Les messieurs reçoivent aussi la fessée.

 Julie et Hubert sont des amis très proches. Je suis la seule à partager leur vie secrète. Ils pratiquent de façon très discrète la discipline conjugale. C’est Julie qui porte la culotte dans ce petit couple, pour Hubert par contre la vie c’est souvent sans culotte.

Après de nombreuses tentatives et l’aide de la main experte et claquante de Julie, j’ai enfin réussi à convaincre Hubert de nous raconter sa vie. C’est un début je pense que Julie va s’y mettre également, je vous raconterai un jour comment je suis rentré  dans la vie de ce couple équilibré et très sympathique.

Je m'appelle Hubert je suis marié depuis 10 ans à Julie ma douce et si sévère maîtresse. 

Dès la première année de notre mariage j'ai su qui porterait la culotte dans notre couple. 

Pour un oui ou un non j'avais droit à une sévère réprimande, j'étais d'un naturel soumis ayant été élevé par une mère stricte sans père. Pour moi l'autorité était féminine, c’est certainement ce qui avait plu à Julie. Au cours de nos discussions je lui avais raconté que ma mère était assez traditionnelle dans ces méthodes d'éducation et que j'avais goûté à la fessée déculottée jusqu'à mes 15 ans. Ça avait bien fait rire Julie et à ma grande honte j'avais du rentrer un peu dans les détails, ce n'était pas très glorieux d'avouer que je m'étais retrouvé adolescent, cul nu sur les genoux de maman. 

- alors comme ça mon petit chéri à eu panpan cucul. Oh que c'est mignon. 

J'étais rouge de honte mais un peu excité quand même, je crois que Julie s'en est rendue compte et souvent lors de nos ébats elle ne se gênait pas pour me claquer les fesses. 

Après 6 mois de mariage, nous sommes rentrés dans une autre dimension, j'étais toujours en retard et ça agaçait au plus haut point ma chérie. Ce soir là nous étions invité et je m'étais arrêté pour discuter avec les voisins. Comme j'arrivais dans l'appartement, Julie me fixa d'un oeil noir. 

- tu te moques de moi, je t'attends depuis 1/4 d'heure et monsieur prends son temps pour discuter !

J'étais habitué aux engueulades de Julie, je baissais la tête piteusement mais ce qui arriva devait changer définitivement ma vie. Ma femme me saisis l'oreille comme si j'étais un garnement. 

- je crois que ta mère avait raison, elle n'aurait jamais du arrêter, on va réutiliser les bonnes vieilles méthodes. 

Je protestais à peine, conscient de ma faute, arrivé au salon, Julie s'assit sur une chaise et lâchant mon oreille se mit à déboutonner mon pantalon. En un rien de temps, il fut sur mes chevilles et je me retrouvai allongé sur les genoux de mon épouse. Immédiatement la fessée commença, Julie n'y allait pas de main morte et malgré mon boxer je sentais les claques. Soudain ses doigts se glissèrent sous l'élastique et mon slip fut baissé brutalement aux genoux. 

- non, non Julie, s'il te plaît...aïe aïe aïe 

Les claques maintenant tombaient sur mes fesses nues.

- tu ne m'as pas dit que ta maman te donnait la fessée cul nu ? Avec un bon derrière comme le tien c'est ça qu'il faut. 

La fessée fut magistrale, à la fin je sanglotait comme un gamin, d'un seul coup j'avais fait un bon de 10 ans en arrière. Dès que je fus relevé les ordres claquaient.

- tu files te préparer, on est déjà assez en retard. On réglera la suite en rentrant ce soir. 

Je me tint à carreaux toute la soirée, j'étais au petit soin pour Julie. A un moment où nous étions seuls, elle passa sa main sur mes fesses par dessus mon pantalon

- alors mon petit chéri, on a pas trop mal à son cucul, il n'y a pas à dire, c'est très efficace, ça fait longtemps que tu n'as pas été aussi mignon avec moi.

J'étais un peu humilié d'être traité comme ça, surtout que Julie me tapotait les fesses sans aucune gêne, je jetai un coup d'oeil autour de moi pour vérifier que personne n'avait remarqué sa manoeuvre. 

À notre arrivée à la maison, Julie avait un petit sourire sur les lèvres, j'avais oublié sa dernière phrase, "on réglera la suite ce soir". Dès la porte d'entrée passée elle me repris à nouveau par l'oreille. 

- tu ne croyais quand même pas t'en tirer avec une simple fessée à la main. Enlève ton pantalon. 

