mercredi 30 novembre 2022

Sylvie et Leslie 7

 Après la prise en main par mesdemoiselles Caroline et Mel. Voici enfin la suite du récit que vous attendiez.


Double punition pour deux dames. 




Catherine s'était juste remise au travail quand Mme Dujou entra dans la pièce. Son derrière dénudé et rougeoyant était vraiment des plus appétissant,  surtout qu'avec le mouvement du chiffon, ses fesses remuaient de façon très suggestives. Mme Dujou fronça les sourcils. 

- voyons où tu en es ? Je n'ai pas l'impression que tu ais beaucoup avancé. 

Catherine rougit, bien sûr, elle commençait tout juste à épousseter les livres. Mme Dujou eu vite fait de s'en rendre compte. 

- mais tu te moques de moi. les fessées de ce matin n’ont pas suffit !

J'étais honteuse car c'était à cause de moi que Catherine n'avait pas commencé immédiatement sa tâche. Déjà Mme Dujou l'avait saisi par la taille et l'avait fait se courber en avant pour bien tendre ses fesses.



 L'absence de culotte rendait la fessée plus rapide, immédiatement la main de la sévère matrone commença à claquer le derrière tendu. Les fesses étaient encore bien rouges, mais rapidement le rouge devint plus foncé.  Catherine s'était remise à pleurer, ses fesses étaient très sensibles. Mme Dujou savait doser la sévérité de ses fessées, elle ne claqua pas très longtemps le derrière bien présenté, c'était juste une petite mise au point. Elle relâcha Catherine et après une dernière claque elle lui annonça. 

- puisque tu semble décidée à continuer tes désobéissances,  tu es privée de culotte jusqu'au retour de Leslie, je te laisserai le soin de lui expliquer pourquoi tu es restée fesses à l'air toute la journée. Catherine fit une petite grimace, ça augurait automatiquement d'une fessée de notre maman Leslie. De toute façon Mme Dujou lui faisait toujours un rapport circonstancié de la journée, mais le plus dur c'est quand on devait avouer nous même les raisons qui nous avait valu un passage sur les genoux de Mme Dujou la culotte baissée.

Catherine s'était remise au travail, la sévère gouvernante se dirigea vers moi en enfilant un gant immaculé. 

- voyons un peu si tu as progressé depuis la dernière fois. 

Mes fesses se préparait déjà sous ma culotte, automatiquement elle allait retrouver une petite trace de poussière. Elle prenait son temps, quand elle eu frotté consciencieusement les bibelots, elle me mit le gant sous le nez et me prit par l'oreille. 

- décidément, il n'y a que la bonne fessée déculottée pour te faire comprendre, et bien allons y. 

Elle s'était déjà assise sur la chaise qui avait servi pour la fessée de Catherine. Je fus rapidement tirée en travers de ses genoux, ma jupe courte découvrait déjà ma culotte, je le voyais dans la grande glace du salon. Elle la retroussa très haut sur les reins, du coin de l'oeil je voyais que Catherine tout en continuant à épousseter les livres jetait un regard intéressé au spectacle que je lui offrais bien malgré moi. Après tout je ne pouvais pas lui en vouloir, j'avais assisté moi aussi à ses déculottées. Je serrais les fesses dans l'attente de la première claque, elle ne tarda pas. Mme Dujou commençait la plupart du temps par une fessée d'échauffement sur la culotte. 



- alors ma petite Sylvie qu'est ce qui arrive quand on fait mal son travail ?

Les claques se succédaient à un rythme soutenu et ma petite culotte en coton était une bien maigre protection, surtout que je ne pouvais m'empêcher de tortiller mon derrière en gémissant et ma culotte rentrait dans ma raie fessière, découvrant plus largement ma croupe. 



Elle s'arrêta et posa sa main sur mes fesses encore culottées. 

- je t'ai posé une question ! Qu'est ce qui arrive aux paresseuses qui font mal leur travail ?

Je savais qu'il me fallait répondre, j'avalai ma salive et je prononçai la phrase humiliante que ma gouvernante attendait. 

- euh...elle...reçoive la fessée déculottée. 

- voilà, c'est parfait et bien puisque tu l'as toi même demandé, on va te la donner cette fessée déculottée, oui ma petite Sylvie, cul nu.

On y était, j’étais déculottée comme une vulgaire gamine, même si j’en avais désormais l’habitude, c’était toujours très humiliant de sentir sa culotte glisser sur ses fesses et l’air frais caresser son derrière.



Je savais que cette perverse de Mme Dujou se régalait du spectacle des fesses de dames mûres étalées devant ses yeux, prêtes à recevoir ce châtiment enfantin. J’avais surpris son regard plusieurs fois dans la grande glace du salon que Leslie avait fait installer pour que je puisse assister au spectacle humiliant de mon déculottage puis de ma fessée et ce regard ne laissait que peu de place au doute. Mme Dujou avait sans aucun doute un faible pour les fessiers féminins. Et aujourd'hui ne faisait pas exception, elle se mit à me caresser les fesses déjà bien rosées. 

- ma petite Sylvie a donc besoin de sa bonne fessée déculottée ? Et bien ma petite tu ne vas pas être déçue, maman Dujou va bien s'en occuper de ton bon gros derrière.

La première claque me surpris comme d'habitude, cette garce commençait toujours par de magistrales claques qui vous forçait à crier et à implorer même si vous vous étiez promis de rester stoïque, la brûlure était intense, mes fesses gigotaient au rythme de la punition, maintenant je n'avais plus le loisir de me regarder dans la glace, tout occupée que j'étais par la douleur de mon postérieur.



Puis le rythme se mit à ralentir, je savais bien que la punition n'était pas finie mais ce petit répit faisait du bien, soudain l'avalanche recommença, mais seulement sur la fesse gauche, c'était horrible, Mme Dujou caressa à nouveau cette fesse endolorie. 

- alors ma petite Sylvie, tu ne vas pas recommencer j'espère. Ta fesse gauche est bien rouge, je pense que la droite est jalouse. 

