Une suite des récits de Julie où on découvre que Hubert n'est plus vraiment le seul à devoir présenter ses fesses nues.
Quand ces messieurs nous montrent leurs fesses.
Sylvie rêvait de voir Hubert recevoir une fessée et moi de mon côté je pensais qu'il fallait passer un cap et qu'une fessée publique ferait du bien à mon petit chéri. Et comme je tenais à la discrétion absolue sur nos pratiques conjugales, Sylvie était la personne adéquat pour assister à cette fessée. Ce serait assez simple car elle venait souvent prendre le thé à la maison en rentrant du travail et Hubert me fournissait toujours de bonnes raisons de le déculotter. Ce fut quelques temps après qu'elle est reçu sa première fessée, je m'étais dit également qu'il fallait bien qu'elle ait une petite compensation. Hubert me fournit l'occasion rêvée un soir en arrivant à la maison de fort méchante humeur, ne sachant pas que nous étions là, il jura abondamment après les embouteillages et ces connard (sic) de conducteurs qui l'avait retardé. Quand il pénétra dans la pièce il fut très surpris de notre présence, je sautai sur l'occasion.
- ah c'est comme ça que tu parles, tu sais que je déteste cette façon de te comporter !"
Il s'excusa platement, il savait ce qui allait suivre, une bonne fessée dans la chambre, mais quand je lui ai dit ,
- approche un peu mon chéri, je vais te faire passer cette sale habitude, et tu connais ma méthode comprenant ce qui allait lui arriver, il blêmi et bafouilla des excuses mais il s'est approché, en souriant je lui ai dit
- c'est un peu tard, mon chéri tu sais ce qui arrive au mari malpoli, non ? Et bien je vais te le dire, il reçoive une bonne fessée déculottée
tout en disant ces mots je déboutonnais son pantalon et quelques instants plus tard il descendait sur ses chevilles, il était tétanisé, je lui ai pris la main et l'ai fait se coucher en travers de mes cuisses. Bien sûr Sylvie ne perdait rien du spectacle et elle regardait en souriant ce monsieur de 40 ans allongé sur les genoux de sa femme le pantalon descendu s'apprêtant à recevoir le châtiment traditionnellement réservé aux enfants. Tranquillement je glissai mes doigts sous la ceinture de son boxer et je fis descendre la dernière protection de son amour propre.
En un instant ce monsieur était passé de la position de cadre sûr de lui à celle d'un petit garçon déculotté prêt à recevoir une fessée. Je levai ma main et je commençai à lui administrer une magistrale correction. J'alternais rapidement les claques sur la fesse gauche puis sur la droite, celles ci prirent rapidement une très jolie couleur, au début ne voulant pas montrer de faiblesse, Hubert ne disait rien mais je savais comment le faire réagir, il fallait augmenter la rapidité et la force des claques, le résultat ne se fit pas attendre, il se mit à gémir puis à pleurnicher. Ses fesses étaient devenues écarlates sur toutes leurs surfaces, du haut des cuisses jusqu'au bas des reins. Je lui avais mis une jolie culotte rouge comme j'avais l'habitude de lui dire après une magistrale fessée. La correction était terminée mais pas la punition, il faut toujours rajouter à la douleur de la fessée une part d'humiliation, le déculottage en public en avait fait partie aujourd'hui mais comme je tenais à marquer le coup, je le fis se relever et je lui dit.
- bien j'espère que ça va te servir de leçon, tu vas aller montrer tes fesses à Sylvie pour qu'elle puisse constater comment je soigne les petits mal élevé.
Il marqua une hésitation, signe de son incrédulité, une claque vigoureuse sur son fessier qui était encore à ma portée le fit obéir.
- oui, oui, tu as bien compris, tu vas voir Sylvie, tu te tournes et tu te penches un peu pour bien lui présenter tes fesses et vite !
Une nouvelle claque avait accompagné ces paroles. Rouge de honte il s'exécuta, Sylvie appréciait à sa juste valeur ma sévérité et elle décida d'en rajouter un peu, elle palpa le fessier qui lui était si bien présenté,
- oh, mais c'est bien chaud, ça doit bien te cuire, mais je pense que c'était mérité, approche un peu plus
Maintenant elle caressait toute la surface, ses doigts s'insinuaient dans la raie fessière.
