mercredi 16 novembre 2022

Sylvie et Leslie 6

 La fessée de Catherine 



Nous avons rapidement trouvé notre équilibre, Catherine et moi étions maintenant sous l’autorité de Leslie. Celle ci proposa à Catherine de venir s’installer à la maison, c’était avantageux pour elle car elle n’aurait plus de loyer à payer.

En contrepartie elle se rendit vite compte qu’elle y perdait en liberté mais nous étions amoureuse et le plaisir de se retrouver ensemble quasiment en permanence était une grande compensation aux fessées régulières que nous recevions.

Car bien sûr, Catherine fut soumise au même régime que moi, Mme Dujou obtint le droit de lui administrer la fessée déculottée quand elle le jugeait utile et la connaissant, elle jugeait nécessaire de nous rougir le derrière à toute les deux à chaque fois qu’elle venait à la maison.


 Nous ne risquions pas d’attraper froid aux fesses je puis vous l’assurer.

La première fois, Catherine fut un peu prise au dépourvu, elle était en vacances, nous étions seule à la maison, je m'étais déjà habillée sachant que Mme Dujou ne supportait pas que l'on traîne en pyjama le matin. J'avais pourtant prévenue mon amie mais les fessées de Leslie ne l'avait pas encore guéri de sa nonchalance. 

Dès que Mme Dujou la vit elle se dirigea vers elle et lui saisit l’oreille, elle avait une technique particulière, comme elle était grande, elle levait le bras et la punie était presque obligée de se mettre sur la pointe des pieds

- aïe, aïe non, non  ça fait mal AÏE

La main de notre sévère gouvernante, c’est ainsi que je la nommais maintenant s’était abattue sur le derrière de Catherine.

- oui je sais, c’est fait pour ça ma petite !! mais ce n’est rien, garde tes cris pour la fessée que tu vas recevoir.

Toujours tenant Catherine par l’oreille et accompagnant sa marche par de grandes claques sur le fessier encore culotté de mon amie, elle se dirigeait vers la table, elle tira une chaise et s’y installa confortablement, les claques avaient  cessé mais elle tenait toujours fermement l’oreille de cette dame de 50 ans redevenue une collégienne grondée par son institutrice, la main tenant l’oreille s’était abaissée et maintenant pour calmer la douleur de son oreille, Catherine était obligée de suivre le mouvement, en un instant elle se retrouva couchée sur les genoux de Mme Dujou.

Celle ci l’installa bien confortablement, la faisant basculer un peu plus vers l’avant, de façon que sa tête touche presque le sol, que ses pieds soit décollé et ses fesses au sommet de cette courbe juste à sa portée. Elle tapota la culotte du pyjama bien tendue sur le derrière.

- il est 9 heure ma petite Catherine et tu es toujours en pyjama, je suppose que tu n’as pas encore fait ta toilette, tu te moques du monde ! et bien on va commencer ton éducation, tu as remarqué que Sylvie est déjà prête, je pense qu’après quelques bonnes fessées déculottées comme celle de ce matin tu vas apprendre à ne pas traîner !!

Elle glissa sa main sous la ceinture du pyjama et d’un coup sec elle le descendit jusqu’aux genoux de la pauvre Catherine.


Elle poussa un cri, elle sentait l’air frais sur ses fesses, car Leslie nous interdisait de garder une culotte sous le pyjama.

Bien sûr, elle savait dès que Mme Dujou lui avait saisi l’oreille qu’elle n’échapperait pas à la fessée déculottée. Mais c’est une chose de le savoir et une autre de sentir sa culotte descendre et de se retrouver fesses à l’air en bonne position pour recevoir ce châtiment habituellement réservé aux gamines. Catherine maintenant n’était plus une dame de 50 ans se prélassant en pyjama dans le salon mais une adolescente paresseuse punie par sa gouvernante. Et punie de la plus humiliante des façons par une bonne fessée cul nu devant sa petite amie. Car Mme Dujou savait y faire pour nous ramener à notre statut d’adolescente immature malgré notre âge.