Et immédiatement la droite reçu le même traitement. Je ne pouvais plus retenir mes larmes, ma culotte était entortillée autour de mes chevilles, je battais frénétiquement des pieds. Mais Mme Dujou voulait sans doute être juste, Catherine avait reçu une magistrale fessée déculottée ce matin, il fallait que je reçoive la même. Elle s'attaqua donc à mes cuisses et à la base de mes fesses, cette zone si sensible qui chaque fois me faisait hurler de douleur. Ma fesseuse me tenait fermement, seules mes fesses et mes jambes pouvaient gigoter, je devais vraiment offrir un spectacle excitant à Mme Dujou car elle semblait ne pas vouloir s'arrêter. J’avais quand même jeté un oeil dans la glace, ma petite Catherine ne perdait pas une miette du spectacle que je lui offrais, je recevais comme elle une magistrale déculottée. Enfin la punition pris fin, je pleurais abondamment mais Mme Dujou n’en avait cure, après la fessée déculottée c’était la mise au coin systématique et je n’y couperais pas, ma culotte me fut retirée également et c’est tenue par l’oreille et accompagnée par quelques claques supplémentaires sur mon fessier rougeoyant que je regagnai mon coin. Je me mis immédiatement dans la position requise, nez collé au mur et mains sur la tête, ma jupe bien coincée dans la ceinture mes fesses étaient parfaitement exposées.



Je restai en pénitence jusqu’au retour de Leslie, c’est à dire 1h30. Dès qu’elle eut déposé ses affaires elle put voir le spectacle offert par ses deux pupilles. Catherine fesses à l’air avec un petit tablier en train de faire la poussière de la bibliothèque et moi au coin exposant aussi mes fesses nues. La couleur de nos fessiers ne laissait que peu de place au doute, nous avions été punies  comme des gamines par une bonne fessée déculottée. 

Mme Dujou attendait toujours le retour de ma belle fille avant de partir, elle lui faisait un rapport détaillé des événements de la journée. Dès qu’elle eu quitté la maison, Leslie nous appela.

- venez un peu ici mes chipies !

Nous n’en menions pas large, Leslie appliquait toujours un principe d’éducation traditionnelle, si j’avais été punie par quelqu’un d’autre, en temps que maman soucieuse de son autorité, elle m’administrait automatiquement la même punition avec un petit supplément, bien sûr Catherine avait été mise immédiatement au même régime. Nous étions donc devant elle, fesses nues et tête basse.

- regardez moi un peu ! Quand on a votre âge, on doit assumer ses bêtises. Catherine, je t’écoute, explique moi pourquoi tu es privée de culotte pour faire la poussière de la bibliothèque.

Elle le savait pertinemment puisque Mme Dujou lui avait raconté la punition de Catherine par le menu, mais être obligée de raconter soi même sa fessée, c’était l’humiliation suprême dont Leslie n’avait pas l’intention de se passer. Je savais que ce serait bientôt mon tour mais je commençais à m’y faire, pour Catherine c’était la première fois. Elle était rouge de honte, rien ne sortait de sa bouche, une claque sur chacune de ses cuisses la fit sursauter.

- je te conseille de te dépêcher ma petite, à moins que tu ne veuilles goûter du martinet.

- non, non, pardon Mlle Leslie.... euh, c’est à dire... aïe, aïe

Deux nouvelles claques venaient de rougir le côté de ses cuisses.

- je te donne trois secondes et ensuite je vais chercher le martinet ! un.... deux...

- non, non, je vais vous dire, voilà ce matin, j’étais encore en pyjama quand Mme Dujou est arrivée et elle m’a punie....

- ah oui ? et comment ?

- elle m’a donné une fessée déculottée....

- et ensuite ?

Catherine hésita un instant devait elle raconter le lavage de ses fesses à l’eau froide et la fessée à la brosse de bain ? Le sourire moqueur mais sévère de Leslie l'a convainquit de tout raconter. Elle vécu ce jour là une des pires humiliations de sa vie, ce ne serait pas la dernière. Quand les larmes aux yeux elle eut fini de décrire sa journée de punition, Leslie prit la parole.

- Mme Dujou a eu parfaitement raison de te corriger, je n’aime pas les paresseuses moi non plus, file te mettre au coin, je vais m’occuper de toi tout à l’heure. Tu es déjà cul nu c’est parfait.



Puis elle se tourna vers moi en souriant.

- et notre petite Sylvie a encore passé un bon moment au coin fesses à l’air on dirait. Tu me racontes ?

J'étais habituée à ce genre de confession mais la honte était toujours présente surtout que Leslie se faisait toujours un malin plaisir à me faire rentrer dans les détails, comment Mme Dujou m'avait elle  déculottée, qu'avais je ressentie quand elle m'avait fessée, avait elle examiné mes petites fesses? C'était toujours avec les joues aussi rouges que mes fesses que je finissais ma confession. 

- décidément vous avez décidé de n'en faire qu'à votre tête et bien je vais vous en faire passer l'envie. J'ai un peu de travail pour le moment donc tu files au coin comme Catherine, ça va te permettre de réfléchir. Je vais m'occuper bientôt de vos petits derrières et croyez-moi vous n'allez pas avoir froid aux fesses de toute la soirée. J'étais donc à nouveau au coin fesses à l'air, bien sûr j'y avais déjà passé un bon moment mais cette fois ci je n'étais pas pressée de le quitter sachant que ça serait pour rejoindre les genoux de Leslie pour une bonne déculottée. 



Ma jeune belle-fille pianotait sur son téléphone, j'étais à peu près sûr que nos deux fessiers rougeoyant étaient actuellement en train de faire le tour de Twitter. Elle s’absenta un moment puis nous appela, elle s’était assise sur le canapé, je remarquai immédiatement la brosse à cheveux posée à côté d’elle. Elle avait écarté largement ses cuisses, elle tapota la gauche et fit signe à Catherine.

- tu viens te mettre là, quant à toi Sylvie tu as ma cuisse droite qui t’attend.

Catherine s’était déjà mise en position, ses larges fesses étalées sur la cuisse de Leslie, j’hésitais un instant, que voulais donc faire notre maman.

- dépêche toi, couche toi là comme Catherine, je vais m’occuper de vos deux derrières en même temps.

- aïe, aïe, oui oui Mlle Leslie

deux claques venaient d’atterrir sur mes cuisses, je me précipitai en travers de sa cuisse droite lui présentant moi aussi mon derrière encore bien rouge. Je pouvais voir le spectacle dans la glace, nos deux belles paires de fesses étaient parfaitement étalées sous les yeux de Leslie et elle s’en régalait. Elle prenait son temps quel plaisir ça devait être pour elle d’avoir deux fessiers de dames mûres à son entière disposition. Elle caressait nos fesses ne se gênant pas pour les écarter afin d’ajouter à notre confusion.



- mes petites chéries vous connaissez le tarif, quand on fait des bêtises en l’absence de maman Leslie, on reçoit une fessée plus sévère dès son retour. Mme Dujou a été gentille avec vous elle n’a utilisé que sa main, vous allez donc goûter à ma brosse à cheveux.

