Après la prise en main par mesdemoiselles Caroline et Mel. Voici enfin la suite du récit que vous attendiez.
Double punition pour deux dames.
Catherine s'était juste remise au travail quand Mme Dujou entra dans la pièce. Son derrière dénudé et rougeoyant était vraiment des plus appétissant, surtout qu'avec le mouvement du chiffon, ses fesses remuaient de façon très suggestives. Mme Dujou fronça les sourcils.
- voyons où tu en es ? Je n'ai pas l'impression que tu ais beaucoup avancé.
Catherine rougit, bien sûr, elle commençait tout juste à épousseter les livres. Mme Dujou eu vite fait de s'en rendre compte.
- mais tu te moques de moi. les fessées de ce matin n’ont pas suffit !
J'étais honteuse car c'était à cause de moi que Catherine n'avait pas commencé immédiatement sa tâche. Déjà Mme Dujou l'avait saisi par la taille et l'avait fait se courber en avant pour bien tendre ses fesses.
L'absence de culotte rendait la fessée plus rapide, immédiatement la main de la sévère matrone commença à claquer le derrière tendu. Les fesses étaient encore bien rouges, mais rapidement le rouge devint plus foncé. Catherine s'était remise à pleurer, ses fesses étaient très sensibles. Mme Dujou savait doser la sévérité de ses fessées, elle ne claqua pas très longtemps le derrière bien présenté, c'était juste une petite mise au point. Elle relâcha Catherine et après une dernière claque elle lui annonça.
- puisque tu semble décidée à continuer tes désobéissances, tu es privée de culotte jusqu'au retour de Leslie, je te laisserai le soin de lui expliquer pourquoi tu es restée fesses à l'air toute la journée. Catherine fit une petite grimace, ça augurait automatiquement d'une fessée de notre maman Leslie. De toute façon Mme Dujou lui faisait toujours un rapport circonstancié de la journée, mais le plus dur c'est quand on devait avouer nous même les raisons qui nous avait valu un passage sur les genoux de Mme Dujou la culotte baissée.
Catherine s'était remise au travail, la sévère gouvernante se dirigea vers moi en enfilant un gant immaculé.
- voyons un peu si tu as progressé depuis la dernière fois.
Mes fesses se préparait déjà sous ma culotte, automatiquement elle allait retrouver une petite trace de poussière. Elle prenait son temps, quand elle eu frotté consciencieusement les bibelots, elle me mit le gant sous le nez et me prit par l'oreille.
- décidément, il n'y a que la bonne fessée déculottée pour te faire comprendre, et bien allons y.
Elle s'était déjà assise sur la chaise qui avait servi pour la fessée de Catherine. Je fus rapidement tirée en travers de ses genoux, ma jupe courte découvrait déjà ma culotte, je le voyais dans la grande glace du salon. Elle la retroussa très haut sur les reins, du coin de l'oeil je voyais que Catherine tout en continuant à épousseter les livres jetait un regard intéressé au spectacle que je lui offrais bien malgré moi. Après tout je ne pouvais pas lui en vouloir, j'avais assisté moi aussi à ses déculottées. Je serrais les fesses dans l'attente de la première claque, elle ne tarda pas. Mme Dujou commençait la plupart du temps par une fessée d'échauffement sur la culotte.
- alors ma petite Sylvie qu'est ce qui arrive quand on fait mal son travail ?
Les claques se succédaient à un rythme soutenu et ma petite culotte en coton était une bien maigre protection, surtout que je ne pouvais m'empêcher de tortiller mon derrière en gémissant et ma culotte rentrait dans ma raie fessière, découvrant plus largement ma croupe.
Elle s'arrêta et posa sa main sur mes fesses encore culottées.
- je t'ai posé une question ! Qu'est ce qui arrive aux paresseuses qui font mal leur travail ?
Je savais qu'il me fallait répondre, j'avalai ma salive et je prononçai la phrase humiliante que ma gouvernante attendait.
- euh...elle...reçoive la fessée déculottée.
- voilà, c'est parfait et bien puisque tu l'as toi même demandé, on va te la donner cette fessée déculottée, oui ma petite Sylvie, cul nu.
On y était, j’étais déculottée comme une vulgaire gamine, même si j’en avais désormais l’habitude, c’était toujours très humiliant de sentir sa culotte glisser sur ses fesses et l’air frais caresser son derrière.