- elles sont bien contractées ses fesses, allez desserre moi un peu tout ça.
Une petite claque sur les fesses avait accompagné ces mots. Hubert était au supplice, on le laissa pendant quelques instants dans cette position fesses bien rouge tendues vers nous. Puis je lui dit d'enlever son pantalon et quand ce fut fait pour parachever son retour en enfance, je le pris par l'oreille pour le conduire au coin.
- le nez bien collé au mur, les mains sur la tête et que je ne te voies pas bouger !
Une claque retentissante sur chaque fesses, la chemise épinglée dans le dos pour bien dégager la surface de la punition et je pus me reprendre ma place sur le canapé pour admirer le spectacle.
Comme si de rien n'était, nous avons repris notre conversation, bien sûr, elle tournait autour de la fessée, comment aurait il pu en être autrement avec le spectacle que nous offrait Hubert bien malgré lui, une magnifique paire de fesses bien rouge, soulignée par le blanc de la culotte à mi cuisse et la chemise retroussée, les fesses se contractaient régulièrement, preuve de la cuisson que devait ressentir le puni, ne pas pouvoir se frotter les fesses après une bonne déculottée fait partie de la punition. Sylvie me demanda qu'elle était la suite du programme, la faute était véniel, mais Gérard n'avait pas de chance, il fallait que je montre mon autorité à mon amie, aussi j'ai prononcé une sentence d'une sévérité un peu disproportionnée,
- il va rester 1 heure au coin pour commencer, ensuite une fessée avant le repas, il mangera fesses nues sur la chaise en paille, ça empêche les fesses de perdre leurs belles couleurs, ensuite après avoir débarrassé la table, une nouvelle fessée et il passera la soirée sur mes genoux avec le thermomètre bien en place dans les fesses.
Sylvie était impressionnée
- et bien après ça je pense qu'il va réfléchir à deux fois avant de jurer !
Nous restâmes quelques instants à papoter, puis elle prit congé. J'appliquai à la lettre le programme annoncé, rajoutant juste une petite fessée avant le coucher pour faire bonne mesure.
Quelques jours plus tard, Sylvie m'invitait chez elle, à mon arrivée une bonne surprise m'attendais, Hugues était au coin de la pièce, sans pantalon, la culotte descendue juste sous les fesses et les mains sur la tête.
Il faut que je vous présentes Hugues, malgré la différence d’âge c’était le nouveau petit ami de Sylvie, c’est un étudiant en médecine à qui elle louait une chambre. Il n’avait pas été insensible aux formes généreuse de mon amie et Sylvie avait rajeuni à son contact, mais bientôt cette coquine de Sylvie ayant pris goût à la fessée, leur rapport avait évolué et elle jouait souvent à la maman sévère avec son jeune amant. Elle voulait me faire une surprise
- tu tombes à pique ma chérie, je m'apprêtais à administrer une bonne fessée à mon petit chéri, une déculottée publique lui fera le plus grand bien
Hugues se trémoussait un peu signe de sa gêne d'exposer ainsi ses fesses nues. Il me connaissait un peu, mais il était gêné de se retrouver dans cette situation même si Sylvie lui avait expliqué que je pratiquais de la même façon avec mon mari.
- cesse un peu ces simagrées, tu vas avoir tout le loisir de remuer tes fesses dans quelques instants, rassure toi
Sylvie se délectait de la situation. Elle le fit se reculotter et il dut venir la voir tête basse, il n'osait pas me regarder. J'étais ravie de la situation. Quelques instants plus tard il était allongé en travers des cuisses de sa petite amie.
- J'espère que tu te rends bien compte de ce qui va t'arriver, oui mon chéri, tu vas recevoir une bonne fessée déculottée en présence de Sylvie, tu as honte ? C'est fait pour ça, la prochaine fois tu réfléchiras avant de me répondre sur ce ton
Tout en disant ça, elle avait saisi la ceinture de la culotte et elle l'a faisait descendre lentement pour découvrir le postérieur de son petit chéri.