Soudain une violente brûlure saisit ma fesse droite immédiatement suivie d’une autre sur la fesse gauche, puis Catherine poussa un cri encore plus strident, la brosse venait de claquer son derrière encore endolori. La double fessée se poursuivait inlassablement, nous donnions un joli concert, nos jambes battaient l’air en cadence, nos fesses étaient quasiment côte à côte ainsi Leslie pouvait comparer la couleur, quand nos deux fessiers furent tout les deux d'un beau rouge brique elle cessa la punition, nous pleurions à chaudes larmes. Elle nous fit relever.

- mains sur la tête, vilaines filles!

Elle nous laissa ainsi les fesses brûlantes, puis elle disposa deux coussins sur la table basse du salon.

- vous allez vous mettre là mes petites chipies, Vos fesses bien rouges seront bien présentées. Vous allez goûter à une de mes dernières découvertes,  j'ai lu ça sur le blog lesfesséesdesylvie, ça m'a beaucoup plu. 

Sans discuter vu l’état de nos fessiers respectifs, nous nous couchèrent côte à côte sur les coussins. Puis je vis Leslie se diriger vers la salle de bain et en revenir rapidement tenant deux thermomètres à la main. Elle se plaça devant nous et nous les présenta.

- vous voyez ces thermomètres mes petites chéries, et bien c’est ce que vous allez avoir le plaisir de recevoir dans votre petit cul. Puisque vous avez décidé de vous comporter comme des gamines paresseuses et désobéissantes, je vais vous traiter comme telle. Une pénitence au thermomètre c’est ce que Mme Sylvie recommande sur son blog pour ramener à l’humilité les dames récalcitrantes. Tu vois ma petite Sylvie elle s’appelle comme toi. Je vous conseille d’être mignonne et de vous laisser faire ma brosse à cheveux est à la disposition de vos jolis derrières.

Elle s’approcha de Catherine et avec deux doigts lui écarta les fesses mettant à jour la petite rondelle brune. Mon amie avait déjà subi un examen intime par Mme Dujou ce matin, elle essaya de rester stoïque mais quand elle sentit l’embout froid pénétrer dans son anus elle ne put s’empêcher de contracter ses fesses. C’était vraiment la chose à ne pas faire, Leslie se mit à sourire et retira le thermomètre.

- qu’est ce que j’ai dit ! madame veut continuer à désobéir et bien on va voir si ses fesses comprennent mieux.

Leslie avait repris la brosse et la pauvre Catherine se mit à trépigner, ses fesses reçurent une cinquantaine de coups de brosse bien appliqué sur les fesses tendues. Calmement notre sévère maman reposa la brosse et écarta à nouveau les deux hémisphères brûlants.

- bien j’espère que la leçon est bien rentrée dans ton derrière ma chérie, mais si ce n’est pas suffisant nous recommencerons aussi longtemps que nécessaire.

Cette fois ci Catherine se laissa faire, ses fesses largement ouverte par les doigts expert de Leslie, le thermomètre pénétra lentement mais très profondément.



 Catherine gémissait doucement, des sanglots sortaient encore de sa gorge de temps en temps. Leslie relâcha les fesses, seul un petit bout de verre dépassait des deux fesses écarlates. J’avais jeté un oeil dans la glace pour assister à cette nouvelle punition, maintenant c’était à mon tour. Je m’étais jurée de ne pas donner l’occasion à ma belle fille d’utiliser à nouveau sa brosse sur mes fesses, aussi quand je sentis ses doigts écarter mes fesses malgré ma honte, je me laissai faire. Je devinais que Leslie devait être un peu déçue, je me concentrais pour ne pas resserrer mes fesses, le thermomètre rentrait difficilement, ma jeune maman tapota mes fesses.

- ma chérie ton petit trou est bien serré, il va falloir remédier à cela.

Elle ressortait l’instrument médical devenu outil punitif puis elle le rentrait à nouveau doucement, c’était je dois l’avouer aussi humiliant qu’excitant.



- allez détend toi ma chérie, on y est presque, le petit trou de Catherine a fait moins d’histoire que le tien, peut être que je devrais prendre la brosse.

- non, non Mlle Leslie, pas la fessée, je ne fais pas exprès.

- je te crois ma petite chérie mais il va falloir trouver une solution. 

Enfin après de nombreux aller et retour le thermomètre fut bien en place. 

Satisfaite Leslie pris son téléphone pour une photo de nos deux fessiers écarlates, bien garni par le thermomètre. Celle-ci fut  mise immédiatement en ligne sur Twitter.

Puis elle appela sa copine Chloé pour lui raconter notre punition, elle avait mis l'ampli pour que nous entendions la conversation. Au sujet de la mise en place difficile du thermomètre dans mon derrière, Chloé suggéra la solution que je redoutais le plus. 

- oh ce n'est pas difficile ma chérie il faut assouplir son petit trou. Tu commences par lui mettre le thermomètre matin et soir et si ce n'est pas suffisant il faudra que tu te procure un plug, c'est radical. 

Elle nous laissa en exposition fesses à l'air pendant une heure. Je peux vous garantir que c'est très long. J'avais compris que j'allais goûter souvent à cette nouvelle punition. 






lundi 28 novembre 2022

Sylvie est une paresseuse.

Pour vous faire patienter.... c'est vrai que c'était mérité.... Mais ça fait très mal aux fesses. 


 15 jours que tu n'as rien écrit, c'est inadmissible et tu le sais !!!

File au coin pour réfléchir !!


Je suppose que tu sais ce qui va t'arriver ?


Je déteste les dames paresseuses. Viens ici !


Et oui une bonne fessée déculottée comme une gamine. C'est un peu tard pour protester ma petite chérie. 

Oui je sais que ce n'est pas très agréable à ton âge de montrer tes fesses à tous le monde mais tu l'as bien cherché. 

Maintenant on va passer aux choses sérieuses. 


Oui madame, une vraie bonne fessée déculottée qui va te laisser le derrière bien rouge. 

Comme ça. Je suis sûr que tout le monde va apprécier. 











On va passer à la vraie fessée maintenant, celle qui va te faire le plus grand bien. 

Tu vas voir ma petite chérie tu vas très rapidement te remettre au travail après ça.


 Et oui ĺa brosse à cheveux de Caroline est toujours aussi efficace n'est ce pas ?

Oh tu peux pleurer. Tu regrettes ? J'espère bien. Ça brûle ? Mais c'est fait pour ça la fessée cul nu ma petite chérie. 

Viens me montrer tes fesses. 











Et bien c'est parfait. Maintenant tu files au coin. 

Oui  fesses à l'air bien sûr que tout le monde puisse admirer ton joli derrière bien rouge.


 A Mel tu tombes bien. Oui je viens de punir Sylvie. Plus de 15 jours sans rien publier sur son blog. 

Mais oui ma chérie tu as également le droit de t'occuper de ses jolies petites fesses. 