Je savais que cette perverse de Mme Dujou se régalait du spectacle des fesses de dames mûres étalées devant ses yeux, prêtes à recevoir ce châtiment enfantin. J’avais surpris son regard plusieurs fois dans la grande glace du salon que Leslie avait fait installer pour que je puisse assister au spectacle humiliant de mon déculottage puis de ma fessée et ce regard ne laissait que peu de place au doute. Mme Dujou avait sans aucun doute un faible pour les fessiers féminins. Et aujourd'hui ne faisait pas exception, elle se mit à me caresser les fesses déjà bien rosées.
- ma petite Sylvie a donc besoin de sa bonne fessée déculottée ? Et bien ma petite tu ne vas pas être déçue, maman Dujou va bien s'en occuper de ton bon gros derrière.
La première claque me surpris comme d'habitude, cette garce commençait toujours par de magistrales claques qui vous forçait à crier et à implorer même si vous vous étiez promis de rester stoïque, la brûlure était intense, mes fesses gigotaient au rythme de la punition, maintenant je n'avais plus le loisir de me regarder dans la glace, tout occupée que j'étais par la douleur de mon postérieur.
Puis le rythme se mit à ralentir, je savais bien que la punition n'était pas finie mais ce petit répit faisait du bien, soudain l'avalanche recommença, mais seulement sur la fesse gauche, c'était horrible, Mme Dujou caressa à nouveau cette fesse endolorie.
- alors ma petite Sylvie, tu ne vas pas recommencer j'espère. Ta fesse gauche est bien rouge, je pense que la droite est jalouse.
Et immédiatement la droite reçu le même traitement. Je ne pouvais plus retenir mes larmes, ma culotte était entortillée autour de mes chevilles, je battais frénétiquement des pieds. Mais Mme Dujou voulait sans doute être juste, Catherine avait reçu une magistrale fessée déculottée ce matin, il fallait que je reçoive la même. Elle s'attaqua donc à mes cuisses et à la base de mes fesses, cette zone si sensible qui chaque fois me faisait hurler de douleur. Ma fesseuse me tenait fermement, seules mes fesses et mes jambes pouvaient gigoter, je devais vraiment offrir un spectacle excitant à Mme Dujou car elle semblait ne pas vouloir s'arrêter. J’avais quand même jeté un oeil dans la glace, ma petite Catherine ne perdait pas une miette du spectacle que je lui offrais, je recevais comme elle une magistrale déculottée. Enfin la punition pris fin, je pleurais abondamment mais Mme Dujou n’en avait cure, après la fessée déculottée c’était la mise au coin systématique et je n’y couperais pas, ma culotte me fut retirée également et c’est tenue par l’oreille et accompagnée par quelques claques supplémentaires sur mon fessier rougeoyant que je regagnai mon coin. Je me mis immédiatement dans la position requise, nez collé au mur et mains sur la tête, ma jupe bien coincée dans la ceinture mes fesses étaient parfaitement exposées.
Je restai en pénitence jusqu’au retour de Leslie, c’est à dire 1h30. Dès qu’elle eut déposé ses affaires elle put voir le spectacle offert par ses deux pupilles. Catherine fesses à l’air avec un petit tablier en train de faire la poussière de la bibliothèque et moi au coin exposant aussi mes fesses nues. La couleur de nos fessiers ne laissait que peu de place au doute, nous avions été punies comme des gamines par une bonne fessée déculottée.
Mme Dujou attendait toujours le retour de ma belle fille avant de partir, elle lui faisait un rapport détaillé des événements de la journée. Dès qu’elle eu quitté la maison, Leslie nous appela.
- venez un peu ici mes chipies !
Nous n’en menions pas large, Leslie appliquait toujours un principe d’éducation traditionnelle, si j’avais été punie par quelqu’un d’autre, en temps que maman soucieuse de son autorité, elle m’administrait automatiquement la même punition avec un petit supplément, bien sûr Catherine avait été mise immédiatement au même régime. Nous étions donc devant elle, fesses nues et tête basse.
- regardez moi un peu ! Quand on a votre âge, on doit assumer ses bêtises. Catherine, je t’écoute, explique moi pourquoi tu es privée de culotte pour faire la poussière de la bibliothèque.
Elle le savait pertinemment puisque Mme Dujou lui avait raconté la punition de Catherine par le menu, mais être obligée de raconter soi même sa fessée, c’était l’humiliation suprême dont Leslie n’avait pas l’intention de se passer. Je savais que ce serait bientôt mon tour mais je commençais à m’y faire, pour Catherine c’était la première fois. Elle était rouge de honte, rien ne sortait de sa bouche, une claque sur chacune de ses cuisses la fit sursauter.
- je te conseille de te dépêcher ma petite, à moins que tu ne veuilles goûter du martinet.
