'avais tapoté mes cuisses pour lui indiquer l'endroit où elle devait se positionner, elle se leva et docilement se coucha sur mes genoux.

- alors madame, on a pas été très sage, à ce qu'on m'a dit, une bonne petite fessée, voilà qui va régler tout ça !

Je m'amusais de la situation, cette dame de 50 ans, dans une position peu enviable, qui était en général réservée aux enfants, la suite le confirma, je retroussai sa jupe, nous étions en été et elle ne portait pas de collant, j'eu accès immédiatement à sa culotte, très jolie d'ailleurs, blanche avec un peu de dentelle qui rentrait un peu dans la raie fessière, découvrant un peu une croupe bien rebondie. Je tapotai ses fesses à moitié découvertes.

- ses jolies fesses sont un peu blanches, on va leur donner un peu de couleur, mais avant on va baisser cette culotte, allez, voilà cul nu, madame



J'avais descendu la culotte sous les fesses de Sylvie, je les connaissais un peu, au club de gym, on ne se gênait pas au moment de la douche et j'avais pu déjà apprécier son anatomie qui était parfaite. Je ne m'attardai pas et je lui ai administré immédiatement une magistrale fessée. Elle a été surprise par la vigueur de mes claques et elle protesta en essayant de mettre sa main pour se protéger de la brûlure. Je connaissais la parade, sa main fut coincée dans son dos et je lui annonçai que cette petite rébellion lui vaudrait un petit supplément. Ma main claquait sévèrement, et ses fesses prenaient une jolie couleur rouge, elle protestait toujours mais elle ne pouvait que battre des jambes et serrer et desserrer ses fesses au rythme de la correction. Décidément je prenais toujours autant de plaisir à avoir un sujet allongé sur mes genoux me présentant une belle paire de fesses à claquer. Et j'avoue que des fesses féminines écarlates c'est très joli.

Quand je cessai la correction, elle pleurnichait sans oser se relever.

- bon, c'est fini comme tu l'as vu une fessée de maman Sylvie ça brûle ! Allez tu te relève et tu vas au coin, les mains sur la tête et le nez au mur et vite.

J'avais accompagné cette phrase d'une bonne claque sur les fesses ce qui eu pour effet d'activer la réaction de Sylvie, comme je lui avais dit elle se dirigea rapidement vers le coin du salon et pris la position requise, la jupe redescendue masquait son derrière bien rouge, elle fut retroussée et coincée dans la ceinture, la culotte blanche descendue sous les fesses relevait leur couleur.



Je l'ai laissé 10 minutes dans cette position humiliante, il fallait qu'elle intègre son statut. Quand elle fut autorisée à se reculotter, elle m'avoua que malgré la cuisson et la gêne provoquée par le déculottage et la mise au coin elle était maintenant parfaitement détendue.

- je te l'avais dit, rien de meilleur qu'une bonne fessée pour lâcher prise et se sentir bien après, puisque ça t'a fait du bien nous recommencerons. Et par la même occasion la prochaine fois que tu seras en retard où que tu seras pénible je saurai ce qu'il me reste à faire, la culotte baissée et panpan cucul ! "

- ah, ça non n'y compte pas, je ne suis pas Hubert !

Elle avait dit ça d'un ton sec qui eu le don de m'énerver, sans réfléchir comme elle était assise à côté de moi, je lui ai pris la main et je l'ai tirée pour la remettre en position sur mes genoux.



- c'est ce qu'on va voir madame, tu ne me parle pas sur ce ton la !

Elle avait été tellement surprise qu'elle n'avait pas réagi, il était déjà trop tard quand elle protesta, sa jupe était retroussée, sa culotte descendue à mi cuisse et ma main s'appliquait à redonner une bonne couleur à ses fesses.  La correction fut plus sévère que la première, il fallait marquer mon autorité, je lui ai administré plus de 300 claques, couvrant toute la surface de son derrière, du creux des reins à la pliure des cuisses d'une belle couleur carmin. Elle n'était plus une femme de 50 ans mais une fillette implorant la clémence, la danse de ses fesses était impressionnante.



Quand je cessai la punition, elle pleurnichait comme tout puni après une bonne déculottée, je la laissai reprendre ses esprits, puis je lui dit. 

- bien tu te lèves et tu vas dans ma chambre, tu trouveras un thermomètre médical sur la commode, tu me le ramène, allez vite, et tu tiens ta jupe relevée que je vois tes fesses.

J'avais accompagné ces paroles d'une bonne claque sur sa croupe écarlate, ce qui eu pour effet de la faire détaler en direction de la chambre tenant sa jupe bien retroussée mais un peu gênée par la culotte descendue presque aux genoux.

Elle revint rapidement avec le thermomètre à la main, ses joues étaient presque aussi rouges que ses fesses, je lui avais expliqué comment avec Hubert j'utilisais le thermomètre comme pénitence après la fessée, et elle se doutait bien de ce qui allait lui arriver. Mais domptée par la correction qu'elle venait de recevoir, elle ne songeait pas à se rebeller. Elle me tendit l'instrument médical qui pour le coup devenait un instrument punitif, elle baissait la tête comme une mauvaise élève attendant la sanction de sa maîtresse. Je tapotai mes cuisses pour lui indiquer qu'il était temps de prendre la position, sans un mot elle se coucha sur mes genoux me présentant à nouveau son magnifique fessier écarlate, sous l'effet de la honte et de la crainte de ce qui allait suivre, elle serrait ses fesses.