Sylvie vas voir Mel, elle a quelque chose à te dire. 


Alors comme ça tu ne veux plus écrire ? Et bien ma petite chérie, je vais m'adresser à tes fesses. 

Oui tu as raison Caroline, je suis sûr que c'est le meilleur remède à la paresse. 

Que dirais tu d'une double fessée pour notre petite Sylvie?

Allez en position madame. 


Je crois qu'elle va s'en souvenir de celle là. C'est vrai qu'elle a une bonne paire de fesses. Des fesses faite pour la fessée déculottée. 

Et oui ça brûle ma pauvre petite chérie. 


Maintenant au coin pendant 30 minutes 



et ensuite au travail !!


Je pense que Sylvie va bientôt publier....

mercredi 16 novembre 2022

Sylvie et Leslie 6

 La fessée de Catherine 



Nous avons rapidement trouvé notre équilibre, Catherine et moi étions maintenant sous l’autorité de Leslie. Celle ci proposa à Catherine de venir s’installer à la maison, c’était avantageux pour elle car elle n’aurait plus de loyer à payer.

En contrepartie elle se rendit vite compte qu’elle y perdait en liberté mais nous étions amoureuse et le plaisir de se retrouver ensemble quasiment en permanence était une grande compensation aux fessées régulières que nous recevions.

Car bien sûr, Catherine fut soumise au même régime que moi, Mme Dujou obtint le droit de lui administrer la fessée déculottée quand elle le jugeait utile et la connaissant, elle jugeait nécessaire de nous rougir le derrière à toute les deux à chaque fois qu’elle venait à la maison.


 Nous ne risquions pas d’attraper froid aux fesses je puis vous l’assurer.

La première fois, Catherine fut un peu prise au dépourvu, elle était en vacances, nous étions seule à la maison, je m'étais déjà habillée sachant que Mme Dujou ne supportait pas que l'on traîne en pyjama le matin. J'avais pourtant prévenue mon amie mais les fessées de Leslie ne l'avait pas encore guéri de sa nonchalance. 

Dès que Mme Dujou la vit elle se dirigea vers elle et lui saisit l’oreille, elle avait une technique particulière, comme elle était grande, elle levait le bras et la punie était presque obligée de se mettre sur la pointe des pieds

- aïe, aïe non, non  ça fait mal AÏE

La main de notre sévère gouvernante, c’est ainsi que je la nommais maintenant s’était abattue sur le derrière de Catherine.

- oui je sais, c’est fait pour ça ma petite !! mais ce n’est rien, garde tes cris pour la fessée que tu vas recevoir.

Toujours tenant Catherine par l’oreille et accompagnant sa marche par de grandes claques sur le fessier encore culotté de mon amie, elle se dirigeait vers la table, elle tira une chaise et s’y installa confortablement, les claques avaient  cessé mais elle tenait toujours fermement l’oreille de cette dame de 50 ans redevenue une collégienne grondée par son institutrice, la main tenant l’oreille s’était abaissée et maintenant pour calmer la douleur de son oreille, Catherine était obligée de suivre le mouvement, en un instant elle se retrouva couchée sur les genoux de Mme Dujou.

Celle ci l’installa bien confortablement, la faisant basculer un peu plus vers l’avant, de façon que sa tête touche presque le sol, que ses pieds soit décollé et ses fesses au sommet de cette courbe juste à sa portée. Elle tapota la culotte du pyjama bien tendue sur le derrière.

- il est 9 heure ma petite Catherine et tu es toujours en pyjama, je suppose que tu n’as pas encore fait ta toilette, tu te moques du monde ! et bien on va commencer ton éducation, tu as remarqué que Sylvie est déjà prête, je pense qu’après quelques bonnes fessées déculottées comme celle de ce matin tu vas apprendre à ne pas traîner !!

Elle glissa sa main sous la ceinture du pyjama et d’un coup sec elle le descendit jusqu’aux genoux de la pauvre Catherine.


Elle poussa un cri, elle sentait l’air frais sur ses fesses, car Leslie nous interdisait de garder une culotte sous le pyjama.

Bien sûr, elle savait dès que Mme Dujou lui avait saisi l’oreille qu’elle n’échapperait pas à la fessée déculottée. Mais c’est une chose de le savoir et une autre de sentir sa culotte descendre et de se retrouver fesses à l’air en bonne position pour recevoir ce châtiment habituellement réservé aux gamines. Catherine maintenant n’était plus une dame de 50 ans se prélassant en pyjama dans le salon mais une adolescente paresseuse punie par sa gouvernante. Et punie de la plus humiliante des façons par une bonne fessée cul nu devant sa petite amie. Car Mme Dujou savait y faire pour nous ramener à notre statut d’adolescente immature malgré notre âge.

- et oui ma petite Catherine, cul nu. Ah maintenant tu commences à regretter, oui, oui, je sais tu n’as pas fait exprès tu regrettes, tu demande pardon, bien sûr quand on présente son petit derrière tout nu et tout blanc, on est prête à tout promettre pour éviter la fessée. Mais c’est trop tard. Tu as mérité une bonne fessée et je te promets que tu vas l’avoir.

En effet Catherine gémissait et se tortillait, les fesses bien présentées elle demandait pardon, promettait de ne plus recommencer. Mme Dujou tapotait le large derrière étalé devant elle.

- oh, ça j’en suis sûr que tu ne vas pas recommencer, la fessée c’est fait pour ça ma petite, avec les fesses bien rouges on réfléchis mieux.

J’étais fascinée par le spectacle que m’offrait bien malgré elle Catherine, elle avait vraiment un magnifique fessier, sous les bouffées d’angoisse qui la traversait, elle serrait et desserrait ses fesses, j’entrevoyais entre ses cuisses sa toison brune. Habituellement c'était moi qui était dans cette position et qui exposait mon intimité, je sentais un humidité dans ma culotte, je mouillais, ce n'était pas très charitable pour ma petite amie car je connaissais la main de Mme Dujou, je savais que dans quelques instants les fesses de Catherine allait être brûlantes et qu'elle allait se mettre à pleurer mais le spectacle de ses fesses nues frissonnant avant la punition était vraiment trop excitant. Mme Dujou commença la fessée, je connaissais trop bien sa technique, elle claquait alternativement chaqu9e fesse très lentement mais très fort de façon que la punie ressente bien sa condition. Puis quand le derrière commençait à prendre une jolie couleur rose, elle accélérait la cadence, variant la vitesse et la force des claques. 



Par moment elle claquait plusieurs fois au même endroit entraînant des cris perçants de la pauvre Catherine puis elle s'attaqua à la base des fesses et au haut des cuisses, à cet endroit je savais que la fessée était très douloureuse, d'ailleurs Catherine ne tarda pas à pleurer au milieu de ses supplications. 