- non, non, pardon Mlle Leslie.... euh, c’est à dire... aïe, aïe
Deux nouvelles claques venaient de rougir le côté de ses cuisses.
- je te donne trois secondes et ensuite je vais chercher le martinet ! un.... deux...
- non, non, je vais vous dire, voilà ce matin, j’étais encore en pyjama quand Mme Dujou est arrivée et elle m’a punie....
- ah oui ? et comment ?
- elle m’a donné une fessée déculottée....
- et ensuite ?
Catherine hésita un instant devait elle raconter le lavage de ses fesses à l’eau froide et la fessée à la brosse de bain ? Le sourire moqueur mais sévère de Leslie l'a convainquit de tout raconter. Elle vécu ce jour là une des pires humiliations de sa vie, ce ne serait pas la dernière. Quand les larmes aux yeux elle eut fini de décrire sa journée de punition, Leslie prit la parole.
- Mme Dujou a eu parfaitement raison de te corriger, je n’aime pas les paresseuses moi non plus, file te mettre au coin, je vais m’occuper de toi tout à l’heure. Tu es déjà cul nu c’est parfait.
Puis elle se tourna vers moi en souriant.
- et notre petite Sylvie a encore passé un bon moment au coin fesses à l’air on dirait. Tu me racontes ?
J'étais habituée à ce genre de confession mais la honte était toujours présente surtout que Leslie se faisait toujours un malin plaisir à me faire rentrer dans les détails, comment Mme Dujou m'avait elle déculottée, qu'avais je ressentie quand elle m'avait fessée, avait elle examiné mes petites fesses? C'était toujours avec les joues aussi rouges que mes fesses que je finissais ma confession.
- décidément vous avez décidé de n'en faire qu'à votre tête et bien je vais vous en faire passer l'envie. J'ai un peu de travail pour le moment donc tu files au coin comme Catherine, ça va te permettre de réfléchir. Je vais m'occuper bientôt de vos petits derrières et croyez-moi vous n'allez pas avoir froid aux fesses de toute la soirée. J'étais donc à nouveau au coin fesses à l'air, bien sûr j'y avais déjà passé un bon moment mais cette fois ci je n'étais pas pressée de le quitter sachant que ça serait pour rejoindre les genoux de Leslie pour une bonne déculottée.
Ma jeune belle-fille pianotait sur son téléphone, j'étais à peu près sûr que nos deux fessiers rougeoyant étaient actuellement en train de faire le tour de Twitter. Elle s’absenta un moment puis nous appela, elle s’était assise sur le canapé, je remarquai immédiatement la brosse à cheveux posée à côté d’elle. Elle avait écarté largement ses cuisses, elle tapota la gauche et fit signe à Catherine.
- tu viens te mettre là, quant à toi Sylvie tu as ma cuisse droite qui t’attend.
Catherine s’était déjà mise en position, ses larges fesses étalées sur la cuisse de Leslie, j’hésitais un instant, que voulais donc faire notre maman.
- dépêche toi, couche toi là comme Catherine, je vais m’occuper de vos deux derrières en même temps.
- aïe, aïe, oui oui Mlle Leslie
deux claques venaient d’atterrir sur mes cuisses, je me précipitai en travers de sa cuisse droite lui présentant moi aussi mon derrière encore bien rouge. Je pouvais voir le spectacle dans la glace, nos deux belles paires de fesses étaient parfaitement étalées sous les yeux de Leslie et elle s’en régalait. Elle prenait son temps quel plaisir ça devait être pour elle d’avoir deux fessiers de dames mûres à son entière disposition. Elle caressait nos fesses ne se gênant pas pour les écarter afin d’ajouter à notre confusion.
- mes petites chéries vous connaissez le tarif, quand on fait des bêtises en l’absence de maman Leslie, on reçoit une fessée plus sévère dès son retour. Mme Dujou a été gentille avec vous elle n’a utilisé que sa main, vous allez donc goûter à ma brosse à cheveux.
Soudain une violente brûlure saisit ma fesse droite immédiatement suivie d’une autre sur la fesse gauche, puis Catherine poussa un cri encore plus strident, la brosse venait de claquer son derrière encore endolori. La double fessée se poursuivait inlassablement, nous donnions un joli concert, nos jambes battaient l’air en cadence, nos fesses étaient quasiment côte à côte ainsi Leslie pouvait comparer la couleur, quand nos deux fessiers furent tout les deux d'un beau rouge brique elle cessa la punition, nous pleurions à chaudes larmes. Elle nous fit relever.
- mains sur la tête, vilaines filles!