Nous étions arrivé dans la chambre, elle avait lâché mon oreille et s'était dirigée vers la salle de bain. Quand elle revint j'étais en boxer devant le lit, elle tenait la brosse de bain à la main. Elle s'est assis sur le bord du lit et a tapoté ses cuisses pour me signifier où je devais me coucher. Je me surprenais à être aussi soumis, je ne réagissais pas, sans doute les restes de mon éducation sévère, mais j'étais à nouveau couché sur les genoux de Julie les fesses à l'air car elle m'avait immédiatement déculotté. Je serrais les fesses dans l'attente du premier coup, mais c'est sa main qui commença à me caresser les fesses. 

- détends toi mon chéri, Julie va donner la fessée déculottée à son petit Hubert parce qu'il a été vilain. Ne serre pas les fesses sinon tu vas avoir très mal. Tu sais pourquoi tu es puni?

J'étais subjugué, redevenu un grand garçon sur les genoux de sa maîtresse. Je murmurait.

- oui Julie, je vais être puni parce que je t'ai fait attendre. 

Elle se mit à rire. 

- et bien voilà mon chéri, tu reconnais toi même que tu la mérite vraiment cette fessée déculottée ?

C'était une question, je devais répondre. 

- oui Julie je mérite une bonne fessée déculottée. 

Elle n'avait pas cessé de me caresser les fesses pendant notre petite conversation, puis soudain je poussai un cri, une brûlure fulgurante sur la fesse droite suivie immédiatement d'une autre sur la gauche, je me mis rapidement à pleurer tellement la fessée était douloureuse. La brosse de bain est le plus redoutable instrument utilisé par Julie et c'est celui qui marqua mon entrée dans le domaine de la discipline domestique. 

À partir de ce jour notre vie de couple changea du tout au tout mais essentiellement dans l'intimité, Julie ne me punis bien sûr jamais en public mais quand son regard me transperce qu'elle lève un sourcil je sais que ma journée va se terminer avec une paire de fesses bien rouges. 

Julie est devenue rapidement une experte en fessée, déculottage et autre mise au coin. Ma vie est maintenant suspendue à son autorité, je pense qu'elle adore me donner la fessée d'ailleurs sauf si elle est vraiment en colère quand elle prévoit une punition son ton est léger, presque badin. Avec un grand sourire ma chérie m'annonce.

- qui c'est qui va montrer son joli derrière à Julie ? C'est mon petit Hubert, il va bien gentiment baisser sa culotte et venir comme un grand garçon sur les genoux de maman Julie. 

Elle dit ça d'un ton égal comme si c'était normal qu'à presque 30 ans je reçoive encore la fessée déculottée. C'est d'ailleurs en raison de cette expression qu'elle a décidé que je ne porterais plus des slips ou des boxers mais des culottes. Quand je rentre du travail la première chose que je fais c'est d'aller dans la chambre et de mettre une de ces petites culottes blanches en coton de jeune fille qu'elle a spécialement acheté pour moi. Elle trouve que c'est plus esthétique de baisser ce genre de culotte pour donner la fessée. 

La première fois qu'elle m'a imposée cette tenue j'ai essayé de protester mais Mlle la brosse de bain à expliqué à mes fesses que je n'avais pas à discuter. Pour m'apprendre j'ai du porter une culotte féminine toute la semaine sous mon costume de jeune cadre dynamique. Je peux vous dire que ça ramène rapidement à l'humilité. Maintenant c'est devenu naturel pendant les vacances et les week-ends je porte toujours ces sous-vêtements.

Je ne reçois pas toujours la fessée pour me punir, comme je vous l'ai dit, Julie s'est pris de passion pour la fessée et mon fessier lui plaît particulièrement quand il est bien rouge. Donc de temps en temps Julie m'annonce qu'elle a bien envie de m'en flanquer une bonne… Je sais ce que ça veut dire. C'est arrivé hier. Elle m'a demandé de lui écrire un compte rendu détaillé. Le voici :

Ma petite chérie vient de m’administrer une magistrale fessée cul nu.

Je sortais de la piscine, j’étais en peignoir car Julie a décidé que je n'avais pas besoin de maillot de bain, ça serait plus pratique pour ce qu'elle avait prévu.  Elle était assise sur un bain de soleil, elle m’a couchée sur ses genoux et elle a eu juste à retrousser le peignoir mes fesses toutes fraîches étaient à sa disposition.