- et oui ma petite Catherine, cul nu. Ah maintenant tu commences à regretter, oui, oui, je sais tu n’as pas fait exprès tu regrettes, tu demande pardon, bien sûr quand on présente son petit derrière tout nu et tout blanc, on est prête à tout promettre pour éviter la fessée. Mais c’est trop tard. Tu as mérité une bonne fessée et je te promets que tu vas l’avoir.

En effet Catherine gémissait et se tortillait, les fesses bien présentées elle demandait pardon, promettait de ne plus recommencer. Mme Dujou tapotait le large derrière étalé devant elle.

- oh, ça j’en suis sûr que tu ne vas pas recommencer, la fessée c’est fait pour ça ma petite, avec les fesses bien rouges on réfléchis mieux.

J’étais fascinée par le spectacle que m’offrait bien malgré elle Catherine, elle avait vraiment un magnifique fessier, sous les bouffées d’angoisse qui la traversait, elle serrait et desserrait ses fesses, j’entrevoyais entre ses cuisses sa toison brune. Habituellement c'était moi qui était dans cette position et qui exposait mon intimité, je sentais un humidité dans ma culotte, je mouillais, ce n'était pas très charitable pour ma petite amie car je connaissais la main de Mme Dujou, je savais que dans quelques instants les fesses de Catherine allait être brûlantes et qu'elle allait se mettre à pleurer mais le spectacle de ses fesses nues frissonnant avant la punition était vraiment trop excitant. Mme Dujou commença la fessée, je connaissais trop bien sa technique, elle claquait alternativement chaqu9e fesse très lentement mais très fort de façon que la punie ressente bien sa condition. Puis quand le derrière commençait à prendre une jolie couleur rose, elle accélérait la cadence, variant la vitesse et la force des claques. 



Par moment elle claquait plusieurs fois au même endroit entraînant des cris perçants de la pauvre Catherine puis elle s'attaqua à la base des fesses et au haut des cuisses, à cet endroit je savais que la fessée était très douloureuse, d'ailleurs Catherine ne tarda pas à pleurer au milieu de ses supplications. 

- noon, aïe aïe aïe, pardon madame, s'il vous plaît, ça brûle AÏE AÏE. 

Je compatissais maintenant vraiment, je savais ce que Catherine devait ressentir, elle ne pensait plus à sa pudeur, elle ouvrait largement ses cuisses et j'admirais vraiment son intimité mise en valeur par le rouge profond qui ornait maintenant toute la surface de son fessier. Je ne me souvenais pas avoir reçu une fessée aussi sévère par Mme Dujou. Je pense qu'elle voulait que Catherine se souvienne de sa première fessée déculottée.  Quand enfin elle fit relever Catherine, celle-ci avait les joues noyées de larmes, sa culotte de pyjama entourait ses chevilles, son fessier était rouge brique du bas du dos jusqu'au  haut des cuisses. Elle posa ses mains sur ses fesses mais Mme Dujou l'arrêta immédiatement. 

- tu ne frottes pas tes fesses, mets tes mains sur la tête !! Si jamais tu touches encore à tes fesses, tu reviens faire un petit séjour sur mes genoux. 

Catherine en reniflant s'exécuta, fidèle à sa technique, Mme Dujou lui saisit à nouveau l'oreille et la conduisit au coin de la pièce qui lui était maintenant réservé. Une dernière claque bien appliquée au milieu des fesses avec les dernières instructions. 

- le nez contre le mur et je ne veux plus t'entendre. 



Catherine avait les épaules secouées par ses sanglots et ses fesses se contractaient pour essayer d'atténuer la cuisson mais à part ça elle ne bougeait pas, son visage était bien collé contre le mur. Je n'arrivais pas à quitter des yeux le fessier écarlate de ma petite amie, la sévère gouvernante me rappela à la réalité. 