- noon, aïe aïe aïe, pardon madame, s'il vous plaît, ça brûle AÏE AÏE. 

Je compatissais maintenant vraiment, je savais ce que Catherine devait ressentir, elle ne pensait plus à sa pudeur, elle ouvrait largement ses cuisses et j'admirais vraiment son intimité mise en valeur par le rouge profond qui ornait maintenant toute la surface de son fessier. Je ne me souvenais pas avoir reçu une fessée aussi sévère par Mme Dujou. Je pense qu'elle voulait que Catherine se souvienne de sa première fessée déculottée.  Quand enfin elle fit relever Catherine, celle-ci avait les joues noyées de larmes, sa culotte de pyjama entourait ses chevilles, son fessier était rouge brique du bas du dos jusqu'au  haut des cuisses. Elle posa ses mains sur ses fesses mais Mme Dujou l'arrêta immédiatement. 

- tu ne frottes pas tes fesses, mets tes mains sur la tête !! Si jamais tu touches encore à tes fesses, tu reviens faire un petit séjour sur mes genoux. 

Catherine en reniflant s'exécuta, fidèle à sa technique, Mme Dujou lui saisit à nouveau l'oreille et la conduisit au coin de la pièce qui lui était maintenant réservé. Une dernière claque bien appliquée au milieu des fesses avec les dernières instructions. 

- le nez contre le mur et je ne veux plus t'entendre. 



Catherine avait les épaules secouées par ses sanglots et ses fesses se contractaient pour essayer d'atténuer la cuisson mais à part ça elle ne bougeait pas, son visage était bien collé contre le mur. Je n'arrivais pas à quitter des yeux le fessier écarlate de ma petite amie, la sévère gouvernante me rappela à la réalité. 

- tu ne vas pas rester là à bailler aux corneilles, tu as vu ce qui arrive aux petites paresseuse ! Viens avec moi je vais te trouver du travail. 

Elle me tendit un chiffon et me désigna les bibelots qui était sur un meuble. 

- tu vas me faire la poussière, et correctement, je vérifierai et gare à tes fesses si ce n'est pas fait correctement. 

Je connaissais par coeur ce travail, c'était sa petite punition préférée, je pouvais également faire la poussière de la bibliothèque. Je savais aussi que malgré toute mon application, elle retrouverait bien une petite trace. Elle avait travaillé dans les palaces et les gouvernantes passait toujours un gant blanc pour détecter la moindre poussière. Elle m'avait raconté que quand elle était jeune fille, il n'était pas rare de se retrouver dans la chambre que l'on venait de finir, fesses à l'air sur les genoux de la gouvernante pour une bonne fessée déculottée. 

Moi je n'étais plus une jeune fille mais la punition serait la même. 

Mme Dujou laissa Catherine au coin pendant 1/2 heure. Puis elle l'appela, je connaissais la suite pour y être passée plusieurs fois. 

- bien maintenant, madame la paresseuse, à la salle de bain et vite. Enlève moi cette culotte de pyjama, tu n'en as plus besoin. 

Catherine était maintenant résignée, elle retira son bas de pyjama et le tendit à Mme Dujou. Une solide claque sur les fesses lui indiqua qu'il ne lui fallait pas traîner, sa croupe était encore bien rouge. C'était un spectacle assez excitant que de voir cette dame d'âge mûr, nue de la taille jusqu'au pied, avec ses fesses rouges qui se balançaient au rythme de sa marche rapide.

Arrivée dans la salle de bain la sévère matrone lui indiqua la baignoire. 

- allez ma petite, toute nue et vite, je vais t’apprendre à traîner le matin. 

Catherine était abasourdie, Mme Dujou comptait assister à sa toilette?

En fait la perverse femme de ménage allait faire beaucoup plus mais Catherine ne le savait pas encore. Elle était maintenant intégralement nue, ses joues étaient de la même couleur que ses fesses. Deux nouvelles claques bien appliquées  sur chaque fesse retentirent dans la pièce. 

- dans la baignoire, vite ! Décidément il va falloir que je m'occupe de tes jolies fesses pour te faire obéir mais crois moi maman Dujou sait s'occuper des paresseuses !

Catherine avait poussé un petit cri, elle enjamba rapidement la baignoire. 

- tourne toi !

L'ordre avait claqué, la dame redevenue une gamine, présenta ses fesses rouges. Mme Dujou avait saisi la pomme de douche et elle la braqua sur le fessier rougeoyant. Catherine poussa un cri et sautilla sur place. 

- oh non...aïe, c'est trop froid.

Mme Dujou esquissa un sourire, elle avait effectivement réglé la douche sur l'eau froide.

- c'est pour te réveiller ma petite paresseuse, allez présente moi bien ton petit derrière, penche toi en avant. Catherine était au comble de l'humiliation mais elle s'exécuta. 

- écarte moi tes cuisses que je nettoie ton petit minou.

Mme Dujou coupa l'eau et pris un gant de toilette qu'elle enduisit bien de savon puis elle entrepris de savonner le derrière encore chaud. S'en était trop pour la pudeur de Catherine elle se redressa et se retourna. 

- non, non...vous n'avez pas le droit, je vais me laver toute ….. aïe aïe aïe non…

Elle n'avait pas eu le temps de finir sa phrase, Mme Dujou l'avait fait se retourner à nouveau et avec l'autre main elle avait saisi la brosse de bain qui claquait maintenant la large croupe mouillée. 



Depuis le salon j'entendais tout, les portes étaient restées ouvertes. Je compatissais vraiment car une fessée sur la peau mouillée c'était très douloureux mais je reconnaissais également le bruit de la brosse de bain, c’était l’instrument que je craignais le plus. 

La pauvre Catherine trépignait sur place, maintenant elle pleurait à chaudes larmes, Mme Dujou savait qu'elle était matée, elle reposa la brosse de bain.

- je vais t’apprendre à te rebeller ! tu vas le regretter ma petite, tourne toi !

Catherine lui faisait face les larmes coulait sur ses joues. La fessée à la brosse de bain avait été courte mais ses fesses étaient brûlantes, les larmes étaient autant due à la douleur qu’a l’humiliation d’être traitée comme une adolescente rétive à 50 ans.

Mme Dujou avait saisi la savonnette, elle l’approcha du visage de Catherine.

- ouvre la bouche !!

Elle enfonça le savon humide dans la bouche de mon amie, celle ci eu un mouvement de recul mais avec son autre main, Mme Dujou lui tenait la tête.