Juste au moment ou elle allait commencer la fessée, l’interphone à sonné, j’ai du aller au portail en peignoir et tout nu dessous, c’était un livreur.

Ma chérie était agacée d’avoir été interrompue, elle m’a annoncé que la fessée serait doublée, c’était injuste mais je n’ai rien dit. 

J'ai repris ma position, elle m’a remis le derrière à l’air et a commencé la fessée à la main. Quand elle s’est arrêtée j’avais les fesses en feu. Elle m’a annoncé.

- voilà 50 claques sur chacune de tes jolies fesses, c’est ce que j’avais prévu comme fessée d’échauffement, mais comme tu m’as fait attendre c’est parti pour une deuxième tournée.

Elle a recommencé à me tanner le derrière et m’a annoncé fièrement.

- on y est 50 de plus sur chaque fesse. Ton petit cul est magnifique mon chéri. Maintenant on passe à la vraie fessée.

Elle aime ça, m’annoncer une vraie fessée alors que j’ai déjà le fessier en feu. Elle m’a administré 50 coups de règle plate en bois sur chaque fesse.

- tu as de la chance, je suis gentille, je ne double pas la fessée à la règle.

Je l’ai remerciée et j’ai du tenir relever mon peignoir pour qu’elle admire ma croupe écarlate pendant que j’allais ranger la règle sur le bureau. Elle y a avisé une règle plate en plastique et elle m’a dit en riant.

- mais on a jamais essayé celle la, tu vas me dire si elle pique autant.

Elle m’a courbé sous son bras et m’a administré une cinquantaine de coups avec la règle en plastique. C’est vrai que ça pique beaucoup moins et je lui ai dit.

Elle m’a dit en riant qu’elle s’en doutait car je n’avais pas trop gigoté pendant cette petite fessée.

- et bien on va rester classique mon chéri, tu auras toujours droit à la règle en bois quand tu seras vilain.

Je me suis rhabillé avec ma paire de fesse bien chaudes et je peux vous dire qu’assis à mon bureau en train d’écrire mon compte rendu je sens bien mes fesses.

Julie adore également me donner la fessée déculottée quand il y a quelqu'un à la maison, elle appelle ça la fessée migraine. Notre maison est vaste et notre chambre est à l'étage, si Julie décide que mon comportement justifie l'administration d'une bonne fessée déculottée, le rituel est immuable un petit froncement de sourcils et je sais ce qui va suivre. D'une voix suave elle me demande. 

- mon chéri ? Ça ne va pas ? Encore tes migraines, va t'allonger tu sais qu'il ne faut pas tarder. 

Je suis obligé d'acquiescer et je quitte la table. Je monte dans notre chambre, Julie a fait placer une  porte bien insonorisée en haut de l'escalier et celle de notre chambre est également bien  isolée. Pendant que Julie explique le phénomène de mes migraines qui m'oblige à rester couché dans le noir et au calme pendant assez longtemps. Je dois monter dans notre chambre et me préparer, j'enlève mon pantalon que je plie soigneusement, j'ai bien sûr ma culotte de jeune fille. Je me mets au coin face à la porte, les mains sur la tête. Quand Julie arrive elle me saisis par l'oreille et m'amène au pied du lit, elle me bascule immédiatement en travers de ses cuisses gainées par ses bas qui m'excite tant. Elle s'en amuse d'ailleurs quand elle sent une érection sous ma petite culotte. 

- voilà mon vilain garnement qui veut prendre du plaisir, à ça te fait cet effet là et bien je te garantis que je vais te calmer rapidement. 

Dans ces cas-là elle me déculotte  immédiatement et la fessée magistrale débute immédiatement. 

- tu n'as pas honte à ton âge, je suis encore obligée de te baisser la culotte comme si tu avais 10 ans. Oh tu peux pleurer, tu l'as mérité cette déculottée et je te promets que tu vas t'en souvenir. 

Rapidement sous l'effet de la douleur mon érection a disparu, ce qui m'attire une réflexion sarcastique. 

- à on ne fait plus le malin maintenant, mon garnement est redevenu un garçon bien sage. 