- voilà, monsieur, cul nu, comme un sale gosse et je peux te dire que Julie n'en perd pas une miette
- Elle prenait un malin plaisir à faire durer le déculottage
quand la culotte fut descendue sous les fesses , j’applaudis
- bravo ma chérie, belle technique, les fesses de ton chéri sont très bien présentées.
Satisfaite Sylvie souriait en contemplant les fesses encore blanches de son chéri, puis elle leva la main et commença la correction, Hugues ne tarda pas à réagir, il se mit à crier et à tortiller ses fesses, à les serrer et desserrer à battre des pieds. On voyait bien que ce n'était pas une fessée pour de rire, ça devait cuire énormément le derrière d'Hugues. La fessée dura jusqu'à ce qu'une belle couleur illumine le fessier du puni.
Elle le fit se relever, il pleurait comme tous les fessés du monde et elle le conduisit par l'oreille au coin de la pièce qu'il occupait quelques instants auparavant. Je l'ai félicité.
- je vois que tu as vite pris la technique, c'était vraiment une belle fessée
Sylvie ne comptait pas en rester là, elle appela Hugues,
- tu vas aller chercher la brosse à cheveux dans la chambre, et tu me la ramène
il s'exécuta, la culotte baissée, exposant ses fesses rouges, en revenant, il tendit l'instrument de sa future punition à Sylvie,
- non, non, mon chéri, c'est à Julie que tu dois la donner, c'est elle qui va s'occuper de tes fesses
il l'a regardait stupéfait
- oui, oui, tu as bien compris, Sylvie va t'administrer une fessée à la brosse, je t'avais dit que tu regretterais ton comportement !
J'étais aux anges, c'était vraiment un beau cadeau que me faisait mon amie, flanquer une déculottée à ce jeune homme, voilà qui était enthousiasment. Hugues piteusement en regardant ses pieds me tendit la brosse, sans attendre, je lui ai pris la main et l'ai fait basculer sur mes genoux, la culotte était déjà baissée mais je la fit descendre jusqu'au genoux.
Puis je levai la brosse et commençai la correction. Qui n'a jamais reçu une fessée à la brosse à cheveux ne sait pas qu'elle est la brûlure ressentie, mais je peux vous assurer qu'a ses supplications et aux mouvements de ses pieds et aux contractions de ses fesses ça devait être terrible. Quand je cessai la fessée, ses fesses étaient rouge brique, il pleurait mais ne bougeait pas m'exposant son derrière qui se contractait pour essayer d'atténuer la brûlure. Sylvie se leva en me demandant de le garder sur mes genoux, elle revint quelques instants plus tard avec un thermomètre à la main.
- il est tout neuf, je l'ai acheté c'est après midi, tu vas l'inaugurer
Décidément j'étais gâtée, en plus Hugues n'avait jamais du se faire introduire un thermomètre rectal, ça promettait d'autre fessée à venir. Le résultat fut à la hauteur de mes espérances, le pauvre Hugues, malgré mes menaces ne put s'empêcher de serrer plusieurs fois les fesses au moment de l'introduction de l'instrument punitif, ce qui lui valu autant de fessée à la brosse. Quand enfin seul un petit bout du thermomètre dépassa de sa raie fessière, son postérieur présentait une couleur flamboyante et il pleurait à chaudes larmes.
- et bien nous y voilà, ça n'a pas été sans mal, mais la il est bien en place, il ne bougera plus, tu vas rester la sur mes genoux à nous présenter tes fesses pendant 20 minutes ensuite Sylvie décidera de la suite.
Celle ci avait observé avec attention ma technique.
- oh, ce n'est pas difficile, puisque monsieur n'accepte pas sa punition, et bien c'est toute la soirée qu'il aura le thermomètre dans les fesses et en plus, il sera au privé de repas.
J'approuvai sa sévérité et je lui expliquai comment procéder, il fallait installer un coussin sur une table basse de façon que le puni soit couché, fesses en l'air bien exposées, et ensuite lui introduire bien profondément le thermomètre.