- tu ne vas pas rester là à bailler aux corneilles, tu as vu ce qui arrive aux petites paresseuse ! Viens avec moi je vais te trouver du travail. 

Elle me tendit un chiffon et me désigna les bibelots qui était sur un meuble. 

- tu vas me faire la poussière, et correctement, je vérifierai et gare à tes fesses si ce n'est pas fait correctement. 

Je connaissais par coeur ce travail, c'était sa petite punition préférée, je pouvais également faire la poussière de la bibliothèque. Je savais aussi que malgré toute mon application, elle retrouverait bien une petite trace. Elle avait travaillé dans les palaces et les gouvernantes passait toujours un gant blanc pour détecter la moindre poussière. Elle m'avait raconté que quand elle était jeune fille, il n'était pas rare de se retrouver dans la chambre que l'on venait de finir, fesses à l'air sur les genoux de la gouvernante pour une bonne fessée déculottée. 

Moi je n'étais plus une jeune fille mais la punition serait la même. 

Mme Dujou laissa Catherine au coin pendant 1/2 heure. Puis elle l'appela, je connaissais la suite pour y être passée plusieurs fois. 

- bien maintenant, madame la paresseuse, à la salle de bain et vite. Enlève moi cette culotte de pyjama, tu n'en as plus besoin. 

Catherine était maintenant résignée, elle retira son bas de pyjama et le tendit à Mme Dujou. Une solide claque sur les fesses lui indiqua qu'il ne lui fallait pas traîner, sa croupe était encore bien rouge. C'était un spectacle assez excitant que de voir cette dame d'âge mûr, nue de la taille jusqu'au pied, avec ses fesses rouges qui se balançaient au rythme de sa marche rapide.

Arrivée dans la salle de bain la sévère matrone lui indiqua la baignoire. 

- allez ma petite, toute nue et vite, je vais t’apprendre à traîner le matin. 

Catherine était abasourdie, Mme Dujou comptait assister à sa toilette?

En fait la perverse femme de ménage allait faire beaucoup plus mais Catherine ne le savait pas encore. Elle était maintenant intégralement nue, ses joues étaient de la même couleur que ses fesses. Deux nouvelles claques bien appliquées  sur chaque fesse retentirent dans la pièce. 

- dans la baignoire, vite ! Décidément il va falloir que je m'occupe de tes jolies fesses pour te faire obéir mais crois moi maman Dujou sait s'occuper des paresseuses !

Catherine avait poussé un petit cri, elle enjamba rapidement la baignoire. 

- tourne toi !

L'ordre avait claqué, la dame redevenue une gamine, présenta ses fesses rouges. Mme Dujou avait saisi la pomme de douche et elle la braqua sur le fessier rougeoyant. Catherine poussa un cri et sautilla sur place. 

- oh non...aïe, c'est trop froid.

Mme Dujou esquissa un sourire, elle avait effectivement réglé la douche sur l'eau froide.

- c'est pour te réveiller ma petite paresseuse, allez présente moi bien ton petit derrière, penche toi en avant. Catherine était au comble de l'humiliation mais elle s'exécuta. 

- écarte moi tes cuisses que je nettoie ton petit minou.

Mme Dujou coupa l'eau et pris un gant de toilette qu'elle enduisit bien de savon puis elle entrepris de savonner le derrière encore chaud. S'en était trop pour la pudeur de Catherine elle se redressa et se retourna. 

- non, non...vous n'avez pas le droit, je vais me laver toute ….. aïe aïe aïe non…

Elle n'avait pas eu le temps de finir sa phrase, Mme Dujou l'avait fait se retourner à nouveau et avec l'autre main elle avait saisi la brosse de bain qui claquait maintenant la large croupe mouillée. 



Depuis le salon j'entendais tout, les portes étaient restées ouvertes. Je compatissais vraiment car une fessée sur la peau mouillée c'était très douloureux mais je reconnaissais également le bruit de la brosse de bain, c’était l’instrument que je craignais le plus. 