J'ai les fesses en feu, je me débat sur les genoux de mon épouse mais je ne cherche pas à éviter la fessée, je sais que je la mérite. Ces fessées sont toujours très rapide mais très douloureuses en moins de 3' ce n'est pas moins de 200 claques sur chaque fesses qui se sont abattues sur mon pauvre derrière. La suite est immuable, la culotte à mi cuisses je rejoins mon coin, le nez collé contre le mur, les mains croisées dans le dos pour tenir ma chemise retroussée. Je sais que je vais passer le reste de la soirée dans cette position peu enviable. Julie va expliquer aux invités que je vais mieux mais qu'il faut que je reste dans l'obscurité, les amis compatissent, mais ce n'est pas ma tête qui souffre mais mes fesses. Dans les cas plus grave, elle remonte me voir pendant la soirée et j'ai droit à une deuxième fessée avec un instrument. 

En redescendant elle annonce à nos invités que ma crise de migraine n'est pas terminée et que je ne redescendrai pas. Pendant ce temps j'essaie de calmer la cuisson de mes fesses en les serrant et les desserrant mais sans jamais les frotter bien sûr car je sais ce que ça me coûterait si elle me surprenait à le faire.   Quand ils sont partis, j'ai droit bien sûr à la fessée du coucher, administrée consciencieusement avec la brosse à cheveux par ma sévère épouse. 

Quand elle juge que j'ai été vraiment besoin d'une sévère punition, j'ai droit à la culotte de punition, c'est une culotte un peu petite pour ma taille que Julie tire fortement entre mes fesses, écrasant mes testicules et sciant ma raie fessière, mes fesses rouges  sont bien visible. 

- tu vas la garder toute la nuit et tu dors sur le dos. Le frottement de tes fesses sur le drap vont te rappeler qu'il ne faut pas me désobéir. 

Je suis soumis à ce régime strict depuis plusieurs années et je m'y suis habitué. 

Depuis quelques temps sa nouvelle idée c'est la fessée cul nu en plein air, c'est réservé au week-end pendant nos randonnées. Elle exige que je porte des pantalons ou des shorts avec simplement une ceinture élastique ce qui est beaucoup plus pratique pour le déculottage,  la petite culotte blanche est immédiatement accessible, elle choisit un endroit isolé et je peux vous assurer que c'est terrifiant de se retrouver fesses à l'air allongé sur les genoux de sa femme, le bruit des claques sur la peau nue fait un bruit d'enfer et j'ai toujours l'impression qu'on l'entend à des kilomètres à la ronde. Celle de ce week-end à eu lieu en forêt, elle s'était assise sur un tronc d'arbre, je gigotais sur ses genoux en gémissant quand je les entendu me dire.

- tu devrais te calmer, la joggeuse qui arrive va te remarquer. 

J'ai levé la tête et j'ai aperçu une jeune femme au bout de l'allée, elle était encore loin et mes fesses n'étaient pas tournées vers elle. J'étais affolé, je la suppliait d'arrêter mais Julie me répondis en riant tout en continuant la fessée. 

- tes fesses ne sont pas assez rouges mon chéri. 

Enfin alors que la joggeuse était à peine à  150 mètres de nous, elle a cessé la fessée et m'a fait relever, j'ai remonté rapidement mon pantalon pour cacher mes fesses bien rouges et je me suis assis à côté de Julie. La jeune femme avait un casque sur les oreilles, elle n'avait donc pas entendu le bruit de la fessée, elle nous a fait un grand sourire, j'ai essayé de faire bonne figure, Julie avait glissé sa main à l'arrière de mon pantalon et elle caressait mes fesses brûlantes. Dès que la joggeuse fut au loin, Julie me fixa avec des gros yeux, mais je devinais un peu de malice derrière. 

- qui t'a autorisé à te reculotter ? Allez en position mon petit ami !

Je me suis retrouvé à nouveau couché sur ses genoux les fesses à l'air. Elle m'a reclaqué à  nouveau les fesses mais ce n'était pas vraiment une punition, juste une façon de reprendre possession de mon derrière. Puis elle m'a fait relever et m'a désigné un arbre. 

- au coin vilain garnement, tu vas faire refroidir tes jolies fesses bien rouges. Tu vas y rester jusqu'au prochain promeneur. Elle a pris son téléphone, à fait une photo et à commencer à pianoter sur Twitter. J'étais sûr que mes fesses bien rouges allaient bientôt être exposées sur internet. Heureusement une nouvelle joggeuse est arrivée au bout de 10' j'ai eu le droit de cacher enfin mes fesses. Nous avons fini notre randonnée, moi avec des fesses bien rouges chaudes sous ma petite culotte et Julie toute guillerette, j'ai remarqué qu'elle était toujours de très bonne humeur une fois qu'elle m'avait administré une bonne fessée déculottée.