- tu serres les dents, si jamais il tombe je te garantis que tu ne pourras pas t’asseoir pendant un moment. Ça va t’apprendre à te rebeller. Maintenant tu te retournes et tu te penches que je puisse m’occuper correctement de tes fesses et de ton petit minou.

Catherine était vaincue, elle s’empressa d’obéir serrant fermement la savonnette entre ses dents. Je connaissais cette punition très populaire chez les mamans anglaise, j’avais souvent eu la bouche savonnée, aussi bien par Leslie que par Mme Dujou. C’était une punition très désagréable et particulièrement humiliante.

Catherine tendait maintenant ses fesses à notre gouvernante. Celle-ci  avait repris le gant et savonnait énergiquement le large derrière étalé devant elle, elle ne se gêna pas pour lui écarter les fesses comme si elle faisait la toilette d’une gamine, elle frotta la raie fessière, le doigt ganté s’insinua même légèrement dans l'anus mis à jour par la position. En d'autres temps cette dame, cadre dans l'informatique se serait rebellée contre ce petit viol mais après une magistrale fessée déculottée manuelle, un lavage des fesses à l'eau froide, une fessée à la brosse de bain et un savonnage de bouche, elle n'était plus en position de refuser quoi que ce soit.

- écarte les jambes un peu plus, il faut que je nettoie ton petit minou correctement. 

Catherine obéissait comme un automate. 

- c'est bien, tu deviens mignonne, c'est fou comme une dame change quand elle a les fesses bien rouges. 

Mme Dujou savonna rapidement le reste du corps, la toilette n'était pas le but principal, il fallait que Catherine comprenne qu'elle devait lui obéir en tout point.

Elle repris la pomme de douche toujours réglée sur froid et rinça intégralement la pauvre Catherine, celle-ci trépignait sur place et respirait rapidement pour essayer de supporter cette douche froide elle serrait désespérément la savonnette pour ne pas la faire tomber. Mme Dujou pris son temps, lui faisant à nouveau présenter ses fesses. Enfin le petit supplice pris fin, Mme Dujou lui retira la savonnette et lui saisit à nouveau l'oreille pour la faire sortir de la baignoire, puis elle s'assit sur un tabouret. Catherine était contre son genoux, elle lâcha l'oreille et posa une serviette sur ses cuisses, comprenant ce qui l'attendait ma petite amie se mit à pleurer, j'entendais tout depuis le salon et je trouvais que Mme Dujou était particulièrement sévère aujourd'hui, je serrais mes fesses sous ma petite culotte car ça n'augurait rien de bon.

- noon, pardon madame, s'il vous plaît plus la fessée, non, non…

les sanglots noyaient les paroles

- décidément tu n'as pas encore compris que je ne veux pas t'entendre ! Ouvre la bouche.



La savonnette avait repris sa place dans la bouche de Catherine, je devinais que Mme Dujou l'avait remise en position. 

- bien, tu vas voir ma petite chérie, Maman Dujou va sécher tes jolies petites fesses, ça va te faire le plus grand bien et tu ne refuseras plus de te faire laver les fesses. 

Elle releva à nouveau la main et la fessée repris de plus belle. Les pleurs et les supplications de Catherine était étouffés par la présence de la savonnette dans sa bouche.

 


J'avais déjà subi l'humiliation de la fessée mouillée avec la bouche savonnée, je peux vous dire qu'après on plus du tout envie de se rebeller. Après une centaine de claques, les fesses de Catherine était écarlates et parfaitement sèches. Mme Dujou cessa la fessée et la fit se relever. Elle lui enleva la savonnette et lui tendit une serviette. 

- bien j'espère que la leçon à été comprise, fini de te sécher. Tu as gagné un lavage des fesses chaque fois que je viendrai pendant 15 jours. Je veux te trouver dans la salle de bain en tenue d'Eve à mon arrivée. 

La sévère gouvernante s'y entendait pour ramener les dames mûres au rang de gamine, j'avais subi le même traitement quelques années avant et c'est vrai que je ne traînais plus le matin pour me préparer. 

- bien maintenant tu files dans ta chambre, on va t'habiller. 

Une nouvelle vigoureuse claque sur le fessier rougeoyant avait montré la direction à Catherine. Je regardais ma petite chérie traverser le salon entièrement nue. Ses larges fesses n'étaient plus que deux boules rouges qui se balançaient au rythme de la marche, j'avoue qu'une petite humidité gagna ma culotte. 

Arrivée dans la chambre, Mme Dujou lui choisi un soutien gorge et un haut blanc, elle lui fit enfiler des socquettes et lui tendit un petit tablier de soubrette. 

- tu es privée de culotte jusqu'à midi, ça va te faire le plus grand bien et j'aurai tes fesses à ma disposition si tu n'es pas sage. Tu vas aller voir Sylvie elle va te montrer comment faire la poussière des livres dans la bibliothèque. 



Nous étions toutes les deux au travail, la tenue de Catherine était beaucoup plus sexy que la mienne. Je vérifiai que Mme Dujou n'était pas là et je lui caressai la croupe brûlante.

- tu sais ma chérie que tu es adorable dans cette tenue avec ton petit derrière bien rouge. 

Elle se retourna et me fit un petit sourire au milieu de ses larmes qui commençait à sécher. 

- vilaine, j'espère que Mme Dujou va s'occuper sérieusement de tes fesses à toi aussi. 

Je fis une petite moue.

- tu n'as pas à t'inquiéter la connaissant, c'est sûr que je vais y passer.






vendredi 11 novembre 2022

Fessée en famille

Une suite des récits de Julie où on découvre que Hubert n'est plus vraiment le seul à devoir présenter ses fesses nues.

Quand ces messieurs nous montrent leurs fesses.



Sylvie rêvait de voir Hubert recevoir une fessée et moi de mon côté je pensais qu'il fallait passer un cap et qu'une fessée publique ferait du bien à mon petit chéri. Et comme je tenais à la discrétion absolue sur nos pratiques conjugales, Sylvie était la personne adéquat pour assister à cette fessée. Ce serait assez simple car elle venait souvent prendre le thé à la maison en rentrant du travail et Hubert me fournissait toujours de bonnes raisons de le déculotter. Ce fut quelques temps après qu'elle est reçu sa première fessée, je m'étais dit également qu'il fallait bien qu'elle ait une petite compensation. Hubert me fournit l'occasion rêvée un soir en arrivant à la maison de fort méchante humeur, ne sachant pas que nous étions là, il jura abondamment après les embouteillages et ces connard (sic) de conducteurs qui l'avait retardé. Quand il pénétra dans la pièce il fut très surpris de notre présence, je sautai sur l'occasion.

- ah c'est comme ça que tu parles, tu sais que je déteste cette façon de te comporter !"