La pauvre Catherine trépignait sur place, maintenant elle pleurait à chaudes larmes, Mme Dujou savait qu'elle était matée, elle reposa la brosse de bain.

- je vais t’apprendre à te rebeller ! tu vas le regretter ma petite, tourne toi !

Catherine lui faisait face les larmes coulait sur ses joues. La fessée à la brosse de bain avait été courte mais ses fesses étaient brûlantes, les larmes étaient autant due à la douleur qu’a l’humiliation d’être traitée comme une adolescente rétive à 50 ans.

Mme Dujou avait saisi la savonnette, elle l’approcha du visage de Catherine.

- ouvre la bouche !!

Elle enfonça le savon humide dans la bouche de mon amie, celle ci eu un mouvement de recul mais avec son autre main, Mme Dujou lui tenait la tête.

- tu serres les dents, si jamais il tombe je te garantis que tu ne pourras pas t’asseoir pendant un moment. Ça va t’apprendre à te rebeller. Maintenant tu te retournes et tu te penches que je puisse m’occuper correctement de tes fesses et de ton petit minou.

Catherine était vaincue, elle s’empressa d’obéir serrant fermement la savonnette entre ses dents. Je connaissais cette punition très populaire chez les mamans anglaise, j’avais souvent eu la bouche savonnée, aussi bien par Leslie que par Mme Dujou. C’était une punition très désagréable et particulièrement humiliante.

Catherine tendait maintenant ses fesses à notre gouvernante. Celle-ci  avait repris le gant et savonnait énergiquement le large derrière étalé devant elle, elle ne se gêna pas pour lui écarter les fesses comme si elle faisait la toilette d’une gamine, elle frotta la raie fessière, le doigt ganté s’insinua même légèrement dans l'anus mis à jour par la position. En d'autres temps cette dame, cadre dans l'informatique se serait rebellée contre ce petit viol mais après une magistrale fessée déculottée manuelle, un lavage des fesses à l'eau froide, une fessée à la brosse de bain et un savonnage de bouche, elle n'était plus en position de refuser quoi que ce soit.

- écarte les jambes un peu plus, il faut que je nettoie ton petit minou correctement. 

Catherine obéissait comme un automate. 

- c'est bien, tu deviens mignonne, c'est fou comme une dame change quand elle a les fesses bien rouges. 

Mme Dujou savonna rapidement le reste du corps, la toilette n'était pas le but principal, il fallait que Catherine comprenne qu'elle devait lui obéir en tout point.

Elle repris la pomme de douche toujours réglée sur froid et rinça intégralement la pauvre Catherine, celle-ci trépignait sur place et respirait rapidement pour essayer de supporter cette douche froide elle serrait désespérément la savonnette pour ne pas la faire tomber. Mme Dujou pris son temps, lui faisant à nouveau présenter ses fesses. Enfin le petit supplice pris fin, Mme Dujou lui retira la savonnette et lui saisit à nouveau l'oreille pour la faire sortir de la baignoire, puis elle s'assit sur un tabouret. Catherine était contre son genoux, elle lâcha l'oreille et posa une serviette sur ses cuisses, comprenant ce qui l'attendait ma petite amie se mit à pleurer, j'entendais tout depuis le salon et je trouvais que Mme Dujou était particulièrement sévère aujourd'hui, je serrais mes fesses sous ma petite culotte car ça n'augurait rien de bon.

- noon, pardon madame, s'il vous plaît plus la fessée, non, non…

les sanglots noyaient les paroles

- décidément tu n'as pas encore compris que je ne veux pas t'entendre ! Ouvre la bouche.



La savonnette avait repris sa place dans la bouche de Catherine, je devinais que Mme Dujou l'avait remise en position. 