Ensuite elle pouvait vaquer à ses occupations en surveillant du coin de l'œil son petit chéri en pénitence. En général après une soirée comme celle là, les rebellions disparaissent comme par enchantement. Je lui recommandai aussi de redonner une bonne couleur aux fesses du puni par l'application régulière de la brosse à cheveux.
Au bout des 20 minutes, je permis Hugues à relever après lui avoir retiré l'instrument de sa punition. Sylvie avait préparé le banc de pénitence, elle l'attrapa par la main pour l'y amener mais avant de le faire s'allonger, trouvant que le fessier de son mari avait pâli, elle posa son pied sur la table basse et sans lui laisser le temps de réfléchir, elle l'avait courbé sur sa cuisse horizontal et soulevé de terre comme un gamin, ses fesses étaient à nouveau à sa disposition, elle lui administra à nouveau une retentissante fessée.
Puis le reposant par terre elle lui annonça
- en position, et vite et tu m'ouvre bien ses fesses sinon gare !
Cette fois-ci elle n'eut aucun mal à mettre le thermomètre en place. Satisfaite de ma soirée, je pris congé.
Depuis cette date, j'ai à ma disposition trois paires de fesses, deux masculines bien musclées et une féminine un peu plus potelée mais non moins agréable. Et il ne se passe pas de semaine ni même de jour sans que l'une où l'autre rougissent et parfois les trois.
Mais me direz vous comment vous organisez vous avec ces trois fessiers quand il y en a plusieurs à punir. Pour ce qui est des messieurs, aucun problème Sylvie me seconde elle fesse indifféremment Hubert et Hugues. Quand c'est à elle de montrer ses fesses, je la fesse même en présence de mon mari, ça lui fait plaisir de voir Sylvie couchée sur mes genoux la culotte baissée en train d'exécuter une danse des fesses et finir au coin fesses écarlates bien exposées. En général pour faire bonne mesure il a droit lui aussi à sa fessée pour ne pas le laisser se réjouir trop longtemps de sa bonne fortune.
Je n'ai jamais fessé Sylvie devant Hugues pour qu'elle garde son autorité intacte, mais elle sait qu'elle ne doit pas en profiter sous peine de fessée exemplaire quand nous serons seules.
Depuis maintenant plusieurs années nos deux couples sont restés très amis et la fessée fait vraiment partie de notre vie mais toujours dans la discrétion.
Merci beaucoup cette nouvelle histoire est un petit bijou
RépondreSupprimerC'est là qu'on voit que Sylvie aime à la fois donner et recevoir ^^
RépondreSupprimerJ'adore l'image du couple avec tous les deux les fesses rouges.
Je n'aime pas tant que ça recevoir la fessée. Il ne faut pas oublier que c'est une punition. Ce n'est jamais agréable quand on est une dame d'âge mûre de se retrouver culotte baissée en travers des genoux d'une dame. Mais Julie ne me laisse pas le choix,quand elle a décidé que je méritais une bonne fessée déculottée j'y ai droit. 😢
SupprimerSylvie
Eh oui, quand on est pas sage c'est la fessée, publique ou non, mais on termine toujours avec les fesses rouges et douloureuses (que cela nous plaise ou non) !!
RépondreSupprimerC'est vrai et c'est souvent mon cas ces temps ci. Même si Hugues me présente aussi ses fesses déculottées. Une bonne fessée cul nu, ça remet les idées en place c'est la théorie de Julie.
SupprimerSylvie
Eh oui je comprends ma chère Sylvie Je comprends que ces fessees vien que douloureuse et humiliante sont parfois necessaire
RépondreSupprimerEt puis nous avons la chance que Julie te stimule pour nous écrire de si joli histoire qui nourrissent notre imagination et parfois envies
Un petit tour sur les genoux de Sylvie ou Julie serait un fantasme 🍑🔥🍑
RépondreSupprimerMoi aussi c'est un fantasme très fort chez moi ...comme de voir une femme recevoir une fessee deculotes
RépondreSupprimer