Il s'excusa platement, il savait ce qui allait suivre, une bonne fessée dans la chambre, mais quand je lui ai dit ,

- approche un peu mon chéri, je vais te faire passer cette sale habitude, et tu connais ma méthode comprenant ce qui allait lui arriver, il blêmi et bafouilla des excuses mais il s'est approché, en souriant je lui ai dit

- c'est un peu tard, mon chéri tu sais ce qui arrive au mari malpoli, non ? Et bien je vais te le dire, il reçoive une bonne fessée déculottée

 tout en disant ces mots je déboutonnais son pantalon et quelques instants plus tard il descendait sur ses chevilles, il était tétanisé, je lui ai pris la main et l'ai fait se coucher en travers de mes cuisses. Bien sûr Sylvie ne perdait rien du spectacle et elle regardait en souriant ce monsieur de 40 ans allongé sur les genoux de sa femme le pantalon descendu s'apprêtant à recevoir le châtiment traditionnellement réservé aux enfants. Tranquillement je glissai mes doigts sous la ceinture de son boxer et je fis descendre la dernière protection de son amour propre. 



En un instant ce monsieur était passé de la position de cadre sûr de lui à celle d'un petit garçon déculotté prêt à recevoir une fessée. Je levai ma main et je commençai à lui administrer une magistrale correction. J'alternais rapidement les claques sur la fesse gauche puis sur la droite, celles ci prirent rapidement une très jolie couleur, au début ne voulant pas montrer de faiblesse, Hubert ne disait rien mais je savais comment le faire réagir, il fallait augmenter la rapidité et la force des claques, le résultat ne se fit pas attendre, il se mit à gémir puis à pleurnicher. Ses fesses étaient devenues écarlates sur toutes leurs surfaces, du haut des cuisses jusqu'au bas des reins. Je lui avais mis une jolie culotte rouge comme j'avais l'habitude de lui dire après une magistrale fessée. La correction était terminée mais pas la punition, il faut toujours rajouter à la douleur de la fessée une part d'humiliation, le déculottage en public en avait fait partie aujourd'hui mais comme je tenais à marquer le coup, je le fis se relever et je lui dit.

- bien j'espère que ça va te servir de leçon, tu vas aller montrer tes fesses à Sylvie pour qu'elle puisse constater comment je soigne les petits mal élevé.

Il marqua une hésitation, signe de son incrédulité, une claque vigoureuse sur son fessier qui était encore à ma portée le fit obéir.

- oui, oui, tu as bien compris, tu vas voir Sylvie, tu te tournes et tu te penches un peu pour bien lui présenter tes fesses et vite !

Une nouvelle claque avait accompagné ces paroles. Rouge de honte il s'exécuta, Sylvie appréciait à sa juste valeur ma sévérité et elle décida d'en rajouter un peu, elle palpa le fessier qui lui était si bien présenté,

- oh, mais c'est bien chaud, ça doit bien te cuire, mais je pense que c'était mérité, approche un peu plus

 Maintenant elle caressait toute la surface, ses doigts s'insinuaient dans la raie fessière.



- elles sont bien contractées ses fesses, allez desserre moi un peu tout ça.

Une petite claque sur les fesses avait accompagné ces mots. Hubert était au supplice, on le laissa pendant quelques instants dans cette position fesses bien rouge tendues vers nous. Puis je lui dit d'enlever son pantalon et quand ce fut fait pour parachever son retour en enfance, je le pris par l'oreille pour le conduire au coin.

- le nez bien collé au mur, les mains sur la tête et que je ne te voies pas bouger !



Une claque retentissante sur chaque fesses, la chemise épinglée dans le dos pour bien dégager la surface de la punition et je pus me reprendre ma place sur le canapé pour admirer le spectacle.

Comme si de rien n'était, nous avons repris notre conversation, bien sûr, elle tournait autour de la fessée, comment aurait il pu en être autrement avec le spectacle que nous offrait Hubert bien malgré lui, une magnifique paire de fesses bien rouge, soulignée par le blanc de la culotte à mi cuisse et la chemise retroussée, les fesses se contractaient régulièrement, preuve de la cuisson que devait ressentir le puni, ne pas pouvoir se frotter les fesses après une bonne déculottée fait partie de la punition. Sylvie me demanda qu'elle était la suite du programme, la faute était véniel, mais Gérard n'avait pas de chance, il fallait que je montre mon autorité à mon amie, aussi j'ai prononcé une sentence d'une sévérité un peu disproportionnée,

- il va rester 1 heure au coin pour commencer, ensuite une fessée avant le repas, il mangera fesses nues sur la chaise en paille, ça empêche les fesses de perdre leurs belles couleurs, ensuite après avoir débarrassé la table, une nouvelle fessée et il passera la soirée sur mes genoux avec le thermomètre bien en place dans les fesses.

Sylvie  était impressionnée

- et bien après ça je pense qu'il va réfléchir à deux fois avant de jurer !

 Nous restâmes quelques instants à papoter, puis elle prit congé. J'appliquai à la lettre le programme annoncé, rajoutant juste une petite fessée avant le coucher pour faire bonne mesure.

Quelques jours plus tard, Sylvie m'invitait chez elle, à mon arrivée une bonne surprise m'attendais, Hugues était au coin de la pièce, sans pantalon, la culotte descendue juste sous les fesses et les mains sur la tête.

Il faut que je vous présentes Hugues, malgré la différence d’âge c’était le nouveau petit ami de Sylvie, c’est un étudiant en médecine à qui elle louait une chambre. Il n’avait pas été insensible aux formes généreuse de mon amie et Sylvie avait rajeuni à son contact, mais bientôt cette coquine de Sylvie ayant pris goût à la fessée, leur rapport avait évolué et elle jouait souvent à la maman sévère avec son jeune amant. Elle voulait me faire une surprise

- tu tombes à pique ma chérie, je m'apprêtais à administrer une bonne fessée à mon petit chéri, une déculottée publique lui fera le plus grand bien

Hugues se trémoussait un peu signe de sa gêne d'exposer ainsi ses fesses nues. Il me connaissait un peu, mais il était gêné de se retrouver dans cette situation même si Sylvie lui avait expliqué que je pratiquais de la même façon avec mon mari.  

- cesse un peu ces simagrées, tu vas avoir tout le loisir de remuer tes fesses dans quelques instants, rassure toi

Sylvie se délectait de la situation. Elle le fit se reculotter et il dut venir la voir tête basse, il n'osait pas me regarder. J'étais ravie de la situation. Quelques instants plus tard il était allongé en travers des cuisses de sa petite amie.