- bien, tu vas voir ma petite chérie, Maman Dujou va sécher tes jolies petites fesses, ça va te faire le plus grand bien et tu ne refuseras plus de te faire laver les fesses. 

Elle releva à nouveau la main et la fessée repris de plus belle. Les pleurs et les supplications de Catherine était étouffés par la présence de la savonnette dans sa bouche.

 


J'avais déjà subi l'humiliation de la fessée mouillée avec la bouche savonnée, je peux vous dire qu'après on plus du tout envie de se rebeller. Après une centaine de claques, les fesses de Catherine était écarlates et parfaitement sèches. Mme Dujou cessa la fessée et la fit se relever. Elle lui enleva la savonnette et lui tendit une serviette. 

- bien j'espère que la leçon à été comprise, fini de te sécher. Tu as gagné un lavage des fesses chaque fois que je viendrai pendant 15 jours. Je veux te trouver dans la salle de bain en tenue d'Eve à mon arrivée. 

La sévère gouvernante s'y entendait pour ramener les dames mûres au rang de gamine, j'avais subi le même traitement quelques années avant et c'est vrai que je ne traînais plus le matin pour me préparer. 

- bien maintenant tu files dans ta chambre, on va t'habiller. 

Une nouvelle vigoureuse claque sur le fessier rougeoyant avait montré la direction à Catherine. Je regardais ma petite chérie traverser le salon entièrement nue. Ses larges fesses n'étaient plus que deux boules rouges qui se balançaient au rythme de la marche, j'avoue qu'une petite humidité gagna ma culotte. 

Arrivée dans la chambre, Mme Dujou lui choisi un soutien gorge et un haut blanc, elle lui fit enfiler des socquettes et lui tendit un petit tablier de soubrette. 

- tu es privée de culotte jusqu'à midi, ça va te faire le plus grand bien et j'aurai tes fesses à ma disposition si tu n'es pas sage. Tu vas aller voir Sylvie elle va te montrer comment faire la poussière des livres dans la bibliothèque. 



Nous étions toutes les deux au travail, la tenue de Catherine était beaucoup plus sexy que la mienne. Je vérifiai que Mme Dujou n'était pas là et je lui caressai la croupe brûlante.

- tu sais ma chérie que tu es adorable dans cette tenue avec ton petit derrière bien rouge. 

Elle se retourna et me fit un petit sourire au milieu de ses larmes qui commençait à sécher. 

- vilaine, j'espère que Mme Dujou va s'occuper sérieusement de tes fesses à toi aussi. 

Je fis une petite moue.

- tu n'as pas à t'inquiéter la connaissant, c'est sûr que je vais y passer.






7 commentaires:

  1. wow Sylvie....quelle belle série.....deux nouvelles séries et les deux avaient des fesses très rouges de maturité. Je pense que les personnes d'âge mûr ont besoin de plus d'un tel traitement régulièrement.

    Chinmay

    RépondreSupprimer
  2. Merci Sylvie encore une fois à 66ans je ne suis pas à l'abri de me retrouver dans la mêle situation que Catherine si je le mérite...Denis r

    RépondreSupprimer
  3. Je trouve ca vraiment mignon qu'une femme regarde l'intimité et en particulier la toison et mouille en regardant la fessée d'une autre femme.

    RépondreSupprimer
  4. Depuis le 16 novembre les fesses ont eu le temps de refroidir nous attendons avec impatience une nouvelle histoire

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Vous avez raison mon cher Denis. Sylvie a certainement besoin d'une petite stimulation fessière. Caroline et Mel vont s'occuper de son petit derrière et tout va rentrer dans l'ordre.
      Sylvie

      Supprimer
    2. Merci beaucoup de votre initiative mais le plaisir est d'autant plus grand qu'il est impatiemment attendu

      Supprimer

Deux étudiantes 22

Sévère Laetitia  Le lendemain Laurence se présenta chez Odile qui lui fit une bise en lui caressant la croupe : — Coucou ma chérie, tu as ...