- allons ma chérie, il va falloir me desserrer ça, sinon je vais être obligé de sévir, de toute façon tu auras le thermomètre quand même, alors tu relâche tes fesses où tu veux une autre fessée ?

Ces paroles eurent un effet immédiat et ses fesses se sont détendue immédiatement. Avec deux doigts j'ai écarté les fesses et mit l'embout de l'instrument sur son petit trou, s'en était trop pour son amour propre et elle resserra vivement les deux hémisphères. Je m'en doutais Hubert avait mis du temps à accepter cette humiliation, je reposai le thermomètre et posément je lui ai administré une cinquantaine de claques. Durant cette courte fessée je n'avais rien dit, ce n'était pas son cas, elle donnait de la voix au rythme de la claquée.

- bien ma chérie il va falloir que tu te laisse faire, j'ai tout mon temps, tu viens juste de gagner une fessée supplémentaire et 20' de thermomètre au lieu de 10. La première fois pour Hubert ça a durer plus d'une heure, je ne te dis pas la couleur de ses fesses à la fin, en plus si tu ne veux pas qu’Hubert te voies allongée sur mes genoux fesses à l'air je te conseille fortement de desserrer tes fesses et de me laisser te placer le thermomètre à l'endroit qui lui est réservé.

Ce dernier argument du lui faire forte impression car ses fesses s'entrouvrir immédiatement, je recommençai la manœuvre et le thermomètre pénétra lentement, j'y allais très doucement enfonçant puis retirant le thermomètre à chaque fois il rentrait un peu plus. Dans le cas d'une mise en place punitive du thermomètre il est nécessaire de l'enfoncer profondément il ne doit plus dépasser que de un à deux centimètres. Deux raisons à cela tout d'abord l'humiliation du puni et ensuite un problème pratique pour qu'il reste en place longtemps et ne ressorte pas il faut qu'il soit introduit ainsi. Le thermomètre bien en place on peut le lâcher il ne bouge plus. Sylvie  avait gémis doucement pendant toute l'introduction de l'instrument, maintenant elle serrait et desserrait ses fesses.



- voilà ma chérie, il est bien en place, c'est fou comme une bonne fessée rend obéissante les dames, allez cesse de tortiller ton popotin il ne sortira pas, d'ailleurs il vaut mieux, la dernière fois que Hubert l'a fait il a eu droit à une soirée de thermomètre dans les fesses et une journée fesses rouges le lendemain alors calme toi un peu tu en as pour 20

Je lui tapotai les fesses et comme je le fais habituellement avec mon mari, je pris mon téléphone. J'appelai une amie commune pour une longue conversation, je savais qu'il n'y a rien de plus gênant que cela.

Sylvie me l'a d'ailleurs confié plus tard, elle était morte de honte pendant la conversation, elle avait l'impression que notre amie la voyait dans cette position humiliante, la culotte baissée, les fesses écarlates et ce petit bout de thermomètre dépassant de la raie fessière. Elle avait cru que ça allait durer toute la soirée. Quand l'alarme de mon téléphone sonna, signifiant que les 20' étaient passées, je lui ai retiré le thermomètre et avec une petite claque sur ses fesses je lui ai dit.

- allez c'est fini tu peux te reculotter, vilaine fille

J'avais dit ça en riant, le terme employé la renvoyait à sa position de gamine punie ce qui eu le don de la faire rougir à nouveau. Quelques minutes plus tard, Hubert arrivait, il ne se doutait pas que Sylvie cachait sous sa jupe une paire de fesses bien rouge, presque autant que ses joues. Elle prit rapidement congé.

A l'époque, j’avais 30 ans et elle 50, nous en avons cinq ans de plus maintenant mais madame à 55 ans passés, me présente quand c’est nécessaire ses fesses déculottées pour une bonne correction et croyez moi ce ne sont pas des fessées pour rire, elle finit toujours au coin en pleurnichant comme une gamine.



Bien sûr elle est beaucoup moins souvent punie que mon mari mais une petite mise au point est quelques fois nécessaire.

 

9 commentaires:

  1. Ma chère Sylvie un très grand bravo ...merci d avoir eu le courage de cette confession...si bien écrite par ailleurs du grand art

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    1. Merci Denis, vos compliments me font plaisir. C'est vrai que j'ai souvent les fesses rouges mais ça stimule mon écriture.
      Sylvie

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  2. Et finalement , ca libère du stress une bonne fessée bien rouge?

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    1. Bien sûr. C'est bien connu c'est un très bon antistress même si ça fait du mal à l'amour propre et surtout aux fesses.
      Sylvie

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    2. Sylvie as tu déjà essayé ou envisager de te donner une fessee tout seul ...pour te stimuler???

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    3. Mon cher Denis, c'est une question intéressante mais un peu personnelle. On peut en discuter en privé. sylviebouger@yahoo.com

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  3. Merci pour ce nouveau récit plus personnel Sylvie, toujours aussi bien écrit et plaisant à lire ! (Une petite demande : à quand la suite des aventures de l'institut de Mme Rose ? Je dois bien vous avouer qu'il s'agit de ma série préférée).

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    1. Merci Corentin j'apprécie vos compliments. Pour ce qui est d'une éventuelle suite de l'institut de Mlle Rose, j'avoue que ça serait avec plaisir mais il est depuis si longtemps au repos qu'il faut que je m'y replonge. Les nouveaux personnages de mes récits notamment Sylvie et Leslie me prennent du temps et puis Julie doit également s'occuper de ses 3 paires de fesses. Soyez patient.
      Sylvie

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