- J'espère que tu te rends bien compte de ce qui va t'arriver, oui mon chéri, tu vas recevoir une bonne fessée déculottée en présence de Sylvie, tu as honte ? C'est fait pour ça, la prochaine fois tu réfléchiras avant de me répondre sur ce ton

Tout en disant ça, elle avait saisi la ceinture de la culotte et elle l'a faisait descendre lentement pour découvrir le postérieur de son petit chéri.

- voilà, monsieur, cul nu, comme un sale gosse et je peux te dire que Julie n'en perd pas une miette

- Elle prenait un malin plaisir à faire durer le déculottage

quand la culotte fut descendue sous les fesses , j’applaudis

- bravo ma chérie, belle technique, les fesses de ton chéri sont très bien présentées.

Satisfaite Sylvie souriait en contemplant les fesses encore blanches de son chéri, puis elle leva la main et commença la correction, Hugues ne tarda pas à réagir, il se mit à crier et à tortiller ses fesses, à les serrer et desserrer à battre des pieds. On voyait bien que ce n'était pas une fessée pour de rire, ça devait cuire énormément le derrière d'Hugues. La fessée dura jusqu'à ce qu'une belle couleur illumine le fessier du puni.



Elle le fit se relever, il pleurait comme tous les fessés du monde et elle le conduisit par l'oreille au coin de la pièce qu'il occupait quelques instants auparavant. Je l'ai félicité.

- je vois que tu as vite pris la technique, c'était vraiment une belle fessée

Sylvie ne comptait pas en rester là, elle appela Hugues,

- tu vas aller chercher la brosse à cheveux dans la chambre, et tu me la ramène

 il s'exécuta, la culotte baissée, exposant ses fesses rouges, en revenant, il tendit l'instrument de sa future punition à Sylvie,

- non, non, mon chéri, c'est à Julie que tu dois la donner, c'est elle qui va s'occuper de tes fesses

il l'a regardait stupéfait

- oui, oui, tu as bien compris, Sylvie va t'administrer une fessée à la brosse, je t'avais dit que tu regretterais ton comportement !

 J'étais aux anges, c'était vraiment un beau cadeau que me faisait mon amie, flanquer une déculottée à ce jeune homme, voilà qui était enthousiasment. Hugues piteusement en regardant ses pieds me tendit la brosse, sans attendre, je lui ai pris la main et l'ai fait basculer sur mes genoux, la culotte était déjà baissée mais je la fit descendre jusqu'au genoux. 



Puis je levai la brosse et commençai la correction. Qui n'a jamais reçu une fessée à la brosse à cheveux ne sait pas qu'elle est la brûlure ressentie, mais je peux vous assurer qu'a ses supplications et aux mouvements de ses pieds et aux contractions de ses fesses ça devait être terrible. Quand je cessai la fessée, ses fesses étaient rouge brique, il pleurait mais ne bougeait pas m'exposant son derrière qui se contractait pour essayer d'atténuer la brûlure. Sylvie se leva en me demandant de le garder sur mes genoux, elle revint quelques instants plus tard avec un thermomètre à la main.

- il est tout neuf, je l'ai acheté c'est après midi, tu vas l'inaugurer

Décidément j'étais gâtée, en plus Hugues n'avait jamais du se faire introduire un thermomètre rectal, ça promettait d'autre fessée à venir. Le résultat fut à la hauteur de mes espérances, le pauvre Hugues, malgré mes menaces ne put s'empêcher de serrer plusieurs fois les fesses au moment de l'introduction de l'instrument punitif, ce qui lui valu autant de fessée à la brosse. Quand enfin seul un petit bout du thermomètre dépassa de sa raie fessière, son postérieur présentait une couleur flamboyante et il pleurait à chaudes larmes.



- et bien nous y voilà, ça n'a pas été sans mal, mais la il est bien en place, il ne bougera plus, tu vas rester la sur mes genoux à nous présenter tes fesses pendant 20 minutes ensuite Sylvie décidera de la suite.

 Celle ci avait observé avec attention ma technique.

- oh, ce n'est pas difficile, puisque monsieur n'accepte pas sa punition, et bien c'est toute la soirée qu'il aura le thermomètre dans les fesses et en plus, il sera au privé de repas.

J'approuvai sa sévérité et je lui expliquai comment procéder, il fallait installer un coussin sur une table basse de façon que le puni soit couché, fesses en l'air bien exposées, et ensuite lui introduire bien profondément le thermomètre. 



Ensuite elle pouvait vaquer à ses occupations en surveillant du coin de l'œil son petit chéri en pénitence. En général après une soirée comme celle là, les rebellions disparaissent comme par enchantement. Je lui recommandai aussi de redonner une bonne couleur aux fesses du puni par l'application régulière de la brosse à cheveux.

Au bout des 20 minutes, je permis Hugues à relever après lui avoir retiré l'instrument de sa punition. Sylvie avait préparé le banc de pénitence, elle l'attrapa par la main pour l'y amener mais avant de le faire s'allonger, trouvant que le fessier de son mari avait pâli, elle posa son pied sur la table basse et sans lui laisser le temps de réfléchir, elle l'avait courbé sur sa cuisse horizontal et soulevé de terre comme un gamin, ses fesses étaient à nouveau à sa disposition, elle lui administra à nouveau une retentissante fessée.





Puis le reposant par terre elle lui annonça

- en position, et vite et tu m'ouvre bien ses fesses sinon gare !

 Cette fois-ci elle n'eut aucun mal à mettre le thermomètre en place. Satisfaite de ma soirée, je pris congé.

Depuis cette date, j'ai à ma disposition trois paires de fesses, deux masculines bien musclées et une féminine un peu plus potelée mais non moins agréable. Et il ne se passe pas de semaine ni même de jour sans que l'une où l'autre rougissent et parfois les trois.

Mais me direz vous comment vous organisez vous avec ces trois fessiers quand il y en a plusieurs à punir. Pour ce qui est des messieurs, aucun problème Sylvie me seconde elle fesse indifféremment Hubert et Hugues. Quand c'est à elle de montrer ses fesses, je la fesse même en présence de mon mari, ça lui fait plaisir de voir Sylvie couchée sur mes genoux la culotte baissée en train d'exécuter une danse des fesses et finir au coin fesses écarlates bien exposées. En général pour faire bonne mesure il a droit lui aussi à sa fessée pour ne pas le laisser se réjouir trop longtemps de sa bonne fortune.



Je n'ai jamais fessé Sylvie devant Hugues pour qu'elle garde son autorité intacte, mais elle sait qu'elle ne doit pas en profiter sous peine de fessée exemplaire quand nous serons seules.



Depuis maintenant plusieurs années nos deux couples sont restés très amis et la fessée fait vraiment partie de notre vie mais toujours dans la discrétion.



 

 

Deux étudiantes 22

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