Elle nous laissa ainsi les fesses brûlantes, puis elle disposa deux coussins sur la table basse du salon.
- vous allez vous mettre là mes petites chipies, Vos fesses bien rouges seront bien présentées. Vous allez goûter à une de mes dernières découvertes, j'ai lu ça sur le blog lesfesséesdesylvie, ça m'a beaucoup plu.
Sans discuter vu l’état de nos fessiers respectifs, nous nous couchèrent côte à côte sur les coussins. Puis je vis Leslie se diriger vers la salle de bain et en revenir rapidement tenant deux thermomètres à la main. Elle se plaça devant nous et nous les présenta.
- vous voyez ces thermomètres mes petites chéries, et bien c’est ce que vous allez avoir le plaisir de recevoir dans votre petit cul. Puisque vous avez décidé de vous comporter comme des gamines paresseuses et désobéissantes, je vais vous traiter comme telle. Une pénitence au thermomètre c’est ce que Mme Sylvie recommande sur son blog pour ramener à l’humilité les dames récalcitrantes. Tu vois ma petite Sylvie elle s’appelle comme toi. Je vous conseille d’être mignonne et de vous laisser faire ma brosse à cheveux est à la disposition de vos jolis derrières.
Elle s’approcha de Catherine et avec deux doigts lui écarta les fesses mettant à jour la petite rondelle brune. Mon amie avait déjà subi un examen intime par Mme Dujou ce matin, elle essaya de rester stoïque mais quand elle sentit l’embout froid pénétrer dans son anus elle ne put s’empêcher de contracter ses fesses. C’était vraiment la chose à ne pas faire, Leslie se mit à sourire et retira le thermomètre.
- qu’est ce que j’ai dit ! madame veut continuer à désobéir et bien on va voir si ses fesses comprennent mieux.
Leslie avait repris la brosse et la pauvre Catherine se mit à trépigner, ses fesses reçurent une cinquantaine de coups de brosse bien appliqué sur les fesses tendues. Calmement notre sévère maman reposa la brosse et écarta à nouveau les deux hémisphères brûlants.
- bien j’espère que la leçon est bien rentrée dans ton derrière ma chérie, mais si ce n’est pas suffisant nous recommencerons aussi longtemps que nécessaire.
Cette fois ci Catherine se laissa faire, ses fesses largement ouverte par les doigts expert de Leslie, le thermomètre pénétra lentement mais très profondément.
Catherine gémissait doucement, des sanglots sortaient encore de sa gorge de temps en temps. Leslie relâcha les fesses, seul un petit bout de verre dépassait des deux fesses écarlates. J’avais jeté un oeil dans la glace pour assister à cette nouvelle punition, maintenant c’était à mon tour. Je m’étais jurée de ne pas donner l’occasion à ma belle fille d’utiliser à nouveau sa brosse sur mes fesses, aussi quand je sentis ses doigts écarter mes fesses malgré ma honte, je me laissai faire. Je devinais que Leslie devait être un peu déçue, je me concentrais pour ne pas resserrer mes fesses, le thermomètre rentrait difficilement, ma jeune maman tapota mes fesses.
- ma chérie ton petit trou est bien serré, il va falloir remédier à cela.
Elle ressortait l’instrument médical devenu outil punitif puis elle le rentrait à nouveau doucement, c’était je dois l’avouer aussi humiliant qu’excitant.
- allez détend toi ma chérie, on y est presque, le petit trou de Catherine a fait moins d’histoire que le tien, peut être que je devrais prendre la brosse.
- non, non Mlle Leslie, pas la fessée, je ne fais pas exprès.
- je te crois ma petite chérie mais il va falloir trouver une solution.
Enfin après de nombreux aller et retour le thermomètre fut bien en place.
Satisfaite Leslie pris son téléphone pour une photo de nos deux fessiers écarlates, bien garni par le thermomètre. Celle-ci fut mise immédiatement en ligne sur Twitter.
Puis elle appela sa copine Chloé pour lui raconter notre punition, elle avait mis l'ampli pour que nous entendions la conversation. Au sujet de la mise en place difficile du thermomètre dans mon derrière, Chloé suggéra la solution que je redoutais le plus.
- oh ce n'est pas difficile ma chérie il faut assouplir son petit trou. Tu commences par lui mettre le thermomètre matin et soir et si ce n'est pas suffisant il faudra que tu te procure un plug, c'est radical.
Elle nous laissa en exposition fesses à l'air pendant une heure. Je peux vous garantir que c'est très long. J'avais compris que j'allais goûter souvent à cette nouvelle punition.